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Une BMW en road trip culinaire

La team Blake est partie en road trip gastronomique entre le Nord de la France et la Bourgogne avec pour véhicule le tout dernier X1 M35i xDrive de chez BMW, le SUV compact, pépite de la marque allemande.

Premier arrêt: le restaurant La Laiterie Lambersart près de Lille, tenu par le Chef Edouard Chouteau. Cette maison a 120 ans d’histoire,elle est une Institution gastronomique majeure et immanquable de la métropole lilloise, y sont passés déjà passé des chefs comme Ludovic VANTOURS (1984-2002), Steven RAMON et Benoit BERNARD (2002-2013) qui obtiendra une étoile au guide Michelin, puis Nicolas GAUTIER (2013-2017), Corentine LEDUC (2017-2019). Aujourd’hui pour Edouard Chouteau tout y est à refaire, l’étoile est à reconquérir, et il a carte blanche.

La salle de restaurant est grande, divisée en plusieurs espaces dans le L que forme La Laiterie, nous dînons dans la partie qui a le plus de hauteur sous plafond. Les tables sont bien séparées ce qui laisse une véritable intimité pour vivre le repas. Le ton principal est le blanc, une façon de mettre en lumière ce qui se passe dans l’assiette. L’équipe est complète, en salle le rythme est bon et les plats s’enchaînent en laissant le temps de discuter et d’apprécier chacun des temps du dîner. La cave, très fournie, offre des pairings riches : des grands classiques, aux natures en passant par la bière. La cuisine d’Edouard Chouteau est une cuisine française, qui sait jouer des grandes techniques classiques avec de l’inventivité et ayant à coeur d’être dans les marqueurs fort de la région mais aussi de l’AND de la maison qui était une ancienne laiterie, donc place belle aux produits laitiers, crème, fromages, beurres, …

Pour le dîner il nous est proposé 3 menus : produits d’exceptions,  végétale et terre-mer. Nous ferons une diagonale qui comprendra un mélange des 3 pour explorer au maximum les talents du Chef. Parmis les amuse bouche Edouard Chouteau revisite le grand classic moule-frite avec briaud, il aime jouer avec le Terre-mer comme avec le veau caviar, plein de peps et de saveurs mêlées et équilibrées. Dans un registre de “cuisine classique” la queue de langoustine tapée façon Gagnaire, superbe de maîtrise. Pour le végétal, l’asperge verte, concombre au barbecue et sauce tigre explose de saveurs, une véritable réussite qui mêle les influences tout en respectant les saveurs de chaque produits, pour le plus grand plaisir de nos papilles.  La sole au lard de colonnata fumé au foin avec une cuisson maîtrisée propose un terre mer subtil.

La Tourte de bœuf au foie gras achève de démontrer que Edouard Chouteau maîtrise les codes de la cuisine française. Comment finir un repas à La Laiterie sans prendre de fromages, impossible, et cela est un régal mais pour une fois je m’attarderais sur la salade et son assaisonnement, qui apporte une très belle fraîcheur, et surprend avec  ses notes de jus de viande et ses chips de pain. Comment ne pas vous parler des desserts du chef pâtissier Benjamin Caunois …surtoutcelui au miel préparé avec les miels de ruches de La Laiterie, un délice d’élégance et de saveurs sans tomber dans le trop sucré, et le baba, tout en légèreté, je sais ca peut surprendre mais on est dans l’aérien, ce qui est nécessaire pour une fin de repas.Un régal à travers toutes ces saveurs de la région Nord et de France. Edouard Chouteau montre tout son talent et son inventivité galopante. Une cuisine à découvrir et redécouvrir sur toutes les saisons.

Interview de Edouard Chouteau – La Laiterie Lambersart

Comment en êtes-vous venu à la cuisine ?

J’ai grandi dans l’hôtel de mes parents j’avais l’envie de faire comme mon père faire plaisir aux gens, il y avait quelque chose de magique dans la cuisine. Tout d’abord j’ai fait un stage chez mon oncle qui m’a dit va faire des grands restaurants j’ai alors commencé l’apprentissage en faisant des stages dans des restaurants étoilés à Lorient.

Quel a été votre parcours d’apprentissage ?

Mon premier stage c’était chez Henri et Joseph j’ai fait mon apprentissage là-bas puis au bristol avec Éric Fréchon avec une brigade de fou Henri et Joseph on était trois alors que là on était cinq il y avait Florian enfin Mario Colin Foulquier Nawel que du beau monde et puis j’ai été extra espace extra chez Paul Berger à l’Arpège, je suis passé aussi chez qui Kika d’Agosto en Espagne.  Mais ma grande envie c’était d’aller chez Gagnaire. Ensuite je suis allé à Courchevel, pusi au Balzac chez Gagnaire, J’y ai tout adoré l’équipe le matériel c’était exceptionnel. Gagnaire, vraiment, c’est super complet c’est tout ce que j’aime on ne jette rien la brigade est soudé à beaucoup de niveau il y a beaucoup de plaisir en cuisine c’est géré comme une maison de patron c’est le grand luxe beaucoup de produits incroyables tout le temps en mouvement rien de figé c’est une cuisine vivante avec du risque de l’audace et avec beaucoup d’énergie.

Après le bal après le Balzac j’ai fait le tour du monde je ne savais pas trop ce que je voulais faire je suis passé à New York je suis allé au Portugal mais aussi à Dakar il y avait une opportunité au Clarence pour rejoindre Christophe pelé en tant que sous-chef je l’ai saisi. Christophe appeler ce sont des jeux de textures incroyable et en cuisine c’est très décomplexé un festival de produits j’ai fait des services de 20 couverts dit table sans qu’une assiette ne se ressemble, Christophe appeler c’est un artiste, personne personne ne vit la cuisine comme lui.

Puis j’ai eu la direction du pavillon de la reine avec Mathieu Paco c’était une opportunité folle je n’avais jamais été chef je n’avais jamais fait d’ouverture je n’avais jamais embauché d’équipe une magnifique opportunité.

J’ai quitté le pavillon de la reine pour avoir plus d’espace pour l’opportunité de faire pleinement ce que je voulais, faire ma cuisine.

Comment êtes-vous arrivé à la Laiterie ?

Pour la laiterie j’ai été embauché par une chasseuse de tête qui m’a convaincu du potentiel de la maison, que le projet était excitant, parce qu’à la base je ne voulais pas partir de Paris. Ici il y a une histoire qui me parle et y avait tout à faire.

La laiterie c’est 120 ans d’histoire c’est une institution  qui parle à tous les lillois, donc il y avait une grosse attente c’était une nouvelle page à écrire comme au Pavillon de la Reine, mais là j’étais aux commandes. On m’a donné carte blanche, il y avait tout à refaire : une équipe à monter, jusqu’à racheter de la vaisselle. Mais il y a ici une cave exceptionnelle, une bonne base pour un restaurant (rire).

Quelle est la nature de votre cuisine à la Laiterie ?

Ma cuisine…ce sont d’abord de beaux produits, aller à la recherche de petits producteurs locaux, raconter quelque chose avec des goûts réconfortant, mais aussi se faire plaisir en cuisinant à la laiterie je veux que cette maison soit cohérente alors je travaille le lait évidemment mais surtout je souhaite être avec des produits locaux du bœuf de la volaille de la région mettre en avant terroir. Dans la région il y a un vivier d’artisans précieux, le terroir nordique est riche et singulier.

On bosse beaucoup avec une petite ferme du Pont d’Achelles, elle fait des petits pois, des asperges, des fraises, des framboises, mais aussi des morilles exceptionnelles. Ce que j’aime le plus c’est de travailler les fruits de mer et le gibier, le végétal,… J’aime la diversité, en fait, à chaque saison on réinvente le métier de cuisinier.

Quel est votre accord boisson et plat préféré :

J’aime utiliser le vin, l’alcool ou les eaux de vie en cuisine, ça ajoute de la fraîcheur mais aussi de la profondeur et une vivacité. Je préfère rajouter de l’eau-de-vie à une sauce que des épices, ça ramène une autre dimension.

Y a t il une volonté vers l’étoile Michelin ?

Mon ambition pour la Laiterie c’est de faire vivre la Maison et de prendre du plaisir. j’ai toujours travaillé dans des maisons en lien avec le Michelin… nous on fait ce qu’on sait faire, on va de l’avant, pour le reste autour, on n’y peut rien.

Notre voyage se poursuit direction la Bourgogne, à Courban, entre Troyes et Dijon.

Le Château de Courban fait hôtel, spa et restaurant. Dans la petite ville de Courban, ainsi que dans la région, les plus grosses demeures de chaque cité était nommée Château. C’est ainsi que au détour d’une rue du village de Courban l’on devine derrière un portail, une grande maison de maître. 

Le domaine est splendide avec ses jardins, ses différentes dépenses pour différents logements, dont un pigeonnier tout à fait romantique pour les nuits étoilées. Mais aussi des points d’eau, un couloir de nage, un spa Nuxe, et le chien du maître de maison pour veiller sur les lieux.

Le restaurant offre deux espaces, dont le premier avec la cheminée pour débuter ou finir le repas au coin du feu, et la salle principale qui jouit d’un beau volume. Les tables sont bien espacées pour offrir une bulle apaisante et vivre son repas sans gêner les tables d’à côté. L’équipe en salle est très prévenante, la sommelière accompagne avec tacte tout le repas. On est clairement sur une maison qui va chercher l’étoile.  Le repas commence sur de jolies amuses bouches où jeux de couleurs, textures et saveurs annonce un dîner qui aura des influences multiples venant de France, mais aussi des pays arabes et de l’Asie. Les saveurs sont toujours très justes et équilibrées, le poisson est particulièrement mis en avant avec un travail sur la maturation de la chaire, qui marque son goût et lui apporte une salinité naturelle, c’est très bien maîtrisé.

La langoustine soutenue par la vanille et la patate douce est un terre-mer subtil et très réussi. D’ailleurs tous les jus et réduction sont goutû à souhait et révèle les plats qui sont très lisible, en bouche on sait ce qu’on mange. La volaille de Racan au morille de saison est superbe également, un sans faute, avec des pairings vins classiques mais justes. Le plateau de fromage arrive avec du miel sur son rayon, un délice ! Une belle expérience culinaire qui devrait bientôt se voir glorifiée.

Interview de Maxime Lesobre – Le Château de Courban

Pourquoi avoir choisi la cuisine ?

Mes parents étaient bouchers, et avant mon père était à Rungis et grand spécialiste du gibier. J’étais pas fait pour les études, j’avais trop d’énergie à dépenser (rire)…je suis portugais de par ma mère, j’avais donc 2 grands- mères qui cuisinaient très bien l’une française et l’autre portugaise, deux belles écoles de cuisine. Et puis la cuisine c’est les moments joyeux où l’on se réunit et j’aimais ça. Donc la cuisine a pris le dessus très vite. J’ai fait quelques stages et des chefs m’ont pris sous leurs ailes. Mon avantage c’était qu’avant d’arriver en cuisine je savais travailler les carcasses de viandes grâce à  mon père. J’ai fait un BEP cuisine à Ferrandi Versailles, avec de très bons profs donc Frédéric Anton, qui est MOF aujourd’hui.

J’ai fait beaucoup d’heures et j’ai été bien formé. J’ai été mordu totalement. Puis un BP, Bac pro, avec que de la cuisine. Mes parents ont une boucherie dans le 78 à Saint Quentin en Yvelines, petite ville sympa.

Quel a été votre parcours ?

Première maison Le Laurent, j’ai fait la réouverture du Royal Monceau en 2010, puis la Grande Cascade pendant 2ans, avec le Chef Robert, probablement m’a plus grosse influence, ses auces, ses jus, puis Alain Passard, Michel Rostang, j’étais sous-chef tournant, puis retour à la grande cascade, et ouverture à la Réserve, Jérôme Banctel, grand technicien,

Avez-vous un chef pâtissier avec vous ou c’est aussi vous les desserts ?

Cheffe Pâtissière,  Sae Hasegawa, on fait des essais tout le temps, je viens donner des indications mais j’aime quand ce sont les saveurs qui explosent surtout sans trop de sucre, un avis qu’on partage.

Comment cela a commencé au Chateau de Courban ?

Je suis là depuis février mais en vérité, je suis là depuis octobre. J’ai fait venir mon sous-chef, Lilian Ardouin. On reprend une maison, on y va étape par étape, on peut pas tout révolutionner d’un coup. Là c’est la 2ème carte. Au début on a perdu 5 personnes dans l’équipe et là j’ai une bonne équipe de gens qui donnent beaucoup. Je suis fier de ma team, que des petits jeunes qui s’investissent.

Le petit déjeuner c’est tout maison, brioche, quiche, cake,…

Le Château de Courban a été un restaurant étoilé pendant des années. Aujourd’hui il y a tout à faire et je vais faire ma cuisine. L’important c’est l’esprit d’équipe. Je suis ici pour montrer l’exemple sur l’esprit d’équipe faire du gourmand et du goût.

Quelle est votre cuisine ?

Ma cuisine c’est la cuisine du produit, sublimer le produit sans trop le dénaturer. Il y a pas de règles, je mélange les influences japonaises ou encore africaines, et bien sur du français cela reste notre base, cela reste les 90% de ce qu’on fait? Ici on fait beau avant de faire beau. Avant j’en mettais peut être trop et mon passage avec Alleno m’a appris ça, se concentrer sur l’essentiel. On concentre le goût du produit, pour faire un jus on met 2 à 3 jours : on déglace et on laisse mijoter longtemps…pas trop de sel, le sel vient du produit. J’aime jouer sur les acides, le gras, faut que cela titille les papilles. Je fais un vinaigre de shiso, qu’un ami japonais m’a appris, la cuisine c’est le partage, le savoir. Je dis à mes équipes de tout noter, je donne mes recettes. Il faut aller à l’essentiel, ne pas dénaturer le produit, sublimer le produit et que ce soit lisible dans l’assiette.

Quel est le produit que vous préférez travailler ?

La truffe (rire) ! J’adore les champignons, les poissons. La lotte on l’a fait maturer, comme une viande, j’ai suivi la méthode d’un chef australien qui a lancé ça. Du coup on ne met pas de sel sur cette Lotte et ses saveurs se sont concentrées. J’ai envie de faire des charcuteries de poisson, je viens d’acheter une ventrèche de thon et on va en faire un jambon. Bien sûr on travaille les produits de saison, les produits on va les prendre là où ils sont. On fait que des poissons de ligne, avec des petits bateaux. Faut valoriser nos paysans. Je ne négocie pas les prix mais j’attends de l’excellence. Nous on travaille avec un volailler extraordinaire,  en Touraine, Maison Bellorr, ils étaient au Michelin cette année, ils ont un petit élevage avec une race ancestrale, une des plus vieilles volailles de France, ils font pigeons, des escargots, des asperges bio,…du top.

Le superbe SUV compact de BMW !

Pour rallier ces deux lieux d’exception nous avons découvert la toute dernière merveille de chez BMW, le SUV compact, X1 M35i xDrive : Puissance, Élégance et Technologie de Pointe.

Lorsque l’on voit le tout nouveau X1 M35i xDrive, ce qui saute aux yeux c’est son format compressé et agressif, on sent que la bête sommeil. Ce véhicule allie puissance, élégance et technologie de pointe. Voici pourquoi le BMW X1 M35i xDrive est le véhicule parfait pour ceux qui ne veulent faire aucun compromis.

Un Design Audacieux et Raffiné

Sa calandre emblématique à double haricot, plus large et plus agressive, est complétée par des phares LED adaptatifs et des feux arrière à LED distinctifs, conférant au véhicule une allure moderne et sophistiquée. Les lignes sculptées et les contours musclés ajoutent une touche de sportivité qui ne laisse personne indifférent.

Les pare-chocs avant et arrière sont spécifiquement dessinés pour la version M, intégrant des prises d’air plus larges et des diffuseurs qui accentuent l’aérodynamisme et la performance et lui donnent un look sportif. Les jupes latérales et les rétroviseurs extérieurs au design M renforcent l’aspect dynamique du véhicule.

Les jantes en alliage léger M de 20 pouces, avec un design exclusif et des pneus haute performance, non seulement ajoutent à l’attrait visuel du X1 M35i xDrive, mais améliorent également sa tenue de route et sa maniabilité. Le toit ouvrant panoramique, en option, offre une vue dégagée sur le ciel, ajoutant une touche de luxe et de liberté à chaque trajet.

Un Intérieur Luxueux et Modulable

À l’intérieur, le X1 M35i xDrive offre un environnement luxueux et technologiquement avancé. Les matériaux de haute qualité, comme le cuir Dakota et les inserts en aluminium, créent une ambiance élégante et confortable. Les sièges sport M, chauffants et réglables électriquement, assurent un soutien optimal, même lors des trajets les plus longs. Ces sièges sont dotés de multiples réglages électriques, y compris le réglage lombaire à quatre voies, permettant de trouver facilement la position de conduite idéale. Les renforts latéraux réglable eux aussi maintiennent fermement le conducteur et le passager avant en place, même lors des virages serrés, offrant ainsi une expérience de conduite plus engageante et dynamique.

Le X1 M35i xDrive se distingue également par sa modularité exceptionnelle. Les sièges arrière sont rabattables dans une configuration 40/20/40, offrant ainsi une flexibilité maximale pour transporter des passagers et des charges volumineuses. Le volume du coffre, déjà généreux, peut être augmenté de manière significative, facilitant le transport d’équipements de sport, de bagages ou d’achats importants.

Technologies de Pointe et Connectivité

Le tableau de bord est équipé du dernier système d’infodivertissement iDrive 8 de BMW, avec un écran tactile de 10,25 pouces et un affichage tête haute. Ce système intuitif permet un accès facile à la navigation, aux applications connectées et à vos médias préférés. La compatibilité sans fil avec Apple CarPlay et Android Auto assure une intégration transparente de votre smartphone, vous permettant de rester connecté en toute simplicité.

Les systèmes d’assistance vocale et gestuelle améliorent encore l’expérience utilisateur, rendant les commandes intuitives et sécurisées. Le système de sonorisation Harman Kardon, disponible en option, transforme l’habitacle en une véritable salle de concert, offrant une qualité audio exceptionnelle pour tous les occupants.

Des Performances Époustouflantes et une Motorisation M que l’on aime

Sous le capot, le BMW X1 M35i xDrive cache un moteur quatre cylindres turbo de 2,0 litres, capable de développer 306 chevaux et 450 Nm de couple. Couplé à une transmission automatique à huit rapports et à la transmission intégrale xDrive, ce moteur offre une accélération fulgurante, permettant de passer de 0 à 100 km/h en seulement 5,4 secondes.

Le système xDrive répartit intelligemment le couple entre les roues avant et arrière, garantissant une traction optimale et une stabilité exceptionnelle, quelles que soient les conditions de conduite. La suspension M Sport, combinée à la direction sportive variable, offre une réactivité et une précision remarquables, transformant chaque trajet en une expérience dynamique et engageante.

Système de Freinage Avancé

Le BMW X1 M35i xDrive est équipé d’un système de freinage hautes performances qui assure une puissance de freinage exceptionnelle. Les freins à disque ventilés, équipés d’étriers de frein M Sport en bleu avec le logo M, garantissent une dissipation optimale de la chaleur et une réponse précise, même lors des situations de conduite les plus exigeantes. Le système de freinage antiblocage (ABS), associé à la répartition électronique de la force de freinage (EBD) et à l’assistance au freinage d’urgence, assure une sécurité maximale en toutes circonstances.

Sécurité et Assistance à la Conduite

Le X1 M35i xDrive est équipé des dernières technologies de sécurité et d’assistance à la conduite. Parmi elles, le régulateur de vitesse adaptatif avec fonction Stop & Go, l’assistant de maintien de voie avec retour actif, la surveillance des angles morts et le système de freinage d’urgence autonome. Ces fonctionnalités avancées travaillent de concert pour vous offrir une conduite sereine et sécurisée.

Le système Parking Assistant Plus, incluant une caméra de recul haute définition, des capteurs de stationnement avant et arrière, et l’assistant de stationnement autonome, rend le stationnement simple et sans stress. Le système de caméra 360 degrés offre une vue panoramique autour du véhicule, facilitant les manœuvres dans les espaces restreints.

Une Expérience de Conduite grisante

La combinaison de la puissance brute, de l’élégance et des technologies de pointe en fait un véhicule qui offre une expérience de conduite sportive et rassurante à la fois. On peurt s”amuser tout en se sentant toujours très en sécurité et en maîtrise. Que vous naviguiez en ville ou que vous partiez pour une escapade sur route, le X1 M35i xDrive vous offre des performances sans compromis et un confort inégalé.

Conclusion : Le Choix Idéal pour les Conducteurs Exigeants

Le BMW X1 M35i xDrive n’est pas simplement un SUV compact; c’est une déclaration de style, de performance et d’innovation. Un SUV compact mais aussi un véhicule de luxe, avec l’ADN sportif qui caractérise la gamme M de BMW.

Un gardien du temps, Le Chrono type 20, Flymaster n°73 de Auricoste

Pour garder un œil sur le temps lors de cette cavalcade gustative, Auricoste nous a prêté un chrono de sa gamme, une montre parfait pour aller avec l’aspect sport de la BMW, et pour ce weekend à travers les régions de France.

Auricoste est une marque française, depuis 1854, spécialisée dans le domaine des chronomètres de marine. Auricoste est intimement liée à la vie aéronavale française. Son histoire lui confère un statut particulier dans l’univers horloger ou beauté et rigueur du mécanisme sont les maîtres mots. Ses chronographes sont considérés comme des instruments de mesure de choix par les spécialistes et amateurs de mécanismes horlogers dans le monde entier.

Ses performances lui permettent d’équiper les armées navales, aériennes et terrestres en France comme à l’extérieur de l’hexagone. Nos outils de mesure, nos différents modèles sont conçus en vue d’une robustesse et d’une lisibilité parfaite pour résister aux situations les plus extrêmes.

La type 20

En 1954, Auricoste crée et développe le modèle type 20 dont la fonction « flyback » devient une norme imposée par le Ministère français de la Guerre. Plus de 2000 chronographes sont livrés aux différentes forces françaises. A l’époque le Ministère de la Guerre, imposant à ses pilotes d’aéronavales d’être équipées de chronographes dotés de la fonction “retour en vol“ également connue sous le nom de “flyback”. Cette complication à pour fonction de permettre aux pilotes de mesurer des intervalles de temps successifs en une fraction de seconde, rendant inutiles les fastidieuses opérations répétitives des 3 étapes, stop, remise à zéro et start habituelle. 

Un boîtier de 39,5mm et des aiguilles recouvertes de superluminova, pour être lues même de nuit, ainsi que deux chronos dans le cadran. La glace hésalite a été choisie pour éviter les bris de verre.

Article réalisé par Alexis Dumétier

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Les Ménuires 2022 avec la Team BLAKE

La team BLAKE est partie aux Ménuires pour le reportage montagne de l’année 2022.

Située dans les Alpes à 1800 mètres d’altitude, la neige y est garantie toute la saison et l’accès aux deux versants permet de skier toute la journée au soleil.

Les Ménuires se trouve sur le Domaine des 3 vallées, considéré comme l’un des plus grands domaines skiables au monde. Les 3 Vallées c’est 600km de pistes. C’est aussi 7 stations réparties entre les vallées de Courchevel, des Allues, des Belleville sans oublier Orelle, en Maurienne. Vous pourrez donc skier avec le forfait 3 vallées sur ces 600km de pistes de quoi vous occuper toute une semaine sans jamais skier deux fois sur la même piste. Attention cependant aux horaires de fermeture des remontées mécaniques, sinon vous aurez toujours la possibilité d’utiliser les navettes à disposition gratuitement pour revenir chez vous.

Photo : Gilles Lansard

Les Ménuires est une station très vivante qui, en plus du ski et du snow, propose de nombreuses activités. Nous avons découvert le lancé de hache, insolite et amusant. Vous pourrez vous défier avec vos amis ou en famille, afin de voir qui a le plus d’adresse. En respectant les règles simples du lieu, il n’y a aucun danger, que du fun. Il y a au même endroit de quoi découvrir et jouer au même jeu en réalité virtuelle.

Pourquoi ne pas essayer la luge sur la piste du Roc‘n Bob, 4km de descente et un temps à battre de 7 min ! On vous assure que si vous jouez le jeu et que vous vous lancez sur la piste à fond, le casque ne sera pas de trop. C’est assez intense. Rires et sensations fortes garanties !

Pour les lèvent tôt et ceux qui veulent être les premiers sur les pistes, Les Ménuires proposent le First Track. Partez pour l’ouverture des remontés mécaniques au départ de la Masse, avec les équipes du domaines (maximum 40 personnes par session). Un moment convivial qui permet de voir le lever du soleil sur les cimes enneigées. On vous recommande chaudement de le faire. En plus, vous finirez votre périple au 2800, un restaurant d’altitude avec un buffet petit déjeuner et un chocolat chaud mémorable.

L’ours Blanc un Hôtel / Spa 4 étoiles :

Pour les fins de journée ou les après midi sans ski, vous devriez essayer le spa de L’Ours Blanc, cet hôtel / spa 4 étoiles a été entièrement repensé et rénové en 2021, dans le respect de son esprit d’origine. Vous vous y sentirez comme chez vous. Les chambres spacieuses ont des vues magnifiques sur la montagne, et le spa Nuxe, à une dimension très humaine et un bassin intérieur / extérieur de toute beauté. Mais surtout les protocoles de soins à base de produits Nuxe sont exécutés par des expertes. Nous avons été pris en charge par Pauline, que nous vous recommandons chaleureusement.

Si vous souhaitez explorer la montagne différemment, vous pouvez partir en randonnée à raquette ou en randonnée à ski. Et si vous êtes désireux de vous lancer dans le hors pistes, n’oubliez pas de vous faire accompagner par quelqu’un qui connaît bien la montagne et qui est équipé du triptyque indissociable en terme d’équipement de sécurité avalanche : DVA (détecteur de victimes d’avalanche), pelle, sonde ! A ce triptyque, s’ajoute un nouvel équipement qui tend à devenir lui aussi indispensable : le sac airbag !

Freeride avec Fabien Maierhofer :

La team Blake a eu l’honneur d’avoir pour sa sortie freeride un « guide » hors pair : Fabien Maierhofer, Professionnel du freestyle et du freeride depuis l’âge de 17 ans. Il est également le créateur de la chaîne youtube Bon appétit ski : https://www.youtube.com/user/Bonappetitski où vous trouverez de superbes vidéos de skis et vous pourrez voir le niveau incroyable de Monsieur Maierhofer. Nous sommes parties du haut de la Gratte pour nous lancer. L’occasion de découvrir une zone où la neige est quasi vierge et le paysage à couper le souffle.

Dénériaz Skis :

 La team Blake a également eu la chance de rencontrer Antoine Dénériaz, champion Olympique, médaillé d’or sur l’épreuve de descente et également Triple Champion du Monde. Aujourd’hui Antoine a créé sa propre marque de ski et il nous a permis de tester deux paires de sa gamme. La particularité des skis Dénériaz c’est le soin apporté à leurs confections. Comme nous l’a dit Antoine, les matériaux utilisés pour confectionner ses skis sont choisis à la manière d’un chef étoilé qui sélectionne un à un les produits qui feront son plat signature. Un travail d’artisan, avec des produits nobles comme du bois d’exception ou encore du carbone. Les skis sont faits à la main en série limitée en Savoie dans l’atelier de Antoine Dénériaz à environ 250 éditions par an. La marque Dénériaz se positionne indubitablement sur le haut de gamme.

Nous avons testé les Cruising D, Les essences de bois choisies donnent un ski léger grâce au balsa, tout en restant stable et confortable par l’utilisation du noyer. Les différentes fibres dont celles de carbone apportent de la précision et de la réactivité en courbe. Un ski plaisir pour les pistes, facile à skier. Ce ski est précis et affuté et donne de bonnes sensations sur piste. Il permet aussi de tracer de beaux virages si l’on veut un peu plus attaquer sur les carres et prendre de la vitesse. Des skis qui vous offriront une belle marge de progression sur piste. Leur finition carbone et la qualité du vernis leur offrent une très belle allure.

Il nous a été permis de découvrir également les Dual D. Ces skis sont fait de deux essences différentes de bois pour apporter selon l’environnement des réactivités différentes. La partie en noyer apporte beaucoup de stabilité et de confort sur piste et le frêne donne du snaps en poudreuse. Le carbone apporte quant à lui de la cohésion à l’ensemble ainsi que de la réactivité. Il est de ce fait plus polyvalent que le Cruising D grâce à ses spatules bien plus larges, et donc parfait pour la poudreuse.

Les skis Dénériaz sont en plus de beaux objets, de qualité, fait main, et on aime les posséder autant que les skier.

Colmar sport :

Pour skier ou faire du snow dans de bonnes conditions il faut de bonnes tenues. Colmarmarque fondée en 1923 à Monza en Italie, incarne le luxe et la mode, tout en intégrant des matières haut de gamme et des finitions de grande qualité. Cela se ressent tout de suite quand on met le manteau ou enfile le pantalon. Les coupes sont bonnes, on se sent à l’aise et la sensation de chaleur est immédiate tout en laissant le corps respirer. C’est confortable et pratique pour le sport. La veste de ski Chamonix JKT sunflower, avec son style rétro n‘en est pas moins ultra moderne et fonctionnelle. Son revêtement extérieur en polyamide est bien résistant et sa technologie isolante Piuma Down Daunen en duvet naturel est ultra efficace et vous tient bien au chaud, de plus la veste est un véritable coupe vent. Les nombreuses poches zippées avec curseur camlock sont bien imperméables. Un gros coup de cœur.

Pour aller avec, nous avons choisi le pantalon salopette Fit Ski noir, dans l’esprit retro lui aussi. Il allie trois qualités nécessaires pour la pratique du ski: il est imperméable, coupe-vent et respirant. Son stretch lui donne beaucoup de confort à ski.

La Colmar Texas est tout aussi performante est donne un effet veste de jean très streetwear. Mais surtout cette veste est faite en polyester recyclé, elle associe une membrane imperméable et respirante pour résister aux intempéries hivernales. Pour cette veste, nous avons choisi le pantalon assorti, le Texas Denim. Vous aurez l’impression de skier ou surfer en jean, avec le confort en plus.

Les deux vestes Colmar ont une petite poche quasi invisible sur le bras gauche pour y glisser le forfait et passer rapidement aux portiques des remontées. Un petit plus efficace et bienvenu.

Foodspring :

Durant ce séjour sportif et intense, nous avons pu tester les produits Foodspring. En commençant nos matinées par une dose de Energy Aminos, qui donne un bon coup de boost pour attaquer les pistes. Selon les envies et les besoins pour nos encas, nous avions des protein balls chocolatées, des barres protéinées. Pour ma part, la protéine barre cookie dough remporte la palme des saveurs foodspring. Ou tout simplement une poignée de nuts & berries qui est un mélange de baies goji, myrtille, raisins secs et noix. Un assortiment vraiment bon et plein d’énergie. Mais le must après être rentré de nos longues journées, c’était de prendre le Recovery Aminos, et toute la team Blake est unanime sur le sujet : on a senti la différence. Avec le Recovery les jambes sont moins lourdes, les muscles tirent moins, et on est en pleine forme le lendemain.

Montre connectée Garmin, Instinct Solar :

 Au déballage, on retrouve une montre tout en plastique.  Pas forcément agréable de prime abord, mais elle est bien finie et ce choix de matériaux la rend légère. Elle se fait vite oublier une fois au poignet, point très important pour une montre de sport.
Les multiples fonctions demandent un certain temps d’ adaptation pour gérer les boutons et les différents menus. Mais l’encart en haut à droite de l’écran est bien pensé et permet d’identifier les actions possibles et les menus en cours.
En parlant d’écran, c’ est un simple monochrome, mais très lisible même en plein soleil. Ce choix joue également sur la durée de vie de la batterie qui est assez impressionnante.

Pour les usages testés, principalement le snowboard et une petite marche, ce fut un vrai plaisir. Les éléments affichés pendant « l’action » sont paramétrables et différents types de présentations sont possibles. Lire les informations, comme la vitesse instantanée, ne pose aucun souci même en plein ride. Augmentant encore l’attrait pour ce petit tableau de bord au poignet. Le nombre de descentes est lui détecté automatiquement après chaque remontée et marche parfaitement.
Revoir ses trajets en fin de journée, vitesse, altitude, calories perdues, sur l’ application dédiée et bien conçue elle aussi, est très agréable en avalant un shaker de récup. Autre capacité de cette Instinct solar, c’est de pouvoir effectuer une recharge solaire via son cadran.
Bref, une montre très fonctionnelle à l’usage. Pour son domaine d’utilisation, il n’y a rien a redire et elle deviendra rapidement votre compagnon de monitoring. On regrettera juste la présence d’un chargeur au format unique Garmin, que l’on fera bien attention à ne pas oublier pour son séjour…

 Les masques et casques Bollé

Le plastique des masques est épais tout en restant souple, et très bien fini. Le bandeau élastique est très dense et rassure sur sa longévité. Même les ajouts caoutchouc de la marque Bollé sur le côté respire la qualité.
Côté optique, nous avons pu en tester plusieurs.  Quoi qu’ il en soit, le système magnétique de changement d’écran est très pratique et rapide. Les écrans sont solides et en plus protégés par une housse, fournie, presque rigide. Aucune appréhension de transporter son écran de rechange dans le sac à dos toute la journée.
Côté positionnement, pas de soucis, le nez est par ailleurs bien dégagé, ce qui permet de les porter avec des casques autres que ceux de la marque sans obtenir l’ effet « pince nez », et cela malgré l’ imposante hauteur du masque.
A l’usage, toutes les optiques étaient très convaincantes, rien à dire. Le champ de vision est très large et ne déforme pas la perception.
Le seul point négatif que nous avons remarqué mais qui se fait oublier, est un petit reflet de la monture du nez sur le bas de l’écran quand le soleil vient de côté. Sur le télésiège, on le perçoit, en descendant, il n’est clairement pas assez fort pour nous gêner.
Pour résumer, nous avons tous adopté ces masques.

Les casques Bollé sont quant à eux très confortables.  Ils sont très légers une fois en position et le serrage occipital le plaque parfaitement sur la tête. Le design est plus orienté skieur que snowboarder, et dans un sens, il ressemble assez à un casque de vélo. En snowboard,  avec le vent venant de côté, les oreilles manquent un peu de protection contre le froid, rappelant peut-être encore sa conception plus ski. Par contre, les oreillettes peu épaisses laisse bien passer le son des voix et permettront de mettre des écouteurs dans orienté problème pour ceux qui ride en musique. La ventilation marche très bien. On note également un bon dégagement du front permettant de placer différents masques dans soucis. Un casque très agréable, léger, convenant sans doute plus à des skieurs, quelques soit la tailles de leur masque.

Masque de ski KL X Dragon :

Les Ménuires, c’est du ski intensif mais c’est aussi de la mode. Nous avons donc testé la collaboration sur le masque de ski entre la maison Karl Lagerfeld et Dragon, il en résulte un masque sobre et élégant mais surtout bien fait. Mousse confortable et solide. Champ de vision extra large. Pas de buée grâce au système d’aération sur le haut et le bas du masque même avec un cache-cou remonté jusque sous le masque. Et l’écran de base fait pour le solaire joue parfaitement son rôle en plus de disposer d’un système très fiable pour le bloquer et changer de type d’écran puisque le masque est fourni avec un écran supplémentaire pour le temps plus nuageux.

 

 

Test snowboard : Capita Kazu Kokubo Pro 157cm

Le snowboarder Japonais de légende Kazuhiro Kokubo signe son « pro-model » chez Capita aux graphismes exceptionnels : une fine couche de bois plus légère qu’un revêtement classique et qui rend chaque Kazu unique, ainsi qu’un chef d’œuvre de son tatoueur Japonais pour la semelle.

Son profil « Alpine V2 » présente un cambre classique avec un cambre inversé à l’avant pour un maximum de pop en freestyle ainsi qu’une flottaison idéale et facile en poudreuse.

De plus, par sa forme directionnelle avec une position légèrement reculée ainsi que l’avant bien plus prononcé et plus soft que l’arrière, c’est une valeur sûre pour les sessions backcountry à travers une neige poudreuse et profonde.

 

Notre test :

Classée dans la catégorie Alpine par Capita et non « resort » (« station »), alias « all-mountain », la Kazu est avant tout une planche ferme, réactive et légère prévue pour les fortes descentes en haute-montagne et pour envoyer d’énormes sauts en poudreuse. Son arrière plus dur permet de parfaitement réceptionner de grands sauts mais aussi de mieux flotter en poudreuse car moins prononcé que l’avant.

Son cambre classique en fait une planche très maniable qui relance fort en sortie de carve ; excellente carveuse (petite carve, moyenne et longue sans broncher) qui ne demande qu’à charger à fond à travers n’importe quel type de terrain. Ce qui la rend bien plus versatile que son programme initial, notamment avec son cambre inversé à l’avant qui permet une plus grande facilité d’entrée en virage, cependant elle reste exigeante et conviendra plus aux riders intermédiaires/experts qu’aux débutants.

Une planche qui respire la puissance et le pop, créée dans le plus grand respect de l’environnement à Capita The Mothership®, réservée aux riders au gros cœur qui veulent envoyer du lourd à travers toute la montagne.

Pour ceux qui ne sont pas équipés en ski nous vous recommandons chaudement l’équipe du Sport 2000 Snow sport, équipe familiale et accueil vraiment sympa.

Le restaurant L’Alpin :

 L’Alpin est un restaurant steack house mais surtout il propose à ses clients de vivre un repas sous tente alpine avec tout le confort : peaux de bêtes, poêles, guirlandes lumineuses, et au menu : raclette ou carré de porc. On est reçu en groupe spécialement par une personnes assignée aux services des tentes. Un petit apéritif autour d’un brasero vous est proposé avec les célèbres saucisses Savoyardes, les diots, se mettre en appétit.

Puis on entre sous la tente, où la douce chaleur nous pousse à faire tomber les doudounes. La petite enceinte connectée qui nous est prêtée permet de mettre l’ambiance musicale de notre choix. Quand les plats sont servis, on ne peut que constater que la qualité des produits est là : le fromage de la raclette a un goût prononcé et léger à la fois, et le porc est fondant et savoureux. Les desserts en farandoles achèvent un repas des plus agréables. Si vous voulez passer une belle soirée qui sort de l’ordinaire, les tentes alpines sont le bon plan. Gros plus du lieu la super équipe qui est au petit soin.

Cosmeto pour la montagne :

Les Ménuires, c’est du soleil et du froid. Pour affronter la rudesse du climat, nous avons testé les produits La Biosthétique et plus particulièrement,  la gamme régénérante qui hydrate la peau. Le soin Cold Cream pour se protéger des attaques mordantes du froid est très efficace et pour le retour du ski après une journée au soleil, dont les rayonnements sont amplifiés par la réverbération de la neige, la crème après soleil apaise véritablement la peau.

Avant de vous coucher, et pour se délasser pleinement tout en prenant soin de soi, la gamme spa de La Biosthetique avec le Sea Salt Scrub, puis le Rich Firming Body Cream est une combinaison parfaite pour se tonifier la peau et s’exfolier tout en ressortant de ce soin avec le sentiment d’une peau plus ferme et toute lisse. Nous avons apprécié particulièrement les senteurs de beurre de karité et florales de la Rich Firming Body Cream qui donnent un sentiment très cocooning et réconfortant.

Nous avons emmené aussi le UFO mini 2 mint de chez Foreo, un appareil aux multiples talents pour vous permettre d’avoir un soin du visage quasi complet aux options variées. Ce petit galet connecté permet de faire des soins presque comme dans un institut : il chauffe, vibre (vibrations soniques) et utilise la luminothérapie. Toutes ces fonctionnalités permettent de mieux faire pénétrer les actifs dans la peau, et / ou de booster la circulation sanguine. Pour être très honnête, cela fonctionne vraiment bien. On sent que les produits pénètrent bien la peau, en tout cas mieux qu’avec nos doigts et surtout après le soin, la peau est visiblement plus hydratée et lumineuse. Nous avons été conquis.

 

 

Lifestyle hors piste :

La team Blake a porté hors des pistes les vêtements de la marque Superdry dont la tenue des matières est véritablement remarquable et offre un confort et une chaleur appréciable pour l’après ski. La marque Stetson fait des bonnets classiques, mais chaud, et des casquettes très styléesLes doudounes Ellesse sont des classiques indémodables, et nous avons particulièrement aimé la White Camo. Les pulls Woolrich ont une très bonne facture et une bonne tenue. Eastpack et leurs pochettes éditions spéciales Avengers furent bien pratiques pour caser nos affaires.

Enfin, un gros coup de cœur pour les solaires Bollé, Calvin Klein, Victoria Beckham, Arnette et Ralph Lauren que vous retrouvez sur les photos de notre reportage.

 

Nous avons également testé la gamme technique de la marque  Atlas for men . Des vêtements abordables, chauds et efficaces. Pour les doudounes montagne de cette marque, réservez les plutôt pour l’après ski, elles ne permettent pas de résister au grand froid ou froid prolongé.

Apnée sous glace :

Les Ménuires offre activité hors ski exceptionnelle et rare : de l’apnée sous glace. C’est Dan Arbogast qui encadre l’activité. Dan est instructeur d’apnée professionnels, mais aussi Vice Président France, juge, et instructeur de Aida France, la Fédération internationale d’apnée. Bref nous sommes entre de bonnes mains.

Après 45 min de marche d’approche à travers la montagne depuis les Ménuires en direction du Lac du Lou, on arrive dans un petit refuge qui date de 1845. En contrebas quelques trous on été fait dans l’épaisse croûte de glace qui s’est formée sur le Lac du Lou. Le temps d’écouter les instructions de Dan et d’enfiler une combinaison d’apnée néoprène de 14mm, qui vous donne l’impression de devenir un morse, et l’on descend vers le lieu de l’activité. Dan est extrêmement pédagogue, calme et bienveillant.

 

Pendant 45 minutes, une heure, Dan accompagne cette découverte de l’apnée sous glace pas à pas. J’ai cru le temps d’un instant revivre la scène du grand bleu, j’entendais presque la musique d’Eric Serra. Le corps s’habitue lentement à l’eau que l’on perçoit à peine froide, l’esprit doit s’habituer à plonger sous l’eau en altitude, car le cerveau nous dicte de remonter plus vite à la surface alors que l’on vient d’inspirer à plein poumon. Et après quelques descentes verticales le long d’une corde pour augmenter sa capacité d’apnée, Dan nous invite à faire une première longueur sous glace (l’instructeur nous suit discrètement, il est toujours là pour assurer notre sécurité) nous passons d’un trou à un autre. Première longueur, 8 mètres, 20-30 secondes d’apnée en tout, au plus court, sauf si vous voulez profiter du spectacle et prenez votre temps.

Exceptionnel, hors du temps, atypique…

Après libre à vous (et en convenant cela avec Dan) de tenter le trou à 12 mètres ou à 18 mètres.

Une activité que Dan est le seul à proposer en Europe, il a même accompagné des gens qui ne savaient pas nager ou encore des handicapés. Un homme qu’il faut rencontrer.

 

Article écrit par : Alexis Dumétier, Adrien Barthou et Maxence Manasterski

Vidéo réalisée par : Alexis Dumétier

Assistante vidéo : Lucie Fricheteau

 

Photos : Alexis Dumétier, Adrien Barthou, Laureleen Jacquet

 

Lien et infos :

https://www.50shadesofblue.fr

https://lesmenuires.com/fr/

https://www.les3vallees.com/fr

https://www.hotel-ours-blanc.com/spa

 

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