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Une BMW en road trip culinaire

La team Blake est partie en road trip gastronomique entre le Nord de la France et la Bourgogne avec pour véhicule le tout dernier X1 M35i xDrive de chez BMW, le SUV compact, pépite de la marque allemande.

Premier arrêt: le restaurant La Laiterie Lambersart près de Lille, tenu par le Chef Edouard Chouteau. Cette maison a 120 ans d’histoire,elle est une Institution gastronomique majeure et immanquable de la métropole lilloise, y sont passés déjà passé des chefs comme Ludovic VANTOURS (1984-2002), Steven RAMON et Benoit BERNARD (2002-2013) qui obtiendra une étoile au guide Michelin, puis Nicolas GAUTIER (2013-2017), Corentine LEDUC (2017-2019). Aujourd’hui pour Edouard Chouteau tout y est à refaire, l’étoile est à reconquérir, et il a carte blanche.

La salle de restaurant est grande, divisée en plusieurs espaces dans le L que forme La Laiterie, nous dînons dans la partie qui a le plus de hauteur sous plafond. Les tables sont bien séparées ce qui laisse une véritable intimité pour vivre le repas. Le ton principal est le blanc, une façon de mettre en lumière ce qui se passe dans l’assiette. L’équipe est complète, en salle le rythme est bon et les plats s’enchaînent en laissant le temps de discuter et d’apprécier chacun des temps du dîner. La cave, très fournie, offre des pairings riches : des grands classiques, aux natures en passant par la bière. La cuisine d’Edouard Chouteau est une cuisine française, qui sait jouer des grandes techniques classiques avec de l’inventivité et ayant à coeur d’être dans les marqueurs fort de la région mais aussi de l’AND de la maison qui était une ancienne laiterie, donc place belle aux produits laitiers, crème, fromages, beurres, …

Pour le dîner il nous est proposé 3 menus : produits d’exceptions,  végétale et terre-mer. Nous ferons une diagonale qui comprendra un mélange des 3 pour explorer au maximum les talents du Chef. Parmis les amuse bouche Edouard Chouteau revisite le grand classic moule-frite avec briaud, il aime jouer avec le Terre-mer comme avec le veau caviar, plein de peps et de saveurs mêlées et équilibrées. Dans un registre de “cuisine classique” la queue de langoustine tapée façon Gagnaire, superbe de maîtrise. Pour le végétal, l’asperge verte, concombre au barbecue et sauce tigre explose de saveurs, une véritable réussite qui mêle les influences tout en respectant les saveurs de chaque produits, pour le plus grand plaisir de nos papilles.  La sole au lard de colonnata fumé au foin avec une cuisson maîtrisée propose un terre mer subtil.

La Tourte de bœuf au foie gras achève de démontrer que Edouard Chouteau maîtrise les codes de la cuisine française. Comment finir un repas à La Laiterie sans prendre de fromages, impossible, et cela est un régal mais pour une fois je m’attarderais sur la salade et son assaisonnement, qui apporte une très belle fraîcheur, et surprend avec  ses notes de jus de viande et ses chips de pain. Comment ne pas vous parler des desserts du chef pâtissier Benjamin Caunois …surtoutcelui au miel préparé avec les miels de ruches de La Laiterie, un délice d’élégance et de saveurs sans tomber dans le trop sucré, et le baba, tout en légèreté, je sais ca peut surprendre mais on est dans l’aérien, ce qui est nécessaire pour une fin de repas.Un régal à travers toutes ces saveurs de la région Nord et de France. Edouard Chouteau montre tout son talent et son inventivité galopante. Une cuisine à découvrir et redécouvrir sur toutes les saisons.

Interview de Edouard Chouteau – La Laiterie Lambersart

Comment en êtes-vous venu à la cuisine ?

J’ai grandi dans l’hôtel de mes parents j’avais l’envie de faire comme mon père faire plaisir aux gens, il y avait quelque chose de magique dans la cuisine. Tout d’abord j’ai fait un stage chez mon oncle qui m’a dit va faire des grands restaurants j’ai alors commencé l’apprentissage en faisant des stages dans des restaurants étoilés à Lorient.

Quel a été votre parcours d’apprentissage ?

Mon premier stage c’était chez Henri et Joseph j’ai fait mon apprentissage là-bas puis au bristol avec Éric Fréchon avec une brigade de fou Henri et Joseph on était trois alors que là on était cinq il y avait Florian enfin Mario Colin Foulquier Nawel que du beau monde et puis j’ai été extra espace extra chez Paul Berger à l’Arpège, je suis passé aussi chez qui Kika d’Agosto en Espagne.  Mais ma grande envie c’était d’aller chez Gagnaire. Ensuite je suis allé à Courchevel, pusi au Balzac chez Gagnaire, J’y ai tout adoré l’équipe le matériel c’était exceptionnel. Gagnaire, vraiment, c’est super complet c’est tout ce que j’aime on ne jette rien la brigade est soudé à beaucoup de niveau il y a beaucoup de plaisir en cuisine c’est géré comme une maison de patron c’est le grand luxe beaucoup de produits incroyables tout le temps en mouvement rien de figé c’est une cuisine vivante avec du risque de l’audace et avec beaucoup d’énergie.

Après le bal après le Balzac j’ai fait le tour du monde je ne savais pas trop ce que je voulais faire je suis passé à New York je suis allé au Portugal mais aussi à Dakar il y avait une opportunité au Clarence pour rejoindre Christophe pelé en tant que sous-chef je l’ai saisi. Christophe appeler ce sont des jeux de textures incroyable et en cuisine c’est très décomplexé un festival de produits j’ai fait des services de 20 couverts dit table sans qu’une assiette ne se ressemble, Christophe appeler c’est un artiste, personne personne ne vit la cuisine comme lui.

Puis j’ai eu la direction du pavillon de la reine avec Mathieu Paco c’était une opportunité folle je n’avais jamais été chef je n’avais jamais fait d’ouverture je n’avais jamais embauché d’équipe une magnifique opportunité.

J’ai quitté le pavillon de la reine pour avoir plus d’espace pour l’opportunité de faire pleinement ce que je voulais, faire ma cuisine.

Comment êtes-vous arrivé à la Laiterie ?

Pour la laiterie j’ai été embauché par une chasseuse de tête qui m’a convaincu du potentiel de la maison, que le projet était excitant, parce qu’à la base je ne voulais pas partir de Paris. Ici il y a une histoire qui me parle et y avait tout à faire.

La laiterie c’est 120 ans d’histoire c’est une institution  qui parle à tous les lillois, donc il y avait une grosse attente c’était une nouvelle page à écrire comme au Pavillon de la Reine, mais là j’étais aux commandes. On m’a donné carte blanche, il y avait tout à refaire : une équipe à monter, jusqu’à racheter de la vaisselle. Mais il y a ici une cave exceptionnelle, une bonne base pour un restaurant (rire).

Quelle est la nature de votre cuisine à la Laiterie ?

Ma cuisine…ce sont d’abord de beaux produits, aller à la recherche de petits producteurs locaux, raconter quelque chose avec des goûts réconfortant, mais aussi se faire plaisir en cuisinant à la laiterie je veux que cette maison soit cohérente alors je travaille le lait évidemment mais surtout je souhaite être avec des produits locaux du bœuf de la volaille de la région mettre en avant terroir. Dans la région il y a un vivier d’artisans précieux, le terroir nordique est riche et singulier.

On bosse beaucoup avec une petite ferme du Pont d’Achelles, elle fait des petits pois, des asperges, des fraises, des framboises, mais aussi des morilles exceptionnelles. Ce que j’aime le plus c’est de travailler les fruits de mer et le gibier, le végétal,… J’aime la diversité, en fait, à chaque saison on réinvente le métier de cuisinier.

Quel est votre accord boisson et plat préféré :

J’aime utiliser le vin, l’alcool ou les eaux de vie en cuisine, ça ajoute de la fraîcheur mais aussi de la profondeur et une vivacité. Je préfère rajouter de l’eau-de-vie à une sauce que des épices, ça ramène une autre dimension.

Y a t il une volonté vers l’étoile Michelin ?

Mon ambition pour la Laiterie c’est de faire vivre la Maison et de prendre du plaisir. j’ai toujours travaillé dans des maisons en lien avec le Michelin… nous on fait ce qu’on sait faire, on va de l’avant, pour le reste autour, on n’y peut rien.

Notre voyage se poursuit direction la Bourgogne, à Courban, entre Troyes et Dijon.

Le Château de Courban fait hôtel, spa et restaurant. Dans la petite ville de Courban, ainsi que dans la région, les plus grosses demeures de chaque cité était nommée Château. C’est ainsi que au détour d’une rue du village de Courban l’on devine derrière un portail, une grande maison de maître. 

Le domaine est splendide avec ses jardins, ses différentes dépenses pour différents logements, dont un pigeonnier tout à fait romantique pour les nuits étoilées. Mais aussi des points d’eau, un couloir de nage, un spa Nuxe, et le chien du maître de maison pour veiller sur les lieux.

Le restaurant offre deux espaces, dont le premier avec la cheminée pour débuter ou finir le repas au coin du feu, et la salle principale qui jouit d’un beau volume. Les tables sont bien espacées pour offrir une bulle apaisante et vivre son repas sans gêner les tables d’à côté. L’équipe en salle est très prévenante, la sommelière accompagne avec tacte tout le repas. On est clairement sur une maison qui va chercher l’étoile.  Le repas commence sur de jolies amuses bouches où jeux de couleurs, textures et saveurs annonce un dîner qui aura des influences multiples venant de France, mais aussi des pays arabes et de l’Asie. Les saveurs sont toujours très justes et équilibrées, le poisson est particulièrement mis en avant avec un travail sur la maturation de la chaire, qui marque son goût et lui apporte une salinité naturelle, c’est très bien maîtrisé.

La langoustine soutenue par la vanille et la patate douce est un terre-mer subtil et très réussi. D’ailleurs tous les jus et réduction sont goutû à souhait et révèle les plats qui sont très lisible, en bouche on sait ce qu’on mange. La volaille de Racan au morille de saison est superbe également, un sans faute, avec des pairings vins classiques mais justes. Le plateau de fromage arrive avec du miel sur son rayon, un délice ! Une belle expérience culinaire qui devrait bientôt se voir glorifiée.

Interview de Maxime Lesobre – Le Château de Courban

Pourquoi avoir choisi la cuisine ?

Mes parents étaient bouchers, et avant mon père était à Rungis et grand spécialiste du gibier. J’étais pas fait pour les études, j’avais trop d’énergie à dépenser (rire)…je suis portugais de par ma mère, j’avais donc 2 grands- mères qui cuisinaient très bien l’une française et l’autre portugaise, deux belles écoles de cuisine. Et puis la cuisine c’est les moments joyeux où l’on se réunit et j’aimais ça. Donc la cuisine a pris le dessus très vite. J’ai fait quelques stages et des chefs m’ont pris sous leurs ailes. Mon avantage c’était qu’avant d’arriver en cuisine je savais travailler les carcasses de viandes grâce à  mon père. J’ai fait un BEP cuisine à Ferrandi Versailles, avec de très bons profs donc Frédéric Anton, qui est MOF aujourd’hui.

J’ai fait beaucoup d’heures et j’ai été bien formé. J’ai été mordu totalement. Puis un BP, Bac pro, avec que de la cuisine. Mes parents ont une boucherie dans le 78 à Saint Quentin en Yvelines, petite ville sympa.

Quel a été votre parcours ?

Première maison Le Laurent, j’ai fait la réouverture du Royal Monceau en 2010, puis la Grande Cascade pendant 2ans, avec le Chef Robert, probablement m’a plus grosse influence, ses auces, ses jus, puis Alain Passard, Michel Rostang, j’étais sous-chef tournant, puis retour à la grande cascade, et ouverture à la Réserve, Jérôme Banctel, grand technicien,

Avez-vous un chef pâtissier avec vous ou c’est aussi vous les desserts ?

Cheffe Pâtissière,  Sae Hasegawa, on fait des essais tout le temps, je viens donner des indications mais j’aime quand ce sont les saveurs qui explosent surtout sans trop de sucre, un avis qu’on partage.

Comment cela a commencé au Chateau de Courban ?

Je suis là depuis février mais en vérité, je suis là depuis octobre. J’ai fait venir mon sous-chef, Lilian Ardouin. On reprend une maison, on y va étape par étape, on peut pas tout révolutionner d’un coup. Là c’est la 2ème carte. Au début on a perdu 5 personnes dans l’équipe et là j’ai une bonne équipe de gens qui donnent beaucoup. Je suis fier de ma team, que des petits jeunes qui s’investissent.

Le petit déjeuner c’est tout maison, brioche, quiche, cake,…

Le Château de Courban a été un restaurant étoilé pendant des années. Aujourd’hui il y a tout à faire et je vais faire ma cuisine. L’important c’est l’esprit d’équipe. Je suis ici pour montrer l’exemple sur l’esprit d’équipe faire du gourmand et du goût.

Quelle est votre cuisine ?

Ma cuisine c’est la cuisine du produit, sublimer le produit sans trop le dénaturer. Il y a pas de règles, je mélange les influences japonaises ou encore africaines, et bien sur du français cela reste notre base, cela reste les 90% de ce qu’on fait? Ici on fait beau avant de faire beau. Avant j’en mettais peut être trop et mon passage avec Alleno m’a appris ça, se concentrer sur l’essentiel. On concentre le goût du produit, pour faire un jus on met 2 à 3 jours : on déglace et on laisse mijoter longtemps…pas trop de sel, le sel vient du produit. J’aime jouer sur les acides, le gras, faut que cela titille les papilles. Je fais un vinaigre de shiso, qu’un ami japonais m’a appris, la cuisine c’est le partage, le savoir. Je dis à mes équipes de tout noter, je donne mes recettes. Il faut aller à l’essentiel, ne pas dénaturer le produit, sublimer le produit et que ce soit lisible dans l’assiette.

Quel est le produit que vous préférez travailler ?

La truffe (rire) ! J’adore les champignons, les poissons. La lotte on l’a fait maturer, comme une viande, j’ai suivi la méthode d’un chef australien qui a lancé ça. Du coup on ne met pas de sel sur cette Lotte et ses saveurs se sont concentrées. J’ai envie de faire des charcuteries de poisson, je viens d’acheter une ventrèche de thon et on va en faire un jambon. Bien sûr on travaille les produits de saison, les produits on va les prendre là où ils sont. On fait que des poissons de ligne, avec des petits bateaux. Faut valoriser nos paysans. Je ne négocie pas les prix mais j’attends de l’excellence. Nous on travaille avec un volailler extraordinaire,  en Touraine, Maison Bellorr, ils étaient au Michelin cette année, ils ont un petit élevage avec une race ancestrale, une des plus vieilles volailles de France, ils font pigeons, des escargots, des asperges bio,…du top.

Le superbe SUV compact de BMW !

Pour rallier ces deux lieux d’exception nous avons découvert la toute dernière merveille de chez BMW, le SUV compact, X1 M35i xDrive : Puissance, Élégance et Technologie de Pointe.

Lorsque l’on voit le tout nouveau X1 M35i xDrive, ce qui saute aux yeux c’est son format compressé et agressif, on sent que la bête sommeil. Ce véhicule allie puissance, élégance et technologie de pointe. Voici pourquoi le BMW X1 M35i xDrive est le véhicule parfait pour ceux qui ne veulent faire aucun compromis.

Un Design Audacieux et Raffiné

Sa calandre emblématique à double haricot, plus large et plus agressive, est complétée par des phares LED adaptatifs et des feux arrière à LED distinctifs, conférant au véhicule une allure moderne et sophistiquée. Les lignes sculptées et les contours musclés ajoutent une touche de sportivité qui ne laisse personne indifférent.

Les pare-chocs avant et arrière sont spécifiquement dessinés pour la version M, intégrant des prises d’air plus larges et des diffuseurs qui accentuent l’aérodynamisme et la performance et lui donnent un look sportif. Les jupes latérales et les rétroviseurs extérieurs au design M renforcent l’aspect dynamique du véhicule.

Les jantes en alliage léger M de 20 pouces, avec un design exclusif et des pneus haute performance, non seulement ajoutent à l’attrait visuel du X1 M35i xDrive, mais améliorent également sa tenue de route et sa maniabilité. Le toit ouvrant panoramique, en option, offre une vue dégagée sur le ciel, ajoutant une touche de luxe et de liberté à chaque trajet.

Un Intérieur Luxueux et Modulable

À l’intérieur, le X1 M35i xDrive offre un environnement luxueux et technologiquement avancé. Les matériaux de haute qualité, comme le cuir Dakota et les inserts en aluminium, créent une ambiance élégante et confortable. Les sièges sport M, chauffants et réglables électriquement, assurent un soutien optimal, même lors des trajets les plus longs. Ces sièges sont dotés de multiples réglages électriques, y compris le réglage lombaire à quatre voies, permettant de trouver facilement la position de conduite idéale. Les renforts latéraux réglable eux aussi maintiennent fermement le conducteur et le passager avant en place, même lors des virages serrés, offrant ainsi une expérience de conduite plus engageante et dynamique.

Le X1 M35i xDrive se distingue également par sa modularité exceptionnelle. Les sièges arrière sont rabattables dans une configuration 40/20/40, offrant ainsi une flexibilité maximale pour transporter des passagers et des charges volumineuses. Le volume du coffre, déjà généreux, peut être augmenté de manière significative, facilitant le transport d’équipements de sport, de bagages ou d’achats importants.

Technologies de Pointe et Connectivité

Le tableau de bord est équipé du dernier système d’infodivertissement iDrive 8 de BMW, avec un écran tactile de 10,25 pouces et un affichage tête haute. Ce système intuitif permet un accès facile à la navigation, aux applications connectées et à vos médias préférés. La compatibilité sans fil avec Apple CarPlay et Android Auto assure une intégration transparente de votre smartphone, vous permettant de rester connecté en toute simplicité.

Les systèmes d’assistance vocale et gestuelle améliorent encore l’expérience utilisateur, rendant les commandes intuitives et sécurisées. Le système de sonorisation Harman Kardon, disponible en option, transforme l’habitacle en une véritable salle de concert, offrant une qualité audio exceptionnelle pour tous les occupants.

Des Performances Époustouflantes et une Motorisation M que l’on aime

Sous le capot, le BMW X1 M35i xDrive cache un moteur quatre cylindres turbo de 2,0 litres, capable de développer 306 chevaux et 450 Nm de couple. Couplé à une transmission automatique à huit rapports et à la transmission intégrale xDrive, ce moteur offre une accélération fulgurante, permettant de passer de 0 à 100 km/h en seulement 5,4 secondes.

Le système xDrive répartit intelligemment le couple entre les roues avant et arrière, garantissant une traction optimale et une stabilité exceptionnelle, quelles que soient les conditions de conduite. La suspension M Sport, combinée à la direction sportive variable, offre une réactivité et une précision remarquables, transformant chaque trajet en une expérience dynamique et engageante.

Système de Freinage Avancé

Le BMW X1 M35i xDrive est équipé d’un système de freinage hautes performances qui assure une puissance de freinage exceptionnelle. Les freins à disque ventilés, équipés d’étriers de frein M Sport en bleu avec le logo M, garantissent une dissipation optimale de la chaleur et une réponse précise, même lors des situations de conduite les plus exigeantes. Le système de freinage antiblocage (ABS), associé à la répartition électronique de la force de freinage (EBD) et à l’assistance au freinage d’urgence, assure une sécurité maximale en toutes circonstances.

Sécurité et Assistance à la Conduite

Le X1 M35i xDrive est équipé des dernières technologies de sécurité et d’assistance à la conduite. Parmi elles, le régulateur de vitesse adaptatif avec fonction Stop & Go, l’assistant de maintien de voie avec retour actif, la surveillance des angles morts et le système de freinage d’urgence autonome. Ces fonctionnalités avancées travaillent de concert pour vous offrir une conduite sereine et sécurisée.

Le système Parking Assistant Plus, incluant une caméra de recul haute définition, des capteurs de stationnement avant et arrière, et l’assistant de stationnement autonome, rend le stationnement simple et sans stress. Le système de caméra 360 degrés offre une vue panoramique autour du véhicule, facilitant les manœuvres dans les espaces restreints.

Une Expérience de Conduite grisante

La combinaison de la puissance brute, de l’élégance et des technologies de pointe en fait un véhicule qui offre une expérience de conduite sportive et rassurante à la fois. On peurt s”amuser tout en se sentant toujours très en sécurité et en maîtrise. Que vous naviguiez en ville ou que vous partiez pour une escapade sur route, le X1 M35i xDrive vous offre des performances sans compromis et un confort inégalé.

Conclusion : Le Choix Idéal pour les Conducteurs Exigeants

Le BMW X1 M35i xDrive n’est pas simplement un SUV compact; c’est une déclaration de style, de performance et d’innovation. Un SUV compact mais aussi un véhicule de luxe, avec l’ADN sportif qui caractérise la gamme M de BMW.

Un gardien du temps, Le Chrono type 20, Flymaster n°73 de Auricoste

Pour garder un œil sur le temps lors de cette cavalcade gustative, Auricoste nous a prêté un chrono de sa gamme, une montre parfait pour aller avec l’aspect sport de la BMW, et pour ce weekend à travers les régions de France.

Auricoste est une marque française, depuis 1854, spécialisée dans le domaine des chronomètres de marine. Auricoste est intimement liée à la vie aéronavale française. Son histoire lui confère un statut particulier dans l’univers horloger ou beauté et rigueur du mécanisme sont les maîtres mots. Ses chronographes sont considérés comme des instruments de mesure de choix par les spécialistes et amateurs de mécanismes horlogers dans le monde entier.

Ses performances lui permettent d’équiper les armées navales, aériennes et terrestres en France comme à l’extérieur de l’hexagone. Nos outils de mesure, nos différents modèles sont conçus en vue d’une robustesse et d’une lisibilité parfaite pour résister aux situations les plus extrêmes.

La type 20

En 1954, Auricoste crée et développe le modèle type 20 dont la fonction « flyback » devient une norme imposée par le Ministère français de la Guerre. Plus de 2000 chronographes sont livrés aux différentes forces françaises. A l’époque le Ministère de la Guerre, imposant à ses pilotes d’aéronavales d’être équipées de chronographes dotés de la fonction “retour en vol“ également connue sous le nom de “flyback”. Cette complication à pour fonction de permettre aux pilotes de mesurer des intervalles de temps successifs en une fraction de seconde, rendant inutiles les fastidieuses opérations répétitives des 3 étapes, stop, remise à zéro et start habituelle. 

Un boîtier de 39,5mm et des aiguilles recouvertes de superluminova, pour être lues même de nuit, ainsi que deux chronos dans le cadran. La glace hésalite a été choisie pour éviter les bris de verre.

Article réalisé par Alexis Dumétier

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Le Bulgari Hotel : l’excellence Italienne au cœur de Paris

Le Bulgari Hotel Paris est la dernière création de la collection Bulgari Hotel & Resorts qui compte déjà des hôtels à Milan, Bali, Londres, Pékin, Dubai et Shanghai, auxquels s’ajouteront prochainement ceux de Rome (2022), Moscou (2022), Tokyo (2023), Miami (2024) et Los Angeles (2025). Au cœur du célèbre Triangle d’Or parisien, le Bulgari Hotel Paris est une expérience à part entière aussi bien pensée pour les visiteurs de la ville que pour les Parisiens. Rompant avec les codes traditionnels de l’architecture parisienne, l’élégant bâtiment du Bulgari Hotel Paris enrichit le 8ème arrondissement par son style contemporain.

À l’instar de tous les établissements Bulgari Hotels & Resorts, le Bulgari Hotel Paris a été conçu par le cabinet d’architecture italien Antonio Citterio Patricia Viel. Les espaces intérieurs et extérieurs ont été pensés avec le même souci du détail et la même précision accordés à une création Bulgari, soulignant les codes propres aux établissements développés par la Maison de joaillerie romaine. Le Bulgari Hotel Paris propose 76 chambres, dont 75 % sont des suites, la plupart disposant de terrasses et de loggias. Chaque chambre a été conçue comme un véritable appartement privé, meublé avec soin de marques de mobilier de luxe de la plus haute qualité. Les œuvres d’arts et portraits de célébrités proches de la Maison Bulgari ajoutent la touche de personnalité caractéristique des Bulgari Hotel & Resorts.

Perché sur le toit de l’édifice, le Bulgari Penthouse marque l’apogée de cette philosophie. Sur deux étages et avec une surface de plus de de 1000 m2 dont 400 m2 d’espaces interieurs et 600 m2 d’extérieur, le Bulgari Penthouse dispose d’un jardin suspendu entièrement aménagé et arboré de plantes méditerranéennes et d’arbres fruitiers qui offre une vue panoramique sur les monuments emblématiques de la capitale française.

 Le point culminant de l’offre culinaire sera « Il Ristorante – Niko Romito », par le Chef aux trois étoiles Michelin, Niko Romito, qui a élaboré ce concept pour tous les Bulgari Hotels & Resorts, mêlant cuisine italienne classique et moderne, et misant sur les ingrédients essentiels de la culture, de l’élégance et de la vitalité du Made in Italy.

Adjacent au restaurant, le Bulgari Bar est un lieu où s’exprime toute la générosité et l’élégance de l’esprit de la Maison. Ouvrant sur le jardin, Le Bulgari Bar est appelé à devenir l’une des destinations de choix de l’Ouest parisien. Situé juste à côté, le Lounge – avec ses fauteuils profonds, son imposante cheminée et son plafond inspiré d’une minaudière Bulgari – se prêtera à toutes les retrouvailles.

S’étendant sur 1300 m2 et deux niveaux, le Bulgari Spa du Bulgari Hotel Paris offrira lui aussi une expérience inédite grâce à sa piscine de 25 mètres, l’une des plus grande parmi les hôtels de luxe parisiens. L’espace fitness doté des dernières technologies et des méthodes d’entraînement du Workshop Gymnasium, créées exclusivement pour Bulgari par Lee Mullins, inclut également un studio d’entrainement privatif.

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Pasco, le restaurant de la collection : Maison Guy Martin

 

 

Pasco, se situe dans le quartier de la Tour Maubourg, faisant l’angle dans un coin paisible et face aux Invalides. C’est ici que le Chef Guy Martin (Grand Véfour) inaugure la première page d’une belle collection : Maison Guy Martin : « Des tables de cuisiniers, avec une identité propre. Et pour chacune, la volonté de témoigner de l’âme d’un quartier.».

 

 

 

Le restaurant Pasco propose une cuisine française, travaillée avec soin, avec de bons produits et surtout, une cuisine généreuse.

Assis dans ce restaurant qui est particulièrement au calme, dans cette capitale agitée qu’est Paris, les tables ne se touchent pas et laissent à chacun le plaisir de jouir de ce moment de déjeuner ou de dîner, sans être collé à son voisin ; on en oublie le temps du repas où on est ! « C’est presque une adresse de Province en ce qu’elle a de chic et serein. » se réjouit le Chef.

La décoration du restaurant reprend les codes d’une tente napoléonienne, jusqu’au détail d’une lampe à huile sur la table. Le restaurant bénéficie d’un beau volume baigné de lumière qui est apporté par de grandes baies vitrées, qui invitent à la contemplation des Invalides.

C’est Katherina Marx qui signe la décoration du lieu : « Je voulais quelque chose d’élégant mais qui reste simple et chaleureux, je ne voulais pas d’un décor intimidant ou qui prenne le pas sur la compagnie que l’on partage.», confie le Chef. « Pasco, c’est une table conviviale, d’affaires ou de copains selon, pas d’apparat.».

Confortablement installé, au calme, on peut donc ici se concentrer sur la conversation et son assiette : cuisine du marché, aucun compromis sur les produits, et toute une brigade formée au Grand Véfour.

Pasco est fidèle aux principes du Chef : « Travailler chaque assiette avec la même passion et pour chacune, offrir un voyage immobile.”

Du coup, il nous est proposé une carte courte mais où chacun peut trouver de quoi ravir ses papilles. Les plats sont généreusement servis. Toutes les exécutions de plats sont soignées avec le respect de la découpe, des cuissons, que ce soit les viandes ou les poissons, toutes arrosées de jus concentrés. A l’arrivée, c’est une cuisine de marché succulente dont on sent l’ascendant étoilé.

 

Des plats traditionnels comme les oeufs pochés côtoient de subtiles idées pleines de fraîcheur comme la raviole de crevettes et mangue dans un bouillon de citronnelle et de gingembre qui montre , à elle seule, la qualité d’exécution de la brigade en cuisine. Difficile de passer à côté de la très belle poitrine de cochon fermier divinement tendre et à la cuisson parfaite, qui laisse place au moëlleux et au goutû de cette viande, relevé délicatement par un laqué d’épices douces, sobrement accompagnée d’une purée d’Agria.

 

Le tout est servi en salle par une équipe attentive et discrète.

Pour ce qui est de la cave, le menu offre une belle sélection courte de vins au verre qui permet de créer des accords satisfaisants avec le menu : un joli Viognier du domaine Montrose, sec sur des notes de miel et de noix, un médoc du château Haut Couloumey tout en violette et fruits noirs avec des tanins fraîchement boisés pour soutenir la poitrine de cochon par exemple.

Cette Maison Guy Martin s’inscrit dans l’ADN du Chef. On retrouve sa signature généreuse et conviviale, un attachement au terroir et ce soupçon d’audace.

Et ce qui est remarquable dans cette adresse, c’est que malgré tout le soin apporté à la cuisine et aux services, ainsi qu’à la sélection des produits, le prix des menus est très appréciable : Menu déjeuner à partir de 26 €, Menu dîner à 31 € et 36 €.

Une belle adresse parisienne pour un beau moment de cuisine et de sérénité !

 

Pasco – 74, Boulevard de la Tour-Maubourg, 75007 Paris – Téléphone : 01 44 18 33 26

Article écrit par Alexis Dumétier

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ArchivesGastronomieMagazine

Le Louis XVI : une adresse à ne pas manquer

Le louis XVI est un bistrot chic avec undécor soigné et chaleureux; il possède un bar en angle large et accueillant, avec une équipe au petit soin. Côté cuisine on penche vers la bistronomie, avec des produits sélectionnés avec soin et des accords de saveurs bien pensés.

Que l’on débute avec le saucisson simple, efficace et particulièrement bon ou une andouille pickles de betteraves, nos papilles disent : “oui !”. Les produits sont tant que possible BIO ou venant de producteurs d’exceptions (une pensée émue pour la canette de Challans, rare et savoureuse).

Les cuissons des poissons ou des viandes sont faites avec justesse. Le paleron de bœuf patate dans sa simplicité bistrotière la plus éblouissante est là pour en témoigner. Jusqu’aux fromages les surprises et les saveurs valent le détour, comme ce Brie noir de la ferme sainte Colombe qui est proposé, accompagné avec une bière blanche corse, parfait.

Guillaume qui s’occupe de la salle est l’âme de ce lieu, il vous guidera sur les plats et encore plus sur sa cave qui regorge de trouvailles. Ils ont un large choix de vins de France, étonnants, déroutants mais aussi succulents. Guillaume sait trouver le vin qui magnifiera le plat tout en réveillant vos papilles à chaque gorgé. Bref allez y les yeux fermés et laissez vous guider.

Le bistrot des amoureux des vins. Un lieu convivial où vous serez servi du petit-déjeuner jusqu’au souper. Ce restaurant qui jouxte bien des théâtres est en plus le lieu parfait pour se régaler après une bonne pièce (le restaurant ferme à 23h30). Le Louis XVI qui a fait peau neuve récemment est un restaurant à faire et à refaire absolument.

Le Louis XVI, 47 Rue des Mathurins, 75008 Paris, France, Tel : +33.01.71.26.54.85

www.lelouis16-paris.fr

Article écrit par Alexis Dumétier

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ArchivesBlogLifestyle

The butchers of Paname par Alexis Dumetier

Le restaurant où déguster de la bonne viande à Paris: The butchers of Paname.

Ce nouveau restaurant ouvert en plein coeur de Paris, dans le quartier Saint-germain, est un lieu de gastronomie où le travail de la viande est élevé au rang d’art.

A l’origine de ce restaurant, une passion pour la viande et le vin, partagée par Laurent Carpentier, Philip Gaskiewicz, Nicolas Gaulandeau et Jean-Marc Schmidt qui s’unissent dans un même élan pour faire vibrer nos papilles.

Laurent et Philip sont deux amoureux de la viande qui se sont connus à Rungis il y a 20ans. Ils ont alors décidé de monter une affaire. Jean-Marc s’interesse aux vins et aux hommes qui le font. Il aime particulièrement la Bourgogne, le Languedoc, la Vallée du Rhône, et compose avec Laurent une cave riche de belles appelations et de quelques beaux millésimes.

Pour orchestrer ces explosions de saveurs gustatives et olfactives, Laurent et Philip ont choisi Nicolas Gaulandeau, qui n’a mis que 30 minutes pour accepter de participer à l’aventure The Butcher of Paname.

Ici, le maître mot c’est le PLAISIR. Plaisir de vivre, de manger et de recevoir.

C’est un pari réussi: l’accueil de Jean-Marc et de l’équipe de The butchers of Paname est convivial. Le lieu est chaleureux et au rez-de-chaussé nous avons vue sur les cuisines. Le chef Nicolas Gaulandeau dispose de magnifiques viandes maturées maison, de légumes de saisons évidemment et selon l’arrivage. Les cuissons sont très justes et laissent la part belle aux produits. Le Chef voulait à tout prix explorer les techniques de fumaison, c’est chose faites puisqu’il dispose d’un fumoir dans sa cuisine. Après avoir dégusté l’immanquable assiette de fumaisons maison qui mélange canard, bœuf, porc, l’on redécouvre avec joie qu’une fumaison peut être délicate, moelleuse, goûtue…De quoi bien attaquer le repas…

Pour la suite Nicolas Gaulandeau, passé par Laurent à l’époque de Braun et Bessoudo, Apicius et plus récemment le Petit Champerret, excelle à tout niveau avec pour seul désir le respect du produit. Je vous recommande la côte de bœuf polonais, maturée maison : 59 euros pour 1 kilo à partager ou pas… Et l’expérience culinaire se vit jusqu’au dessert, avec pour exemple le chessecake sans cuisson du chef : léger, oui léger, savoureux et qui conclut le repas avec ce qu’il faut de touches sucrées et de finesse.

Pour finir le repas, direction la cave de The butchers of Paname, où un fumoir aux airs de club anglais vous accueille sous les voûtes historiques qui ont étés témoins de la signature de la devise française: liberté, égalité, fraternité par Maximilien de Robespierre. Parfait pour se prélasser après un repas gargantuesque.

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Interview du Chef Nicolas Gaulandeau.

Qu’est ce qui vous a amenez à la cuisine ?

Ma mère est un fin cordon bleu, nous avions table d’hôtes autour de la truffe, j ai baigné dans un coté rablaisien….BAC litteraire, BTS et après j ai appris dans les cuisine.

Quel est votre parcours ?

Un premier tour parisien pendant 4ans, apres j ai eu des affaires à Biarritz et vers Blois. Puis retour à Paris au Petit Champeret.

De qui avez-vous le plus appris ?

Avec Philippe Braun quand Joël Robuchon faisait la carte, très grosse école. Tous les soirs je rentrais chez moi en ayant appris quelque chose. C’était intense.

Qu’est-ce que vous preferez travailler ?

Je préfère faire les jus de viande, c’est technique, c’est pas ce qu’on croit. Ce que je préfère le lièvre à la royal façon sénateur Couteau, les vieilles recettes bourgeoises j’aime bien ça. Pour la présentation et la technique je serais plus Antonin Carême, c’est plus glamour.

Ici il n’y aura jamais de fruit de mer, ni de poisson?

Je mets toujours un terre-mer à la carte, et celle-ci change tous les trois mois.

Comment élaborez-vous les recettes ?

Seul et après en concertation avec mon équipe; mais coller aux saisons, c’est le plus important.

Une découverte cette année ?

Oui, le fumoir. Je m’amuse comme un petit fou. J’explore à fonds. Je suis allé jusqu‘a 6 bois differents.

Merci Nicolas Gaulandeau.

Si j’ai un dernier conseil à vous donner : Foncez-y! Pour moi c’est devenu LE restaurant où déguster un beau et bon morceau de viande à Paris. 

The Butchers of Paname – Adresse : 9 Rue de l’École de Médecine, 75006

Ouvert: du mardi au samedi et le lundi soir. Fermé: dimanche – Téléphone : 01 42 39 99 49

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