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MB&F, la méduse citadine

Maximilian Büsser, le fondateur de MB&F, a eu l’idée de créer une montre aquatique en souvenir de ses vacances en famille au bord de la mer et, en particulier, d’une rencontre douloureuse avec une méduse. Bien qu’anecdotique, elle a irrémédiablement semé en lui les germes d’une montre tridimensionnelle alimentée par des tentacules. Cependant, même si le concept de l’Horological Machine N°7 a été défini assez rapidement, le développement s’est étalé sur plusieurs années.

Alors que la plupart des mouvements horlogers sont construits sur un plan latéral, avec une recherche de finesse maximale, le moteur de la HM7 se déploie en hauteur, non pas en largeur, avec des composants montés à la verticale. Le mouvement a été entièrement développé à l’interne par MB&F. Tous les mécanismes — de bas en haut, le rotor de remontage, le barillet, l’affichage des heures-minutes et le tourbillon volant — sont montés autour de l’axe central. L’énergie passe du rotor, à la base, au tourbillon volant, au sommet, via des rouages en escalier qui permettent la transmission
du couple d’un niveau à l’autre. L’architecture concentrique permet l’affichage des heures et des minutes à la périphérie du mouvement. Elle engendre cependant un problème : comment assurer les besoins en énergie d’un mécanisme horaire de grand diamètre sans nuire à la performance chronométrique? La solution provient du développement de roulements à billes en céramique extra larges qui supportent les indicateurs heures-minutes et tournent avec un coefficient de friction très faible. Les bagues d’affichage sont en titane afin de réduire le poids tout en optimisant la rigidité.

Au cours des deux dernières années, la HM7 Aquapod inspirée par une méduse a fasciné le monde grâce à son tourbillon volant et ses symétries parfaites. En 2019, elle émerge une nouvelle fois des profondeurs, parée du plus précieux des métaux et d’une couleur captivante inédite – ainsi que de chiffes tridimensionnels « flottants » des heures et des minutes. Le platine, qui figure au sommet de la hiérarchie des matériaux horlogers nobles, fait son entrée dans la collection HM7 : sa nuance blanc-argent lumineuse offre un contrepoint marquant au carmin éclatant de la lunette tournante unidirectionnelle.

Utilisé pour la première fois dans une création MB&F, le rouge ne renvoie pas immédiatement à l’univers marin — il a cependant une signification très particulière quand il s’agit des méduses. Dans un océan, plus on descend en profondeur, moins les couleurs sont perceptibles. Le rouge est la première couleur à disparaître car elle se situe à l’extrémité la plus basse du spectre de la lumière visible et sa longueur d’ondes est celle que l’eau absorbe le plus facilement. C’est pourquoi on rencontre une concentration de créatures marines rouges plus forte dans les grandes profondeurs — elles sont alors quasiment invisibles aux yeux des prédateurs. Les méduses des eaux profondes ont souvent l’estomac rouge en guise de camouflage : un corps transparent permettrait aux prédateurs d’en repérer le contenu. Avec des appendices numériques flottants et une transparence sans précédent autour de son coeur battant – un tourbillon volant 60 secondes – la HM7 Aquapod Platinum Red provient des recoins les plus profonds de l’océan horloger. Contrairement aux précédentes Aquapod qui affichaient les heures et les minutes via des bagues tournantes à chiffres décalqués, la HM7 Platinum Red comprend des chiffres tridimensionnels sculptés dans du titane. Le métal a été choisi pour sa légèreté, afin de réduire autant que possible la charge marginale additionnelle sur le moteur. Cet avantage technique a néanmoins un coût : le titane est exponentiellement plus dense et plus solide (c’est-à-dire plus difficile à usiner) que l’aluminium qui composait les bagues d’affichage précédentes. Les tiges de fixation des chiffres des heures et des minutes sur leurs bagues respectives sont noircies par traitement DLC (diamond-like carbon) afin de parfaire le caractère aérien associé à la vision d’une méduse entraînée par les courants marins.


Un des aspects les plus surprenants d’une méduse, quasi extraterrestre tant il est éloigné des systèmes des mammifères que nous connaissons bien, c’est la transparence. Comment une créature aussi diaphane et apparemment inconsistante peut-elle vivre ? Pour accentuer ce caractère, la HM7 Platinum Red remplace le support astérohache du tourbillon des précédentes Aquapod par un pont en saphir transparent. Le tourbillon volant du moteur HM7 se dévoile comme jamais auparavant, souligné par un halo super luminescent d’AGT. Tout naturellement, comme il se doit pour une fascinante créature des profondeurs, la HM7 Platinum Red rayonne par luminescence. Outre l’AGT sur la bague autour du tourbillon volant, on trouve de la matière luminescente dans les repères
gravés au laser de la lunette tournante unidirectionnelle et à la surface des chiffres des heures et des minutes ; en l’occurrence du Super-LumiNova non teinté qui émet une lueur blanche après exposition à la lumière. Le moteur automatique à 391 composants de la HM7 Platinum Red a été entièrement développé à l’interne par MB&F. Dotée d’un boîtier, d’une lunette et d’une boucle en platine, la montre fera l’objet d’une série limitée à 25 exemplaires, chacun délivré avec trois bracelets interchangeables (rouge, blanc et noir) en caoutchouc de qualité aéronautique.

 

 

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ArchivesLifestyleMagazine

Le manuel pratique de musculation: L’Entraînement du détenu

Vous avez du temps libre, vous êtes en vacances, vous avez pris de bonnes résolutions en remplaçant le sandwich choucroute par une salade de tomates. Il est donc temps de s’occuper de votre silhouette. Voici donc pour les fans de série télé, et les autres, car l’un n’empêche pas l’autre, « L’Entraînement du détenu ». Dans cet ouvrage consacré à la musculation, l’auteur, Paul Wade a développé une méthode d’entraînement de musculation logique autour de six mouvements fondamentaux pour couvrir le renforcement musculaire global du corps, avec dix étapes pour chacun de ces six groupes, permettant de développer une force physique impressionnante en partant de zéro ! Une sorte de musculation pour les nuls en somme.


Nous ne sommes pas dans l’environnement agréable et climatisé d’une salle de sport, entouré de machines modernes et rutilantes et vêtus de tenues de sport à la mode,  importantes pour alimenter notre intérêt pour l’entraînement. Ici nous ne sommes pas seulement dans un monde où l’esthétique et l’harmonie du corps est la raison première de notre entrainement. Non, nous sommes ici avec l’envie de se forger un corps pour pouvoir affronter l’adversité, qu’elle soit physique ou psychologique.

Tout ceci n’est pas étonnant lorsque l’on connaît le parcours de l’auteur. Celui-ci a passé 19 ans dans l’enfer des pires prisons américaines de Saint Quentin, Angola et Marion, des environnements dans lesquels la notion de force physique et psychologique prend tout son sens, un milieu dans lequel ces qualités sont indispensables pour tout simplement survivre. En fait, dans cet environnement, avoir ces aptitudes, c’est tout simplement une question de vie ou de mort.

À travers cette méthode de musculation basée sur des mouvements et des exercices pratiques amenant un entrainement au poids du corps, sans machines ni altères, Paul Wade délivre avant tout un véritable message de liberté : “Ne comptez sur rien et sur personne pour développer notre plein potentiel physique et psychologique, quel que soit le lieu, ici et maintenant, nous avons le pouvoir d’agir sur nous même.”

 

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PAUL REITZ by Jeffrey Felner

As is my wont in many cases, I am always on the lookout for multitalented creatives who juggle more than one occupation while employing a varied skilled set. As you will read Paul Reitz takes multi-tasking to a whole other level aside from being a lensman. Paul Reitz graciously carved out some precious time from his busy schedule to enlighten us, yes me too, about his everyday life and what that might encompass which could be anything from flowers to venues, to speeches to photography to napkins.

He is also a consistent presence and voice on social media which may or may not be confined to his creative strengths but also as a critic concerning the politics of our nation.

So, rather than me trying to offer any more of an introduction about this man’s creative endeavors, here he is in his own words and he can tell you himself…

Jeffrey Felner: Can you sort of give us a brief resume as to how you arrived to “where you are” at present?

Paul Reitz: Having moved to New York 30 years ago, following a few years in Tulsa as a DJ at alternative clubs but while in college my interest in photography was amplified studying the craft. I started shooting friends, mostly men, and made a conscious decision that whatever else I did; I wanted to be project a my singular vision of male beauty.  As soon as I got to NYC, I started shooting frequently, mostly actors, models, club kids that I would meet and in the post 9/11 NYC. I really put my heart and soul into photography as a way to express beauty and to make my way through what was a rather long emotional and mental recovery.  I was so fortunate that in 2010 German publisher Bruno Gmunder approached me to assemble my first book; that experience really just made everything explode for me and I’ve been fortunate to be very busy ever since.

JF: You juggle 2 very different careers…  but are they as different as they appear on the face? Explain please.

PR: Simultaneously working as a photographer and producing charity events for nonprofits (which might include fundraising to planning the theme, design concept, evening program, flowers, menu, the overall guest experience, and writing most of the speeches).  My touch is in every detail.  

Both careers, offer a similarity in that you’re telling a story. I studied journalism for radio/tv/film in college, and saved my money for three years after graduation to move to NYC since it would afford me considerably more opportunities than my native Oklahoma. I don’t work in TV, or at a news organization, but I work with many of those creatives and journalists on a daily basis. I use storytelling in events, in translating a mission of an organization or its culture to donors. As a photographer, I’m trying to tell a story in most images, albeit far more subtly. as event planner I am part of a collaborative effort while as photographer it’s usually just me on the photo side…my vision, my style choices, location — everything.

JF: If you could invite any 5 people to dinner who would they be and why?

PR; Debby Harry has always been one of my favorite people, as has Siouxsie Sioux, Vivienne Westwood…and a couple of male sports crushes would delight me to no end, but I think I’d instead opt, in the current atmosphere in our country, for five advocates for positive change, and leadership.  I’m thinking of Presidents Obama and Carter, both of whom I’ve long admired and who made a tremendous impact on me.  Jimmy Carter is a saint…out building homes for the poor at his fragile age.   I could learn from him and from President Obama.  I’ve been fascinated by the young survivors of the Parkland School shooting, and what they are doing to create change. Like David Hogg.  I’d love to hear how he connects the dots and how he motivates young people and people of all ages to take action, and how he has turned a horrific event into action.  That inspires me tremendously, Christiane Amanpour who is radiant and fiercely intelligent as well as being a superlative interviewer. the last guest, the « just because » factor would be Cher who is Still out there and standing up for what is right in this country  The common theme with this lot, I suppose, is perseverance, humor, thoughtful advocacy.  

JF:As part of the maturation process, did you have any mentors or icons that you either tried to emulate or idolize …? Who and why?

PR: Growing up in Oklahoma, I saw these rich black & white photos of the Dust Bowl era and the Great Depression that were part of our history.th eimages documented as well as cinematically transporting the viewer into the grit of the dust and the simple beauty of the faces of the men and women who retained dignity despite the despair of those times.  Photographers like Dorothea Lange, in whose work you could feel the wool and cotton garments, the grit and dust, and the bare human emotion.  Works like that told a story. In college, studying photographers like Duane Michals who married imagery with the written word, creating a dual impact.  Then the rich deep black and white landscapes of Ansel Adams in the American West embodied a majesty, and a stillness that was formative for me.  The black and white made it even more timeless.  For male beauty, there was the 1970s porn look, more than anything I suppose … Shirtless, barefoot men in jeans, with naturally toned physiques and an easy, open expression, or invitation, punk and rock star swagger…. unfiltered sex appeal. Then there were the old copies of Physique Pictorial that I’d come across from time to time.  I love that the magazine is back, and in such a special way, honoring the past and keeping current in male erotica.  Herb Ritts and Bruce Weber were becoming popular when I was in college, and I certainly admired their work.

JF: Could you give us your opinions about the influence of social media on the world of fashion? Photography? Models?

PR: I suppose I’m one of those people that feels that so much of our current technology…smartphones etc., isn’t necessarily making our lives more efficient, but really busier, more distracted and I’d argue more anxious.  It’s certainly thrown fashion into a tailspin, with many brands rushing to keep up with those outlets and retailers who are savvy in their use of the medium to push fast-fashion.  Social media amplifies all of it.  As for photography, I think the old rules apply: the image must be multi-dimensional, it must grab you, it must evoke something, and if possible, touch you in some way, especially sensually.  

And as for models, I’ve garnered a considerable amount of work and individual clients… a distinction other than agency contact, editorial work … through Instagram in particular.  But how long will that model be viable, or « hot? »  In a few years, there will be another platform, another way of communicating … the censorship there is infuriating.  

Models? Please don’t call yourself a model unless you have an agency behind you; Otherwise, you are a social media « celebrity,” and that can be very empty and rather dull and soulless.  These Instagram « models » for example are rarely groomed, rarely do their homework and almost always have an inflated sense of their value.  It’s a popularity contest but there’s no single panel of judges.  The Kardashian mentality sickens me; they contributed heavily to the downfall of American culture.  Kanye and Kim on the cover of Vogue was an absolute travesty, as It endorsed this mindless ridiculousness.  

A plus for the social media platforms however is their delivery of fashion; it’s been exciting to be able to watch things that interest me like a Vivienne Westwood show live in Paris via Instagram.   So much of what interests me in photography is the use of my imagery to seek a product, or a concept.  I love seeing my work focused through someone else’s lens, and have found a new audience in the modern romance novel.  I’ve sold numerous covers for both gay and straight romance novels, and have loved learning about and being in that community.

IN the end the old rules must apply.  Less is more, for me. That’s my mantra and to present the image as a high point.  The current social media platforms will evolve, and change. I’m looking forward to the next one…one that allows my vision to be presented even more in tandem with what I see in my head.  I want a new big black and white book in everyone’s hands 🙂

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Capsule collection Sennheiser URBANITE X FREITAG par Alexis Dumetier

C’est le cadeau idéal! Le casque Sennheiser URBANITE dont l’arceau est personnalisé par FREITAG célèbre pour ses sacs fabriqués à partir de bâche de camion recyclée. Pour cette collection capsule, le casque est fourni dans un étui réalisé dans  bâche unicolor. Ainsi chaque casque et son étui est unique. Les finitions sont belles, mêlant acier et aluminium.

Le rendu du son est bon sur toutes les bandes de fréquences. Même si ce casque n’est pas le plus isolant, il est particulièrement confortable. 

Édition limitée à 1 500 exemplaires – 190€
www.freitag.ch

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ArchivesBlogNews de Mode

Les bottes d’Hiver par Matthew Cookson

 

Ces bottes bi-matières en fourrure de mouton sont directement inspirées par celles portées par les pilotes de la Royal Air Force en 1940.

 

 

La marque Matthew Coockson a décidé de les remettre au goût du jour et de les utiliser pour combattre les intempéries de l’hiver avec panache et confort!

 

Matthew Cookson 11 bd Raspail, Paris VII et 34 bis, rue Vignon, Paris VIII (angle rue Tronchet)
www.matthewcookson.com

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ArchivesBlogNews de Mode

Levi’s® présente sa ligne d’accessoires Commuter

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Pour les hommes toujours en mouvement, Levi’s® complète sa collection Commuter avec une nouvelle ligne de sacs à dos et sneakers. Le sac à dos noir à rabat a été pensé pour les accros à la technologie, avec une poche pour téléphone et une fente pour écouteurs/casque ainsi que des poches faciles d’accès sur les côtés et un compartiment rembourré pour ordinateur portable.

Les sneakers en toile ont été réinventées par Levi’s® pour cette collection. Chaque détail a été soigneusement étudié pour assurer un confort optimal, des performances de pointe et un style unique.

Disponibles dans quatre coloris différents (bleu roi, gris cendre, noir et rouge mat) et dotées d’un revêtement imperméable et de bandes réfléchissantes 3M™, ces sneakers sont conçues pour résister jour après jour, quel que soit le temps.

La collection Levi’s® Commuter Homme est disponible en boutique et sur www.levi.com

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ArchivesBlogSoins & Parfums

LEONOR GREYL, 45 ans de succès sans faille.

Tout commence il y a 45 ans par la rencontre de deux êtres passionnés : elle, Léonor, fan de beauté et de santé des cheveux ; lui, Jean-Marie, ingénieur et féru de botanique. Ensemble, une même envie : créer des soins capillaires d’origine naturelle, et ça bien avant la déferlante du bio. Avec eux, point d’étude de marché ni de concept alambiqué, mais des envies et des intuitions très souvent avant gardistes. A la clé, des succès qui s’enchaînent et des soins qui s’imposent comme des produits cultes au fil des années et qui aujourd’hui font encore merveille!

Points de vente: Institut Leonor Greyl 15, rue Tronchet – 75008 Paris Tél. : + 33 (0)1 42 65 32 26
Parfumeries, Grands Magasins et 450 coiffeurs agréés.
www.leonorgreyl.com

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ArchivesBlogNews de Mode

Tendances pieds nus

Parce que plusieurs écoles s’affrontent, petit tour d’horizon des diverses formes de sandales, flip-flop, tongs ou spartiates qui vous accompagneront cet été.

Because several schools are in confrontation, small survey of the diverse forms of sandals, flip-flops or Spartans who will accompany you this summer.

 

 

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ArchivesBlogSoins & Parfums

Hollywood smile!

Pour avoir des dents blanches, voici notre sélection de l’été:

La nouvelle brosse à dents Colgate Slim Soft inspirée du fil dentaire associée au dentifrice Colgate MaxWhite.

Le dentifrice Sensitive ou pour un effet blancheur immédiat le dentifrice Signal White Now.

Enfin, la brosse à dents électrique à ultrasons Emmi ultra sonic: permet de nettoyer les dents et la zone interdentaire grâce aux ultrasons.

Vous n’avez plus d’excuse pour avoir ou retrouver un sourire de star de cinéma.

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