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Herve

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Michel Herbelin présente la Newport Squelette

Inspirée de l’architecture moderne des navires furtifs, la Newport Squelette de Michel Herbelin arbore un boîtier en acier inoxydable, traité PVD gris anthracite d’un diamètre de 42 mm. Poli et brossé pour souligner sa découpe en trois facettes, il encadre une couronne de forme conique, crantée pour une meilleure prise en main. Assortie au boîtier, la lunette, gravée du nom de la collection, révèle, quant à elle, cinq vis hexacaves, identiques aux noyaux de winch de voilier.

Reprenant, en toute modernité, les codes qui ont fait le succès de la Newport – attaches centrales du bracelet, lunette façon hublot, roue marine estampillée sur la couronne -, ce nouveau garde-temps reste fidèle à sa vocation marine. Complétant l’ensemble, les aiguilles des heures et des minutes en nickel noir, créées spécifiquement pour Michel Herbelin, cadencent le temps au rythme d’une seconde centrale. Partiellement recouvertes de matière luminescente, à l’image des index imposants positionnés sur le rehaut bleu brossé cerclé d’une minuterie, elles donnent une lecture de l’heure précise et lisible en toutes circonstances.

Etanche à 100 mètres et pensée pour être portée dans l’action, la Newport Squelette est habillée d’un bracelet en caoutchouc FKM d’une extrême résistance au déchirement. Soigneusement travaillé dans ses finitions pour être confortable au poignet, celui-ci a été dessiné spécifiquement pour prolonger la ligne de l’attache centrale jusqu’à la boucle. Affichant un aspect lisse et brillant de couleur bleue, il achève de parfaire le style sport chic de cette pièce horlogère au design racé.

Tout en transparence, le cadran, protégé par un verre saphir, met à nu le squelette du mouvement. Métarmophosant la mécanique en dentelle tout en mettant en majesté l’orchestration complexe des composants et rouages, celui-ci offre un spectacle hypnotisant qui révèle le savoir-faire horloger de Michel Herbelin. Développé spécifiquement pour la marque française, il reprend la géométrie d’une barre à roue, élément identifiable et iconique de la collection Newport. Gravée Michel Herbelin, la masse oscillante a également fait l’objet d’un soin particulier avec un squelettage spécifique apportant un maximum de transparence au mouvement et donc à la montre. Travaillé dans les moindres détails, il montre, via un fond de boîte transparent, des finitions Côtes de Genève ainsi que des ponts et bâtis ornés de décors perlés.

Pour cette montre éditée en série limitée, Michel Herbelin inaugure, en avant-première, un nouveau calibre de facture suisse : le Sellita SW400-1. A l’identique du SW200-1 pour sa précision, fiabilité et robustesse, il bénéficie néanmoins d’un diamètre agrandi à 31 mm. Totalement adapté aux boîtiers de grande taille (40 à 46 mm), il évite de recourir à un cercle d’emboitage tout en permettant un large fond ouvert. Pour le reste, ce mouvement mécanique à remontage automatique, doté de 26 rubis, génère 28 800 oscillations par heure et dispose d’une réserve de marche de 38 heures.

Offrant l’assurance d’un haut niveau d’exigences techniques, la Newport Squelette hérite d’une expérience horlogère française de plus de 70 ans. A l’image de tous les modèles Michel Herbelin, elle a été dessinée, conçue, assemblée, réglée et contrôlée dans les ateliers de la marque, situés dans le massif du Jura, en Franche-Comté.

Disponibles à la vente dès le mois de mai, seuls 500 exemplaires sont disponibles pour le monde. Avis aux amateurs de belles mécaniques . . .

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ArchivesBlogMagazineNews de Mode

Renoma: éternelle élégance

En 1999, paraît un ouvrage qui associe Maurice Renoma à un néologisme qui peut intriguer : «modographe».
Il fallait inventer un mot pour définir l’homme passionné et débordant d’idée qu’est ce couturier, designer, photographe et scénographe.
Avec la modographie, ses deux principales passions, la mode et la photographie, sont intrinsèquement réunies. En effet, avant de faire de la photographie, son mode d’expression incontournable, Maurice Renoma a largement contribué à inventer la mode dès les années 1960, en créant notamment la marque Renoma, extraordinaire et transgressive, coup de griffe dans les codes vestimentaires de l’époque.
Considérant la mode comme une forme d’art à part entière, Renoma exprime à travers le vêtement une vision originale et libérée de tout préjugé esthétique.

Fils du taillleur et confectionneur Simon Cressy, Maurice Renoma, né le 23 octobre 1940, grandit avec son frère Michel dans l’appartement familial qui fait aussi office d’atelier de confection, à deux pas du Carreau du Temple, dans le 3ème arrondissement de Paris.
Dès ses 15 ans, Maurice se confectionne des vêtements en suédine ou en loden, dans un style typiquement anglais, du jamais vu pour l’époque.
En 1963, la boutique White House Renoma ouvre ses portes, rue de la Pompe, dans le 16ème arrondissement. Considérant la mode comme une forme d’art, Maurice Renoma en exprime sa vision originale et audacieuse. Matières inédites, couleurs franches et coupes sculpturales, tous les ingrédients sont réunis pour que la maison de couture familiale se démarque des autres.

Le style Renoma devient célèbre : veste cintrée à larges revers, aux fentes profondes, aux épaules droites associée à un pantalon coupe droite, taille basse. Maurice Renoma bouscule les standards de la mode avec ses blazers en drap militaire, ses costumes cintrés en velours vert, grenat, violine…
Il détourne le vêtement en le taillant dans du tissu d’ameublement. Pour la jeunesse parisienne et pour les personnalités politiques et artistiques, la boutique Renoma devient le lieu incontournable d’une mode inédite, sans convention, sans concession.

Au début des années 1990, Maurice Renoma commence à s’intéresser à la photographie et à l’utilisation de la pellicule noir et blanc 400 asa.
Il invente le néologisme «modographe», qui selon lui correspond mieux aux liens essentiels qui unissent la mode et la photographie. Depuis 1993, Maurice Renoma expose ses photographies en France et dans le monde entier. En 1997, il est fait Chevalier des Arts et des Lettres.

Son style révolutionnaire lui permettra d’habiller et de fréquenter les plus grands artistes français de l’époque : Brigitte Bardot, Serge Gainsbourg, Jacques Dutronc, Françoise Hardy, Catherine Deneuve, Alain Delon, Johnny Halliday, Sylvie Vartan, Jean-Paul Belmondo, Nino Ferrer, Christophe, Claude François, puis un très grand nombre d’acteurs français dont Jean Rochefort, la troupe du Splendid, Fabrice Lucchini, Gérard Lanvin… La boutique devient un lieu de rencontre et d’amusement où se retrouvent les plus grands.
Les grands politiciens succombent eux aussi à l’émulation Renoma : Pierre Mendès-France, François Mitterrand, Valérie Giscard D’Estaing ou encore Jacques Chirac passeront entre les mains du couturier dont le Tout-Paris raffole.
Serge Gainsbourg, ami proche de Maurice, sera l’égérie de la marque pendant plus de 10 ans.
Modernité, provocation, liberté, subtilité, Renoma sublime l’atmosphère parisienne des années 60, 70 et 80 aux quatre coins du monde. Il fréquente et habille ceux qui deviendront les plus grandes figures de la mode, tout en étant une source d’inspiration pour eux : Yves Saint Laurent, Karl Lagerfeld, Giorgio Armani, Gianni Versace, Hubert de Givenchy, Jean-Louis Scherrer, Marc Bohan…

® David Bailey

Petit à petit, des artistes internationaux de grande envergure viennent s’habiller dans la boutique Renoma, devenue mythique. Du rock à l’art contemporain en passant par les grandes stars hollywoodiennes et sportives, les plus grandes légendes s’y font tailler le costard : Salvador Dali, Pablo Picasso, Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat mais aussi Bob Dylan, Eric Clapton, James Brown, Jack Nickolson, John Lennon et les Beatles, Les Rolling Stones, Jim Morrison, et bien d’autres.

Renoma marque un réel tournant dans l’histoire de la mode : «C’est l’incarnation même de ce moment où la mode masculine émergea de l’inexistence pour prendre le pas sur les «vanités» des femmes.
S’habiller chez Renoma vous décernait un brevet de parisianisme, certificat d’une jeunesse à consommer sans modération.» J. Brunel
Les innombrables collections créées par Maurice Renoma peuvent scander le siècle en un kaléidoscope de forme et de couleurs, dont la mode masculine compte, aujourd’hui encore, peu d’équivalents. Très inspiré par Vasarely et Escher, Maurice Renoma emprunte les codes de l’op art (art optique), du cubisme et de l’art moderne en général pour les intégrer à ses vêtements avec goût et minutie.
Provocateur sans concession, c’est toute une génération qui se prend de passion pour l’extravagance vestimentaire et l’éclatement des codes masculins. Elle porte d’ailleurs son nom qui résonne toujours aujourd’hui : la Génération Renoma.
Costumes en lin ou en chutes de tissu d’ameublement, chemises à cols asymétriques, paysages imprimés sur blouson en cuir ou encore caleçon parfumé … Renoma est une marque inventive, sans limite et révolutionnaire. Un seul mot d’ordre, l’audace au service du style. Renoma bouscule les codes en injectant la notion d’esthétisme dans le vêtement au delà du fonctionnel, explorant l’androgynie et le brassage des genres, des partis-pris choquants pour l’époque.

En 1963, le blazer Renoma fait son apparition. Porté jusque là comme uniforme dans les collèges anglais et par les marins britanniques, Maurice en fait une pièce iconique de mode en France, encore portée aujourd’hui.
Serge Gainsbourg l’a adopté pendant plusieurs dizaines d’années et en a fait un symbole fort de l’élégance décontractée dandy et parisienne. Dans un souci artistique et pour accentuer la valeur exceptionnelle de son blazer, Maurice Renoma décide en 2006 de confier ses modèles aux plus grands artistes contemporains internationaux pour qu’ils en fassent des oeuvres d’art.
Cette nouvelle aventure exprime son idée de la création : un univers mixte, où convergent différentes inspirations. Cette collection inédite de Blazers naît de cet échange, d’un regard qui revient sur la matière textile imprégnée d’autres couleurs, d’autres matières, d’autres perceptions. 32 figures artistiques du monde entier ont
répondu présentes : Arnal, Ben, Mark Brusse, Jean-Paul Chambas, Henri Cueco, Erro,
Jean-Pierre Formica, Patrice Giorda, Marc Goldstein, Joseph Grau-Garriga, Hastaire, Rachid Khimoune, Peter Klasen, Aki Kuroda, Catherine Lopes Curval, Zwy Milshtein, Andrew Painter, Bernard Rancillac, Michel Rovelas, Istvan Sandorfi, Satoru Sato, Antonio Segui, Shahabuddin, Sung-Hy Shin, Tony Soulié, Peter Stampfli, Paul Van Hoeydonck, Vladimir Velickovic, Jacques Villeglé, A-Sun Wu, et Constantin Xenakis.

Helmut Newton

La boutique Renoma ouvre ses portes le 23 octobre 1963, au 129 bis rue de la Pompe, Paris 16ème. Porté par son intuition, Maurice voyagera partout dans le monde pour en rapporter des vêtements, tissus, inspirations, motifs et matières inédites dont le tout-Paris raffolera tant ils cassent les codes avec esthétisme et brio.
Très vite, la boutique devient une source d’inspiration pour les futurs grands créateurs de mode: Giorgio Armani, Gianni Versace, Karl Lagerfeld ou encore Yves Saint Laurent. Tous ces couturiers qui dessineront bientôt des lignes masculines s’habillent pour l’instant chez Renoma.
La boutique devient un lieu branché incontournable.
On y croise Catherine Deneuve, Nino Ferrer, Françoise Hardy, Jacques Dutronc, Jane Birkin, Serge Gainsbourg… «Quand c’est fashion, tous les gens fashion sont là, simplement parce qu’il le faut». M. Renoma
Eric Clapton s’intéressant à la mode parisienne dira «il n’y a pas en Angleterre un endroit où l’on achète des costumes aussi bien taillés». À chaque escale en France, les stars y font alors des folies.
Un jour c’est Bob Dylan qui vient s’offrir une panoplie, un autre c’est Elton John que l’on voit sortir avec soixante chemises. Cinquante-cinq ans plus tard, la boutique Renoma est toujours ouverte et fascine par son aura historique et ses collections hors norme. Plus qu’un simple magasin, c’est toute une époque qui imprègne les murs et les collections, sceau d’un style hors du commun qui poussa toute une génération à l’extravagance.

 

 

 

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Baume & Mercier Clifton Club Quartz

Pilier sportif-chic de la Maison Baume & Mercier , la collection Clifton Club s’agrandit cette année d’une nouvelle offre : la Clifton Club Quartz qui répond aux besoins des gentlemen-sportifs à la recherche d’une montre à juste prix, aussi belle que polyvalente. Taillée pour l’aventure, contemporaine, raffinée et athlétique, la Clifton Club Quartz réécrit avec élégance les valeurs du sport tout en respectant les codes traditionnels de l’horlogerie.

Attractive et moderne, la Clifton Club de Baume & Mercier a été conçue pour accompagner les hommes d’aujourd’hui dans toutes les occasions, tant professionnelles que sportives. La Clifton Club Quartz de Baume & Mercier est faite pour ceux – nombreux – qui recherchent une montre sport-chic, belle et abordable. On la porte le week-end et la semaine, au bureau comme à moto, en déplacement professionnel et lors du jogging matinal. En bref, on ne la quitte jamais !

Nos Gentlesportsmen

C’est une bande de potes qui aime passer du bon temps autour d’un ballon ou une planche de surf. La compétition et le dépassement de soi font partie de leurs valeurs, mais sont indissociables au sens du partage et à l’esprit d’équipe. Nos « Gentlesportmen » partagent cette même philosophie et ont cette même idée du sport.

La montre Clifton Club est le symbole d’appartenance à cette communauté masculine au mode de vie urbain et sportif. Les athlètes accomplis et passionnés définissent avec une certaine élégance le sport d’aujourd’hui. Certains des ambassadeurs sportifs de Baume & Mercier se sont retrouvés pour un shooting entre amis.

L’idée : retranscrire la polyvalence de l’homme athlétique et raffiné, en jouant sur la dualité des looks qui expriment deux états d’esprit, deux personnalités, sans les dissocier. Pour créer le décalage, sur chacun des portraits de ces sportifs passionnés, on retrouve une mise en avant de leur discipline, associée à une tenue élégante. Comme touche finale, nos « Gentlesportsmen » portent au poignet un des modèles de la Collection Clifton Club.

Dans la lignée de la collection, la Clifton Club est motorisée par un mouvement suisse à quartz. Elle affiche un design soigné mariant élégance sportive, fonctionnalité et ergonomie au porté. En acier inoxydable de très haute qualité (316L), son confortable boîtier de 42 mm de diamètre à ouverture ronde s’adapte à tous les poignets. Svelte, elle n’affiche que 9,55 mm d’épaisseur ; des mensurations modernes et contemporaines lui permettant de se glisser en toute discrétion sous la manche d’une chemise ou d’un vêtement de sport. Se différenciant de la Clifton Club Automatique, la Clifton Club Quartz affiche une lunette fixe azurée renforçant son look athlétique. Ses codes couleurs (noir, bleu, orange contemporain) et son étanchéité de 10 ATM (100 mètres) idéale pour la pratique des sports aquatiques et nautiques garanti par un fond fermé et vissé, en font une montre sportive et fonctionnelle.

Comme toutes les montres signées Baume & Mercier, la Clifton Club Quartz présente des finitions haut de gamme dans le plus grand respect des traditions horlogères suisses. Affichant un jeu d’alternances raffinées de finitions poli-satinées, son boîtier évoque immédiatement la performance et l’élégance, la justesse et la puissance. La Clifton Club Quartz est ainsi proposée en trois versions aussi sportives qu’élégantes. D’un esprit « casual », la première se distingue par un cadran noir opalin et un bracelet en veau nubucké noir avec doublure en veau caoutchouté orange « rembordée à l’envers » et aux courbes qui épousent parfaitement la boîte et assure un confort irréprochable au porté. Plus classique mais résolument sportive, la seconde joue sur la sobriété avec un cadran noir opalin et un bracelet en acier inoxydable. Trendy et intemporelle, la troisième version affiche, quant à elle, un cadran bleu satiné-soleil, ainsi qu’un bracelet en acier de trois rangs poli-satiné. Un design maison, signé du logo «Phi» étampé sur le dessus, signe les boucles déployantes de ces deux dernières.

Avec son fond de boîte plein et vissé en acier personnalisable, l’envers de la montre Clifton Club Quartz synthétise sa philosophie. Il accueille un écusson en forme de blason. Comme une carte de membre d’un club. Ce blason symbolise les valeurs associées à la noble idée du sport que défend depuis toujours Baume & Mercier : camaraderie, élégance, générosité, don de soi, courage, sens de l’effort, fair-play, beauté du geste et esprit d’équipe.

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ArchivesBlogEdito

We are Immortal

Photographer, Stylist, Creative Director and Editor: Dawn Collins @dawnpcollins @dawn_collins_photography
Clothes: Immortal @weareimmortal.fashion @stuart_trevor
Models: @thanos_adamopoulos and @skinnyt – both from London’s @prm_agency

« We are Immortal » clothes, a new fashion brand which has been started by Stuart Trevor, the founder and former CEO/Design Director of All Saints, Reiss and Bolongaro Trevor.

 

 

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ArchivesBlogNews de Mode

Edith & Marcel

Fini le bon vieux chausson de Papa. Au revoir la charentaise de Papy. Aujourd’hui on adopte sans hésiter la slippers d’intérieur Edith & Marcel.

La marque de slippers d’intérieur Edith & Marcel présente sa nouvelle ligne Couture totalement dédiée à la personnalisation. Elle est proposée en 2 versions : cuir d’agneau embossé à chaud (279€) ou chèvre velours rebrodé de fil d’or ou d’argent (299€). C’est un chausson qui réunit peausserie d’exception, attention au détail et noblesse des coloris.

Et pour ceux qui souhaitent se démarquer et affirmer leurs goûts, avec un modèle encore plus Prémium, la ligne Démesure est quant à elle réalisée sur commande à partir de peaux exotiques, de plumes ou de bijoux.

www.edithetmarcel.fr

 

 

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ArchivesBlogNews de Mode

KICKERS : Originale, Authentique … et Ecofriendly

Kickers revisite ses modèles iconiques et lance pour toute la famille sa ligne en tannage végétal déclinée en 5 couleurs à partir de 109 €.

Son tannage végétal est 100% naturel, anti allergénique et anti transpirant pour mieux s’épanouir au coeur d’un environnement respecté. Le tannage est le procédé qui transforme les peaux animales en cuirs souples et durables.
Il leur permet de résister à l’eau et de ne pas pourrir. La technique la plus répandue mondialement est celle du tannage au chrome, moins coûteuse et plus rapide que le tannage végétal, mais de plus en plus dénoncée. 85% des peaux tannées dans le monde sont travaillées avec des sels d’aluminium ou de chrome.
Ces produits chimiques sont très polluants et peuvent provoquer des allergies. Ce que gagne l’industrie en productivité et en rendement avec le tannage au chrome coûte en terme de qualité du produit et de qualité d’environnement.
Rares sont les fabriques qui utilisent encore l’ancienne technique, le tannage végétal, pour travailler les peaux. Le tannage végétal, est une peau animale qui est tannée au moyen d’une substance naturelle, le tanin, que l’on trouve dans l’écorce, les feuilles, les pépins, les racines ou encore dans la sève des végétaux. La partie de l’arbre choisie pour le tannage sera celle où les tanins sont le plus concentrés.

Selon le résultat de couleur ou de souplesse que l’on souhaite obtenir, on privilégiera certaines espèces végétales comme par exemple le chêne, le châtaignier, le mimosa ou l’acacia. Nos ancêtres de la préhistoire procédaient déjà de cette façon, ce qui fait du tannage végétal l’une des plus anciennes techniques.

Pour cette nouvelle collection, Kickers à donc choisi une technique eco responsable pour la ré édition de ces modèles iconiques, en adoptant une nouvelle gamme de couleurs: blanc cassé, jaune et noir pour les femmes ; camel et noir pour les hommes ou encore camel, rose ou jaune pour les enfants, cette nouvelle ligne en cuir bénéficie de multiples propriétés optimisant le bien-être du pied.

Retrouvez la collection à partir de fin janvier dans tous les points de vente Kickers et sur kickers.com

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ArchivesBlogLifestyle

Dormez Dormez Dormez!

Dormez! Allez, ce soir on décide de très bien dormir ! Pourquoi ce soir ? Parce qu’aujourd’hui est la 19ème Journée Nationale du Sommeil ! Alors on profite de cette journée pour se poser les bonnes questions sur l’état de nos oreillers, de nos couettes et de notre linge de lit et faire un état des lieux de ce que l’on peut trouver sur le marché des accessoires de literie.

Car bien dormir ne passe pas seulement par une bonne literie. Le reste aussi compte !

 

Se lover dans de beaux draps voilà un plaisir que l’on a tous. Si l’on veut du sobre, du sans chichis mais élégant et de qualité, on a l’embarras du choix avec la marque Bonsoirs. La start-up qui a fêté ses 1 an il y a quelques mois nous propose du linge de lit en percale de coton ou satin de coton dans des tons chics de bleu, gris, blanc, rayures tennis ou carreaux. Dormez dans des draps doux et frais.

https://www.bonsoirs.com

 

Si l’on cherche une parure plus travaillée, aux tons chauds et apaisants, la parure « Allure » signée Anne de Solène réchauffera votre chambre et contribuera à un faire un havre de paix. La marque de linge de lit haut de gamme propose ici une parure en satin de coton, aux détails chics, qui donnent envie de s’y glisser…Dormez dans un vrai cocon.

https://www.anne-de-solene.com/

 

Côté oreillers et couettes, vous êtes sensibles aux acariens ? Soyez rassurés, vous allez pouvoir mieux dormir grâce à la marque DODO qui a sorti deux nouveautés : l’oreiller et la couette Suprelle® Allerban®testés et approuvés par l’Association des Médecins AllergologuesLa fibre Suprelle ® de leur enveloppe apporte douceur, aération et confort absolu. Quant au traitement Allerban ®, il  les rend anti-acariens et antimicrobiens. Dormez en toute sécurité.

Que demander de plus ?

https://www.dodo.fr/

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PASHA DE CARTIER, l’édition noire

Partant de l’accord « fougère » classique qui souligne la majesté de la lavande, fraîche et lumineuse, contrastée par la profondeur boisée du patchouli, Pasha Édition noire, de Cartier, galvanise l’accord fougère originel de son parfum, d’un souffle de fraîcheur hespéridée.

Un sillage au fort pouvoir de séduction dont Cartier traduit le rayonnement à travers un flacon noir en édition limitée, godrons et serti des fameux trois anneaux, bijou emblématique de cette grande maison de joaillerie Française .
L’énergie graphique du capot godronné surmonté d’un cabochon. L’éclat doré pour les trois anneaux qui encerclent le capuchon. La minéralité du noir pour le flacon échancré d’une fenêtre mystérieuse où se miroitent des reflets mordorés à l’infini.

Une nouvelle version d’un classique de la parfumerie à découvrir dans cette version noire. Raffinée et moderne, capable de réinventer le classique à l’image de Cartier.

Pasha Édition noire – Édition limitée – Vaporisateur 100 ml

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Wilkinson, un retour aux sources

Et si c’était mieux avant ? En tout cas pour Wilkinson, le vintage est l’expression de l’héritage d’un savoir-faire traditionnel ancré dans l’ADN de la marque. Que l’on soit nostalgique ou à la recherche d’authenticité, depuis quelques années on assiste à un retour aux origines du rasage. Le vintage est devenu une tendance mondiale et transgénérationnelle. Tout le monde aujourd’hui veut retrouver la qualité des produits d’antan.

Et pour que chaque homme puisse vivre une expérience barbier chez lui, cette nouvelle gamme Classique Vintage propose deux rasoirs distincts certifiant un rasage traditionnel authentique accompagné d’un coffret de produits efficaces et de qualité barbier.

Le coffret Classic Premium contient un rasoir de sûreté qui garantit un rasage traditionnel de qualité, le tout sans aucune irritation. Il propose également 5 lames de sûreté ainsi qu’un savon à barbe dans son bol bleu étanche pour assurer une peau douce et bien soignée.

Le blaireau de fines soies indispensable pour bien préparer la peau au rasage, vient compléter cette combinaison de produits efficaces et de qualité barbier, pour une authenticité retrouvée.

 

Avec son look résolument « Vintage », le rasoir Classic Premium à ouverture papillon est doté de lames de sûreté pour un rasage particulièrement précis et sans aucune  irritation. Le manche en acier inoxydable et la finition chromée de cet objet, rappellent le matériel traditionnel utilisé par les barbiers jusqu’à la fin des années 60.

Le rasoir emblématique de Wilkinson avec ses 4 lames avec un revêtement en titane et diamant, se pare lui aussi d’un nouveau look vintage avec son manche à effet bois. Conçu pour les peaux sensibles, sa plaquette lubrifiante enrichie à l’Aloé Vera vous promet un rasage doux et confortable. Et pour une finition parfaite, le rasoir est également doté d’une lame de précision et d’un micro peigne intégré.

Grace à Wilkinson, retrouvez le plaisir d’un rasage à l’ancienne confortablement installé dans votre salle de bain.

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Les Bains: éternels et mythiques

Blakemag_Les Bains_facade

Les Bains font surgir par leur seul nom, tout un monde de vivantes inspirations et d’expériences inouïes, d’avant-gardes excentriques et de pionniers iconiques. Pour saisir l’esprit des Bains, il faut remonter le temps au point d’embrasser le présent de chaque époque. Jusqu’à la nôtre.
Les Bains Guerbois ouvrent en 1885 et deviennent aussitôt le temple parisien du bienêtre
et de la beauté où le Gotha et des artistes tels que, Manet, Zola, Renoir, Proust se retrouvent. 

2015, Les Bains se transforment en boutique hôtel 5* et ravivent le club et le Spa. Mais Les Bains ne se résument pas à un hôtel de luxe, un lieu d’émulsion sociale et artistique, un club culte de la nuit parisienne ou une néo brasserie chic. Ils proposent l’expérience d’un nouvel art de vivre, vibrant, connecté, ouvert sur le monde. Ils rassemblent tous les happy few en quête d’un lifestyle ultime à Paris. Ils ouvrent un espace singulier où se savoure la fête et se déploie la créativité. Parisiens et transculturels, historiques et inventifs, hybrides et chics, élégants et accueillants : institution séculaire, les Bains se transfigurent en coeur battant du nouveau millenium.

Le bâtiment est un chef d’oeuvre architectural, fruit d’un héritage aussi riche que varié. Créés en 1885, Les Bains Douches (ou Bains Guerbois) abritent les plus célèbres thermes privés de Paris. S’y croisent l’élite et la Bohême fin-de-siècle dépeintes par Marcel Proust, client assidu. L’immeuble a été conçu par l’architecte Eugène Ewald, qui a bâti la Préfecture de Police de Paris, face à Notre Dame, ou l’Église Saint François de Salles. Outre Les Bains, la Famille Guerbois crée et gère aussi le fameux « Café Guerbois », haut lieu de rencontre intellectuel et artistique immortalisé par Zola et Manet où, de Renoir à Monet, se retrouve le tout–Paris de la Belle Époque.

En 1978, l’immeuble se révolutionne. Le voici salle de concert rock, restaurant et nightclub: les Bains Douches. Il entre dans un nouvel âge d’or et dans la légende – institution culturelle et mondaine au centre de Paris, référence absolue d’un clubbing sublimé en art de vivre, épicentre mondial des médias, du spectacle et des arts.


De tous les pays, on vient s’y imprégner de son vibrant état d’esprit et de son lifestyle unique. Temple de la beauté et de l’art, paradis urbain de la fête toujours précurseur d’une mode, coeur battant de la nuit parisienne et de la culture internationale : pendant trois décennies, les Bains Douches rayonnent.


En 2010, des travaux sauvages entrepris par l’ancien gérant de la boîte de nuit mettent l’immeuble en péril et provoquent la fermeture des Bains. Afin de réinventer et sauver cette icône de la vie parisienne naît « La Société des Bains » sous l’impulsion de Jean-Pierre Marois, dont la famille est propriétaire du bâtiment depuis les années 60.
En janvier 2013, c’est le retour des Bains sur la scène internationale avec une Résidence d’Artistes éphémère initiée par Jean-Pierre Marois qui rend hommage à son ADN artistique. Ainsi, avant rénovation, ce monument épique se mue pendant trois mois en chantier fulgurant offert à la créativité en liberté. 

En 2015, s’ouvrent Les Bains du 21e siècle. Ils écrivent une nouvelle page de leur histoire.

Expression de sa renaissance, la métamorphose des Bains découle de trois projets de rénovation exceptionnels, signés Vincent Bastie pour l’architecture de la structure, Tristan Auer et Denis Montel/RDAI pour le design d’intérieur. Autant de talents, de styles, d’approches singulières, décuplés par l’envie de se réunir autour d’un lieu qu’ils adoraient déjà. De ces regards originaux s’est construite une vision commune, portée par
un enthousiasme à la hauteur de l’enjeu. Implantés au cœur de Paris, au 7 rue du Bourg l’Abbé dans le troisième arrondissement, Les Bains s’inscrivent au croisement du Marais médiéval, des Archives Royales et du moderne Centre Pompidou. Dans ce quartier central en rapide mutation se développent nouvelles galeries d’art et concept stores, restaurants bio et marchés alternatifs. 

Les Bains, c’est 39 chambres et suites cinq étoiles, une suite très rockstar en penthouse pour accessoirement y dormir, et un salon boudoir pour fermer les yeux. C’est aussi le restaurant Roxo et son bar, écrins culinaires français imprégnés de saveurs du monde, et bien sur le Club, avec programmation sur mesure de concerts, DJ Set et happenings divers.

Ici, le luxe se vit dans l’Histoire et, déjà, au futur. Cette effervescence urbaine offre aux Bains un terreau fécond où s’épanouir en fleuron de la vie parisienne car Les Bains ne dorment jamais.

Le lieu est conçu comme un cercle exclusif au confort ultime, à vivre et expérimenter dans sa totalité, une expérience contemporaine à la vibration diurne et nocturne. Il incarne la quintessence d’un certain Paris, une fusion de « l’ici » et de « l’ailleurs », un lieu hybride ouvert à tous les trend-setters passeurs de frontières. Les Bains forment une manière de club urbain à géométrie variable et aux frontières changeantes, avec lobby, restaurant, bar, lounge, salons, patios, suites, terrasses.

On pourra y déjeuner, goûter, dîner, souper, danser, faire salon, quasiment partout et avec des horaires très souples. Aux contributeurs permanents des Bains viendront se greffer ponctuellement les signatures de « special guests », dont l’âme et la voix se frottent de façon sensible à celle des Bains.

LES BAINS – 7 rue du Bourg l’Abbé – Paris IIIe

 

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