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CARTIER présente le collier MAHARAJAH

Cartier rend hommage aux grands colliers de cérémonie des maharajahs. Cette parure créée en 2019 met en scène un ensemble exceptionnel d’émeraudes, mais aussi de saphirs et de rubis, autour d’un savoir-faire ancien venu d’Inde.

Les émeraudes gravées réunies par Cartier constituent un ensemble d’autant plus singulier que la forme en « grappe » du pendant est rare en Haute Joaillerie – même si Cartier l’a déjà employée par le passé dans les années 1920-30. Ce pendant est composé de 19 gemmes.
Deux émeraudes d’un poids total de 86,96 carats et une pierre de centre de 43,73 carats originaires de Colombie, lieu de provenance de gemmes parmi les plus réputés au monde, complètent cet ensemble.

Impressionnantes par leur poids, ces émeraudes se distinguent par l’ensemble harmonieux qu’elles composent mais aussi par leur couleur, leur intensité lumineuse et leur cristallisation. S’y ajoutent une émeraude de Zambie gravée hexagonale de 18,58 carats, un rubis de Birmanie gravé de 23,24 carats, huit rubis de Birmanie pour un poids total de 46,34 carats et deux rubis de Birmanie pour un poids total de 13,26 carats.

Pour Cartier, l’important dans le savoir-faire, c’est le trait d’union entre l’idée et sa réalisation, entre la créativité de Cartier et son exigence. C’est ce trait d’union que l’on retrouve entre les outils d’hier et les techniques d’aujourd’hui, entre l’esprit pionnier de Louis Cartier et la vision contemporaine de la Maison. Le savoir-faire de Cartier est le résultat d’échanges entre les designers, les joailliers et les ingénieurs. Il se développe au fil de rencontres parfois inattendues et se concrétise au fil d’un processus d’itérations. Le savoir-faire de Cartier : un dialogue ininterrompu entre technique et créativité qui unit le savoir et le faire – d’un trait d’union. On compte au total 4566 heures de travail de joaillerie, de sertissage et de polissage.

Le passage du dessin en deux dimensions à l’objet en volume constitue la première prouesse du collier Maharajah. De l’idée à l’objet, cette transformation révèle une multitude d’inconnues – ajustements de pierres, de couleurs, réglages à apporter pour parfaire l’ergonomie de la pièce. Dessinateur et joailliers travaillent côte à côte à servir un but commun : retranscrire l’idée d’origine en une parure exceptionnelle.

Une création de Haute Joaillerie est un éblouissement, un rêve transformé en lumière. C’est aussi une construction ingénieuse, conçue au millimètre, dont la complexité de conception est insoupçonnable. Sur le pendant du collier, les 19 émeraudes composent une architecture en volume, d’une parfaite tenue. Pour permettre cette chute, chaque gemme est sertie dans une très fine armature en métal,
véritable dentelle apposée sur l’arrière du collier. Chaque pierre étant unique, la mise au point de cette structure sur mesure a généré une collaboration intense dans l’atelier, mêlant à part égale esthétique et technique. Pour diriger le regard sur les gouttes d’émeraude du pendant – et ne pas le laisser s’égarer vers d’infimes points de métal qui pouvaient apparaître selon l’angle d’où l’on se place – le designer et le chef d’atelier ont mis au point un leurre : de minuscules billes de saphir ont été ajoutées en terminaison de chaque goutte d’émeraude. Ainsi, le saphir attire le regard vers l’émeraude avec laquelle il compose une association de couleurs chère à Cartier.

Tout autour de la partie centrale, plusieurs rangs de boules sont disposés, formant un plastron transformable.  Selon le porté choisi (le collier en propose huit principaux), le nombre des rangs varie, et avec lui la répartition du poids des gemmes. Pour que celle-ci soit agréable à porter quel que soit le porté, l’enfilage a été intensément étudié – avec de multiples réglages et ajustements. Le dessin de création constitue le point de départ : il donne la direction et prévoit les différentes étapes en atelier, auxquelles sont associées des durées. À ce temps de travail, s’ajoute un temps parallèle qui se déroule tout au long de l’élaboration de la pièce et engage designer et joailliers à concevoir, alors que la pièce prend forme sur l’établi, une multitude de réponses à apporter aux questions qui surgissent.

Cette pièce s’inscrit dans la grande tradition Cartier de la joaillerie transformable et propose huit portés principaux pour le collier et deux variations pour les pendants d’oreilles. Ainsi, la partie intérieure en rubis se transforme en collier de chien ; les pampilles et les grappes d’émeraudes cernant le motif central peuvent être enlevées, offrant une version plus courte de la parure ; la grappe centrale se porte en pendant sur une chaîne. Les pendants d’oreilles peuvent, quant à eux, accueillir les deux émeraudes latérales.

Une pièce exceptionnelle, moderne, inspirée par le passé et l’histoire de la maison Cartier.

 

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l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris s’agrandit avec 4 nouvelles suites.

l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris inaugurera les 4 Suites Signature de son extension fin Novembre. Imaginées par Jacques Garcia et pensées comme de véritables appartements parisiens, elles sont une ode à l’Art de Vivre à la française. Au sommet, la Suite Harcourt rend hommage au célèbre studio parisien et propose une expérience hors du commun, sous les projecteurs et le ciel de Paris. 

Entièrement rénové et agrandi en 2017, l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris assoit sa légende sur la plus belle avenue du monde avec la création de 19 nouvelles Chambres et Suites dont 4 Suites d’exception signées Jacques Garcia. Véritable joyau du groupe Barrière, l’hôtel s’impose face à l’Arc de Triomphe comme un lieu où le temps peut suspendre son vol.

 

Si les Chambres reprennent l’esthétique discrète et le design soigné du reste de l’hôtel, les 4 Suites Signature, conçues comme de véritables appartements parisiens, offrent de magnifiques espaces de vie, sublimant les moulures et cheminées d’origine et promettant à leurs hôtes une immersion totale au cœur du style et de l’art de vivre de Paris.

Au fil des étages, on découvre trois Suites comme on remonterait les Champs, de la « Suite George V » à celle la Suite « Arc de Triomphe ».

Loin des couleurs chatoyantes et chaudes des parties communes, Jacques Garcia a choisi d’y faire régner des tons clairs et apaisants, rehaussés de touches noires et dorées, pour en faire de véritables cocons de bien-être et de sérénité face à l’effervescence des Champs-Élysées.

Au sommet, la Suite Harcourt rend hommage à la collaboration entre l’Hôtel et les Studios Harcourt dont les histoires s’entremêlent depuis le début du 20e siècle. De Joséphine Baker à Édith Piaf, de Gabin à Tarantino, des Molière aux César, Le Fouquet’s est le rendez-vous éternel du monde des arts et du cinéma et les œuvres d’art photographiques signées Harcourt y trouvent, très tôt, leur place sur les murs. Une entente mythique qui voit son apothéose avec la création de cette Suite, couronnant l’Hôtel et surplombant les Champs-Elysées.

Sous le regard en noir et blanc des célèbres visages Harcourt immortalisés sur les murs, la Suite Harcourt déploie ses 200m2 de prestige et d’élégance.

Au cinquième étage de l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris, cet appartement typiquement parisien reprend les codes et l’esthétique du Studio, des appliques murales aux projecteurs, en passant par la feuille d’or et la dominante noir et blanc. Les fenêtres œil de bœuf, si caractéristiques de l’architecture parisienne, rappellent les objectifs photographiques et illuminent chaque pièce de leur vue imprenable sur les Champs-Élysées et l’Arc de Triomphe. Pénétrer dans la Suite, c’est toucher du doigt l’élégance à la française et l’art de recevoir très parisien, qui font la réputation du Studio Harcourt comme du groupe Barrière.

Le plus ? Un salon qui se transforme en un clin d’œil en véritable studio photo et un espace maquillage professionnel, pour offrir aux hôtes de cette Suite prestigieuse, leur propre portrait signé Harcourt.

Lieu emblématique du luxe et de l’art de vivre parisien, l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris promet, avec ces Suites d’exception, une véritable immersion dans le Paris typique où l’on entre dans sa Suite comme l’on rentrerait chez soi, où l’on reçoit et où l’on choie. A découvrir dès le 28 novembre 2019.

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Luca Giordano – Le triomphe de la peinture napolitaine

Luca Giordano (1634-1705) est exposé au Petit Palais depuis le 14 novembre, et pour la première fois en France pendant une une rétrospective consacrée à cet artiste napolitain, l’un des peintres les plus brillants du seicento. Disciple du maître espagnol Jusepe de Ribera, Giordano a participé tout au long de sa vie à la mise en lumière de la peinture napolitaine sur la scène artistique européenne. Un artiste prodige, un fils de peintre qui fut placé dès son plus jeune âge comme apprentis auprès du maître José de Ribera pour parfaire son talent précoce, celui d’un artiste infatigable, que son père avait surnommé Luca Fà-presto (Luca fait vite) et dont on dénombre à l’heure actuelle plus de 1000 peintures.

Jusepe de Ribera (lo Spagnoletto) Xàtiva 1591 – Napoli 1652) Apollo e Marsia 1637
olio su tela 182 × 232 cm Napoli, Museo e Real Bosco di Capodimonte

Lors d’un voyage à Rome en 1652, il découvre les chefs-d’œuvre de Michel-Ange, de Raphaël, des Carracci et du Caravage, en s’appliquant à les dessiner, puis, à Parme les œuvres du Corrège et de Véronèse. Il complétera par un séjour à Venise entre 1653 et 1667 où il obtient ses premières grandes commandes. Pour la Basilique San Pietro di Castello il réalise un retable la Vierge à l’Enfant avec les âmes du Purgatoire. Il travailla aussi pour l’église Santa Maria del Pianto, aujourd’hui fermée. Après avoir visité et expérimenté dans la plupart des grands centres artistiques de l’Italie, Giordano se forgea un style personnel, combinant dans une certaine mesure la pompe ornementale de Véronèse avec les grandes compositions de Pierre de Cortone. À la fin des années 1670, à Naples, il termine l’ensemble des fresques de l’abbaye du Mont-Cassin et surtout la coupole de l’église napolitaine Santa Brigida, puis les fresques dorées de San Gregorio Armeno. De nouveau à Florence au début des années 1680, il travaille à la chapelle Corsini dans l’église Santa Maria del Carmine et à la décoration de la bibliothèque et du palais Medici-Riccardi. Il fait un troisième séjour vénitien en 1672-1674.

Vers 1687, Charles II d’Espagne l’invite à Madrid, où il reste au moins pendant toute la décennie 1692-1702 pour les fresques au monastère de l’Escurial, au palais royal du Buen Retiro de Madrid et de Tolède qui conservent une partie de ses œuvres. Giordano fut populaire à la cour espagnole et le roi lui concéda le titre de caballero (en français : « chevalier »). De retour à Naples vers 1702, il continue de travailler avec la même incessante fureur créatrice, peignant notamment de 1703 jusqu’à sa mort le plafond de la salle du Trésor de la chartreuse San Martino de Naples. Les commissions toujours plus nombreuses le conduisirent à se servir d’un atelier de production, dans lequel des aides et des collaborateurs développaient « en grands » les projets et les ébauches fournies par le maître, complétaient des œuvres commencées par celui-ci, et pour lesquelles, dans beaucoup de cas, Giordano se limitait à finir, d’un coup de pinceau, le travail effectué par ses élèves. Luca Giordano est inhumé en l’église Sainte-Brigitte de Naples.

L’ambition de cette exposition est de souligner la virtuosité de cet artiste du XVIIe siècle à travers la présentation de près de 120 peintures sur toile et d’une vingtaine de ses dessins préparatoires réunis grâce aux prêts exceptionnels du musée Capodimonte à Naples, de plusieurs églises de la ville et de nombreuses institutions européennes. Après l’exposition sur le sculpteur Vincenzo Gemito, cette rétrospective constitue le second volet de la saison que le Petit Palais consacre à Naples.
Organisée selon un axe chronologique, le parcours de l’exposition souhaite apporter une vision renouvelée de l’artiste et montrer comment Luca Giordano a su tirer le meilleur des différents courants stylistiques de l’époque pour créer l’une des peintures les séduisantes de son siècle.

Du 14 novembre 2019 au 23 février 2020 – Du mardi au dimanche de 10h à 18h
Nocturne le vendredi jusqu’à 21h – Informations: www.petitpalais.paris.fr

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Le WINDO SKYBAR du Hyatt Regency Paris Etoile

Le Windo Skybar rend de nouveau hommage à la Ville Lumière à travers sa nouvelle carte : à 140 mètres d’altitude, les cocktails s’y dégustent armés d’une boussole et d’un esprit d’aventurier, pour mieux découvrir la capitale…

Au 34ème étage du Hyatt Regency Paris Etoile, seul hôtel gratte-ciel de la capitale, la Chef Barman Jessy Lansee s’est inspirée de la skyline parisienne pour imaginer la nouvelle carte du Windo Skybar, résolument innovante et savoureuse. Celle-ci s’attache à réinterprété en d’originales créations les lieux emblématiques de la capitale que les larges baies vitrées du bar permettent d’admirer, à 140 mètres du sol. Chacun associés à un degré, la vingtaine de cocktails de la nouvelle carte nous révèle un tout nouveau Paris. Tel un jeu de piste, le spectateur armé d’une boussole s’offre un tour à 180° sur l’histoire vertigineuse de la capitale.
Parmi ces nouveautés, le détonnant « Rue Mouffetard », potion magique à base de vodka et d’épices, nous plonge dans les contes de notre enfance. « Triomphe » rend quant à lui hommage à deux grands classiques français, le cognac et le champagne, en les modernisant par une originale liqueur d’açai. Mentionnons encore le « Jardin Suspendu » dont les arômes de bergamote et de citron rappellent les serres du célèbre Jardin d’Acclimatation.

Suspendu à 140 mètres du sol, le Windo Skybar est un véritable rendez-vous parisien. Inauguré en 1974, il a accueilli les soirées les plus mémorables, grâce à sa vue imprenable sur le tout Paris. Totalement repensé en 2018 par l’architecte New-Yorkais George Wong, le design du bar s’inspire d’un jardin intérieur privé, au cœur de la ville.
Au rythme des sessions DJ live, on y prend un peu de hauteur pour mieux s’imprégner de la cadence urbaine. Chaque soir, le bar offre la promesse d’un spectacle en tête à tête avec la Ville Lumière…
Du lundi au vendredi, le Windo Skybar met en place les « Golden Hours », de 17 à 19 heures, et propose la deuxième boisson offerte.

Windo Skybar
34ème étage du Hyatt Regency Paris Etoile
3 Place du Général Koenig, 75017 Paris
01 40 68 51 31 – www.windoparis.com

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La cour des Vosges – Hôtel très particulier

La cour des Vosges ouvre ses portes. Après le Nolinski, le Brach et le Sinner, le groupe Evok inaugure une nouvelle adresse. Au cœur du Paris historique, unique hôtel à offrir une vue imprenable sur le square Louis XIII, Cour des Vosges, est dotée de 12 chambres et suites, d’un restaurant et d’un bain romain.


Retraite secrète, adresse confidentielle et hôtel très particulier, la cour des Vosges cultive l’art de vivre à la française et l’élégance des hôtels particuliers parisiens. La décoration est signée Lecoadic-Scotto, ils offrent ici une atmosphère toute particulière, une discussion entre les époques où le design contemporain rencontre objets et clins d’œil d’époque. Hauteur sous plafond, sol en terre cuite, lits à baldaquin revisités, ici l’authenticité et l’esprit du lieu sont conservés et respectés.
La terrasse au rez-de-chaussée offre une restauration légère mais également, un « corner pâtisseries Brach », où une sélection de douceurs sucrées, concoctées par le pâtissier Yann Brys, Meilleur Ouvrier de France est proposée.

Dans la pierre de Paris, cette pierre blonde issue des carrières des anciens rois de France, la Cour des Vosges réinvente son histoire. Situé dans le carré royal de la célèbre Place des Vosges, EVOK reçoit dans l’ancien hôtel de Montbrun, classé monument historique où le temps suspend son vol avec poésie.
Dans le respect des formes et volumes d’époque, arbres et arcades s’invitent dans l’intimité des suites et des chambres. Toutes ont une vue sur le square Louis XIII et ses façades en briques roses coiffés d’ardoise, édifiées au XVIIe siècle.

Les douze chambres et suites de cet ancien hôtel particulier offrent aujourd’hui espaces privés, salon de thé, et bain romain, que revisitent sur quatre étages une décoration originale mêlant adroitement modernité et éléments du décor d’origine. Les plafonds de bois peints cohabitent avec plaisir avec les murs d’aluminium brossés et les moquettes orange seventies répondent aux tomettes hexagonales en terre cuite typique de cette période de l’Histoire. Et c’est bien là la principale force de la cour des Vosges : réaliser le tour de force de créer le trait d’union entre passé et présent, classicisme et modernité.

19 PLACE DES VOSGES 75004 – T. 01 42 50 30 30

www.courdesvosges.com – @courdesvosges 

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THE PLACE LONDON RELANCE LE JEAN NEW MAN

New Man, marque culte des années 70 et 80 revient, est relancé par The Place London.

C’est dans un esprit d’innovation et de dépassement des frontières, deux mots d’ordre chers à The Place London, que cette année voit apparaître la renaissance mondiale de la marque française de jeans New Man. Derrière ce renouveau, Simon Burstein, qui se souvient du jean New Man de sa jeunesse alors qu’il travaillait comme vendeur chez Browns.

Il faut se souvenir que New Man, c’est l’histoire de deux jeunes frenchies un peu fous et rêveurs qui partent en virée initiatique en Californie. Avec son énergie créatrice, son style de vie cool et surtout, ce soleil omniprésent, le Golden State les électrise. A leur retour, ils n’ont qu’une envie : insuffler cette énergie dans un projet personnel. Ce sera une marque de vêtements, pour homme et pour femme, mais sans le côté bling de la mode ou conservateur du luxe. Ce qu’ils veulent, ce sont des vêtements de jour, un style urbain avec une sophistication sportswear dans les coupes et les finitions. Mouvement, couleur et impertinence, sinon rien ! Dire qu’il a été crayonné sur un bout de serviette… Il fallait au moins un designer de la stature de Raymond Loëwy, pionnier du design industriel moderne, pour réaliser un tel trait de génie ! Le logo ambigramme de New Man est à l’image de ses valeurs. Dans un sens comme dans l’autre : _il se lit exactement de la même façon ; _il est l’étendard d’un style et d’un esprit sans cesse renouvelés : libre, intrépide et entreprenant.

C’est grâce à son adoration nostalgique pour la marque, si célèbre pour ces jeans colorés dans les années 70 et 80,  et à l’amour toujours croissant de la Mode d’aujourd’hui pour le passé, que Burstein a personnellement recherché les propriétaires de la marque et a obtenu une licence mondiale exclusive pour les magasins The Place London, à Londres et à Paris. Connu pour son pantalon en velours aux couleurs vives et ses vestes assorties pour hommes et femmes, New Man est une marque emblématique des années 70. Les silhouettes et les choix de couleurs audacieux restent intemporels et donc idéaux pour le consommateur actuel. Le jean en velours à cinq poches, taille haute et évasé, est disponible en six coloris: rose vif, bleu royal, beige, anthracite et noir, tous avec des vestes assorties. Ils sont disponibles à partir de 200 € et sont disponibles en exclusivité chez The Place London au 8 rue de L’Odeon – Paris 75006.

 

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Sinner, l’hôtel de toutes les tentations

Sinner ose tout pour vous surprendre, et même s’installer dans le Marais, qui est l’un des quartiers les plus anciens de Paris. Autrefois, quartier aristocratique, puis ouvriers, il est aujourd’hui festif et branché. Ce quartier emblématique de Paris vit au rythme de l’art, du design et de la mode. Incontournable lors d’un séjour parisien, il offre découverte de galeries d’art contemporain, adresses de jeunes créateurs tout autant que des balades historiques au cœur d’un quartier marqué par son très riche passé.
Musées, hôtels particuliers du 17eme et 18eme siècle, cours secrètes, jardins cachés… se découvrent à chaque coin de rue. Sinner a su s’approprier l’héritage du Marais – à la fois riche, architectural, joyeux, créatif et avant-gardiste – en cultivant une identité propre, disruptive. Et en y dévoilant les codes d’une hôtellerie exigeante : l’excellence, la disponibilité, le sens du détail et un service attentionné.

photo: Nicolas Receveur

Sinner s’adresse aux esthètes, aux investigateurs urbains et aux flâneurs singuliers, curieux de découvrir une autre page de l’hôtellerie de luxe à travers un scénario de la ville inédit. L’hôtel puise dans l’histoire du Marais une partie de sa personnalité, mais aussi dans celle des talents qu’il héberge et qui l’entourent. Expositions, rendez-vous d’architecture, de mode, de musique et de design, les événements culturels trouvent toujours écho derrière les vitraux du Sinner.

photo: Nicolas Receveur

Sinner ne « voit » pas comme tout le monde et ne fait rien comme les autres. L’hôtel propose 43 chambres et suites, un restaurant ethnique, un spa. Un mélange d’héritage religieux, d’espaces feutrés et de volumes spectaculaires. Opposant les lignes radicales aux volutes suggestives, un sens de l’esthétique brute aux atmosphères les plus enveloppantes. Fidèle à sa signature, l’architecte d’intérieur Tristan Auer déjoue ici les modes et provoque la surprise jusque dans les moindres détails. De la langueur électrique du restaurant aux chambres inspirées des cellules ecclésiastiques, des couloirs sombres éclairés à la lumière des vitraux, au concept-store hébergé dans la crypte. Sinner inaugure un nouveau chapitre parisien, libéré de tous les standards.
Les couloirs serpentent dans une atmosphère mi sacrée mi feutrée, simplement réchauffés par les jeux de lumières des vitraux qui ornent les murs et à la lueur des lanternes qui mènent chaque hôte à sa chambre.

photo Nicolas Receveur

Les portes rouges aux heurtoirs et judas, inspirées des portes cochères dévoilent 43 chambres et suites. Chacune illustrant la typicité d’un quartier à la fois historique et avant-gardiste. À l’intérieur, des matières : du velours, du bois et de la terre cuite mais aussi des œuvres d’art et des tableaux, comme un clin d’œil aux érudits et aux esthètes urbains qui prendront le temps de découvrir et de reconnaître ses trésors. L’atmosphère toute entière convie les sens à travers un univers olfactif, des jeux de matières et une sélection artistique pointue.
Sinner réussit le mariage des contraires et signe une vision nouvelle d’un séjour inspiré. Paris a l’éclat singulier d’une éternelle ambitieuse et le charisme des plus belles aristocrates, Sinner en a hérité le meilleur : l’impertinence et la liberté d’expression.

photo: Nicolas Receveur

Une seule suite, comme signature, qui combine avec raffinement et non sans audace, des volumes cathédraux et un séjour piqué d’insolite. Perchée au dernier étage de cette adresse, prise de vertiges et d’optimisme, elle se dévoile à mesure qu’on l’investit. Se vit comme un vrai pied-à-terre parisien, avec toute la fantaisie que l’on attend d’une cachette éphémère. Elle a la fantaisie discrète et l’insouciance d’une garçonnière originale.

photo: Nicolas Receveur

Face à la réception, clin d’œil à l’héritage des Templiers et d’un quartier qui souffle une personnalité sur le fil, c’est dans une crypte éclairée à la bougie que Sinner dévoile sa sélection de trésors à la manière d’un mystérieux cabinet de curiosités.

 

“ Sinner n’est pas un lieu de plus. C’est une savante alchimie où se croisent les destins, les époques, le mystère et une certaine forme de liberté. ”
EMMANUEL SAUVAGE – Directeur General et co-fondateur du groupe Evok

SINNER – 116 rue du Temple 75003 Paris

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Anthony Peto, le chapelier fou

Anthony Peto est né à Londres. Il débuta sa carrière dans la capitale anglaise en tant que rédacteur en chef d’un journal d’art et organisateur de soirées. C’est au début des années 80, époque à laquelle il s’installa en France, que son amour pour l’univers du chapeau grandit en lui. Il monta son tout premier atelier de chapeaux dans le centre de Paris, en réunissant tout le savoir-faire nécessaire pour assurer une production de qualité, artisanale et innovante. Son objectif premier: créer des couvre-chefs tendances, faciles à porter, beaux et confortables.

Ses premières collections étaient dédiées à des formes masculines tels que le fédora ou encore le haut de forme. Il décida par la suite de changer d’horizon en prenant une direction plus libre et expressive: des perruques en plumes, des chapeaux découpés, des formes surdimensionnées dans des matériaux inédits, tout en conservant des formes plus traditionnelles et des modèles pour la vie de tous les jours.

Anthony Peto est maintenant distribué dans de nombreux pays et possède trois boutiques qui lui sont propres, deux à Paris et une à Dublin, où Anthony réside depuis plusieurs années. Son inspiration vient d’un imaginaire mêlant excentricité anglaise et chic parisien.

Les couleurs de ses collections rappellent les tons chauds de la Méditerranée. Souvent plébiscités par des professionnels du divertissement ou des passionnés de chapeaux du monde entier, on compte aussi parmi les amis de la marque des personnalités telles que Jacques Audiard, Christian Louboutin, Mathieu Chedid, Justin Timberlake, Joey Starr et bien d’autres encore.

Anthony Peto – 56 rue Tiquetonne – 75002 Paris

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Celio* et Coca-Cola, la capsule pétillante

Celio* et Coca-Cola dévoilent une collection capsule inédite aux consonnances rétro et street à la fois. Pour fêter dignement les 100 ans de l’arrivée de Coca-cola dans les malles des troupes de soldats du Général Pershing en France, celio* revisite le riche héritage du géant limonadier américain en puisant dans les archives de son univers esthétique comme l’association du rouge et du blanc, la virgule, mais aussi l’optimisme, la joie de vivre et de partager… cette façon de faire pétiller les bons moments, entre amis ou en famille ou en amoureux, avec une capsule audacieuse, colorée et attrayante.

La collection se compose d’un ensemble de vêtements et d’accessoires co-brandés et frappés de l’îconique logo traduis en Coréen, Arabe, Thaïlandais et Bulgare, la collection se veut graphique et attrayante. La collaboration entre les deux marques célèbre l’esprit optimiste qui est le sien depuis le début dans une atmosphère puisant aux racines des années 60 et 70, avec une touche de style issue de la vague streetwear des années 80 qui ne pourra que plaire à la nouvelle génération.

Le désormais emblématique sweat à capuche celio* reprend le graphisme blanc et rouge aux accents vintage de coca-cola mais il est également décliné dans des teintes franches de bleu et de jaune. 

Alliant simplicité et créativité, quatre tee-shirts à col rond légèrement évasé au style résolument « Pop Culture » apportent une fraîcheur très moderne et néanmoins teinté d’une certaine nostalgie à la collection. La gamme des accessoires a quant à elle été déclinée sous la forme de casquettes, d’un sac week-end qui ne pourra pas vous laisser indifférent et de l’indispensable accessoire à la mode cette saison: un sac banane en damier rouge et blanc à porter en bandoulière comme il se doit.

La capsule celio* x Coca-Cola sera disponible dans toutes les boutiques celio* le 21 Aout 2019.

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FRENCH DEAL – The Volume IV collection

FRENCH DEAL, la marque de luxe basée à Paris, a dévoilé sa dernière collection Volume IV au Yoyo, Palais de Tokyo lors de la semaine de la mode masculine en juin 2019. Créée en 2012 par Steeven Kodjia, FRENCH DEAL est une marque de prêt-à-porter s’inspirant de l’univers hip-hop dans une vision revisitée du style urbain, avec un zeste de sophistication. Toutes les pièces sont confectionnées de façon artisanale en France. C’est la rencontre du hip-hop et du luxe.

Comme beaucoup de marques cette année, FRENCH DEAL à décidé de présenter une collection mixte. Des vêtements « Ready To Wear » pour hommes et pour femmes, mélangeant blazers et costumes, vestes en cuir, en passant par des trenchs, des chemises boutonnées, des pantalons et des shorts.  FRENCH DEAL évolue entre rigueur artisanale de qualité et inspiration streetwear. Pour la marque, tout est dans le soucis du détail. La justesse d’exécution, la précision des coupes, la provenance des tissus qui composent les produits, rien n’est laissé au hasard. C’est cette perception de la mode, qui réunit aujourd’hui toute l’équipe créative. La défense des savoir-faire s’intègre naturellement dans les valeurs de la marque. FRENCH DEAL travaille ainsi avec des Entreprises du Patrimoine Vivant et fait fabriquer 100% de ses pièces en France.


La collection a été présenté dans un décor inspiré d’un village africain. Conçue avec des matériaux uniques dérivés de la Côte d’Ivoire, cette ligne rend hommage aux racines culturelles du créateur tout en présentant le meilleur du design français et de la confection européenne.

De plus, le 27 juillet dernier, le directeur artistique de la maison French Deal s’est rendu à l’International Fashion Film Festival de La Jolla, San Diego, pour y présenter le fashion film de la dernière collection Volume 4.
Nominé dans 6 catégories lors de cet évènement, French Deal a été primée pour l’award « BEST FASHION 2019 » lors de la soirée de remise des prix.

Entièrement réalisé en Côte d’Ivoire, à Abidjan, le fashion film du Volume 4 dévoile le retour aux sources du directeur artistique. On voyage, on découvre, on apprend avec lui. French Deal célèbre l’Afrique et nous raconte l’histoire merveilleuse et douloureuse d’une reine prête au plus grand sacrifice  pour sauver son peuple. La force de la Femme est mise sous le feu des projecteurs au cœur de l’Odyssée du peuple Baoulé. La musique est envoûtante. Les images portent l’authenticité. French Deal transcende et nous élève dans les nuages d’une mixité ethnique.

http://frenchdeal.biz/french-deal-prime-a-linternational-fashion-film-festival-de-la-jolla-san-diego/

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ArchivesEditoMagazine

SHUT UP AND DRIVE by Frank Louis

Photographer: Frank Louis / Facebook: franklouisphoto / Instagram: @franklouisphoto / twitter: franklouisphoto

Model: Stephen King  / Instagram: @Reignofstephen

Jacket by Alexander McQueen, Jeans by Theory, shirt by Saint Laurent Paris, sunglasses RayBan
Jacket by Tom Ford, jeans by Theory, belt by Gucci
Jeans by Theory, top by Topman
Top designed by model, jeans by Theory

pants by Theory
One piece by Mr. Turk

 

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