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Iconiq Photographer: Bert Stern

Bert Stern est un photographe américain né le 3 octobre 1929 à Brooklyn, New-York.

Inspiré par la mode, passionné par les femmes, i collabore avec les plus grands magazines et notamment avec le VOGUE américain dirigé à l’époque par Diana Vreeland.

Il photographie les plus beaux mannequins, les Stars de l’époque et surtout une série de photos de Marilyn Monroe, shootée pour VOGUE pendant trois jours. Ce fût un des moment de la vie du photographe qui le marqua à jamais. L’intimité qu’il partagea avec l’actrice donna quelques-uns de ses plus beaux portraits

En raison de la mort de l’actrice, Stern garda cette série dans une boite et ne la publia finalement qu’en 1992 sous le titre: Marilyn Monroe: The Complete Last Sitting.

www.bertsternmadman.com

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Iconiq photographer: Paolo Roversi, the portraitist.

Born in Ravenna in 1947, Paolo Roversi’s interest in photography was kindled as a teenager during a family vacation in Spain in 1964. Back home, he set up a darkroom in a convenient cellar with another keen amateur, the local postman Battista Minguzzi, and began developing and printing his own black & white work. The encounter with a local professional photographer Nevio Natali was very important: in Nevio’s studio Paolo spent many many hours realising an important apprenticeship as well as a strong durable friendship.

In 1970 he started collaborating with the Associated Press: on his first assignment, AP sent Paolo to cover Ezra Pound’s funeral in Venice. During the same year Paolo opened, with his friend Giancarlo Gramantieri his first portrait studio, located in Ravenna, via Cavour, 58, photographing local celebrities and their families. In 1971 he met by chance in Ravenna, Peter Knapp, the legendary Art Director of Elle magazine. At Knapp’s invitation, Paolo visited Paris in November 1973 and has never left.

In Paris Paolo started working as a reporter for the Huppert Agency but little by little, through his friends, he began to approach fashion photography. The photographers who really interested him then were reporters. At that moment he didn’t know much about fashion or fashion photography.  Only later he discovered the work of Avedon, Penn, Newton, Bourdin and many others.

The British photographer Lawrence Sackmann took Paolo on as his assistant in 1974. « Sackmann was very difficult. Most assistants only lasted a week before running away. But he taught me everything I needed to know in order to become a professional photographer. Sackmann taught me creativity. He was always trying new things even if he did always use the same camera and flash set-up. He was almost military-like in his approach to preparation for a shoot. But he always used to say ‘your tripod and your camera must be well-fixed but your eyes and mind should be free’”. Paolo endured Sackmann for nine months before starting on his own with small jobs here and there for magazines like Elle and Depeche Mode until Marie Claire published his first major fashion story. 

A Christian Dior beautycampaign brought him wider recognition in 1980, the year he started using the 8 x 10” Polaroid format that would become his trademark. Not only because of the large camera, Paolo has always preferred working in studio. In his first years in Paris, the studio was very often a room from his own different apartments, all on the left bank, until he found in 1981 the studio located in 9 rue Paul Fort where he is still working.
In the middle of the ‘80s the fashion industry was very keen to produce catalogues which allowed photographers to express a very creative and personal work: Comme des Garcons, Yohji Yamamoto, Romeo Gigli… gave Paolo that opportunity.
During his travels to India, Yemen… Paolo took many portraits; we can see some of them in his books ANGELI and Al Moukalla; a bookabout India is in preparation. Paolo has also realised some commercials. Since the middle 80’ his work has been subject to many exhibitions and books and many awards have honoured his work. Today Paolo has a regular collaboration with the most interesting fashion magazines and fashion designers.

www.paoloroversi.com

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Iconiq photographer: Herb Ritts

Herb Ritts est américain, né à Los Angeles le 13 août 1952 et décédé le 26 décembre 2002 à Los Angeles.

En 1974, il est diplômé en économie au Bard College dans l’État de New-York puis retourne à Los Angeles pour travailler dans l’entreprise familiale de mobilier comme représentant de commerce.Dans le même temps, il commence à prendre des cours du soir en photographie et décide de se consacrer à l’art à la fin des années 1970. Son premier succès est une série de portraits de l’acteur Richard Gere, dont certains feront la une de couverture de magazines. Au cours des années 1980 et 1990, Ritts travaille pour des magazines tels que Harper’s Bazaar, Rolling Stone, Vanity Fair et Vogue avec des portraits de célébrités et des photos artistiques de modèles. Parmi les célébrités qu’il photographie en noir et blanc, on peut citer : Cindy Crawford, Tenzin Gyatso (le Dalaï Lama), Madonna, Jack Nicholson, Elizabeth Taylor, Mylène Farmer et Michael Jackson.

En 1981, Ritts réalise les photos pour la couverture de l’album Physical d’Olivia Newton-John. En 1984, Ritts commence à travailler avec Madonna en réalisant l’affiche du film « Recherche Susan désespérément ». En 1986, Ritts réalise la photo de couverture de l’album de Madonna « True Blue ». Sur la suggestion de Madonna, il se lance dans la réalisation de clips musicaux comme celui du single « Cherish ». En 1989, il photographie Belinda Carlisle pour son album « Runaway Horses ». Il réalise également des photos de Cindy Crawford pour des numéros de Playboy. En 1991 il remporte le MTV Video Music Awards pour « Wicked Game » de Chris Isaak et « Love Will Never Do (Without You) » de Janet Jackson. Il co-réalise la vidéo « In the Closet » de Michael Jackson avec la participation du top-model Naomi Campbell.

Il réalise aussi des clips pour Mariah Carey « My All », Britney Spears « Don’t Let Me Be the Last to Know », Jennifer Lopez « Ain’t It Funny » et Shakira « Underneath Your Clothes ». Mais Herb Ritts reste particulièrement célèbre pour ses photos en noir et blanc inspirés de la sculpture grecque classique et  ses portraits, classiques et intemporels.

Herb Ritts, séropositif, meurt du Sida à Los Angeles des complications d’une pneumonie.

Ses dernières photos publiées sont celles de l’acteur Ben Affleck dans le magazine Vanity Fair.

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Jeans Story by So Jeans

Contrairement aux idées reçues, le jeans n’est pas une invention moderne et est plus ancien qu’on ne le pense. L’histoire de cette étoffe remonte en effet au XVIè siècle. Le tissu classique du jeans est alors confectionné à Nîmes, dans le Sud de la France.

En Europe, il est vendu sous l’appellation « serge de Nîmes ». C’est d’ailleurs de cette dénomination que vient le nom « denim ».
Les racines du mot « jeans » sont en Italie, à Gênes plus précisément, où le tissu des pantalons de marin était fabriqué.

En ce qui concerne les blue jeans tels que nous les connaissons, ils ne voient le jour que quelques siècles plus tard. Leur histoire débute en 1853 lorsque le fondateur des jean Levis, le Bavarois Levi Strauss, alors âgé de 24 ans, émigre à San Francisco en Californie, en pleine ruée vers l’or.
Pour des raisons pratiques, il se fait confectionner des pantalons de travail plus robustes avec de la toile de voile pour bateau et des bâches de chariots puis, à partir de la toile De Nimes qu’il avait amenée d’Europe.
Cette étoffe teinte en indigo a la particularité d’être tissée en diagonale avec du fil bleu et du fil blanc. Le premier jeans n’est qu’une salopette coupée avec des boutons pour les bretelles, large à la taille et ample aux cuisses. Les autres chercheurs d’or sont immédiatement enthousiasmés par la robustesse de ce pantalon.
Strauss en fait bientôt coudre d’autres. C’est le début de la « success story » de ce « vêtement pour les jambes » dont le retentissement est tel qu’il devient une véritable mine d’or.
Ce n’est qu’en 1922 que des passants pour la ceinture seront appliqués à la taille.
Pour le rendre encore plus solide, Strauss renforce les poches et les boutons de ses pantalons avec des rivets de cuivre et des doubles coutures orange.

L’incroyable réussite de Levi’s donne des idées. Bientôt, de nouvelles sociétés suivent le mouvement : Lee, Blue Bell Overall Company (future Wrangler), Big Ben Carter, Blue Ridge, Rica Lewis (pionnier du jeans en France).
Jusque dans les années 1960, le modèle du jeans ne varie pas : la référence demeure le 501 Levis.

En 1929, le krach boursier entraîne faillites et chômage aux États-Unis, poussant les populations vers l’Ouest.

Avec la découverte de la campagne, les citadins se laissent séduire par l’esthétique et la solidité du jean. Ce pantalon devient rapidement une tenue de détente idéale.

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, les jeans font partie de l’équipement de base de tout bon GI’s. C’est avec eux qu’ils font leur entrée en Europe.
À la démobilisation, les magasins de surplus américains écoulent toutes ces marchandises en Europe.

La paix installée, le denim poursuit sa campagne de séduction par le biais du cinéma.

Le film de Far-West, genre le plus populaire de l’époque, pose en héros le cow-boy vêtu de la solide toile bleue. Les jeunes Américains s’identifient aussi très vite au mythe du rebelle personnalisé par Marlon Brando dans « L’Équipée sauvage » et, surtout, James Dean dans « La Fureur de vivre ». Ils lancent la mode des « bikers » avec grosses cylindrées, Perfecto et Levis 501 délavé graisseux, retroussé sur des bottes de chantier. Un vent de révolte souffle sur la jeune génération. Le jeans est alors interdit dans les écoles car synonyme de débauche !

Au début des années 60, Marylin Monroe, divine en jeans, insuffle sensualité et allure au célèbre pantalon.

L’esprit de révolte se manifeste aussi à travers le rock’n roll. Little Richard, mais surtout Elvis Prestley, blouson teddy court serré et jeans délavé assez ample roulé sur les chevilles, deviennent des publicités vivantes.

Bientôt le jeans se fait la tenue de toute une génération, signe de liberté et d’indépendance. Se battant pour l’égalité des droits, les Afro-Américains délaissent symboliquement les vêtements du dimanche pour assister à la messe en jeans.

En 1968, le jean 501 investit les campus, sur les jambes des manifestants contre la guerre du Viêt-Nam.
Le bas du fameux pantalon s’élargit progressivement pour devenir « patte d’eph’ ». Le jeans se customise : frangé, clouté, brodé de fleurs ou décoré de strass, le denim façon hippie envahit les rues, car le jeans a une capacité d’adaptation assez phénoménale, incorporant les codes de chaque époque.

Les seventies voient la montée du jeans sur les podiums, initiée par les couturiers américains,bientôt suivi par les couturiers européens qui rivalisent alors de créativité. Le denim devient star. Les innovations se succèdent, et on applique plusieurs techniques pour teinter le tissu et le rendre plus intéressant, par exemple le classique délavage « stonewash », mais aussi le teinter, l’user avec du papier de verre ou encore le couvrir de cire ou de feuille d’or ou d’argent.
Dans les années 1980, le Lycra s’intègre au denim, lui assurant un nouveau confort.

Dans la rue, le jeans poursuit son émancipation. Le style grunge émerge avec le groupe Nirvana en tête de file. Les modèles se déchirent, s’éclatent, se lacèrent.
Le « sportswear » et le « streetwear » sont très vite adoptés par le monde des skaters, puis du rap. Le Baggy, pièce confidentielle, créée en 1974 devient à la mode dans les années 90.

En 1998, un jean Levis original de 1880 est racheté lors d’une vente aux enchères pour près de 47.000 US dollars par la firme Levi’s pour ses archives.
En 1999, Christie’s NYC met en vente trois paires de jean Levis ayant appartenu à Marilyn Monroe portés dans le film « La rivière sans retour ». Le styliste américain Tommy Hilfiger les obtient pour 37.000 US dollars.
Quelques années plus tard, l’un de ces jean Levis sera offert à Britney Spears.

Aujourd’hui, le jeans est présent dans toutes les gardes-robes, des plus modestes aux stars de l’écran ou de la chanson, comme Kate Moss, Vanessa paradis ou Taylor Lautner, et se portent aussi bien classique que noir métallisé, issu de jeaneries traditionnelles comme de collections Haute Couture, ou bien encore de collaborations entre deux grands noms comme la ligne jean Levis par Jean Paul Gaultier.

3,5 milliards de jeans plus tard, la marque Levi’s est commercialisé dans plus de 100 pays. Elle symbolise la liberté, l’individualité et le plaisir.

Retrouver toute l’actualité de So Jeans sur twitter et sur le blog so jeans

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Iconiq photographer: Bruce Weber

Vogue, Vanity Fair, GQ, Elle, Interview, VMan… well Bruce Weber did it all when it comes to prestigious magazines.

This american photographer born in 1946 Greensburg, Pennsylvania, USA, became one of the most talented of his generation and is wanted all over the planets. From Brands (Ralph Lauren, Abercrombie & Fitch, Pirelli, Versace, Calvin Klein…) to celebrities (Ashton Kutcher, Monica Bellucci, Colin Farell, Nicole Kidman, Stella McCartney, Mary Kate & Ashley Olsen…) he kind of saw everything there was to see when it comes to photography and fashion/luxury photoshoot.

He even had the chance to takes pictures of one of the most iconic women of the fashion industry, Kate Moss, with very few clothes, not to say topless.

Here’s a selection of his work & more to see on his website : www.bruceweber.com

 


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