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Découvrir les Baux-de-Provence en Mustang

BLAKE-MAG-ETE-ALPILLES_MUSTANG – copie – couverture
Pour l’été la team Blake a choisi de découvrir le Suv de Mustang, le Mach e sur les routes du Sud de la France, dans la région des Baux de Provence. La garrigue, les Alpilles, le chant des cigales qui berce les siestes post prandium, le mistral qui rafraîchit les après midi trop chaud, Les déjeuners à l’ombre de platanes, bref le rythme des vacances mais aux saveurs de Pagnol.
On vous emmène dans une balade provençale, on vous partage nos bons plans, nos coups de cœur et des looks estivaux.

La Mustang mach e :

Notre destrier pour traverser les Alpilles, les chemins de terres ou de bitumes fut la Ford Mustang Mach e, modèle Standard Range . Un SUV plutôt citadin mais qui est une véritable routière confortable et très silencieuse. Mustang, vous entendez déjà le V8 ronronner fort, pas ici, c’est une full électrique. Alors oui, on crie au scandale, au blasphème de la « road majestée ». Mais au final pas du tout. Et pour ce qu’on achète, c’est-à-dire un véhicule SUV full électrique, la mustang Mach e fait un travail remarquable et rend le trajet presque apaisant. D’abord l’électrique impose sur les longs trajets des pauses , pour recharger les batteries toutes les 1h30 en moyenne. Mais après tout c’est ce que conseille la sécurité routière. Mais ensuite et surtout le travail d’isolation phonique est un vrai bonheur : pas de bruit de roulement, de souffle d’air intempestif. S’ajoute à cela les sièges, que dis je ! les fauteuils de la voiture : large, bien enveloppant, presque moelleux, Après un Paris Marseille dans la journée j’étais près à faire le retour dans la foulée. Parce que au final pour le trajet, il ne m’aura fallu, je dirai presque que 8h 20 minutes, 3 pauses de recharges, dont une qui m’a permis de déjeuner, et ces dernières furent entre 20 et 40 min.
La mustang mach e est bardée de système d’aide à la conduite, elle est niveau 4 dans les pays dont la législation le permet, en France le niveau est de 2 pour la conduite autonome, mais cela pour dire que la voiture est parée pour vous accompagner sur la route et vous soulager et vous prémunir au maximum : sortie de la voie, gestion des distances, de la vitesse, reconnaissances des panneaux, phare automatique intelligent qui détecte les véhicules,…son grand écran central qui fait penser à celui des Tesla est pratique et très réactif, le Applecarplay fonctionne parfaitement. Mais par-dessus tout c’est le système one pédale qui est fabuleux : vous n’avez plus qu’à gérer l’accélérateur seul. Au début cela est déroutant, mais la mustang Mach e contrôle la décéleration et la distance avec les véhicules de façon assez juste et cela offre un confort supplémentaire et économise le chauffeur.
Le train et le châssis de la voiture enroulent bien les virages et la tenue de route est très bonne, quasiment pas de rouli. L’expérience de conduite donne le sentiment de couler dans un toboggan, c’est très fluide.
Le coffre arrière permet de loger deux grosses valises et deux cabines, il y a un coffre avant qui a une trappe pour évacuer les liquides, certains s’en servent de glacières paraît-il…pourquoi pas.
Côté loisir : le système de son intégré et fait par Bang & Olufsen, ce qui permet d’écouter vos sons préférés avec une belle qualité et des basses vivifiantes si vous le voulez tout en préservant les aigus..
Cette expérience de la Mustang Mach e était aussi l’expérience d’un long trajet en full electric pour la team Blake et cela est très concluant. Aujourd’hui le parc de stations de recharge est grand et étendu sur le territoire. Et avec la bonne appli, nous avons utilisé Chargemap, qui réunit plusieurs opérateur de station de recharge et offre un service de GPS et de calculateur de trajet top pour anticiper les déplacements sans aucun soucis.

Le full electric et le passage de l’essence à l’électricité dans nos voitures :

D’ici à 2030 la plupart des constructeurs ne vendront que des voitures full electric, législation oblige. Le virage est donc déjà clairement amorcé. Force est de constater qu’en 2023 la présence de bornes est de plus en plus répandue, et il est en vérité simple de trouver à se charger un peu partout même dans des petits villages. Sur le réseau routier on peut trouver des zones de recharges en nombres, il y en a autant qu’il y a de stations essence quasiment. Pour accompagner les automobilistes il existe des applis indispensables pour programmer les voyages et les pauses nécessaires aux recharges électrique. Nous avons utilisé Chargemap, qui s’est révélé un outil très intuitif et utile pour toutes les recharges sur le pouce ou les trajets programmés.

Le Prieuré de Baumanieres et le Chef Christophe Chiavola :

A Villeneuve les Avignons, L’ancien Prieuré est devenu un Relais & Châteaux, et pour mener les cuisines le choix s’est porté il y a peu sur Christophe Chiavola. Le soir pour un dîner gastronomique ou le midi pour la proposition du Chef Christophe Chiavola, un déjeuner Bistrot chic, avec pour pièce maîtresse le brasero plancha. C’est au cœur de la cour du Prieuré, sous les platanes centenaires, que l’on nous propose de déjeuner face au sous-chef qui prépare nos plats. Un lieu d’exception qui propose le midi une ambiance décontractée, avec une cuisine qui se dit plus simple, mais qui offre à nos papilles une expérience d’étoilé en devenir. Des entrées populaires comme le gaspacho sont menées avec finesse, un savoir-faire qui fait exploser les saveurs, je veux pour exemple cet œuf parfait qui recouvert en cascade par le gaspacho est auréolé de fleurs et de délicates touches d’huile d’olive. Les saveurs sont là, l’ail bien présent, et le gaspacho prend soudain une autre dimension. Ce midi le plat était du porc cuit à basse température, avec la peau follement croustillante, juste marqué au flammes du brasero, et le poulpe mariné juste saisi sur le grill, fondant et le tout relevé de zest d’agrumes. On sent la maîtrise et l’expérience du Chef Christophe Chiavola, on sent la finesse d’une cuisine gastronomique, une table à ne pas louper dans la région.

ITW du Chef Christophe Chiavola :

Christophe Chiavola, c’est une belle rencontre, un chef entier, un homme franc, droit, authentique et sans chichi. Il a une vrai gouaille et un amour immodéré pour la cuisine, les agrumes et la mer en particulier. Autour du déjeuner il est venu s’asseoir avec nous et nous avons parlé de son parcours et de sa cuisine, casquette vissée sur la tête.

 

Qu’est ce qui vous a mené à la cuisine ?

C’est une vieille histoire, à l’âge de 12 ans pour Noël on fait la soupe à l’oignon, et les parents se préparant j’ai été nommé à la surveillance de la soupe. Je l’ai tournée et retournée et je l’ai assaisonnée, un peu trop d’ailleurs, et pourtant les gens ont aimé , et cela a créé un déclic. Je suis alors rentré en CFA dès mes 17 ans du côté de Perpignan, mais j’ai foiré complet. Je n’aimais pas l’école. Mais quand j’étais au taff je faisais mes 15 heures par jour, j’y allais en stop s’il fallait. 

Quel est votre parcours ?

Je n’ai fait aucune grande maison, mais pour développer mon savoir j’ai acheté des bouquins, des magazines, les THURIES notamment, je regardais, j’apprenais, je regardais ce que faisaient les autres restaurateurs et je refaisais. A mon époque pas de cuisiniers stars, on était plus seul.

Je suis passé par plein de choses, le traiteur, cela apprend l’organisation, ne rien oublier, puis la restauration plus classique. Je n’avais pas d’objectif d’étoile ou de grande cuisine, je voulais voyager, apprendre.

Mais j’ai des chefs qui me marquent. Je suis fasciné par Michel Bras. Il y a aussi Pierre Gagnaire, qui d’un coup de rein vous dégage et transforme et magnifie un plat, et Glenn Viel de Baumanière, qui est perché, il concrétise tous ses délires, et quand il y arrive c’est magnifique, il est inspirant.

Comment avez-vous eu des étoiles, vous qui ne les cherchiez pas ?

J’avais un pote qui partait en Asie, alors qu’il travaillait au Hameau des Baux, et il me dit il y a une place à prendre, mais il y a une étoile qui risque de tomber, et elle est tombée alors j’ai du faire en sorte de la maintenir, pas le choix, et j’y ai pris goût, car ce qui est sympa c’est le contact avec le produit, les producteurs, on faisait un peu ce qu’ on voulait, et cela marchait. Les retours étaient bons, il y a de la reconnaissance à ce niveau là, c’est grisant. Donc après la fermeture des Hameau, j’étais lancé et j’ai eu envie d’aller chercher les étoiles. C’est ce qui s’est passé avec le château de Massillan. Le propriétaire voulait monter sur l’étoile. Là bas, il y a un potager de 4 000 mètres carrés, c’est superbe, j’ai jamais vu ça. Du coup on l’a eu, ce qui a créé un bouleversement. Du coup il fallait mettre en place une rigueur et un staff, et après le Covid, cela a été très dur. Il y a eu trop de précipitation et cela m’a abimé, trop de stress et de fatigue. J’ai alors fait quelques années de consulting. Mais la cuisine me manquait, je m’ennuyais, alors je suis revenu au fourneau, et j’ai eu la chance d’avoir le choix, on me réclamait. Mais il y a eu le choix du coeur : la Provence, les maisons Baumanieres, l’esprit qualitatif, la rencontre avec Monsieur Charial, qui en a fait des maisons excessivement belles. Et il y a la rencontre avec Glenn, qui est un mec simple et cool.

La cuisine du Prieuré quelle est-elle ?

C’est ma cuisine, je n’ai rien changé. On se limite un peu pour le moment, il faut mettre les équipes en ordre. Cette cuisine elle est un peu à la Gagnaire, c’est du freestyle, en fonction du produit, du pourquoi du comment, de la nuit…. Je m’ennuie énormément, je reste pas sur des plats qui marchent, quand j’en lance un , je suis déjà sur le suivant. Je m’aide beaucoup de ma seconde, Marie-Lou, qui a travaillé chez Darroze, on est très complémentaire. J’achète les produits, et j’improvise dessus, avec les condiments, les légumes et les fruits qui viennent. J’aime beaucoup l’huître, je la travaille beaucoup, j’adore le terre / mer, le côté fort de la terre qui vient corser un poisson doux et gras, c’est top, avec le côté salin, apporté par un jus d’huître par exemple ajouté sur un jus de boeuf réduit, sur une viande maturée et de l’anguille, c’est saisissant en bouche. J’aime les jus corsés, on fait réduire, cela devient sirupeux. Je suis pas pris par le stress de l’étoile, j’essaie. Un produit bien cuit avec un jus, qu’on vienne pas me dire que c’est pas bon !

Le choix de la proposition du midi ?

On a voulu faire une offre décontractée qui attire du monde, et que ce soit convivial, rapide s’il le faut. Des entrées fraîches, simples, et des plats au brasero, sur une heure de déjeuner. On peut avoir un menu pour moins de 60 euros dans un cadre exceptionnel. On veut se déjeuner accessible, en vrai le mec peut venir en slip de la piscine, moi je m’en fou. Les gestes en cuisine sont ceux du gastronomique du soir, mais les présentations et la cérémoniale sont « plus simple ».

Le Domaine de Trévallon :

Le plus beau domaine de Provence et probablement l’un des meilleurs pour ses blancs et ses rouges amples, complexes, possédant une superbe minéralité. Le Domaine Trévallon existe depuis 1973. Le père de Ostiane, était artiste comme sa grand-mère qui était la seule artiste à être autorisée à faire des copies de Picasso en tapisserie. C’est d’ailleurs entre autres à cause de ce dernier que la famille découvre Saint Rémy de Provence et y achète des terres. C’est Eloi le papa d’Ostiane qui décide de faire du vin sur ses terres, avec une volonté de faire ce qu’on appelle aujourd’hui du Bio : pas d’intrant, pas de chimie, une juste expression du terroir et de la vigne. Et le pari est réussi puisque les vins de Trévallon sont hors paires, réputés et recherchés. Ostiane, à la vigne sans le sang, elle perpétue le travail de ses aïeux avec passion depuis maintenant 9 ans. Le vin elle est tombée dedans étant petite, comme un célèbre Gaulois, elle ne pouvait que finir par en faire sur le domaine familliale.

45 hectares de vignes entrecoupés de garrigues et de forêts de pins, un terrain qui grimpe vers les Alpilles, et qui offre autant de parcelles différentes pour les cabernets, syrah et autres cinsault,…Le domaine produit chaque année en moyenne 50 000 bouteilles de rouges et 8 000 de blancs, des vins d’exceptions, qui ont une garde de 30 à 40 ans, que l’on trouve essentiellement chez de grands restaurateurs et dans quelques caves qui ont la chance de posséder de rares allocations. 

La carrière des Lumières :

Lieu inévitable des Baux de Provence, scène passée de la création de Jean Cocteau et de son « testament d’Orphée », il est aujourd’hui un lieu d’exposition où les oeuvres de grands maîtres et de grands peintres sont projetées et animées sur les murs de la Carrière, accompagnées de musique. Au frais, dans ce cœur de pierre, on marche, immergé dans les œuvres, les couleurs et les formes. Une manière exceptionnelle de découvrir ou redécouvrir des artistes picturaux. Et durant les après midi parfois caniculaire de Provence, un lieu comme une carrière, semble être un oasis. A faire. Les places sont chères dans le petit parking qui se situe face au carrière, on a pu y tester le park assiste de la mustang Mach e qui se révèle très pratique et rudement efficace, en créneau ou en bataille la voiture gère cela très bien seule, vous n’aurez qu’un bouton à maintenir. Finis les créneaux ratés.

Beauduc, la plage sauvage :

Si vous passez dans la région il est un lieu à ne pas louper, une bulle hors du temps, sauvage, et peu fréquentée, si ce n’est par les kitesurfeurs et les passionnés du coin : la plage sauvage de Beauduc. C’est au prix d’un long chemin chaotique, de terre, de sable de cailloux et de trous innombrables, cheminant au travers des lacs salins, que l’on découvre une plage immense, clairsemé de dunes de sables comme des refuges pour un picnic ou une sieste. Et puis la mer, qui sur une distance qui semble infinie vous arrive à mis mollet, d’une douce tiédeur. Beauduc, c’est le silence étourdissant, qui offre la pleine place aux cris des mouettes et aux clapotis des vaguelettes qui viennent mourir sur le sable. Je ne connais aucun lieu similaire en France, qui offre ce sentiment d’être arrivée au bout du monde. Pour une journée, un après midi ou une soirée, il faut vivre cette expérience. La mustang mach e fut une alliée de choix pour ce chemin qui fini en off road, même si c’est un SUV plutôt citadin, avec une garde au sol pas si haute et une roues motrices, et bien la Mustang s’en est très bien tirée et la fermeté de ses amortisseurs et ses larges pneus ont bien franchis les obstacles qui se présentaient à elle.

Terre et Blé, de Henri de Pazzis : 

Henri de Pazzis s’est épris du blé et du pain, et à voulu faire de ce lieu un temple de la miche où la proportion entre croûte croquante et la mie tendre et pégeuse tient presque du théorème d’algèbre. Les pains et les fougaces sont à tomber, les focaccias aussi, et je ne vous parle même pas des petites gourmandises à la fleur d’oranger comme des biscuits en forme de bouche, une merveille avec un café.

De plus, ce lieu propose à déjeuner. Aux fourneaux c’est Nathalie Gruaut la chef, passée chez François Perraud pour l’influence provençale, pour le reste elle a fait le tour du monde et s’est inspirée de chacun de ses voyages. Dans l’assiette des produits du terroir, bio, circuit court, mais surtout de la finesse, de l’élégance et du goût, des goûts marqués, assumés et des touches florales maîtrisées. Une pépite à ne pas louper si vous passez par Saint Rémy de Provence.

Skin Système : Men

Une ligne pour Homme chez Marionnaud, sobre, au packaging très épuré et noire. Comme cela, ce ne sera pas clivant, et plaira à tous. La gamme est bien faite et très complète : nous avons testé un fluide léger hydratant, une crème anti-ride, un gel nettoyant et un gel exfoliant, ainsi qu’une crème à raser. Les textures sont agréables , et les senteurs légères, entre agrume et boisés résineux, un côté marin, qui donne comme un coup de fouet de fraîcheur d’embrun. Une gamme à découvrir pour prendre soin de sa peau qui pendant les vacances subit soleil, sel marin, chlore des piscines, et autres nuits parfois trop longues. Vous nous direz merci.

Les savons Soeder :

On a découvert et aimé les savons écoresponsables de la marque Soeder. Nés de l’esprit d’un collectif qui, depuis 2013, développe et vend depuis Zurich des produits de qualité pour le quotidien qui doivent être de grande qualité, fabriqués en Suisse, ne pas contenir d’ingrédients superflus ou même toxiques et être tolérés par tous, toutes les huiles utilisées sont pressées à froid et proviennent de l’agriculture biologique. Le packaging est en verre recyclé. Bref ce sont des produits sain pour nous et pour la planète. Le parfum Negroni du savon liquide nous a rappelé les soirées cocktails estivales, on a adoré. Le cube de savon aux senteurs de pins nous permet aujourd’hui de nous ramener aux balades dans les forêts de pins de Provence pour garder un pied en vacances.

La Maisonnette, une maison d’hôte pour tout oublier :

Il n’est jamais évident de trouver le bon lieu pour se reposer et réunir toutes les qualités attendues. Cette maison d’hôte rattachée au mas bicentenaire des propriétaires, bien nommé Mas de Coeur,  est un véritable havre de paix. 50 mètres carrés, une belle auteur sous plafond, une décoration qui vous plonge dans un univers maritime inspiré de Corto Maltese. Mais surtout une terrasse ombragée, un espace sous un immense prunier avec un hamac pour de longues siestes salvatrices.
Un très beau bassin de nage de plus de 12 mètres à votre disposition entouré d’un superbe verger et de transats. Une oliveraie charmante pour admirer les ciels étoilés. Et des hôtes d’une rare bienveillance et d’une grande discrétion. Situé à 5min en voiture du centre de Saint Rémy de Provence, cela permet de vivre la sérénité de la pleine campagne tout en ayant à porté, restaurants, bars, magasins, et festivités estivales.

Le Momentum 4 de Sennheiser : 

Déjà la 4ème version de ce casque mythique, et à chaque nouvelle mouture Sennheiser améliore de petits détails précieux, comme le bandeau de plus en plus confortable. Le système ANC est toujours aussi bien fait, et il en fait le compagnon parfait pour s’isoler du monde extérieur et écouter sa musique ou un podcast en étant hyper focus. Si les vacances vous offrent du calme, ce casque offre une bulle de zénitude. La dynamique d’écoute est très belle, les graves présent ne bavent pas, les médiums et les aigus sont élégants. Peu importe le style de musique que l’on aime écouter, ce casque retransmet parfaitement les voix et les instruments. La version blanche matte a retenu notre attention pour l’été, pour son aspect lumineux.

Le Newport chronographe de Herbelin :

Une belle montre, sportive pour l’été, avec ses trois cadrans, et son mode chrono à la trotteuse. Le boîtier d’acier épais est de belle facture, et offre un poids qui lui confère une certaine prestance au poignet. C’est une montre automatique qui se recharge au mouvement de vos déplacements pour une autonomie de 67 heures. Un chronographe élégant , épuré, pour tous les jours mais aussi pour les moments plus habillés. 

Essence, des vernis effet gel :

Nos chéries adorent mettre leurs ongles aux couleurs de l’été. Aujourd’hui de plus en plus de marque propose des vernis sans parabène, ni adjuvant néfaste, mais pas avec cette qualité. La pose est facile, le pinceau efficace pour une pose en un passage, et la couleur intense.

Pas ce soir, de chez BDK : 

Dans la team Blake, on est des amoureux de parfum et comme il peut y avoir des parfums pour chaque moment, nous avons choisi pour ce road trip provençal Pas ce soir, Extrait, de BDK parfums, créé par Violaine Collas. Chez Blake on apprécie fort le talent de cette maison pour magnifier les différentes fragrances. Avec ce Pas ce soir, Extrait, c’est un mélange chaud, sucré et épicé qui vous enveloppe, avec une pointe florale : poivre noir, gingembre, fond de cacao, jasmin délicat, pointe de fleur d’oranger, vanille subtile et ambroxan, avec en fond un patchouli qui ne se fait pas entêtant. Un compagnon parfait pour votre peau, envoûtant, pour les nuits d’été sous les étoiles.

Article réalisé par Alexis Dumétier

Stylisme : Superdry, Newman, Boohoo, Jonak, Nike, Ray Ban, Persol, Prada, Colmar, Stetson.

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