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La mixologie réinventée par Clement Emery au bar Botaniste du Shangri-La Paris

C’est Clément Emery, mixologue autodidacte passé par Londre et surtout avec la tête pleine de saveurs et d’idées, qui est en charge du Bar du Shangri-La.

Ce bar est le bien nommé: Botaniste, puisque la nouvelle carte des cocktails est inspirée de l’herbier d’un ancien hôte du Palace, Roland Bonaparte, l’un des plus grands botanistes de son temps. Vous pourrez y découvrir 20 cocktails très différents, 20 saveurs qui vous feront voyager les sens.

Des cocktails surprenants, floraux, aux saveurs végétales, animales parfois.

Comme le divin Néktar, qui décline le miel sous toutes ses formes (miel liquide, propolis, pollen, cire) jusque dans la verrine qui nous est servie (une pièce unique, reprise de modèle antique et repensée par Clément avec l’aide d’artisans).

Pour Clément Emery l’odorat est un sens trop peu travaillé en mixologie et il a décidé d’y remédier, en utilisant notamment toute une gamme de parfums et d’huiles essentielles.

 

Car comme dans un restaurant gastronomique, ce mixologue de haut vol prête une attention redoutable pour ce qui est de bouleverser nos 5 sens: les verrines ou contenants (vous pourrez déguster un cocktail dans un coquillage de nacre, une experience délicate et qui laisse place aux notes du cocktail), les couleurs, les parfums, les textures, les alcools (retravaillés sur place en infusion notamment).

L’ambiance du bar qui oscille entre club anglais, cabinet de curiosité et speakeasy nous invite à s’installer au comptoir (où l’on peut choisir son cocktail en humant des bocaux d’apothicaire plein de parfums d’ailleurs et de notes inconnues) ou dans les confortables sièges de la salle pour se laisser surprendre par la magie qui s’y opère.

Ce sont donc 20 nouveaux cocktails, 20 expériences uniques que nous propose Clément Emery.

Si vous êtes plus attirés par les cocktails classiques comme un Spritz, Clément Emery saura là aussi vous surprendre; il a travaillé avec son équipe à revisiter les cocktails les plus en vus du moment…mais je ne dévoilerai pas tout et vous laisse découvrir cela par vous même.

Ce qui est certain c’est que cet autodidacte de la mixologie qui a notamment fait hypocagne et Cagne, met bien plus que des spiritueux dans ses créations, il y met ce plus qui fait la différence entre un bon mélange, équilibré, savoureux et une inspiration organoleptique sous forme de gastronomie liquide.

 

Article écrit par Alexis Dumétier

 

Le Bar Botaniste du Shangri-La

10 Avenue d’Iéna, 75116 Paris

Ouvert tous les jours de 18h à 2h

 

http://www.shangri-la.com/fr/paris/shangrila/dining/bars-lounges/le-bar/

 

 

L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ. À CONSOMMER AVEC MODÉRATION.

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Diptyque s’installe rue Saint Honoré

Diptyque traverse le pont de la Concorde pour passer du 34 boulevard Saint Germain pour s’arrimer dans le monde chic de la mode, rive droite, au 332 rue Saint Honoré. Elle convoque dans ce projet le rêve et le savoir-faire. Ceux de l’architecte rigoureux et visionnaire, soucieux de transmettre l’univers inspiré et inspirant de diptyque. Ceux de l’artiste qui va mettre en scène l’un de ses paysages olfactifs.

La façade en bois laqué vert, teinte initiale de celle d’une des premières devantures du 34 boulevard Saint Germain, évoque une galerie de tableaux de la rive gauche. L’ovale emblématique de la Maison gravé dans la pierre au dessus de l’entrée, l’enseigne aux lettres de laiton, l’encensoir peint à la feuille d’or sur la porte, tous les signes extérieurs et les codes de la marque sont là. Mais sitôt le pied posé à l’intérieur, on ne sait plus bien si l’on est demain, aujourd’hui ou hier. Une sorte de synesthésie de lieu et de temps…

Inspirée par l’un des dessins de Desmond Knox-Leet, co-fondateur de la Maison, l’artiste Alix Waline a réalisé in situ une œuvre graphique, poétique et pérenne. Avec une frugalité de moyens, deux feutres et beaucoup de persévérance, elle a composé un paysage abstrait, profond, aux formes sensuelles en noirs et blancs nuancés. Les pointillés vont piano, jusqu’au blanc en haut, du plein au vide. Une œuvre qui investit tout le côté droit et le transforme en mur vivant et cérébral où l’œil se perd, au gré des courbes. Les fragrances y trouvent une résonance poétique. Un voyage, un temps offert pour la réminiscence, les souvenirs, réels ou imaginaires. Les sens se connectent dans un parcours inhabituel.

C’est de fait à une expérience disruptive, entre visuel et olfactif, que nous convie la marque avec son rituel de découvertes des eaux de parfums et eaux de toilette. Rappelant la palette du peintre, une boîte composée de plusieurs étages présente, par collections olfactives, l’ensemble des fragrances. Chaque flacon se reflète dans les miroirs pour mieux révéler les voyages écrits au trait noir dans les ovales au verso. Devant chacun des parfums, un petit godet délicatement marbré renferme, non pas une couleur, mais la pure expression de sa fragrance. À peine s’en est-on emparé qu’il s’ouvre comme par magie, et que le parfum, encapsulé dans la matière même de l’objet, s’exhale dans toute sa complexité… Vous pourrez découvrir la bougie Paris, dernière née de la Maison, qui sera disponible jusqu’à la fin du mois en exclusivité à la boutique puis dans les autres boutiques diptyque de paris.

Boutique diptyque Saint Honoré 332, rue Saint-Honoré – Paris 75001

Ouverture : lundi – samedi / 10h30 – 19h30 – Tél : 01 42 33 19  79

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Mavrommatis – Le nouveau restaurant / Cave à Passy

L’HISTOIRE de Mavrommatis:

Depuis 1981, sans renier leurs racines chypriotes, les fils Mavrommatis, trois frères : Andréas, Dionysos et Evagoras se servent des valeurs que des parents proches de la terre leur ont inculquées : l’importance des beaux produits, le goût, la nature et les jardins. Pour créer un restaurant puis un traiteur. Depuis ce jour, ils n’ont de cesse de vanter et faire découvrir à tous l’excellence d’une cuisine grecque familiale. Arrivé de Chypre en 1977 pour étudier, le jeune Andréas Mavrommatis veut avant tout faire valoir les produits de sa Grèce natale, et les cuisiner. C’est lui le chef (il fait ses classes chez Lenôtre), et est depuis toujours au piano des belles adresses.

Dionysos est très au fait des nectars : il choisit les belles étiquettes qui constituent la collection de la cave… car il n’est aucune parcelle de vigne qu’il ne connaisse en Grèce. Evagoras est quant à lui le brillant gestionnaire de la maison, très attentif à son développement.

Aujourd’hui Mavrommatis c’est quatre restaurants à Paris dont un qui a obtenu une étoile au guide Michelin, sept boutiques dans la capitale, une à Marseille et au Cap. Et un service de taiteur très haut de gamme.

LE RESTAURANT

Je découvre le nouveau restaurant de Passy. Au rez-de-chaussé il y a une cave et un comptoir à mézés pour la vente à emporter. Il faut monter un étage pour découvrir la salle confidentielle du restaurant qui compte 40 couverts et qui est lumineuse et accueillante. Le mobilier de bois de hêtre clair, les assises du réputé designer italien Calligaris, des matériaux bruts essentiellement, laissent la part belle sur la cuisine ouverte qui permet aux regards curieux de voir l’évolution du service qui s’avère charmant. La grande baie vitrée baigne le lieu de lumière.

 

 

LA CUISINE

Soleil, terre aride, mer turquoise et poissonneuse, nature brute et franche sont autant de facteurs qui font de la Grèce un paradis sur terre. Et ce paradis offre une jolie palette de produits authentiques. Et comme les olives et l’huile d’olive sont les piliers de la cuisine grecque, tout ce qui se trouve sur les tables Mavrommatis est ensoleillé de ce nectar. Je n’ai pas de grand-mère Grec mais pour autant j’ai pu, ce soir là déguster une cuisine authentique et familiale, savoureuse et généreuse. Nous avons débutés par des mézés: tarama, houmous, tzatziki, divins et du poulpe grillé fondant.

Puis au tour de la Moussaka d’agneau et de veau, recette de famille, absolument succulente , et une brochette de gigot d’agneau mariné à l’ail doux et au paprika accompagnée d’un fondue d’aubergine renversante. Les cuissons sont justes et les saveurs explosent en bouche.

Pour accompagner tout cela, j’ai choisi un vin typique grec, un Retsina, La retsina est produite en ajoutant pendant la fermentation de vin blanc de la résine de pin. Avant la mise en bouteille, la résine est éliminée, elle laisse néanmoins son empreinte aromatique au vin. Il en résulte un goût unique et surprenant. Selon la qualité du vin produit, il peut être très âpre ou présenter un arôme prononcé balsamique, une sensation d’amertume et une certaine fraîcheur qui laisse transparaître les arômes du raisin. Celui qui m’est servit est parfait, équilibré et évidemment très frais, car c’est ainsi que l’on boit le Retsina, qui se marie parfaitement aux différents plats grec.

Il n’était pas possible de finir ce repas sans les emblématiques Mahalépi, une crème de lait à la fleur d’oranger et aux éclats de pistache, ainsi qu’au yaourt grec de brebis au miel, deux notes sucrés, suaves et délicates pour finir merveilleusement ce repas.

Tous ces bijoux gourmands sont évidemment fabriqués maison chaque jour, et d’une fraîcheur exemplaire. Un restaurant rive droite à ne pas louper pour faire voyager ses papilles le temps d’un déjeuner ou d’un dîner.

Le bistrot Mavrommatis _ 70 avenue Paul Doumer 75116 Paris +33(0)1 40 50 70 40

info@mavrommatis.fr

Déjeuner : de 12h à 14h15 (sauf dimanche et lundi) / Dîner : de 19h à 22h30 (sauf dimanche et lundi)

écrit par Alexis Dumétier

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ArchivesBlogHorlogerie

Carl Suchy & Söhne: HAUTE HORLOGERIE VIENNOISE DEPUIS 1822

Fondée en 1822 par l’horloger autrichien Carl Suchy, la prestigieuse marque horlogère impériale compte parmi ses illustres clients l’Empereur François-Joseph, son épouse l’Impératrice Elisabeth et Sigmund Freud. Après avoir été l’unique horloger à la cour des Habsbourg pendant près d’un siècle, la marque disparaît avec la chute de l’Empire austro-hongrois. Carl Suchy & Söhne renaît à Bâle en 2017 avec un modèle phare : la Waltz N°1, une montre inspirée du Modernisme viennois et des travaux de l’architecte minimaliste Adolf Loos, qui a marqué l’âge d’or de l’Art autrichien. Mécanique et automatique, elle est équipée d’un calibre de la manufacture Vaucher Fleurier retravaillé par l’horloger suisse Marc Jenni, ancien membre de l’Académie Horlogère des Créateurs Indépendants (AHCI). Carl Suchy & Söhn présente cette année à Bâle une version squelettée de son best-seller.

Dans la Vienne du début du xxe siècle marquée par le style Art Nouveau, l’architecte autrichien Adolf Loos fut l’un des premiers à rejeter l’ornementation et à donner la priorité aux proportions et aux volumes. Il est considéré comme l’un des précurseurs de l’architecture moderne et ses écrits ont été publiés dans la revue L’Esprit Nouveau de Le Corbusier, qui appréciait son esprit « clair et original ». Pour dessiner les lignes sobres et le cadran dépouillé de la Waltz N°1, ainsi que son guillochage rectiligne, le CEO de Carl Suchy & Söhne, Robert Punkenhofer et le designer Miloš Ristin se sont inspirés du style avant-gardiste et minimaliste de Adolf Loos.

La Waltz N°1 de Carl Suchy & Söhne est équipée du mouvement automatique extra-plat conçu et produit par la Manufacture Vaucher Fleurier VMF 5401 (Swiss Made). Il a été modifié par l’horloger zurichois Marc Jenni – chantre de la sobriété esthétique et ancien membre de l’Académie Horlogère des Créateurs Indépendants (AHCI) – pour y ajouter un disque rotatif des secondes à 6 heures dont le guillochage rectiligne s’aligne avec celui du cadran une fois par minute.

 

 

 

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ArchivesBlogLifestyleMagazine

RÉVEILLES TON ÂME DE BOXEUR AVEC LA GAMME COMBAT DE REEBOK

Régulièrement, Reebok propose des événements sportifs. Cette semaine, c’était les 24hHours Boxing Reebok avec durant deux jours des cours de sport donnés non-stop nuit et jour. Pour cette session du 6 et 7 Avril, la boxe était mise à l’honneur avec la gamme « Combat » de Reebok. Pour l’occasion, Reebok a fait découvrir aux femmes et aux hommes des cours d’initiation à la boxe, au kick boxing, au Fitcombat dans la nouvelle salle Reebok à Madeleine à Paris.

 

On a testé pour vous la salle et les nouveaux équipements Reebok : Mylène en leggin et brassière Reebok combat et moi avec un Short long et un sweat Hood sans manche, tous deux armés des nouvelles chaussure de training boxe Reebok : les noble trainer.

A notre arrivée, la fashion victime qui est en Mylène s’est réveillée car toute la gamme combat de Reebok est dispatchée un peu partout dans la boutique, la salle de sport se trouve bien après tout au fond…dur de ne pas céder. Mais notre envie de monter sur le ring pour découvrir le kick boxing était trop forte.

L’arrière de la boutique s’ouvre sur un véritable complexe sportif (1700m2) muni de plusieurs salles de sport : boxe avec 2 vrais rings, cross fit avec tout ce qu’il faut pour des WOD d’enfer et des salles de cours collectifs spacieuses le tout dans une ambiance de néon et de béton brut. Au sous-sol de grands vestiaires séparés homme et femme. Nous passons par l’acceuil où Reebok à mis un rituel en place : des hoteesses et hôtes vous reçoivent avec un grand sourire énergique, ils vous tendent un jeu de serviettes puis direction les vestiaires au sous-sol.

Une fois prêts et vétus de nos tenues Reebok combat, nous entrons dans la salle de boxe, celle équipée de deux vrais rings et de dizaines de sacs de frappe. Notre professeur, Yannick de Buffrenil (nous le recommandons chaudement, vous pouvez d’ailleurs le retrouver à Magic Form Paris 12 et 13),

nous annonce qu’on va travailler dur et transpirer pendant une bonne heure. Il nous apprend différentes méthodes de déplacement, de frappes et d’échauffement. Ensuite la pratique commence. Nous enchainons plusieurs petits matchs de 3/5minutes avec à chaque fois une méthode de frappe différente. Les premiers exercices exigeaient que l’on frappe exclusivement les gants de notre adversaire pour nous familiariser avec les frappes et avoir moins peur de nous prendre des coups. Mylène fut agréablement surprise : cela ne fait pas mal du tout. Les gants amortissent très bien les chocs et comme on n’a pas peur de se faire frapper, on profite pleinement du cours. Le groupe était mixte et les femmes qui étaient là se débrouillaient aussi bien que les hommes. Qui a dit que la boxe était un sport réservé aux armoires à glace bodybuildées ?

Les tenues Reebok combat homme ou femme sont particulièrement légères et adaptées aux sports comme la boxe. L’amplitude du short pour les hommes permet des déplacements vif et précis, et la légereté du tissu nous le fait oublier. Pour les femmes les leggings et brassière arborent des motifs camouflages blancs très sympas , le textile est particulièrement doux et suffisament stretch pour laisser une liberté aux mouvements. La brassière apporte un bon maintient sans être oppressante. Les chaussures « combat Noble trainer », sont légères, souples et permettent de solides appuies, elles sont également très aérées ce qui évite toutes sensations d’échauffements au niveau du pied ou de la voute plantaire. Parfaites pour la pratique de la boxe.

 

 

Dans ce Shop Reebok les salles dédiées au sport sont spacieuses et bien organisées ; les équipements sont vraiment à la hauteur pour une bonne pratique des ports de combats et du Cross Fit. L’acceuil chaleureux et bienveillant est très agréable et vous mets dans un etat d’esprit positif pour attaquer votre seance de sport. Le coaching est à la hauteur de la marque Reebok, professionnel et dynamique. Si vous n’avez pas encore de salle de sport celle-ci pourrrait bien être le lieu à adopter définitivement.

 

 

Les tarifs :

150€ par mois accès illimité à un type de cours de sport

165€ par mois accè illimités à tous les cours de sport

35€ la séance unitaire

70€ le coaching particulier

 

La salle de sport with Reebok :

12 Boulevard de la Madeleine, 75009 Paris

Tél : 01 42 65 00 78

Ouverte de 7h à 22h tous les jours sauf samedi 9h-20h et dimanche : 9h- 13h

 

Internet : lasalledesport.paris

 

Article écrit par Mylène Bude (@ohlovelyfrenchie) et Alexis Dumétier

 

 

 

 

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ArchivesBlogNews de Mode

KAPORAL JEANS AU MASCULIN

Kaporal Jeans revendique ses racines du sud et un lifestyle méditerranéen. Pour porter toute l’intensité de ses origines et incarner la marque dans son authenticité : un esprit masculin, fort et assumé. Dans sa nouvelle campagne « Take me as I am » Kaporal Jeans présente sa vision jeanswear 2.0 résolument forte et assumée. Pour incarner cette campagne, le top Francisco Henriques ,23 ans, d’origine portugaise, basé à New York. Repéré à 17 ans sur un terrain de foot à Lisbonne, il attend de finir ses études pour se lancer dans le mannequinat.
Ses Faits d’arme ne se font pas attendre. Il a signé en 2017 un contrat d’exclusivité pour représenter le parfum Pure XS de Paco Rabanne dans le monde. Il est l’égérie des campagnes GAP US, H&M (2017, 2018) et arpente les fashion weeks de New York, Paris où il défile en exclu pour Balmain, Hermès …
Elu mannequin de l’année 2017 par GQ Portugal, son image est forte dans le monde entier notamment en France, en Espagne, aux US. Il est l’incarnation parfaite de sa génération. Sexy et charismatique, il représente le nouveau Brando, même avec ses défauts. Sa fureur de vivre n’est pas rebelle, elle est engagée et constructive.

Kaporal Jeans a fait appel à la talentueuse photographe Charlotte Lapalus (@charlotte_lapalus), qui a apporté la lumière, la dimension solaire, intense et iodée à l’image.


La campagne est un manifeste sur nos valeurs et sur notre vision de la mode, elle s’adresse à tous les gens qui souhaitent être attractifs et solaires, dans leur personnalité vestimentaire et leur projection de soi. Avec sa nouvelle campagne « Take Me As I Am », Kaporal revendique de vivre sa vie intensément mais avec style !

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ArchivesBlogEdito

A Man for All Seasons by Frank Louis

top by Bonobo and Overcoat by Reiss
suit by Zegna, Top by Ralph Lauren, Top by Calvin Klein, boots by Dolce and Gabbana
Pants and top by Dolce and Gabbana
Jacket, belt and pants by Ermenegildo Zegna, top by Paul Smith
Pants and shirt Mardana, jacket by Joseph Abboud
Jacket Members Only, Shirt Mardana
shorts by Mardana top by Joseph Abboud, glasses by 2seelife
briefs by Calvin Klein, shirt by Joseph Abboud

Cover credits: Suit by Ermenegildo Zegna

PhotographerFacebook: franklouisphoto/Instagram:@franklouisphoto/twitter: franklouisphoto

Model: Seth Martin / Instagram: @sethmartin24

Agent:  Umodels / Instagram: @umodelsnyc Styling by Mike Stallings Instagram @mikestallingsny

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ArchivesBlogLifestyle

LA RESIDENCE, LE RESTAURANT DU « REFUGEE FOOD FESTIVAL »

Nous avons vécus les premières minutes d’existence de La Résidence. Véritable symbole d’espoir inscrit dans la lignée du Refugee Food Festival, ce restaurant accueille et forme des chefs réfugiés.

Du Refugee Food Festival à La Résidence

Marine Mandrila et Louis Martin sont un couple avec un cœur si grand qu’ils ont décidés de semer un peu de leur amour à chacun de leurs pas. Après leur tour du monde, ils reviennent en France avec une idée qui va faire bien des heureux : le Refugee Food Festival. Grâce à eux, des restaurants parisiens ouvrent leurs cuisines à des chefs de métiers ou en formation. Leur point commun ? Ce sont tous des réfugiés. Après de nombreuses collaborations réussies, le projet s’exporte un peu partout en Europe pour le plus grand plaisir des gourmands. Aujourd’hui, Marine et Louis décident de faire un pas supplémentaire : l’ouverture d’un restaurant qui confierait sa cuisine à un chef réfugié pour une période allant de 2 à 6 mois. C’est ainsi que La Résidence est née.

 

 

Quand le monde tourne autour de notre assiette

Parrainée par Stéphane Jégo Chef du restaurant l’Ami Jean et par Mohamad Elkhaldy, La Résidence offrira la direction de ses cuisines à un chef réfugié durant quelques mois. Et c’est Nabil Attar qui ouvre le bal. D’origine syrienne, Nabil arrive en France en 2015, se reconverti dans la cuisine et développe son activité de traiteur. Grâce au Refugee Food Festival, il se professionnalise et ouvrira son propre restaurant, Narenj, à Orléans dans les prochains mois. En attendant l’ouverture éminente de son établissement, vous pourrez déguster ses plats franco-syriens aux saveurs de Damas à La Résidence.

 

Se régaler à La Résidence

Pour la soirée d’ouverture était proposé un menu unique alliant saveurs françaises et syriennes pour un prix de 25€, soupe, entrées, plat, dessert et boisson à volonté, tout compris.

Nous avions sur notre plateau :

– un shorbet : une soupe de lentilles, crème de poivrons et croustillant de citron noir

– un haliun : un hors d’œuvre composé autour de l’asperge

– une salade du moine en guise d’entrée

– un frikeh : un plat généreux avec du bœuf confit brûlé à la flamme, du blé vert et des légumes du jardin

– du riz-au-lait : le dessert phare de Stéphane Jégo, revisité par Nabil Attar

Le tout était accompagné d’un jus d’hibiscus maison servit à volonté.

 

Les portions étaient généreuses, la présentation soignée et cerise sur le gâteau, nous avions dans nos assiettes des produits frais et de qualités. Si vous voulez vous aussi du soleil dans votre assiette, courrez-vous régaler à La Résidence. Vous pourrez y découvrir les saveurs syriennes à travers des plats franco-syrien, que vous soyez très fooding ou amateurs de cuisine du monde vous trouverez votre bonheur à la Résidence.

Où : Au Ground Control, 81 rue du Charolais 75012 Paris

Ouverture : Du Mercredi midi au Dimanche soir

http://www.refugeefoodfestival.com/la-residence

 

Article écrit par Mylène Bude

Instagram: @ohlovelyfrenchie

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ArchivesBlogNews de Mode

Dinh Van: l’esprit libre de la joaillerie

Inspiré d’un modèle historique crée en 1970, la Maison Dinh Van accompagne le quotidien des hommes avec la nouvelle collection Zen.


Ces créations exclusivement masculines se composent d’un duo de bague et bracelet en argent aux finitions brossées et polies ainsi qu’un duo en titane noir.


La collection Zen apporte une offre inédite aux propriétés techniques et aux matières innovantes.
Le design minimaliste et épuré de ces créations assurent un look très masculin pour une joaillerie du quotidien.

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ArchivesBlogLifestyle

Salomon: de la neige et des sensations fortes

Salomon a sorti de nouvelles technologies pour que le plaisir de glisse soit encore plus intense: Des skis, mais aussi des bottes et des lunettes qui vous permetrons d’attaques les pistes comme des pros.

Nous avons testés en avant première les nouveautés que Salomon sortira entre l’automne 2018 et le début 2019.

Salomon lance une nouvelle gamme « Sons of the blast » avec de nouveaux skis, chaussures et technos dédiées.

 

le Blast c’est la sensation que vous procure l’adrenaline quand vous êtes bien sur les carres et que vous prenez d’un coup de la vitesse dans le virage, alors que vous glissez sur la partie la plus fine de vos skis, grisant…Tout cela repose sur une techno ! Le Edge Amplifier qui permet à la plaque de ne plus reposer sur le ski mais sur d’épais chants biseautés à 40° placés sur le dessus du ski au niveau des carres. C’est cette techno qui va vous faciliter la prise de carre, et ainsi avoir rapidement des sensations fortes sans avoir le niveau de Candide Thovex!

 

Selon Salomon on gagnerait 30% d’effort en moins pour arriver à poser le carre parfait. La poudreuse va trembler. On retrouve le Edge Amplifier sur les séries S Max et S Race, avec le S Max Blast à 72 mm au patin pour un rayon de 15 mètres à 899€, contre 999€ avec X12, idem pour les femmes, à 899 euros avec la nouvelle fixation Z11 Walk. Il est décliné sur le même shape en S Max 12, 10, 8 et 6 (sans la techno), respectivement à 799€, 699€, 599€ et 499€ fixé.

 

 

 

Pour chausser ces skis nouvelle génération il fallait bien une chaussure à la hauteur, Salomon a créé la S Max 130. Elles aussi renferment des secrets technologiques pour vous donner des sensations de glisse inégalées : le Core Frame, une structure moulée au niveau de la cheville en carbone ou autres selon la version, qui se veut le moteur de la chaussure et permet d’économiser de la matière. Du coup à la peser cette chaussure ne fait que 1610 grammes, un exploit pour une chaussure typée racing. Ce n’est pas terminé, le chausson est préformé, donc sans couture, ce qui permet d’éviter les frottements (malleoles, bords du pieds,..) et permet de mieux garder la chaleur. La coque est entièrement thermoformable avec la techno Custom Shell qui ne requiert plus que 10 minutes de travail au lieu de 20minutes au paravent.

Dernier point, le collier (en jaune sur la photo) est réalisé en PU (abréviation du polyuréthane, un polymère antidéchirure, pouvant tout de même être très élastique) qui offre plus de rebond « Sense Amplifier ». Pour les puristes vous pouvez toujours bloquer la sangle « strap » pour augmenter encore le flex.

La chaussure S Max 130 se décline en S Max Race 130 à 650 euros, S Max Carbone 130€ à 650€, puis S Max 130€ à 599€, S Max 120€ à 549€, S Max 110€ à 379€ et S Max 100€ à 349€.

A quoi bon avoir des skis qui prennent les carres quasiment tout seul si on est pas équipé pour bien voir le paysage…Salomon sortira dès l’automne prochain un nouveau masque le S/Max Sigma, léger, très très très confortable, qui évite toute buée, et qui offre une vision détaillée. Son design ultra sobre, après l’iphone place au masque de ski “bordure less”, ce qui donne l’impression de n’avoir qu’un écran posé sur les yeux, du coup le champ de vision, est très bon. Les détails du terrain et les contrastes sont très bons. On ne remarque aucune perte de détail sur les bords, aucune distorsion. Les mousses du masque sont douces et mouelleuses, pas de sensations d’avoir le visage “mangé” par le masque. Un très bon masque qui devrait être aux alentours de 180€.

 

 

https://www.salomon.com/fr/

 

Article écrit par Alexis Dumétier

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Pâques : que la chasse aux œufs commence !!!

 

Il ne reste plus que quelques jours pour préparer les festivités gourmandes et chocolatées de Pâques, et pour cela j’ai plein de bonnes idées, lieux, sucreries, restaurants, palaces à vous proposer:

Shangri-la:

Le Chef Pâtissier du Shangri-La Hôtel, Paris, Michaël Bartocetti a crée un œuf de Pâques : «Galaxio », imaginé à l’occasion de l’exposition « Artistes & Robots » qui se tiendra au Musée du Grand Palais du 5 avril au 9 juillet 2018. Inspiré de Jules Verne et du Petit Prince, il a nécessité plus de six mois de travail.

Le vaisseau « Galaxio », en chocolat noir caraïbe 66 % doux et fruité, est parsemé de graines de Kacha, noisettes caramélisées et fleur de sel. Garni de friandises de Pâques, il enthousiasmera les palais les plus raffinés.

Son capitaine « Spacio », au chocolat au lait Jivara 40 %, apportera une touche de douceur sucrée avec son délicieux praliné noisette et Kacha.

Le praliné est particulièrement délicieux, l’ensemble de cet œuf montre la maîtrise de Michaël Bartocetti.

Petit plus : pour l’achat de l’œuf « Galaxio » vous aurez le droit à un laissez-passer pour deux, permettant d’aller découvrir la surprenante et ludique exposition «Artistes & Robots » au Grand Palais.

« L’Œuf Galaxio » – 500 grammes – hauteur 15 cm – en édition limitée du 10 mars au 5 avril 2018

En vente à emporter au Shangri – La Hôtel, Paris au tarif de 78 €

Réservation 24h à l’avance au restaurant La Bauhinia : 01 53 67 19 91

 

 

 

L’hôtel du collectionneur :

Pour célébrer les fêtes de Pâques 2018, Le Chef Exécutif Joël Veyssière et le Chef Pâtissier Sébastien Lhors ont imaginé cette année un œuf de Pâques délicat et original, inspiré de l’univers animal, en plus de l’œuf de Pâques de 20 cm de hauteur.

 

De plus; l’Hôtel du Collectionneur propose une offre spéciale Pâques: Le dimanche 1er avril 2018, pour vivre en famille un brunch de Pâques. Pendant ce temps, les plus grands pourront offrir un magnifique et gourmand œuf chocolaté imaginé par le Chef Joël Veyssière et son équipe de pâtissiers!

 

Tarif : 75€

51 – 57, rue de Courcelles 75008 Paris

Tel : 01 58 36 67 00

 

 

 

 

Le Meurice :

 

 

Le dimanche 1er avril, lors du brunch proposé au restaurant Le Dali, découvrez « l’Œuf Mosaïque à partager », une création originale imaginée par le Chef Pâtissier du Meurice, pour fêter Pâques et l’arrivée des beaux jours. La mosaïque se compose de chocolats aux différentes teintes et saveurs, et de pralinés à l’amande, à la noisette et à la pistache. A l’intérieur de ce drôle d’œuf, vos sens basculeront entre le craquant des coques en chocolat noir du Pérou à 75%, et le fondant des différents pralinés, combinaison gourmande de fruits secs croquants et de caramel onctueux.

À déguster le dimanche 1er avril, lors du brunch (135 € par adulte et 70 € par enfant) proposé au restaurant Le Dali.

 

 

Sinon, vous pouvez toujours aller à la pâtisserie au sein du Palace le Meurice à Paris, rue Castiglione pour découvrir l’offre sucrée du jeune chef pâtissier et l’emporter à domicile.

La Pâtisserie du Meurice par Cédric Grolet, 6 rue de Castiglione 75001 Paris – Ouvert du mardi au dimanche, à partir de 12h jusqu’au dernier gâteau.

 

228 Rue de Rivoli, Paris, Paris, 75001

Tel: 01 86 99 02 13

 

 

Le Prince de Galles:

 

Stéphanie Le Quellec et Nicolas Paciello dévoilent leur œuvre pascale, une bonbonnière gourmande tout en chocolat au lait, habillée de feuilles d’or et d’argent. La coque est parsemée d’éclats de caramel et de fleur de sel apportant du croquant à la douceur du chocolat. Une fois le couvercle soulevé, cette pièce d’art cache en son cœur une sélection de 18 bonbons en chocolat maison créés par Nicolas Paciello. Véritable Madeleine de Proust, la bonbonnière du Prince de Galles est une création synonyme de partage et de plaisir qui saura trouver place sur les tables les plus gourmandes. « La pâtisserie c’est la gourmandise, le partage et l’émotion. La bonbonnière est pour moi le symbole de tout cela. » Nicolas Paciello.

 

Tarif: 125 €
Disponible en édition limitée
A partir du mercredi 28 mars jusqu’au dimanche 8 avril
A emporter au Bar Les Heures

33 Avenue George V, Paris, 75008

Tel : 01 53 23 77 77

 

 

The Peninsula :

 

Dominique Costa, magicien du chocolat réalise un œuf architectural, L’Œuf Trésor tout en légèreté, grâce et harmonie, parfaite illustration pascale des symboles du Peninsula : Dancing Leaves, le lustre en verre soufflé du lobby, flotte au-dessus de pierres du Bhoutan, côtoie un nuage en feuilles d’or, hommage au restaurant panoramique L’Oiseau Blanc, suspendu dans l’espace et dans le temps. Niché dans une sphère ajourée et perché sur un galet de pierres chaudes, tous deux en chocolat noir, ce nuage ne se laisse pas immédiatement croquer, puisqu’il faudra d’abord percer les mystères de ses contours pour accéder à cette envolée lyrique… Œuf Trésor 58 €.

 

Pâques au Peninsula, c’est aussi : Le brunch de Pâques de 11 h 30 à 15 h 30 au restaurant Le Lobby et sur La Terrasse Kléber, le dimanche 01 avril et le lundi 02 avril, 198 euros par personne et 60 euros pour les enfants (moins de 12 ans) et La chasse aux œufs de Pâques le matin à 10h ou l’après-midi à 16h le dimanche 30 mars sur la terrasse de l’hôtel.

 

The Peninsula Paris, 19 avenue de Kléber 75016

Tel: 01 58 12 28 88

http://paris.peninsula.com/fr

 

 

Pierre Marcolini :

 

 

Pierre Marcolini dévoile ses créations pour Pâques, non sans rappeler le thème d’Alice au pays des merveilles, ces œufs illustrés de trous de serrure, d’oreilles de lapin, de chapeaux, nous fait voyager dans un monde onirique, et les saveurs chocolatées, très maîtrisées par Marcolini sont bien présentent.

 

L’Oeuf Mystérieux au chocolat Noir Maison – 500 g – Chocolat noir Maison rempli de 26 petits œufs et animaux caramel – 60,00 €

Le grand chapeau et 16 petits œufs, 530g, 85 €. Mini-chapeau, 65g, 15 €

https://eu.marcolini.com

 

Debauve et Gallais:

Le chocolatier des rois, une maison née en 1779, qui a inventé les bonbons aux chocolats. Dabord crée pour Marie-Antoinette, Sulpice Debauve avait inventé des chocolats pour la soigner. Une maison qui fait dans la classique mais qui riche de son savoir-faire à eu exécution précise et savoureuse. De plus ces oeufs peuvent vous être livré chez vous directement ou au bureau!

Assortiment spécial Pâques chez Debauve & Gallais : chocolat noir, lait praliné et ganaches parfumées.

Prix : 100€/kg

 

Debauve & Gallais
30 Rue des Saints-Pères
75007 Paris

 

https://debauve-et-gallais.fr/

 

Le Nôtre:

 

Trois tortues, créées par Guy Krenzer, pour vivre de folles aventures pascales. Calice, la plus réservée, est la tortue nageuse habillée d’un maillot et de lunettes de piscine. Chléa, celle qui rie, aime jouer et plonger. Et enfin Crush, le surfeur de la bande. Elles se déclinent en chocolat au lait et chocolat noir.

 

Tarif : de 18 € à 70 €

http://www.lenotre.com

 

Les chocolats Chapon :

 

La maison Chapon , chocolatier d’exception, torréfacteur de ses fèves de cacao sélectionnées avec amour chez les producteurs. C’est assez rare pour le préciser. Il en résulte une maîtrise parfaite de la production et des saveurs uniques.

 

 

J’ai une un faible pour les petits œufs « Expression » que je trouve très originaux ! Prix d’une boîte d’œufs « Expression »: 34 € / 160 g

 

Chapon et la chocolaterie

34 rue de Saint Sulpice
75006 Paris

Téléphone : 01.42.39.57.92

Email : paris.sulpice@icloud.com

 

 

Patrick Roger:

 

Chocolatier, MOF, sculpteur, artiste, travailleur acharné, cette année pour Pâques qui est pour lui un moment féerique, Patrick Roger nous propose une sculpture : l’homme qui voyage. Et pour emmener à la maison des créations d’œuf à crète, des poules comme sculptées, des hérissons, des poussins jaunes ou encore des “œufs aux plats” très design et colorés. Les fritures pralinées de Patrick Roger sont extraordinaires, ceci en grande partie due à sa praline maison goûtue, croquante et aérienne car peu axée sur la sucrosité mais sur la saveur de la noisette.

Et pour mieux vous servir pour ces fêtes de Pâques Patrick Roger ouvre une autre boutique sur Paris dans le marais, dont le design a été fait par Patrick Roger lui même.

Tarif : Fritures à partir de 29 €, créations de 40 € à 110 €

Boutique Patrick Roger, 43 rue des Archives 75004 , Ouvert tous les jours de 10h30 – 19h30 www.patrickroger.com

 

 

Petit bonus, pour les fêtes pascales je vous propose deux supers restaurants qui ont préparé des attentions spéciales pour Pâques:

 

Les tables d’Augustin :

 

Le chef Hervé Deniel a concocté un dessert spécial Pâques : Œuf Surprise de Pâques et son caramel chaud.

C’est un petit restaurant rue Guy Moquet dans le XVIIème arrondissement, son premier restaurant après une quinzaine d’années passées à travailler chez de grands chefs. Du palace au bistrot son répertoire est large et son ambition claire : « Faire un restaurant convivial et super bon… à un prix abordable ! ».

Pari réussi, une cuisine fine et élégante, parfaite pour un repas de Pâques en amoureux ou en famille, il a concocté un dessert exclusivement pour la fête Pascale.

Attention il ne sera ouvert que pour le lundi de Pâques.

Pour le menu :

Menu dégustation en 5 plats 45 € / personne

La Carte

 

– Les Tables d’Augustin –

44, rue Guy Moquet – 75017 Paris

Tel: 09 83 43 11 11

Réservations

 

 

 

« Rural » by Marc Veyrat

 

Un menu de Pâques à déguster les 1er et 2 avril, une nouvelle carte aux saveurs printanières : « Rural » by Marc Veyrat fête son 1er printemps au Palais des Congrès !

Le chef amoureux des herbes et aromates nous fait voyager avec les saveurs de saison, avec une maîtrise à la hauteur de sa réputation.

 

Pour le Menu de Pâques au « Rural », ce sera :

Apéritif – Coupe de Crémant de Savoie

Entrée – Œufs bio à l’écume de berce du Chef Marc Veyrat, piqûre d’oxalis

Plat – Blanquette de volaille au carvi, crêpe Montfermeil

Dessert – Notre Forêt Noire de Pâques

 

45 € / personne

Disponible les dimanche 1er et lundi 2 avril au restaurant RURAL by Marc Veyrat, pour les déjeuners et dîners.

Réservation en ligne sur: www.rural-paris.com

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L’Hôtel InterContinental® Los Angeles Downtown.

InterContinental Hotels Group (IHG), l’un des leaders mondiaux de l’hôtellerie de luxe, est fier d’annoncer l’inauguration de l’hôtel InterContinental® Los Angeles Downtown. Avec ses 335 mètres et ses 73 étages, l’hôtel l’InterContinental® Los Angeles Downtown domine désormais le paysage de Los Angeles et s’impose comme le plus haut bâtiment de tout l’ouest des États-Unis jusqu’à Chicago.


Le Wilshire Grand Center, qui abrite l’hôtel InterContinental et dont la construction a coûté pas moins de 1 milliard de dollars, s’élève dans l’hyper-centre historique des arts et des affaires de Los Angeles, à quelques rues du Staples Center et du L.A. Live. S’inscrivant dans le cadre de l’expansion d’IHG vers la côte ouest et de la croissance globale du portefeuille du groupe, l’établissement iconique est désormais le plus imposant InterContinental sur le continent américain. L’hôtel dispose de 899 chambres au design raffiné, réparties entre le 31e et le 70e étage, où se situe le premier hall d’accueil « à ciel ouvert » de Los Angeles, qui offre aux hôtes, dès leur arrivée, une vue imprenable sur la ville.

Les hôtes peuvent choisir entre cinq espaces de restauration et univers culinaires différents, à commencer par le Lobby Vodka Bar & Lounge. Ils pourront y savourer des cocktails classiques revisités ou encore le célèbre Lobby Burger, dans un décor faisant écho au glamour et à la modernité de L.A. Le voyage se poursuit au Sora, situé au 69e étage, qui accueille ses convives dans un cadre à la fois chic et intimiste. Le restaurant propose des omakase confectionnés à la demande et des sushis fraîchement préparés qui défilent sur un tapis roulant, le tout accompagné d’un whisky importé directement du Japon. Au 69e également, le Dekkadance se veut une destination de tous les jours et un véritable tour du monde culinaire. Les clients peuvent faire leur choix parmi une vaste carte de spécialités préparées sous leurs yeux : pizzas napolitaines, viandes et pâtisseries.


Au 71e étage, La Boucherie convie les adeptes de grillades à une table opulente alliant traditions culinaires californiennes et gastronomie française. Pour les occasions spéciales, le restaurant dispose d’alcôves privées. Le cellier propose un choix unique de 1 200 crus, qui se marieront parfaitement avec les mets préparés à partir de viandes en provenance de toutes les régions du monde, notamment du boeuf de pâturage ou du filet de boeuf Wagyu tranché. Des crustacés et poissons de première qualité figurent également à la carte.

Dernière étape de cette épopée culinaire, et non des moindres : le Spire 73, où les convives peuvent se retrouver, au 73e étage, pour siroter des cocktails innovants, entourés de braseros et de fontaines, dans le plus haut bar à ciel ouvert de tout l’hémisphère ouest, et profiter d’une incroyable vue à 360° sur la ville et le toit des immeubles.

 

 

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