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Belledone, une sneakers européenne

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Lancée en 2018, la marque Belledone réinterprète des classiques de l’histoire de la sneaker, et propose des produits contemporains qui assument leur héritage. Le nom de la marque, Belledone, fait référence à la chaîne de montagne proche de Grenoble, d’où les deux associés et amis, Mikael Leo & Antonin Chabanne, sont originaires.

Mikael Leo & Antonin Chabanne – Photo©Arno Lam


L’ensemble des produits est confectionné à la main dans une usine familiale près de Porto, au Portugal, à partir de cuirs soigneusement sélectionnés en Italie. Belledone utilise du cuir nappa pleine fleur (cuir lisse), du veau velours (aussi appelé cuir suédé ou daim), et du nubuck, tous tannés en Toscane ou dans la région des Marches, sur la côte Adriatique. Nous nous fournissons auprès de tanneries certifiées Gold par le LWG (Leather Working Group). Cette certification est accordée aux tanneries qui minimisent leur impact environnemental, à chaque étape de la chaîne de production.


Initialement lancée en ligne, Belledonne est distribuée en France (Galeries Lafayette, Printemps, et dans des magasins indépendants), ainsi qu’à l’étranger (Japon, USA, Afrique du Sud, Maroc, Italie, Allemagne).


Les designs sont impulsés par des paires iconiques de l’histoire de la sneaker, que la marque réinterprète à sa façon en empruntant les codes des maisons de luxe (finitions, matières utilisées, formes…).


Belledonne croit fermement à l’idée d’une mode responsable et désirable, et mise sur un artisanat et des savoir-faire reconnus pour proposer des produits durables.

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ArchivesGastronomieLifestyle

Restaurant Accents – deux chefs pour une étoile

Accnets_interieur1©Florian_Domergue

Accents est un restaurant discret à Paris dans le quartier de la Bourse. Sa devanture, noire, discrète, intrigue. Quand on pousse la porte, une nuée de grues en origami est comme une deuxième entrée qui nous invite à pénétrer dans l’univers gastronomique du couple Ayumi et Romain. Ayumi Sugiyama est Cheffe Pâtissière et propriétaire d’Accents, Romain Mahi, lui, est Chef de cuisine et également propriétaire d’Accents. Ce couple, à la ville comme en cuisine, propose un voyage culinaire très personnel. 

Dans cette salle qui depuis l’entrée s’ouvre en longueur et en largeur, on découvre des tables, grandes, en bois brut, bien espacées pour laisser aux convives la bulle nécessaire à ce que chacune des tablées profite de son moment, sans se déranger les uns les autres. Les tons qui habillent la pièce sont doux. La lumière est présente mais délicate. La décoration est épurée : des branches aux murs, quelques photos, seule la porte de la cuisine en céramique brille, comme une porte aux trésors. Le fond musical est discret et ce soir-là, il distillait une  pop japonaise des années 80 que je ne pouvais qu’adorer. Le spectacle sera donc bien sur la table et dans les assiettes. Chez Accents ce qui se dégage surtout et dès les premiers instants,  c’est un sentiment d’apaisement et de bien être, de douceur même. 

©FlorianDomergue

Le menu proposé, chez Accents, est sous forme d’une carte blanche donnée aux deux chefs. Ils nous invitent à nous laisser entraîner dans leur univers. Seule demande de début de repas : avons-nous des allergies. Puis la valse des plats commence. Chaque temps de ce menu est composé d’un ensemble d’assiettes , créées par le couple Ayumi et Romain. Une vaisselle comme des nuages de couleurs qui viennent porter les jeux de textures, les équilibres de saveurs et de températures jusqu’à nos mains et nos papilles curieuses. 

Tout de suite le visuel frappe par sa précision, son élégance, sans pour autant chercher la démonstration. Puis en bouche, c’est pointu : les saveurs sont marquées, étagées, riches. Chaque bouchée, chaque plat sont équilibrés entre saveurs sucrées, salées, acidulées, amères et umami,…il en va de même sur les jeux de textures : croquants, coulants, fondants, denses, légers. On sent que la cuisine s’amuse, sur les températures également. Ces tableaux sont parfois saupoudrés de touche Kawaii (mignonne en japonais) comme cette tête d’ourson boudin / banane, ou encore le beurre moulé en ours qui porte un cœur, fumé au bois de cerisier.

Difficile d’évoquer précisément la carte puisqu’elle change selon les arrivages quotidiens, je n’ai pas envie de créer des frustrations. Mais je peux tout de même vous parler de délicats mariages comme l’aubergine fumée et comté, l’asperge en émulsion et son craquelin croquant, salicorne, tapioca, cresson, pomme et noisette comme un risotto ingénieux et goûtu.

Allez, je ne résiste pas à vous parler de ce plat de pigeon et morilles à la cuisson si juste, sauce mole et émulsion de vin jaune. Une explosion de saveurs tranchées. Cette pérégrination culinaire nous amène avec douceur vers les desserts. Un pré-dessert mêlant ail, chocolat et olive, à une glace au yaourt, tout en subtilité et en fraîcheur. Ce soir-là, c’est le dessert phare de Ayumi, la bulle sucrée, qui selon l’envie de la Cheffe et la saison se voit emplie de saveurs variées. C’est une double coque sphérique qui renferme des jeux de saveurs et de textures, et que l’on se plaît à exploser, comme une bulle de savon pour aller y chercher, au plus profond, l’ensemble des goûts. Ce soir-là c’était poire, aneth, fruit de la passion et lait réduit, très très frais pour cette fin de repas et peu sucré, mais tout en saveurs fruitées.

Un repas homogène, d’une grande cohérence et en même temps surprenant, très équilibré sur tous les points, sans masquer les saveurs. On sait ce que l’on mange et c’est très bon.

La cohérence comme un marqueur fort de leur cuisine d’Accents, jusqu’au café. Il est choisi chez Coutume, un torréfacteur parisien, pour s’accorder avec le repas du moment. Ce café s’accompagne de mignardises japonaises, dont un sponge cake très fluffy et aérien.

La carte des vins est bien faite avec des bulles de couleurs pour parler des saveurs des vins. C’est original et malin. On comprend tout de suite ce que l’on peut attendre de telle ou telle bouteille. Mais Léa Salomon, la Cheffe sommelière d’Accent, vous accompagne avec délicatesse dans ce bouquet organoleptique. Allant d’un pétillant naturel à un Minervois, en passant par un saké, ou encore un fraise martini subtil et frais.

J’ai rarement vécu une expérience culinaire aussi complète, aussi riche et en même temps pleine de sobriété et d’élégance. Dans la cuisine de Ayumi et Romain rien n’est gratuit, rien n’est ostentatoire. Dès l’instant où l’on passe la porte d’Accents on entre chez eux et durant le temps du repas, ils nous emmènent dans leur univers gastronomique et on se laisse prendre par la main par ce duo si bienveillant. Un voyage culinaire à ne  pas louper, à vivre et revivre à chaque saison.

Interview de Ayumi Sugiyama propriétaire et Chef Pâtissière et Romain Mahi Chef de cuisine, du restaurant Accents. 

Comment en êtes-vous venus à la cuisine ?

Ayumi Sugiyama :

Quand j’avais 5 ans, je savais que je voulais être pâtissière ou boulangère. 

J’aimais créer des choses avec mes mains. Arrivée au Lycée j’ai fait un stage dans une boulangerie au Japon, dans une authentique boulangerie japonaise, j’ai découvert alors l’aspect professionnel de ce métier. Ce que j’ai adoré c’est voir le sourire des gens qui viennent acheter des gâteaux, car souvent les gâteaux ce sont des choses qu’on achète pour les autres, pour des fêtes. Cette joie que cela procure, c’est cela qui m’a beaucoup plu. J’ai alors décidé d’étudier la pâtisserie.

Romain Mahi:

J’adorais manger, et chez moi on n’avait pas la culture de la grande cuisine, mais moi j’avais envie d’explorer cet univers. J’ai donc décidé d’aller vers des études culinaires.

Quel est votre parcours d’apprentissage ?

Ayumi Sugiyama :

J’ai fait l’école la plus connue de Tokyo : Tsuji. J’ai voulu ensuite travailler à Tokyo mais toutes mes demandes ont été refusées sur Tokyo, car j’étais une fille. C’est dingue ! Parfois le chef ne se déplaçait même pas pour me recevoir. C’était il y a 23 ans, aujourd’ hui cela  a changé. J’ai donc décidé d’aller dans ma ville natale, à la campagne, dans une petite pâtisserie. Tout y était traditionnel : le four, la balance avec les poids, et du coup j’ai appris les bases de la pâtisserie, à l’ancienne avec eux, durant deux ans.

Puis à mes 21 ans, j’ai décidé d’aller en France, à Paris. J’ai travaillé dans une pâtisserie du XXème arrondissement, Sucre et Cacao, et dans le Marais chez Pommier. Un jour, j’ai rencontré une japonaise qui était pâtissière chez Stella Maris, un étoilé, et qui m’y a fait rentrer. J’ai alors découvert que dans un restaurant avec le changement des menus, la capacité de création était beaucoup plus importante que dans une boutique, cela m’a beaucoup plu. Mon caractère est un peu “aléatoire” (rire), j’ai beaucoup d’imagination et j’ai besoin de l’exprimer.

Pour la suite, je suis allée à la Truffière durant 5 ans. Ensuite, je suis allée à Pau, puis je suis revenue  sur Paris à la Truffière pendant 7 ans. 

Romain Mahi :

J’ai décidé de faire Ferrandi, en 4 ans à l’époque. Puis j’ai travaillé un peu partout dans le monde: Pérou, Mexique, Japon, au Mandarin Oriental,… et à La Truffiere à la fin.

Quel est le lieu qui vous a le plus marqué ?

Ayumi Sugiyama :

La Truffière. Mon poste de pâtissière était en pleine cuisine, entouré des points chauds, des entrées, des sauces. Je voyais les cuisiniers travailler les épices, les légumes, tous ces produits qu’il n’y a pas au Japon. J’ai beaucoup appris. C’était très stimulant pour mon propre travail. C’est là bas que j’ai rencontré Romain (rire).

Romain Mahi :

Le restaurant Maison Blanche fut une très belle école d’apprentissage. Le banqueting, les cocktails, …, il y avait beaucoup à apprendre. J’ai appris de tous les chefs que j’ai croisés, je garde de bons contacts avec tous. Ils m’ont tous appris, mais je tiens à avoir MA cuisine. J’ai toujours eu peur qu’on me dise que j’étais le petit de Gagnaire, de Marx,… je tiens à mon identité.

Comment est né Accents ?

Ayumi Sugiyama :

Un jour, un couple japonais est venu déjeuner à la Truffière. Ils ont adoré les desserts. Le chef de salle leur a dit que la pâtissière était japonaise, ils ont donc voulu me rencontrer. Et de là ils m’ont proposé de me soutenir dans l’ouverture d’un lieu à moi. Ils m’ont proposé de faire une pâtisserie, mais pour moi il fallait faire un restaurant (rire). J’ai proposé à Romain de me suivre dans l’aventure et on a créé Accents.

En 2016 nous créons, avec Romain, Accents, et en 2018 nous avons eu une étoile. C’est fou.

Nous avons commencé avec un menu, mais il y avait beaucoup de gaspillage et je n’aimais pas ça. Pour moi il faut tout utiliser. On a réfléchi avec Romain, et c’est comme ça que l’on a décidé de proposer le menu carte blanche. De plus, cela permet de créer de la surprise. Pour moi le restaurant c’est ça, de la découverte. Si c’est pour manger la même chose qu’à la maison, cela ne sert à rien. 

Romain Mahi :

C’est Ayumi qui a créé le restaurant, la décoration c’est elle. Ce qui m’intéressait dans la création de ce restaurant c’était le côté éphémère, être sur l’instant, la page blanche côté cuisine. Ayumi a donné libre cours à ma créativité, elle voulait que les clients soient contents. C’était la seule directive.

Accent c’est vous et Romain de A à Z, vous créez tout ici ?

Ayumi Sugiyama :

La décoration ici c’est moi, les assiettes ont les crées ensemble avec Romain à la maison.

On utilise tout, même les coquilles de crustacés on les réutilise pour l’émaillage des céramiques. Le pain c’est nous qui le faisons aussi. En ce moment j’utilise les queues de fraises pour faire du levain, quand ce sera les poires j’utiliserai la peau des poires. On ne gâche rien (rire).

Romain Mahi :

C’est Ayumi ce restaurant, je m’occupe essentiellement de la cuisine, même si j’aime aussi créer de la céramique pour notre service.

Cette carte blanche, comment la pensez-vous ?

Ayumi Sugiyama :

On aime beaucoup Barcelone, les tapas, l’influence japonaise aussi est là avec l’accumulation de petits plats, de petites portions. Notre menu est donc une succession de petits plats à découvrir, pour explorer un maximum de saveurs. Les saveurs pour moi c’est fondamental.

Le salé c’est Romain, le sucré c’est moi. On se parle pas tant que ça, je sais ce qu’il y a dans sa tête (rire). 

Je n’aime pas le “trop de sucre”, c’est très important pour moi les saveurs, je veux que les gens aillent jusqu’au bout du repas. Les gens doivent savoir ce qu’ils mangent, d’où le choix du nom du restaurant : Accent. Quand les gens parlent, on sait d’où ils viennent avec l’accent. Pour moi c’est pareil avec les saveurs, je veux que le client sache ce qu’il mange. On a à coeur de faire des jeux de textures, d’équilibre de saveurs et de températures. 

Romain Mahi :

Au début, on mettait 1h, 1h30 à réfléchir au menu. C’est assez naturel maintenant.  Aujourd’hui c’est très “sur l’instant”, parfois cela change en plein service. C’est pour cela que sur le menu il n’y a noté que quelques éléments du plat, mais on laisse de la marge à la créativité, à l’envie du moment et aux arrivages des produits du jour. On suit ce que la saison et les producteurs nous apportent quotidiennement.

Aujourd’hui, c’est beaucoup à l’intuition, ce qui est évidemment lié à notre expérience.

Qu’est ce que vous aimez le plus travailler en cuisine ?

Ayumi Sugiyama :

C’est plus une technique : l’espuma (mousse, écume), on peut s’amuser beaucoup avec ça et différentes techniques….sous vide…congélation…J’adore ça (rire).

Romain Mahi :

J’aime beaucoup le gibier, mais c’est très saisonnier. Mais je fonctionne par période. Parfois, j’ai très envie de légumes, ou alors de salinité, de poissons…Cela peut être sur 2-3 jours ou quelques semaines…ce sont des périodes, liées aussi aux saisons, on aime changer, il n’y a pas de produit fétiche. J’utilise peu/pas de beurre. Je veux des choses légères. Pas que je n’aime pas le beurre, cela se fait ainsi. 

Quel est l’avenir pour Accent ?

Ayumi Sugiyama :

Vas y Romain, je te laisse dire. 

Romain Mahi :

J’ai l’envie de toujours monter en qualité, en technique, dans les goûts, les saveurs. Pas mettre quelque chose d’ostentatoire sur table, servir des plats forts, sans que le client ne sente tout le travail fait en cuisine. J’aime l’idée d’être étoilé, cela remplit le restaurant, le Michelin c’est un référence dans le monde. Je ne veux pas stagner, monter en qualité chaque année, je ne dis pas non pour la 2ème étoile, mais je sais qu’on a encore du travail pour ça, il n’y a pas de date limite pour ça.

Ayumi Sugiyama :

Il faut aimer ce qu’on fait, ce métier est dur. Il faut garder la passion pour continuer.

Romain Mahi :

Ici, il y a de la musique en cuisine, l’ambiance est bonne. On cultive cette atmosphère, cette bienveillance.

Merci à Reiko, Ayumi, Romain, Léa et toute l’équipe d’Accents.

Article écrit par Alexis Dumétier

– L’école d’Ayumi : Tsuji – https://www.tsuji.ac.jp/en/

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BRIONI PRESENTE SA COLLECTION CAPSULE GOLF

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Brioni a le plaisir de présenter sa première collection capsule Golf, offrant l’élégance distinctive et la qualité supérieure de Brioni à des vêtements de loisir et de sport.


La capsule comprend des pantalons et des shorts techniques et confortables, des polos en cachemire et en soie, des jerseys en soie et en coton, un gilet et un coupe-vent, tous deux en fibre technique « Performa ».

La gamme d’accessoires comprend des baskets, des gants en nappa souple, des casquettes de baseball et quatre accessoires en cuir spécifiques pour le golf : un couvre-chef, un porte-club, un porte-tee et un porte-balle.


La capsule Brioni Golf sera disponible à partir du Printemps dans les boutiques Brioni sélectionnées dans le monde entier.

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LEGACY STORE, concentré d’originalité

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Le concept-store fondé par BOW Group et piloté par Sébastien Chapelle (ex de l’emblématique magasin colette) vient d’ouvrir son nouvel espace au cœur du triangle d’or à Paris. Curateur de premier plan, LEGACY sélectionne et présente des produits rares et des exclusivités dans les univers de l’horlogerie, du luxe et de la joaillerie, du high tech et de l’art de vivre.

À l’occasion des Jeux Olympiques de Paris, LEGACY lance deux modèles de sneakers bespoke en éditions limitées à 24 exemplaires chacune – en référence à l’année 2024. Fruit de la collaboration avec les Ateliers LBT, figure de la custom de sneakers en France, ces créations originales s’inspirent des codes des JO dans les moindres détails; l’or des médailles, couleurs des anneaux olympiques et des références spécifiques aux jeux de Paris, dont un colorway bleu et rose et des figurines à l’effigie des épreuves sportives.
Pour réaliser ces modèles exclusifs, LEGACY et Ateliers LBT ont sélectionné deux silhouettes iconiques de la culture sneakers; la célèbre Dunk et la Air Jordan 1 x Off White. Chaque paire est réalisée à la main par les Ateliers LBT, nécessitant 30 heures de travail avec des finitions de haute facture, tandis que les empiècements de cuir sont issus des tanneries d’exception labellisées REACH.

Photo ©Ateliers LBT


Pour le lancement, Ateliers LBT investit le concept store pour deux sessions de 5 jours en immersion dans l’univers du bespoke. Du 15 au 19 avril puis du 3 au 7 juin 2024 , LEGACY propose une expérience unique et donne l’opportunité aux passionnés de sneakers de découvrir les secrets du sur mesure. Encadrés par les artisans des Ateliers LBT, les participants recevront un enseignement complet, de la déconstruction à l’assemblage final et repartiront avec la paire de sneakers réalisée au cours de la formation.

Son nouvel écrin réparti sur deux niveaux offre une expérience inédite avec un espace galerie consacrée aux expositions et aux événements et un département dédié aux parfums de créateurs.

Photo @Sébastien Véronèse

En effet, LEGACY vient d’ouvrir les portes de son nouvel écrin parisien, et a dédié un département aux parfums de créateurs. Réputé pour ses sélections ultra pointues dans les univers du luxe, le concept store met à l’honneur la parfumerie d’auteurs autour de 150 créations originales. Encadrée par des services personnalisés, cette expérience olfactive invite les visiteurs à découvrir des talents émergents et des essences confidentielles, dont certaines restent introuvables dans la capitale.
Parmi les fragrances proposées, on retrouve les éditions d’Affinessence, AKRO, Atelier des ors,
Atelier Gros-Désirs, Antinomie, Ausmane Paris ou Byron parfums à l’avant-garde de la street
culture, Colekt, de Gabor, Dorin Paris, Elisire, Escentric Molecules du légendaire parfumeur
Geza Schoen, HOC, Khalil T et son cultissime Kryptonite, Lazarus Douvos, Les fleurs du Golfe, les
parfums magnétiques de la Maison Rebatchi, Marylise Mirabelli, Miles Wambaugh, Monsieur
Arsène, My exclusive collection, Olfactive studio, Orens, Raïs Paris, Richouli, So Scent, Soul of
Makeen ou les eaux de parfum virtuoses de Stéphanie de Bruijn, dont Fantasia développé avec
l’artiste Nicolas Ouchenir. En complément, le concept store propose les bougies enivrantes de
BOPAZZ, HOV et Evermore de la créatrice londonienne Sarah Bell.

LEGACY store – 19 avenue George V – 75008 Paris

www.store-legacy.com

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SAOLA : ALLIER MODE ET DURABILITÉ

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SAOLA présente sa nouvelle collection, mettant en avant ses best-sellers avec un positionnement
lifestyle unique, fusionnant l’essence de l’outdoor et du streetwear. Guidée par l’engagement
envers l’éco-conception, cette collection est le reflet de sa vision durable. Découvrez la légèreté,
confort et respirabilité, pour une saison printanière où le style rencontre la responsabilité
environnementale.

SAOLA émerge comme une lueur d’innovation, redéfinissant l’industrie des chaussures avec une approche axée sur la durabilité et le respect de l’environnement. L’histoire de SAOLA est basée sur l’engagement de son fondateur envers la préservation de la planète. En puisant dans l’inspiration des
vastes étendues naturelles et des écosystèmes uniques, la marque s’est donnée pour mission de créer des chaussures qui non seulement évoquent l’aventure, mais qui la respectent également. Chaque paire Saola incarne une fusion de style et de durabilité, reflétant une conscience écologique sans compromis.

Les valeurs fondamentales de SAOLA reposent sur l’utilisation de matériaux recyclés et durables.
En privilégiant l’innovation écologique, la marque repousse les limites de la conception de
chaussures tout en minimisant son empreinte carbone. Chaque chaussure SAOLA incarne ainsi une
histoire de responsabilité, de la conception à la production, contribuant ainsi à la réduction des
déchets et à la préservation des ressources naturelles.
SAOLA n’est pas simplement une marque de chaussures, mais plutôt un mouvement, un appel à
l’action en faveur d’une mode plus consciente. En incarnant le mariage de l’esthétique moderne et de la
durabilité, SAOLA inspire une nouvelle génération de consommateurs à faire des choix éclairés, à soutenir des marques qui ont à cœur la planète, tout en restant fidèle à leur style.
En choisissant Saola, les amateurs de mode contribuent à une cause plus grande, participant à la création
d’un avenir où la mode et la durabilité coexistent en parfaite harmonie. La marque continue d’écrire
son histoire, une histoire qui va au-delà de la mode, embrassant une vision où la Terre et la mode
marchent main dans la main vers un avenir plus vert et plus conscient.

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ETON SUR MESURE PAR BJÖRN FRANTZÉN

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Le chef BJÖRN FRANTZÉN dévoile sa recette de la chemise sur mesure idyllique dans le cadre d’une collaboration avec la marque ETON.

Unis par leur passion du goût et de l’artisanat, la marque de chemises de luxe pour hommes Eton et le chef étoilé de renommée mondiale Björn Frantzén célèbrent l’individualité à travers la conception de la chemise sur mesure. Par le biais de cette campagne, Björn dépeint sa conception de la chemise blanche parfaite et révèle sa vision qui la consolide. 

Avec six étoiles Michelin à son actif, Björn Frantzén est le témoignage vivant de ce que signifie perfectionner son art. De la même manière, Eton a su s’imposer en tant que leader mondial de la conception de chemises de luxe. Aujourd’hui, ces deux mondes se rencontrent pour concevoir la chemise sur mesure idyllique, à travers une campagne qui illustre le pouvoir du goût et du style individuels. « Dans chaque plat que j’imagine, j’infuse une part de ma personnalité – une histoire qui se raconte dans l’assiette. De la même manière, Eton insuffle la vie dans les tissus, en créant des chemises sur mesure qui racontent une histoire unique à chaque couture », déclare Björn Frantzén.

Le service de confection sur mesure d’Eton offre de multiples options en matière de coupe et de style, telles que la taille personnalisable du corps, des manches, des poignées et même l’ajout d’un monogramme. Ce service offre une expérience unique puisqu’il permet à chacun de créer des chemises qui correspondent à ses préférences et à son style personnel. « Pour nous, créer la chemise sur mesure parfaite signifie être capable de choisir des détails et des tissus de la meilleure qualité qui soit – tout comme le choix des ingrédients se révèle crucial pour une expérience culinaire mémorable ».

« Nous avons collaboré avec Björn Frantzén afin d’explorer ces similitudes face au concept de perfection, tant en termes de style que de goût », commente Janelle Hallberg, Directrice de Communication de la Marque chez Eton. Dans le cadre de cette collaboration créative, Björn a créé sa version de la chemise parfaite sur mesure, qu’il porte tout au long de la campagne.

www.etonshirts.com

www.chef-alps.com

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UPTOGO, nouvelle plateforme de petites annonces automobiles premium

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Aujourd’hui, UPTOGO annonce une nouvelle ère pour sa plateforme de petites annonces automobiles avec une vision qui va au delà de la simple transaction. Présente sur le marché d’occasion depuis tout juste 3 ans et exclusivement réservée aux véhicules prémiums et sportifs, UPTOGO fédère une communauté dynamique et un espace de partage concrets pour les passionnés d’automobiles.

Ergonomique et responsive, UPTOGO met en relation acheteurs et vendeurs de véhicules d’exception. A travers son moteur de recherche avancé (intégrant des options de filtrage sophistiquées), le site capitalise sur la digitalisation de l’expérience d’achat et se distingue en mettant l’accent sur des voitures premiums et sportives. Avec plus de 35 marques iconiques référencées telles que Jaguar, Bentley, Porsche ou encore Aston Martin et Lamborghini, le site répond aux attentes des collectionneurs et d’un public exigeant.

Bien plus qu’une plateforme d’annonces, UPTOGO se transforme en un club exclusif pour les amateurs de véhicules d’exception. Leur vision va au-delà de la simple mise en relation entre acheteur et vendeur. Le site aspire à fédérer une communauté passionnée, animée par le partage d’expériences uniques et la célébration de la passion automobile. UPTOGO souhaite inviter l’utilisateur à vivre une expérience hors du commun et lui permettre une immersion dans un univers passionnant où puissance et adrénaline sont au rendez-vous pour trouver la voiture de ses rêves. Avec cette évolution, UPTOGO ambitionne de devenir la plateforme de référence pour les véhicules haut de gamme. Son engagement envers la qualité, la transparence et l’expérience utilisateur exceptionnelle la distingue dans un marché en constante évolution.

UPTOGO, c’est un binôme complémentaire et expert, amateur de belles voitures, Amaury Peyrot et Didier Le Quéméner ont choisi choisi le modèle de la marketplace. “Nous voulions une solution professionnelle reliant vendeurs et acheteurs, tout en intégrant des services répondant aux besoins des utilisateurs exigeants. Nous avons étudié des exemples de réussite, dont Chrono24, pour définir notre approche. Malgré les différences, ce modèle s’est imposé comme le choix idéal pour UPTOGO”. Animé par la passion automobile et la course, le pilote renommé Bruce Jouanny rejoint UPTOGO en tant qu’ambassadeur. Il met ainsi son expertise pour l’univers automobile au service des passionnés de voitures d’exception.

www.uptogo.fr

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ROAD TRIP TEST BMW & TRIUMPH

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La team BLAKE est partie en road trip dans le Perche pour tester deux derniers trails de BMW avec le GS 1300 R et de Triumph avec le TIGER 1200, version 2024. Le temps était entre nuages, pluies et soleil donc on a pu éprouver les motos et les tenues touring Bering et Nolan, dans toutes les conditions. On vous en parle. 

LE TIGER 1200 de TRIUMPH – 2024

Si la position est haute et bien digne d’un hypertrail, on se sent immédiatement en confiance. Le Tiger 1200 de 2024, est souple, très intuitif et se laisse manier sans effort malgré son poids assez conséquent et plutôt haut placé, son poids ne se fait sentir finalement que lors des manœuvres à basse vitesse. Les suspensions gomment parfaitement les aspérités de la route, et les différents réglages rapidement accessibles en roulant dans l’ordinateur de bord offrent un feeling bien marqué. Le cadre est bien rigide et permet de lire la moto dès les premiers tour de roue, la rendant très saine. Le combo cadre assez rigide et suspension plus souple offre un compromis extrêmement agréable à rouler sur route ouverte.

Elle s’inscrit sur l’angle très facilement, est stable et confortable. Elle permet de se faire plaisir sans effort sur de longs périplse, caractéristique fortement pertinente vu le type de moto. Le freinage Brembo offre un très bon mordant et une puissance difficile à prendre en défaut, renforçant le sentiment de confiance et de sécurité à son guidon. On regrettera uniquement la sélection des vitesses moins franches que sur le GS, surtout le neutre. Mais le point de patinage est très lisible et offre un bon retour au levier, ce qui aide au manœuvre à basse vitesse. Le trois cylindres 1200 est terriblement efficace, et nous envoie même un  coup de pied au fesse arrivé à 6 7000 tr, un comportement moins linéaire que le moulin du GS. Il faut faire attention au compteur de vitesse car passé cette zone, le 3 pattes propulse l’embarcation avec vigueur, pouvant même surprendre au vu du comportement globalement doux de la moto. Le bruit du moteur, agréable en spectateur, est par contre peu flatteur à son bord, dommage pour un 3 pattes de 1200cc. Côté nouvelle technologie, l’ordinateur de bord, bien que long à démarrer, à un écran aux menus très ergonomique. Il est très facile de paramétrer sa monture. Seul le GPS, avec une simple flèche d’indication, ne nous a pas convaincu. S’il peut dépanner, nous allons vite opter pour un support smartphone pour ne pas louper notre road trip préparer avec soin en amont.

Le shifter pro est très doux, en même après 20 ans de moto, descendre les rapport sans débrayer est devenu naturel (il faut se servir du selecteur plus comme un bouton et non comme un « vrai  sélecteur ») le seul point noir de la boite était le neutre, très difficile à trouver, à l arrêt ou en roulant à basse vitesse, de la premier comme de la seconde…dommage car cela a été pour nous le seul vrai défaut ennuyant du Tiger. D’ailleurs pour respecter le bon fonctionnement de la boîte il faut embrayer pour le neutre, la première et la deuxième. En option sur notre modèle, le top case, cubique comme une flycase posée à l’ arrière de la moto, s’est avéré extrêmement utile et pratique. Étanche, de belle capacité, très simple à remplir grâce à sa forme simple et pratique à enlever.

LA GS 1300 R BMW de 2024

Notre GS 1300 R, 2024 d’essai, full option, est très massif et compact pour ce type de moto. Son design est moins caricatural qu’en photo et il ressemblerait presque à un gros roadster, ce qui n’a pas été pour nous déplaire. Son coloris Vert émeraude et or, associé aux jantes à rayon fait son effet. Les passants s’arrêtent régulièrement pour la regarder ou venir nous en parler, un très bon point pour alimenter l’orgueil du motard….Bien moins haute que le Tiger, on l’ enfourche avec aisance pour une moto de type trail (un très bon point pour les petites tailles ou les personnes peu souple…). Tout comme son aspect le laisse présumer, la moto est rigide, sèche sans être pour autant désagréable.

L’ embrayage est très souple mais le verrouillage des vitesses est franc (avec le bruit caractéristique des boîtes BMW), le neutre est facile à trouver contrairement à la Tiger. Le train avant est rigide, la mise sur l’angle est progressive et demande plus d’effort que sur la Tiger, mais la moto donne plus la sensation d’être sur un rail quand on est sur l’angle et sa stabilité est grandiose, quitte à rogner légèrement sur l’agilité, surtout face à l’anglaise. Les suspensions sont plus fermes également, le frein moteur plus violent et le shifter secoue à chaque passage comme un passage à la volé plus ou moins bien exécuté. Ce trail joue clairement le côté plus sport que ballade, et il donne envie d’attaquer pour tirer partie de cette orientation. En forçant le rythme, le flat twin fait des merveilles, toujours plein, linéaire, avec un bruit envoûtant d’un avion de la seconde guerre, c est un régal. En virage la moto est plus sous vireuse que la Tiger et il faut s’habituer au telelever : qui est le système BMW qui dissocie l’amortissement de la gestion de la fourche de direction qui offre des sensations d’amortissement et d’écrasement au freinage différent des motos qui ont une simple fourche à l’avant. La moto ne s’ enfonce pas de l’avant, seul l’ arrière oscille. Il est difficile au début de sentir l appuie sur ce train avant et on a l’impression de ne pas le charger assez et donc de ne pas « mordre la route ». Cela est clairement une question d’habitude, car aucun doute sur la tenue de l’engin, surtout en longue courbe rapide. L’ordinateur de bord regorge d’informations. La molette de sélection au guidon est un très bon concept, mais le petit stick du tiger était plus intuitif. Le régulateur adaptatif est très au point et les radars avant et arrière de la GS 1300 R de BMW, captent sans soucis la moto ou la voiture de devant.


Bien qu’appartenant à la même gamme de moto, les Trails, nos deux modèles voient clairement là route avec deux approches différentes, différence incarnée parfaitement par le maniement des 2 shifters. Sec sur la BMW, et doux sur la Triumph. Les deux engins sont diablement efficaces à rouler, non piégeux, puissant, et bardés d’électronique et d’assistances. Mais le GS est bien plus typée sport et donne envie d’attaquer avec son train avant rigide alors que la Tiger est plus douce, et même si elle n’est pas en reste en accélèration, la Triumph amène plus à enrouler les virages en souplesse.

Quoi qu’il en soit, ces deux motos sont excellentes est très abouties, durant notre périple du week-end de Pâques 2024 dans le Perche, venteux, pluvieux, frais, mais également avec de belles éclaircies et des routes sèches, sur petite départementale cabossées, partagées avec les agriculteurs comme sur autoroute, ces motos avalent les kilomètre avec facilité. A vous de choisir votre philosophie…

TENUES POUR AFFRONTER LA PLUIE EN MOTO

Durant notre trajet, nous avons été vêtu de textiles de chez Bering. Les modèles Antartica et Austral, les deux en gore tex, furent très pertinent pour la saison d’avril, et encore plus lors de notre week end. Grâce aux nouveaux tissus techniques mais aussi aux dernières technologies des protections, le blouson et le pantalon se sont fait totalement oubliés, le gain en poids est considérable, et change radicalement des cuirs “à l ancienne”. Du confort, de la chaleur, et pleins de petites attentions ergonomiques; la fermeture éclair principale aimantée pour aider à enclencher, la bavette de col amovible extrêmement efficace sur l’Antartica. Pour l’Austral celui de poche avant est très pratique. On retrouve les poches qui facilitent la vie des motards sur la route, dont une pour carte bleue / ticket de péage sur la manche gauche, et les doublures amovibles du pantalon comme du blouson. A part un airbag, c’est du matériel “toutes options” et elles sont aussi bien penser que sur des produits d’une grande marque française d’équipement de sports réputé sur le sujet. Sur du matériel de moto d’un certain prix cela fait plaisir et j’ai envie de dire : enfin !!! Merci à Bering pour cela.

Et autant dire ce qui est, en commençant notre périple un vendredi soir par 2h de ville/route/ autoroute de nuit par 7 degrés et sous une pluie battante…l’equipement à sauvé notre week-end et notre humeur. Nous sommes arrivés au sec, sans avoir froid ni chaud durant cette épreuve. Je ne reviens toujours pas du confort que j’ai pu ressentir dans ces vêtements, vu les éléments que nous affrontions. La gamme de nos textiles Bering essayé est dans la catégorie haut de gamme avec le tarif y correspondant,  mais quelle efficacité générale! Pour tout motard souhaitant être tranquille et ne pas avoir à regarder les radars de pluie toutes les 15min, ou disposer de 20 tenues différentes, je ne peux que recommander très fortement nos Bering Austral ou Antartica.
Les bottes Bering, Xroad de dernière génération, ont été également de précieux alliés pour affronter les éléments changeants de ce mois d’avril. En effet, malgré de fortes pluies, nos pieds sont restés au sec et au chaud. Les bottes offrent une bonne rigidité qui donne un sentiment de protection, tout en laissant une certaine souplesse lors de la marche. La semelle permet notamment des positions debout sur moto, tout en étant très confortable et stable.

DES CASQUES POUR LE ROAD TRIP


La panoplie était complétée par les casques modulaires en carbone, le Nolan X-1005 Ultra carbon. Le haut de gamme de chez Nolan pour tailler la route. A l’ installation d’un système intercom d’une autre marque, les emplacements réservés aux écouteurs ont bien acceuilli l’équipement, même s’il a fallu cacher dans les mousses, les câbles comme on a pu. La visière pinlock a bien fonctionné par notre météo changeante, évitant toute bué à l’interieur du casque. Et pour un modulaire, pas de trace d’eau à l’intérieur malgré certaines averses violentes. Facile à manipuler, assez léger pour un modulaire grâce au carbone. Le casque est stable et bien isolé phoniquement. La visière interne ajoute du poids ce qui est dommage et n’était pas si évident à manipuler pour la baisser (question d’ habitude aussi sans doute). Mais mentonnière ouverte,  elle permet de ne pas avoir trop de vent dans les yeux à vitesse intermédiaire ou entre 2 villages. Si de telles visières peuvent paraître superflues dans les intégraux classique, elle a une bonne utilité ici. Ces casques offrent également la possibilité de porter des lunettes de vue ou de soleil, on oublit pas le style. Le seul bémol si il doit y en avoir un, c’est le manque de mousse sur la sangle jugulaire, qui pourrait être plus large et un tout petit peu plus longue. Sur les 800 km effectués ces casques ont été de précieux atouts par leur modularité mais aussi par leur confection générale qui permet de voyager sereinement.

Un road trip moto nécessite de bien préparer le paquetage, et pour cela nous étions équipés des sacs thermo-moulé de Bering, les Oxley, qui permettent de transporter de quoi grignoter et boire sur la route, les chargeurs et batteries pour tourner, le drone, bref tout le matos tout en le gardant au sec. On a un truc pour les encas sur la route avec Adrien, les barres protéinées. Sur ce voyage on a découvert les barres de chez Koro, une marque vegan, mais surtout un allié de poids pour les voyages de ce type, c’est petit, donc prend peu de place dans le sac et cela apporte suffisamment d’énergie pour poursuivre la route entre deux arrêts. Pour s’hydrater et prendre un petit shoot de sucre nous avions les toutes dernières créations de Good Vie, une marque française qui fait des kombuchas aromatisés aux fruits, ce sont que des bons produits dedans et c’est véritablement désaltérant.

Article écrit par Adrien Barthou et Alexis Dumétier

Vidéo réalisée par Alexis Dumétier et Adrien Barthou

Merci à BMW mottorad France, Triumph France, ainsi qu’à Bering et Nolan, mais aussi Superdry, Timberland eyewear, Adidas eyewear, Newman.

https://www.triumphmotorcycles.fr/bikes/adventure/tiger-1200
https://www.bmw-motorrad.fr/fr/modeles/adventure/r1300gs.html?gad_source=1&gclid=CjwKCAjwrIixBhBbEiwACEqDJbyo_6QLoHkZ4AqprR0iGVOllZw76lVwQqZXASoyd-x8lKBNI1_TCRoCjPgQAvD_BwE
https://bering-moto.com/fr_FR/products/austral-gore-tex-btv89-eu
https://nolan-helmets.com/fr_FR/products/x-1005-ultra-carbon-u15-eu
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HEGID MIRAGE SOLEIL

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Hegid®, Maison Française d’Horlogerie Evolutive, présente la Mirage Soleil : la nouvelle
déclinaison de sa montre Mirage. Cette inédite interprétation horlogère de la vitesse et de la
chaleur met en lumière, cette fois-ci, un cadran texturé irradiant.


La montre Mirage d’Hegid fut dévoilée pour la première fois en 2020 par Hegid. Sa création a
été influencée par la fin des années 60, au moment où le monde offrait tant de promesses, à
l’apogée du rêve automobile. Jérôme Coste, le Directeur Artistique d’Hegid, l’avait imaginée
comme l’ultime compagnon de route au volant d’une supercar transalpine, la Lamborghini
Miura, filant sur les routes escarpées de la Riviera. Les douces journées laissent généralement
place, une fois le soleil couché, à de vibrantes nuitées. Le nouveau cadran de la Mirage se
sublime aussi bien sous les faisceaux transperçant du soleil de la Méditerranée, que sous les
flashs des paparazzis, venus à l’occasion de soirées toujours très prisées.


Conformément au principe évolutif originel des montres Hegid, les différents éléments qui
composent la montre Mirage Soleil sont disponibles séparément et s’adaptent aux montres
Hegid pré-existantes. La Mirage Soleil conserve la même carrure d’acier, profilée aux finitions
satinées à traits tirés, que sa version initiale. Elle garde aussi le chic et le dynamisme que lui
offre son bracelet matelassé Virage si distinctif.


Le nouveau visage de la Mirage se distingue par ses 60 facettes qui permettent de se situer
dans le temps, avec élégance et précision. Au rythme des oscillations du mouvement
automatique, des cols et des vallées parcourues par les aiguilles, tel un bolide progressant sur
les routes vallonnées, on devine l’heure. Sous les palmiers, quand la lumière frappe la Mirage
Soleil, elle resplendit. Le jour, la lumière laisse scintiller les détails argentés de son cadran, de
ses index et de ses aiguilles. Chargée des rayons de la journée, la Mirage Soleil permet de
divaguer jusqu’au crépuscule grâce aux lueurs de ses aiguilles luminescentes et sa réserve de
marche de 40 heures.


Les Capsules et les Carrures de la collection Mirage sont conçues, fabriquées et assemblées en
France, et à la frontière Suisse, d’où les mouvements proviennent. Les bracelets Virage en cuir
Nappa, originaux par leurs brins matelassés qui suggèrent les assises confortables en cuir
boudiné des voitures de sport des années 60, sont eux aussi façonnés dans des ateliers
français.


Les montres de la gamme Mirage d’Hegid sont disponibles sur hegid.com et en boutique,
notamment dans le showroom Hegid du 8 rue Volney à Paris.

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Rodd & Gunn passent le cap des 200 ans

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Rodd & Gunn, la marque néo-zélandaise qui a habillé les légendaires All Blacks, dévoile une
collaboration de renom. Fière du riche patrimoine de la Nouvelle-Zélande dans le monde du rugby, il était évident pour Rodd & Gunn de s’associer à la mythique marque de ballons de rugby, Gilbert, pour célébrer leur 200 ans sur la collection hiver 2023 / 2024.


Depuis la création du rugby en 1823, Gilbert est le principal fournisseur de ballons de rugby pour les joueurs de tous niveaux. Le nom de l’entreprise est synonyme de qualité, de précision et de durabilité.
En 2023, Gilbert célèbre son 200e anniversaire avec cette collection en collaboration avec Rodd & Gunn, afin de marquer cette occasion prestigieuse.

Cette collection en édition limitée incarne la passion partagée qui anime les joueurs et les supporters de rugby dans le monde entier.
Fondée sur les valeurs d’aventure, de style et de durabilité, Rodd & Gunn symbolise l’élégance décontractée et la qualité artisanale. La collaboration avec Gilbert pour cette collection spéciale est un hommage à la passion partagée pour le rugby et à l’engagement envers l’excellence.
L’année 2023 a marquée une étape importante dans l’histoire du rugby, de Rodd & Gunn et de Gilbert. Cette célébration de cette union autour du rugby rend hommage à la richesse de l’histoire et de la tradition de ce sport qui a su unir des millions de personnes à travers les générations.

La collection Rodd & Gunn x Gilbert « United by Rugby» est disponible depuis l’automne 2023 sur roddandgunn.com et dans les points de vente de la marque.

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LIP relance la mythique T18

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Aujourd’hui, une montre française renaît avec son mouvement mécanique à remontage manuel aux cotes d’origine. Unique et ayant inspiré la concurrence helvétique de l’époque, elle porte le nom de son calibre et se trouve être la pièce de forme la plus produite de toute l’histoire horlogère par une marque de dimension internationale dont le nom se prononce dans toutes les langues. Vous l’aurez compris, il s’agit de la T18 de LIP, conçue, assemblée et contrôlée à Besançon, sa ville d’origine.

Il fallait satisfaire tous les amateurs avertis en quête d’un garde-temps au dessin hérité de la période Art Déco et animé par un coeur de référence. Pour eux et les autres, la maison LIP, aujourd’hui pilotée par Pierre-Alain Bérard, relance la célébrissime T18 avec, cette fois à son bord un calibre mécanique à remontage manuel contemporain. Pour répondre aux attentes des puristes, les cotes et la construction reprennent en grande partie celles du mouvement développé par André Donat à partir de 1931 à la demande de Fred Lip, alors tout juste rentré d’un voyage d’étude aux Etats-Unis.
Visionnaire, ce patron de la plus célèbre marque horlogère française, aujourd’hui souvent citée par les amateurs de l’Hexagone parmi les cinq premières mondiales, avait aussi un sens inné de la communication. S’il avait été là actuellement, il aurait sans doute commencé la publicité pour la nouvelle génération de T18 mécanique de manufacture de la façon suivante : « Savez-vous quelle est la montre de forme rectangulaire la plus produite au monde et la plus connue en France, en Russie et aux Etats-Unis ?
Non, messieurs les collectionneurs, ce n’est pas la Prince de Rolex ou la Reverso de Jaeger-LeCoultre, mais la T18 de LIP qui, entre 1933 et 1949, a été fabriquée à plus de 400 000 exemplaires ».
Toutes ces qualités lui ont valu d’être la toute première montre-bracelet de forme à recevoir un tourbillon. Réalisée par Edouard Belin en 1947, elle a marqué un tournant dans l’histoire de l’horlogerie contemporaine. Le calibre T18 mérite pour cela de revenir sur le devant de la scène d’autant que la T18 de LIP est assurément de toutes les montres françaises produites, l’une des plus recherchées par les collectionneurs.

Afin de les satisfaire, la nouvelle direction a fait le choix de relancer la plus célèbre de toutes les T18 : celle en plaqué or offerte à Winston Churchill en 1948. Pour l’occasion, son boîtier a été légèrement agrandi afin d’être conforme au mode de porter actuel et a été réalisé en acier inoxydable recouvert de deux épaisses couches d’or massif de 5 microns chacune : la première en 18 carats et la seconde en 24 carats. La pièce, fabriquée seulement à 180 exemplaires numérotés, arbore un cadran inspiré du modèle d’époque avec chiffres en relief appliqués à la main et petite trotteuse à 6 heures. Précieuse, elle se pare d’un verre saphir, traité antireflet, rectangulaire et légèrement galbé. Elle se porte sur un bracelet en alligator, réalisé de façon artisanale, à la main, dans les ateliers Sibra à Besançon.

Cette merveille d’équilibre, véritable icône des années 1930-1940, est, une fois encore, servie par le meilleur des calibres qui soit : le tout nouveau mouvement mécanique à remontage manuel T18 de LIP. Ses composants, reprenant toutes les cotes de ceux d’origine grâce à un considérable travail de rétro-ingénierie réalisé sur un T18 de première génération sont usinés en Suisse par la célèbre manufacture La Joux-Perret. Les finitions et décorations sont entièrement réalisées dans le Doubs, chez Roland Bailly SAS. Le mouvement est ensuite assemblé à Besançon par la société Humbert-Droz avant d’être emboîté et contrôlé dans les ateliers LIP de Besançon.

Visible par le fond transparent, il laisse voir son grand balancier oscillant aujourd’hui à 3 hertz pour plus de précision, ainsi que ses délicates finitions traditionnelles comme les « côtes de Genève », les perlages, mais également le colimaçonnage de la roue de rochet.
Enfin, désireuse de pousser cette re création jusque dans les moindres détails, LIP a fait le choix courageux de proposer cette montre appelée à devenir « collector » à un prix, en euros constants, identique à celui de l’année de son lancement.


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Fantaisie Militaire, haut grade de la Mode

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FANTAISIE MILITAIRE EST UNE NOUVELLE MARQUE FRANÇAISE QUE NOUS AVONS PLAISIR A VOUS FAIRE DECOUVRIR.

FANTAISIE MILITAIRE EST INSPIRÉE PAR LA FONCTIONNALITÉ ET LE STYLE INTEMPOREL DES VÊTEMENTS MILITAIRES.

FONDÉE PAR L’UN DES DERNIERS FABRICANTS DE TISSUS FRANÇAIS, BASÉ À TROYES, LA MAISON CRÉE DES PIÈCES QUI MÉLANGENT HARMONIEUSEMENT LIGNES DE DESIGN FORMELLES ET STREETWEAR, CRÉANT UNE FUSION UNIQUE DE STYLES.

Photographer : William Bibet

LA RECHERCHE DE L’EXCELLENCE EST AU COEUR DE LA PHILOSOPHIE DE LA MARQUE. CHAQUE VÊTEMENT ET ACCESSOIRE EST MÉTICULEUSEMENT CONFECTIONNÉ À PARTIR DE MATÉRIAUX HAUT DE GAMME, HÉRITAGE D’UN SAVOIR-FAIRE DE FABRICATION PRÉSERVÉ, GARANTISSANT NON SEULEMENT LE STYLE MAIS AUSSI LA LONGÉVITÉ.

Photographer : William Bibet


CONSCIENTE DU BESOIN URGENT DE RÉDUIRE L’IMPACT ENVIRONNEMENTAL DE L’INDUSTRIE DE LA MODE, LA MARQUE A ÉTABLI DES PARTENARIATS AVEC DES FOURNISSEURS QUI PARTAGENT SON ENGAGEMENT EN FAVEUR DE LA TRANSPARENCE ET DE LA PRODUCTION ÉTHIQUE.

CHAQUE CRÉATION RACONTE UNE HISTOIRE TOUT EN REFLÉTANT UNE APPROCHE RESPONSABLE DE LA MODE, ENCOURAGEANT LES CONSOMMATEURS À FAIRE DES CHOIX RÉFLÉCHIS POUR UN AVENIR MEILLEUR.
FANTAISIE MILITAIRE CROIT AU POUVOIR TRANSFORMATEUR DE LA MODE ET CHAQUE PIÈCE EST CONÇUE POUR INSPIRER CONFIANCE ET UN SENTIMENT D’INDIVIDUALITÉ À CELUI QUI LA PORTE.

Photographer : William Bibet

AVEC UN SENS AIGU DU DÉTAIL ET UN ENGAGEMENT INÉBRANLABLE ENVERS LE SAVOIR-FAIRE, SES COLLECTIONS EMBRASSENT DES SILHOUETTES CLASSIQUES TOUT EN AJOUTANT DES DÉTAILS INATTENDUS POUR LA VIE DE TOUS LES JOURS.

WWW.FANTAISIEMILITAIRE.COM

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