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Barbera, objets précieux et bougies bijoux

BARBERA est une marque créée en 2013 par Fabien Barbera, jeune et brillant antiquaire longtemps installé rue de Verneuil, au sein du Carré Rive Gauche à Paris.
Passionné par la restauration du bois doré, Fabien Barbera connait les secrets du travail de la feuille d’or depuis des années. Dans un souci d’allier son goût pour la décoration à celui pour la feuille d’or, il décide de créer sa marque d’objets intégralement réalisés à la main. Photophores et vide-poches constituent le cœur de la collection d’objets précieux.
En jouant avec la transparence de l’or, dont l’épaisseur est de l’ordre du micron, BARBERA propose une large sélection de photophores reprenant la technique ancestrale du verre églomisé à la feuille d’or.

Une fois la bougie allumée et placée dans le photophore, l’or acquiert sa dimension magique. La flamme devenue bleutée révèle toutes les vibrations de celui-ci. Les dessins dont des reproductions en fine sérigraphie des peintures de Fabien Barbera, qui confèrent à ces bougies de décoration une sophistication unique. Des objets uniques et précieux évoquant les fastes des royaumes antiques de Grèce, d’Egypte ou de la Reine de Saba.


Une gamme de 10 bougies parfumées au décor métallisé et sérigraphié vient compléter la gamme BARBERA. Toutes les bougies sont réalisées avec le concours d’un cirier de Grasse, et « Jardins de Bagheria », bougie à la tubéreuse, a été composée par Rodrigo Flores-Roux, vice-président de la parfumerie Givaudan Fragrances corporation. Les cires sont composées de fragrances d’origines naturelles dilués à 10 % et comportent une mèche 100 % coton . Leur design original et suprêmement élégant en fait de véritables objets de décoration. Les bougies existent en 180 grammes avec une mèche, 1 kilo avec trois mèches et également au format chauffe-plats.

La Méditerranée, dans sa plus large expression, chère au cœur de Fabien Barbera, reste sa plus fidèle inspiratrice, tant pour la création des parfums des bougies, que pour la création des décors ornant les photophores et les vide-poches de cette précieuse collection.

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Jeremy Enriquez, un chef Français à New-York

Le chef Jeremy Enriquez du restaurant Tastings Bespoke NYC  a commencé très tôt à s’intéresser à la gastronomie. Sa mère et sa grand-mère parisiennes ont transmis leur passion et leur savoir-faire pour l’art culinaire.

À 15 ans, il entre à la prestigieuse école de Ferrandi Paris où il passe 4 ans en cuisine, spécialisé dans la restauration. Plus tard, il rejoint le traiteur renommé Potel & Chabot. Il y travailla avec l’équipe parisienne dirigée par un Meilleur Ouvrier de France et des chefs internationaux. C’est là qu’il a appris les bases de haute gastronomie française, les techniques et les meilleures recettes de la cuisine française et internationale.

Le désir du chef Jeremy Enriquez de parcourir le monde le conduisit en Nouvelle-Zélande où il travailla pour la cuisine du 5 étoiles Langham Hotel, puis en Australie où il travailla pour différents traiteurs et acteurs du secteur de l’hôtellerie. Enfin, le chef Jeremy Enriquez a atterri aux États-Unis où il est devenu un membre crucial de l’équipe culinaire de Tastings NYC & SoFlo (http://www.tastinsnyc.com).

Quel est ton plat préféré et pourquoi?

La quiche lorraine est mon plat préféré à réaliser et à déguster. Il me rappelle ma jeunesse, quand ma mère préparait cette fameuse tarte avec son ingrédient secret qui la rendait si unique . Il a été transmis par ma grand-mère qui la tenait de sa mère qui était elle aussi une véritable  cuisinière . Plus tard c’est ce qui m’a poussé à rentrer a l’école hôtelière pour préparer un diplôme de cuisine.

Quels sont tes conseils pour un homme qui voudrait cuisiner pour un premier rendez-vous?

Les choses que je recommande pour un premier rendez-vous sont très simple. Il faut se sentir à l’aise avec le plat que l’on a l’intention de préparer et ne pas paniquer pour pouvoir se concentrer sur le reste de la préparation du dîner.

On applique des règles élémentaires comme: ne pas cuisiner de produits qui vont affecter votre haleine comme l’ail par exemple, et rien de difficile à manger non plus. Mieux vaut oublier les os du poulet qui vont vous obliger à utiliser vos doigts… Pas très glamour!

Pour un premier rendes-vous, je recommande les Spaghetti alla Carbonara. Tout le monde connaît ce plat et l’apprécie. C’est parfait pour un premier rendez-vous.

Et enfin, si vous voulez impressionner votre invité(e), je vous recommande de miser sur une bonne bouteille pour accompagner votre préparation. Si vous avez un doute, les cavistes sont là pour vous aider.


Présentation de la recette printanière du chef Jeremy Enriquez pour le taboulé printanier avec vinaigrette aux asperges et au fenouil, associé au rosé La Chapelle Gordonne.

Pour la salade : 140 grammes de semoule de couscous cuite, 1 bouquet d’asperges vertes, 100 grammes de pois verts, ½ bouquet de radis, 6 feuilles de menthe

Faites chauffer une casserole d’eau pour le couscous, une demi-tasse d’eau chaude pour une demi-tasse de couscous. Lorsque l’eau bout, mettre une pincée de sel, le cumin, le poivre noir et ajouter au couscous. Couvrir et laisser refroidir.

Découper et enlever les queues des asperges puis faites les blanchir dans de l’eau bouillante jusqu’à tendreté. Une fois cuit, découper les en tronçons de 3 cm de long

Garder l’eau bouillante pour les petit pois, 10 minutes devrait suffire . Utiliser la mandoline pour trancher les radis déjà préalablement laver.

Effeuiller la menthe.

Pour la Vinaigrette au fenouil : 65 grammes d’huile d’olive, 1/4 petit bulbe de fenouil, finement haché, 1 petite échalote, hachée finement, 1 gousse d’ail finement hachée, 1 cuillère à café de graines de fenouil, broyées, 62 grammes de vinaigre de vin blanc, 2 cuillères à soupe de miel, sel, poivre fraîchement moulu, 1 poignées de légumes-salades rustiques mixtes (comme le radicchio, le frisée ou l’endive), 1 bouquet de persil plat fraîches, 1 cuillère à café de zeste d’orange.

Pour l’assemblage de votre plat, laisser votre imagination faire le travail.

 

 

 

 

 

 

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ArchivesBlogHorlogerie

Michel Herbelin présente la Newport Squelette

Inspirée de l’architecture moderne des navires furtifs, la Newport Squelette de Michel Herbelin arbore un boîtier en acier inoxydable, traité PVD gris anthracite d’un diamètre de 42 mm. Poli et brossé pour souligner sa découpe en trois facettes, il encadre une couronne de forme conique, crantée pour une meilleure prise en main. Assortie au boîtier, la lunette, gravée du nom de la collection, révèle, quant à elle, cinq vis hexacaves, identiques aux noyaux de winch de voilier.

Reprenant, en toute modernité, les codes qui ont fait le succès de la Newport – attaches centrales du bracelet, lunette façon hublot, roue marine estampillée sur la couronne -, ce nouveau garde-temps reste fidèle à sa vocation marine. Complétant l’ensemble, les aiguilles des heures et des minutes en nickel noir, créées spécifiquement pour Michel Herbelin, cadencent le temps au rythme d’une seconde centrale. Partiellement recouvertes de matière luminescente, à l’image des index imposants positionnés sur le rehaut bleu brossé cerclé d’une minuterie, elles donnent une lecture de l’heure précise et lisible en toutes circonstances.

Etanche à 100 mètres et pensée pour être portée dans l’action, la Newport Squelette est habillée d’un bracelet en caoutchouc FKM d’une extrême résistance au déchirement. Soigneusement travaillé dans ses finitions pour être confortable au poignet, celui-ci a été dessiné spécifiquement pour prolonger la ligne de l’attache centrale jusqu’à la boucle. Affichant un aspect lisse et brillant de couleur bleue, il achève de parfaire le style sport chic de cette pièce horlogère au design racé.

Tout en transparence, le cadran, protégé par un verre saphir, met à nu le squelette du mouvement. Métarmophosant la mécanique en dentelle tout en mettant en majesté l’orchestration complexe des composants et rouages, celui-ci offre un spectacle hypnotisant qui révèle le savoir-faire horloger de Michel Herbelin. Développé spécifiquement pour la marque française, il reprend la géométrie d’une barre à roue, élément identifiable et iconique de la collection Newport. Gravée Michel Herbelin, la masse oscillante a également fait l’objet d’un soin particulier avec un squelettage spécifique apportant un maximum de transparence au mouvement et donc à la montre. Travaillé dans les moindres détails, il montre, via un fond de boîte transparent, des finitions Côtes de Genève ainsi que des ponts et bâtis ornés de décors perlés.

Pour cette montre éditée en série limitée, Michel Herbelin inaugure, en avant-première, un nouveau calibre de facture suisse : le Sellita SW400-1. A l’identique du SW200-1 pour sa précision, fiabilité et robustesse, il bénéficie néanmoins d’un diamètre agrandi à 31 mm. Totalement adapté aux boîtiers de grande taille (40 à 46 mm), il évite de recourir à un cercle d’emboitage tout en permettant un large fond ouvert. Pour le reste, ce mouvement mécanique à remontage automatique, doté de 26 rubis, génère 28 800 oscillations par heure et dispose d’une réserve de marche de 38 heures.

Offrant l’assurance d’un haut niveau d’exigences techniques, la Newport Squelette hérite d’une expérience horlogère française de plus de 70 ans. A l’image de tous les modèles Michel Herbelin, elle a été dessinée, conçue, assemblée, réglée et contrôlée dans les ateliers de la marque, situés dans le massif du Jura, en Franche-Comté.

Disponibles à la vente dès le mois de mai, seuls 500 exemplaires sont disponibles pour le monde. Avis aux amateurs de belles mécaniques . . .

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ArchivesBlogSoins & Parfums

Wilkinson, un retour aux sources

Et si c’était mieux avant ? En tout cas pour Wilkinson, le vintage est l’expression de l’héritage d’un savoir-faire traditionnel ancré dans l’ADN de la marque. Que l’on soit nostalgique ou à la recherche d’authenticité, depuis quelques années on assiste à un retour aux origines du rasage. Le vintage est devenu une tendance mondiale et transgénérationnelle. Tout le monde aujourd’hui veut retrouver la qualité des produits d’antan.

Et pour que chaque homme puisse vivre une expérience barbier chez lui, cette nouvelle gamme Classique Vintage propose deux rasoirs distincts certifiant un rasage traditionnel authentique accompagné d’un coffret de produits efficaces et de qualité barbier.

Le coffret Classic Premium contient un rasoir de sûreté qui garantit un rasage traditionnel de qualité, le tout sans aucune irritation. Il propose également 5 lames de sûreté ainsi qu’un savon à barbe dans son bol bleu étanche pour assurer une peau douce et bien soignée.

Le blaireau de fines soies indispensable pour bien préparer la peau au rasage, vient compléter cette combinaison de produits efficaces et de qualité barbier, pour une authenticité retrouvée.

 

Avec son look résolument « Vintage », le rasoir Classic Premium à ouverture papillon est doté de lames de sûreté pour un rasage particulièrement précis et sans aucune  irritation. Le manche en acier inoxydable et la finition chromée de cet objet, rappellent le matériel traditionnel utilisé par les barbiers jusqu’à la fin des années 60.

Le rasoir emblématique de Wilkinson avec ses 4 lames avec un revêtement en titane et diamant, se pare lui aussi d’un nouveau look vintage avec son manche à effet bois. Conçu pour les peaux sensibles, sa plaquette lubrifiante enrichie à l’Aloé Vera vous promet un rasage doux et confortable. Et pour une finition parfaite, le rasoir est également doté d’une lame de précision et d’un micro peigne intégré.

Grace à Wilkinson, retrouvez le plaisir d’un rasage à l’ancienne confortablement installé dans votre salle de bain.

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ArchivesBlogLifestyle

Les Bains: éternels et mythiques

Blakemag_Les Bains_facade

Les Bains font surgir par leur seul nom, tout un monde de vivantes inspirations et d’expériences inouïes, d’avant-gardes excentriques et de pionniers iconiques. Pour saisir l’esprit des Bains, il faut remonter le temps au point d’embrasser le présent de chaque époque. Jusqu’à la nôtre.
Les Bains Guerbois ouvrent en 1885 et deviennent aussitôt le temple parisien du bienêtre
et de la beauté où le Gotha et des artistes tels que, Manet, Zola, Renoir, Proust se retrouvent. 

2015, Les Bains se transforment en boutique hôtel 5* et ravivent le club et le Spa. Mais Les Bains ne se résument pas à un hôtel de luxe, un lieu d’émulsion sociale et artistique, un club culte de la nuit parisienne ou une néo brasserie chic. Ils proposent l’expérience d’un nouvel art de vivre, vibrant, connecté, ouvert sur le monde. Ils rassemblent tous les happy few en quête d’un lifestyle ultime à Paris. Ils ouvrent un espace singulier où se savoure la fête et se déploie la créativité. Parisiens et transculturels, historiques et inventifs, hybrides et chics, élégants et accueillants : institution séculaire, les Bains se transfigurent en coeur battant du nouveau millenium.

Le bâtiment est un chef d’oeuvre architectural, fruit d’un héritage aussi riche que varié. Créés en 1885, Les Bains Douches (ou Bains Guerbois) abritent les plus célèbres thermes privés de Paris. S’y croisent l’élite et la Bohême fin-de-siècle dépeintes par Marcel Proust, client assidu. L’immeuble a été conçu par l’architecte Eugène Ewald, qui a bâti la Préfecture de Police de Paris, face à Notre Dame, ou l’Église Saint François de Salles. Outre Les Bains, la Famille Guerbois crée et gère aussi le fameux « Café Guerbois », haut lieu de rencontre intellectuel et artistique immortalisé par Zola et Manet où, de Renoir à Monet, se retrouve le tout–Paris de la Belle Époque.

En 1978, l’immeuble se révolutionne. Le voici salle de concert rock, restaurant et nightclub: les Bains Douches. Il entre dans un nouvel âge d’or et dans la légende – institution culturelle et mondaine au centre de Paris, référence absolue d’un clubbing sublimé en art de vivre, épicentre mondial des médias, du spectacle et des arts.


De tous les pays, on vient s’y imprégner de son vibrant état d’esprit et de son lifestyle unique. Temple de la beauté et de l’art, paradis urbain de la fête toujours précurseur d’une mode, coeur battant de la nuit parisienne et de la culture internationale : pendant trois décennies, les Bains Douches rayonnent.


En 2010, des travaux sauvages entrepris par l’ancien gérant de la boîte de nuit mettent l’immeuble en péril et provoquent la fermeture des Bains. Afin de réinventer et sauver cette icône de la vie parisienne naît « La Société des Bains » sous l’impulsion de Jean-Pierre Marois, dont la famille est propriétaire du bâtiment depuis les années 60.
En janvier 2013, c’est le retour des Bains sur la scène internationale avec une Résidence d’Artistes éphémère initiée par Jean-Pierre Marois qui rend hommage à son ADN artistique. Ainsi, avant rénovation, ce monument épique se mue pendant trois mois en chantier fulgurant offert à la créativité en liberté. 

En 2015, s’ouvrent Les Bains du 21e siècle. Ils écrivent une nouvelle page de leur histoire.

Expression de sa renaissance, la métamorphose des Bains découle de trois projets de rénovation exceptionnels, signés Vincent Bastie pour l’architecture de la structure, Tristan Auer et Denis Montel/RDAI pour le design d’intérieur. Autant de talents, de styles, d’approches singulières, décuplés par l’envie de se réunir autour d’un lieu qu’ils adoraient déjà. De ces regards originaux s’est construite une vision commune, portée par
un enthousiasme à la hauteur de l’enjeu. Implantés au cœur de Paris, au 7 rue du Bourg l’Abbé dans le troisième arrondissement, Les Bains s’inscrivent au croisement du Marais médiéval, des Archives Royales et du moderne Centre Pompidou. Dans ce quartier central en rapide mutation se développent nouvelles galeries d’art et concept stores, restaurants bio et marchés alternatifs. 

Les Bains, c’est 39 chambres et suites cinq étoiles, une suite très rockstar en penthouse pour accessoirement y dormir, et un salon boudoir pour fermer les yeux. C’est aussi le restaurant Roxo et son bar, écrins culinaires français imprégnés de saveurs du monde, et bien sur le Club, avec programmation sur mesure de concerts, DJ Set et happenings divers.

Ici, le luxe se vit dans l’Histoire et, déjà, au futur. Cette effervescence urbaine offre aux Bains un terreau fécond où s’épanouir en fleuron de la vie parisienne car Les Bains ne dorment jamais.

Le lieu est conçu comme un cercle exclusif au confort ultime, à vivre et expérimenter dans sa totalité, une expérience contemporaine à la vibration diurne et nocturne. Il incarne la quintessence d’un certain Paris, une fusion de « l’ici » et de « l’ailleurs », un lieu hybride ouvert à tous les trend-setters passeurs de frontières. Les Bains forment une manière de club urbain à géométrie variable et aux frontières changeantes, avec lobby, restaurant, bar, lounge, salons, patios, suites, terrasses.

On pourra y déjeuner, goûter, dîner, souper, danser, faire salon, quasiment partout et avec des horaires très souples. Aux contributeurs permanents des Bains viendront se greffer ponctuellement les signatures de « special guests », dont l’âme et la voix se frottent de façon sensible à celle des Bains.

LES BAINS – 7 rue du Bourg l’Abbé – Paris IIIe

 

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ArchivesBlogEdito

Clayton by Michael Andre

Teeshirt Zara Man

Photographer: Michael Andre @michaelandrephoto

Model: Clayton B. Nelson @claytonbnelson

Model Management: @nomadmgmt @fentonmodels @larsontalenthawaii @andrewwilsonagendy

Jacket Patagonia
Pants Banana Republic
Boots: Doc Martens
Sweater: vintage

Jacket: Levi’s
Pants: Banana Republic
Sweater: RVCA
Boots Doc Martens
Teeshirt Todd Snyder – Sweetshirt Champion
Jacket. Timberland
Jeans. Levi’s

Top Alexander Wang for Uniqulo
Teeshirt Zara Man
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ArchivesBlogHorlogerie

S.T. DUPONT : nouvelle collection de montres

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S.T. DUPONT réinvente l’apparence du temps avec une nouvelle collection de montres

La flamme de l’innovation et du design brûle depuis toujours au cœur de la Maison S.T. Dupont. Depuis le travail des plus beaux cuirs tannés à la poudre de diamant jusqu’aux techniques traditionnelles du laquage naturel, S.T. Dupont incarne le nec plus ultra de l’élégance, de la créativité et du savoir-faire artisanal français.

Sa nouvelle collection de montres Hyperdome marie l’audace du design à des matériaux de pointe pour revisiter en profondeur les classiques de l’horlogerie. Toujours en quête d’innovation et fier d’être unique, S.T. Dupont a décidé de placer le temps sous un dôme de verre minéral.

Ce dôme de verre minéral révolutionnaire confère à la collection Hyperdome sa silhouette bombée reconnaissable entre mille. Au-delà de ses qualités esthétiques, le dôme de verre minéral présente également des propriétés antireflets, de résistance aux rayures et d’extrême longévité. Le dôme de verre minéral renferme un cadran en relief, dont les détails évoquent des coulées de métal en fusion.

Déclinée en six modèles au choix, la collection Hyperdome est conçue pour les avant-gardistes et les amateurs de montres en quête d’une nouvelle esthétique. Chaque montre incarne un style, qui traduit sa personnalité et son trait de caractère : Be Exceptional se distingue par un cadran au bleu brillant et un bracelet en tissu tricolore, hommage aux racines de la Maison S.T. Dupont, tandis que BeBold, Be Extreme et Be Daring célèbrent l’audace sans compromis du design de la collection. Be Elegant et Be Chic affichent l’élégance et la sophistication d’un subtile cadran aux reflets dorés. Six montres imaginées pas seulement pour donner l’heure, mais aussi pour donner au monde une idée de qui vous êtes.

« Nous avons créé une montre à la croisée de l’espace et du temps. Une montre qui s’affranchit de toutes les règles. Elle est moderne, elle est rebelle et c’est ce qui fait tout son attrait. »

Disponible sur https://www.st-dupont.com/, boutique S.T. Dupont au 10 rue de la Paix, Printemps Haussmann et Galeries Lafayette.

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Karl Lagerfeld 1933 – 2019

Commencer un article sur un homme que l’on admire est difficile, voir  compliqué. Trouver un titre accrocheur sur un homme qui a utilisé à son compte le plus large éventail des ressorts du marketing l’est encore plus alors autant jouer la simplicité.

Karl Lagerfeld, de son vrai nom, Karl Otto Lagerfeldt, né le 10 septembre 1933 à Hambourg en Allemagne et mort le 19 février 2019 à Neuilly-sur-Seine -France, fût certainement l’un des plus grand couturier du 20eme siècle. Touche à tout de génie, il fut également photographe, mais aussi réalisateur et éditeur.

Il fut directeur artistique de la maison italienne Fendi à Rome à partir de 1965, de la maison de couture Chanel à Paris à partir de 1983, et de sa propre ligne à partir de 1984.

Sa vocation de couturier remonte précisément au 13 décembre 1949 lorsqu’il accompagne sa mère à son premier défilé de mode, celui de Christian Dior. Dès lors, ce jeune passionné de dessin, se met à dessiner des modèles.

En 1952, Karl et sa mère quittent l’Allemagne et s’installent à Paris, alors LA capitale de la mode. Il est d’abord élève dans une école privée, puis au lycée Montaigne.

Après avoir travaillé en tant qu’illustrateur de mode, il s’installe en 1954 au 7 quai Voltaire dans un hôtel particulier. Le 25 novembre de la même année, il remporte le premier prix du concours du « Secrétariat international de la laine », organisé par la marque Woolmark, ex-æquo avec Yves Saint-Laurent. Le couturier Pierre Balmain, qui fait partie du jury, le remarque et le recrute comme assistant de 1955 à 1962. C’est le début pour lui d’une brillante carrière professionnelle.

La rivalité entre Yves Saint Laurent et Karl Lagerfeld date de cette époque : Yves Saint Laurent évoluant en Haute Couture, Karl Lagerfeld choisissant le prêt à porter.

De Jean Patou à Fendi

En 1959, Karl Lagerfeld est nommé directeur artistique chez le couturier Jean Patou. Peu de temps après, il choisit de mener une carrière de styliste indépendant contractuel et de créer des collections de mode, successivement pour la France, l’Italie, l’Allemagne et le Japon. En 1963, il innove en dirigeant le prêt-à-porter et en créant les accessoires de la marque de mode Chloé, et cela durant vingt années, jusqu’en 1983.

Depuis 1965, il travaille également pour la maison italienne Fendi à Rome, dont il crée le logo.

De Chanel à H&M en passant par le gilet jaune

En 1983, Lagerfeld est nommé directeur artistique pour l’ensemble des « collections Haute couture, prêt-à-porter et accessoires » de la maison Chanel qui à l’époque frôle la fermeture, et dont il doit relancer l’activité pour éviter sa disparition.

«Mon travail ce n’est pas de faire survivre le tailleur Chanel, mais de le garder vivant.» dit-il.

Pour réveiller cette « Belle au bois dormant », il choisit le mannequin Inès de La Fressange pour représenter l’image de Chanel. Elle est le premier mannequin à signer un contrat d’exclusivité avec une maison de haute couture et la première à devenir autant médiatisée dans l’histoire de la mode. L’inspiration de Lagerfeld est basée sur l’esthétisme et l’histoire de Coco Chanel. Il ne se contente pas de faire du Chanel, il réinvente le style Chanel selon ses idées : «La personnalité commence où finit la comparaison.»

N’étant pas intéressé au chiffre d’affaires, ne mettant jamais son « nez dans les comptes », il est soutenu par Alain Wertheimer propriétaire avec son frère de la maison de couture et dispose d’« une liberté totale » selon ses dires.

Connu pour sa liberté de pensée et de ton, il sait imposer ses choix, parfois avec un franc parler qui lui est propre. Souvent acerbe, toujours spirituel, ses petites phrases, les « Karlismes » comme il les appelait, claquaient comme un coup de cravache : «La méchanceté est excusable si elle est spirituelle. Si elle est gratuite, elle est impardonnable.»

En 1989, Inès de la fressange laisse la place à une jeune inconnue allemande, Claudia Schiffer que Karl Lagerfeld propulsera au firmament des top modèles de l’époque.

En 1986, il avait choisit l’actrice Carole Bouquet comme égérie du parfum N°5 qui le restera jusqu’en 1996, et la chanteuse et actrice Vanessa Paradis pour incarner Coco. Chanel sous son impulsion habille les jeunes actrices du cinéma français mais aussi les stars de la scène internationale. Il créera ainsi des tenues pour Madonna et Kylie Minogue et Nicole Kidman incarnera le parfum N°5 dans un clip mis en scène par Baz Luhrmann en 2004.

En 2004 également, le couturier créé la polémique en lançant une « collection capsule » de prêt-à-porter de trente vêtements pour H&M. Dans certaines boutiques, la collection est vendue en quelques minutes. Irrité par le manque de qualité des matières et des finitions, et par le peu de vêtements mis en vente dans les magasins de la chaîne, et devant la déception des clients, Lagerfeld déclare : « Je trouve pénible que H&M ait contrarié tant de gens. C’est du snobisme de faire de l’antisnobisme. »

Son irrévérence et son sens de l’humour lui permettent de toujours prendre du recul par rapport au milieu aseptisé de la mode. Se prendre au sérieux oui, mais pas trop. «Les stylistes qui se prennent la tête, je trouve ça assommant, ridicule ; faire des robes, c’est important, mais ce ne sont que des robes. On n’est pas Kierkegaard quand même !»

En 2007, deux ans après avoir revendu toutes ses marques (la Lagerfeld Gallery, une collection sous licence pour hommes et femmes et des accessoires, la boutique parisienne de la Rive Gauche et la boutique de Monaco) à Tommy Hilfiger pour 30 millions de dollars, Karl Lagerfeld lance une nouvelle ligne, K par Karl.  C’est à cette période qu’il est rejoint chez Chanel par Amanda Harlech, l’ancienne consultante de John Galliano.

En 2008, il surprend tout le monde en acceptant d’être l’égérie d’une campagne de prévention pour la sécurité routière où il arbore un gilet jaune sous le slogan : « C’est jaune, c’est moche, ça ne va avec rien, mais ça peut vous sauver la vie »

Les défilés de la maison Chanel ont toujours crées la surprise tant par leur mise en scène innovante et souvent grandiose que par l’originalité et la technicité des matières. On gardera en mémoire la reconstitution du 1er étage de la Tour Eiffel sous la nef du Grand Palais, le supermarché Chanel, la villa et ses jardins, la fusée ou la magnifique plage de sable fin.

En 2013, il réalise le court-métrage « Once Upon a Time » à la Cité du Cinéma de Luc Besson à Saint-Denis avec Keira Knightley dans le rôle de Coco Chanel et Clotilde Hesme dans celui de sa tante Adrienne Chanel.

Infatigable, toujours en avance de 2 coups comme un joueur d’échecs, ses multiples activités reposaient sur une large équipe de stylistes qui l’assistaient tant chez Fendi, chez Chanel ou pour sa propre marque. Il disait avoir un contrat « à vie » avec la maison Chanel, qui n’a jamais démenti…

«Je suis devenu comme le crocodile de Lacoste. Il va bientôt falloir me coudre sur les vêtements.»

Illustration Agnès Solange pour Blakemag

 

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Valentin: jouer avec ou sans!

J’en conviens, cette semaine la Saint Valentin est partout. Des couples, encore des couple, on baigne dans la guimauve et le sirupeux, les petits coeurs et les noeuds rouges… mais on peut aussi jouer les Cupidons coquins et provoquer une montée de chaleur chez son ou sa partenaire pour changer les habitudes ou bien s’offrir une soirée canaille de Valentin célibataire grâce à notre sélection ci-dessous. Bon 14 Février à tous!

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Découvrez ce cockring noeud papillon en silicone et sans phtalates pour augmenter votre puissance sexuelle tout en restant gentleman! Grâce à cet anneau, vous pourrez maintenir votre érection plus longtemps et offrir à votre partenaire des moments de plaisir encore plus intenses.

 

 

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Le Spa du Bowmann – Paris

L’Hôtel Boutique 5 étoiles le Bowmann, installé Boulevard Haussman à Paris, signe en exclusivité et pour la première fois le Spa Lacure Officine, un écrin de luxe allié à l’art de vivre parisien.

Découvrez une véritable retraite détox en plein coeur de Paris.

Plus qu’une parenthèse anodine, le Spa du Bowmann offre une réelle expérience détox dans un cadre exceptionnel. Il offre une approche holistique et scientifique globale, capable d’agir à la fois sur la beauté, le bien-être et la santé de chacun.
Le Spa offre des programmes entièrement personnalisables. Après une phase de diagnostic, soins du visage et du corps sont proposés en complément d’un programme nutritionnel et d’activités physiques, dont la durée varie selon les besoins de chacun.
Les soins experts sont prodigués par des thérapeutes expérimentés et attentifs, appuyés par les produits la Cure Officine.
L’alliance de matières nobles et les innovations technologiques conduisent la carte du spa Bowmann à des horizons inédits.

Les Soins corps, proposés après un thé alcalin et l’inhalation d’huiles essentielles, associent l’action exfoliante et tonifiante (Soin Firm Allure), réactivent la fermeté (Soin Firm et Smooth), luttent contre la cellulite (Sculpting massage minceur), stimulent la circulation sanguine (Anti Inflamming Détox) et le renouvellement des cellules (Expérience h2Bo).

Les Soins visage ciblent les peaux désydratées et les teints ternes (Soin Hyro Radiance Illuminateur), apaisent et purifient (Soin Synergie Pureté Détox), reminéralisent en ciblant activement le vieillissement cutané (Soin Age Defense Secret d’Officine).
Le Soin visage Signature Bowmann s’inspire du massage japonais Kobido : lifting naturel par excellence.
D’une durée de 1h30, il aide à lutter contre les signes visibles du temps. Rythmé par des mouvements précis, le visage retrouve son véritable éclat !
En complément, la carte associe des massages sur-mesure à des shots d’huiles essentielles aux vertus curatives et holistiques. Objectif annoncé : le bien-être retrouvé.

Fond bleu saphir, plafond miroir et entourages en marbre de Carrare, la piscine du Spa ouvre son bassin magique. 8 mètres sur 6 pour un bain de jouvence et de relaxation maximale. Une parenthèse de bien-être complétée par un jacuzzi, un hammam entièrement recouvert de mosaïque dorée, un sauna et un pédiluve dont les jets massant et l’action de l’eau chaude stimulent la circulation sanguine.
En complément du spa, l’Hôtel Bowmann offre une salle de fitness, en partenariat avec Technogym.

Informations pratiques :
Hôtel Bowmann 99 Boulevard Haussmann, 75008 Paris / 01 40 08 00 10
reservation@hotelbowmann.com
www.hotelbowmannparis.com

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Dr. Vranjes Firenze-Donner corps au parfum.

Candele est la nouvelle collection d’ornements olfactifs de haute parfumerie signée Dr. Vranjes Firenze.


Cette collection est empreinte du charme et du caractère exclusif indissociables de la Maison depuis 35 ans. Elle illustre les principes sur lesquels repose chacune des créations Dr. Vranjes Firenze : la couleur, le caractère unique des formes et de l’objet même, les parfums iconiques et une technique de production novatrice.
Les notes caractéristiques des parfums Ginger Lime, Ambra, Melograno, Rosso Nobile et Oud Nobile donnent vie à la collection Candele. Des objets uniques auxquels les plus grands maîtres vitriers ont donné leur forme octogonale. Le flacon emblématique de Dr. Vranjes Firenze, inspiré de la coupole de Brunelleschi, est à l’origine de la forme des précieux pots à bougie. La synthèse absolue du style et de l’excellence du made in Florence.


Les ornements réalisés à l’aide de techniques d’artisanat artistique mettent en valeur l’élégance des bougies en tant qu’objets de décoration parfumée. Ils s’inspirent de matériaux précieux tels que les perles, la tourmaline, l’or et le bronze pour l’extérieur, et l’onyx et l’ardoise pour l’intérieur. Le contraste brillant-opaque crée un effet unique, particulièrement séduisant.


La collection Candele est le fruit de la technique de production exclusive de Dr. Vranjes Firenze, qui associe les cires à des huiles essentielles pures, sans ajout de solvants, afin de laisser s’exprimer toute la puissance du parfum, tout en garantissant performance et fiabilité :
• Cires de haute qualité, sans solvants ni conservateurs.
• Mèches écologiques en pur coton avec coeur en papier.
• Chaque format de bougie est doté d’une mèche différente, soigneusement choisie pour créer une jolie flamme se consumant de manière harmonieuse avec la bougie.
Les bougies Candele sont disponibles dans 4 formats :
• 500 g – 4 mèches
• 1 000 g – 6 mèches
• 3 000 g – 8 mèches
• Maxi – 10 mèches
Chaque bougie Dr. Vranjes Firenze est un objet unique, confectionné en verre soufflé à la bouche et décoré à la main. Chacune de ses particularités est le témoin de sa fabrication artisanale et de son caractère unique.

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PAUL REITZ by Jeffrey Felner

As is my wont in many cases, I am always on the lookout for multitalented creatives who juggle more than one occupation while employing a varied skilled set. As you will read Paul Reitz takes multi-tasking to a whole other level aside from being a lensman. Paul Reitz graciously carved out some precious time from his busy schedule to enlighten us, yes me too, about his everyday life and what that might encompass which could be anything from flowers to venues, to speeches to photography to napkins.

He is also a consistent presence and voice on social media which may or may not be confined to his creative strengths but also as a critic concerning the politics of our nation.

So, rather than me trying to offer any more of an introduction about this man’s creative endeavors, here he is in his own words and he can tell you himself…

Jeffrey Felner: Can you sort of give us a brief resume as to how you arrived to “where you are” at present?

Paul Reitz: Having moved to New York 30 years ago, following a few years in Tulsa as a DJ at alternative clubs but while in college my interest in photography was amplified studying the craft. I started shooting friends, mostly men, and made a conscious decision that whatever else I did; I wanted to be project a my singular vision of male beauty.  As soon as I got to NYC, I started shooting frequently, mostly actors, models, club kids that I would meet and in the post 9/11 NYC. I really put my heart and soul into photography as a way to express beauty and to make my way through what was a rather long emotional and mental recovery.  I was so fortunate that in 2010 German publisher Bruno Gmunder approached me to assemble my first book; that experience really just made everything explode for me and I’ve been fortunate to be very busy ever since.

JF: You juggle 2 very different careers…  but are they as different as they appear on the face? Explain please.

PR: Simultaneously working as a photographer and producing charity events for nonprofits (which might include fundraising to planning the theme, design concept, evening program, flowers, menu, the overall guest experience, and writing most of the speeches).  My touch is in every detail.  

Both careers, offer a similarity in that you’re telling a story. I studied journalism for radio/tv/film in college, and saved my money for three years after graduation to move to NYC since it would afford me considerably more opportunities than my native Oklahoma. I don’t work in TV, or at a news organization, but I work with many of those creatives and journalists on a daily basis. I use storytelling in events, in translating a mission of an organization or its culture to donors. As a photographer, I’m trying to tell a story in most images, albeit far more subtly. as event planner I am part of a collaborative effort while as photographer it’s usually just me on the photo side…my vision, my style choices, location — everything.

JF: If you could invite any 5 people to dinner who would they be and why?

PR; Debby Harry has always been one of my favorite people, as has Siouxsie Sioux, Vivienne Westwood…and a couple of male sports crushes would delight me to no end, but I think I’d instead opt, in the current atmosphere in our country, for five advocates for positive change, and leadership.  I’m thinking of Presidents Obama and Carter, both of whom I’ve long admired and who made a tremendous impact on me.  Jimmy Carter is a saint…out building homes for the poor at his fragile age.   I could learn from him and from President Obama.  I’ve been fascinated by the young survivors of the Parkland School shooting, and what they are doing to create change. Like David Hogg.  I’d love to hear how he connects the dots and how he motivates young people and people of all ages to take action, and how he has turned a horrific event into action.  That inspires me tremendously, Christiane Amanpour who is radiant and fiercely intelligent as well as being a superlative interviewer. the last guest, the « just because » factor would be Cher who is Still out there and standing up for what is right in this country  The common theme with this lot, I suppose, is perseverance, humor, thoughtful advocacy.  

JF:As part of the maturation process, did you have any mentors or icons that you either tried to emulate or idolize …? Who and why?

PR: Growing up in Oklahoma, I saw these rich black & white photos of the Dust Bowl era and the Great Depression that were part of our history.th eimages documented as well as cinematically transporting the viewer into the grit of the dust and the simple beauty of the faces of the men and women who retained dignity despite the despair of those times.  Photographers like Dorothea Lange, in whose work you could feel the wool and cotton garments, the grit and dust, and the bare human emotion.  Works like that told a story. In college, studying photographers like Duane Michals who married imagery with the written word, creating a dual impact.  Then the rich deep black and white landscapes of Ansel Adams in the American West embodied a majesty, and a stillness that was formative for me.  The black and white made it even more timeless.  For male beauty, there was the 1970s porn look, more than anything I suppose … Shirtless, barefoot men in jeans, with naturally toned physiques and an easy, open expression, or invitation, punk and rock star swagger…. unfiltered sex appeal. Then there were the old copies of Physique Pictorial that I’d come across from time to time.  I love that the magazine is back, and in such a special way, honoring the past and keeping current in male erotica.  Herb Ritts and Bruce Weber were becoming popular when I was in college, and I certainly admired their work.

JF: Could you give us your opinions about the influence of social media on the world of fashion? Photography? Models?

PR: I suppose I’m one of those people that feels that so much of our current technology…smartphones etc., isn’t necessarily making our lives more efficient, but really busier, more distracted and I’d argue more anxious.  It’s certainly thrown fashion into a tailspin, with many brands rushing to keep up with those outlets and retailers who are savvy in their use of the medium to push fast-fashion.  Social media amplifies all of it.  As for photography, I think the old rules apply: the image must be multi-dimensional, it must grab you, it must evoke something, and if possible, touch you in some way, especially sensually.  

And as for models, I’ve garnered a considerable amount of work and individual clients… a distinction other than agency contact, editorial work … through Instagram in particular.  But how long will that model be viable, or « hot? »  In a few years, there will be another platform, another way of communicating … the censorship there is infuriating.  

Models? Please don’t call yourself a model unless you have an agency behind you; Otherwise, you are a social media « celebrity,” and that can be very empty and rather dull and soulless.  These Instagram « models » for example are rarely groomed, rarely do their homework and almost always have an inflated sense of their value.  It’s a popularity contest but there’s no single panel of judges.  The Kardashian mentality sickens me; they contributed heavily to the downfall of American culture.  Kanye and Kim on the cover of Vogue was an absolute travesty, as It endorsed this mindless ridiculousness.  

A plus for the social media platforms however is their delivery of fashion; it’s been exciting to be able to watch things that interest me like a Vivienne Westwood show live in Paris via Instagram.   So much of what interests me in photography is the use of my imagery to seek a product, or a concept.  I love seeing my work focused through someone else’s lens, and have found a new audience in the modern romance novel.  I’ve sold numerous covers for both gay and straight romance novels, and have loved learning about and being in that community.

IN the end the old rules must apply.  Less is more, for me. That’s my mantra and to present the image as a high point.  The current social media platforms will evolve, and change. I’m looking forward to the next one…one that allows my vision to be presented even more in tandem with what I see in my head.  I want a new big black and white book in everyone’s hands 🙂

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