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Découverte du RAFALE de RENAULT

La team Blake est partie dans la région de Séville, en Espagne, pour découvrir sur les routes de campagnes sévillanes les qualités du Rafale de chez Renault.

Une voiture qui bénéficie des toutes dernières technologies de la marque au losange pour le plus grand plaisir des conducteurs. Rafale est le dernier né de chez Renault. Ce nom évoque tout de suite l’aviation avec l’avion militaire de chez Dassault, des lignes tendues, de la vitesse et du caractère. C’est le cas de ce nouveau modèle de la marque au losange.

Mais ce Rafale, lui, est un hommage à un avion certes, agile et rapide également mais pas celui de Dassault : Le rafale de Caudron-Renault. Une histoire d’aérodynamisme et de design français. Ce « racer du ciel », au nom inspiré du vent, était destiné à la compétition sportive. Plus léger et plus agile que ses pairs, il était plus compétitif. 


C’est exactement l’idée que reprend la voiture de Renault, attaquer le segment des SUV de luxe. Ce Rafale, à 4 roues de chez Renault, contrairement à son modèle aérien, est lui aussi pensé avec cette dynamique avec des lignes tendues et franches qui lui donnent un design racé. Que ce soit les lignes saillantes des flans aux éléments irisés présents dans les optiques, en passant par les losanges cachés un peu partout dans et sur la voiture ou encore l’avion que l’on retrouve dans l’habitacle, ce modèle est pensé pour être une voiture qui se démarque. 

Le Design du Rafale. En plus de ses lignes de fuites bien étirées, tout comme ses optiques avants, ce que l’on remarque tout de suite c’est sa grosse calandre avant, comme des écailles de serpent, qui lui donne du volume et un air plus agressif, ses écailles étant une reprise de losange bien sur. L’arrière de la voiture est typique des SUV coupé pour lui apporter un look définitivement plus sport. Ses mensurations : 4,71 mètres de long, pour 1,61 mètre de hauteur, on est clairement sur du SUV compact, d’apparence.

L’intérieur du Rafale. Pourquoi d’apparence ? Car une fois que vous découvrez l’habitacle, le premier sentiment est celui de l’espace et du confort. et pour cause il partage la plateforme CMF-CD du Renault Espace. Le conducteur et son passager sont dans un véritable confort et la plage arrière n’est pas en reste; pensée pour deux ados avec une place centrale qui se transforme en plateforme parfaite pour recevoir tablettes et téléphones (deux ports USB à disposition), ainsi que des reposes gobelets, pour un voyage en première classe pour les passagers arrière de ce Rafale. Pour 4 personnes le voyage qu’il soit long ou court est un véritable plaisir, on ne sent pas les kilomètres défiler. Dans sa version Esprit Alpine (celle que nous avons testées) de jolies finitions : surpiqûre bleu et rouge, des sièges baquets mais pas trop, pour nous maintenir et assurer un confort routier également. Pépite de technologie le toit verrière et sa techno de verre opacifiant made from Saint Gobain, que l’on ouvre et ferme avec un seul doigt ou encore mieux par la voix via Google Assistant : le toit se désopacifie par tranche, passant de complètement opaque et protégeant des UV à complétement transparent. Le coffre est assez grand pour partir en voyage à 4, nos ados ne prenant que quelques t-shirts pour les weekends et les vacances.


La motorisation. Deux motorisations sont programmées: La version d’essai est la 200CV, et une 300CV à quatre roues motrices fin 2024. La première reprend la technologie E-Tech largement répandue au sein du constructeur. Elle associe le 3-cylindres 1,2 litre de 130 ch à deux moteurs électriques de 50 et 25 kW. Ce dernier, installé dans la boîte multimode sert au démarrage du moteur thermique. Une batterie de 22 kWh complète le système. Elle profite des phases de régénération pour se recharger à vitesse grand V et ainsi maximiser le roulage électrique en ville. La boîte est très fluide, aucun accoup, on accélère franchement et le Rafale se lance dans une montée en vitesse continue. Le freinage est à la hauteur des 200CV et est rassurant.

Les véhicules sont aujourd’hui tous très assistés puisque nous allons vers une automatisation assez certaine, et c’est là où les ingénieurs de Renault pensent aux plaisirs de ses conducteurs, un simple bouton, facilement accessible permet de débrayer les aides les plus contraignantes (gestion des distances, de la tenue de file,…) en un seul clic. Une brillante idée.Le plaisir de conduite comme mot d’ordre de ce Rafale, avec les quatre roues directrices de série sur la finition supérieure, ainsi que le système de direction de Renault, on enchaîne les virages comme un pilote même si l’un de se referme et nous surprend. De plus le système dispose de 13 positions de répartition des aides et de préréglages châssis, direction, amortissement,  réparties entre les modes Confort et Sport. On peut le laisser opérer automatiquement ou régler manuellement. À partir du niveau 7, on profite d’une voiture de plus en plus directe et réactive, et ainsi appréhender la route à son envie. La consommation reste parfaitement maîtrisée, nous avons constaté une moyenne de 6,6 l/100 km, malgré un test varié en dynamique.


Pour conclure sur le Rafale. Le look du Rafale de Renault nous a clairement séduit. Son habitacle et les technologies à disposition nous ont plu et offert une expérience de conduite plus qu’agréable. On descend de véhicule en ayant envie d’y retourner comme si les centaines de kilomètres n’avaient pas été effectuées. Et ça parce que, entre autres, le Rafale a su optimiser les technologies de ses prédécesseurs. C’est un peu le petit dernier, le petit frère tempétueux. On a hâte de tester le 300 CV et de vous en parler.

Prix: À partir de 45.000€
Fiche technique :
– Moteurs: 3-cyl. essence turbo 1,2 l + 2 moteurs électriques- Puissance: 130 ch (200 ch cumulés)- Couple: 205 Nm- Transmission: Traction, boîte auto. multimode- Dimensions (L/l/h): 4 710 x 1 866 x 1 613 mm- Coffre: 627 litres- Poids: 1 660 kilos- Performances (0-100 km/h): 8,9 secondes- Vitesse: 180 km/h- Consommation Mixte UE: 4,7 l/100 km- Émissions CO2: 105 g/km


Article écrit par Alexis Dumétier – Photos et vidéos Eric Sissung.

Drone : Alexis Dumétier et Julien Di Luigi

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ROAD TRIP TEST BMW & TRIUMPH

La team BLAKE est partie en road trip dans le Perche pour tester deux derniers trails de BMW avec le GS 1300 R et de Triumph avec le TIGER 1200, version 2024. Le temps était entre nuages, pluies et soleil donc on a pu éprouver les motos et les tenues touring Bering et Nolan, dans toutes les conditions. On vous en parle. 

LE TIGER 1200 de TRIUMPH – 2024

Si la position est haute et bien digne d’un hypertrail, on se sent immédiatement en confiance. Le Tiger 1200 de 2024, est souple, très intuitif et se laisse manier sans effort malgré son poids assez conséquent et plutôt haut placé, son poids ne se fait sentir finalement que lors des manœuvres à basse vitesse. Les suspensions gomment parfaitement les aspérités de la route, et les différents réglages rapidement accessibles en roulant dans l’ordinateur de bord offrent un feeling bien marqué. Le cadre est bien rigide et permet de lire la moto dès les premiers tour de roue, la rendant très saine. Le combo cadre assez rigide et suspension plus souple offre un compromis extrêmement agréable à rouler sur route ouverte.

Elle s’inscrit sur l’angle très facilement, est stable et confortable. Elle permet de se faire plaisir sans effort sur de longs périplse, caractéristique fortement pertinente vu le type de moto. Le freinage Brembo offre un très bon mordant et une puissance difficile à prendre en défaut, renforçant le sentiment de confiance et de sécurité à son guidon. On regrettera uniquement la sélection des vitesses moins franches que sur le GS, surtout le neutre. Mais le point de patinage est très lisible et offre un bon retour au levier, ce qui aide au manœuvre à basse vitesse. Le trois cylindres 1200 est terriblement efficace, et nous envoie même un  coup de pied au fesse arrivé à 6 7000 tr, un comportement moins linéaire que le moulin du GS. Il faut faire attention au compteur de vitesse car passé cette zone, le 3 pattes propulse l’embarcation avec vigueur, pouvant même surprendre au vu du comportement globalement doux de la moto. Le bruit du moteur, agréable en spectateur, est par contre peu flatteur à son bord, dommage pour un 3 pattes de 1200cc. Côté nouvelle technologie, l’ordinateur de bord, bien que long à démarrer, à un écran aux menus très ergonomique. Il est très facile de paramétrer sa monture. Seul le GPS, avec une simple flèche d’indication, ne nous a pas convaincu. S’il peut dépanner, nous allons vite opter pour un support smartphone pour ne pas louper notre road trip préparer avec soin en amont.

Le shifter pro est très doux, en même après 20 ans de moto, descendre les rapport sans débrayer est devenu naturel (il faut se servir du selecteur plus comme un bouton et non comme un « vrai  sélecteur ») le seul point noir de la boite était le neutre, très difficile à trouver, à l arrêt ou en roulant à basse vitesse, de la premier comme de la seconde…dommage car cela a été pour nous le seul vrai défaut ennuyant du Tiger. D’ailleurs pour respecter le bon fonctionnement de la boîte il faut embrayer pour le neutre, la première et la deuxième. En option sur notre modèle, le top case, cubique comme une flycase posée à l’ arrière de la moto, s’est avéré extrêmement utile et pratique. Étanche, de belle capacité, très simple à remplir grâce à sa forme simple et pratique à enlever.

LA GS 1300 R BMW de 2024

Notre GS 1300 R, 2024 d’essai, full option, est très massif et compact pour ce type de moto. Son design est moins caricatural qu’en photo et il ressemblerait presque à un gros roadster, ce qui n’a pas été pour nous déplaire. Son coloris Vert émeraude et or, associé aux jantes à rayon fait son effet. Les passants s’arrêtent régulièrement pour la regarder ou venir nous en parler, un très bon point pour alimenter l’orgueil du motard….Bien moins haute que le Tiger, on l’ enfourche avec aisance pour une moto de type trail (un très bon point pour les petites tailles ou les personnes peu souple…). Tout comme son aspect le laisse présumer, la moto est rigide, sèche sans être pour autant désagréable.

L’ embrayage est très souple mais le verrouillage des vitesses est franc (avec le bruit caractéristique des boîtes BMW), le neutre est facile à trouver contrairement à la Tiger. Le train avant est rigide, la mise sur l’angle est progressive et demande plus d’effort que sur la Tiger, mais la moto donne plus la sensation d’être sur un rail quand on est sur l’angle et sa stabilité est grandiose, quitte à rogner légèrement sur l’agilité, surtout face à l’anglaise. Les suspensions sont plus fermes également, le frein moteur plus violent et le shifter secoue à chaque passage comme un passage à la volé plus ou moins bien exécuté. Ce trail joue clairement le côté plus sport que ballade, et il donne envie d’attaquer pour tirer partie de cette orientation. En forçant le rythme, le flat twin fait des merveilles, toujours plein, linéaire, avec un bruit envoûtant d’un avion de la seconde guerre, c est un régal. En virage la moto est plus sous vireuse que la Tiger et il faut s’habituer au telelever : qui est le système BMW qui dissocie l’amortissement de la gestion de la fourche de direction qui offre des sensations d’amortissement et d’écrasement au freinage différent des motos qui ont une simple fourche à l’avant. La moto ne s’ enfonce pas de l’avant, seul l’ arrière oscille. Il est difficile au début de sentir l appuie sur ce train avant et on a l’impression de ne pas le charger assez et donc de ne pas « mordre la route ». Cela est clairement une question d’habitude, car aucun doute sur la tenue de l’engin, surtout en longue courbe rapide. L’ordinateur de bord regorge d’informations. La molette de sélection au guidon est un très bon concept, mais le petit stick du tiger était plus intuitif. Le régulateur adaptatif est très au point et les radars avant et arrière de la GS 1300 R de BMW, captent sans soucis la moto ou la voiture de devant.


Bien qu’appartenant à la même gamme de moto, les Trails, nos deux modèles voient clairement là route avec deux approches différentes, différence incarnée parfaitement par le maniement des 2 shifters. Sec sur la BMW, et doux sur la Triumph. Les deux engins sont diablement efficaces à rouler, non piégeux, puissant, et bardés d’électronique et d’assistances. Mais le GS est bien plus typée sport et donne envie d’attaquer avec son train avant rigide alors que la Tiger est plus douce, et même si elle n’est pas en reste en accélèration, la Triumph amène plus à enrouler les virages en souplesse.

Quoi qu’il en soit, ces deux motos sont excellentes est très abouties, durant notre périple du week-end de Pâques 2024 dans le Perche, venteux, pluvieux, frais, mais également avec de belles éclaircies et des routes sèches, sur petite départementale cabossées, partagées avec les agriculteurs comme sur autoroute, ces motos avalent les kilomètre avec facilité. A vous de choisir votre philosophie…

TENUES POUR AFFRONTER LA PLUIE EN MOTO

Durant notre trajet, nous avons été vêtu de textiles de chez Bering. Les modèles Antartica et Austral, les deux en gore tex, furent très pertinent pour la saison d’avril, et encore plus lors de notre week end. Grâce aux nouveaux tissus techniques mais aussi aux dernières technologies des protections, le blouson et le pantalon se sont fait totalement oubliés, le gain en poids est considérable, et change radicalement des cuirs “à l ancienne”. Du confort, de la chaleur, et pleins de petites attentions ergonomiques; la fermeture éclair principale aimantée pour aider à enclencher, la bavette de col amovible extrêmement efficace sur l’Antartica. Pour l’Austral celui de poche avant est très pratique. On retrouve les poches qui facilitent la vie des motards sur la route, dont une pour carte bleue / ticket de péage sur la manche gauche, et les doublures amovibles du pantalon comme du blouson. A part un airbag, c’est du matériel “toutes options” et elles sont aussi bien penser que sur des produits d’une grande marque française d’équipement de sports réputé sur le sujet. Sur du matériel de moto d’un certain prix cela fait plaisir et j’ai envie de dire : enfin !!! Merci à Bering pour cela.

Et autant dire ce qui est, en commençant notre périple un vendredi soir par 2h de ville/route/ autoroute de nuit par 7 degrés et sous une pluie battante…l’equipement à sauvé notre week-end et notre humeur. Nous sommes arrivés au sec, sans avoir froid ni chaud durant cette épreuve. Je ne reviens toujours pas du confort que j’ai pu ressentir dans ces vêtements, vu les éléments que nous affrontions. La gamme de nos textiles Bering essayé est dans la catégorie haut de gamme avec le tarif y correspondant,  mais quelle efficacité générale! Pour tout motard souhaitant être tranquille et ne pas avoir à regarder les radars de pluie toutes les 15min, ou disposer de 20 tenues différentes, je ne peux que recommander très fortement nos Bering Austral ou Antartica.
Les bottes Bering, Xroad de dernière génération, ont été également de précieux alliés pour affronter les éléments changeants de ce mois d’avril. En effet, malgré de fortes pluies, nos pieds sont restés au sec et au chaud. Les bottes offrent une bonne rigidité qui donne un sentiment de protection, tout en laissant une certaine souplesse lors de la marche. La semelle permet notamment des positions debout sur moto, tout en étant très confortable et stable.

DES CASQUES POUR LE ROAD TRIP


La panoplie était complétée par les casques modulaires en carbone, le Nolan X-1005 Ultra carbon. Le haut de gamme de chez Nolan pour tailler la route. A l’ installation d’un système intercom d’une autre marque, les emplacements réservés aux écouteurs ont bien acceuilli l’équipement, même s’il a fallu cacher dans les mousses, les câbles comme on a pu. La visière pinlock a bien fonctionné par notre météo changeante, évitant toute bué à l’interieur du casque. Et pour un modulaire, pas de trace d’eau à l’intérieur malgré certaines averses violentes. Facile à manipuler, assez léger pour un modulaire grâce au carbone. Le casque est stable et bien isolé phoniquement. La visière interne ajoute du poids ce qui est dommage et n’était pas si évident à manipuler pour la baisser (question d’ habitude aussi sans doute). Mais mentonnière ouverte,  elle permet de ne pas avoir trop de vent dans les yeux à vitesse intermédiaire ou entre 2 villages. Si de telles visières peuvent paraître superflues dans les intégraux classique, elle a une bonne utilité ici. Ces casques offrent également la possibilité de porter des lunettes de vue ou de soleil, on oublit pas le style. Le seul bémol si il doit y en avoir un, c’est le manque de mousse sur la sangle jugulaire, qui pourrait être plus large et un tout petit peu plus longue. Sur les 800 km effectués ces casques ont été de précieux atouts par leur modularité mais aussi par leur confection générale qui permet de voyager sereinement.

Un road trip moto nécessite de bien préparer le paquetage, et pour cela nous étions équipés des sacs thermo-moulé de Bering, les Oxley, qui permettent de transporter de quoi grignoter et boire sur la route, les chargeurs et batteries pour tourner, le drone, bref tout le matos tout en le gardant au sec. On a un truc pour les encas sur la route avec Adrien, les barres protéinées. Sur ce voyage on a découvert les barres de chez Koro, une marque vegan, mais surtout un allié de poids pour les voyages de ce type, c’est petit, donc prend peu de place dans le sac et cela apporte suffisamment d’énergie pour poursuivre la route entre deux arrêts. Pour s’hydrater et prendre un petit shoot de sucre nous avions les toutes dernières créations de Good Vie, une marque française qui fait des kombuchas aromatisés aux fruits, ce sont que des bons produits dedans et c’est véritablement désaltérant.

Article écrit par Adrien Barthou et Alexis Dumétier

Vidéo réalisée par Alexis Dumétier et Adrien Barthou

Merci à BMW mottorad France, Triumph France, ainsi qu’à Bering et Nolan, mais aussi Superdry, Timberland eyewear, Adidas eyewear, Newman.

https://www.triumphmotorcycles.fr/bikes/adventure/tiger-1200
https://www.bmw-motorrad.fr/fr/modeles/adventure/r1300gs.html?gad_source=1&gclid=CjwKCAjwrIixBhBbEiwACEqDJbyo_6QLoHkZ4AqprR0iGVOllZw76lVwQqZXASoyd-x8lKBNI1_TCRoCjPgQAvD_BwE
https://bering-moto.com/fr_FR/products/austral-gore-tex-btv89-eu
https://nolan-helmets.com/fr_FR/products/x-1005-ultra-carbon-u15-eu
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Découvrir les Baux-de-Provence en Mustang

Pour l’été la team Blake a choisi de découvrir le Suv de Mustang, le Mach e sur les routes du Sud de la France, dans la région des Baux de Provence. La garrigue, les Alpilles, le chant des cigales qui berce les siestes post prandium, le mistral qui rafraîchit les après midi trop chaud, Les déjeuners à l’ombre de platanes, bref le rythme des vacances mais aux saveurs de Pagnol.
On vous emmène dans une balade provençale, on vous partage nos bons plans, nos coups de cœur et des looks estivaux.

La Mustang mach e :

Notre destrier pour traverser les Alpilles, les chemins de terres ou de bitumes fut la Ford Mustang Mach e, modèle Standard Range . Un SUV plutôt citadin mais qui est une véritable routière confortable et très silencieuse. Mustang, vous entendez déjà le V8 ronronner fort, pas ici, c’est une full électrique. Alors oui, on crie au scandale, au blasphème de la « road majestée ». Mais au final pas du tout. Et pour ce qu’on achète, c’est-à-dire un véhicule SUV full électrique, la mustang Mach e fait un travail remarquable et rend le trajet presque apaisant. D’abord l’électrique impose sur les longs trajets des pauses , pour recharger les batteries toutes les 1h30 en moyenne. Mais après tout c’est ce que conseille la sécurité routière. Mais ensuite et surtout le travail d’isolation phonique est un vrai bonheur : pas de bruit de roulement, de souffle d’air intempestif. S’ajoute à cela les sièges, que dis je ! les fauteuils de la voiture : large, bien enveloppant, presque moelleux, Après un Paris Marseille dans la journée j’étais près à faire le retour dans la foulée. Parce que au final pour le trajet, il ne m’aura fallu, je dirai presque que 8h 20 minutes, 3 pauses de recharges, dont une qui m’a permis de déjeuner, et ces dernières furent entre 20 et 40 min.
La mustang mach e est bardée de système d’aide à la conduite, elle est niveau 4 dans les pays dont la législation le permet, en France le niveau est de 2 pour la conduite autonome, mais cela pour dire que la voiture est parée pour vous accompagner sur la route et vous soulager et vous prémunir au maximum : sortie de la voie, gestion des distances, de la vitesse, reconnaissances des panneaux, phare automatique intelligent qui détecte les véhicules,…son grand écran central qui fait penser à celui des Tesla est pratique et très réactif, le Applecarplay fonctionne parfaitement. Mais par-dessus tout c’est le système one pédale qui est fabuleux : vous n’avez plus qu’à gérer l’accélérateur seul. Au début cela est déroutant, mais la mustang Mach e contrôle la décéleration et la distance avec les véhicules de façon assez juste et cela offre un confort supplémentaire et économise le chauffeur.
Le train et le châssis de la voiture enroulent bien les virages et la tenue de route est très bonne, quasiment pas de rouli. L’expérience de conduite donne le sentiment de couler dans un toboggan, c’est très fluide.
Le coffre arrière permet de loger deux grosses valises et deux cabines, il y a un coffre avant qui a une trappe pour évacuer les liquides, certains s’en servent de glacières paraît-il…pourquoi pas.
Côté loisir : le système de son intégré et fait par Bang & Olufsen, ce qui permet d’écouter vos sons préférés avec une belle qualité et des basses vivifiantes si vous le voulez tout en préservant les aigus..
Cette expérience de la Mustang Mach e était aussi l’expérience d’un long trajet en full electric pour la team Blake et cela est très concluant. Aujourd’hui le parc de stations de recharge est grand et étendu sur le territoire. Et avec la bonne appli, nous avons utilisé Chargemap, qui réunit plusieurs opérateur de station de recharge et offre un service de GPS et de calculateur de trajet top pour anticiper les déplacements sans aucun soucis.

Le full electric et le passage de l’essence à l’électricité dans nos voitures :

D’ici à 2030 la plupart des constructeurs ne vendront que des voitures full electric, législation oblige. Le virage est donc déjà clairement amorcé. Force est de constater qu’en 2023 la présence de bornes est de plus en plus répandue, et il est en vérité simple de trouver à se charger un peu partout même dans des petits villages. Sur le réseau routier on peut trouver des zones de recharges en nombres, il y en a autant qu’il y a de stations essence quasiment. Pour accompagner les automobilistes il existe des applis indispensables pour programmer les voyages et les pauses nécessaires aux recharges électrique. Nous avons utilisé Chargemap, qui s’est révélé un outil très intuitif et utile pour toutes les recharges sur le pouce ou les trajets programmés.

Le Prieuré de Baumanieres et le Chef Christophe Chiavola :

A Villeneuve les Avignons, L’ancien Prieuré est devenu un Relais & Châteaux, et pour mener les cuisines le choix s’est porté il y a peu sur Christophe Chiavola. Le soir pour un dîner gastronomique ou le midi pour la proposition du Chef Christophe Chiavola, un déjeuner Bistrot chic, avec pour pièce maîtresse le brasero plancha. C’est au cœur de la cour du Prieuré, sous les platanes centenaires, que l’on nous propose de déjeuner face au sous-chef qui prépare nos plats. Un lieu d’exception qui propose le midi une ambiance décontractée, avec une cuisine qui se dit plus simple, mais qui offre à nos papilles une expérience d’étoilé en devenir. Des entrées populaires comme le gaspacho sont menées avec finesse, un savoir-faire qui fait exploser les saveurs, je veux pour exemple cet œuf parfait qui recouvert en cascade par le gaspacho est auréolé de fleurs et de délicates touches d’huile d’olive. Les saveurs sont là, l’ail bien présent, et le gaspacho prend soudain une autre dimension. Ce midi le plat était du porc cuit à basse température, avec la peau follement croustillante, juste marqué au flammes du brasero, et le poulpe mariné juste saisi sur le grill, fondant et le tout relevé de zest d’agrumes. On sent la maîtrise et l’expérience du Chef Christophe Chiavola, on sent la finesse d’une cuisine gastronomique, une table à ne pas louper dans la région.

ITW du Chef Christophe Chiavola :

Christophe Chiavola, c’est une belle rencontre, un chef entier, un homme franc, droit, authentique et sans chichi. Il a une vrai gouaille et un amour immodéré pour la cuisine, les agrumes et la mer en particulier. Autour du déjeuner il est venu s’asseoir avec nous et nous avons parlé de son parcours et de sa cuisine, casquette vissée sur la tête.

 

Qu’est ce qui vous a mené à la cuisine ?

C’est une vieille histoire, à l’âge de 12 ans pour Noël on fait la soupe à l’oignon, et les parents se préparant j’ai été nommé à la surveillance de la soupe. Je l’ai tournée et retournée et je l’ai assaisonnée, un peu trop d’ailleurs, et pourtant les gens ont aimé , et cela a créé un déclic. Je suis alors rentré en CFA dès mes 17 ans du côté de Perpignan, mais j’ai foiré complet. Je n’aimais pas l’école. Mais quand j’étais au taff je faisais mes 15 heures par jour, j’y allais en stop s’il fallait. 

Quel est votre parcours ?

Je n’ai fait aucune grande maison, mais pour développer mon savoir j’ai acheté des bouquins, des magazines, les THURIES notamment, je regardais, j’apprenais, je regardais ce que faisaient les autres restaurateurs et je refaisais. A mon époque pas de cuisiniers stars, on était plus seul.

Je suis passé par plein de choses, le traiteur, cela apprend l’organisation, ne rien oublier, puis la restauration plus classique. Je n’avais pas d’objectif d’étoile ou de grande cuisine, je voulais voyager, apprendre.

Mais j’ai des chefs qui me marquent. Je suis fasciné par Michel Bras. Il y a aussi Pierre Gagnaire, qui d’un coup de rein vous dégage et transforme et magnifie un plat, et Glenn Viel de Baumanière, qui est perché, il concrétise tous ses délires, et quand il y arrive c’est magnifique, il est inspirant.

Comment avez-vous eu des étoiles, vous qui ne les cherchiez pas ?

J’avais un pote qui partait en Asie, alors qu’il travaillait au Hameau des Baux, et il me dit il y a une place à prendre, mais il y a une étoile qui risque de tomber, et elle est tombée alors j’ai du faire en sorte de la maintenir, pas le choix, et j’y ai pris goût, car ce qui est sympa c’est le contact avec le produit, les producteurs, on faisait un peu ce qu’ on voulait, et cela marchait. Les retours étaient bons, il y a de la reconnaissance à ce niveau là, c’est grisant. Donc après la fermeture des Hameau, j’étais lancé et j’ai eu envie d’aller chercher les étoiles. C’est ce qui s’est passé avec le château de Massillan. Le propriétaire voulait monter sur l’étoile. Là bas, il y a un potager de 4 000 mètres carrés, c’est superbe, j’ai jamais vu ça. Du coup on l’a eu, ce qui a créé un bouleversement. Du coup il fallait mettre en place une rigueur et un staff, et après le Covid, cela a été très dur. Il y a eu trop de précipitation et cela m’a abimé, trop de stress et de fatigue. J’ai alors fait quelques années de consulting. Mais la cuisine me manquait, je m’ennuyais, alors je suis revenu au fourneau, et j’ai eu la chance d’avoir le choix, on me réclamait. Mais il y a eu le choix du coeur : la Provence, les maisons Baumanieres, l’esprit qualitatif, la rencontre avec Monsieur Charial, qui en a fait des maisons excessivement belles. Et il y a la rencontre avec Glenn, qui est un mec simple et cool.

La cuisine du Prieuré quelle est-elle ?

C’est ma cuisine, je n’ai rien changé. On se limite un peu pour le moment, il faut mettre les équipes en ordre. Cette cuisine elle est un peu à la Gagnaire, c’est du freestyle, en fonction du produit, du pourquoi du comment, de la nuit…. Je m’ennuie énormément, je reste pas sur des plats qui marchent, quand j’en lance un , je suis déjà sur le suivant. Je m’aide beaucoup de ma seconde, Marie-Lou, qui a travaillé chez Darroze, on est très complémentaire. J’achète les produits, et j’improvise dessus, avec les condiments, les légumes et les fruits qui viennent. J’aime beaucoup l’huître, je la travaille beaucoup, j’adore le terre / mer, le côté fort de la terre qui vient corser un poisson doux et gras, c’est top, avec le côté salin, apporté par un jus d’huître par exemple ajouté sur un jus de boeuf réduit, sur une viande maturée et de l’anguille, c’est saisissant en bouche. J’aime les jus corsés, on fait réduire, cela devient sirupeux. Je suis pas pris par le stress de l’étoile, j’essaie. Un produit bien cuit avec un jus, qu’on vienne pas me dire que c’est pas bon !

Le choix de la proposition du midi ?

On a voulu faire une offre décontractée qui attire du monde, et que ce soit convivial, rapide s’il le faut. Des entrées fraîches, simples, et des plats au brasero, sur une heure de déjeuner. On peut avoir un menu pour moins de 60 euros dans un cadre exceptionnel. On veut se déjeuner accessible, en vrai le mec peut venir en slip de la piscine, moi je m’en fou. Les gestes en cuisine sont ceux du gastronomique du soir, mais les présentations et la cérémoniale sont « plus simple ».

Le Domaine de Trévallon :

Le plus beau domaine de Provence et probablement l’un des meilleurs pour ses blancs et ses rouges amples, complexes, possédant une superbe minéralité. Le Domaine Trévallon existe depuis 1973. Le père de Ostiane, était artiste comme sa grand-mère qui était la seule artiste à être autorisée à faire des copies de Picasso en tapisserie. C’est d’ailleurs entre autres à cause de ce dernier que la famille découvre Saint Rémy de Provence et y achète des terres. C’est Eloi le papa d’Ostiane qui décide de faire du vin sur ses terres, avec une volonté de faire ce qu’on appelle aujourd’hui du Bio : pas d’intrant, pas de chimie, une juste expression du terroir et de la vigne. Et le pari est réussi puisque les vins de Trévallon sont hors paires, réputés et recherchés. Ostiane, à la vigne sans le sang, elle perpétue le travail de ses aïeux avec passion depuis maintenant 9 ans. Le vin elle est tombée dedans étant petite, comme un célèbre Gaulois, elle ne pouvait que finir par en faire sur le domaine familliale.

45 hectares de vignes entrecoupés de garrigues et de forêts de pins, un terrain qui grimpe vers les Alpilles, et qui offre autant de parcelles différentes pour les cabernets, syrah et autres cinsault,…Le domaine produit chaque année en moyenne 50 000 bouteilles de rouges et 8 000 de blancs, des vins d’exceptions, qui ont une garde de 30 à 40 ans, que l’on trouve essentiellement chez de grands restaurateurs et dans quelques caves qui ont la chance de posséder de rares allocations. 

La carrière des Lumières :

Lieu inévitable des Baux de Provence, scène passée de la création de Jean Cocteau et de son « testament d’Orphée », il est aujourd’hui un lieu d’exposition où les oeuvres de grands maîtres et de grands peintres sont projetées et animées sur les murs de la Carrière, accompagnées de musique. Au frais, dans ce cœur de pierre, on marche, immergé dans les œuvres, les couleurs et les formes. Une manière exceptionnelle de découvrir ou redécouvrir des artistes picturaux. Et durant les après midi parfois caniculaire de Provence, un lieu comme une carrière, semble être un oasis. A faire. Les places sont chères dans le petit parking qui se situe face au carrière, on a pu y tester le park assiste de la mustang Mach e qui se révèle très pratique et rudement efficace, en créneau ou en bataille la voiture gère cela très bien seule, vous n’aurez qu’un bouton à maintenir. Finis les créneaux ratés.

Beauduc, la plage sauvage :

Si vous passez dans la région il est un lieu à ne pas louper, une bulle hors du temps, sauvage, et peu fréquentée, si ce n’est par les kitesurfeurs et les passionnés du coin : la plage sauvage de Beauduc. C’est au prix d’un long chemin chaotique, de terre, de sable de cailloux et de trous innombrables, cheminant au travers des lacs salins, que l’on découvre une plage immense, clairsemé de dunes de sables comme des refuges pour un picnic ou une sieste. Et puis la mer, qui sur une distance qui semble infinie vous arrive à mis mollet, d’une douce tiédeur. Beauduc, c’est le silence étourdissant, qui offre la pleine place aux cris des mouettes et aux clapotis des vaguelettes qui viennent mourir sur le sable. Je ne connais aucun lieu similaire en France, qui offre ce sentiment d’être arrivée au bout du monde. Pour une journée, un après midi ou une soirée, il faut vivre cette expérience. La mustang mach e fut une alliée de choix pour ce chemin qui fini en off road, même si c’est un SUV plutôt citadin, avec une garde au sol pas si haute et une roues motrices, et bien la Mustang s’en est très bien tirée et la fermeté de ses amortisseurs et ses larges pneus ont bien franchis les obstacles qui se présentaient à elle.

Terre et Blé, de Henri de Pazzis : 

Henri de Pazzis s’est épris du blé et du pain, et à voulu faire de ce lieu un temple de la miche où la proportion entre croûte croquante et la mie tendre et pégeuse tient presque du théorème d’algèbre. Les pains et les fougaces sont à tomber, les focaccias aussi, et je ne vous parle même pas des petites gourmandises à la fleur d’oranger comme des biscuits en forme de bouche, une merveille avec un café.

De plus, ce lieu propose à déjeuner. Aux fourneaux c’est Nathalie Gruaut la chef, passée chez François Perraud pour l’influence provençale, pour le reste elle a fait le tour du monde et s’est inspirée de chacun de ses voyages. Dans l’assiette des produits du terroir, bio, circuit court, mais surtout de la finesse, de l’élégance et du goût, des goûts marqués, assumés et des touches florales maîtrisées. Une pépite à ne pas louper si vous passez par Saint Rémy de Provence.

Skin Système : Men

Une ligne pour Homme chez Marionnaud, sobre, au packaging très épuré et noire. Comme cela, ce ne sera pas clivant, et plaira à tous. La gamme est bien faite et très complète : nous avons testé un fluide léger hydratant, une crème anti-ride, un gel nettoyant et un gel exfoliant, ainsi qu’une crème à raser. Les textures sont agréables , et les senteurs légères, entre agrume et boisés résineux, un côté marin, qui donne comme un coup de fouet de fraîcheur d’embrun. Une gamme à découvrir pour prendre soin de sa peau qui pendant les vacances subit soleil, sel marin, chlore des piscines, et autres nuits parfois trop longues. Vous nous direz merci.

Les savons Soeder :

On a découvert et aimé les savons écoresponsables de la marque Soeder. Nés de l’esprit d’un collectif qui, depuis 2013, développe et vend depuis Zurich des produits de qualité pour le quotidien qui doivent être de grande qualité, fabriqués en Suisse, ne pas contenir d’ingrédients superflus ou même toxiques et être tolérés par tous, toutes les huiles utilisées sont pressées à froid et proviennent de l’agriculture biologique. Le packaging est en verre recyclé. Bref ce sont des produits sain pour nous et pour la planète. Le parfum Negroni du savon liquide nous a rappelé les soirées cocktails estivales, on a adoré. Le cube de savon aux senteurs de pins nous permet aujourd’hui de nous ramener aux balades dans les forêts de pins de Provence pour garder un pied en vacances.

La Maisonnette, une maison d’hôte pour tout oublier :

Il n’est jamais évident de trouver le bon lieu pour se reposer et réunir toutes les qualités attendues. Cette maison d’hôte rattachée au mas bicentenaire des propriétaires, bien nommé Mas de Coeur,  est un véritable havre de paix. 50 mètres carrés, une belle auteur sous plafond, une décoration qui vous plonge dans un univers maritime inspiré de Corto Maltese. Mais surtout une terrasse ombragée, un espace sous un immense prunier avec un hamac pour de longues siestes salvatrices.

Un très beau bassin de nage de plus de 12 mètres à votre disposition entouré d’un superbe verger et de transats. Une oliveraie charmante pour admirer les ciels étoilés. Et des hôtes d’une rare bienveillance et d’une grande discrétion. Situé à 5min en voiture du centre de Saint Rémy de Provence, cela permet de vivre la sérénité de la pleine campagne tout en ayant à porté, restaurants, bars, magasins, et festivités estivales.

Le Momentum 4 de Sennheiser : 

Déjà la 4ème version de ce casque mythique, et à chaque nouvelle mouture Sennheiser améliore de petits détails précieux, comme le bandeau de plus en plus confortable. Le système ANC est toujours aussi bien fait, et il en fait le compagnon parfait pour s’isoler du monde extérieur et écouter sa musique ou un podcast en étant hyper focus. Si les vacances vous offrent du calme, ce casque offre une bulle de zénitude. La dynamique d’écoute est très belle, les graves présent ne bavent pas, les médiums et les aigus sont élégants. Peu importe le style de musique que l’on aime écouter, ce casque retransmet parfaitement les voix et les instruments. La version blanche matte a retenu notre attention pour l’été, pour son aspect lumineux.

Le Newport chronographe de Herbelin :

Une belle montre, sportive pour l’été, avec ses trois cadrans, et son mode chrono à la trotteuse. Le boîtier d’acier épais est de belle facture, et offre un poids qui lui confère une certaine prestance au poignet. C’est une montre automatique qui se recharge au mouvement de vos déplacements pour une autonomie de 67 heures. Un chronographe élégant , épuré, pour tous les jours mais aussi pour les moments plus habillés. 

Essence, des vernis effet gel :

Nos chéries adorent mettre leurs ongles aux couleurs de l’été. Aujourd’hui de plus en plus de marque propose des vernis sans parabène, ni adjuvant néfaste, mais pas avec cette qualité. La pose est facile, le pinceau efficace pour une pose en un passage, et la couleur intense.

Pas ce soir, de chez BDK : 

Dans la team Blake, on est des amoureux de parfum et comme il peut y avoir des parfums pour chaque moment, nous avons choisi pour ce road trip provençal Pas ce soir, Extrait, de BDK parfums, créé par Violaine Collas. Chez Blake on apprécie fort le talent de cette maison pour magnifier les différentes fragrances. Avec ce Pas ce soir, Extrait, c’est un mélange chaud, sucré et épicé qui vous enveloppe, avec une pointe florale : poivre noir, gingembre, fond de cacao, jasmin délicat, pointe de fleur d’oranger, vanille subtile et ambroxan, avec en fond un patchouli qui ne se fait pas entêtant. Un compagnon parfait pour votre peau, envoûtant, pour les nuits d’été sous les étoiles.

Article réalisé par Alexis Dumétier

Stylisme : Superdry, Newman, Boohoo, Jonak, Nike, Ray Ban, Persol, Prada, Colmar, Stetson.

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Les Ménuires 2022 avec la Team BLAKE

La team BLAKE est partie aux Ménuires pour le reportage montagne de l’année 2022.

Située dans les Alpes à 1800 mètres d’altitude, la neige y est garantie toute la saison et l’accès aux deux versants permet de skier toute la journée au soleil.

Les Ménuires se trouve sur le Domaine des 3 vallées, considéré comme l’un des plus grands domaines skiables au monde. Les 3 Vallées c’est 600km de pistes. C’est aussi 7 stations réparties entre les vallées de Courchevel, des Allues, des Belleville sans oublier Orelle, en Maurienne. Vous pourrez donc skier avec le forfait 3 vallées sur ces 600km de pistes de quoi vous occuper toute une semaine sans jamais skier deux fois sur la même piste. Attention cependant aux horaires de fermeture des remontées mécaniques, sinon vous aurez toujours la possibilité d’utiliser les navettes à disposition gratuitement pour revenir chez vous.

Photo : Gilles Lansard

Les Ménuires est une station très vivante qui, en plus du ski et du snow, propose de nombreuses activités. Nous avons découvert le lancé de hache, insolite et amusant. Vous pourrez vous défier avec vos amis ou en famille, afin de voir qui a le plus d’adresse. En respectant les règles simples du lieu, il n’y a aucun danger, que du fun. Il y a au même endroit de quoi découvrir et jouer au même jeu en réalité virtuelle.

Pourquoi ne pas essayer la luge sur la piste du Roc‘n Bob, 4km de descente et un temps à battre de 7 min ! On vous assure que si vous jouez le jeu et que vous vous lancez sur la piste à fond, le casque ne sera pas de trop. C’est assez intense. Rires et sensations fortes garanties !

Pour les lèvent tôt et ceux qui veulent être les premiers sur les pistes, Les Ménuires proposent le First Track. Partez pour l’ouverture des remontés mécaniques au départ de la Masse, avec les équipes du domaines (maximum 40 personnes par session). Un moment convivial qui permet de voir le lever du soleil sur les cimes enneigées. On vous recommande chaudement de le faire. En plus, vous finirez votre périple au 2800, un restaurant d’altitude avec un buffet petit déjeuner et un chocolat chaud mémorable.

L’ours Blanc un Hôtel / Spa 4 étoiles :

Pour les fins de journée ou les après midi sans ski, vous devriez essayer le spa de L’Ours Blanc, cet hôtel / spa 4 étoiles a été entièrement repensé et rénové en 2021, dans le respect de son esprit d’origine. Vous vous y sentirez comme chez vous. Les chambres spacieuses ont des vues magnifiques sur la montagne, et le spa Nuxe, à une dimension très humaine et un bassin intérieur / extérieur de toute beauté. Mais surtout les protocoles de soins à base de produits Nuxe sont exécutés par des expertes. Nous avons été pris en charge par Pauline, que nous vous recommandons chaleureusement.

Si vous souhaitez explorer la montagne différemment, vous pouvez partir en randonnée à raquette ou en randonnée à ski. Et si vous êtes désireux de vous lancer dans le hors pistes, n’oubliez pas de vous faire accompagner par quelqu’un qui connaît bien la montagne et qui est équipé du triptyque indissociable en terme d’équipement de sécurité avalanche : DVA (détecteur de victimes d’avalanche), pelle, sonde ! A ce triptyque, s’ajoute un nouvel équipement qui tend à devenir lui aussi indispensable : le sac airbag !

Freeride avec Fabien Maierhofer :

La team Blake a eu l’honneur d’avoir pour sa sortie freeride un « guide » hors pair : Fabien Maierhofer, Professionnel du freestyle et du freeride depuis l’âge de 17 ans. Il est également le créateur de la chaîne youtube Bon appétit ski : https://www.youtube.com/user/Bonappetitski où vous trouverez de superbes vidéos de skis et vous pourrez voir le niveau incroyable de Monsieur Maierhofer. Nous sommes parties du haut de la Gratte pour nous lancer. L’occasion de découvrir une zone où la neige est quasi vierge et le paysage à couper le souffle.

Dénériaz Skis :

 La team Blake a également eu la chance de rencontrer Antoine Dénériaz, champion Olympique, médaillé d’or sur l’épreuve de descente et également Triple Champion du Monde. Aujourd’hui Antoine a créé sa propre marque de ski et il nous a permis de tester deux paires de sa gamme. La particularité des skis Dénériaz c’est le soin apporté à leurs confections. Comme nous l’a dit Antoine, les matériaux utilisés pour confectionner ses skis sont choisis à la manière d’un chef étoilé qui sélectionne un à un les produits qui feront son plat signature. Un travail d’artisan, avec des produits nobles comme du bois d’exception ou encore du carbone. Les skis sont faits à la main en série limitée en Savoie dans l’atelier de Antoine Dénériaz à environ 250 éditions par an. La marque Dénériaz se positionne indubitablement sur le haut de gamme.

Nous avons testé les Cruising D, Les essences de bois choisies donnent un ski léger grâce au balsa, tout en restant stable et confortable par l’utilisation du noyer. Les différentes fibres dont celles de carbone apportent de la précision et de la réactivité en courbe. Un ski plaisir pour les pistes, facile à skier. Ce ski est précis et affuté et donne de bonnes sensations sur piste. Il permet aussi de tracer de beaux virages si l’on veut un peu plus attaquer sur les carres et prendre de la vitesse. Des skis qui vous offriront une belle marge de progression sur piste. Leur finition carbone et la qualité du vernis leur offrent une très belle allure.

Il nous a été permis de découvrir également les Dual D. Ces skis sont fait de deux essences différentes de bois pour apporter selon l’environnement des réactivités différentes. La partie en noyer apporte beaucoup de stabilité et de confort sur piste et le frêne donne du snaps en poudreuse. Le carbone apporte quant à lui de la cohésion à l’ensemble ainsi que de la réactivité. Il est de ce fait plus polyvalent que le Cruising D grâce à ses spatules bien plus larges, et donc parfait pour la poudreuse.

Les skis Dénériaz sont en plus de beaux objets, de qualité, fait main, et on aime les posséder autant que les skier.

Colmar sport :

Pour skier ou faire du snow dans de bonnes conditions il faut de bonnes tenues. Colmarmarque fondée en 1923 à Monza en Italie, incarne le luxe et la mode, tout en intégrant des matières haut de gamme et des finitions de grande qualité. Cela se ressent tout de suite quand on met le manteau ou enfile le pantalon. Les coupes sont bonnes, on se sent à l’aise et la sensation de chaleur est immédiate tout en laissant le corps respirer. C’est confortable et pratique pour le sport. La veste de ski Chamonix JKT sunflower, avec son style rétro n‘en est pas moins ultra moderne et fonctionnelle. Son revêtement extérieur en polyamide est bien résistant et sa technologie isolante Piuma Down Daunen en duvet naturel est ultra efficace et vous tient bien au chaud, de plus la veste est un véritable coupe vent. Les nombreuses poches zippées avec curseur camlock sont bien imperméables. Un gros coup de cœur.

Pour aller avec, nous avons choisi le pantalon salopette Fit Ski noir, dans l’esprit retro lui aussi. Il allie trois qualités nécessaires pour la pratique du ski: il est imperméable, coupe-vent et respirant. Son stretch lui donne beaucoup de confort à ski.

La Colmar Texas est tout aussi performante est donne un effet veste de jean très streetwear. Mais surtout cette veste est faite en polyester recyclé, elle associe une membrane imperméable et respirante pour résister aux intempéries hivernales. Pour cette veste, nous avons choisi le pantalon assorti, le Texas Denim. Vous aurez l’impression de skier ou surfer en jean, avec le confort en plus.

Les deux vestes Colmar ont une petite poche quasi invisible sur le bras gauche pour y glisser le forfait et passer rapidement aux portiques des remontées. Un petit plus efficace et bienvenu.

Foodspring :

Durant ce séjour sportif et intense, nous avons pu tester les produits Foodspring. En commençant nos matinées par une dose de Energy Aminos, qui donne un bon coup de boost pour attaquer les pistes. Selon les envies et les besoins pour nos encas, nous avions des protein balls chocolatées, des barres protéinées. Pour ma part, la protéine barre cookie dough remporte la palme des saveurs foodspring. Ou tout simplement une poignée de nuts & berries qui est un mélange de baies goji, myrtille, raisins secs et noix. Un assortiment vraiment bon et plein d’énergie. Mais le must après être rentré de nos longues journées, c’était de prendre le Recovery Aminos, et toute la team Blake est unanime sur le sujet : on a senti la différence. Avec le Recovery les jambes sont moins lourdes, les muscles tirent moins, et on est en pleine forme le lendemain.

Montre connectée Garmin, Instinct Solar :

 Au déballage, on retrouve une montre tout en plastique.  Pas forcément agréable de prime abord, mais elle est bien finie et ce choix de matériaux la rend légère. Elle se fait vite oublier une fois au poignet, point très important pour une montre de sport.
Les multiples fonctions demandent un certain temps d’ adaptation pour gérer les boutons et les différents menus. Mais l’encart en haut à droite de l’écran est bien pensé et permet d’identifier les actions possibles et les menus en cours.
En parlant d’écran, c’ est un simple monochrome, mais très lisible même en plein soleil. Ce choix joue également sur la durée de vie de la batterie qui est assez impressionnante.

Pour les usages testés, principalement le snowboard et une petite marche, ce fut un vrai plaisir. Les éléments affichés pendant « l’action » sont paramétrables et différents types de présentations sont possibles. Lire les informations, comme la vitesse instantanée, ne pose aucun souci même en plein ride. Augmentant encore l’attrait pour ce petit tableau de bord au poignet. Le nombre de descentes est lui détecté automatiquement après chaque remontée et marche parfaitement.
Revoir ses trajets en fin de journée, vitesse, altitude, calories perdues, sur l’ application dédiée et bien conçue elle aussi, est très agréable en avalant un shaker de récup. Autre capacité de cette Instinct solar, c’est de pouvoir effectuer une recharge solaire via son cadran.
Bref, une montre très fonctionnelle à l’usage. Pour son domaine d’utilisation, il n’y a rien a redire et elle deviendra rapidement votre compagnon de monitoring. On regrettera juste la présence d’un chargeur au format unique Garmin, que l’on fera bien attention à ne pas oublier pour son séjour…

 Les masques et casques Bollé

Le plastique des masques est épais tout en restant souple, et très bien fini. Le bandeau élastique est très dense et rassure sur sa longévité. Même les ajouts caoutchouc de la marque Bollé sur le côté respire la qualité.
Côté optique, nous avons pu en tester plusieurs.  Quoi qu’ il en soit, le système magnétique de changement d’écran est très pratique et rapide. Les écrans sont solides et en plus protégés par une housse, fournie, presque rigide. Aucune appréhension de transporter son écran de rechange dans le sac à dos toute la journée.
Côté positionnement, pas de soucis, le nez est par ailleurs bien dégagé, ce qui permet de les porter avec des casques autres que ceux de la marque sans obtenir l’ effet « pince nez », et cela malgré l’ imposante hauteur du masque.
A l’usage, toutes les optiques étaient très convaincantes, rien à dire. Le champ de vision est très large et ne déforme pas la perception.
Le seul point négatif que nous avons remarqué mais qui se fait oublier, est un petit reflet de la monture du nez sur le bas de l’écran quand le soleil vient de côté. Sur le télésiège, on le perçoit, en descendant, il n’est clairement pas assez fort pour nous gêner.
Pour résumer, nous avons tous adopté ces masques.

Les casques Bollé sont quant à eux très confortables.  Ils sont très légers une fois en position et le serrage occipital le plaque parfaitement sur la tête. Le design est plus orienté skieur que snowboarder, et dans un sens, il ressemble assez à un casque de vélo. En snowboard,  avec le vent venant de côté, les oreilles manquent un peu de protection contre le froid, rappelant peut-être encore sa conception plus ski. Par contre, les oreillettes peu épaisses laisse bien passer le son des voix et permettront de mettre des écouteurs dans orienté problème pour ceux qui ride en musique. La ventilation marche très bien. On note également un bon dégagement du front permettant de placer différents masques dans soucis. Un casque très agréable, léger, convenant sans doute plus à des skieurs, quelques soit la tailles de leur masque.

Masque de ski KL X Dragon :

Les Ménuires, c’est du ski intensif mais c’est aussi de la mode. Nous avons donc testé la collaboration sur le masque de ski entre la maison Karl Lagerfeld et Dragon, il en résulte un masque sobre et élégant mais surtout bien fait. Mousse confortable et solide. Champ de vision extra large. Pas de buée grâce au système d’aération sur le haut et le bas du masque même avec un cache-cou remonté jusque sous le masque. Et l’écran de base fait pour le solaire joue parfaitement son rôle en plus de disposer d’un système très fiable pour le bloquer et changer de type d’écran puisque le masque est fourni avec un écran supplémentaire pour le temps plus nuageux.

 

 

Test snowboard : Capita Kazu Kokubo Pro 157cm

Le snowboarder Japonais de légende Kazuhiro Kokubo signe son « pro-model » chez Capita aux graphismes exceptionnels : une fine couche de bois plus légère qu’un revêtement classique et qui rend chaque Kazu unique, ainsi qu’un chef d’œuvre de son tatoueur Japonais pour la semelle.

Son profil « Alpine V2 » présente un cambre classique avec un cambre inversé à l’avant pour un maximum de pop en freestyle ainsi qu’une flottaison idéale et facile en poudreuse.

De plus, par sa forme directionnelle avec une position légèrement reculée ainsi que l’avant bien plus prononcé et plus soft que l’arrière, c’est une valeur sûre pour les sessions backcountry à travers une neige poudreuse et profonde.

 

Notre test :

Classée dans la catégorie Alpine par Capita et non « resort » (« station »), alias « all-mountain », la Kazu est avant tout une planche ferme, réactive et légère prévue pour les fortes descentes en haute-montagne et pour envoyer d’énormes sauts en poudreuse. Son arrière plus dur permet de parfaitement réceptionner de grands sauts mais aussi de mieux flotter en poudreuse car moins prononcé que l’avant.

Son cambre classique en fait une planche très maniable qui relance fort en sortie de carve ; excellente carveuse (petite carve, moyenne et longue sans broncher) qui ne demande qu’à charger à fond à travers n’importe quel type de terrain. Ce qui la rend bien plus versatile que son programme initial, notamment avec son cambre inversé à l’avant qui permet une plus grande facilité d’entrée en virage, cependant elle reste exigeante et conviendra plus aux riders intermédiaires/experts qu’aux débutants.

Une planche qui respire la puissance et le pop, créée dans le plus grand respect de l’environnement à Capita The Mothership®, réservée aux riders au gros cœur qui veulent envoyer du lourd à travers toute la montagne.

Pour ceux qui ne sont pas équipés en ski nous vous recommandons chaudement l’équipe du Sport 2000 Snow sport, équipe familiale et accueil vraiment sympa.

Le restaurant L’Alpin :

 L’Alpin est un restaurant steack house mais surtout il propose à ses clients de vivre un repas sous tente alpine avec tout le confort : peaux de bêtes, poêles, guirlandes lumineuses, et au menu : raclette ou carré de porc. On est reçu en groupe spécialement par une personnes assignée aux services des tentes. Un petit apéritif autour d’un brasero vous est proposé avec les célèbres saucisses Savoyardes, les diots, se mettre en appétit.

Puis on entre sous la tente, où la douce chaleur nous pousse à faire tomber les doudounes. La petite enceinte connectée qui nous est prêtée permet de mettre l’ambiance musicale de notre choix. Quand les plats sont servis, on ne peut que constater que la qualité des produits est là : le fromage de la raclette a un goût prononcé et léger à la fois, et le porc est fondant et savoureux. Les desserts en farandoles achèvent un repas des plus agréables. Si vous voulez passer une belle soirée qui sort de l’ordinaire, les tentes alpines sont le bon plan. Gros plus du lieu la super équipe qui est au petit soin.

Cosmeto pour la montagne :

Les Ménuires, c’est du soleil et du froid. Pour affronter la rudesse du climat, nous avons testé les produits La Biosthétique et plus particulièrement,  la gamme régénérante qui hydrate la peau. Le soin Cold Cream pour se protéger des attaques mordantes du froid est très efficace et pour le retour du ski après une journée au soleil, dont les rayonnements sont amplifiés par la réverbération de la neige, la crème après soleil apaise véritablement la peau.

Avant de vous coucher, et pour se délasser pleinement tout en prenant soin de soi, la gamme spa de La Biosthetique avec le Sea Salt Scrub, puis le Rich Firming Body Cream est une combinaison parfaite pour se tonifier la peau et s’exfolier tout en ressortant de ce soin avec le sentiment d’une peau plus ferme et toute lisse. Nous avons apprécié particulièrement les senteurs de beurre de karité et florales de la Rich Firming Body Cream qui donnent un sentiment très cocooning et réconfortant.

Nous avons emmené aussi le UFO mini 2 mint de chez Foreo, un appareil aux multiples talents pour vous permettre d’avoir un soin du visage quasi complet aux options variées. Ce petit galet connecté permet de faire des soins presque comme dans un institut : il chauffe, vibre (vibrations soniques) et utilise la luminothérapie. Toutes ces fonctionnalités permettent de mieux faire pénétrer les actifs dans la peau, et / ou de booster la circulation sanguine. Pour être très honnête, cela fonctionne vraiment bien. On sent que les produits pénètrent bien la peau, en tout cas mieux qu’avec nos doigts et surtout après le soin, la peau est visiblement plus hydratée et lumineuse. Nous avons été conquis.

 

 

Lifestyle hors piste :

La team Blake a porté hors des pistes les vêtements de la marque Superdry dont la tenue des matières est véritablement remarquable et offre un confort et une chaleur appréciable pour l’après ski. La marque Stetson fait des bonnets classiques, mais chaud, et des casquettes très styléesLes doudounes Ellesse sont des classiques indémodables, et nous avons particulièrement aimé la White Camo. Les pulls Woolrich ont une très bonne facture et une bonne tenue. Eastpack et leurs pochettes éditions spéciales Avengers furent bien pratiques pour caser nos affaires.

Enfin, un gros coup de cœur pour les solaires Bollé, Calvin Klein, Victoria Beckham, Arnette et Ralph Lauren que vous retrouvez sur les photos de notre reportage.

 

Nous avons également testé la gamme technique de la marque  Atlas for men . Des vêtements abordables, chauds et efficaces. Pour les doudounes montagne de cette marque, réservez les plutôt pour l’après ski, elles ne permettent pas de résister au grand froid ou froid prolongé.

Apnée sous glace :

Les Ménuires offre activité hors ski exceptionnelle et rare : de l’apnée sous glace. C’est Dan Arbogast qui encadre l’activité. Dan est instructeur d’apnée professionnels, mais aussi Vice Président France, juge, et instructeur de Aida France, la Fédération internationale d’apnée. Bref nous sommes entre de bonnes mains.

Après 45 min de marche d’approche à travers la montagne depuis les Ménuires en direction du Lac du Lou, on arrive dans un petit refuge qui date de 1845. En contrebas quelques trous on été fait dans l’épaisse croûte de glace qui s’est formée sur le Lac du Lou. Le temps d’écouter les instructions de Dan et d’enfiler une combinaison d’apnée néoprène de 14mm, qui vous donne l’impression de devenir un morse, et l’on descend vers le lieu de l’activité. Dan est extrêmement pédagogue, calme et bienveillant.

 

Pendant 45 minutes, une heure, Dan accompagne cette découverte de l’apnée sous glace pas à pas. J’ai cru le temps d’un instant revivre la scène du grand bleu, j’entendais presque la musique d’Eric Serra. Le corps s’habitue lentement à l’eau que l’on perçoit à peine froide, l’esprit doit s’habituer à plonger sous l’eau en altitude, car le cerveau nous dicte de remonter plus vite à la surface alors que l’on vient d’inspirer à plein poumon. Et après quelques descentes verticales le long d’une corde pour augmenter sa capacité d’apnée, Dan nous invite à faire une première longueur sous glace (l’instructeur nous suit discrètement, il est toujours là pour assurer notre sécurité) nous passons d’un trou à un autre. Première longueur, 8 mètres, 20-30 secondes d’apnée en tout, au plus court, sauf si vous voulez profiter du spectacle et prenez votre temps.

Exceptionnel, hors du temps, atypique…

Après libre à vous (et en convenant cela avec Dan) de tenter le trou à 12 mètres ou à 18 mètres.

Une activité que Dan est le seul à proposer en Europe, il a même accompagné des gens qui ne savaient pas nager ou encore des handicapés. Un homme qu’il faut rencontrer.

 

Article écrit par : Alexis Dumétier, Adrien Barthou et Maxence Manasterski

Vidéo réalisée par : Alexis Dumétier

Assistante vidéo : Lucie Fricheteau

 

Photos : Alexis Dumétier, Adrien Barthou, Laureleen Jacquet

 

Lien et infos :

https://www.50shadesofblue.fr

https://lesmenuires.com/fr/

https://www.les3vallees.com/fr

https://www.hotel-ours-blanc.com/spa

 

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Sneakers d’Hiver – la bonne paire

Que ce soit pour faire du sport, ou pour se promener ou pour sortir, les sneakers sont devenues la base de notre silhouette. Chic ou casual, on les portent aussi bien en ville qu’à la campagne, au bureau ou à la salle de sport, et elles sont parfois idéales pour « casser » un look trop formel en soirée.

Découvrez maintenant notre sélection de sneakers pour cette saison hivernal.

Nous débutons par le coup de cœur de la rédaction avec les sneakers MacFly de l’Atelier du Tranchet. A découvrir d’urgence pour choisir son modèle ou commander une création originale.

Le nouveau modèle de sneakers de chez Ron Dorff pour l’Hiver 2021. Un style épuré où l’on retrouve les 2 œillets signature de la marque.

 

 

VEJA présente cette paire de sneakers dont le cuir provient de fermes du Rio Grande do Sul. Il est tanné au Brésil dans le respect des normes REACH et l’utilisation d’eau est raisonnée au cours du processus de tannage.

Chez Superdry, une sneakers montante dans un cuir bleu Klein, idéal pour réchauffer l’Hiver.

Piola a choisi pour ses sneakers, une des couleurs tendance de la saison : le bordeaux

Caruus lance Gisèle, la première sneakers made in France et upcyclée à partir de jeans, de bleus de travail et de draps, avec une semelle réalisée à partir de plastique et de caoutchouc recyclés.

Geox propose une sneaker en cuir, sobre et épurée, et surtout respirante, grâce au savoir-faire de la marque.

 

Christian Pellet, maison crée en 1860, a imaginé une sneakers montante bi matière en cuir lisse et nubuck.

Gola mise sur une sneakers basse, classique qui se marie aussi bien avec une tenue décontractée que pour aller à la salle de sport.

Chez Jacques Solovière, une belle paire de sneakers en cuir, simple et chic.

 

Puma présente sa collaboration avec LaMelo Ball qui ajoute une nouvelle corde à son arc avec sa première chaussure signature, la MB.01.

Chez Reebok, une sneakers montante, classique et sportive

Scotch & Soda présente pour une sneakers avec un motif cranté sur le coup de pied

Sandro présente un modèle de sneaker basse en cuir noir à semelle épaisse en néoprène 

Ferragamo présente ce modèle chausson néo futuriste et ultra léger, aussi bien pour le sport que pour sortir.

Chez Zegna, l’emblématique sneaker Triple Stitch fait un pas en avant avec une nouvelle gamme de couleurs et de matériaux contemporains, incluant désormais une version #UseTheExistingTM. Cette sneaker #UseTheExistingTM est la nouvelle étape de l’engagement de Zegna en faveur de la durabilité et d’une évolution constante, avec une tige en laine douce fabriquée à partir de fibres, de fils et de tissus 14MILMIL14 récupérés à toutes les étapes du processus de fabrication. La doublure et la semelle sont fabriquées à partir de coton et de caoutchouc partiellement recyclés, se rapprochant ainsi de l’objectif de Zegna de réaliser le rêve du zéro déchet.

 

Avec le modèle Fast Track, la Maison Berluti s’approprie la tendance de la basket running et ouvre une ère nouvelle. Cette basket singulièrement moderne enfreint les règles en alliant une empeigne en cuir d’alligator à une semelle en néoprène extrêmement souple.

 

 

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Highlander des podiums

Le motif Tartan est un motif millénaire constitué de lignes horizontales et verticales entrecroisées, de différentes couleurs à la symbolique très codifiée. Popularisé (et enfermé dans un carcan par Burberry qui heureusement a eu la bonne idée de le réinterpréter), il revient sur les podiums, déconstruit, asymétrique, modernisé et associé aux tweed, au cuir et au mélange des matières pour notre plus grand plaisir.

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Tendance camouflage

Le camouflage est de retour! Déjà vu sur les podiums la saison dernière, la tendance se confirme pour l’été et sera bien présente l’hiver prochain.

Décliné en classique tee-shirt ou pantalon façon treillis militaire mais aussi en sac, besace, veste, doudoune, basket, casquette et même noeud papillon!

On évite bien sur le total look mais on saupoudre quelques touches camouflage pour rehausser une tenue classique ou trop basique.

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