Photographer: Jason T. Jaskot
Model: Christian Bok
Fashion Editor: Renessta Olds www.reneeostylelab.com
Stylist Assistant: Asheley Reynolds
Men’s Grooming: Torrence Forde www.torrenceforde.com
Photographer: Jason T. Jaskot
Model: Christian Bok
Fashion Editor: Renessta Olds www.reneeostylelab.com
Stylist Assistant: Asheley Reynolds
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Histoire du trench
Un trench-coat est un manteau imperméable généralement descendant jusqu’aux mollets, utilisé par plusieurs armées pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale, à ne pas confondre avec le cache-poussière (« duster » en anglais) qui est un manteau généralement de couleur marron ou crème avec une cape dans le dos, plus ou moins longue qui furent portés par les cow boys, dans le far-west des États-unis. Les trench-coats sont fabriqués dans une toile souple et résistante (coton, cuir, coutil, popeline, microfibres), avec une doublure détachable (selon la température).
Ils ont souvent dix boutons, ils sont croisés, et les couleurs sont ocre, kaki, beige ou noir. Les trench-coats ont souvent des bandes de tissu à l’intérieur pour se fixer aux jambes et mieux coller au corps, les manches de type raglan avec des pattes de serrage aux poignets et des pattes d’épaulettes (pour y fixer des galons, ou accessoirement y mettre des gants de cuir, un chapeau ou maintenir la sangle d’un sac).
Inventé par l’Anglais Thomas Burberry à la fin du XIXe siècle, le trench-coat est toujours de saison. C’est pour protéger les soldats de la Première Guerre qui vivaient dans les tranchées quel’imperméable fut amélioré. Les nombreux boutons susceptibles de se perdre sont alors réduits au minimum et remplacés par une large croisure, tandis que le coton est tissé très serré, afin d’être le plus imperméable possible face aux intempéries. Deux boucles sont également cousues sur l’épaule afin de pouvoir y attacher casquettes et autres, et un large rabat est ajouté sur la poitrine, afin de protéger le cœur. Le trench-coat est l’adaptation des lourds manteaux de serge qui furent portés par les soldats anglais et français pendant la Première Guerre mondiale. Le premier trench-coat fut dessiné par Thomas Burberry pour répondre à la commande par l’armée d’un modèle de manteau imperméable pour les officiers mieux adapté au combat. Il reprend le design des anciens manteaux d’officiers britanniques qu’il avait lui-même dessiné 13 ans auparavant pour le War Office, et il y rajoute des épaulettes et des anneaux en métal: le trench-coat est né. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le trench-coat faisait partie de l’équipement des soldats et des officiers, surtout dans les forces armées des États-Unis, mais également par les forces armées du Royaume-Uni, de l’Allemagne nazie et de l’Union soviétique.
L’appellation « trench », vient tout simplement du mot « tranchée », qui se dit « trench » en anglais. De retour du front, les soldats ont conservé leur trench et l’ont ainsi fait passer dans la vie civile. Le trench a traversé les années tout en conservant sa forme initiale. Il est toujours composé de 26 pièces de gabardines de tailles différentes, ainsi que d’une ceinture à passants garnie d’anneaux. De l’imperméable de coton classique au manteau croisé en cuir, en laine ou en soie, sa ligne ajustée se décline sous toutes les coutures.
Thomas Burberry : des tranchées aux podium
C’est Thomas Burberry qui, en 1901, créa l’imperméable qui donna naissance quelques années plus tard au trench. En 1924, la maison Burberry met au point une doublure identifiable entre toutes – s’inspirant des tartans écossais – afin de tenter d’enrayer la contrefaçon. Depuis, ce tartan est devenu la marque de fabrique de Burberry, jusqu’à être décliné récemment sur de multiples accessoires. Après la Seconde Guerre mondiale, le trench-coat était souvent porté comme un vêtement par des civils lors des années 1950 et 1960. Vers la fin des années 1970, le trench-coat est devenu un article de mode pour le style punk. Ensuite, lors des années 1980 et 1990, le trench-coat est devenu autant un vêtement populaire parmi les amateurs des musiques et styles gothique, industrial, et métal, qu’un accessoire indispensable d’un look chic et indémodable. Il est décliné sous de multiples formes et se voit maintes fois réinterprété. Les créateurs s’amusent à le détourner, tandis que les différentes griffes le féminisent, lui apposant les matières et couleurs du moment. Néanmoins, c’est le trench Burberry qui reste le summum du style chic et discret.
Le trench à l’écran
Les trench-coats furent popularisés par plusieurs films, où le trench-coat est devenu un aspect caractéristique d’un détective ou d’un atmosphère film noir. En 1942, Humphrey Bogart apparaît dans le film « Casablanca » avec un trench, et immédiatement la mode se l’approprie, les femmes – qui adoptent le style masculin – commencent à le porter. Il fut, bien sur, définitivement populariser par l’acteur Peter Falk qui le porta dans la série « Columbo ». Le trench-coat de couleur noir, longtemps reservé à symboliser la « Vamp » des films noirs des années 50 et 60, est désormais souvent associé à la mode gothique. Dans la trilogie des films « The Matrix », les êtres humains comme Neo et Morpheus portent des trench-coats lorsqu’ils vont dans la matrice. Plusieurs des personnages du film « Sin City » portent des trench-coats. Dans le film « The Crow« , le personnage d’Éric Draven (joué par Brandon Lee) porte un trench-coat. Dans les films « Underworld« , des vampires portent souvent des trench-coats noirs. A la télévision, on observe le même phénomène, par exemple, le vampire Spike dans la série « Buffy contre les vampires » porte un trench-coat en cuir noir et le dernier docteur de la série britannique « Docteur Who« , joué par David Tennant, porte un trench-coat brun, et s’il est vrai que « Le Diable s’habille en Prada », Meryll Streep porte pourtant dans le film un élégant trench clair de Donna Karan.
La maison Diptyque est heureuse de vous présenter Un Air de diptyque. Un nom évocateur. Un nom qui sous-entend des sonorités mélodieuses. Derrière lui se cache un objet d’exception, sophistiqué à la fois par sa conception, son design et sa technicité en apparence simple mais innovante.
Il s’agit pourtant d’un air… D’un air que souffle discrètement cet esthétique diffuseur électrique afin de faire s’évaporer cinq créations parfumées – Figuier, Baies, Feu de Bois, Ambre, 34 – déclinées des senteurs emblématiques de diptyque. C’est aussi là qu’il y a une vraie originalité, un procédé exclusif. D’ingénieuses petites capsules parfumées, hermétiques, de forme ovale et empreintes des codes figuratifs de la Maison diptyque, renferment une senteur donnée restituée à la note près. Il suffit d’en glisser une dans le petit appareil High Tech, puis de le mettre sous tension d’une simple pression à son sommet. Il n’y a plus qu’à le laisser émettre ses 3 partitions de 10 minutes le temps d’un cycle d’une heure.
A répéter autant de fois que vous voudrez.
Le diffuseur électrique est disponible à partir d’Octobre 2013 au prix public conseillé de 275 € et sa recharge parfumée au prix public conseillé de 28 € l’unité.
Photographe: Dewayne Weise – Assistant: Sergio-Andreo Bettencourt
Model: Pavllo Zengo@Prestige Talent Agency
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Tout commence il y a 45 ans par la rencontre de deux êtres passionnés : elle, Léonor, fan de beauté et de santé des cheveux ; lui, Jean-Marie, ingénieur et féru de botanique. Ensemble, une même envie : créer des soins capillaires d’origine naturelle, et ça bien avant la déferlante du bio. Avec eux, point d’étude de marché ni de concept alambiqué, mais des envies et des intuitions très souvent avant gardistes. A la clé, des succès qui s’enchaînent et des soins qui s’imposent comme des produits cultes au fil des années et qui aujourd’hui font encore merveille!
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Réalisation: Hervé Godard
Photographe: Thibault Bunoust
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Remerciements à l’Hôtel Astor Saint Honoré, Paris et à Eric Trolliard
Sergio Pizzorno du groupe Kasabian et la ballerine Keenan Kampa repoussent les limites du denim dans la nouvelle campagne G-Star.
Pour l’automne-hiver 2013, G-Star a confié au photographe Rankin la réalisation de sa nouvelle campagne The Art of RAW, avec pour égéries Sergio Pizzorno, guitariste et parolier du groupe Kasabian, et Keenan Kampa, danseuse à la Vaganova Academy. Keenan Kampa et Sergio Pizzorno forment un duo de talents inattendu. Ces deux stars doivent leurs renommées à leurs vives passions pour leurs arts. Kampa est la première Américaine à avoir été acceptée dans le ballet russe Mariinsky. Sergio est devenu le principal parolier du groupe anglais Kasabian après avoir renoncé à une carrière de footballeur.
G-Star a pour habitude de travailler avec des talents inattendus, et au sommet de leur art. Ce fut le cas précédemment avec Magnus Carlson, Clémence Poésy, et Liv Tyler. Conçue dans le respect de la grande tradition de savoir-faire et d’innovation de la marque, la campagne a pour thème « Destroy to Construct ».
Dans cette nouvelle campagne, nous retrouvons le fameux Skeleton Dog (squelette de chien), qui explose avant de se transformer en différents objets et personnages. Courant à vive allure, il percute Keenan en pleine danse, avant de se dissoudre en une multitude de pièces en denim RAW. Il se réincarne ensuite en Sergio détruisant sa guitare, avant de retrouver sa forme initiale.
Chaque pièce en denim G-Star RAW est réalisée avec passion et savoir-faire, deux mots qu’incarnent parfaitement le Skeleton Dog. La saison dernière, G-Star dévoilait le procédé de création du denim. Cette saison, The Art Of RAW met en avant tous les éléments nécessaires à la confection d’un jean. Il illustre bien la philosophie qui consiste à détruire pour reconstruire, et perpétue la tradition d’exploration et d’innovation du denim qui est au cœur de G-Star.
La campagne The Art of RAW pour l’automne-hiver 2013 est actuellement diffusée mondialement.
L’illustration est un exercice de style subtil et c’est sans doute pour cela que Marc-Antoine Coulon a choisi la technique de l’aquarelle. La justesse de son trait marié aux couleurs franches ou délavées, nous envoûte et nous place face à ces personnalités qui le fascinent, sublimant un instant pour l’éternité.
Découvrez son travail en suivant le lien.
The illustration is a subtle stylistic composition and it is without doubt for it that Marc-Antoine Coulon chose the technique of the watercolor. The correctness of the line married to the frank or washed-out colors, bewitches us and places us in front of these personalities who fascinate him, sublimating a moment for eternity.
Discover his work by following the link.
http://marc-antoine-coulon.tumblr.com/
De la rue de la Paix à l’avenue des Champs-Elysées, de Saint- Germain des Prés au Faubourg Saint-Honoré, Cartier déploie le long d’artères parisiennes illustres, ses boutiques emblématiques dont la neuvième ouvre ses portes au 12 Boulevard des Capucines –Paris 9ème, à côté de Bücherer, nouveau temple de l’horlogerie.
Une adresse capitale pour une boutique de 450m2, située dans la perspective haussmannienne de l’Opéra de Paris d’un côté, et de la Madeleine de l’autre, dont Cartier a confié la réalisation à l’architecte designer Bruno Moinard, responsable de l’ensemble des boutiques dans le monde.
Élevé sur deux niveaux au sein d’un bâtiment classé datant du second Empire, ce nouvel espace dédié à l’univers de Cartier, de la Haute Joaillerie à l’Accessoire, de la Haute Horlogerie aux Fiançailles, décline l’identité Maison dès la façade, fidèle à l’esprit du 13 rue de la Paix, dont elle réinterprète le style. Bronze doré de la grille décorative qui imite le travail du guillochage, générosité des vitrines, présence du marbre de portor, autant de détails raffinés qui ponctuent cet ensemble …
Á l’intérieur, le chêne clair, le mobilier sur mesure, la présence des colonnes d’origine et une coupole en stuc perpétuent la notion de souveraineté chère à Cartier.
Photography and styling by Robert Mendolia
Model – Sean Bilosky of Major Model Management
Digital Enhancement – Curtis Smith www.curtissmith.com
Assistants – Zach Coco & Jeremy