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Découvrir les Baux-de-Provence en Mustang

Pour l’été la team Blake a choisi de découvrir le Suv de Mustang, le Mach e sur les routes du Sud de la France, dans la région des Baux de Provence. La garrigue, les Alpilles, le chant des cigales qui berce les siestes post prandium, le mistral qui rafraîchit les après midi trop chaud, Les déjeuners à l’ombre de platanes, bref le rythme des vacances mais aux saveurs de Pagnol.
On vous emmène dans une balade provençale, on vous partage nos bons plans, nos coups de cœur et des looks estivaux.

La Mustang mach e :

Notre destrier pour traverser les Alpilles, les chemins de terres ou de bitumes fut la Ford Mustang Mach e, modèle Standard Range . Un SUV plutôt citadin mais qui est une véritable routière confortable et très silencieuse. Mustang, vous entendez déjà le V8 ronronner fort, pas ici, c’est une full électrique. Alors oui, on crie au scandale, au blasphème de la « road majestée ». Mais au final pas du tout. Et pour ce qu’on achète, c’est-à-dire un véhicule SUV full électrique, la mustang Mach e fait un travail remarquable et rend le trajet presque apaisant. D’abord l’électrique impose sur les longs trajets des pauses , pour recharger les batteries toutes les 1h30 en moyenne. Mais après tout c’est ce que conseille la sécurité routière. Mais ensuite et surtout le travail d’isolation phonique est un vrai bonheur : pas de bruit de roulement, de souffle d’air intempestif. S’ajoute à cela les sièges, que dis je ! les fauteuils de la voiture : large, bien enveloppant, presque moelleux, Après un Paris Marseille dans la journée j’étais près à faire le retour dans la foulée. Parce que au final pour le trajet, il ne m’aura fallu, je dirai presque que 8h 20 minutes, 3 pauses de recharges, dont une qui m’a permis de déjeuner, et ces dernières furent entre 20 et 40 min.
La mustang mach e est bardée de système d’aide à la conduite, elle est niveau 4 dans les pays dont la législation le permet, en France le niveau est de 2 pour la conduite autonome, mais cela pour dire que la voiture est parée pour vous accompagner sur la route et vous soulager et vous prémunir au maximum : sortie de la voie, gestion des distances, de la vitesse, reconnaissances des panneaux, phare automatique intelligent qui détecte les véhicules,…son grand écran central qui fait penser à celui des Tesla est pratique et très réactif, le Applecarplay fonctionne parfaitement. Mais par-dessus tout c’est le système one pédale qui est fabuleux : vous n’avez plus qu’à gérer l’accélérateur seul. Au début cela est déroutant, mais la mustang Mach e contrôle la décéleration et la distance avec les véhicules de façon assez juste et cela offre un confort supplémentaire et économise le chauffeur.
Le train et le châssis de la voiture enroulent bien les virages et la tenue de route est très bonne, quasiment pas de rouli. L’expérience de conduite donne le sentiment de couler dans un toboggan, c’est très fluide.
Le coffre arrière permet de loger deux grosses valises et deux cabines, il y a un coffre avant qui a une trappe pour évacuer les liquides, certains s’en servent de glacières paraît-il…pourquoi pas.
Côté loisir : le système de son intégré et fait par Bang & Olufsen, ce qui permet d’écouter vos sons préférés avec une belle qualité et des basses vivifiantes si vous le voulez tout en préservant les aigus..
Cette expérience de la Mustang Mach e était aussi l’expérience d’un long trajet en full electric pour la team Blake et cela est très concluant. Aujourd’hui le parc de stations de recharge est grand et étendu sur le territoire. Et avec la bonne appli, nous avons utilisé Chargemap, qui réunit plusieurs opérateur de station de recharge et offre un service de GPS et de calculateur de trajet top pour anticiper les déplacements sans aucun soucis.

Le full electric et le passage de l’essence à l’électricité dans nos voitures :

D’ici à 2030 la plupart des constructeurs ne vendront que des voitures full electric, législation oblige. Le virage est donc déjà clairement amorcé. Force est de constater qu’en 2023 la présence de bornes est de plus en plus répandue, et il est en vérité simple de trouver à se charger un peu partout même dans des petits villages. Sur le réseau routier on peut trouver des zones de recharges en nombres, il y en a autant qu’il y a de stations essence quasiment. Pour accompagner les automobilistes il existe des applis indispensables pour programmer les voyages et les pauses nécessaires aux recharges électrique. Nous avons utilisé Chargemap, qui s’est révélé un outil très intuitif et utile pour toutes les recharges sur le pouce ou les trajets programmés.

Le Prieuré de Baumanieres et le Chef Christophe Chiavola :

A Villeneuve les Avignons, L’ancien Prieuré est devenu un Relais & Châteaux, et pour mener les cuisines le choix s’est porté il y a peu sur Christophe Chiavola. Le soir pour un dîner gastronomique ou le midi pour la proposition du Chef Christophe Chiavola, un déjeuner Bistrot chic, avec pour pièce maîtresse le brasero plancha. C’est au cœur de la cour du Prieuré, sous les platanes centenaires, que l’on nous propose de déjeuner face au sous-chef qui prépare nos plats. Un lieu d’exception qui propose le midi une ambiance décontractée, avec une cuisine qui se dit plus simple, mais qui offre à nos papilles une expérience d’étoilé en devenir. Des entrées populaires comme le gaspacho sont menées avec finesse, un savoir-faire qui fait exploser les saveurs, je veux pour exemple cet œuf parfait qui recouvert en cascade par le gaspacho est auréolé de fleurs et de délicates touches d’huile d’olive. Les saveurs sont là, l’ail bien présent, et le gaspacho prend soudain une autre dimension. Ce midi le plat était du porc cuit à basse température, avec la peau follement croustillante, juste marqué au flammes du brasero, et le poulpe mariné juste saisi sur le grill, fondant et le tout relevé de zest d’agrumes. On sent la maîtrise et l’expérience du Chef Christophe Chiavola, on sent la finesse d’une cuisine gastronomique, une table à ne pas louper dans la région.

ITW du Chef Christophe Chiavola :

Christophe Chiavola, c’est une belle rencontre, un chef entier, un homme franc, droit, authentique et sans chichi. Il a une vrai gouaille et un amour immodéré pour la cuisine, les agrumes et la mer en particulier. Autour du déjeuner il est venu s’asseoir avec nous et nous avons parlé de son parcours et de sa cuisine, casquette vissée sur la tête.

 

Qu’est ce qui vous a mené à la cuisine ?

C’est une vieille histoire, à l’âge de 12 ans pour Noël on fait la soupe à l’oignon, et les parents se préparant j’ai été nommé à la surveillance de la soupe. Je l’ai tournée et retournée et je l’ai assaisonnée, un peu trop d’ailleurs, et pourtant les gens ont aimé , et cela a créé un déclic. Je suis alors rentré en CFA dès mes 17 ans du côté de Perpignan, mais j’ai foiré complet. Je n’aimais pas l’école. Mais quand j’étais au taff je faisais mes 15 heures par jour, j’y allais en stop s’il fallait. 

Quel est votre parcours ?

Je n’ai fait aucune grande maison, mais pour développer mon savoir j’ai acheté des bouquins, des magazines, les THURIES notamment, je regardais, j’apprenais, je regardais ce que faisaient les autres restaurateurs et je refaisais. A mon époque pas de cuisiniers stars, on était plus seul.

Je suis passé par plein de choses, le traiteur, cela apprend l’organisation, ne rien oublier, puis la restauration plus classique. Je n’avais pas d’objectif d’étoile ou de grande cuisine, je voulais voyager, apprendre.

Mais j’ai des chefs qui me marquent. Je suis fasciné par Michel Bras. Il y a aussi Pierre Gagnaire, qui d’un coup de rein vous dégage et transforme et magnifie un plat, et Glenn Viel de Baumanière, qui est perché, il concrétise tous ses délires, et quand il y arrive c’est magnifique, il est inspirant.

Comment avez-vous eu des étoiles, vous qui ne les cherchiez pas ?

J’avais un pote qui partait en Asie, alors qu’il travaillait au Hameau des Baux, et il me dit il y a une place à prendre, mais il y a une étoile qui risque de tomber, et elle est tombée alors j’ai du faire en sorte de la maintenir, pas le choix, et j’y ai pris goût, car ce qui est sympa c’est le contact avec le produit, les producteurs, on faisait un peu ce qu’ on voulait, et cela marchait. Les retours étaient bons, il y a de la reconnaissance à ce niveau là, c’est grisant. Donc après la fermeture des Hameau, j’étais lancé et j’ai eu envie d’aller chercher les étoiles. C’est ce qui s’est passé avec le château de Massillan. Le propriétaire voulait monter sur l’étoile. Là bas, il y a un potager de 4 000 mètres carrés, c’est superbe, j’ai jamais vu ça. Du coup on l’a eu, ce qui a créé un bouleversement. Du coup il fallait mettre en place une rigueur et un staff, et après le Covid, cela a été très dur. Il y a eu trop de précipitation et cela m’a abimé, trop de stress et de fatigue. J’ai alors fait quelques années de consulting. Mais la cuisine me manquait, je m’ennuyais, alors je suis revenu au fourneau, et j’ai eu la chance d’avoir le choix, on me réclamait. Mais il y a eu le choix du coeur : la Provence, les maisons Baumanieres, l’esprit qualitatif, la rencontre avec Monsieur Charial, qui en a fait des maisons excessivement belles. Et il y a la rencontre avec Glenn, qui est un mec simple et cool.

La cuisine du Prieuré quelle est-elle ?

C’est ma cuisine, je n’ai rien changé. On se limite un peu pour le moment, il faut mettre les équipes en ordre. Cette cuisine elle est un peu à la Gagnaire, c’est du freestyle, en fonction du produit, du pourquoi du comment, de la nuit…. Je m’ennuie énormément, je reste pas sur des plats qui marchent, quand j’en lance un , je suis déjà sur le suivant. Je m’aide beaucoup de ma seconde, Marie-Lou, qui a travaillé chez Darroze, on est très complémentaire. J’achète les produits, et j’improvise dessus, avec les condiments, les légumes et les fruits qui viennent. J’aime beaucoup l’huître, je la travaille beaucoup, j’adore le terre / mer, le côté fort de la terre qui vient corser un poisson doux et gras, c’est top, avec le côté salin, apporté par un jus d’huître par exemple ajouté sur un jus de boeuf réduit, sur une viande maturée et de l’anguille, c’est saisissant en bouche. J’aime les jus corsés, on fait réduire, cela devient sirupeux. Je suis pas pris par le stress de l’étoile, j’essaie. Un produit bien cuit avec un jus, qu’on vienne pas me dire que c’est pas bon !

Le choix de la proposition du midi ?

On a voulu faire une offre décontractée qui attire du monde, et que ce soit convivial, rapide s’il le faut. Des entrées fraîches, simples, et des plats au brasero, sur une heure de déjeuner. On peut avoir un menu pour moins de 60 euros dans un cadre exceptionnel. On veut se déjeuner accessible, en vrai le mec peut venir en slip de la piscine, moi je m’en fou. Les gestes en cuisine sont ceux du gastronomique du soir, mais les présentations et la cérémoniale sont « plus simple ».

Le Domaine de Trévallon :

Le plus beau domaine de Provence et probablement l’un des meilleurs pour ses blancs et ses rouges amples, complexes, possédant une superbe minéralité. Le Domaine Trévallon existe depuis 1973. Le père de Ostiane, était artiste comme sa grand-mère qui était la seule artiste à être autorisée à faire des copies de Picasso en tapisserie. C’est d’ailleurs entre autres à cause de ce dernier que la famille découvre Saint Rémy de Provence et y achète des terres. C’est Eloi le papa d’Ostiane qui décide de faire du vin sur ses terres, avec une volonté de faire ce qu’on appelle aujourd’hui du Bio : pas d’intrant, pas de chimie, une juste expression du terroir et de la vigne. Et le pari est réussi puisque les vins de Trévallon sont hors paires, réputés et recherchés. Ostiane, à la vigne sans le sang, elle perpétue le travail de ses aïeux avec passion depuis maintenant 9 ans. Le vin elle est tombée dedans étant petite, comme un célèbre Gaulois, elle ne pouvait que finir par en faire sur le domaine familliale.

45 hectares de vignes entrecoupés de garrigues et de forêts de pins, un terrain qui grimpe vers les Alpilles, et qui offre autant de parcelles différentes pour les cabernets, syrah et autres cinsault,…Le domaine produit chaque année en moyenne 50 000 bouteilles de rouges et 8 000 de blancs, des vins d’exceptions, qui ont une garde de 30 à 40 ans, que l’on trouve essentiellement chez de grands restaurateurs et dans quelques caves qui ont la chance de posséder de rares allocations. 

La carrière des Lumières :

Lieu inévitable des Baux de Provence, scène passée de la création de Jean Cocteau et de son « testament d’Orphée », il est aujourd’hui un lieu d’exposition où les oeuvres de grands maîtres et de grands peintres sont projetées et animées sur les murs de la Carrière, accompagnées de musique. Au frais, dans ce cœur de pierre, on marche, immergé dans les œuvres, les couleurs et les formes. Une manière exceptionnelle de découvrir ou redécouvrir des artistes picturaux. Et durant les après midi parfois caniculaire de Provence, un lieu comme une carrière, semble être un oasis. A faire. Les places sont chères dans le petit parking qui se situe face au carrière, on a pu y tester le park assiste de la mustang Mach e qui se révèle très pratique et rudement efficace, en créneau ou en bataille la voiture gère cela très bien seule, vous n’aurez qu’un bouton à maintenir. Finis les créneaux ratés.

Beauduc, la plage sauvage :

Si vous passez dans la région il est un lieu à ne pas louper, une bulle hors du temps, sauvage, et peu fréquentée, si ce n’est par les kitesurfeurs et les passionnés du coin : la plage sauvage de Beauduc. C’est au prix d’un long chemin chaotique, de terre, de sable de cailloux et de trous innombrables, cheminant au travers des lacs salins, que l’on découvre une plage immense, clairsemé de dunes de sables comme des refuges pour un picnic ou une sieste. Et puis la mer, qui sur une distance qui semble infinie vous arrive à mis mollet, d’une douce tiédeur. Beauduc, c’est le silence étourdissant, qui offre la pleine place aux cris des mouettes et aux clapotis des vaguelettes qui viennent mourir sur le sable. Je ne connais aucun lieu similaire en France, qui offre ce sentiment d’être arrivée au bout du monde. Pour une journée, un après midi ou une soirée, il faut vivre cette expérience. La mustang mach e fut une alliée de choix pour ce chemin qui fini en off road, même si c’est un SUV plutôt citadin, avec une garde au sol pas si haute et une roues motrices, et bien la Mustang s’en est très bien tirée et la fermeté de ses amortisseurs et ses larges pneus ont bien franchis les obstacles qui se présentaient à elle.

Terre et Blé, de Henri de Pazzis : 

Henri de Pazzis s’est épris du blé et du pain, et à voulu faire de ce lieu un temple de la miche où la proportion entre croûte croquante et la mie tendre et pégeuse tient presque du théorème d’algèbre. Les pains et les fougaces sont à tomber, les focaccias aussi, et je ne vous parle même pas des petites gourmandises à la fleur d’oranger comme des biscuits en forme de bouche, une merveille avec un café.

De plus, ce lieu propose à déjeuner. Aux fourneaux c’est Nathalie Gruaut la chef, passée chez François Perraud pour l’influence provençale, pour le reste elle a fait le tour du monde et s’est inspirée de chacun de ses voyages. Dans l’assiette des produits du terroir, bio, circuit court, mais surtout de la finesse, de l’élégance et du goût, des goûts marqués, assumés et des touches florales maîtrisées. Une pépite à ne pas louper si vous passez par Saint Rémy de Provence.

Skin Système : Men

Une ligne pour Homme chez Marionnaud, sobre, au packaging très épuré et noire. Comme cela, ce ne sera pas clivant, et plaira à tous. La gamme est bien faite et très complète : nous avons testé un fluide léger hydratant, une crème anti-ride, un gel nettoyant et un gel exfoliant, ainsi qu’une crème à raser. Les textures sont agréables , et les senteurs légères, entre agrume et boisés résineux, un côté marin, qui donne comme un coup de fouet de fraîcheur d’embrun. Une gamme à découvrir pour prendre soin de sa peau qui pendant les vacances subit soleil, sel marin, chlore des piscines, et autres nuits parfois trop longues. Vous nous direz merci.

Les savons Soeder :

On a découvert et aimé les savons écoresponsables de la marque Soeder. Nés de l’esprit d’un collectif qui, depuis 2013, développe et vend depuis Zurich des produits de qualité pour le quotidien qui doivent être de grande qualité, fabriqués en Suisse, ne pas contenir d’ingrédients superflus ou même toxiques et être tolérés par tous, toutes les huiles utilisées sont pressées à froid et proviennent de l’agriculture biologique. Le packaging est en verre recyclé. Bref ce sont des produits sain pour nous et pour la planète. Le parfum Negroni du savon liquide nous a rappelé les soirées cocktails estivales, on a adoré. Le cube de savon aux senteurs de pins nous permet aujourd’hui de nous ramener aux balades dans les forêts de pins de Provence pour garder un pied en vacances.

La Maisonnette, une maison d’hôte pour tout oublier :

Il n’est jamais évident de trouver le bon lieu pour se reposer et réunir toutes les qualités attendues. Cette maison d’hôte rattachée au mas bicentenaire des propriétaires, bien nommé Mas de Coeur,  est un véritable havre de paix. 50 mètres carrés, une belle auteur sous plafond, une décoration qui vous plonge dans un univers maritime inspiré de Corto Maltese. Mais surtout une terrasse ombragée, un espace sous un immense prunier avec un hamac pour de longues siestes salvatrices.
Un très beau bassin de nage de plus de 12 mètres à votre disposition entouré d’un superbe verger et de transats. Une oliveraie charmante pour admirer les ciels étoilés. Et des hôtes d’une rare bienveillance et d’une grande discrétion. Situé à 5min en voiture du centre de Saint Rémy de Provence, cela permet de vivre la sérénité de la pleine campagne tout en ayant à porté, restaurants, bars, magasins, et festivités estivales.

Le Momentum 4 de Sennheiser : 

Déjà la 4ème version de ce casque mythique, et à chaque nouvelle mouture Sennheiser améliore de petits détails précieux, comme le bandeau de plus en plus confortable. Le système ANC est toujours aussi bien fait, et il en fait le compagnon parfait pour s’isoler du monde extérieur et écouter sa musique ou un podcast en étant hyper focus. Si les vacances vous offrent du calme, ce casque offre une bulle de zénitude. La dynamique d’écoute est très belle, les graves présent ne bavent pas, les médiums et les aigus sont élégants. Peu importe le style de musique que l’on aime écouter, ce casque retransmet parfaitement les voix et les instruments. La version blanche matte a retenu notre attention pour l’été, pour son aspect lumineux.

Le Newport chronographe de Herbelin :

Une belle montre, sportive pour l’été, avec ses trois cadrans, et son mode chrono à la trotteuse. Le boîtier d’acier épais est de belle facture, et offre un poids qui lui confère une certaine prestance au poignet. C’est une montre automatique qui se recharge au mouvement de vos déplacements pour une autonomie de 67 heures. Un chronographe élégant , épuré, pour tous les jours mais aussi pour les moments plus habillés. 

Essence, des vernis effet gel :

Nos chéries adorent mettre leurs ongles aux couleurs de l’été. Aujourd’hui de plus en plus de marque propose des vernis sans parabène, ni adjuvant néfaste, mais pas avec cette qualité. La pose est facile, le pinceau efficace pour une pose en un passage, et la couleur intense.

Pas ce soir, de chez BDK : 

Dans la team Blake, on est des amoureux de parfum et comme il peut y avoir des parfums pour chaque moment, nous avons choisi pour ce road trip provençal Pas ce soir, Extrait, de BDK parfums, créé par Violaine Collas. Chez Blake on apprécie fort le talent de cette maison pour magnifier les différentes fragrances. Avec ce Pas ce soir, Extrait, c’est un mélange chaud, sucré et épicé qui vous enveloppe, avec une pointe florale : poivre noir, gingembre, fond de cacao, jasmin délicat, pointe de fleur d’oranger, vanille subtile et ambroxan, avec en fond un patchouli qui ne se fait pas entêtant. Un compagnon parfait pour votre peau, envoûtant, pour les nuits d’été sous les étoiles.

Article réalisé par Alexis Dumétier

Stylisme : Superdry, Newman, Boohoo, Jonak, Nike, Ray Ban, Persol, Prada, Colmar, Stetson.

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Sélection vins d’été 2023

Profitons des derniers jours de l’été pour partager un repas en famille, ou avec les amis. On prend le temps de préparer de bons plats, mais surtout, on prend le temps de partager, de discuter. Les déjeuners finissent tard dans l’après -midi et les dîners s’éternisent sous les ciels étoilés. Pour accompagner ses instants suspendus, voici quelques idées de vins tous réfléchis pour vos plaisirs culinaires estivaux.

 

Rouge :
Vacqueyras, Domaine les Cardelines, 2016 : Vin puissant et tannique, avec de belles notes d’épices et de poivre, accompagné de fruits noirs et rouges confits, pruneaux, griottes, un vin très soyeux et gourmand. Pour les plats épicés ou en sauce.
Château Auris, le Souffle de l’ange, Corbières :  Belle expression Corbières typique, fruit et épices, groseille, cassis, baies noires, avec une pointe épicée et mentholée. Accompagne un agneau à la broche, ou un beau gibier.
Domaine MIA, Clos la marche monopole, Mercurey, 2019 : Toute l’élégance de la Bourgogne, avec de la fraîcheur, des notes de sous bois et du fruit : baies rouges à peine confiturées. Élevage discret, final ni long, ni court. Un beau bourgogne pour des plats d’été réconfortants.

Château Saint Pons – AOC Ventoux – Minho – Rouge 2022 : D’un rouge rubis intense et pourtant léger en bouche. Au nez cerise, en bouche fraise, croquant et frais comme un rosé. Vin glouglou d’apéritif de début de soirée.

Blanc : 
Secret de famille, Albert Bichot, Chardonnay, 2021 : Un vin élégant, fleur blanche et agrumes doux, en bouche raisin sec et miel d’acacia. Un vin bien équilibré, bien aidé par son élevage entre fût et cuve inox.
Les Salines, Robin Caretti, Chenin, 2022 : Le coup de cœur de l’été, un chenin avec toutes les promesses que cela impose. De la fraîcheur et du fruit frais et éclatant : zist de citron et fleur blanche, poire, avec une fine minéralité crayeuse. Parfait sur des poissons et des fruits de mer.
Mâcon,-Chardonnay, Les Beluses, Caves de Lugny, 2021 : Un vin puissant et bien équilibré en douceur et acidité. Des
saveurs bien beurrées, et fruité, pomme, poire, boisé sur une finale minérale. Superbe sur les fromages en fin de repas.
Ode d’Aydie, Famille Laplace, Pacherenc-du-vic-BLH, 2021 : Puissant et complexe, au nez des notes de citron et de pamplemousse, avec des touches de fruits blancs et de fruits exotiques, délicatement miellé.. Un grand blanc sec, délicatement boisé. Bien pour l’apéritif ou sur des volailles.
Picpoul du Pinet, Gérard Bertrand An 1618, 2022 : Vin frais et vif sur la pomme verte et citron, excellent sur les coquillages et les fruits de mer. Blanc glouglou.
Sélection par Alexis Dumétier
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Sélection rosé 2023

Pour un repas, en apéritif ou sur une fin de journée à chiller sur le sable fin face à la mer, un verre de rosé bien frais est toujours le bienvenu. Voici notre sélection pour cette saison2023.
 
Domaine de La Périnade, cuvée Crazy Horse, rosé, 2022, 100% grenache noir, domaine que nous avons suivi depuis ses débuts et cette cuvée 2022 est réussie : fraîche, et plein de fruit du Sud : pêche, melon, avec de la rondeur. Parfait pour le barbecue, ou avec les salades d’été.
 
Château Malherbe, 2022, une valeur sur en rosé, un grand vin de gastronomie, belle complexité, équilibré entre rondeur et acidité, des notes d’abricots et de pêches, en bouche le zist de citron et l’abricot bien mûrs. Un pur plaisir sur un repas, en grillade, ou même en dégustation seul.
 
Les grillons du beaujo, de Dufaitre Rémi, vin ultra frais, sur les fruits rouges à peine cueillis, sans acidité, juste de la légèreté, parfait pour les après midi très chaud. Parfait pour l’apéritif.
 
Les voiles de l’Atlantique, 2022, un rosé gourmand sur le fruit, pêche, melon, abricot, un sucre contrebalancé par une acidité tenue. On le partage avec les copains avant le repas pour se mettre en appétit.
 
Arbois, rosé découverte, 2022, Jacques Tissot, vin frais et léger, des notes de framboise acidulées et des pointes d’ananas. Sur une salade grec, excellent.
 
Château la Peyruche, rosé 2022, un Bordeaux rosé, arômes de fraise et de bonbon arlequin, belle acidité, un 100% Merlot, avec un final assez court. Parfait pour le bord de piscine.
 
Le Crétacé 2022, AOP Tavel, Domaine Alain Jaume, notes soutenues de fraise et de rose. avec des pointes d’épices légères. Belle structure, frais et rond en bouche, un vin pour accompagner le repas.
 
Âme de Saint Martin, du Château de Saint Martin, créée par un assemblage de deux millésimes et en multi-cépages. Il en résulte un vin rosé fruité sur le melon, pêche, citron et framboise, frais, bien tendu et minéral. Superbe sur un poisson.
 
Château Galoupet, rosé 2022 : Un rosé de gastronomie par excellence. Complexe, intense, avec un passage en fût bien maîtrisé et qui lui apporte ampleur et du charnu. Des notes de pêche, d’abricot, d’amande, de miel d’acacia, et aussi florale. Mais surtout c’est d’une belle longueur en bouche avec un final minéral, qui en redemande.
Et des bulles rosées avec et sans alcool :
Palg Devitry, rosé brut, un champagne de la côte des Bars, fait par une famille de vignerons de père en fils depuis des siècles, Palg, c’est l’acronyme des prénoms des vignerons de la famille. Composé de chardonnay, Pinots blanc, Pinots noirs, des notes puissantes de fraises des bois et de framboises, avec des zestes d’agrumes, sur une bulles fines mais bien présente.
Un champagne rosé de gastronomie.
Et pour ceux qui préfèrent le sans alcool, il y a de belles alternatives, nous on a eu un gros coup de coeur pour French Bloom, créé en 2021, fait à partir de vin biologiques et désalcoolisés. La version rosé offre une belle minéralité, avec de la fraîcheur. En bouche, ce sont les fruits rouges qui dominent avec des pointes de pêches. Une belle expérience pour le sans alcool.
Sélection faite par Alexis Dumétier
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Vins d’été : notre sélection 2022

L’été nous offre de multiples instants de partage autour de bons repas. Nous avons plus de temps pour rester à table avec nos amis et en famille. La saison est propice aux rosés frais, mais évidemment les rouges et blancs ont leurs places sur nos tables. Voici une sélection de quelques vins d’été à partager avec bonheur.
 

Les rouges :

Château de Crouseilles, Madiran, 2018 : Vin du Sud Ouest, plein de soleil et donc puissant. Sur le fruits rouges : cassis, myrtille, les épices : poivres, et un boisé vanillé. Un bon compagnon pour vos grillades estivales.
Domaine Grosbois, Chinon, Gabare, 2020 : Vin de Loire, fruité, au nez myrtille et violette et la bouche fruits noires, réglisse et poivre. Tout cela en puissance. A servir sur des viandes et poissons rôtis.
Domaine Julien Gérard et fils, Aloxe Corton, Les Valozières, 2012 : Un grand vin de Bourgogne, la typicité est là : note de framboise, de petit fruit rouge et noir et surtout ce côté sous bois, humus, c’est fin et délicat. magnifique sur des viandes et champignons.
Château Veyran, Saint-Chinian, Tradition, 2016 : Domaine situé dans l’arrière pays de Béziers, entre Montpellier et Narbonne, sur des terres riche en calcaire et en schiste. Un vin puissant et tanique, au nez cuir et tabac, et fruits noirs : mûrs, cerise noires, en bouche la Syrah ramène un aspect épice, poivre noir. Parfait pour un plat en sauce ou épicé.
Gérard Bertrand, Côte des Roses, 2020 : Un vin du Pays d’Oc, un vin léger et souple, au nez fruits rouges frais : framboise et cerise, puis en bouche on retrouve ce fruit avec de l’amplitude. Il est à mettre avec des plats mijotés et épicés.

Les blancs :

Domaine Fontaine-Gagnard, Chassagne-Montrachet, 2018 : Mon grand coup de cœur parmi les vins d’été, un vin d’exception, très frais et florale, au nez le jasmin, le lilas, la pêche blanche, le zist de citron, en bouche c’est beurré et on retrouve le fruité et le florale du nez. Un vin riche et complexe, d’une grande finesse et parfaitement équilibré entre minéralité, fruité/rondeur et tension. Extraordinaire. Excellent pour accompagner des fruits de mer, du caviar, une pâte feuilletée fine…

 

Abbots & Delaunay, Métayage, Chardonnay, 2019 : Vin bio du Pays d’Oc, un chardonnay frais tendu et minérale. Au nez des notes citronnées, et de noisettes grillés, en bouche, belle tension et une pointe d’ananas. Bien à l’apéro avec des tellines ou sur les grillades de poissons.
Château de Berne, La Grande cuvée, 2018 : Un vin de Côte de Provence, au nez une belle complexité aromatique : des notes briochée, toastées et de fruits exotiques : mangue et ananas, en bouche, c’est ample, on retrouve des notes de noisettes grillées, de réglisse et d’ananas. La finale est longue et fraîche sur des pointes miellée.
Jean Esprit, Crozes Hermitage, Perles Ivoire, 2021 : Un vin de la région Rhône Nord, plein de fraîcheur et de finesse. Au nez, on a des fleurs blanches : jasmin, acacia, poire william, des notes briochées, en bouche on retrouve tout cela avec une touche de miel. Un beau mariage à faire avec des Saint-Jacques juste snackées à la plancha.
Gerard Bertrand, Naturae, Chardonnay, 2021 : Un chardonnay du Languedoc,  pas de souffre, pas d’additif, juste l’expression du terroir. Un nez citron, fleur blanche et pêche blanche, un boisé délicat, en bouche l’équilibre fruit, sucrosité et tension et bien fait. Un vin vif et sec pour compléter cette sélection de vins d’été.

Des bulles pour finir :

 

Wolfberger, Épopée 1902, Jéroboam  : Un crémant d’Alsace en grand format pour célébrer les 120 ans de la maison et compléter harmonieusement notre sélection de vins d’été. Le nez sur les fruits blancs : marmelade de coing et de noisettes grillées. En bouche on retrouve les arômes du nez et des pointes toastées et subtilement vanillées avec un final salin. Très chouette sur un plateau de fruit de mer.

 

Sélection réalisée par Alexis Dumétier

Illustration de couverture Agnes Solanges, @agnes_solange_art

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Les rosés d’été 2022

Les rosés d’été sont synonymes de vacances, de farniente… Si le rosé est un plaisir estival, c’est que le servir frais est bien souvent une évidence, voire une nécessité. Il se fait alors le compagnon des apéritifs de fin de journées caniculaires, des barbecues entre amis ou en famille, des vacances, des couchers de soleil face à la mer, des après midi farniente en bord de piscine. Le rosé est devenu le vin de l’été, il en existe de plus en plus. Pour vous permettre d’y voir plus clair dans ce choix dionysiaque ou tout simplement pour vous pointer du doigt nos dernières trouvailles, voici notre sélection des vins rosés pour cet été 2022, du rosé venu d’un partout, clair, bien rouge, gris ou encore avec des bulles, il y en a pour tous les goûts.

Les rosés

Château Malherbe 2021, un côte de Provence en biodynamie, demeter, ce qui signifie que le respect de la terre et des hommes sont dans le cahier des charges de la confection de ce vin. Ce rosé est fait avec les meilleures parcelles du château et des vignes de plus de 30 ans. Cela donne un vin au nez abricot et pêche, en bouche le vin est ample sur les fruits mûrs, l’abricot est là, et le final est frais et long.

Château de Berne – la grande cuvée Rosé 2021 : Un nez rose, pêche et abricot, en bouche on croque dans les fruits, puis une finale plus florale.

Rosé de rêve, Domaine de la grande sieste : Un rosé au nom évocateur des beaux après)-midi d’été, qui pousse même à la paresse…nez groseille et bonbon arlequin, bouche fraîche sur le pamplemousse, un vin pour accompagner le repas ou juste partager entre amis.

Château Saint roux rosé 2021 : Vin biologique, au nez pêche de vigne et ananas, un vin très frais et en bouche c’est un vin puissant et ample, une belle vinosité qui en fera un vin parfait pour accompagner un repas.

Les Bonnes Bouches, Sancerre rosé, 2021 : Un rosé de saigné, à la robe intense. Le nez est très fruits rouges : fraises des bois, groseilles, et la bouche une belle minéralité et des notes de fruit frais et de bonbon acidulé.

Scamandre Bio 2021 : Vin de de la Vallée du Rhône et du Languedoc, Un nez pêche, pamplemousse et mandarine, en bouche c’est frais, on retrouve les fruits du nez, avec des pointes d’ananas.

Domaine de Cala, cuvée prestige, 2021 : Un vin des coteaux varois, en Provence, qui passe trois mois en fût, ce qui lui confère des notes finement épicées et en bouche des pointes de gingembre. Pour le reste ce rosé frais et fruité nous emmène sur des saveurs d’agrume type zist de yuzu, melon, et pamplemousse. Un très beau vin de dégustation ou pour un repas de belles grillades.

Éternelle favorite, Château de Saint-Martin, 2021 :  Vin d’une grande élégance et très floral. Nez jasmin, lilas et glycine, bouche pastèque et pamplemousse et une pointe de fruit de la passion.

Domaine de Barbossi 2021 : issu du vignoble de la baie de Cannes, une situation géographique qui offre à ce vin une fin saline, ce qui équilibre joliment ce rosé fraîchement fruité.

Le cirque des grives, La Gordonne 2021 : Un des rosés haut de gamme de La Gordonne, beau nez de pêche blanche et bouche très fraîche sur les fruits blanc, sucrés, la beauté de ce rosé est sa longueur en bouche si gourmande.

Océanide, AOC Saint Mont, 2021 : Un nez fraise, framboise, groseille, grenadine suivi d’une bouche plutôt sèche et fruité.

Les bulles rosées

Moët rosé vintage 2013 : Un nez très fruits rouges, des bois frais et une pointe vanillée, d’orange sanguine. En bouche, les bulles fines laissent vibrer la fraise des bois et les framboises mûres. Un beau vin de champagne parfait pour l’apéritif ou sur un dessert au chocolat.

Saignée, de Vincent Metivier : Un champagne d’artisans épicuriens. D’un rose-rouge profond. Le vin vieillit 6 mois en fût de chêne. Un champagne très gourmand. Nez et bouche très framboise et une belle structure générale, opulente. Des pointes fines vanillées viennent équilibrer la sucrosité délicate, avec une belle tension en finale. Notre coup de coeur « bulles de l’été » des rosés 2022.

Comtes de Champagne rosé 2008 : Le rosé d’exception de la maison Taittinger. Un long vieillissement en fût. Au nez des notes de fraises confites, de zist de citron vert, tranché par des pointes  toastées et de fève de cacao. En bouche c’est très ample et très équilibré : le fruit rouge mûr, le pain grillé, la vinosité, pour finir sur une fraîcheur saline et crayeuse typique, émanant du terroir. Un vin de champagne de gastronomie.

Leclerc Briant, rosé,  extra brut : Le nez mêle des notes florales de rose et pivoine avec celles fruitées de fraise et groseille. En bouche on retrouve les senteurs du nez et elles explosent, tenus par une belle et délicate acidité.

Drappier les Riceys, rosé brut nature : La maison Drappier, fait partie de nos chouchous et cela depuis des années. Leur travail des vins avec une forte identité porté sur le nature, le sans soufre, et les faibles dosages en fait une maison très authentique, avec des expressions de terroir puissante. Ici ils en font encore la démonstration avec Les Riceys. un vin de champagne rosé, puissant et ample, très fruité. L’élevage est réalisé à 50% en cuves inox et 50% en foudres de chêne. Le vin est un brut nature, c’est-à-dire qu’il n’y a aucun ajout de sucre. Un nez rose, griotte, violette, fruits rouges mûres, puis la bouche est ample, sur toutes ces notes trouvées au nez.

Papilou le premier pet’nat’ rosé de Gérard Bertrand : On pousse encore plus loin les bulles en finissant par ce pétillant naturel, bio, un vin frais d’apéritif. Nez fruit rouge fraîchement cueilli. Bouche doucerette et légèrement amer sur le pamplemousse.

La sélection des rosées 2022 a été réalisée par Alexis Dumétier.

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GastronomieMagazine

Sélection Pour un Nouvel An Festif

Le nouvel An, c’est pour bientôt. On a tous bien festoyé et cette dernière grande fête de l’année sera probablement bien fêtée. Et d’ailleurs peu importe, le principale étant de déguster de belles quilles, profiter des goûts et découvrir de nouvelles saveurs. Pour cela nous avons fait une sélection de vins, de champagnes et de vins pétillants mais aussi de spiritueux pour accompagner le passage au nouvel An. La rédaction vous souhaite une belle fin d’année à toutes et à tous.

Les champagnes et vins pétillants :

Champagne Laurent Lecquart millésime 2010 : Cépages Meunier et chardonnay, nez brioché, fruits confits et fleur d’oranger, en bouche on retrouve toute cette richesse. Un très beau vin de Champagne pour le Nouvel An, mais pas seulement!

SAINCHARGNY Numéro 56 : C’est un crémant de Bourgogne. Au nez, noisettes et beurre frais, amandes, et de belles notes florales. En bouche très équilibré, avec des notes de fruits blancs et une pointe d’agrumes.

Byards brut rosé : Un crémant du Jura. Une région qui sait aussi faire de belles bulles. Nez très fruit rouge, en bouche c’est marqué sur la fraise des bois avec une belle acidité. Un vin à servir frais. Un peu de changement pour le Nouvel An !

Wolfberger, Cuvée 45 : Un crémant d’Alsace. Un beau magnum à partager pour fêter le passage à l’année suivante. Au nez ce sont des notes briochées et sur le fruit jaune confits comme la pêche et l’abricot. En bouche on retrouve le fruit avec une belle acidité.

Les Rouges :

Domaine de la Suffrene, Bandol, 2017 : Un vin plein de soleil. Au nez sur le cassis et la cerise bien mûrs et sur des notes boisées et mentholées. En bouche on retrouve ces saveurs avec des tanins puissants et des pointes poivrées.

Domaine Levert-Barault, Mercurey, 2018 : Ce vin très fruité s’ouvre sur un nez très fruits rouges et lichen. On retrouve cela en bouche avec un aspect rond et soyeux à la fois.

Oé, le Côtes-du-Rhône-Villages, Signargues : Un vin 100% bio et vegan. Un nez myrtilles et mûres, poivré. En bouche c’est puissant et tannique, avec ces notes de fruits des bois.

Les blancs :

Château Malherbe, blanc, 2016 : Nez abricot confits et fruits de la passion bien mûrs, fruits secs et la bouche elle est sur le miel, l’amende fraîche et des pointes épicées : curry.

Charnay les macon, « Lieu dit » Grand clos, Saint Véran, 2018 : Nez florale et sur la mangue fraîche, briochée et en bouche, c’est frais sur la poire et la pêche blanche avec des pointes poivrées et de silex.

La Perrière, Mégalithe Sancerre 2017 : Nez citron et pierre à fusil, en bouche c’est assez complexe, pomme granny-smith, et zist de citron, mais aussi beurré. Un bel équilibre entre fraîcheur et rondeur.

Le saké :

Oui il n’y en aura qu’un et pourtant il pourrait en y avoir bien plus mais j’ai choisi de mettre celui-ci en avant car il est atypique, avec la volonté de faire des sakés vieux et millésimés.

Inicié, 2003 : Nez très doux, sur la mirabelle mûre et la noisette, des pointes de truffe. En bouche c’est très fin, miel d’acacia, vanille et bois, on retrouve le côté truffé.

Disponible prochainement sur https://sakeist.com/

Les spiritueux :

Whisky WAH, Hagmeyer : Un whisky d’Alsace, à base d’orge puis vieilli en fût de vin alsacien. A la dégustation on a des notes de fruits jaunes confits, une pointe florale, avec des arômes de céréales et finement boisé.
La Mauny, millésime 2005 : Un rhum agricole de Martinique. Il a vieilli en fûts de chêne français, neufs ou ayant contenu du Cognac. Au nez des parfums de bananes et mangues mûrs et des pointes de yuzu mais aussi des notes de biscotte et de moka. En bouche sur un fond boisé et torréfié se déploient des saveurs de noix, fruits secs et banane plantin mais aussi de poivre gris, mêlées d’autres épices comme le cumin.
Père Magloire, 200 ans : Un édition limitée de cette belle maison de Calvados, qui offre son précieux liquide dans une carafe soignée. Au nez ce sont des notes de pommes fatalement et de vanille. En bouche cela est plus complexe  : noisettes torréfiées, pomme, pruneau, raisin sec. La fin de bouche est longue et invite à déguster un bon cigare avec.
Jack Daniel’s, single barrel, rye : Issu d’un seul et même fût ce Rye se caractérise par sa saveur sèche du aux céréales avec lesquelles il est fait : le seigle. Le nez est boisé et toasté, associé à des notes de fruits mûrs :  banane et cerise, et de cannelle. En bouche vanille et caramel se mêlent aux notes de seigle grillé.
Select, Aperitivo nato a Venezia : Ceci est un amer, il est l’un des composants permettant le fameux Spritz, avec ses notes d’agrumes marquées : orange amer, rhubarbe et géranium, il reste floral et moins amer que ses semblables. Il sert essentiellement en cocktail où simplement avec une eau gazeuse ou un tonic.
Sélection faite par : Alexis Dumétier
Image d’illustration : Agnes Solange
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Le Club Pierre Charron et son restaurant secret

Le Club Pierre Charron reçoit dans sa « salle à manger », à deux pas des Champs-Élysées, pour le temps d’un dîner, d’un souper ou juste d’une pause gourmande ses invités. Les tables de ce restaurant bien caché, à la taille d’un boudoir secret, sont loin de la foule et de l’excitation de l’une des avenues les plus fréquentées du monde et en même temps toute proche, de l’excitation des tables de jeux.

Trouver cette adresse semble donc une affaire d’initiés. En effet, aucune indication, ni enseigne sur la façade haussmannienne pour trouver le Club Pierre Charron : ce Club de Jeux se veut discret, à contre-courant du clinquant associé aux jeux d’argent. Et pourtant aucune obligation de jouer sur les tables du casino ou encore au poker pour profiter de son restaurant. Une enclave gustative qui perpétue l’art de recevoir et une certaine idée de la cuisine française, entre héritage et air du temps. Le service est très soigné, et l’équipe en salle attentive. Dans ce club on se sent VIP que l’on joue ou pas, et cela, dès l’entrée dans les lieux.
Le Chef, Eddy Bajeux, qui a été formé dans de belles maisons parisiennes, de l’hôtel Costes à La Maison Nordique, suit la saisonnalité des produits : en ce moment vous pourrez déguster un cappuccino de châtaigne et mousse de cèpes, très bien exécuté et réconfortant.
Il se passionne pour les assaisonnements créatifs et la précision des belles cuissons. À l’image de son saumon laqué miso, juste snacké et relevé de gingembre confit, ou encore son veau fondant et rosé à cœur mais pourtant parfaitement saisi, ce qui en conserve toutes les saveurs et la tendreté.
En dessert j’ai craqué pour un fondant au chocolat et là encore la promesse est respectée, et pour moi, amoureux de chocolat, ce dessert est véritablement chocolaté : tout en générosité et en amertume. Un délice. La carte des vins est bien faite et permet de beaux accords, comme ce soir-là avec un Condrieu 2018.
On en oublierait presque que nous sommes dans un club de jeu. Et pourtant le lieu est pensé, dédié à cela. Et d’une belle manière : lumineux, spacieux, de beaux volumes, l’élégance de posséder des œuvres d’arts aux murs. En plus de son restaurant vous pouvez aussi bénéficier d’un fumoir avec une cave à cigare.
Mais revenons aux jeux puisque c’est l’essence du lieu : C’est le Groupe Marval qui a choisi Paris et son triangle d’or pour ouvrir son premier établissement dédié aux jeux en 2020 : le Club Pierre Charron. Grégory Benac joueur passionné, familier des plus grands tournois de poker en est le créateur. Il a choisi pour ambassadeur : Bruno Fitoussi, l’un des pionniers du poker en France. C’est lui qui avait lancé les premiers tournois de poker à l’Aviation Club de France.
Ce qui est surprenant au Club Pierre Charron, c’est que vous pourrez y croiser des hommes comme des femmes, de tous horizons et classes sociales. Cela démystifie l’idée que l’on peut se faire de ces lieux de jeux. De plus, tout un service existe pour vous initier si c’est votre première fois ou tout simplement si vous le désirez.
D’ailleurs pour ceux qui ne veulent pas quitter le jeu, le restaurant du Club sert aussi aux tables de jeux.
Et pour ce qui est du jeu vous avez le choix :
Pour le Poker, 13 tables de Cash-Game de 7 à 8 joueurs par table, en Texas Hold’em, ou Omaha.
Pour les Grands Jeux, 12 tables de jeux de contrepartie, de 5 joueurs par table :
Punto Banco, Ultimate Poker, Poker 21, Poker 3 Cartes, Stud Poker.
Un lieu à découvrir donc pour jouer ou tout simplement pour y manger. Le restaurant sert de 13h à 5h du matin et les prix aux vues de la qualité de la table et du lieu sont véritablement raisonnables. Pour nous c’est le meilleur spot food des noctambules du quartier.
Infos pratiques :
62 Rue Pierre Charron, 75008 Paris
7J/7 de 13h à 6h du matin / Entrée libre
Voiturier / Vestiaire / Fumoir / Wifi / Distributeur de billets
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Vins d’été 2021: pour bien finir la saison

Il nous reste un peu de temps pour profiter de la fin de l’été et de l’arrière saison. Voici quelques suggestions de vins rouges et blancs afin de savourer vos derniers repas estivaux.

 –  Château Terre Fauve : Coup de cœur pour ce domaine cette année.

Le château est repris en 2019 par Morgane et Nicolas, jeunes œnologues formés dans les grands crus du bordelais. Dès 2020, ils entament une démarche de revalorisation du domaine : transition en agriculture biologique, restauration des bâtiments, mesures environnementales en faveur de la biodiversité, création de nouvelles cuvées originales et atypiques mais aussi de vins de garde, autour de la valorisation des vieilles vignes et des terroirs.

On a goûté 3 de leurs cuvées faites nature et on a adoré.

– Can You Feel The Lion Tonight (gamme Fronton – cuvées classiques) : un rosé nature, sur les fruits rouges exaltés, bien frais, finement mentholé.

– Château Terre Fauve Rouge, millésime 2019 : Un vin puissant et soyeux, aux notes poivrées, de baies noires mûres, avec une pointe de violette.

– Plantations 1944, Les mémoires fauves, Megrette 2020 : Vin monocépage de vignes de 1944, sans sulfite, aux notes florales de violette, de baies noires et rouges bien mûres et de cerises griottes. Belle longueur en bouche, un vin opulent.

 

– Le Petit Balthazar blanc : Un viognier expressif sur le citron, sec et peu alcoolisé. Une belle minéralité pour ce vin facile à boire.

 

– Cave de Lugny : Mâcon-Lugny, les engrenages, 2018 : vin blanc 100% Chardonnay, délicatement boisé en équilibre avec une belle tension minérale. Des notes de noix et de miel d’acacia. Un beau vin à boire sur une volaille en sauce.

 

– l’Aligoté de la Maison Albert Bichot : un classique réussi. Des notes de fleurs blanches, et d’amandes fraîches avec une jolie minéralité.

– Domaine Levert-Barault : Le printemps,  Mercurey 2018, un vin rouge 100% Pinot noir. Un vin fruité, sur la cerise, la myrtille et les fraises des bois, belle ampleur et une subtile minéralité qui vient équilibrer ce beau vin.

– Château de Parenchère : L’équilibriste, un vin rouge essentiellement cabernet franc, au nez se révèle des notes de cassis et de myrtille, de violette et de réglisse. Puis en bouche on retrouve le fruité : avec de la mûre et des fruits rouges. Un bel équilibre entre tension et rondeur pour ce vin léger.

– Le Petit Balthazar rouge : Un vin rouge fruité et léger. Un nez fruits rouges et une bouche où l’on retrouve ce fruité frais. Un vrai plaisir pour cette fin d’été.

Sélection faite pas Alexis Dumétier

Illustration de couverture : Agnes Solange @agnes_solange_art

 

 

 

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Comment déguster le vin de façon optimum

Pour les amoureux de cuisine, il y a le Thermomix. Maintenant pour les passionnés de vin, il y a la D-Vine. Une machine française.

Si vous en avez assez de ne jamais retrouver le plaisir que vous avez eu le jour où vous avez acheté votre vin coup de cœur dans la cave du vigneron, ou si vous oubliez toujours de mettre le blanc au frais avant de le déguster, cette machine est faite pour vous.

Le vin se déguste bien quand il est servi à bonne température (Les sommeliers s’accordent même à dire que c’est 50 % d’une dégustation réussie) et avec le bon décantage (aération du vin), c’est ce qu’on fait quand on le carafe. C’est exactement ce que fait la machine D-Vine. Grâce à une puce RFID dans chaque flacon, en une minute la D-Vine fait ce que ferait un carafage de plusieurs heures sur votre vin.

Dans cette puce, toutes les informations sur le vin :

– la température de service idéal,

– le temps de décantage, la D-Vine utilise trois façons d’oxygéner le vin, dont une par effet venturi,

– des informations sur le château, le domaine, le vigneron et la vidéo de présentation du vin.

Tout cela pour vous offrir une expérience de dégustation optimum.

De plus, cette machine permet de déguster les vins avec sobriété car les vins sont présentés comme des cartouches Nespresso : c’est un système de flacons en verre de 100 ml par vin que l’on insère dans la machine. Ainsi, que l’on soit seul ou à deux, on peut s’offrir le plaisir d’un verre de vin rouge, blanc ou rosé. Il existe aujourd’hui plus de 70 références de vins français mais aussi, australiens, sud-américains, argentins, … Une liste qui viendra à évoluer, changer, grandir.

D-Vine permet également de découvrir des bouteilles de grand millésimes et de grands châteaux, sans devoir acheter une bouteille entière bien plus onéreuse.

Pour vous l’offrir la D-vine il faudra compter 1490euros ou choisir la formule d’abonnement à 99euros par mois, A la fin des 12 mois, 3 options : renouveler votre abonnement, profiter d’une offre d’achat à 990€ ou rendre la D-Vine.

La D-Vine permet aux particuliers de s’offrir un niveau de dégustation exceptionnel et pour les hôtels et restaurants, c’est une réponse intelligente à la demande grandissante de vins au verre.

 

 

 

Thibaut Jarrousse – CO-FONDATEUR ET PRÉSIDENT
Grand amateur d’oenotourisme, Thibaut parcourt la France à la rencontre des vignerons. Après chaque visite, le constat est le même : « je n’arrive pas à retrouver chez moi le goût du vin tel que je l’ai testé au domaine » L’histoire du vin, l’ambiance du domaine, les conditions de service sont des éléments essentiels pour une dégustation réussie. « C’est en partant de ce constat que je me suis dit qu’en tant qu’ingénieur, il y avait une solution à trouver ».

 

 

 

 

 

 

Béatrice Dominé – OENOLOGUE
Pour parfaire cette équipe d’ingénieurs, les co-fondateurs s’entourent rapidement de Béatrice. Cela fait près de 30 ans qu’elle exerce avec passion le métier d’œnologue : des achats au commerce en passant par la formation et plus récemment la restauration, elle en connaît désormais toutes les ficelles ! Associée à 10-Vins depuis 2012, Béatrice joue aujourd’hui un rôle majeur dans l’entreprise en s’occupant notamment de la sélection des vins. Son ambition pour 10-Vins ? Faire découvrir à tous nos clients la grande richesse et variété des vins français et étrangers… mais dégustés dans des conditions parfaites !

 

 

 

 

Nous avons testé la D-Vine durant cette période de confinement, quel bonheur de déguster des vins comme si nous étions au domaine. Les vins, qu’ils soient rouges ou blancs, sont servis en une minute et parfaitement prêts à être déguster. C’est assez bluffant. Les vins que nous avons dégustés s’expriment pleinement dans le verre et en bouche. De plus, durant le confinement, D-Vine a mis en place des lives Facebook animés par l’œnologue Béatrice Dominé, et cela crée des « mini-master class » de dégustation. Avec la D-Vine, tout le monde est sûr de déguster le vin à sa juste valeur. Ces lives sont interactifs avec Béatrice Dominé et permettent d’échanger autour de cette passion.

Même si de prime à bord la quantité de 100 ml par flacon laisse songeur …quand on aime on ne compte pas …cette dose bien pensée permet de rester dans le plaisir de la dégustation, pour même s’offrir le temps d’un repas, la joie de passer par différents domaines, par la fraîcheur d’un petit Chablis pour ensuite passer à l’opulence d’un vin sud-africain comme la très belle cuvée Hannibale. Tout cela sans devoir ouvrir des bouteilles entières.

Les prix des flacons vont de 3,30 euros à 34 euros pour un Bonne Mares Grand Cru 2013, un vin de Bourgogne d’exception, et avec la D-Vine, vous pouvez être certains de le déguster comme il se doit.

La rédaction est conquise par cette machine française. Nous l’avons adoptée.

https://www.10-vins.com/fr/

Article écrit par Alexis Dumétier

Illustration Agnes Solanges @agnes_solange_art

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Jeremy Enriquez, un chef Français à New-York

Le chef Jeremy Enriquez du restaurant Tastings Bespoke NYC  a commencé très tôt à s’intéresser à la gastronomie. Sa mère et sa grand-mère parisiennes ont transmis leur passion et leur savoir-faire pour l’art culinaire.

À 15 ans, il entre à la prestigieuse école de Ferrandi Paris où il passe 4 ans en cuisine, spécialisé dans la restauration. Plus tard, il rejoint le traiteur renommé Potel & Chabot. Il y travailla avec l’équipe parisienne dirigée par un Meilleur Ouvrier de France et des chefs internationaux. C’est là qu’il a appris les bases de haute gastronomie française, les techniques et les meilleures recettes de la cuisine française et internationale.

Le désir du chef Jeremy Enriquez de parcourir le monde le conduisit en Nouvelle-Zélande où il travailla pour la cuisine du 5 étoiles Langham Hotel, puis en Australie où il travailla pour différents traiteurs et acteurs du secteur de l’hôtellerie. Enfin, le chef Jeremy Enriquez a atterri aux États-Unis où il est devenu un membre crucial de l’équipe culinaire de Tastings NYC & SoFlo (http://www.tastinsnyc.com).

Quel est ton plat préféré et pourquoi?

La quiche lorraine est mon plat préféré à réaliser et à déguster. Il me rappelle ma jeunesse, quand ma mère préparait cette fameuse tarte avec son ingrédient secret qui la rendait si unique . Il a été transmis par ma grand-mère qui la tenait de sa mère qui était elle aussi une véritable  cuisinière . Plus tard c’est ce qui m’a poussé à rentrer a l’école hôtelière pour préparer un diplôme de cuisine.

Quels sont tes conseils pour un homme qui voudrait cuisiner pour un premier rendez-vous?

Les choses que je recommande pour un premier rendez-vous sont très simple. Il faut se sentir à l’aise avec le plat que l’on a l’intention de préparer et ne pas paniquer pour pouvoir se concentrer sur le reste de la préparation du dîner.

On applique des règles élémentaires comme: ne pas cuisiner de produits qui vont affecter votre haleine comme l’ail par exemple, et rien de difficile à manger non plus. Mieux vaut oublier les os du poulet qui vont vous obliger à utiliser vos doigts… Pas très glamour!

Pour un premier rendes-vous, je recommande les Spaghetti alla Carbonara. Tout le monde connaît ce plat et l’apprécie. C’est parfait pour un premier rendez-vous.

Et enfin, si vous voulez impressionner votre invité(e), je vous recommande de miser sur une bonne bouteille pour accompagner votre préparation. Si vous avez un doute, les cavistes sont là pour vous aider.


Présentation de la recette printanière du chef Jeremy Enriquez pour le taboulé printanier avec vinaigrette aux asperges et au fenouil, associé au rosé La Chapelle Gordonne.

Pour la salade : 140 grammes de semoule de couscous cuite, 1 bouquet d’asperges vertes, 100 grammes de pois verts, ½ bouquet de radis, 6 feuilles de menthe

Faites chauffer une casserole d’eau pour le couscous, une demi-tasse d’eau chaude pour une demi-tasse de couscous. Lorsque l’eau bout, mettre une pincée de sel, le cumin, le poivre noir et ajouter au couscous. Couvrir et laisser refroidir.

Découper et enlever les queues des asperges puis faites les blanchir dans de l’eau bouillante jusqu’à tendreté. Une fois cuit, découper les en tronçons de 3 cm de long

Garder l’eau bouillante pour les petit pois, 10 minutes devrait suffire . Utiliser la mandoline pour trancher les radis déjà préalablement laver.

Effeuiller la menthe.

Pour la Vinaigrette au fenouil : 65 grammes d’huile d’olive, 1/4 petit bulbe de fenouil, finement haché, 1 petite échalote, hachée finement, 1 gousse d’ail finement hachée, 1 cuillère à café de graines de fenouil, broyées, 62 grammes de vinaigre de vin blanc, 2 cuillères à soupe de miel, sel, poivre fraîchement moulu, 1 poignées de légumes-salades rustiques mixtes (comme le radicchio, le frisée ou l’endive), 1 bouquet de persil plat fraîches, 1 cuillère à café de zeste d’orange.

Pour l’assemblage de votre plat, laisser votre imagination faire le travail.

 

 

 

 

 

 

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