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Joaillerie de Fêtes

Dans le monde feutré de la joaillerie, chaque création est une œuvre d’art intemporelle. Offrir et arborer des bijoux précieux ne se limite pas à une simple déclaration de style, mais devient une célébration de moments inoubliables, une expression de sentiments profonds et un héritage précieux transmis à travers les générations. Les bijoux, véritables témoins du raffinement, portent en eux l’éclat des gemmes soigneusement choisies et la virtuosité des artisans talentueux. Offrir un bijou, c’est créer un lien émotionnel indélébile, tandis que le fait de le porter devient une affirmation de soi, une manière subtile de narrer son histoire personnelle. Chaque gemme sertie de métal précieux raconte une histoire unique, unissant passé, présent et avenir dans une étreinte étincelante. À travers notre sélection, plongeons dans l’univers envoûtant de la joaillerie, où l’éclat des diamants, la richesse des métaux et la créativité des designers se conjuguent pour transcender le simple fait de porter un bijou en une expérience infiniment précieuse.

Pour les fêtes de fin d’année, Isabelle Langlois mise sur la couleur en associant le vert du Péridot au violet de l’améthyste sertie sur or rose.

Chopard propose au contraire un collier Happy Diamonds tout en diamants sertis sur or blanc éthique.

Pomellato dans la collection « La Gioia » présente ce collier à maille gourmette XXL en or rose sertis de diamants et de cabochons de saphirs.

Toujours la taille cabochon pour Bulgari avec cette émeraude ronde sertie sur platine dans un entourage de diamants taille baguette et de diamants taille brillant.

Un collier aux lignes épurées chez Ahkah en or jaune et diamants taille brillants.

Une découverte de la rédaction : la collection de bijoux L de L. Nous avons sélectionnés ce spectaculaire collier en or jaune martelé à maille plates.

Chez Ginnette NY, une bague en argent sertie de nacre. Existe aussi en nacre blanche, en onyx, en malachite et en lapis-lazuli.

Symphonie de diamants pour ce collier en or jaune et or blanc dans la collection « Mosaico » de la maison Buccellati.

Chanel célèbre le tweed dans sa collection de joaillerie. Broche « Tweed Poudré » en or rose, diamants et saphirs roses. 1 diamant taille brillant 0,75 ct F+ VVS+. Pièce transformable : le motif camélia peut être porté sur un tour de cou.

Une belle réinterprétation d’un motif classique du XIXe siècle avec ce collier « Croissant de Lune » en or blanc et diamants de chez Jacquie Aiche.

La maison Mellerio propose la collection « Giardino » dans laquelle nous avons sélectionné cette bague en or rose sertie de rubis, améthystes et diamants.

La maison Messika s’est rendu célèbre avec le motif « So Move », décliné aujourd’hui en format XL pour ce collier en or rose serti de diamants.

Le coup de cœur de la saison : Mio Harutaka avec une collection empreinte de poésie et de souvenirs d’enfant. C’est beau et extrêmement inventif.

Les dernières créations de la collection Eclisse reprennent l’élément inspiré de la sculpture moderne qui caractérise l’un des designs les plus emblématiques de Vhernier et le multiplient à l’infini.

Une très belle paire de boucles d’oreilles de chez Ole Lynggaard présentant un motif de serpent en or jaune serti de diamants soutenant une goutte en lapis lazuli taille briolette.

Originalité de cette bague Pasquale Bruni en or blanc pavé de diamants fleurissant sur vos doigts.

Un autre motif floral avec cette paire de boucles d’oreilles à motif de feuilles de Ginko Biloba en or jaune sertie de diamants taille brillant de chez Serendipity.

Un collier alliant le classicisme de la perle Akoya et le design contemporain de la maison Tasaki.

Enfin, une autre jolie découverte : la minaudière de la maison Temyris. Celle-ci est personnalisable. Vous pouvez remplacer le lapis lazuli par un motif identique de malachite ou une mosaïque de pierres décoratives.

Poudre et rouge à lèvres sont rechargeable. Une belle idée de cadeau pour les fêtes de fin d’année.

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TIFFANY & CO. PRÉSENTE LA PREMIERE BAGUE DE FIANÇAILLES POUR HOMME

Tiffany & Co. présente cette année le lancement de la Charles Tiffany Setting, la première bague de fiançailles pour homme, ornée d’un solitaire à la personnalité affirmée. Charles Lewis Tiffany lui donne son nom, lui qui, en 1886, a ébloui les amoureux du monde entier avec le lancement de la bague de fiançailles au diamant solitaire, la Tiffany® Setting. Dans les pas de son illustre ainée, cette nouvelle création rend hommage à l’héritage d’amour et d’inclusion longuement établi du joailler, jetant les bases de nouvelles traditions pour célébrer nos histoires d’amour uniques et singulières, et honorer nos engagements les plus chers l’un envers l’autre.


Le design de la première bague de fiançailles à diamant pour homme exprime une échappée moderne et audacieuse de l’alliance traditionnelle. Rappelant la silhouette d’un sceau, les modèles en platine et en titane redessinent un style masculin classique aux contours puissants, au profil contemporain, avec un diamant central éblouissant.


La première partie de la collection Charles Tiffany Setting sera disponible avec des diamants taille rond brillant et taille émeraude jusqu’à 5 carats. Les modèles diamant rond brillant ont un anneau au bord effilé, inspiré de l’anneau de la légendaire Tiffany® Setting, alors que ceux taille émeraude présentent des bords biseautés architecturés.


Tiffany continue à développer le niveau de transparence sur sa chaine d’approvisionnement en diamants, réaffirmant sa réputation en tant que leader dans la traçabilité des diamants. La Maison est unique parmi les joaillers de luxe mondiaux de par sa capacité à couvrir le parcours artisanal complet de chaque nouveau diamant acquis, individuellement certifié, et notamment chaque diamant serti dans la Charles Tiffany Setting. La région ou le pays d’origine de chaque diamant, ainsi que l’endroit où il a été taillé et poli, évalué et soumis au contrôle qualité, ainsi qu’où il a été monté en bijou sont inscrits sur le « Tiffany Diamond Certificate ».

Depuis plus de 180 ans, Tiffany crée des pièces de Haute Joaillerie plus impressionnantes les unes que les autres, qui valent à la Maison sa réputation. Les collections Haute Joaillerie de Tiffany & Co. se nourrissent d’innovation. Ce désir de continuellement repousser les limites du design permet à la Maison de donner vie aux idées les plus alternatives et expérimentales. Le savoir-faire incomparable de Tiffany accompagne la volonté de la Maison d’introduire des designs qui continuent de redéfinir le sens même de la Haute Joaillerie. Dans la collection Haute Joaillerie de 2019, des diamants aux tailles uniques furent sertis à la main pour assigner aux diamants la beauté singulière de la glace craquelée, n’exposant que peu de métal autour de chaque pierre pour maximiser sa brillance.


Tiffany & Co. a toujours été avant-gardiste quant à la découverte et l’introduction de pierres précieuses uniques, parcourant la terre entière pour découvrir des gemmes rares et exotiques. Vers 1902, une variété particulière de spodumène minéral fut découverte en Californie ; cette pierre semi-précieuse spectaculaire, aux tons lilas, fut baptisée « kunzite » en 1903, en hommage au Gemmologue en chef de de la maison, le Docteur George Frederick Kunz. Un béryl rose éclatant fut ensuite découvert à Madagascar, que le Docteur Kunz proposa de baptiser « morganite », en l’honneur du financier et client de Tiffany & Co., J. Pierpont Morgan, et qui fut présenté au monde en 1910. Tiffany eut également le privilège d’introduire la « tanzanite » en 1968, une pierre bleue violacée incroyable et jusqu’alors inconnue, qui fut découverte en Tanzanie, ainsi que la « tsarovite », un grenat d’un vert chatoyant exceptionnel découverte au Tsavo National Park au Kenya, introduite par Tiffany en 1974. Ces pierres de couleur, sont au coeur de la tradition de Tiffany & Co.; elles rendent hommage à la longue histoire de la Maison dans la découverte et l’introduction au monde de pierres de couleur dans les collections Haute Joaillerie.

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CHANEL présente la nouvelle collection COCO CRUSH

CHANEL VOUS PRESENTE SES DERNIERES CREATIONS HORLOGERIE & JOAILLERIE

En effet, CHANEL ce n’est pas seulement un tailleur et un collier de perles. La maison propose de la joaillerie depuis 1932, date à laquelle Gabrielle Chanel présentera sa première et unique collection de haute joaillerie en platine et diamants dont le fameux et iconique collier « Comète ». Cette toute première collection de bijoux initié à la demande de la Guilde internationale du Diamant, Coco la baptise “Bijoux de Diamants”. A l’honneur, les diamants sont montés sur platine, une extravagance que seule Coco peut se permettre en plein crise économique.  Fascinée par l’éclat  et la pureté du diamant,  elle écrit qu’il «  représente avec densité la plus grande valeur sur le petit volume » et « je veux qu’un bijou soit aux doigts d’une femme, comme un ruban ». . Malgré le succès de Bijoux de Diamants, ces bijoux seront les seules pièces de joaillerie à sortir de la maison de couture avant plusieurs dizaines d’années.

La célèbre maison de couture a été pendant longtemps une spécialiste de la mode et lance sa ligne Chanel Joaillerie en 1993, celle que nous connaissons aujourd’hui. La nouvelle ligne de joaillerie de Chanel Joaillerie sera créée par Karl Lagerfeld en hommage à Coco Chanel et à ses premières créations de haute joaillerie de 1932. La ligne Comète renait et connait un succès foudroyant. Quatre ans plus tard, Chanel Joaillerie s’installera dans son adresse prestigieuse du 18, place Vendôme à Paris, où se trouve encore aujourd’hui la boutique, avec la ligne horlogerie de la Maison. La même année, le musée du Louvre expose des pièces de haute joaillerie pour rendre hommage à la Maison de Couture et à sa créatrice.

Découvrez la collection iconique COCO CRUSH, en OR BEIGE, jaune ou blanc, désormais disponible en version mini, que les hommes vont adorer porter. Les montres CODE COCO et BOY·FRIEND se déclinent dans de nouveaux codes et motifs indissociables de la Maison CHANEL.

Pendant la fermeture de la boutique historique du 18 Place Vendôme, la maison prendra ses nouveaux quartiers dès le 16 février au 15 rue de la Paix.

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CARTIER présente le collier MAHARAJAH

Cartier rend hommage aux grands colliers de cérémonie des maharajahs. Cette parure créée en 2019 met en scène un ensemble exceptionnel d’émeraudes, mais aussi de saphirs et de rubis, autour d’un savoir-faire ancien venu d’Inde.

Les émeraudes gravées réunies par Cartier constituent un ensemble d’autant plus singulier que la forme en « grappe » du pendant est rare en Haute Joaillerie – même si Cartier l’a déjà employée par le passé dans les années 1920-30. Ce pendant est composé de 19 gemmes.
Deux émeraudes d’un poids total de 86,96 carats et une pierre de centre de 43,73 carats originaires de Colombie, lieu de provenance de gemmes parmi les plus réputés au monde, complètent cet ensemble.

Impressionnantes par leur poids, ces émeraudes se distinguent par l’ensemble harmonieux qu’elles composent mais aussi par leur couleur, leur intensité lumineuse et leur cristallisation. S’y ajoutent une émeraude de Zambie gravée hexagonale de 18,58 carats, un rubis de Birmanie gravé de 23,24 carats, huit rubis de Birmanie pour un poids total de 46,34 carats et deux rubis de Birmanie pour un poids total de 13,26 carats.

Pour Cartier, l’important dans le savoir-faire, c’est le trait d’union entre l’idée et sa réalisation, entre la créativité de Cartier et son exigence. C’est ce trait d’union que l’on retrouve entre les outils d’hier et les techniques d’aujourd’hui, entre l’esprit pionnier de Louis Cartier et la vision contemporaine de la Maison. Le savoir-faire de Cartier est le résultat d’échanges entre les designers, les joailliers et les ingénieurs. Il se développe au fil de rencontres parfois inattendues et se concrétise au fil d’un processus d’itérations. Le savoir-faire de Cartier : un dialogue ininterrompu entre technique et créativité qui unit le savoir et le faire – d’un trait d’union. On compte au total 4566 heures de travail de joaillerie, de sertissage et de polissage.

Le passage du dessin en deux dimensions à l’objet en volume constitue la première prouesse du collier Maharajah. De l’idée à l’objet, cette transformation révèle une multitude d’inconnues – ajustements de pierres, de couleurs, réglages à apporter pour parfaire l’ergonomie de la pièce. Dessinateur et joailliers travaillent côte à côte à servir un but commun : retranscrire l’idée d’origine en une parure exceptionnelle.

Une création de Haute Joaillerie est un éblouissement, un rêve transformé en lumière. C’est aussi une construction ingénieuse, conçue au millimètre, dont la complexité de conception est insoupçonnable. Sur le pendant du collier, les 19 émeraudes composent une architecture en volume, d’une parfaite tenue. Pour permettre cette chute, chaque gemme est sertie dans une très fine armature en métal,
véritable dentelle apposée sur l’arrière du collier. Chaque pierre étant unique, la mise au point de cette structure sur mesure a généré une collaboration intense dans l’atelier, mêlant à part égale esthétique et technique. Pour diriger le regard sur les gouttes d’émeraude du pendant – et ne pas le laisser s’égarer vers d’infimes points de métal qui pouvaient apparaître selon l’angle d’où l’on se place – le designer et le chef d’atelier ont mis au point un leurre : de minuscules billes de saphir ont été ajoutées en terminaison de chaque goutte d’émeraude. Ainsi, le saphir attire le regard vers l’émeraude avec laquelle il compose une association de couleurs chère à Cartier.

Tout autour de la partie centrale, plusieurs rangs de boules sont disposés, formant un plastron transformable.  Selon le porté choisi (le collier en propose huit principaux), le nombre des rangs varie, et avec lui la répartition du poids des gemmes. Pour que celle-ci soit agréable à porter quel que soit le porté, l’enfilage a été intensément étudié – avec de multiples réglages et ajustements. Le dessin de création constitue le point de départ : il donne la direction et prévoit les différentes étapes en atelier, auxquelles sont associées des durées. À ce temps de travail, s’ajoute un temps parallèle qui se déroule tout au long de l’élaboration de la pièce et engage designer et joailliers à concevoir, alors que la pièce prend forme sur l’établi, une multitude de réponses à apporter aux questions qui surgissent.

Cette pièce s’inscrit dans la grande tradition Cartier de la joaillerie transformable et propose huit portés principaux pour le collier et deux variations pour les pendants d’oreilles. Ainsi, la partie intérieure en rubis se transforme en collier de chien ; les pampilles et les grappes d’émeraudes cernant le motif central peuvent être enlevées, offrant une version plus courte de la parure ; la grappe centrale se porte en pendant sur une chaîne. Les pendants d’oreilles peuvent, quant à eux, accueillir les deux émeraudes latérales.

Une pièce exceptionnelle, moderne, inspirée par le passé et l’histoire de la maison Cartier.

 

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ArchivesLifestyleMagazine

LACLOCHE, JOAILLIERS 1892-1967

Pour la première fois, une exposition du 23 octobre au 20 décembre 2019 et un ouvrage rendent hommage à Lacloche, maison de joaillerie emblématique en Europe de 1892 à 1967.

Paire de boucles d’oreilles de style Egyptien

La Belle Époque de la maison Lacloche

La maison Lacloche fut l’une des gloires de la joaillerie parisienne, de la Belle Époque aux années 1960. Établie rue de la Paix en 1901, elle était également présente à Madrid et Londres et disposait de succursales à Nice, Biarritz, Saint-Sébastien, Cannes, Deauville.
Lacloche Frères, puis Jacques Lacloche, qui ont débuter modestement rue de Châteaudun en 1892, et ont pourtant fini parer des têtes couronnées – la reine Victoria d’Espagne, Édouard VII d’Angleterre, les rois de Grèce et de Siam -, des personnalités de l’aristocratie, telle la duchesse de Westminster, ainsi que des stars d’Hollywood, dont Grace Kelly. Toutes pièces de la maison Lacloche étaient conçus par les meilleurs ateliers parisiens, comme Strauss, Allard, Meyer ; Verger ; Helluin-Mattlinger ; Langlois ou Rubel… dont les noms sont mis en lumière dans cette exposition comme dans l’ouvrage qui lui est consacré.

C’est la première fois qu’une exposition est dédiée à la créativité de ce joaillier. Elle est organisée alors que paraît l’unique monographie sur cette brillante famille de joailliers par Laurence Mouillefarine, également co-auteur de l’ouvrage.
À travers des bijoux, des pendules et pendulettes, des nécessaires de beauté – la spécialité des Lacloche – et des documents d’archives, la rétrospective illustrera, tour à tour, le naturalisme propre à l’Art nouveau, l’Egyptomanie et l’engouement pour l’Extrême-Orient au temps des Années folles, le modernisme de l’Art déco, la fantaisie séduisante des années 1950.

L’apogée de la maison Lacloche

Loelia Ponsonby, duchesse de Westminster,1931 – © The Cecil Beaton Studio Archive at Sotheby’s

Toutefois, le point d’orgue de cette rétrospective inédite sera l’évocation d’un événement devenu historique : l’Exposition internationale de 1925 qui se tint à Paris durant six mois. Une longue chasse aux trésors a, en effet, permis de retrouver, aux quatre coins du monde et auprès de collectionneurs privés, des joyaux que les frères Lacloche déployèrent sur leur stand lors de cette manifestation mythique. Des bracelets, des broches, des pendulettes, des boîtes qui, tous, éblouissent par leur élégance et la délicatesse de leur fabrication.

Devant de corsage – Platine & diamants

Entrée libre du lundi au samedi de 12h à 19h au 31 rue Danielle Casanova 75001

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ArchivesHorlogerieMagazine

MB&F, la méduse citadine

Maximilian Büsser, le fondateur de MB&F, a eu l’idée de créer une montre aquatique en souvenir de ses vacances en famille au bord de la mer et, en particulier, d’une rencontre douloureuse avec une méduse. Bien qu’anecdotique, elle a irrémédiablement semé en lui les germes d’une montre tridimensionnelle alimentée par des tentacules. Cependant, même si le concept de l’Horological Machine N°7 a été défini assez rapidement, le développement s’est étalé sur plusieurs années.

Alors que la plupart des mouvements horlogers sont construits sur un plan latéral, avec une recherche de finesse maximale, le moteur de la HM7 se déploie en hauteur, non pas en largeur, avec des composants montés à la verticale. Le mouvement a été entièrement développé à l’interne par MB&F. Tous les mécanismes — de bas en haut, le rotor de remontage, le barillet, l’affichage des heures-minutes et le tourbillon volant — sont montés autour de l’axe central. L’énergie passe du rotor, à la base, au tourbillon volant, au sommet, via des rouages en escalier qui permettent la transmission
du couple d’un niveau à l’autre. L’architecture concentrique permet l’affichage des heures et des minutes à la périphérie du mouvement. Elle engendre cependant un problème : comment assurer les besoins en énergie d’un mécanisme horaire de grand diamètre sans nuire à la performance chronométrique? La solution provient du développement de roulements à billes en céramique extra larges qui supportent les indicateurs heures-minutes et tournent avec un coefficient de friction très faible. Les bagues d’affichage sont en titane afin de réduire le poids tout en optimisant la rigidité.

Au cours des deux dernières années, la HM7 Aquapod inspirée par une méduse a fasciné le monde grâce à son tourbillon volant et ses symétries parfaites. En 2019, elle émerge une nouvelle fois des profondeurs, parée du plus précieux des métaux et d’une couleur captivante inédite – ainsi que de chiffes tridimensionnels « flottants » des heures et des minutes. Le platine, qui figure au sommet de la hiérarchie des matériaux horlogers nobles, fait son entrée dans la collection HM7 : sa nuance blanc-argent lumineuse offre un contrepoint marquant au carmin éclatant de la lunette tournante unidirectionnelle.

Utilisé pour la première fois dans une création MB&F, le rouge ne renvoie pas immédiatement à l’univers marin — il a cependant une signification très particulière quand il s’agit des méduses. Dans un océan, plus on descend en profondeur, moins les couleurs sont perceptibles. Le rouge est la première couleur à disparaître car elle se situe à l’extrémité la plus basse du spectre de la lumière visible et sa longueur d’ondes est celle que l’eau absorbe le plus facilement. C’est pourquoi on rencontre une concentration de créatures marines rouges plus forte dans les grandes profondeurs — elles sont alors quasiment invisibles aux yeux des prédateurs. Les méduses des eaux profondes ont souvent l’estomac rouge en guise de camouflage : un corps transparent permettrait aux prédateurs d’en repérer le contenu. Avec des appendices numériques flottants et une transparence sans précédent autour de son coeur battant – un tourbillon volant 60 secondes – la HM7 Aquapod Platinum Red provient des recoins les plus profonds de l’océan horloger. Contrairement aux précédentes Aquapod qui affichaient les heures et les minutes via des bagues tournantes à chiffres décalqués, la HM7 Platinum Red comprend des chiffres tridimensionnels sculptés dans du titane. Le métal a été choisi pour sa légèreté, afin de réduire autant que possible la charge marginale additionnelle sur le moteur. Cet avantage technique a néanmoins un coût : le titane est exponentiellement plus dense et plus solide (c’est-à-dire plus difficile à usiner) que l’aluminium qui composait les bagues d’affichage précédentes. Les tiges de fixation des chiffres des heures et des minutes sur leurs bagues respectives sont noircies par traitement DLC (diamond-like carbon) afin de parfaire le caractère aérien associé à la vision d’une méduse entraînée par les courants marins.


Un des aspects les plus surprenants d’une méduse, quasi extraterrestre tant il est éloigné des systèmes des mammifères que nous connaissons bien, c’est la transparence. Comment une créature aussi diaphane et apparemment inconsistante peut-elle vivre ? Pour accentuer ce caractère, la HM7 Platinum Red remplace le support astérohache du tourbillon des précédentes Aquapod par un pont en saphir transparent. Le tourbillon volant du moteur HM7 se dévoile comme jamais auparavant, souligné par un halo super luminescent d’AGT. Tout naturellement, comme il se doit pour une fascinante créature des profondeurs, la HM7 Platinum Red rayonne par luminescence. Outre l’AGT sur la bague autour du tourbillon volant, on trouve de la matière luminescente dans les repères
gravés au laser de la lunette tournante unidirectionnelle et à la surface des chiffres des heures et des minutes ; en l’occurrence du Super-LumiNova non teinté qui émet une lueur blanche après exposition à la lumière. Le moteur automatique à 391 composants de la HM7 Platinum Red a été entièrement développé à l’interne par MB&F. Dotée d’un boîtier, d’une lunette et d’une boucle en platine, la montre fera l’objet d’une série limitée à 25 exemplaires, chacun délivré avec trois bracelets interchangeables (rouge, blanc et noir) en caoutchouc de qualité aéronautique.

 

 

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ArchivesBlogHorlogerie

Joaillerie du Désir

Montre Guy Ellia

Photographe Dominique AMPHONESINH

From Blakemag.com Archives – Shot by our friend, the late « Dom » for Blake 13.

 

Collier Coeurs en cascade Fred Joaillerie

Broche Comète Chanel Joaillerie

Bracelet Tigre Cartier

Broche Pliure GWA Joaillerie

Pendentif Attrapes moi si tu m’aimes Chaumet

Bague en pendentif Dior Joaillerie

Montre Guy Ellia

Collier Zip VanCleef&Arpels

 

 

 

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CINDY CHAO à la Biennale des Antiquaires de Paris

La Maison CINDY CHAO The Art Jewel est heureuse de participer à la 28ème Biennale des Antiquaires qui se déroule du 10 au 18 septembre 2016 au Grand Palais à Paris. Pour cet événement prestigieux, la Maison de Haute Joaillerie éponyme, fondée il y a 12 ans, manifeste sa fulgurante montée vers la reconnaissance mondiale. C’est la première fois que Cindy Chao dévoile ses pièces maîtresses au grand public.

Connue pour ses interprétations artistiques ainsi que pour l’artisanat complexe et raffiné qui animent ses incroyables créations, Cindy Chao The Art Jewel a su attirer l’attention des collectionneurs et connaisseurs de Haute Joaillerie à travers le monde. Sa prestigieuse série Black Label Masterpieces transcende les limites de la conception traditionnelle de la Haute Joaillerie. Cindy Chao ne recherche que les pierres les plus rares dans le but d’exprimer la relation exceptionnelle qu’entretiennent la nature et l’art et ce, tout en créant des pièces de musée.

Cindy Chao The Art Jewel expose douze pièces uniques Black Label Masterpieces en plus de ses autres nouvelles créations signatures de l’année : Four Seasons, Ribbon, Rose et Annual Butterflies. Chaque pièce exprime la passion de Cindy Chao pour les silhouettes et revêtements organiques tout en utilisant les matériaux les plus résistants au monde. Elle vise à transformer les moments éphémères de la vie en des œuvres intemporelles imprégnées de concepts sculpturaux et architecturaux. Ses ateliers ont passé des années à perfectionner le sertissage des pierres précieuses avec des matériaux variés afin de créer les œuvres d’art les plus légères au monde. Un des matériaux pour lesquels Cindy Chao s’est fait connaître est le titane. C’est un métal solide qui prend cinq fois plus de temps à être travaillé que l’or, mais utilisé puisqu’il est l’un des métaux les plus légers.

Au cours de sa carrière, Cindy Chao a toujours présenté de superbes pièces, esthétiquement enracinées dans le monde naturel tout en restant spectaculairement inattendues. Les nouvelles Masterpieces de Cindy Chao The Art Jewel présentées au Grand Palais ne font pas exception à la règle.

Cindy Portrait

 

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Horlogerie: le Printemps Luxueux

Une sélection de montres « coups de coeur » à mettre en toutes circonstances!

 

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