Depuis sa création en 1868, le groupe Bodet n’a cessé d’innover pour devenir, aujourd’hui, le leader européen des solutions de mesure et de gestion du temps pour tout ce qui concerne les horloges d’édifices publiques, les tableaux d’affichage sportif ou les tableaux d’affichage des gares ou des aéroports.
En 2018, Bodet célèbre son 150ème anniversaire, appartenant ainsi au cercle restreint des entreprises françaises centenaires. Souhaitant marquer cette étape importante dans l’histoire familiale et entrepreneuriale, Pascal et Sylvain Bodet recherchent un produit spécial symbolisant toutes les facettes de Bodet : histoire, qualité, innovation. Un objet humble, de bonne facture. De fil en aiguille, ils décident de créer une montre événement. Nous sommes en 2016. Le projet B480 est lancé. Outre un clin d’oeil à leur arrière-grand-père qui vendait des montres Bodet, ce choix est loin d’être anodin. Il illustre la pure tradition Bodet de maîtrise du temps, tout en sortant du champ industriel qui est le sien. Il traduit également une totale adéquation avec les maîtres-mots de Bodet : ancrage et exploration, tradition et innovation.
L’histoire, la culture et l’identité d’entreprise se sont construites autour d’un impératif très fort : la qualité. Il en sera de même pour la création de cette pièce horlogère. Pour ce faire, il fallait s’entourer d’acteurs expérimentés. Pascal et Sylvain Bodet ont donc choisi de collaborer avec un designer horloger de Besançon, connu et reconnu dans le milieu, pour sa créativité et sa capacité à casser les codes tout en respectant la méthode propre à un métier qui ne souffre aucune approximation. « Nos solutions évoluent à la nanoseconde. La précision n’est pas discutable. Nous restons fidèles au sujet qui nous occupe depuis 150 ans tout en continuant d’évoluer et innover. Cette montre est le reflet de notre savoir-faire : fiabilité, qualité et précision » précise Sylvain Bodet.
Baptisée « B480», cette première collection de montres Bodet interprète la fusion des deux horloges mythiques de l’entreprise Bodet.
Le cadran rappelle l’horloge analogique BT480, conçue par Pierre Bodet dans les années 60, distinctive par sa forme carrée, ses index noir sur fond blanc et ses aiguilles biseautées. Le boîtier, quant à lui, s’inspire de la forme carrée de l’horloge à palettes, emblématique des années 70 et qui a fait la renommée de l’entreprise à travers le monde. « Nous avons souhaité proposer un modèle avec un cadran de forme qui n’est pas sans rappeler les horloges qui ont fait la renommée de notre entreprise. Cette montre incarne une façon de voir et de concevoir. Il n’y a rien de superflu » explique Sylvain Bodet.
Sobre et charismatique, la collection B480 reprend les codes identitaires de l’ADN Bodet, à commencer par son nom : « B » signifiant « Bodet », « 480 » renvoyant à la référence « BT480 » de l’horloge analogique dont elle est inspirée (« 4 » en référence aux quatre côtés de l’horloge ; « 80 » pour la dimension des côtés). Sur chacun des modèles présentés, les lignes esthétiques induisent des notions de rigueur et de précision.
Distinctif par sa forme peu commune en horlogerie, le boîtier en acier inoxydable aux finitions polies et satinées revisite en version miniature la géométrie de l’horloge à palettes : deux pièces maîtresses uniquement, avec un plan de joint et seulement quatre vis pour les relier entre elles. Protégé par un verre saphir, il arbore des angles francs venant accentuer l’épure de l’ensemble. Dans cette enveloppe d’acier et de verre, les fonctions sont sublimées à travers l’éloquence du cadran présentant une grande ouverture sur un fond d’un blanc immaculé. Par jeu de contraste, les aiguilles noires des heures et des minutes informent du temps qui passe, au rythme d’index nets, le tout offrant une lisibilité optimale.
La B480.1 se démarque par une ouverture du cadran à 7 heures, dévoilant les rouages du mouvement, coeur battant de la montre. Discrètement juxtaposée à ses côtés, une petite seconde, insérée dans un compteur au graphisme épuré, apporte une touche de fantaisie contemporaine par son positionnement entre 4 et 5 heures. Animé par un mouvement mécanique à remontage automatique décoré Côtes de Genève (Miyota 82S5), ce garde-temps bat au rythme de 21‘600 alternances par heure, possède 21 rubis et dispose d’une réserve de marche de 40 heures. Editée en série limitée numérotée à 300 exemplaires, la B480.1 trouvera, assurément, sa place au poignet des passionnés d’horlogerie.
La B480.2 révèle tout l’attachement que porte Bodet à la technique horlogère. Ouvert à 5 heures, le cadran invite à contempler la nature mécanique de la montre. Embarquant un mouvement automatique décoré Côtes de Genève (Miyota 90S5), oscillant à une fréquence de 28‘800 alternances par heure et pourvu de 24 rubis, cette montre offre une réserve de marche de 42 heures. Editée en série limitée numérotée à 150 exemplaires, la B480.2 s’impose comme une alliée fiable, accompagnant l’audace avec aplomb et sérénité.
La B480.3, quant à elle, est de loin la plus fidèle au cadran de la célèbre horloge analogique Bodet, créée dans les années sixties. Seule coquetterie ? Une grande seconde en laiton rouge. Rythmant la lecture de l’heure, cette trotteuse vient dynamiser, par sa couleur, la sobriété du cadran tout en mettant en lumière la pureté de ses lignes. Les amateurs de montres design apprécieront . . . Editée en série limitée numérotée à 150 exemplaires, cette montre abrite un calibre mécanique automatique décoré Côtes de Genève (Miyota 90S5). Doté de 24 rubis et battant à 28‘800 alternances par heure, il garantit une réserve de marche de 42 heures. Tant esthétique que fonctionnelle, la B480.3 sera une complice fidèle pour se singulariser au quotidien.
Made in France, les montres Bodet ont été dessinées, conçues, assemblées, réglées et contrôlées dans les ateliers d’UTINAM à Besançon. Incarnant l’identité horlogère de Bodet, elles perpétuent sa tradition de maîtrise du temps.