close

Lifestyle

GastronomieMagazine

Vins, spiritueux & champagnes pour Noël

Nous sommes tous dans les starting-block pour préparer les menus de Noël, on se demande comment régaler nos convives, surprendre nos parents, ou encore faire palpiter les papilles de l’être aimé. Pour un repas de fête digne de ce nom, il vous faudra trouver les bons flacons pour faire exploser les saveurs des différents plats. Voici une sélection de vins, de champagnes mais aussi de spiritueux. De cette façon, vous aurez de quoi agrémenter vos menus de l’apéritif, en passant par les plats jusqu’au dessert, voire au moment où vous viendrez vous installer confortablement devant un bon feu de cheminée.

Les champagnes :

Clos Rocher 2013, champagne Gremillet : un champagne issu d’un clos, c’est assez rare pour le noter. Ce champagne est la perle de la maison Gremillet, vendangé en 2013. Il en existe 2670 bouteilles. Au nez pomme et poire fraîche, en bouche c’est acidulé sur citron et pomme granny smith. Un final délicatement brioché. Un champagne vif, parfait, pour un apéritif.

Champagne Pannier 2014, blanc de noirs : Cuvée hommage à Louis Eugène le fondateur de la maison Pannier. Un champagne à la bulle fine et assez droit. Au nez zeste de citron et noisette, en bouche une belle minéralité, accompagné de fruits jaunes : coing et mirabelle avec des pointes vanillées. Il accompagne joliment un foie gras.

Domaine Alexandre Bonnet, cuvée La Géande 2017 : Une merveille de champagne, un assemblage de 7 cépages historiques de la champagne ce qui lui apporte une palette aromatique folle. Au nez pêche, poire, prune, figue, acacia, amande puis en bouche une belle minéralité, une fraîcheur sur le fruit jaune jeune. Sa complexité aromatique permet de multiples accords, mais il accompagne aussi parfaitement les huîtres.

Pol Roger, cuvée Winston Churchill 2012 : La cuvée star de Pol Roger, un vin de champagne complexe, un beau millésime que ce 2012. Au nez ce sont des notes de brioche beurrée, d’amende. En bouche c’est complexe et équilibré. Les saveurs de fruits jaunes confits : mirabelle, abricot, coing, rondeur et acidité, avec aussi des notes de pains d’épices. Un champagne superbe sur le repas ou sur la volaille aux morilles.

Nature de Solemme 2013 : Une maison en reconversion biodynamique depuis 2010. Une cuvée 100% chardonnay, issue des 1er crus de la montagne de Reims. Un vin très élégant aux nez sur les agrumes frais, citron, mandarine et de fleurs blanches : jasmin, avec des notes délicatement toastées. En bouche la minéralité est bien présente, le fruit également avec une belle persistance sur la prune et la pêche blanche. Un vin de gastronomi qui accompagnera tout le repas.

Laurent-Perrier Millésimé 2008 : 2008 est une belle année. Au nez ananas, abricots secs, et amande. En bouche un bel équilibre tension et rondeur : yuzu et pignon grillé avec une belle finale crayeuse et saline. Accompagne bien les poissons ou alors un filet de veau délicat.

Vincent Metivier, Noirs vintage, 2011 : Un vigneron qui a repris les vignes de famille pour créer des champagnes qui lui ressemblent : riche, complexe et goûtu avec une expression franche du terroir, grâce notamment à une agriculture raisonnée. Ici avec le Noirs vintage au nez raisins et abricots secs, en bouche c’est ample et fruité avec des notes toastées rondes et un bel équilibre sur une finale saline. Un vin de champagne véritablement, qui saura accompagner tout le repas, superbe sur un risotto à la truffe. www.artisan-epicurien.fr/champagnes

Comtes de champagne de Taittinger 2011 : La cuvée d’exception de la maison Taittinger, qui de millésime en millésime ne démérite pas. Ce champagne est élaboré à partir de raisins provenant exclusivement des cinq Grands Crus de la Côte des Blancs (Avize, Chouilly, Cramant, Mesnil-sur-Oger et Oger). Ce millésime 2011 révèle la finesse, la fraîcheur et la richesse des Grands Crus de la Côtes des Blancs. Au nez c’est floral : thé vert, jasmin, mêlé au notes de mandarine fraîche, de pêche de vigne et de brioche beurré légérement toastée. En bouche c’est opulent, rond, crémeux et finement boisé pour finir sur une belle tension minérale, crayeuse et saline. L’équilibre subtil d’un grand vin de champagne qui persiste en bouche. A mettre sur la table avec un beau poisson.

Champagne Collet, Grand Cru Ay, 2012 : Ce champagne Grand Cru est un Blanc de Noirs millésimé. En nez : Chèvrefeuille, cassis, fraise des bois, ananas, amande douce et en bouche : c’est frais et souple, des arômes fruités, une pointe d’acidité citronnée et orangée, avec des notes minérales. La finale est gourmande. Un compagnon tout trouvé pour un homard.

Lanson 2009 : La maison Lanson fait de beaux vintages et on ne la connaît pas assez pour cela. Ici le 2009 est au nez sur la poire confits, la framboise avec des notes de miel d’acacia et de tilleul, légèrement toasté. En bouche c’est charnu sur la fraise des bois, la framboise, poire et le coing. Belle longueur en fin et élégant. Il accompagne volontiers tout le repas.

Les vins :

Blancs :

  • Domaine de Carbonnieu, 2015 : Un sauternes, liquoreux, bouche aromatique sans trop de sucrosité. Il a vieillit en fût de chêne se qui lui donne un rendu gras et ample appréciable. Très bien sur plats épicés.

  • Château Lamothe, 2016 : Un sauternes également, un nez caractéristique d’acacia et en bouche des arômes de pêche et de poire. Un à l’équilibre parfait. Pour le foie gras pour ce qui aime les moelleux avec.

  • Chardonnay vieilles vignes, Côtes du Jura, Domaine Durand Perron : Au nez c’est toasté, prune et poire mûres, et en bouche c’est boisé, beurré avec des notes de miel d’acacia. Finale mentholée, un vin tendu en finale. Avec des saint- Jacques au beurre.

  • Domaine Michel Thibaut, Vin de paille 2014 : Typique des vins de paille, un nez noix, abricot, ananas confits, raisins secs, et en bouche on retrouve ces saveurs. superbes sur un chapon ou sur un vieux comté.

  • Laporte, La Comtesse, Sancerre 2019 : Floral et minérale, ce Sancerre aux notes épicés est aussi sur les arômes de Lys, de pêche de vigne et d’abricot. Un vin fin et avec une belle longueur en bouche. Se marie parfaitement avec une belle épaule d’agneau confite.

Les rouges :

 

  • Domaine Rolet, arbois rouge, 2018 : Bien expressif sur les baies rouges et en bouche cela évolue sur les épices, le poivre et le cuir. Se marie parfaitement avec une épaule d’agneau confite.

  • Château Saint Maur, L’excellence : Un Côtes-de-Provence, aux notes riches et concentrées sur les fruits noirs mûres, cerise kirch, épices. En bouche on retrouve les fruits noirs et un côté poivré. C’est très ample et long en bouche avec un finale soyeux. Pourquoi le servir sur un gibier ou le dessert au chocolat noir et bien amer.

  • Château Dauzac, Margaux 2017 : Un Margaux dans toute sa splendeur. nez très fruit rouge frais et en bouche le fruit se retrouvent avec des notes épicées, finale soyeux et délicatement tannique. Une belle côte de boeuf grillé ira à merveille avec.

  • Marquis de Terme, Margaux 2018 : Un autre grand Margaux, nez crème de cassis et groseille, menthol et tabac blond. En bouche le fruit noire s’exprime intensément et des tannins soyeux pour un finale délicatement mentholé. Un lièvre à la royale peu l’accompagner joyeusement.

  • Madame Alice, Madiran, Château Arriccau-Bordes, 2018 : Nez frais sur compote de fruits noirs, guignolet kirsch et en bouche c’est tannique, clou de girofle, épices,  sur un boisé fin. Un vin qui mérite encore quelques années pour s’exprimer pleinement. Dans sa contenance magnum il sera un très joli cadeau pour compléter une belle cave.

 

les Spiritueux :

Rhum :

  • Five hundreds cuts : produit par la Maison Écossaise Brewdog. Rhum d’un mélange complexe d’épices : fèves tonka, clou de girofle, lavande, cardamome verte, écorces d’orange, noix de muscade, gingembre et j’en passe. Il en ressort épicé et chaleureux : cannelle et agrumes.

  • Secha Silva : Un rhum du Guatemala, vieillit en fut de chêne et qui a vu s’infusé des fèves de cacao. De ce fait au nez le cacao explose puis ne bouche c’est sur les notes de cacao torréfié et le tabac blond. Avec un final toasté, café. Très gourmand.

  • Don papa 10ans d’âges : On critique la maison pour ses ajouts de sucre ou de caramel. Avec ce 10 d’âge on est sur une belle surprise avec des notes de raisins secs, en bouche c’est rond épicé, « cacaoté », vanillé. Un joli rum.

  • Mount Gay Est 1703 : Venu des Barbades, on est sur un Rhum d’exception. On est sur des arômes de chêne, caramel au beurre et cuir, soutenu par des subtiles notes de banane, fruits confits et épices.

  • Trois Rivières Triples millésimes 2001 – 2005 – 2011 : Encore un rhum superbe, un blend atypique et rare venu de la Martinique. Au nez sur le pain d’épices et les fruits confits, et l’eau de rose. En bouche pointe la réglisse et le poivre noir. Très belle longueur en bouche.

Gin :

  • Melifera : Un gin bio à la fleur d’immortelle. Fait à Oléron, on y retrouve un côté subtilement marin. Florale et élégant. Un gin à faire découvrir au passionné.

  • Generous gin, Coriandre et combava : La promesse est dans le nom : très coriandre et agrume, pour ceux qui aime ces saveurs c’est très bien fait, marqué sans être grossié. On a adoré.

Whisky et Bourbon :

  • Bruichladic The Classic Laddie : Whisky jeune et floral, notes finement citronnées et caramélisées, avec une pointe de salinité et de iodé. En bouche on fini sur quelque chose de chaleureux et de sucre brun, malté et boisé.

  • Teeling Whiskey, Amarone wine cask : Distillerie irlandaise qui sur ce whiskey fait un une finition en fûts d’Amarone della Valpolicella, d’Italie donc. En bouche, fruits secs, amande, caramel, poivre blanc, avec un soupçon de balsamique. C’est frais au final et évidemment tannique.

  • Kilchoman Sanaig : Venu d’Ecosse, Sanaig tire son nom d’une petite crique située au nord de l’île à côté de la distillerie. C’est bien un Islay, tourbé dès le nez et puissant en bouche. L’équilibre est juste entre tourbé, fumé et sucré.

  • Roborel de Climens, Single Malt : Whisky français dont les spécificités sont d’être vieillit en fût de chêne de grands vins. Ici nous sommes sur une finition en fût de Cabernet franc. Au nez tout de suite on sent la barrique et les arômes vineux et tanniques, ainsi que le malt torréfié. Puis en bouche c’est assez net sur les notes de cabernet franc, caramel, toast et pomme cuite.

  • Fontagard PNDC 9918-9 : vieillit en fûts de bourbon, de Cognac et de Pineau des Charentes. Il est poivré, sur les fruits secs et les fruits jaunes confits, boisé, avec une belle présence de fruits des bois. Un nouveau venu au pays des whisky qui est à découvrir.

  • Blanton’s édition limitéé spéciale 329 : Exceptionnelle découverte de ce bourbon en édition limitée. Pomme cuite, fruit des bois, vanille, cannelle épices douces, au nez comme en bouche c’est complexe et délicat à la fois. En bouche c’est même onctueux et finement caramélisé, boisé. Une trouvaille pour les épicuriens.

  • The Dalmore 12ans d’âge : Une belle maison qui ici fait une double maturation : Une moitié continue sa maturation en fûts de bourbon, l’autre moitié est transférée quelques années dans des fûts ayant précédemment contenu du sherry Oloroso (xérès). Au nez c’est agrumes et chocolats, en bouche c’est épicé, vanillé, sur des notes de café torréfié. Une belle bouteille à offrir au amoureux de whisky.

Les cognacs :

 

  • Meukow VSOP et son coffret de Noël : Une belle idée pour un cadeau complet avec ce coffret et ses verres pour le cognac. Le VSOP du coffret est un cognac riche en arômes, aux tanins puissants et doux. A la fois rond et corsé. Au nez on est sur l’oranges confites, les pommes mûres, les fruits secs. En bouche un mélange de cuir et de réglisse. La finale est épicée avec du café et de la vanille.

  • Camus, Borderies XO : Borderies ce sont les vignes du domaines qui appartient à la maison Camus. Il en résulte un cognac d’exception. Le nez est floral, doux, sur la vanille, les amandes, la violette et les noisettes. En bouche c’est fruité et moelleux, cannelle, vieux porto et fruits secs. Une merveille de cognac et cadeau d’exception à faire aux avertis.

Liqueur :

  • Golden Eight, Massenez : Une liqueur de poire william qui dès l’ouverture du flacon, libère un parfum puissant et chaleureux de Poire Williams mûre. En bouche ce sont des notes de poire compoté, avec des pointes de vanille et de caramel. Ronde et puissante en même temps. Une belle eau de vie.

 

Sélection réalisée par Alexis Dumétier

Illustration de couverture : Agnes Solange

read more
LifestyleMagazine

Affronter l’Hiver (et les fêtes de fin d’année)

L’Hiver est là et avec lui, son lot de petits désagréments comme la fatigue, le stress…, sans oublier les maladies saisonnières. Afin de booster votre santé, voici une sélection de produits testés par la rédaction afin d’affronter cette saison et d’être en forme pour Noël, et pendant les trois prochains mois.

C’est l’innovation du moment: les gummies ou gommes à mâcher. On les utilise en cure pour améliorer votre sommeil, réduire votre stress ou booster votre énergie ou vos défenses immunitaires. Les Miraculeux propose un gamme pour prendre soin de vous pour quasiment tout type de problématique. On a testé les gummies ENERGIE, et on a aimé!

Enéa Sens propose L’INFUSION TONUS ENERGIE. C’est l’infusion des journées actives (et il y en a beaucoup pendant la période des fêtes !), mais aussi des sportifs qui veulent être soutenus avant ou pendant leur séance.

So Vitamin innove en proposant une cure adaptée aux besoins de chacun en fonction d’un questionnaire révélant vos attentes et vos carences pour une cure allant de 30 à 90 jours. Idéal pour l’Hiver mais pas que!

L’hiver est là avec son lot de pâtisseries et friandises de Noël. Cependant cette année on peut les déguster d’une manière plus saine grâce aux pâtes à tartiner protéinées de FOODSPRING au goût de Strudel aux pommes ou de Pain d’épices. Ces deux produits, en édition limitée, contiennent des protéines de lactosérum de haute qualité et moins de sucre que les pâtes à tartiner traditionnelles.

En cas de coup de fatigue, voici Güt-Vega. C’est un stimulant naturel booster de testostérone, pour les femmes et les hommes. Il est composé d’un mélange de plantes qui luttent contre la fatigue physique et mentale, dont le muira puama, le tribulus terrestris, le maca, le ginkgo, et la rhodiola.
Présenté sous forme de pilules, Güt-Vega permet d’augmenter le tonus, l’endurance, et la libido.

Toujours pour combattre la fatigue passagère, on pourra essayer une cure de Berocca, riche en magnesium et en zinc sans oublier le duo Vitamines C et B.

Et parce qu’on en manque toujours en Hiver, on n’hésite pas à reforcer son système immunitaire avec un cure de Vitamine D de chez Santé Verte.

La marque EVIELAB a été créée avec un procédé breveté et un produit final : la première perle de CBD sublinguale made in France. Les perles EVIELAB sont complètement naturelles. Elles ne contiennent aucune substance chimique, aucun solvant, aucun OGM et aucun additif. Les résultats se font rapidement ressentir sans aucun effet secondaire et le tube individuel permet une manipulation facile.

Leurs formulations sont spécifiques et permettent d’optimiser chaque moment de la journée
– FOCUS : pour la concentration
– IMMUNITY : pour stimuler le système immunitaire
– INTIMACY : pour booster la sensualité et l’alchimie amoureuse
– PURE : la formulation 100% CBD naturel à base d’isolat
– RELAX : pour faire descendre le stress
– RELIEF : pour retrouver son bien-être et apaiser les douleurs
– SLEEP : pour optimiser le sommeil
– SPORT : pour améliorer ses sessions d’entraînement sportif

 

Enfin, une cure de 100 jours de Vitamine C dosée à 1000mg de chez ERIC FAVRE Santé vous permettra de traverser l’Hiver sans encombre.

Prenez bien soins de vous!

 

 

read more
GastronomieMagazine

Noël : Nos Idées gastronomiques

Le soir de Noël arrive à grands pas et que vous soyez près ou non, en famille entre amis ou seul nous avons pensé à vous. Des idées de mets, de bûches et même une belle adresse pour vous régaler en cette fin d’année.

La bonne adresse :

 La daronne : Restaurant, que dis je, pépite du quartier Réaumur-Sébastopol, Margaux, Jules, Alexis et Clément vous reçoivent dans ce lieu chaleureux et convivial où le chef, Jules Recoquilln, passé par le Georges V et Apicius, propose une cuisine fine, particulièrement bien exécutée et à la présentation soignée. Pour le menu de fête vous pourrez vous régaler avec des Saint-Jacques rôties accompagné d’un craquant et d’œufs de saumon, ce qui offre un jeu de texture superbe pour cette entrée à la cuisson parfaite, puis un râble de lapin truffé et son râpée de truffe fraîche, très festif et au jus de viande envoûtant et un dessert tarte au chocolat grand cru et voile de framboise léger et gourmand en même temps. Le lieu idéal pour un repas de Noël.

Foncez-y ! Vous pourrez le déguster jusqu’au 23 décembre.  10 Rue Marie Stuart, 75002 Paris –  www.ladaronnerestaurant.com

Les mets :

Truffe Alena : Producteur de truffe noir du Périgord, vous pouvez même adopté un chêne truffié qui vous permettra de bénéficier tous les ans pendant 15 ans de 50g par an de truffe. La nouveauté chez Alena en plus des classiques truffes entières, ce sont les truffes en suprêmes : de la truffe packagée dans des boîtes type caviar pour permettre de garder un maximum de fraîcheur. Super produit pour vos recettes de fêtes. truffe-alena.com

Perle Noire : la marque française Caviar Perle Noire propose un coffret d’exception comprenant son Caviar Classique, au puissant goût iodé accompagné d’une vodka inspirée des saveurs du terroir périgourdin, racine de la marque. châtaignes et céréales anciennes, tel que le sarrasin, sont distillées artisanalement dans un alambic traditionnel, à partir de l’eau des sources de la distillerie de l’Ort, où est distillée la vodka. » On y retrouve bien les notes de châtaignes de ce fait et cela se marie parfaitement avec le caviar, trouvaille originale pour déguster à la russe le caviar.

 

Fondée en 2016, Aurea Ova fait découvrir des Caviars rares et d’exception à une clientèle d’amateurs, de non initiés et de professionnels exigeants
Elle allie ainsi le meilleur de la nature, de la tradition et des pratiques respectueuses de l’environnement pour vous offrir des Caviars frais semi sauvages.

Parfait à déguster avec la vodka de chez Kaviari

Sturia et Christofle : Plus que du caviar c’est une véritable pièce de collection, « La perle Sturia x Christofle » est l’incarnation de ce processus créatif, dont le design et la forme – qui évoquent un grain de caviar – s’inspirent de l’emblématique MOOD by Christofle, écrin à couverts pour le moins culte de la maison Christofle. Initiée par Sturla et réalisée par Christofle, « La perle Sturia x Christofle » se compose d’un socle en porcelaine française à l’aspect texturé sur lequel apparaît en relief la mosaïque caractéristique de Sturia. La cale, qui sert à accueillir la boîte de caviar, ainsi que la cloche sont en métal argenté. Et dans cette perle vous pourrez y mettre un contenant allant de 15g à 125g de caviar sturia de votre choix.

Pour beaucoup, pas de repas de Réveillon sans saumon. Celui de chez Bellota Bellota & Byzance vient de mer d’Ecosse, produit par une petite entreprise locale à la pointe de l’élevage durable et qui respecte les normes les plus élevées en matière de bien-être et d’environnement. Fumé de manière traditionnelle dans un petit fumoir local, sur du bois de chêne et de hêtre, le saumon bio Ecossais est tranché à la main et dégage des saveurs délicates, complexes et parfumées.

Pour les inconditionnels du foie gras à Noël, nous avons sélectionnés ce foie gras de canard entier du Sud-Ouest millésime 2021 de chez Larnaudie.

Les gourmandises :

Patrick Roger : et ses fameux marrons glacés, le maître chocolatier fait aussi des merveilles avec les marrons. Les choses simples sont bien souvent les plus dures à réussir, ici Patrick Roger fait un marron glacé efficace.

Nous avons craqué pour les sublimes mini baba de Noël aux fruits confits du Comptoir de Mathilde.

Un de nos coups de cœur gourmand: les gaufres de la Maison MEERT. Un délice absolu!

Les bûches :

Yann Couvreur : Yann Couvreur a souhaité présenter un dessert aussi gourmand qu’esthétique autour de saveurs simples, déclinées en différentes matières et textures. Cette bûche signature est composée d’un crémeux moka d’Ethiopie, d’un biscuit craquant et d’un savoureux caramel au café. Le caramel est délicat et peu sucré et le café explose en bouche sans masquer le reste des saveurs. Une réussite légère et avec les petits renards comme des bonbons de chocolat cette bûche est particulièrement gourmande.

Yann Couvreur propose aussi une nouvelle version de sa bûche Isatis, mousse et caramel vanille bleue, praliné et biscuit noix de pécan. Le caramel domine et les autres saveurs pointent en délicatesse, la mousse est légère. Une bûche pour 6 ou 8 personnes selon la gourmandise de chacun. www.yanncouvreur.com

La bûche FAMILY, et la bûche Isatis sont vendues 90€ chacune et seront disponibles en retrait dans toutes les boutiques Yann Couvreur ou en Click and Collect depuis le 18 décembre à Paris et en banlieue parisienne.

Angelina : le célèbre salon de thés parisien, propose une bûche adaptée de son célèbre Montblanc. Un délice de crème de marrons fondante et de meringue croustillante.

Nicolas Guercio : le Chef a souhaité replonger dans ses souvenirs d’enfance avec cette bûche, en associant une mousse de mandarine légère enrobant un biscuit moelleux sans gluten au chocolat à un croustillant chocolat noir. Une crème brûlée mandarine aussi surprenante que délicieuse, une mousse chocolat noir 64% Valrhona et une gelée de mandarine viennent sublimer cette bûche pour un équilibre parfait. Sans oublier une pointe de mandarine Napoléon, la liqueur aux saveurs d’agrumes. Une réussite légère et fraîche pour la fin du repas.

Bûche pour 6 personnes au prix de 95€ – Sur réservation par téléphone au 01 49 54 46 00 jusqu’au 22 décembre 2021. Hôtel Lutetia : 45, bd Raspail – 75006 Paris – hotellutetia.com/fr

Kaffeehaus – gastronomie d’Allemagne et d’ailleurs – et le chef Ralf Edeler signe une collection de bûches qui raviront les yeux et les palais pour les fêtes de fin d’année 2021. Nous avons littéralement fondu pour la bûche Forêt Noire.

Pierre-Jean Quinonero : le chef a travaillé autour de la cire d’abeille dans ses préparations, offrant des saveurs sucrées florales à sa bûche : nous sommes sur un biscuit noisette, avec des éclats de praliné noisette, on retrouve une mousse à base de cire d’abeille et une infusion cire-crème vanille et une marmelade de clémentines pour la fraîcheur. En bouche c’est très équilibré et gourmand. Pierre-Jean Quinonero, a imaginé une bûche en trompe-l’œil, sous la forme d’une farandole de bougies chaleureuse de Noël. 12 bougies pour 12 convives, qui selon leur appétit pourront choisir le format qui leur conviendra.

Le Burgundy, Sur réservation par téléphone au : 01 42 60 34 12, 8 Rue Duphot -75001 Paris – www.leburgundy.com/fr

read more
BlogLifestyleMagazine

Le Bulgari Hotel : l’excellence Italienne au cœur de Paris

Le Bulgari Hotel Paris est la dernière création de la collection Bulgari Hotel & Resorts qui compte déjà des hôtels à Milan, Bali, Londres, Pékin, Dubai et Shanghai, auxquels s’ajouteront prochainement ceux de Rome (2022), Moscou (2022), Tokyo (2023), Miami (2024) et Los Angeles (2025). Au cœur du célèbre Triangle d’Or parisien, le Bulgari Hotel Paris est une expérience à part entière aussi bien pensée pour les visiteurs de la ville que pour les Parisiens. Rompant avec les codes traditionnels de l’architecture parisienne, l’élégant bâtiment du Bulgari Hotel Paris enrichit le 8ème arrondissement par son style contemporain.

À l’instar de tous les établissements Bulgari Hotels & Resorts, le Bulgari Hotel Paris a été conçu par le cabinet d’architecture italien Antonio Citterio Patricia Viel. Les espaces intérieurs et extérieurs ont été pensés avec le même souci du détail et la même précision accordés à une création Bulgari, soulignant les codes propres aux établissements développés par la Maison de joaillerie romaine. Le Bulgari Hotel Paris propose 76 chambres, dont 75 % sont des suites, la plupart disposant de terrasses et de loggias. Chaque chambre a été conçue comme un véritable appartement privé, meublé avec soin de marques de mobilier de luxe de la plus haute qualité. Les œuvres d’arts et portraits de célébrités proches de la Maison Bulgari ajoutent la touche de personnalité caractéristique des Bulgari Hotel & Resorts.

Perché sur le toit de l’édifice, le Bulgari Penthouse marque l’apogée de cette philosophie. Sur deux étages et avec une surface de plus de de 1000 m2 dont 400 m2 d’espaces interieurs et 600 m2 d’extérieur, le Bulgari Penthouse dispose d’un jardin suspendu entièrement aménagé et arboré de plantes méditerranéennes et d’arbres fruitiers qui offre une vue panoramique sur les monuments emblématiques de la capitale française.

 Le point culminant de l’offre culinaire sera « Il Ristorante – Niko Romito », par le Chef aux trois étoiles Michelin, Niko Romito, qui a élaboré ce concept pour tous les Bulgari Hotels & Resorts, mêlant cuisine italienne classique et moderne, et misant sur les ingrédients essentiels de la culture, de l’élégance et de la vitalité du Made in Italy.

Adjacent au restaurant, le Bulgari Bar est un lieu où s’exprime toute la générosité et l’élégance de l’esprit de la Maison. Ouvrant sur le jardin, Le Bulgari Bar est appelé à devenir l’une des destinations de choix de l’Ouest parisien. Situé juste à côté, le Lounge – avec ses fauteuils profonds, son imposante cheminée et son plafond inspiré d’une minaudière Bulgari – se prêtera à toutes les retrouvailles.

S’étendant sur 1300 m2 et deux niveaux, le Bulgari Spa du Bulgari Hotel Paris offrira lui aussi une expérience inédite grâce à sa piscine de 25 mètres, l’une des plus grande parmi les hôtels de luxe parisiens. L’espace fitness doté des dernières technologies et des méthodes d’entraînement du Workshop Gymnasium, créées exclusivement pour Bulgari par Lee Mullins, inclut également un studio d’entrainement privatif.

read more
BlogLifestyleMagazine

HUBLOT: LA BIG BANG UNNICO ARTURO FUENTE CERAMIC

Hublot et la manufacture de cigares Tabacalera Arturo Fuente y Compañia s’unissent à nouveau pour rendre hommage à Carlos A. Fuente, Sr., géant de l’industrie du cigare, créateur de tendances, père et patriarche de la famille Fuente.

« La famille Fuente et moi-même sommes très émus de rendre hommage à Don Carlos à
travers cette extraordinaire pièce d’horlogerie. Chacun des motifs qu’elle arbore reflète
l’épopée et la vision de mon grand-père et fait honneur aux valeurs communes de la
tabacalera Fuente et de la manufacture Hublot. »
Carlito Fuente

La montre Big Bang Unico Arturo Fuente Ceramic rend hommage à la remarquable épopée de Carlos A. Fuente Sr. Sa connaissance infinie de son métier, ainsi que son dévouement et sa vision pour sa marque, ont fait de lui un phare pour ceux qui l’ont connu et une référence pour l’industrie du cigare. Avec la contribution de Manny Iriarte, designer de la famille Fuente, les équipes Hublot ont insufflé à l’iconique Big Bang tous les codes chers à la tabacalera dominicaine. A commencer par sa boîte, d’un diamètre de 44mm, dont la céramique noire gravée reprend le motif des feuilles de tabac dansant au rythme de la brise de la montagne, l’un des éléments primordiaux de la famille Fuente. Elle abrite le fameux mouvement manufacture UNICO calibre HUB1242, un chronographe flyback offrant une réserve de marche de 72 heures.

Formidable et authentique clin d’oeil, le cadran incorpore les chiffres romains chers à la famille Fuente. Ils sont repris de la montre historiquement présente sur le blason familial. Celle-ci fait référence à la devise des Fuente : « Nous ne précipiterons jamais les aiguilles du temps ». Autre emblème, un lion couronné apparaît à 9 heures en souvenir de la fourniture de cigares à la cour d’Espagne ainsi qu’à la grandeur du patriarche.
Au dos de la montre, la mention Big Bang Limited Edition renseigne sur le numéro de la pièce sur une série limitée à 100 exemplaires. En son centre s’affiche le logo historique de la Maison Fuente, avec non pas les initiales AF actuelles (pour Arturo Fuente), mais CF, en référence à Carlos Fuente, Sr. et portant la mention Edición de homenaje (édition en hommage, en espagnol). Entre guillemets, Carlito Fuente, Jr. lui dédie ses mots : « Notre père, notre ami, notre héros ».

Editée à 100 exemplaires, la Big Bang Unico Arturo Fuente Ceramic est livrée dans un spectaculaire coffret en bois laqué faisant à la fois office d’écrin à montre et d’humidificateur à cigares.

read more
LifestyleMagazine

Far Cry 6 : le nouvel épisode de Ubisoft nous régale

Far Cry 6 vient de sortir et nous l’attendions avec impatience. Mais cela en valait-il la chandelle ?

Far Cry 6 est un FPS, un jeu de tir à la première personne et s’avère très immersif : que ce soit dans les combats, l’exploration ou la conduite de véhicules, la vue subjective est de mise.

Un peu d’histoire

La franchise Far Cry existe depuis 2004. Le premier volet de la saga a commencé sur une île paradisiaque, pour continuer sur l’Afrique centrale, puis est passé par l’Asie, avant de renouer avec le climat exotique. Mais c’est avec Far Cry 3, que la franchise explose, fort d’un méchant charismatique (Vaas), dotée de graphismes de premier ordre et d’un gameplay jouissif, le succès fut planétaire.

Le nouvel épisode :

Far Cry 6 veut renouer avec le succès d’antan et les espoirs sont grands : ceux de retrouver un périple aussi grisant que celui du troisième volet, sauvage et divertissant, tout en y ajoutant quelques nouveautés bien sur. Et dès les premières minutes  on est happé par l’aventure, le générique qui nous plonge dans l’histoire semble être le début d’un James Bond réussi. Les premières minutes m’ont véritablement hypé.

L’intrigue se déroule dans un chapelet d’îles aux couleurs cubaines : les îles fictives de Yara. Le méchant de Far Cry 6, Antón Castillo, est un dictateur cynique et sanguinaire qui manipule son fils et avilie son peuple. Ce personnage est interprété par Giancarlo Esposito qui joue notamment dans Breaking Bad, et il est encore une fois très froid, calme, intelligent et sans pitié, on aime le détester.

Pour imposer sa nation à l’internationale Castillo utilise le “Viviro” : traitement révolutionnaire contre le cancer. le Viviro est issu de la culture du tabac de l’île et de produits chimiques toxiques qui tuent à petit feu les paysans qui le cultivent, qui ne sont autre que les pauvres habitants de Yara. Il vous revient, ainsi qu’à une poignée de rebelles, de défaire la tyrannie.

Le héros (qui peut aussi être une héroïne) que l’on incarne s’appelle Dani Rojas. L’histoire nous amène dès le début à rejoindre la rébellion nommée Libertad. Dani est un ancien militaire et de ce fait il maîtrise les arts du combat et du maniement des armes. Armes d’ailleurs multiples que l’on peut faire évoluer de bien des façons et même personnaliser au fur et à mesure de l’avancer dans le jeu.

Gameplay :

Le gameplay est classique.Très facile à prendre en main pour peu que vous ayez déjà joué aux anciens épisodes. Le grand plus pour les possesseurs de PS5 sont les gâchettes adaptatives, qui renforce l’immersion dans le jeu car elles apportent une vraie différence de sensation en fonction des armes utilisées, chargées ou non. C’est très plaisant. Il existe de multiples façons tactiques d’appréhender une situation et la méthode douce ou frontale est toujours une option.

Graphisme et ambiances sonores :

L’île et sa végétation sont belles, le rendu des armes et du design sonore est top, sans parler de la bande son qui accompagne parfaitement les différents moments de ce Far Cry 6, voir rend certaines phases d’actions électrisantes : on se croirait presque dans un Tarantino. Le jeu est beau et nous plonge presque tous nos sens dans l’ambiance cubaine de cette île inventée.

Les nouveautés : 

On peut crafter les armes, on peut habiller le personnage de la tête aux pieds ce qui apportent des compétences nouvelles. Tout au long de notre route on croise des établis où l’on peut modifier les armes et en créer de nouvelles…

Il vous faudra  une vingtaine d’heures pour terminer l’histoire principale. Une fois celle-ci achevée, un mode « Insurrection » est disponible : chaque semaine, une zone de la carte est reprise par les forces de Castillo. Il faudra donc la libérer en réalisant plusieurs objectifs secondaires. Aujourd’hui il existe des extensions pour profiter encore un peu plus de l’ambiance caliente de l’île de Yara.

Far Cry 6 est un épisode dans lequel on se plaie à évoluer, à arpenter l’île luxuriante et jolie de Yara. Les équipes de Ubisoft ont réalisé un beau travail sur ce jeu dont il maîtrise la licence. Une expérience vidéoludique à faire que vous ayez ou non fait les épisodes précédents. Ce jeu est disponible sur PS5, XBOX X, XBOX ONE et PC. Bon jeu !

Le test a été réalisé sur PS5 sur un écran ELITE Viewsonic XG270QC.

https://www.ubisoft.com/fr-fr/game/far-cry/far-cry-6

Article écrit par Alexis Dumétier

read more
GastronomieMagazine

Le Club Pierre Charron et son restaurant secret

Le Club Pierre Charron reçoit dans sa « salle à manger », à deux pas des Champs-Élysées, pour le temps d’un dîner, d’un souper ou juste d’une pause gourmande ses invités. Les tables de ce restaurant bien caché, à la taille d’un boudoir secret, sont loin de la foule et de l’excitation de l’une des avenues les plus fréquentées du monde et en même temps toute proche, de l’excitation des tables de jeux.

Trouver cette adresse semble donc une affaire d’initiés. En effet, aucune indication, ni enseigne sur la façade haussmannienne pour trouver le Club Pierre Charron : ce Club de Jeux se veut discret, à contre-courant du clinquant associé aux jeux d’argent. Et pourtant aucune obligation de jouer sur les tables du casino ou encore au poker pour profiter de son restaurant. Une enclave gustative qui perpétue l’art de recevoir et une certaine idée de la cuisine française, entre héritage et air du temps. Le service est très soigné, et l’équipe en salle attentive. Dans ce club on se sent VIP que l’on joue ou pas, et cela, dès l’entrée dans les lieux.
Le Chef, Eddy Bajeux, qui a été formé dans de belles maisons parisiennes, de l’hôtel Costes à La Maison Nordique, suit la saisonnalité des produits : en ce moment vous pourrez déguster un cappuccino de châtaigne et mousse de cèpes, très bien exécuté et réconfortant.
Il se passionne pour les assaisonnements créatifs et la précision des belles cuissons. À l’image de son saumon laqué miso, juste snacké et relevé de gingembre confit, ou encore son veau fondant et rosé à cœur mais pourtant parfaitement saisi, ce qui en conserve toutes les saveurs et la tendreté.
En dessert j’ai craqué pour un fondant au chocolat et là encore la promesse est respectée, et pour moi, amoureux de chocolat, ce dessert est véritablement chocolaté : tout en générosité et en amertume. Un délice. La carte des vins est bien faite et permet de beaux accords, comme ce soir-là avec un Condrieu 2018.
On en oublierait presque que nous sommes dans un club de jeu. Et pourtant le lieu est pensé, dédié à cela. Et d’une belle manière : lumineux, spacieux, de beaux volumes, l’élégance de posséder des œuvres d’arts aux murs. En plus de son restaurant vous pouvez aussi bénéficier d’un fumoir avec une cave à cigare.
Mais revenons aux jeux puisque c’est l’essence du lieu : C’est le Groupe Marval qui a choisi Paris et son triangle d’or pour ouvrir son premier établissement dédié aux jeux en 2020 : le Club Pierre Charron. Grégory Benac joueur passionné, familier des plus grands tournois de poker en est le créateur. Il a choisi pour ambassadeur : Bruno Fitoussi, l’un des pionniers du poker en France. C’est lui qui avait lancé les premiers tournois de poker à l’Aviation Club de France.
Ce qui est surprenant au Club Pierre Charron, c’est que vous pourrez y croiser des hommes comme des femmes, de tous horizons et classes sociales. Cela démystifie l’idée que l’on peut se faire de ces lieux de jeux. De plus, tout un service existe pour vous initier si c’est votre première fois ou tout simplement si vous le désirez.
D’ailleurs pour ceux qui ne veulent pas quitter le jeu, le restaurant du Club sert aussi aux tables de jeux.
Et pour ce qui est du jeu vous avez le choix :
Pour le Poker, 13 tables de Cash-Game de 7 à 8 joueurs par table, en Texas Hold’em, ou Omaha.
Pour les Grands Jeux, 12 tables de jeux de contrepartie, de 5 joueurs par table :
Punto Banco, Ultimate Poker, Poker 21, Poker 3 Cartes, Stud Poker.
Un lieu à découvrir donc pour jouer ou tout simplement pour y manger. Le restaurant sert de 13h à 5h du matin et les prix aux vues de la qualité de la table et du lieu sont véritablement raisonnables. Pour nous c’est le meilleur spot food des noctambules du quartier.
Infos pratiques :
62 Rue Pierre Charron, 75008 Paris
7J/7 de 13h à 6h du matin / Entrée libre
Voiturier / Vestiaire / Fumoir / Wifi / Distributeur de billets
read more
ArchivesLifestyleMagazine

Calendrier de l’avent 2021 : notre sélection

Il approche à grand pas le mois de décembre, pour clore l’année et nous mener vers les fêtes de fin d’année. Pour patienter jusque là et vivre chaque jour de ce mois comme une surprise, une joie, voici quelques belles idées de calendriers de l’avent :

Beery Christmas :

Doit-on vous le présenter ? C’est notre calendrier de l’avent bière préféré. Cette année il vous emmènera explorer divers brasserie, avec moins d’excentricité que les années précédentes et je sais que cela fera plaisir à beaucoup. Les bières viennes des quatre coins du globes et l’on passe d’une lager au stout en passant par des IPA. Attention il y en a 25 car il y a un blend (mélange de deux bières) à faire, tester cette méthode à la mode chez les brasseurs en Europe. www.saveur-biere.com

Compagnie Coloniale :

Un joli calendrier qui vous fera découvrir thés et infusions de la marque. Le calendrier ainsi que tous les sachets sont exclusivement Made in France et le coffret est réutilisable après l’Avent ! 24 cases sur 2 faces ! www.compagnie-coloniale.com

Pierre Hermé :

Pierre Hermé nous invite dans un monde enchanté fait de jardins opulents et de nuages chimériques. Noël est ce moment magique de l’année où la rêverie est à la source de tous les voyages. Avec en prime une belle boule de verre à accrocher au sapin.

Rituals :

Dévoilez les festivité de ce village. Une farandole de produits pour prendre soin de vous dans ce mois au temps rude annonciateur de l’hiver. www.rituals.com

ASOS :

Un calendrier de l’avent composé de 24 plaisirs pour chouchouter votre corps et votre visage. www.asos.com

 

Sève :

La Maison Sève vous propose 24 jours de bonheur. Chaque jour, une immersion gourmande au cœur de la forêt Amazonienne vous invite à découvrir Chocolats, Pralines, Pierres des Mont d’Or et d’autres surprises à découvrir dès le 1er décembre. La Maison SÈVE poursuit son engagement pour l’écologie et utilise, pour ce calendrier, des matériaux intégralement recyclables. L’ensemble est fabriqué à Lyon, France. www.chocolatseve.com

Amorelie :

Le calendrier de l’avent des grands qui veulent titiller leurs sens. L’Original, destiné aux nouveaux explorateurs de leurs sexualité et qui veulent explorer. De sextoys premium de qualité que nous vous recommandons. www.calendar.amorelie.com

 

read more
ArchivesGastronomieMagazine

The Peninsula Paris, Le Lili et son Chef Dicky To

Le Palace The Peninsula Paris fait partie des plus beaux hôtels de la capitale. Si le bâtiment est classé au patrimoine historique c’est parce que son histoire est riche. L’origine, Sur l’emplacement actuel du Peninsula Paris, s’élevait un palais construit en 1864 pour le comte Alexander Petrovitch Basilewski, un aristocrate russe qui aimait à l’appeler son « petit Versailles ». Le nouvel édifice devint rapidement l’objet de toutes les conversations à Paris et, pour la première fois, le site du futur Peninsula Paris exerça une irrésistible attraction sur les mondains. On y donnait des réceptions pratiquement tous les soirs quand le comte était en ville, le plus souvent à la demande insistante de ses trois filles.

 

En 1906 La propriété a été acquise par le magnat viennois de l’hôtellerie Léonard Tauber après une guerre d’enchères qui a impliqué le gouvernement des États-Unis et le roi de Belgique. L’emplacement de la propriété, à la fois proche du bois de Boulogne, de l’Arc de triomphe, de la tour Eiffel et du Trocadéro, constituait un atout majeur aux yeux de Tauber. Ce site offrait à Tauber l’exceptionnelle opportunité d’élargir son empire en construisant «un hôtel aristocratique sans rival» qui, une fois terminé, pourrait se targuer d’être le plus grand hôtel d’Europe. Le palais est alors démoli et remplacé par un hôtel de luxe, le Majestic. L’édifice est construit dans un mélange de styles d’inspiration classique encore très en vogue à la Belle Époque : le style Haussmannien, réhaussé de touches décoratives néoclassiques. A l’époque l’hôtel compte 400 chambres et c’est le premier à proposer des salles de bains privées pour 350 de ses chambres.

 

Depuis le Peninsula a traversé l’histoire, et vécu bien des choses, depuis 2007 c’est la renaissance d’un Palace parisien, le bâtiment est vendu par l’Etat français à un groupe hôtelier à la société hôtelière qatarie Katara Hospitality, qui en 2009, annonça un accord avec The Hongkong and Shanghai Hotels, Limited (HSH) pour créer The Peninsula Paris. L’établissement actuel est le fruit d’un réaménagement qui a pris 4 ans de 2010 à 2014. Un travail titanesque, fait en étroite collaboration avec les organismes chargés du patrimoine Français.

Si nous vous parlons du Peninsula aujourd’hui c’est pour vous faire découvrir l’un de ses restaurants d’exception, Le Lili et son Chef Dicky To.

Le restaurant Lili :

La décoration intérieure du Peninsula est réalisée sous l’égide d’Henry Leung. Le restaurant LiLi, est situé à l’emplacement de l’ancienne salle à manger de l’hôtel Majestic, Leung choisit comme thème de la décoration intérieure la passion commune des cultures françaises et chinoises pour l’opéra. Le concept repose sur l’association d’éléments chinois à l’Art déco de la fin des années 20. Dès l’entrée du restaurant une gigantesque installation de cristal, représentant la coiffe traditionnelle d’une cantatrice chinoise (qui pourrait être Lili). C’est l’artiste coréenne, basée à New York, Ran Hwang qui a créé ce scintillant chef-d’œuvre en hommage à l’opéra chinois. Il est composé de 32 831 cristaux montés sur broches et insérés dans une base de plexiglas.

On pénètre dans la salle par un corridor très haut de plafond. L’ambiance est feutrée, la lumière chaude et tamisée, on croirait en effet entrer dans une salle de spectacle ou être l’un des personnages de Wong Kar-wai dans In the mood for love. Une fois dans la salle principale un splendide dôme, inspiré de l’installation acoustique d’une scène d’opéra de Shanghai, domine le décor théâtral du restaurant. Les boiseries, les peintures, les lumières, les rideaux rouges gigantesques et les embrasses de soie bleue monumentale : on pénétre dans un univers onirique.

Le LiLi propose une cuisine chinoise progressive avec des influences françaises.

Nous avons découvert la table du LiLi qui propose un menu où se distinguent des dim sum raffinés, une salade de saumon «Lo Hei» aux jeux de textures surprenants qui donnent envie de ne plus s’arrêter, un riz frit au foie gras exceptionnel, mais si nous devions garder un seul et unique souvenir, ce serait le bœuf au wok du Chef Dicky To.

Ce bœuf saisi au wok, exprime toutes les saveurs d’un feu puissant, avec des notes grillées et si particulières au wok, tout en ayant à cœur une viande juteuse, avec un goût de bœuf qui explose littéralement en bouche, et fin du fin une viande qui fond sous la dent comme jamais. Incroyable.

 

Pour ceux qui aiment faire des accords mets/vins divers et étonnants, sachez que le livre de cave du Lili est très fourni. Il bénéficie de la même cave que L’Oiseau Blanc, le restaurant étoilé du Peninsula Paris. Ainsi vous pouvez découvrir des vins natures, des grands châteaux et des millésimes d’exception. Vous pourrez même trouver un millésime spécial de 1908, mis en bouteille l’année de l’ouverture du grand hôtel de l’époque.

Dicky To est à la tête du restaurant Lili. Le chef originaire de Hong Kong est né en 1974. Il exerce ses talents de maître wok et de chef cuisinier au Lili depuis décembre 2018.

Dicky To, 2021, par A. Dumétier

Avant cela il est passé par différents restaurants. Pour mieux le connaître et comprendre sa cuisine nous l’avons rencontré, voici son interview :

 

Quel est votre parcours ?

Je travaille en tant que chef depuis plus de 30 ans. Dès l’âge de 15 ans, je travaillais pour un restaurant cantonnais de fruits de mer à Hong Kong. A l’âge de 27 ans j’ai commencé à être un Chef, et petit à petit j’ai commencé à apprendre l’anglais, tout l’aspect administratif du travail d’un restaurant, à utiliser l’informatique. A 32 ans j’ai eu mon premier poste dans un Hôtel de Hong Kong de Chef exécutif. Après cela je suis allé vivre à Macao pendant deux ans, toujours comme Chef exécutif, et pour moi c’était la première fois que j’allais à “l’étranger” (rire). Ensuite j’ai eu une opportunité à Shanghai, je m’en souviens car c’était l’exposition universelle, j’ai donc saisi cette opportunité et j’ai rejoint le Peninsula Shanghai, après quelques temps j’ai été transféré au Peninsula de Tokyo et après je suis venu ici, à Paris.

 Quel est votre premier souvenir lié à la cuisine ?

Je me souviens encore de la première fois où je travaillais dans une cuisine chinoise professionnelle. C’était le restaurant de fruits de mer de Dunhuang.  Je regardais les cuisiniers et je les trouvais tous très beaux, ils utilisaient le wok avec une grande agilité et une bonne rythmique, il y avait une grande énergie qui se dégageait de leur travail. J’aimais apprendre au sein de cette brigade. La première fois que j’ai eu l’opportunité de cuisiner, c’est quand le Chef a quitté le poste des woks et qu’une commande est arrivée. Je regardais tous les jours comment le Chef cuisinait, avec envie et pour moi il était impossible de ne pas saisir cette opportunité de cuisiner à mon tour un plat pour des clients. Alors que je finissais presque de préparer le plat, je m’en souviens encore parfaitement, c’était un riz frit, le Chef est revenu en cuisine. Il m’a regardé, je l’ai regardé,…il a goûté le plat…il n’a rien dit…et après quelques secondes, il a dit : “ok, amenez le plat en salle”…J’étais très heureux et soulagé (rire).

Comment en êtes-vous venu à travailler comme Chef dans une cuisine ?

A l’âge de 15 ans, pour être honnête, ce n’était pas un choix de cœur, je voulais avoir de l’argent pour sortir, jouer avec mes amis. Après quelques années je me sentais mal dans ce travail, les fêtes, Noël, Saint-Valentin, le Nouvel An, en tant que Chef dans une cuisine, vous devez travailler encore plus, spécialement dans ces moments-là. Je voyais mes camarades qui ne travaillaient pas dans mon milieu, sortir, qui s’amusaient, qui profitaient des fêtes, c’était dur pour moi. J’ai alors quitté l’univers de la restauration, durant quelques mois. Je me suis demandé à cette époque si j’aimais cuisiner, si j’aimais travailler en cuisine. Je suis donc allé travailler dans d’autres industries mais je me suis rendu compte que cela ne m’allait pas. J’ai compris que le lieu où je me sentais le mieux, c’était une cuisine. J’ai alors repris le chemin des fourneaux, jusqu’à aujourd’hui.

Quelle est la personne qui vous a le plus influencé dans votre carrière de Chef ?

Les personnes très importantes avec qui j’ai appris mon métier de Chef, ont été peu nombreuses, mais elles m’ont beaucoup influencé. Le premier Chef important dans ma vie professionnelle, s’appelait Chef Leung Coeng, à cette époque je travaillais encore à la découpe. Dans une cuisine cantonaise, dans la partie du chaud, il y a deux sections différentes : l’une est le wok et l’autre c’est la découpe, juste tenir le couteau. Et à cette époque, je tenais le couteau. Un jour le Chef Leung Coeng m’a demandé : “Crois-tu que travailler dans une cuisine c’est ton métier, que tu ne changeras jamais pour un autre ?” J’ai dit : “oui”. C’est alors qu’il m’a encouragé et inspiré.  Il m’a dit : “Dans ta situation actuelle, tu es comme une vache, tu travailles sans réfléchir. Tu dois avoir une vision de ce que tu fais, une idée de toi-même, un but à atteindre. Si tu en as une et que tu aimes cuisiner, tu devrais te mettre au poste du wok. Parce qu’aujourd’hui dans la cuisine cantonaise les choses changent. Avant le Chef de cuisine était celui qui tenait le couteau, c’était lui qui tenait le business. Maintenant la tendance a changé, les gens veulent d’un chef qui cuisine et non qui découpe. Si tu n’as pas assez d’expérience au wok il te faudra tout réapprendre depuis la base.” J’ai réfléchi pendant plusieurs jours à ce qu’il m’avait dit, je n’ai pas dormi pendant deux, trois nuits. Je pensais ne pas pouvoir le faire à l’époque mais c’était un bon challenge. J’ai alors tout appris depuis les bases du maniement du wok, pour petit à petit parvenir à être Chef wok. Je pense que Chef Leung Coeng a été le premier et le plus important pour moi dans ma carrière, pour changer et définir un but pour moi-même : je savais alors où j’allais, ce que je devais faire pour mon avenir.

 Quel est le plus important en cuisine pour vous ?

Pour moi le plus important en tant que Chef c’est de créer des plats qui soient goûtus et que ces saveurs spécifiques restent à jamais en mémoire pour la personne qui découvre ce plat.

Quel est votre moment préféré en cuisine ?

Le moment le plus important pour moi alors que je travaille au wok, c’est quand je regarde mon équipe, qui est en pleine ébullition avec beaucoup de positivité. Même dans une situation de tension, l’équipe reste toujours focalisée sur la méthode et l’objectif qui est de satisfaire le client. Pour moi, c’est le moment le plus joyeux.

En tant que Chef wok, quelle est votre particularité ?

 Je dirais que peu importe ce que je cuisine avec un feu fort, dans un wok, que ce soit avec de la sauce ou sans sauce, le plus important est que l’on sente que ce plat a été fait au wok avec les saveurs spécifiques que cela apporte. Et peu importe le plat, je dirais que c’est l’une de mes forces.

 Quel est l’aliment que vous aimez le plus cuisiner ?

 L’ingrédient le plus délicat pour moi à cuisiner au wok, c’est le bœuf. Qu’il soit découpé finement, en lamelles, en cubes, vous devez alors utiliser différentes températures toujours dans le wok. Le challenge est là, comment rendre la viande tendre, avec du goût, juteuse, et cela va aussi se jouer avec la combinaison d’ingrédients qui ira avec. Et ce challenge-là, j’adore le relever à chaque fois.

Quels sont les ingrédients que vous avez découverts en France ?

 Nous utilisons le foie gras, et pour le homard nous utilisons le caviar. Avant tout, le caviar qui est un ingrédient haut de gamme, apporte beaucoup de goût. Vous savez tout de suite que c’est un plat marin. Il permet de mettre moins de sel. Le caviar rend la texture du plat plus douce, plus naturelle.

Quel est votre plat signature ?

Je dirais, même si c’est un plat simple, le riz frit au foie gras, car c’est le plat que les gens reconnaissent tout de suite. Même si c’est un simple riz frit, on fait tout pour ne pas le rendre si simple. Nous utilisons un foie gras local, que les français aiment. Et nous utilisons du poivre noir, et la technique de cuisine est cantonaise, avec une cuisson du riz au wok. C’est une combinaison de cuisine, et ce plat est devenu très populaire. J’ai aimé mettre quelque chose que j’adore dans ce plat et que les gens ont aimé : du poivre noir. Pour moi c’est un peu unique de mettre du poivre noir pour faire un riz frit, jusqu’ici je ne l’ai jamais vu dans un autre restaurant.

Quel type de poivre noir utilisez-vous ? Pouvez-vous nous donner le secret ?

 (rire) Ce n’est pas un secret, juste du poivre noir très simple…(rire)

Comment créez-vous les plats de la carte du Lili ?

J’essaye de travailler mes idées, seul d’abord, dans ma tête. J’essaye de trouver ce que l’équipe pourrait mettre en œuvre. Une fois l’idée formalisée dans mon esprit, j’en parle avec ma brigade pour créer réellement le plat.

Pouvez-vous nous parler du Lili et de son ambiance ?

J’aime ce restaurant Lili car c’est un lieu d’interaction fort entre les clients et l’équipe en salle. C’est une véritable scène ici. La thématique de décoration c’est l’Opéra, un mélange entre l’opéra européen et l’opéra chinois. Les invités viennent ici pour voir le spectacle. Pour moi, mon équipe en salle, c’est comme un ballet, et parfois je viens aussi en salle voir les convives, je viens dire bonjour. Et ce sentiment d’être sur une scène, d’être à l’opéra, je ne le trouve nulle part ailleurs. Regardez le dôme derrière moi; pour moi c’est la plus belle partie du restaurant, cela montre le centre de la scène, de la salle, je n’ai jamais vu un restaurant aussi beau.

Quel est votre souvenir culinaire d’enfance ?

 Quand j’étais enfant j’aimais les choses croquantes, craquantes, vous ne pouvez pas vous arrêter de manger. Bien sûr il y a le goût, mais il y a aussi le son et la texture. Pour moi c’était ce qui m’attirait le plus.

 Maintenant que vous êtes Chef, comment retranscrivez- vous ce souvenir d’enfance ?

Je peux vous donner des exemples qui illustreront comment cette texture croquante, m’influence encore aujourd’hui. Nous avons une salade de saumon “Lo Hei”, composée de légumes croquants, de saumon, de sauce, mais nous ajoutons également un ingrédient croquant. Face à ce plat vous pouvez vous demander pourquoi avoir ajouter du croquant avec du saumon, mais quand vous le dégusterez vous comprendrez pourquoi. Le plat n’est pas seulement délicat, avec la texture douce du saumon, vous avez un jeu de texture, et vous ne pouvez plus vous arrêter. Un autre exemple, encore une foie avec le riz frit au foie gras. Pourquoi vous combinez dans un plat riz souple et riz croquant ? C’est parce que c’est cela qui attire les gens.

 Pour vous quel est le meilleur accord mets/vins ?

Pour moi, l’accord parfait pour la cuisine cantonaise, c’est le thé, d’abord parce qu’ils viennent du même endroit, mais aussi parce que quand on déjeune et que l’on se sent un peu “lourd”, alors on boit un thé et l’on se sent mieux. C’est au-delà de l’accord mets/vins, cela aide à digérer. Nous avons six différents thés, donc selon ce que vous mangez, vous accordez : vous mangez quelque chose d’un peu gras, le meilleur est un thé Pu erh, par contre si vous mangez quelque chose de délicat et d’élégant, un thé floral, un thé vert, sera mieux.

Si vous deviez manger un dernier plat, quel serait-il et quel serait l’accord ?

Ce serait des gâteaux traditionnels de lune, fourrés à la pâte de graine de lotus, et on boit un thé Pu erh, c’est l’accord parfait !

Photo A.Dumétier

 

 

https://www.peninsula.com/fr/paris/hotel-fine-dining/lili-cantonese-chinese

 

 

 Article écrit par Alexis Dumétier

Vidéo réalisé par Alexis Dumétier

 

 

 

 

read more
ArchivesLifestyleNews de Mode

ATLAS FOR MEN: LA COLLECTION DES AMBASSADEURS

Atlas For Men est le spécialiste français et leader européen des vêtements et accessoires outdoor lifestyle pour hommes. Pour cet hiver, Atlas For Men lance sa collection des Ambassadeurs, co-créée et incarnée par des clients ; venus des quatre coins de la France, de tous âges, de toutes tailles et de toutes morphologies du M au 5XL.
Depuis sa création en 1999, la marque se bat pour que chacun, quels que soient sa taille et son portefeuille, se sente libre de profiter de la nature, proche ou lointaine grâce à des produits qui allient liberté de mouvements, confort et résistance, à petits prix et jusqu’au 5XL (toutes les tailles au même prix).
Distribuée exclusivement en vente à distance (E-commerce et Catalogues), Atlas For Men a déjà conquis une communauté de plus de 7 millions de clients sur ses 13 marchés avec son style authentique. Cette communauté de fidèles clients a répondu à l’appel d’Atlas For Men en 2019, lors de l’organisation du casting des Ambassadeurs pour fêter ses 20 ans.

UNE COLLECTION QUI INCARNE LES VALEURS D’ATLAS FOR MEN

AUTHENTICITÉ: Composée de pièces phares du dressing masculin, la collection des ambassadeurs pro-pose des basiques intemporels, loin d’une mode qui se démode.

LIBERTÉ: La collection des ambassadeurs décline des pièces qui allient liberté de mouvement et liberté d’être soi.

ACCESSIBILITÉ: La collection des ambassadeurs propose une gamme de produits confortables et à petits prix.

INCLUSIVITÉ / DIVERSITÉ: La collection des ambassadeurs comme toutes les collections Atlas For Men est déclinée jusqu’au 5XL (toutes les tailles au même prix) et s’adresse à tous les hommes.

Les heureux sélectionnés, aventuriers en herbe ou de l’extrême, ont intégré la communauté des ambassadeurs pour partir en micro-aventures avec la marque, tester ses produits en conditions réelles et partager des moments privilégiés. La crise sanitaire n’a pas arrêté l’aventure, les tests se sont poursuivis dans les forêts et les jardins, et le confinement a même donné lieu à quelques shootings très inspirés sur les réseaux sociaux de la marque !
En parallèle des expéditions avec ses clients, les collaborateurs de l’entreprise sont eux aussi partis à l’aventure pour tester les produits, identifier leurs coups de cœur et proposer des axes d’améliorations.
Après avoir recueilli les retours, les idées créatives ou techniques et les produits favoris des ambassadeurs internes et externes, Atlas For Men a développé une collection sur-mesure répondant aux attentes et aux besoins de cette communauté de passionnés et d’explorateurs nature.

La collection des Ambassadeurs est née ! Un vestiaire d’indispensables de l’Aventurier, véritable hommage aux clients de la marque, aux « vrais gens » de toutes tailles, de tous âges, de toutes morphologies… à ceux qui font le succès d’Atlas For Men depuis 20 ans !

EXCLUSIVITÉ WEB
Une collection à découvrir dès le mois de novembre sur le site Atlas For Men
https://www.atlasformen.fr/decouverte/equipements/collection-capsule

read more
ArchivesLifestyleMagazine

161EME VENTE AUX ENCHERES DES VINS DES HOSPICES DE BEAUNE

Les vins des HOSPICES DE BEAUNE sont des vins exceptionnels et rares. Cette année la vente aura lieu le dimanche 21 novembre 2021.

 

Afin de donner accès à plus de monde à ces vins d’exceptions, la maison Albert Bichot, met 161 COFFRETS DEGUSTATION en vente à partir du 4/11. C’est aussi une manière de soutenir les vignerons qui ont vécu des gels terribles cette année :

 

Arnaud Finistre, Hans Lucas – AFP

« Après le gel de cette année, qui a engendré une récolte historiquement basse, il est essentiel de continuer à affirmer notre soutien aux Hospices, à faire preuve de solidarité et générosité.», Albéric Bichot.

Lors de l’édition 2020, la Maison avait déjà imaginé des coffrets dégustation pour les amateurs désireux de découvrir les vins des Hospices.

La Maison Albert Bichot renouvelle cette belle expérience et propose un nouveau format, composé de 3 flacons de dégustation de 10cl chacun pour se plonger dans les Hospices de Beaune seul ou à deux.  Une manière de découvrir les vins des Hospices de Beaune depuis chez soi.

Composé de trois flacons, ce coffret prestigieux invite à découvrir 1 vin blanc et 2 vins
rouges :
– Saint-Romain Cuvée Joseph Menault Hospices de Beaune 2018 (Blanc)
– Pommard Cuvée Suzanne Chaudron Hospices de Beaune 2018 (Rouge)
– Beaune 1er Cru Cuvée Nicolas Rolin Hospices de Beaune 2017 (Rouge)

 

 

Les vins sont présentés dans des tubes en verre et un bel écrin pour transporter les amateurs au cœur de la
Bourgogne et leur faire vivre l’aventure de ce domaine historique.

Une fois le coffret reçu, les amateurs pourront suivre en ligne, pour chaque cuvée, une vidéo qui guidera leur
dégustation.

Coffrets disponibles exclusivement à la vente sur le site www.hospices-beaune.com dès le 4 novembre – tarif 80€ TTC
(livraison comprise).

 

Retour sur la 160 ème édition en 2020 :

L’année dernière, la 160ème vente des Hospices de Beaune avait atteint un total de 12 761 600 € pour 630 pièces, hissant cette édition 2020 au rang de 2ème plus belle vente de l’histoire des Hospices. Confirmant une année de plus sa place de 1er
acheteur, Albert Bichot avait acquis 22% du montant total de la vente, correspondant à 97 pièces.
La Maison avait également acquis la Pièce des Présidents, un Clos de la Roche Grand Cru mis aux enchères au profit de la Fédération des Hospitaliers de France (FHF) pour un montant record de 660.000 euros.

Attachée à cette traditionnelle vente de charité depuis 1876 et grâce à la confiance et à la fidélité de ses clients, la Maison Albert Bichot s’est portée 7 fois acquéreur de la Pièce des Présidents et de plus de 1000 pièces dans les 10 dernières années.

 

Photo de couverture : Domaine Albert Bichot, par Flore Deronzier.

read more
ArchivesGastronomieMagazine

Eminente : un peu de Cuba à Paris

Eminente…Vous rêvez de Cuba ? il n’est pas si loin. Depuis le 30 septembre et jusqu’au 12 décembre 2021, l’Hôtel Eminente nous ouvre les portes d’un Cuba onirique et surprenant. Un lieu éphémère qui propose de nombreuses expériences sensorielles et culturelles en plein cœur de Paris. Dans tout l’hôtel et jusque dans les chambres, le parfum de la canne à sucre et les notes du rhum Eminente. Ce lieu éphémère a été créé spécialement autour du rhum Eminente. 

Le Ron Eminente :

Pour l’histoire, selon les origines du breuvage on parle de ron, de rum ou de rhum. En France on utilise l’orthographe rhum, mais on parle bien du même produit à chaque fois, un alcool conçu à base de canne à sucre. La différence vient donc plus du lieu où il est fait. Les rums viennent de la Barbade et de la Jamaïque, les rhums désignent une eau de vie produite en Guadeloupe, à Haïti, en Martinique, sur l’île de Marie-Galante ou de la Réunion. C’est le goût dit « français ». Pour ce qui est des rons cela nous indique qu’ils sont en provenance  de Cuba, de Porto Rico, d’Amérique du Sud ou encore de Guyane.

Eminente est un nouveau rhum cubain, élaboré au cœur d’une île que ses habitants surnomment «Isla del Cocodrilo», sa forme peu commune évoquant celle de son crocodile endémique. Imaginé par César Martí, plus jeune Maestro Ronero (Maître Rhumier), Eminente est un rhum riche et structuré, puisant son inspiration dans les eaux-de-vie de canne cubaines du XIXème siècle, caractérisées par leur complexité aromatique.

Eminente Réserva, est un rhum cubain de 7 ans d’âge : un rhum vieilli en fût de chêne, ce qui lui apporte des notes douces de vanille, de cacao et d’amande grillée. Un rhum aux saveurs de canne à sucre marquées, une pointe poivrée sur un léger fumé.

L’hôtel :

Au 20 rue Pascal dans le 5ème arrondissement de Paris, la végétation a repris ses droits. Derrière la végétation, un petit hôtel cubain ouvre ses portes. Une casa particular perdue au milieu de la jungle dont la façade aux murs peints d’un rouge ocre laissent entrevoir les marques du temps. Pendant 24h, vous pourrez vivre une immersion totale aux saveurs de la Havane, où l’on y découvre un bar à rhums exceptionnels, des chambres à la décoration tropicale et cubaine, un restaurant rattaché à l’hôtel qui offre un menu aux saveurs de l’île, jusqu’au spa qui prend des allures de mangroves…Un voyage tropical le temps d’une soirée.

« Cette adresse éphémère, dédiée aux cinq sens, incarne à elle seule le retour aux racines d’Eminente, un rhum cubain de dégustation.Avec cet hôtel perdu au milieu de la jungle, nous voulons faire vivre une expérience qui met à l’honneur la richesse du patrimoine culturel Cubain : son rhum, ses cocktails, mais aussi sa gastronomie ».

CAMILLE DE DOMINICIS — COFONDATRICE D’EMINENTE

Les chambres :

La décoration vous immerge dans une scène d’un polar cubain, les teintes sont vertes émeraudes, les baldaquins, le lin, les meubles en bois, les vinyles ça et là, le chapeau de paille négligemment oublié, les plantes vertes en « forêt luxuriante » dès l’ouverture de la porte de votre chambre. Tout y est et vous plonge dans un ailleurs tropical. C’est très cocooning et réconfortant, il ne manque plus que l’humidité étouffante, mais sans aucun doute on est transporté à la Havane. Le parfum d’ambiance aux notes de rhum et de canne à sucre y fait pour beaucoup aussi. Tous les sens sont travaillés pour augmenter l’immersion.

Le restaurant :

Le Grand dictionnaire, restaurant qui fait face à l’hôtel, est devenu paladar (restaurant familial), vous y découvrirez les spécialités cubaines qui se partagent de l’entrée au dessert. Le tout accompagné de rhum Eminente ou d’une sélection de vins blancs et rouges. Le menu qui vous est servi, compris dans le prix de votre soirée, a été pensé par Annabelle Cantarero, formée à l’institut Ferrandi à Paris, et qui a travaillé dans les plus beaux palaces de la capitale. Annabelle Cantarero propose une cuisine maison et traditionnelle, agrémentée d’une touche contemporaine inspirée de ses propres productions et des matières premières issues de Cuba. Du poisson, du porc, des saveurs mêlant épices et agrumes, une cuisine authentique et réjouissante. Pour finir sur un baba au rhum bien sûr, comment faire autrement.

Le bar de l’hôtel : Le 1802

L’expérience gustative se trouve ici, dans le bar de l’hôtel. Un temple du rhum. Un choix extraordinaire et venu des quatres coins de la planète : Barbade, Jamaïque, Réunion, Antilles, Haïti… Des rhums blancs, ambrés, des bruts de fûts, des sans âges, des clairins, des rhums rares et d’exceptions ou alors des cocktails maîtrisés et équilibrés.

Au 1802, vous avez l’occasion de découvrir un univers que l’on ne connaît pas assez ou que l’on croit plus petit qu’il n’est.

Ce soir là c’est Christopher Bellail qui est mon guide en terre de rhum. Et quelle aventure sensorielle, que de découvertes dans l’immense choix que le monde des rhums offre : de la douceur des notes de bananes plantains, aux notes de pétroles âpres, en passant par les notes d’ananas, de vanille et de mélasse.

Je pourrais maintenant vous en parler des heures mais il vous faudra y aller vous même pour faire vibrer vos papilles et bousculer vos croyances. Car si vous en avez l’envie, la curiosité, vous avez sur place des spécialistes de la question rhum, qui sauront vous initier.

Le Spa :

Comment mieux finir la soirée que par un bain, entouré de verdure et du chant de la jungle tropicale. Au sous-sol, l’ambiance cubaine perdure, et comble du plaisir, vous aurez le lieu privatisé pour vous durant 45 minutes.

 

Un couloir de nage d’une dizaine de mètres, une eau ni trop fraîche, ni trop chaude. Un moment parfait pour savourer l’élan de la dégustation des rhums, avant d’aller vous coucher sous un baldaquin de lin.

Une expérience à s’offrir sans plus attendre. Un dépaysement savamment travaillé et unique, que nous ne pouvons que vous recommander.

Avec pour dernier plaisir avant d’atterrir sur Paris un petit déjeuner au lit.

 

Article écrit par Alexis Dumétier

 

Réservation sur Staycation. Offre 24h, « Una noche Cubana » , à partir de 300€.

L’offre inclut une nuit pour deux personnes, le petit-déjeuner, une dégustation Eminente, 1 cocktail par personne, le dîner cubain, l’accès à la piscine pendant 45 minutes et 1 bouteille de Eminente Reserva.

 

read more
1 5 6 7 8 9 27
Page 7 of 27