close

SUV

ArchivesLifestyleMagazine

Une BMW en road trip culinaire

La team Blake est partie en road trip gastronomique entre le Nord de la France et la Bourgogne avec pour véhicule le tout dernier X1 M35i xDrive de chez BMW, le SUV compact, pépite de la marque allemande.

Premier arrêt: le restaurant La Laiterie Lambersart près de Lille, tenu par le Chef Edouard Chouteau. Cette maison a 120 ans d’histoire,elle est une Institution gastronomique majeure et immanquable de la métropole lilloise, y sont passés déjà passé des chefs comme Ludovic VANTOURS (1984-2002), Steven RAMON et Benoit BERNARD (2002-2013) qui obtiendra une étoile au guide Michelin, puis Nicolas GAUTIER (2013-2017), Corentine LEDUC (2017-2019). Aujourd’hui pour Edouard Chouteau tout y est à refaire, l’étoile est à reconquérir, et il a carte blanche.

La salle de restaurant est grande, divisée en plusieurs espaces dans le L que forme La Laiterie, nous dînons dans la partie qui a le plus de hauteur sous plafond. Les tables sont bien séparées ce qui laisse une véritable intimité pour vivre le repas. Le ton principal est le blanc, une façon de mettre en lumière ce qui se passe dans l’assiette. L’équipe est complète, en salle le rythme est bon et les plats s’enchaînent en laissant le temps de discuter et d’apprécier chacun des temps du dîner. La cave, très fournie, offre des pairings riches : des grands classiques, aux natures en passant par la bière. La cuisine d’Edouard Chouteau est une cuisine française, qui sait jouer des grandes techniques classiques avec de l’inventivité et ayant à coeur d’être dans les marqueurs fort de la région mais aussi de l’AND de la maison qui était une ancienne laiterie, donc place belle aux produits laitiers, crème, fromages, beurres, …

Pour le dîner il nous est proposé 3 menus : produits d’exceptions,  végétale et terre-mer. Nous ferons une diagonale qui comprendra un mélange des 3 pour explorer au maximum les talents du Chef. Parmis les amuse bouche Edouard Chouteau revisite le grand classic moule-frite avec briaud, il aime jouer avec le Terre-mer comme avec le veau caviar, plein de peps et de saveurs mêlées et équilibrées. Dans un registre de “cuisine classique” la queue de langoustine tapée façon Gagnaire, superbe de maîtrise. Pour le végétal, l’asperge verte, concombre au barbecue et sauce tigre explose de saveurs, une véritable réussite qui mêle les influences tout en respectant les saveurs de chaque produits, pour le plus grand plaisir de nos papilles.  La sole au lard de colonnata fumé au foin avec une cuisson maîtrisée propose un terre mer subtil.

La Tourte de bœuf au foie gras achève de démontrer que Edouard Chouteau maîtrise les codes de la cuisine française. Comment finir un repas à La Laiterie sans prendre de fromages, impossible, et cela est un régal mais pour une fois je m’attarderais sur la salade et son assaisonnement, qui apporte une très belle fraîcheur, et surprend avec  ses notes de jus de viande et ses chips de pain. Comment ne pas vous parler des desserts du chef pâtissier Benjamin Caunois …surtoutcelui au miel préparé avec les miels de ruches de La Laiterie, un délice d’élégance et de saveurs sans tomber dans le trop sucré, et le baba, tout en légèreté, je sais ca peut surprendre mais on est dans l’aérien, ce qui est nécessaire pour une fin de repas.Un régal à travers toutes ces saveurs de la région Nord et de France. Edouard Chouteau montre tout son talent et son inventivité galopante. Une cuisine à découvrir et redécouvrir sur toutes les saisons.

Interview de Edouard Chouteau – La Laiterie Lambersart

Comment en êtes-vous venu à la cuisine ?

J’ai grandi dans l’hôtel de mes parents j’avais l’envie de faire comme mon père faire plaisir aux gens, il y avait quelque chose de magique dans la cuisine. Tout d’abord j’ai fait un stage chez mon oncle qui m’a dit va faire des grands restaurants j’ai alors commencé l’apprentissage en faisant des stages dans des restaurants étoilés à Lorient.

Quel a été votre parcours d’apprentissage ?

Mon premier stage c’était chez Henri et Joseph j’ai fait mon apprentissage là-bas puis au bristol avec Éric Fréchon avec une brigade de fou Henri et Joseph on était trois alors que là on était cinq il y avait Florian enfin Mario Colin Foulquier Nawel que du beau monde et puis j’ai été extra espace extra chez Paul Berger à l’Arpège, je suis passé aussi chez qui Kika d’Agosto en Espagne.  Mais ma grande envie c’était d’aller chez Gagnaire. Ensuite je suis allé à Courchevel, pusi au Balzac chez Gagnaire, J’y ai tout adoré l’équipe le matériel c’était exceptionnel. Gagnaire, vraiment, c’est super complet c’est tout ce que j’aime on ne jette rien la brigade est soudé à beaucoup de niveau il y a beaucoup de plaisir en cuisine c’est géré comme une maison de patron c’est le grand luxe beaucoup de produits incroyables tout le temps en mouvement rien de figé c’est une cuisine vivante avec du risque de l’audace et avec beaucoup d’énergie.

Après le bal après le Balzac j’ai fait le tour du monde je ne savais pas trop ce que je voulais faire je suis passé à New York je suis allé au Portugal mais aussi à Dakar il y avait une opportunité au Clarence pour rejoindre Christophe pelé en tant que sous-chef je l’ai saisi. Christophe appeler ce sont des jeux de textures incroyable et en cuisine c’est très décomplexé un festival de produits j’ai fait des services de 20 couverts dit table sans qu’une assiette ne se ressemble, Christophe appeler c’est un artiste, personne personne ne vit la cuisine comme lui.

Puis j’ai eu la direction du pavillon de la reine avec Mathieu Paco c’était une opportunité folle je n’avais jamais été chef je n’avais jamais fait d’ouverture je n’avais jamais embauché d’équipe une magnifique opportunité.

J’ai quitté le pavillon de la reine pour avoir plus d’espace pour l’opportunité de faire pleinement ce que je voulais, faire ma cuisine.

Comment êtes-vous arrivé à la Laiterie ?

Pour la laiterie j’ai été embauché par une chasseuse de tête qui m’a convaincu du potentiel de la maison, que le projet était excitant, parce qu’à la base je ne voulais pas partir de Paris. Ici il y a une histoire qui me parle et y avait tout à faire.

La laiterie c’est 120 ans d’histoire c’est une institution  qui parle à tous les lillois, donc il y avait une grosse attente c’était une nouvelle page à écrire comme au Pavillon de la Reine, mais là j’étais aux commandes. On m’a donné carte blanche, il y avait tout à refaire : une équipe à monter, jusqu’à racheter de la vaisselle. Mais il y a ici une cave exceptionnelle, une bonne base pour un restaurant (rire).

Quelle est la nature de votre cuisine à la Laiterie ?

Ma cuisine…ce sont d’abord de beaux produits, aller à la recherche de petits producteurs locaux, raconter quelque chose avec des goûts réconfortant, mais aussi se faire plaisir en cuisinant à la laiterie je veux que cette maison soit cohérente alors je travaille le lait évidemment mais surtout je souhaite être avec des produits locaux du bœuf de la volaille de la région mettre en avant terroir. Dans la région il y a un vivier d’artisans précieux, le terroir nordique est riche et singulier.

On bosse beaucoup avec une petite ferme du Pont d’Achelles, elle fait des petits pois, des asperges, des fraises, des framboises, mais aussi des morilles exceptionnelles. Ce que j’aime le plus c’est de travailler les fruits de mer et le gibier, le végétal,… J’aime la diversité, en fait, à chaque saison on réinvente le métier de cuisinier.

Quel est votre accord boisson et plat préféré :

J’aime utiliser le vin, l’alcool ou les eaux de vie en cuisine, ça ajoute de la fraîcheur mais aussi de la profondeur et une vivacité. Je préfère rajouter de l’eau-de-vie à une sauce que des épices, ça ramène une autre dimension.

Y a t il une volonté vers l’étoile Michelin ?

Mon ambition pour la Laiterie c’est de faire vivre la Maison et de prendre du plaisir. j’ai toujours travaillé dans des maisons en lien avec le Michelin… nous on fait ce qu’on sait faire, on va de l’avant, pour le reste autour, on n’y peut rien.

Notre voyage se poursuit direction la Bourgogne, à Courban, entre Troyes et Dijon.

Le Château de Courban fait hôtel, spa et restaurant. Dans la petite ville de Courban, ainsi que dans la région, les plus grosses demeures de chaque cité était nommée Château. C’est ainsi que au détour d’une rue du village de Courban l’on devine derrière un portail, une grande maison de maître. 

Le domaine est splendide avec ses jardins, ses différentes dépenses pour différents logements, dont un pigeonnier tout à fait romantique pour les nuits étoilées. Mais aussi des points d’eau, un couloir de nage, un spa Nuxe, et le chien du maître de maison pour veiller sur les lieux.

Le restaurant offre deux espaces, dont le premier avec la cheminée pour débuter ou finir le repas au coin du feu, et la salle principale qui jouit d’un beau volume. Les tables sont bien espacées pour offrir une bulle apaisante et vivre son repas sans gêner les tables d’à côté. L’équipe en salle est très prévenante, la sommelière accompagne avec tacte tout le repas. On est clairement sur une maison qui va chercher l’étoile.  Le repas commence sur de jolies amuses bouches où jeux de couleurs, textures et saveurs annonce un dîner qui aura des influences multiples venant de France, mais aussi des pays arabes et de l’Asie. Les saveurs sont toujours très justes et équilibrées, le poisson est particulièrement mis en avant avec un travail sur la maturation de la chaire, qui marque son goût et lui apporte une salinité naturelle, c’est très bien maîtrisé.

La langoustine soutenue par la vanille et la patate douce est un terre-mer subtil et très réussi. D’ailleurs tous les jus et réduction sont goutû à souhait et révèle les plats qui sont très lisible, en bouche on sait ce qu’on mange. La volaille de Racan au morille de saison est superbe également, un sans faute, avec des pairings vins classiques mais justes. Le plateau de fromage arrive avec du miel sur son rayon, un délice ! Une belle expérience culinaire qui devrait bientôt se voir glorifiée.

Interview de Maxime Lesobre – Le Château de Courban

Pourquoi avoir choisi la cuisine ?

Mes parents étaient bouchers, et avant mon père était à Rungis et grand spécialiste du gibier. J’étais pas fait pour les études, j’avais trop d’énergie à dépenser (rire)…je suis portugais de par ma mère, j’avais donc 2 grands- mères qui cuisinaient très bien l’une française et l’autre portugaise, deux belles écoles de cuisine. Et puis la cuisine c’est les moments joyeux où l’on se réunit et j’aimais ça. Donc la cuisine a pris le dessus très vite. J’ai fait quelques stages et des chefs m’ont pris sous leurs ailes. Mon avantage c’était qu’avant d’arriver en cuisine je savais travailler les carcasses de viandes grâce à  mon père. J’ai fait un BEP cuisine à Ferrandi Versailles, avec de très bons profs donc Frédéric Anton, qui est MOF aujourd’hui.

J’ai fait beaucoup d’heures et j’ai été bien formé. J’ai été mordu totalement. Puis un BP, Bac pro, avec que de la cuisine. Mes parents ont une boucherie dans le 78 à Saint Quentin en Yvelines, petite ville sympa.

Quel a été votre parcours ?

Première maison Le Laurent, j’ai fait la réouverture du Royal Monceau en 2010, puis la Grande Cascade pendant 2ans, avec le Chef Robert, probablement m’a plus grosse influence, ses auces, ses jus, puis Alain Passard, Michel Rostang, j’étais sous-chef tournant, puis retour à la grande cascade, et ouverture à la Réserve, Jérôme Banctel, grand technicien,

Avez-vous un chef pâtissier avec vous ou c’est aussi vous les desserts ?

Cheffe Pâtissière,  Sae Hasegawa, on fait des essais tout le temps, je viens donner des indications mais j’aime quand ce sont les saveurs qui explosent surtout sans trop de sucre, un avis qu’on partage.

Comment cela a commencé au Chateau de Courban ?

Je suis là depuis février mais en vérité, je suis là depuis octobre. J’ai fait venir mon sous-chef, Lilian Ardouin. On reprend une maison, on y va étape par étape, on peut pas tout révolutionner d’un coup. Là c’est la 2ème carte. Au début on a perdu 5 personnes dans l’équipe et là j’ai une bonne équipe de gens qui donnent beaucoup. Je suis fier de ma team, que des petits jeunes qui s’investissent.

Le petit déjeuner c’est tout maison, brioche, quiche, cake,…

Le Château de Courban a été un restaurant étoilé pendant des années. Aujourd’hui il y a tout à faire et je vais faire ma cuisine. L’important c’est l’esprit d’équipe. Je suis ici pour montrer l’exemple sur l’esprit d’équipe faire du gourmand et du goût.

Quelle est votre cuisine ?

Ma cuisine c’est la cuisine du produit, sublimer le produit sans trop le dénaturer. Il y a pas de règles, je mélange les influences japonaises ou encore africaines, et bien sur du français cela reste notre base, cela reste les 90% de ce qu’on fait? Ici on fait beau avant de faire beau. Avant j’en mettais peut être trop et mon passage avec Alleno m’a appris ça, se concentrer sur l’essentiel. On concentre le goût du produit, pour faire un jus on met 2 à 3 jours : on déglace et on laisse mijoter longtemps…pas trop de sel, le sel vient du produit. J’aime jouer sur les acides, le gras, faut que cela titille les papilles. Je fais un vinaigre de shiso, qu’un ami japonais m’a appris, la cuisine c’est le partage, le savoir. Je dis à mes équipes de tout noter, je donne mes recettes. Il faut aller à l’essentiel, ne pas dénaturer le produit, sublimer le produit et que ce soit lisible dans l’assiette.

Quel est le produit que vous préférez travailler ?

La truffe (rire) ! J’adore les champignons, les poissons. La lotte on l’a fait maturer, comme une viande, j’ai suivi la méthode d’un chef australien qui a lancé ça. Du coup on ne met pas de sel sur cette Lotte et ses saveurs se sont concentrées. J’ai envie de faire des charcuteries de poisson, je viens d’acheter une ventrèche de thon et on va en faire un jambon. Bien sûr on travaille les produits de saison, les produits on va les prendre là où ils sont. On fait que des poissons de ligne, avec des petits bateaux. Faut valoriser nos paysans. Je ne négocie pas les prix mais j’attends de l’excellence. Nous on travaille avec un volailler extraordinaire,  en Touraine, Maison Bellorr, ils étaient au Michelin cette année, ils ont un petit élevage avec une race ancestrale, une des plus vieilles volailles de France, ils font pigeons, des escargots, des asperges bio,…du top.

Le superbe SUV compact de BMW !

Pour rallier ces deux lieux d’exception nous avons découvert la toute dernière merveille de chez BMW, le SUV compact, X1 M35i xDrive : Puissance, Élégance et Technologie de Pointe.

Lorsque l’on voit le tout nouveau X1 M35i xDrive, ce qui saute aux yeux c’est son format compressé et agressif, on sent que la bête sommeil. Ce véhicule allie puissance, élégance et technologie de pointe. Voici pourquoi le BMW X1 M35i xDrive est le véhicule parfait pour ceux qui ne veulent faire aucun compromis.

Un Design Audacieux et Raffiné

Sa calandre emblématique à double haricot, plus large et plus agressive, est complétée par des phares LED adaptatifs et des feux arrière à LED distinctifs, conférant au véhicule une allure moderne et sophistiquée. Les lignes sculptées et les contours musclés ajoutent une touche de sportivité qui ne laisse personne indifférent.

Les pare-chocs avant et arrière sont spécifiquement dessinés pour la version M, intégrant des prises d’air plus larges et des diffuseurs qui accentuent l’aérodynamisme et la performance et lui donnent un look sportif. Les jupes latérales et les rétroviseurs extérieurs au design M renforcent l’aspect dynamique du véhicule.

Les jantes en alliage léger M de 20 pouces, avec un design exclusif et des pneus haute performance, non seulement ajoutent à l’attrait visuel du X1 M35i xDrive, mais améliorent également sa tenue de route et sa maniabilité. Le toit ouvrant panoramique, en option, offre une vue dégagée sur le ciel, ajoutant une touche de luxe et de liberté à chaque trajet.

Un Intérieur Luxueux et Modulable

À l’intérieur, le X1 M35i xDrive offre un environnement luxueux et technologiquement avancé. Les matériaux de haute qualité, comme le cuir Dakota et les inserts en aluminium, créent une ambiance élégante et confortable. Les sièges sport M, chauffants et réglables électriquement, assurent un soutien optimal, même lors des trajets les plus longs. Ces sièges sont dotés de multiples réglages électriques, y compris le réglage lombaire à quatre voies, permettant de trouver facilement la position de conduite idéale. Les renforts latéraux réglable eux aussi maintiennent fermement le conducteur et le passager avant en place, même lors des virages serrés, offrant ainsi une expérience de conduite plus engageante et dynamique.

Le X1 M35i xDrive se distingue également par sa modularité exceptionnelle. Les sièges arrière sont rabattables dans une configuration 40/20/40, offrant ainsi une flexibilité maximale pour transporter des passagers et des charges volumineuses. Le volume du coffre, déjà généreux, peut être augmenté de manière significative, facilitant le transport d’équipements de sport, de bagages ou d’achats importants.

Technologies de Pointe et Connectivité

Le tableau de bord est équipé du dernier système d’infodivertissement iDrive 8 de BMW, avec un écran tactile de 10,25 pouces et un affichage tête haute. Ce système intuitif permet un accès facile à la navigation, aux applications connectées et à vos médias préférés. La compatibilité sans fil avec Apple CarPlay et Android Auto assure une intégration transparente de votre smartphone, vous permettant de rester connecté en toute simplicité.

Les systèmes d’assistance vocale et gestuelle améliorent encore l’expérience utilisateur, rendant les commandes intuitives et sécurisées. Le système de sonorisation Harman Kardon, disponible en option, transforme l’habitacle en une véritable salle de concert, offrant une qualité audio exceptionnelle pour tous les occupants.

Des Performances Époustouflantes et une Motorisation M que l’on aime

Sous le capot, le BMW X1 M35i xDrive cache un moteur quatre cylindres turbo de 2,0 litres, capable de développer 306 chevaux et 450 Nm de couple. Couplé à une transmission automatique à huit rapports et à la transmission intégrale xDrive, ce moteur offre une accélération fulgurante, permettant de passer de 0 à 100 km/h en seulement 5,4 secondes.

Le système xDrive répartit intelligemment le couple entre les roues avant et arrière, garantissant une traction optimale et une stabilité exceptionnelle, quelles que soient les conditions de conduite. La suspension M Sport, combinée à la direction sportive variable, offre une réactivité et une précision remarquables, transformant chaque trajet en une expérience dynamique et engageante.

Système de Freinage Avancé

Le BMW X1 M35i xDrive est équipé d’un système de freinage hautes performances qui assure une puissance de freinage exceptionnelle. Les freins à disque ventilés, équipés d’étriers de frein M Sport en bleu avec le logo M, garantissent une dissipation optimale de la chaleur et une réponse précise, même lors des situations de conduite les plus exigeantes. Le système de freinage antiblocage (ABS), associé à la répartition électronique de la force de freinage (EBD) et à l’assistance au freinage d’urgence, assure une sécurité maximale en toutes circonstances.

Sécurité et Assistance à la Conduite

Le X1 M35i xDrive est équipé des dernières technologies de sécurité et d’assistance à la conduite. Parmi elles, le régulateur de vitesse adaptatif avec fonction Stop & Go, l’assistant de maintien de voie avec retour actif, la surveillance des angles morts et le système de freinage d’urgence autonome. Ces fonctionnalités avancées travaillent de concert pour vous offrir une conduite sereine et sécurisée.

Le système Parking Assistant Plus, incluant une caméra de recul haute définition, des capteurs de stationnement avant et arrière, et l’assistant de stationnement autonome, rend le stationnement simple et sans stress. Le système de caméra 360 degrés offre une vue panoramique autour du véhicule, facilitant les manœuvres dans les espaces restreints.

Une Expérience de Conduite grisante

La combinaison de la puissance brute, de l’élégance et des technologies de pointe en fait un véhicule qui offre une expérience de conduite sportive et rassurante à la fois. On peurt s”amuser tout en se sentant toujours très en sécurité et en maîtrise. Que vous naviguiez en ville ou que vous partiez pour une escapade sur route, le X1 M35i xDrive vous offre des performances sans compromis et un confort inégalé.

Conclusion : Le Choix Idéal pour les Conducteurs Exigeants

Le BMW X1 M35i xDrive n’est pas simplement un SUV compact; c’est une déclaration de style, de performance et d’innovation. Un SUV compact mais aussi un véhicule de luxe, avec l’ADN sportif qui caractérise la gamme M de BMW.

Un gardien du temps, Le Chrono type 20, Flymaster n°73 de Auricoste

Pour garder un œil sur le temps lors de cette cavalcade gustative, Auricoste nous a prêté un chrono de sa gamme, une montre parfait pour aller avec l’aspect sport de la BMW, et pour ce weekend à travers les régions de France.

Auricoste est une marque française, depuis 1854, spécialisée dans le domaine des chronomètres de marine. Auricoste est intimement liée à la vie aéronavale française. Son histoire lui confère un statut particulier dans l’univers horloger ou beauté et rigueur du mécanisme sont les maîtres mots. Ses chronographes sont considérés comme des instruments de mesure de choix par les spécialistes et amateurs de mécanismes horlogers dans le monde entier.

Ses performances lui permettent d’équiper les armées navales, aériennes et terrestres en France comme à l’extérieur de l’hexagone. Nos outils de mesure, nos différents modèles sont conçus en vue d’une robustesse et d’une lisibilité parfaite pour résister aux situations les plus extrêmes.

La type 20

En 1954, Auricoste crée et développe le modèle type 20 dont la fonction « flyback » devient une norme imposée par le Ministère français de la Guerre. Plus de 2000 chronographes sont livrés aux différentes forces françaises. A l’époque le Ministère de la Guerre, imposant à ses pilotes d’aéronavales d’être équipées de chronographes dotés de la fonction “retour en vol“ également connue sous le nom de “flyback”. Cette complication à pour fonction de permettre aux pilotes de mesurer des intervalles de temps successifs en une fraction de seconde, rendant inutiles les fastidieuses opérations répétitives des 3 étapes, stop, remise à zéro et start habituelle. 

Un boîtier de 39,5mm et des aiguilles recouvertes de superluminova, pour être lues même de nuit, ainsi que deux chronos dans le cadran. La glace hésalite a été choisie pour éviter les bris de verre.

Article réalisé par Alexis Dumétier

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Découverte du RAFALE de RENAULT

La team Blake est partie dans la région de Séville, en Espagne, pour découvrir sur les routes de campagnes sévillanes les qualités du Rafale de chez Renault.

Une voiture qui bénéficie des toutes dernières technologies de la marque au losange pour le plus grand plaisir des conducteurs. Rafale est le dernier né de chez Renault. Ce nom évoque tout de suite l’aviation avec l’avion militaire de chez Dassault, des lignes tendues, de la vitesse et du caractère. C’est le cas de ce nouveau modèle de la marque au losange.

Mais ce Rafale, lui, est un hommage à un avion certes, agile et rapide également mais pas celui de Dassault : Le rafale de Caudron-Renault. Une histoire d’aérodynamisme et de design français. Ce « racer du ciel », au nom inspiré du vent, était destiné à la compétition sportive. Plus léger et plus agile que ses pairs, il était plus compétitif. 


C’est exactement l’idée que reprend la voiture de Renault, attaquer le segment des SUV de luxe. Ce Rafale, à 4 roues de chez Renault, contrairement à son modèle aérien, est lui aussi pensé avec cette dynamique avec des lignes tendues et franches qui lui donnent un design racé. Que ce soit les lignes saillantes des flans aux éléments irisés présents dans les optiques, en passant par les losanges cachés un peu partout dans et sur la voiture ou encore l’avion que l’on retrouve dans l’habitacle, ce modèle est pensé pour être une voiture qui se démarque. 

Le Design du Rafale. En plus de ses lignes de fuites bien étirées, tout comme ses optiques avants, ce que l’on remarque tout de suite c’est sa grosse calandre avant, comme des écailles de serpent, qui lui donne du volume et un air plus agressif, ses écailles étant une reprise de losange bien sur. L’arrière de la voiture est typique des SUV coupé pour lui apporter un look définitivement plus sport. Ses mensurations : 4,71 mètres de long, pour 1,61 mètre de hauteur, on est clairement sur du SUV compact, d’apparence.

L’intérieur du Rafale. Pourquoi d’apparence ? Car une fois que vous découvrez l’habitacle, le premier sentiment est celui de l’espace et du confort. et pour cause il partage la plateforme CMF-CD du Renault Espace. Le conducteur et son passager sont dans un véritable confort et la plage arrière n’est pas en reste; pensée pour deux ados avec une place centrale qui se transforme en plateforme parfaite pour recevoir tablettes et téléphones (deux ports USB à disposition), ainsi que des reposes gobelets, pour un voyage en première classe pour les passagers arrière de ce Rafale. Pour 4 personnes le voyage qu’il soit long ou court est un véritable plaisir, on ne sent pas les kilomètres défiler. Dans sa version Esprit Alpine (celle que nous avons testées) de jolies finitions : surpiqûre bleu et rouge, des sièges baquets mais pas trop, pour nous maintenir et assurer un confort routier également. Pépite de technologie le toit verrière et sa techno de verre opacifiant made from Saint Gobain, que l’on ouvre et ferme avec un seul doigt ou encore mieux par la voix via Google Assistant : le toit se désopacifie par tranche, passant de complètement opaque et protégeant des UV à complétement transparent. Le coffre est assez grand pour partir en voyage à 4, nos ados ne prenant que quelques t-shirts pour les weekends et les vacances.


La motorisation. Deux motorisations sont programmées: La version d’essai est la 200CV, et une 300CV à quatre roues motrices fin 2024. La première reprend la technologie E-Tech largement répandue au sein du constructeur. Elle associe le 3-cylindres 1,2 litre de 130 ch à deux moteurs électriques de 50 et 25 kW. Ce dernier, installé dans la boîte multimode sert au démarrage du moteur thermique. Une batterie de 22 kWh complète le système. Elle profite des phases de régénération pour se recharger à vitesse grand V et ainsi maximiser le roulage électrique en ville. La boîte est très fluide, aucun accoup, on accélère franchement et le Rafale se lance dans une montée en vitesse continue. Le freinage est à la hauteur des 200CV et est rassurant.

Les véhicules sont aujourd’hui tous très assistés puisque nous allons vers une automatisation assez certaine, et c’est là où les ingénieurs de Renault pensent aux plaisirs de ses conducteurs, un simple bouton, facilement accessible permet de débrayer les aides les plus contraignantes (gestion des distances, de la tenue de file,…) en un seul clic. Une brillante idée.Le plaisir de conduite comme mot d’ordre de ce Rafale, avec les quatre roues directrices de série sur la finition supérieure, ainsi que le système de direction de Renault, on enchaîne les virages comme un pilote même si l’un de se referme et nous surprend. De plus le système dispose de 13 positions de répartition des aides et de préréglages châssis, direction, amortissement,  réparties entre les modes Confort et Sport. On peut le laisser opérer automatiquement ou régler manuellement. À partir du niveau 7, on profite d’une voiture de plus en plus directe et réactive, et ainsi appréhender la route à son envie. La consommation reste parfaitement maîtrisée, nous avons constaté une moyenne de 6,6 l/100 km, malgré un test varié en dynamique.


Pour conclure sur le Rafale. Le look du Rafale de Renault nous a clairement séduit. Son habitacle et les technologies à disposition nous ont plu et offert une expérience de conduite plus qu’agréable. On descend de véhicule en ayant envie d’y retourner comme si les centaines de kilomètres n’avaient pas été effectuées. Et ça parce que, entre autres, le Rafale a su optimiser les technologies de ses prédécesseurs. C’est un peu le petit dernier, le petit frère tempétueux. On a hâte de tester le 300 CV et de vous en parler.

Prix: À partir de 45.000€
Fiche technique :
– Moteurs: 3-cyl. essence turbo 1,2 l + 2 moteurs électriques- Puissance: 130 ch (200 ch cumulés)- Couple: 205 Nm- Transmission: Traction, boîte auto. multimode- Dimensions (L/l/h): 4 710 x 1 866 x 1 613 mm- Coffre: 627 litres- Poids: 1 660 kilos- Performances (0-100 km/h): 8,9 secondes- Vitesse: 180 km/h- Consommation Mixte UE: 4,7 l/100 km- Émissions CO2: 105 g/km


Article écrit par Alexis Dumétier – Photos et vidéos Eric Sissung.

Drone : Alexis Dumétier et Julien Di Luigi

read more
Archives

Découvrir les Baux-de-Provence en Mustang

Pour l’été la team Blake a choisi de découvrir le Suv de Mustang, le Mach e sur les routes du Sud de la France, dans la région des Baux de Provence. La garrigue, les Alpilles, le chant des cigales qui berce les siestes post prandium, le mistral qui rafraîchit les après midi trop chaud, Les déjeuners à l’ombre de platanes, bref le rythme des vacances mais aux saveurs de Pagnol.
On vous emmène dans une balade provençale, on vous partage nos bons plans, nos coups de cœur et des looks estivaux.

La Mustang mach e :

Notre destrier pour traverser les Alpilles, les chemins de terres ou de bitumes fut la Ford Mustang Mach e, modèle Standard Range . Un SUV plutôt citadin mais qui est une véritable routière confortable et très silencieuse. Mustang, vous entendez déjà le V8 ronronner fort, pas ici, c’est une full électrique. Alors oui, on crie au scandale, au blasphème de la « road majestée ». Mais au final pas du tout. Et pour ce qu’on achète, c’est-à-dire un véhicule SUV full électrique, la mustang Mach e fait un travail remarquable et rend le trajet presque apaisant. D’abord l’électrique impose sur les longs trajets des pauses , pour recharger les batteries toutes les 1h30 en moyenne. Mais après tout c’est ce que conseille la sécurité routière. Mais ensuite et surtout le travail d’isolation phonique est un vrai bonheur : pas de bruit de roulement, de souffle d’air intempestif. S’ajoute à cela les sièges, que dis je ! les fauteuils de la voiture : large, bien enveloppant, presque moelleux, Après un Paris Marseille dans la journée j’étais près à faire le retour dans la foulée. Parce que au final pour le trajet, il ne m’aura fallu, je dirai presque que 8h 20 minutes, 3 pauses de recharges, dont une qui m’a permis de déjeuner, et ces dernières furent entre 20 et 40 min.
La mustang mach e est bardée de système d’aide à la conduite, elle est niveau 4 dans les pays dont la législation le permet, en France le niveau est de 2 pour la conduite autonome, mais cela pour dire que la voiture est parée pour vous accompagner sur la route et vous soulager et vous prémunir au maximum : sortie de la voie, gestion des distances, de la vitesse, reconnaissances des panneaux, phare automatique intelligent qui détecte les véhicules,…son grand écran central qui fait penser à celui des Tesla est pratique et très réactif, le Applecarplay fonctionne parfaitement. Mais par-dessus tout c’est le système one pédale qui est fabuleux : vous n’avez plus qu’à gérer l’accélérateur seul. Au début cela est déroutant, mais la mustang Mach e contrôle la décéleration et la distance avec les véhicules de façon assez juste et cela offre un confort supplémentaire et économise le chauffeur.
Le train et le châssis de la voiture enroulent bien les virages et la tenue de route est très bonne, quasiment pas de rouli. L’expérience de conduite donne le sentiment de couler dans un toboggan, c’est très fluide.
Le coffre arrière permet de loger deux grosses valises et deux cabines, il y a un coffre avant qui a une trappe pour évacuer les liquides, certains s’en servent de glacières paraît-il…pourquoi pas.
Côté loisir : le système de son intégré et fait par Bang & Olufsen, ce qui permet d’écouter vos sons préférés avec une belle qualité et des basses vivifiantes si vous le voulez tout en préservant les aigus..
Cette expérience de la Mustang Mach e était aussi l’expérience d’un long trajet en full electric pour la team Blake et cela est très concluant. Aujourd’hui le parc de stations de recharge est grand et étendu sur le territoire. Et avec la bonne appli, nous avons utilisé Chargemap, qui réunit plusieurs opérateur de station de recharge et offre un service de GPS et de calculateur de trajet top pour anticiper les déplacements sans aucun soucis.

Le full electric et le passage de l’essence à l’électricité dans nos voitures :

D’ici à 2030 la plupart des constructeurs ne vendront que des voitures full electric, législation oblige. Le virage est donc déjà clairement amorcé. Force est de constater qu’en 2023 la présence de bornes est de plus en plus répandue, et il est en vérité simple de trouver à se charger un peu partout même dans des petits villages. Sur le réseau routier on peut trouver des zones de recharges en nombres, il y en a autant qu’il y a de stations essence quasiment. Pour accompagner les automobilistes il existe des applis indispensables pour programmer les voyages et les pauses nécessaires aux recharges électrique. Nous avons utilisé Chargemap, qui s’est révélé un outil très intuitif et utile pour toutes les recharges sur le pouce ou les trajets programmés.

Le Prieuré de Baumanieres et le Chef Christophe Chiavola :

A Villeneuve les Avignons, L’ancien Prieuré est devenu un Relais & Châteaux, et pour mener les cuisines le choix s’est porté il y a peu sur Christophe Chiavola. Le soir pour un dîner gastronomique ou le midi pour la proposition du Chef Christophe Chiavola, un déjeuner Bistrot chic, avec pour pièce maîtresse le brasero plancha. C’est au cœur de la cour du Prieuré, sous les platanes centenaires, que l’on nous propose de déjeuner face au sous-chef qui prépare nos plats. Un lieu d’exception qui propose le midi une ambiance décontractée, avec une cuisine qui se dit plus simple, mais qui offre à nos papilles une expérience d’étoilé en devenir. Des entrées populaires comme le gaspacho sont menées avec finesse, un savoir-faire qui fait exploser les saveurs, je veux pour exemple cet œuf parfait qui recouvert en cascade par le gaspacho est auréolé de fleurs et de délicates touches d’huile d’olive. Les saveurs sont là, l’ail bien présent, et le gaspacho prend soudain une autre dimension. Ce midi le plat était du porc cuit à basse température, avec la peau follement croustillante, juste marqué au flammes du brasero, et le poulpe mariné juste saisi sur le grill, fondant et le tout relevé de zest d’agrumes. On sent la maîtrise et l’expérience du Chef Christophe Chiavola, on sent la finesse d’une cuisine gastronomique, une table à ne pas louper dans la région.

ITW du Chef Christophe Chiavola :

Christophe Chiavola, c’est une belle rencontre, un chef entier, un homme franc, droit, authentique et sans chichi. Il a une vrai gouaille et un amour immodéré pour la cuisine, les agrumes et la mer en particulier. Autour du déjeuner il est venu s’asseoir avec nous et nous avons parlé de son parcours et de sa cuisine, casquette vissée sur la tête.

 

Qu’est ce qui vous a mené à la cuisine ?

C’est une vieille histoire, à l’âge de 12 ans pour Noël on fait la soupe à l’oignon, et les parents se préparant j’ai été nommé à la surveillance de la soupe. Je l’ai tournée et retournée et je l’ai assaisonnée, un peu trop d’ailleurs, et pourtant les gens ont aimé , et cela a créé un déclic. Je suis alors rentré en CFA dès mes 17 ans du côté de Perpignan, mais j’ai foiré complet. Je n’aimais pas l’école. Mais quand j’étais au taff je faisais mes 15 heures par jour, j’y allais en stop s’il fallait. 

Quel est votre parcours ?

Je n’ai fait aucune grande maison, mais pour développer mon savoir j’ai acheté des bouquins, des magazines, les THURIES notamment, je regardais, j’apprenais, je regardais ce que faisaient les autres restaurateurs et je refaisais. A mon époque pas de cuisiniers stars, on était plus seul.

Je suis passé par plein de choses, le traiteur, cela apprend l’organisation, ne rien oublier, puis la restauration plus classique. Je n’avais pas d’objectif d’étoile ou de grande cuisine, je voulais voyager, apprendre.

Mais j’ai des chefs qui me marquent. Je suis fasciné par Michel Bras. Il y a aussi Pierre Gagnaire, qui d’un coup de rein vous dégage et transforme et magnifie un plat, et Glenn Viel de Baumanière, qui est perché, il concrétise tous ses délires, et quand il y arrive c’est magnifique, il est inspirant.

Comment avez-vous eu des étoiles, vous qui ne les cherchiez pas ?

J’avais un pote qui partait en Asie, alors qu’il travaillait au Hameau des Baux, et il me dit il y a une place à prendre, mais il y a une étoile qui risque de tomber, et elle est tombée alors j’ai du faire en sorte de la maintenir, pas le choix, et j’y ai pris goût, car ce qui est sympa c’est le contact avec le produit, les producteurs, on faisait un peu ce qu’ on voulait, et cela marchait. Les retours étaient bons, il y a de la reconnaissance à ce niveau là, c’est grisant. Donc après la fermeture des Hameau, j’étais lancé et j’ai eu envie d’aller chercher les étoiles. C’est ce qui s’est passé avec le château de Massillan. Le propriétaire voulait monter sur l’étoile. Là bas, il y a un potager de 4 000 mètres carrés, c’est superbe, j’ai jamais vu ça. Du coup on l’a eu, ce qui a créé un bouleversement. Du coup il fallait mettre en place une rigueur et un staff, et après le Covid, cela a été très dur. Il y a eu trop de précipitation et cela m’a abimé, trop de stress et de fatigue. J’ai alors fait quelques années de consulting. Mais la cuisine me manquait, je m’ennuyais, alors je suis revenu au fourneau, et j’ai eu la chance d’avoir le choix, on me réclamait. Mais il y a eu le choix du coeur : la Provence, les maisons Baumanieres, l’esprit qualitatif, la rencontre avec Monsieur Charial, qui en a fait des maisons excessivement belles. Et il y a la rencontre avec Glenn, qui est un mec simple et cool.

La cuisine du Prieuré quelle est-elle ?

C’est ma cuisine, je n’ai rien changé. On se limite un peu pour le moment, il faut mettre les équipes en ordre. Cette cuisine elle est un peu à la Gagnaire, c’est du freestyle, en fonction du produit, du pourquoi du comment, de la nuit…. Je m’ennuie énormément, je reste pas sur des plats qui marchent, quand j’en lance un , je suis déjà sur le suivant. Je m’aide beaucoup de ma seconde, Marie-Lou, qui a travaillé chez Darroze, on est très complémentaire. J’achète les produits, et j’improvise dessus, avec les condiments, les légumes et les fruits qui viennent. J’aime beaucoup l’huître, je la travaille beaucoup, j’adore le terre / mer, le côté fort de la terre qui vient corser un poisson doux et gras, c’est top, avec le côté salin, apporté par un jus d’huître par exemple ajouté sur un jus de boeuf réduit, sur une viande maturée et de l’anguille, c’est saisissant en bouche. J’aime les jus corsés, on fait réduire, cela devient sirupeux. Je suis pas pris par le stress de l’étoile, j’essaie. Un produit bien cuit avec un jus, qu’on vienne pas me dire que c’est pas bon !

Le choix de la proposition du midi ?

On a voulu faire une offre décontractée qui attire du monde, et que ce soit convivial, rapide s’il le faut. Des entrées fraîches, simples, et des plats au brasero, sur une heure de déjeuner. On peut avoir un menu pour moins de 60 euros dans un cadre exceptionnel. On veut se déjeuner accessible, en vrai le mec peut venir en slip de la piscine, moi je m’en fou. Les gestes en cuisine sont ceux du gastronomique du soir, mais les présentations et la cérémoniale sont « plus simple ».

Le Domaine de Trévallon :

Le plus beau domaine de Provence et probablement l’un des meilleurs pour ses blancs et ses rouges amples, complexes, possédant une superbe minéralité. Le Domaine Trévallon existe depuis 1973. Le père de Ostiane, était artiste comme sa grand-mère qui était la seule artiste à être autorisée à faire des copies de Picasso en tapisserie. C’est d’ailleurs entre autres à cause de ce dernier que la famille découvre Saint Rémy de Provence et y achète des terres. C’est Eloi le papa d’Ostiane qui décide de faire du vin sur ses terres, avec une volonté de faire ce qu’on appelle aujourd’hui du Bio : pas d’intrant, pas de chimie, une juste expression du terroir et de la vigne. Et le pari est réussi puisque les vins de Trévallon sont hors paires, réputés et recherchés. Ostiane, à la vigne sans le sang, elle perpétue le travail de ses aïeux avec passion depuis maintenant 9 ans. Le vin elle est tombée dedans étant petite, comme un célèbre Gaulois, elle ne pouvait que finir par en faire sur le domaine familliale.

45 hectares de vignes entrecoupés de garrigues et de forêts de pins, un terrain qui grimpe vers les Alpilles, et qui offre autant de parcelles différentes pour les cabernets, syrah et autres cinsault,…Le domaine produit chaque année en moyenne 50 000 bouteilles de rouges et 8 000 de blancs, des vins d’exceptions, qui ont une garde de 30 à 40 ans, que l’on trouve essentiellement chez de grands restaurateurs et dans quelques caves qui ont la chance de posséder de rares allocations. 

La carrière des Lumières :

Lieu inévitable des Baux de Provence, scène passée de la création de Jean Cocteau et de son « testament d’Orphée », il est aujourd’hui un lieu d’exposition où les oeuvres de grands maîtres et de grands peintres sont projetées et animées sur les murs de la Carrière, accompagnées de musique. Au frais, dans ce cœur de pierre, on marche, immergé dans les œuvres, les couleurs et les formes. Une manière exceptionnelle de découvrir ou redécouvrir des artistes picturaux. Et durant les après midi parfois caniculaire de Provence, un lieu comme une carrière, semble être un oasis. A faire. Les places sont chères dans le petit parking qui se situe face au carrière, on a pu y tester le park assiste de la mustang Mach e qui se révèle très pratique et rudement efficace, en créneau ou en bataille la voiture gère cela très bien seule, vous n’aurez qu’un bouton à maintenir. Finis les créneaux ratés.

Beauduc, la plage sauvage :

Si vous passez dans la région il est un lieu à ne pas louper, une bulle hors du temps, sauvage, et peu fréquentée, si ce n’est par les kitesurfeurs et les passionnés du coin : la plage sauvage de Beauduc. C’est au prix d’un long chemin chaotique, de terre, de sable de cailloux et de trous innombrables, cheminant au travers des lacs salins, que l’on découvre une plage immense, clairsemé de dunes de sables comme des refuges pour un picnic ou une sieste. Et puis la mer, qui sur une distance qui semble infinie vous arrive à mis mollet, d’une douce tiédeur. Beauduc, c’est le silence étourdissant, qui offre la pleine place aux cris des mouettes et aux clapotis des vaguelettes qui viennent mourir sur le sable. Je ne connais aucun lieu similaire en France, qui offre ce sentiment d’être arrivée au bout du monde. Pour une journée, un après midi ou une soirée, il faut vivre cette expérience. La mustang mach e fut une alliée de choix pour ce chemin qui fini en off road, même si c’est un SUV plutôt citadin, avec une garde au sol pas si haute et une roues motrices, et bien la Mustang s’en est très bien tirée et la fermeté de ses amortisseurs et ses larges pneus ont bien franchis les obstacles qui se présentaient à elle.

Terre et Blé, de Henri de Pazzis : 

Henri de Pazzis s’est épris du blé et du pain, et à voulu faire de ce lieu un temple de la miche où la proportion entre croûte croquante et la mie tendre et pégeuse tient presque du théorème d’algèbre. Les pains et les fougaces sont à tomber, les focaccias aussi, et je ne vous parle même pas des petites gourmandises à la fleur d’oranger comme des biscuits en forme de bouche, une merveille avec un café.

De plus, ce lieu propose à déjeuner. Aux fourneaux c’est Nathalie Gruaut la chef, passée chez François Perraud pour l’influence provençale, pour le reste elle a fait le tour du monde et s’est inspirée de chacun de ses voyages. Dans l’assiette des produits du terroir, bio, circuit court, mais surtout de la finesse, de l’élégance et du goût, des goûts marqués, assumés et des touches florales maîtrisées. Une pépite à ne pas louper si vous passez par Saint Rémy de Provence.

Skin Système : Men

Une ligne pour Homme chez Marionnaud, sobre, au packaging très épuré et noire. Comme cela, ce ne sera pas clivant, et plaira à tous. La gamme est bien faite et très complète : nous avons testé un fluide léger hydratant, une crème anti-ride, un gel nettoyant et un gel exfoliant, ainsi qu’une crème à raser. Les textures sont agréables , et les senteurs légères, entre agrume et boisés résineux, un côté marin, qui donne comme un coup de fouet de fraîcheur d’embrun. Une gamme à découvrir pour prendre soin de sa peau qui pendant les vacances subit soleil, sel marin, chlore des piscines, et autres nuits parfois trop longues. Vous nous direz merci.

Les savons Soeder :

On a découvert et aimé les savons écoresponsables de la marque Soeder. Nés de l’esprit d’un collectif qui, depuis 2013, développe et vend depuis Zurich des produits de qualité pour le quotidien qui doivent être de grande qualité, fabriqués en Suisse, ne pas contenir d’ingrédients superflus ou même toxiques et être tolérés par tous, toutes les huiles utilisées sont pressées à froid et proviennent de l’agriculture biologique. Le packaging est en verre recyclé. Bref ce sont des produits sain pour nous et pour la planète. Le parfum Negroni du savon liquide nous a rappelé les soirées cocktails estivales, on a adoré. Le cube de savon aux senteurs de pins nous permet aujourd’hui de nous ramener aux balades dans les forêts de pins de Provence pour garder un pied en vacances.

La Maisonnette, une maison d’hôte pour tout oublier :

Il n’est jamais évident de trouver le bon lieu pour se reposer et réunir toutes les qualités attendues. Cette maison d’hôte rattachée au mas bicentenaire des propriétaires, bien nommé Mas de Coeur,  est un véritable havre de paix. 50 mètres carrés, une belle auteur sous plafond, une décoration qui vous plonge dans un univers maritime inspiré de Corto Maltese. Mais surtout une terrasse ombragée, un espace sous un immense prunier avec un hamac pour de longues siestes salvatrices.

Un très beau bassin de nage de plus de 12 mètres à votre disposition entouré d’un superbe verger et de transats. Une oliveraie charmante pour admirer les ciels étoilés. Et des hôtes d’une rare bienveillance et d’une grande discrétion. Situé à 5min en voiture du centre de Saint Rémy de Provence, cela permet de vivre la sérénité de la pleine campagne tout en ayant à porté, restaurants, bars, magasins, et festivités estivales.

Le Momentum 4 de Sennheiser : 

Déjà la 4ème version de ce casque mythique, et à chaque nouvelle mouture Sennheiser améliore de petits détails précieux, comme le bandeau de plus en plus confortable. Le système ANC est toujours aussi bien fait, et il en fait le compagnon parfait pour s’isoler du monde extérieur et écouter sa musique ou un podcast en étant hyper focus. Si les vacances vous offrent du calme, ce casque offre une bulle de zénitude. La dynamique d’écoute est très belle, les graves présent ne bavent pas, les médiums et les aigus sont élégants. Peu importe le style de musique que l’on aime écouter, ce casque retransmet parfaitement les voix et les instruments. La version blanche matte a retenu notre attention pour l’été, pour son aspect lumineux.

Le Newport chronographe de Herbelin :

Une belle montre, sportive pour l’été, avec ses trois cadrans, et son mode chrono à la trotteuse. Le boîtier d’acier épais est de belle facture, et offre un poids qui lui confère une certaine prestance au poignet. C’est une montre automatique qui se recharge au mouvement de vos déplacements pour une autonomie de 67 heures. Un chronographe élégant , épuré, pour tous les jours mais aussi pour les moments plus habillés. 

Essence, des vernis effet gel :

Nos chéries adorent mettre leurs ongles aux couleurs de l’été. Aujourd’hui de plus en plus de marque propose des vernis sans parabène, ni adjuvant néfaste, mais pas avec cette qualité. La pose est facile, le pinceau efficace pour une pose en un passage, et la couleur intense.

Pas ce soir, de chez BDK : 

Dans la team Blake, on est des amoureux de parfum et comme il peut y avoir des parfums pour chaque moment, nous avons choisi pour ce road trip provençal Pas ce soir, Extrait, de BDK parfums, créé par Violaine Collas. Chez Blake on apprécie fort le talent de cette maison pour magnifier les différentes fragrances. Avec ce Pas ce soir, Extrait, c’est un mélange chaud, sucré et épicé qui vous enveloppe, avec une pointe florale : poivre noir, gingembre, fond de cacao, jasmin délicat, pointe de fleur d’oranger, vanille subtile et ambroxan, avec en fond un patchouli qui ne se fait pas entêtant. Un compagnon parfait pour votre peau, envoûtant, pour les nuits d’été sous les étoiles.

Article réalisé par Alexis Dumétier

Stylisme : Superdry, Newman, Boohoo, Jonak, Nike, Ray Ban, Persol, Prada, Colmar, Stetson.

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Renault Austral etech full hybrid – Alpine

Renault Austral etech hybrid, Le nouveau SUV électrique de la marque au losange. La voiture est comme la dernière Mégane, une voiture connectée avec un tableau de bord tout en écrans, le système de connexion de Renault. On a testé sur les routes superbes du Nord de Madrid la version 200 ch de l’Austral etech hybrid en finition Esprit Alpine.

Un véhicule prémium

On le sent dès l’approche de ce véhicule, avec son design accrocheur, l’Austral est une voiture prémium. Une très grande calandre avant, siglée Renault, qui s’étire sur des optiques racées, qui vont loin sur les flancs de l’auto. C’est la technologie Matrix LED, qui découpe le faisceau lumineux pour ne pas éblouir les autres usagers de la route ou mettre en valeur les panneaux de signalétique,  qui est proposée sur les modèles haut de gamme d’Austral.

Le capot avant est marqué de nervures qui lui donne un côté sport. La ligne est tendue jusqu’à l’arrière de la voiture, avec des renflements au-dessus des roues arrière, jusqu‘aux feux arrière qui s’allongent en bande, presque jusqu’au centre du derrière du véhicule, où l’on retrouve le sigle Renault, massif. L’accent a été mis sur le design tant extérieur, qu’intérieur, la sensation dès l’ouverture de la porte est que nous sommes dans un véhicule haut de gamme. Le tableau de bord en double écran, le large volant, la console centrale travaillée, qui offre rangement et connectivités.

L’intérieur

Cette version Alpine de l’Austral dispose de finitions spécifiques : siège ciglé, volant avec surpiqure bleu, blanc, rouge, alcantara. Pas de motorisation spécifique mais une gamme de design Alpine, elle se pare également d’une teinte gris satiné que l’on a adoré et de jantes 20 pouces badgées Alpine, qui signe son aspect.

Sur la console centrale, large et profonde, un emplacement coulissant, que l’on règle en fonction de sa morphologie. Des ports usb, allume cigare et un emplacement pour une recharge en induction. Renault a travaillé particulièrement le son que fait ce repose main coulissant en voulant s’approcher du bruit d’un cadran de montre que l’on tourne. Subtil mais appréciable.

La sonorisation a été bien pensée avec une collaboration avec Harman Kardon sur ce modèle Alpine qui offre une spatialisation enveloppante pour votre musique préférée. Un soin particulier a été porté à l’insonorisation aussi. On apprécie le silence de la motorisation, même après plusieurs centaines de kilomètres. Des options comme le multi feuilletage des vitres accroît cette sensation de silence très appréciable en ville comme sur les longs trajets, c’est reposant.

L’un des grands plaisirs de cet intérieur c’est aussi le toit, totalement vitré, qui apporte une sensation de volume et évidemment de la lumière dans l’habitacle.

Connectée

Le tableau de bord se compose d’un grand écran Open R qui combine l’affichage des données du tableau de bord 12,3’’ avec celui de l’écran vertical 12’’ dédié au multimédia. Une ergonomie superbe pour cette Austral, des écrans très lisibles quoi qu’il arrive.

Un système mis en place par google, sous Androïde  avec accès à tout un tas d’applications comme spotify, google map et j’en passe. Vous pourrez du coup télécharger les applications que vous souhaitez pour les intégrer au véhicules directement et bien sûr profiter du “ok goolge”, qui vous répondra sans avoir besoin d’utiliser vos mains, qui resteront bien sur le volant, et vos yeux sur la route.

De plus l’Austral dispose de l’affichage tête haute (HUD) de 9,3 pouces qui est hyper lisible et clair, tant sur les infos de conduite, que celles du gps. Un vrai bonheur pour ne pas lâcher la route des yeux.

Pléthore aides

L’Austral possède un nombre impressionnant d’aide à la conduite, avec 32 aides, qui nous permettent de vivre la route avec plus de tranquillité, comme : un affichage tête haute 9,3’’ nouvelle génération, projeté dans le pare brise; l’Active driver assist, une prestation de délégation de conduite de niveau 2, qui combine le régulateur de vitesse adaptatif avec « Stop & Go », la fonction de centrage dans la voie, les données de géolocalisation et une cartographie spécifique permettant au véhicule de s’adapter au tracé de la route ; la fonction caméra 3D vision 360° ; le Full parking automatique ; l’avertisseur d’angle mort et prévention de sortie de voie en cas de dépassement ; le freinage automatique d’urgence en marche arrière; l’avertisseur de sortie de stationnement en marche arrière; la sortie sécurisée des occupants et l’éclairage intelligent Matrix LED Vision.

La motorisation

L’ Austral est équipé du nouveau 1.2 TCe, de moteurs électriques, et d’une nouvelle boîte à crabots à 7 rapports, pour une puissance totale allant de 160 ou 200 ch selon les versions. On raisonne donc en puissance cumulée, c’est-à-dire celle délivrée par l’ensemble constitué du moteur trois cylindres 1.2 130 ch et de des deux moteurs électriques, dont celui de 68 ch (50 kW) dédié à la traction. Le principe est d’un démarrage en mode électrique, et d’une recharge interne de la batterie, par régénération au freinage, ou lorsqu’intervient le moteur thermique.

Le petit bémol sur cette version d’essai c’est une vibration sonore dans l’habitacle au démarrage et en très basse vitesse (la voiture rentre en résonance), vibration qui disparaît très vite dès que la voiture se lance. Les équipes de Renault nous on répondu que c’est un effet de résonance qui sera modifié par la suite.

Le gros plus de l’Austral sur cette motorisation hybride c’est la gestion de consommation qui est bien faite. Nous avons testé la version 200ch et sur route sa consommation est très raisonnable (5-6 litres au 100km).

Le 4Control spécialité from Renault

 C’est la proposition de Renault depuis 2008 sur les GT, pour permettre un meilleur contrôle du véhicule et c’est sacrément efficace. C’est dire si aujourd’hui ils ont affiné la technologie. Ici, sur l’Austral, c’est la 3ème génération, du coup les 4 roues sont directrices, et le châssis modulable, et de ce fait la voiture rentre dans les courbes avec essences malgré son gabarit et sa hauteur. Ceci, couplé sur le plan mécanique, à son rayon de braquage, qui est équivalent à celui d’une citadine,  donne un rendu bluffant et permet de glisser ce SUV n’importe où.

La sensation sur route

La Austral etech hybrid de Renault est un bonheur de voiture sur la route, on vit les kilomètres avec beaucoup de plaisir et d’aisance. C’est une très bonne routière, silencieuse, aisée en motorisation sur la route, très confortable, avec une myriade d’aides qui nous soulage sur les longs trajets. Malgré ses 200ch, ce n’est pas une sportive mais une bonne motorisation pour avaler les kilomètres. Nous avons été définitivement conquis par ce nouveau modèle Austral.

 

Article écrit par Alexis Dumétier

Photos : @ericsissungphotographie

Vidéo : Eric Sissung, Alexandre Lamouroux, Alexis Dumétier

read more