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Fêter les 70 ans de Relais et Châteaux en Porsche Cayenne E-hybrid

Cette année nous fêtons les 70 ans de l’association Relais & Château, à l’Auberge des Templiers, lieu où tout a commencé, et pour nous y rendre nous avons testé le tout dernier Cayenne e-hybride de Porsche.

Le 16 avril 1954 très exactement, allait se dérouler un événement qui resterait à jamais
gravé… Ce jour, Marcel Tilloy, hôtelier-restaurateur dans la vallée du Rhône, vint proposer à Lucienne-Anne et Jacques Dépée, eux-mêmes propriétaires de L’Auberge des Templiers et détenteurs d’un macaron au Guide Michelin, de fonder une alliance de huit hôteliers présents sur l’itinéraire Paris-Nice. Dénommés alors Les Relais de Campagne, ces huit établissements allaient devenir la première génération des Relais et Châteaux.


C’est ainsi qu’est née l’association des Relais & Château, autour de l’idée du voyage afin de découvrir des demeures de charmes où séjourner, comme si nous étions à la maison et avec la possibilité de déjeuner et dîner à de belles tables étoilées, ou non, avec pour philosophie l’art du bien recevoir, de la convivialité.

Pour célébrer cet anniversaire, ce sont quatorze Chefs qui se sont déplacés, venus de maisons Relais et Châteaux de toute la France, dont Baumanière avec Glenn Viel, Les Maison Marcon avec Régis et Jacques Marcon, Le Relais Bernard Loiseau représenté par Patrick Bertron, La Côte Saint-Jacques et Jean-Michel Lorain, Paul Stradner pour La Villa René Lalique , Le Chef Jérôme Schilling pour Hôtel & Restaurant Lalique Château Lafaurie-Peyraguey,

Le Phébus & Spa avec Xavier Mathieu, La Chapelle Saint-Martin avec Gilles Dudognon, Maison Décoret avec Jacques Décoret, L’Auberge des Templiers et toutes leurs équipes, Château Saint-Jean et Olivier Valade, Le Château de Courcelles avec Lucas Vannier, Les Hautes Roches représenté par Didier Edon ainsi que L’Hôtel de la Plage par Stéphane Chauvin.

Tous ces chefs avaient pour contrainte commune de nous faire découvrir leurs talents à travers une simple et unique bouchée, accompagné d’un vin. Et quelle démonstration de talent ce fut. Tous ces chefs expriment avec les produits de leurs terroirs un talent exceptionnel, chacun valant le détour pour aller les découvrir dans leurs régions.

La route pour aller à la rencontre de ces maisons chaleureuses et ces chefs aux milles talents peut se faire de bien des façons, mais la plus pratique et la plus souple reste certainement la voiture. Pour nous rendre à cette journée anniversaire la team Blake a essayé le dernier Cayenne e-hybrid de Porsche.

Dans l’univers de l’automobile de luxe, Porsche a toujours su se démarquer avec des véhicules alliant performance, élégance et technologie. Le dernier Porsche Cayenne E-Hybride ne fait pas exception à cette règle. Véritable chef-d’œuvre d’ingénierie et de design, dans ce SUV hybride, confort, puissance et technologies embarquées se rencontrent pour offrir une expérience de conduite inégalée.

Une Puissance Électrisante

Dès le premier coup d’œil, le Porsche Cayenne E-Hybride impose sa présence, surtout avec cette finition de peinture « légende » : Bleu montego métalisée, atypique et séduisante. Sous son capot se cache une mécanique de pointe, combinant un moteur V6 turbo de 3,0 litres avec un moteur électrique, pour une puissance totale de 462 chevaux pour propulser les 2 370 Kg du SUV. Cette alliance entre le thermique et l’électrique permet une accélération fulgurante, passant de 0 à 100 km/h en seulement 5,0 secondes. La vitesse maximale, quant à elle, atteint 253 km/h, témoignant de l’esprit sportif indéniable de ce Cayenne E-Hybride.

La véritable révolution se trouve dans l’efficacité énergétique : le Cayenne E-Hybride offre une autonomie électrique pouvant atteindre 40 kilomètres, idéale pour les trajets urbains sans émissions. La batterie lithium-ion de 17,9 kWh se recharge en seulement 2,3 heures avec un chargeur de 7,2 kW, permettant une bonne flexibilité dans l’utilisation quotidienne.

Un Confort Sans Compromis

À bord du Cayenne E-Hybride, chaque détail a été pensé pour offrir un confort exceptionnel. Les sièges, recouverts de cuir fin et réglables dans de multiples positions, offrent un soutien parfait pour les longs trajets. Le système de chauffage et de ventilation à quatre zones assure que chaque passager peut profiter d’un environnement climatisé à son goût. Les sièges avant peuvent être équipés de fonctions de massage pour une relaxation maximale lors des longs trajets.

L’habitacle spacieux offre un comfort de route exceptionnel et grâce au toit panoramique l’habitacle est particulièrement lumineux, une invitation à la détente et au bien-être. Les passagers arrière ne sont pas en reste, bénéficiant de sièges chauffants et d’un espace généreux pour les jambes. Le système audio Burmester 3D High-End Surround Sound transforme chaque trajet en une expérience acoustique exceptionnelle, enveloppant les occupants dans un son particulièrement bien spacialisé.

La suspension pneumatique adaptative, de série sur ce modèle, absorbe les irrégularités de la route avec une aisance déconcertante, garantissant une conduite douce et sereine. Avec les pré-réglage vous pouvez jouer sur la dureté de celle-ci mais aussi sur la hauteur du chassis, ce qui permet de s’adapter à des conduites variés allant de sportive ou routière, et des routes diverses que ce soit autoroute ou hors route. Le Porsche Cayenne E-Hybride se comporte en toutes situations avec une maîtrise exemplaire, offrant une expérience de conduite fluide et plaisante.

La Technologie au Service de la Conduite

Le Porsche Cayenne E-Hybride embarque quasiement toutesl es dernières technologique de chez Porsche. Le tableau de bord est dominé par un écran tactile haute résolution de 12,3 pouces, intégré au système d’info-divertissement Porsche Communication Management (PCM). Ce système intuitif offre une connectivité sans faille avec les smartphones grâce à Apple CarPlay et Android Auto, ainsi qu’une navigation GPS avancée et des commandes vocales intelligentes.

Le fin du fin, le passager avant dispose d’un écran tactile dédié de 10,9 pouces, intégré dans le tableau de bord côté passager. Cet écran permet d’accéder à diverses fonctions multimédia, à la navigation et aux réglages du véhicule sans déranger le conducteur. Grâce à cette technologie, le passager avant peut gérer la musique, la climatisation et même regarder des vidéos en toute tranquillité, offrant une expérience de voyage encore plus enrichie.

Pour les passagers arrière, Porsche a également intégré un système de divertissement de pointe. Chaque passager peut profiter de son propre écran tactile de 10,1 pouces monté à l’arrière des sièges avant. Ces écrans permettent de diffuser du contenu multimédia via des ports HDMI, USB et des connexions sans fil, offrant une expérience personnalisée et immersive. Les passagers peuvent également contrôler certaines fonctions du véhicule, telles que la climatisation et les sièges chauffants, directement depuis leurs écrans.

La sécurité n’est pas en reste avec une panoplie de systèmes d’assistance à la conduite. Le régulateur de vitesse adaptatif utilise un radar pour maintenir une distance sécuritaire avec le véhicule précédent et peut ajuster la vitesse en fonction des conditions de circulation. L’assistance au maintien de voie utilise une caméra pour détecter les marquages au sol et peut corriger la trajectoire du véhicule pour éviter une sortie de voie involontaire.

Le Cayenne E-Hybrid propose en option les freins PSCB, qui utilisent un revêtement en carbure de tungstène sur les disques de frein. Ce revêtement augmente la résistance à l’usure, réduit la production de poussière de frein et améliore la performance de freinage.En option haut de gamme, le Cayenne E-Hybrid peut être équipé de freins en céramique composite (PCCB). Ces freins sont connus pour leur légèreté, leur résistance exceptionnelle à la chaleur et leur performance supérieure en termes de réponse et de durabilité, même dans des conditions de conduite exigeantes.

Le freinage d’urgence automatique est équipé de capteurs qui surveillent la route et peuvent appliquer les freins si un obstacle est détecté soudainement. Le système de vision nocturne, quant à lui, utilise une caméra thermique pour détecter les piétons et les animaux dans l’obscurité, ajoutant une couche de sécurité supplémentaire.

Le Cayenne E-Hybride propose également un affichage tête haute, projetant des informations cruciales directement sur le pare-brise pour que le conducteur puisse garder les yeux sur la route et ça on aime tout particulièrement, celui ci étant très lisible même avec un fort ensoleillement. Le système de caméra à 360 degrés offre une vue d’ensemble lors des manœuvres de stationnement, réduisant le risque de collisions et facilitant les manœuvres dans les espaces restreints.

Grâce à toutes ces aides la prise en main de ce gros SUV (4,85 m × 1,93 m × 1,70 m) se fait comme si vous l’aviez toujours conduit. Le garer devient même un jeu d’enfant.

Une Expérience Connectée et Personnalisée

La connectivité embarquée du Porsche Cayenne E-Hybride va bien au-delà des standards actuels. Le Porsche Connect offre une série de services en ligne et de fonctions intelligentes. Grâce à l’application Porsche Connect, vous pouvez contrôler à distance diverses fonctions de votre véhicule, comme la climatisation, l’état de charge de la batterie, et même localiser votre véhicule.

Les mises à jour logicielles over-the-air garantissent que le système d’info-divertissement et les fonctions de sécurité restent toujours à jour, ajoutant de nouvelles fonctionnalités et améliorations au fil du temps. Le système de navigation en temps réel peut également prévoir les conditions de circulation et proposer des itinéraires alternatifs pour éviter les embouteillages.

Porsche c’est une vision du luxe également, ainis il propose à chaque propriétaire de personnaliser son Cayenne E-Hybride selon ses goûts. Des options de peinture exclusives, des finitions intérieures en bois, carbone ou aluminium, et une gamme variée de jantes permettent de créer un véhicule véritablement unique. L’interface utilisateur peut également être personnalisée, offrant des réglages sur mesure pour les préférences de conduite, les affichages et les fonctions de confort.

Dans la team BLAKE on aime les belles voitures et on adore la belle horlogerie, du coup on n’a pas résisté à mettre en avant un beau chronographe, un peu sport, de chez Herbelin, une marque française, qui brille par sa qualité depuis 1947. Parfait allié de ce SUV dynamique et puissant, le modèle Newport Automatic Chronograph Édition Limitée de chez Herbelin, est une montre élégante et qui accompagne les amoureux de sensation forte, notamment avec son tachymètre, l’objet de mesure par excellence pour les amoureux de vitesse. Petit cours d’utilisation du tachymètre :

  • Lancer votre chronographe au passage d’un objet en mouvement, comme une voiture.
  • Arrêter le chronographe une fois que l’objet a parcouru une distance prédéterminée (par exemple un mile ou un kilomètre).
  • L’aiguille des secondes indiquera un chiffre sur l’échelle tachymétrique. Ce nombre représente la vitesse de l’objet en unités par heure (des kilomètres par heure par exemple).

Si vous lancez votre chronographe au passage d’une voiture et l’arrêtez lorsqu’elle a parcouru un kilomètre, et que cela a pris 30 secondes, l’aiguille des secondes indiquera 120 sur l’échelle tachymétrique. Cela veut dire que la voiture se déplaçait à 120 km/h. Cela peut paraître compliqué, mais c’est en réalité très simple.

Article écrit par Alexis Dumétier

Merci à l’association des Relais et Château, Porsche France, Herbelin, Nike, Sandro, Colmar, Persol

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Selection foody pour le printemps

Le printemps joue à cache cache avec nous alors entre terrasse sous la pluie et petit lieux cosy, nous avons débusqué quelques bonnes adresses pour se réchauffer le coeur et le corps.

Le spot parfait pour un bon café : Bel Horizon

Pour bien commencer la journée avec un bon café de spécialités torréfié sur place et des pâtisseries de chez Madame Charlotte, chez Bel Horizon, dans le 15ème. Un lieu cosy et minimaliste, emprunt d’esprit japonais. Le patron Grégoire est passionné forcément et son barista Thomas est aussi accueillant que pointu sur la réalisation des lattes. On a goûté un café brésilien, Fasenda monjolo, rond, sur le chocolat et les fruits à coques, parfait en expresso. On ne peut que vous conseiller ce lieu, ouvert depuis un an, où vous pourrez également acheter du café pour chez vous.

Bel Horizon coffee roasters – 26 Bd Garibaldi, 75015 Paris

Umami Burger : Hatik s’en mêle.

Une envie d’un burger facile, vers Montparnasse, pourquoi pas tenter le Burger pensé par Hatik, dans le restaurant Umami Burger, de l’hôtel Pullman Montparnasse. Dans la lignée des celebrity burger, celui-ci fait le taff. Le burger de Hatik c’est un filet de poulet Halal croustillant au piment de Cayenne et graines (pavot, tournesol, lin, sésame). C’est cher pour un burger assez basique, on vous le cache pas. Le gros plus est une équipe très sympa, jeune et à l’écoute.

Photographer Leslie Grow

Umami Burger – 19 Rue du Commandant René Mouchotte, 75014 Paris

Siseng ouvre son popup food à la Samaritaine :

Pour une expérience culinaire street food de chef, au centre de Paris, à la Samaritaine, il y a Siseng, qui a posé ses valises dans un pop up store au milieu des fringues les plus trendy. Là c’est du haut vol, Stephane Siseng, le chef du restaurant éponyme, vous chouchoute des bombes de saveurs. Dès l’entrée, salade de mangue et fenouil, ou spring roll tout frais et goûtus, en plat, on a testé le Bao burger Kaï, ne vous y trompez pas, vous êtes devant un plat pensé et maîtrisé, de la street food en forme d’art culinaire, le steack de poulet est dingue et les saveurs explosent, c’est follement gourmand ! Des accompagnements généreux et assaisonné avec élégance, des boissons maisons healthy. On a adoré et vous adorerez ne pas le louper.

Pop up Siseng – dans la Samaritaine – 9 R. de la Monnaie, 75001 Paris

Gruppomimo 2, L’Italie 70’S :

Le soir venu, si vous voulez vous poser dans un lieu tout nouveau, à la déco très seventies, dans une ambiance jeune et tout en musique, direction la nouvelle adresse de Gruppomimo, vers les grands boulevard. Vous allez faire la queue mais cela en vaut le coup. Le service est friendly et attentionné, les plats généreux comme jamais. L’Italie explose sur la table, comme la mama sait le faire le dimanche midi, pas question de vous laisser repartir sans avoir fait sauter le premier bouton. Les entrées en bruschetta sont folles de gourmandises. Les pizzas et les pâtes sont généreuses, mais je ne peux que vous recommander le tiramisu ultra café dont je suis tombé amoureux. Dois-je parler des cocktails xxl, bien fait…Bref, un spot à faire !

Gruppomimo Paris 2 – 157 Rue Montmartre, 75002 Paris
Sélection faite par Alexis Dumétier
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Orient Express : Luxe, calme & volupté

Orient Express, c’est un nom qui évoque le luxe, un temps révolu où tout était possible. C’est l’histoire d’un train né d’un rêve, qui défie le temps. Aujourd’hui réimaginé par l’architecte Maxime d’Angeac. Un design inédit, inspiré des années 20, pensé avec les codes du luxe contemporain.
À l’occasion de la semaine de l’art contemporain à Paris, Orient Express, à travers le groupe Accor, dévoile en exclusivité du 17 au 21 octobre, dans un établissement exclusif du 7e arrondissement de Paris. Une révélation à suivre également à Design Miami/, du 30 novembre au 4 décembre, à Miami Beach, en Floride.

Révélé par ses collaborations avec les maisons Daum et Hermès, en partenariat avec le designer américain Hilton McConnico, Maxime d’Angeac réalise depuis 20 ans, des projets de restauration et de décoration de prestige, à l’instar de la Maison Guerlain, avenue des Champs-Elysées, et donne une nouvelle vie aux appartements, châteaux ou villas privés qu’on lui confie.
Fasciné par les grands mouvements artistiques révolutionnaires, amoureux de la Renaissance italienne comme de l’Art déco, féru de romans de voyage, adepte des récits de Jules Verne, d’Henry Miller ou de la bande dessinée postapocalyptique du Transperceneige, l’architecte relève le défi de réinventer l’Orient Express. Une aventure humaine. Le projet d’une vie. Pour écrire la nouvelle destinée d’un mythe.

Maxime d’Angeac, architecte du future Orient Express déclare : « Le point de départ de ce fabuleux projet est un rêve. Une histoire contemporaine qui s’inscrit dans le sillage du mythe Orient Express. Une projection dans une époque, les années 20. Dans la culture du luxe. Et de ses artisans. Tout a débuté autour de dessins, de croquis et de maquettes réalisés à la main. Un travail millimétré. De ce cadre naît un décor. Sans époque. Inspiré par les codes de l’Art déco, des style Empire et contemporain. Un passé recomposé, qui s’affranchit de toutes les modes, pour nous transporter dans une ambiance dénuée de superflu, où chaque détail trouve un sens. Au final, un tableau pour rêver, pensé comme une ambassade du luxe à la française, un écrin raffiné, et sublimé par le savoir-faire et les talents des meilleurs artisans français. »

En 2015, réapparaît au grand jour le Nostalgie-Istanbul-Orient-Express. Un train de légende, disparu, oublié. Et réimaginé aujourd’hui par Maxime d’Angeac et les meilleurs artisans de France. Dès 2024, à l’occasion des Jeux Olympiques de Paris, les premières voitures seront exposées et les voyageurs pourront accéder pour la première fois à bord. Ils découvriront les décors inédits du futur train.
Sébastien Bazin, Président & Directeur-général, groupe Accor : « Nous sommes fiers, aujourd’hui, de révéler les premières images du futur train Orient Express. Une histoire inspirée d’un rêve, un train classé hors du temps, objet de tous les fantasmes et qui devient réalité. Le design de Maxime d’Angeac réveille le mythe avec la révélation de son écrin de luxe, de modernité, et d’élégance à la française. Demain, l’Orient Express rayonnera à nouveau, légitime de ses 140 années d’histoire et tourné vers l’avenir. La légende continue. »

Sous de larges coupoles de lumière au style Second Empire, chacune portée par quatre colonnes, les salons intimes de la Voiture-Bar dévoilent leur tonalité au vert spectaculaire. Du bois de palissandre au marbre couvrant les tables jusqu’au bronze des chapiteaux, l’esprit est élégant et voyageur.
L’aménagement, précis, intelligent, optimise la circulation à bord, ouvre des espaces de convivialité, de rondeur et de liberté. Pièce maîtresse, le bar s’offre un comptoir tout verre et un hommage idéal à Lalique autour d’une œuvre moderne qui revisite les symboles de la maison. À chaque table, une pendule sonne l’heure du cocktail et du dîner. Un bouton d’appel est réservé au service du champagne. Un autre au personnel. Le charme du passé conjugué au présent.

Spectaculaire et inattendue, pensée dans le confort et le luxe, la Voiture-Restaurant du futur Orient Express réinterprète les codes du train de légende.
Inspiré par les motifs des tapisseries signés Suzanne Lalique, et qui entraient dans la composition des premiers trains Orient Express, Maxime d’Angeac réinterprète le motif « rail », détourné sur les cloisons grâce au carton-pierre. Une technique née au XIXème et servant à réaliser des ornements de moulures et décors de plafonds. Sous un plafond miroité, traversé d’une série d’arches reflétant une douce lumière tamisée, tables napées et fauteuils enrobant s’alignent, éclairés des lampes à abat-jour revisitant les modèles originels. Un salon privé fait revivre les panneaux de marqueterie originaux du train. Au fond, derrière une paroi de verre, s’ouvre la cuisine. Un espace réservé au chef et à sa brigade, où l’on devine leurs gestes et leur chorégraphie.

Bienvenue dans le grand luxe, le confort absolu et l’esprit fonctionnel. Pour parer aux lignes et aux plans stricts du train, Maxime d’Angeac
introduit la figure du cercle, porteuse de douceur et d’harmonie. Partout, les angles s’arrondissent. Les fenêtres s’offrent en tableaux sur la nature. Des miroirs sorcière s’amusent des perspectives.
Ici, les cloisons se couvrent de bois précieux et d’un cuir mural qui réinterprète le célèbre motif « rail » de Suzanne Lalique. Les têtes de lit se couvrent de broderies de bois insérant perles de nacre et bronze. Une moquette « comète » invite à la rêverie.
Des niches se parent des panneaux Lalique « Merles et Raisins » originaux, ceux récupérés dans les voitures du Nostalgie-Istanbul-Orient-Express. Les tablettes en ellipse font se poser journaux, objets et souvenirs de voyage. Porte-bouteilles et verres trouvent d’astucieux agencements. En configuration « Jour », canapé et sofa invitent au repos, à la détente comme aux lectures. Et à l’heure de la Grande Transformation (le passage en configuration « nuit »), un lit de 2 x 1,40 mètres invite les voyageurs au meilleur sommeil.
Discrète et étonnamment confortable, la salle de bain aux portes coulissantes se pare de marbre, un cabinet de toilette et un dressing complètent l’aménagement précieux.

Artisan du voyage depuis 1883, Orient Express sublime l’Art du Voyage autour de ses trains de luxe, ses expériences uniques, ses collections d’objets rares. En parallèle du lancement du Orient-Express imaginé par Maxime d’Angeac, Orient Express La Dolce Vita, accueillera ses premiers passagers à bord de ses trains de luxe en 2024. Un maillage qui permettra d’offrir aux invités d’Orient Express toute l’expérience ultra luxe du voyage.

Instagram : @orientexpress
orient-express.com

 

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L’Hôtel Barrière Le Normandy Deauville

L’Hôtel Barrière Le Normandy Deauville : Légende & Renaissance

Entièrement rénové, le légendaire hôtel à rouvert ses portes. Suivez nous pour une visite privée. 

Au début du XXe siècle, Deauville somnole dans l’ombre de sa voisine Trouville. Son réveil, Deauville le doit à Eugène Cornuché, propriétaire de la célébrissime brasserie parisienne Chez Maxim’s et directeur du casino de Trouville. Pour lui, il faut doter la plage fleurie de toutes les distractions et du confort auxquels aspirent les plus fortunés. Un casino d’abord puis un palace, Le Normandy, et un autre, l’année suivante, Le Royal.
Son ami et associé, François André, fondateur du groupe Barrière, contribuera lui aussi grandement à l’essor de la station. Après avoir participé à la création de La Baule et d’en avoir fait un « passage obligé », François André succèdera en 1927 à Eugène Cornuché à la tête de la Société des Hôtels et Casino de Deauville (SHCD). Deux ans plus tard, il construira L’Hôtel du Golf…

Photo Fabrice Rambert

Pour décrire son œuvre, l’architecte Théo Petit disait : « Le Normandy ? C’est une ambiance de cottage anglo-normand avec des pignons normands et des draps en lin, des pommiers et des vaches normandes en son jardin ». Lors de son inauguration en 1912, les chroniqueurs le présentent comme le « plus bel hôtel du monde ». Dès lors, le Tout-Paris débarque à Deauville en villégiature. Au Normandy, Coco Chanel ouvre sa boutique de chapeaux à l’enseigne « Gabrielle Chanel ». Et l’élite du monde des arts, des lettres, de la politique, de la presse et du sport se bouscule dans son hall.
Après la guerre, de station à la mode, Deauville s’impose comme la station où il faut être ; Le Normandy, le lieu où il faut séjourner. Churchill choisit la plage fleurie pour passer ses vacances tout comme le roi Alphonse XIII d’Espagne. Le prince de Galles fête ses 30 ans au Normandy. André Citroën et Françoise Sagan feront les beaux jours du casino… Une icône est née, la légende commence.

Photo Fabrice Rambert

LE TEMPS DE LA SUBLIMATION

En novembre 2015, Le Normandy ferme pour rénovation, pour la première fois depuis son inauguration en 1912. Une brève parenthèse, le temps d’un hiver, pour choyer son atmosphère. Durant six mois, l’établissement mythique du groupe Barrière se retire derrière les échafaudages pour une remise en beauté complète.
L’hôtel est entièrement vidé puis les différents corps de métiers entrent dans la danse. Et, tandis que les habitués prennent, le temps d’une saison, de nouvelles habitudes au Royal, tout proche, les artisans s’affairent, mesurent, annotent, rénovent. Leur mission : restituer au joyau normand sa splendeur célébrée dans le monde entier tout en gardant son âme intacte. Entre les pans de toile de Jouy arrachés, deux artistes imaginent la nouvelle ère du Normandy. Dans cet immense chantier chargé d’histoire, de belles surprises se dévoilent. Ainsi, cette mystérieuse fresque murale dissimulée sous la toile de Jouy du couloir du 3e étage, sur les murs entre lesquels Claude Lelouch dirigea Anouk Aimée et Jean-Louis Trintignant, couple mythique d’Un Homme et Une Femme. Portrait d’homme dessiné à la sanguine, la peinture daterait de la construction de l’hôtel mais n’est pas signée.
Quel artiste l’a réalisée ? A ce jour, le mystère reste entier. Mais le portrait fait aujourd’hui partie intégrante de la nouvelle décoration.

Photo Fabrice Rambert

UNE ÂME INALTÉRÉE, UN ESPRIT INTACT

Pour impulser un nouveau souffle à L’Hôtel Barrière Le Normandy Deauville , deux architectes décorateurs de renom : Alexandre Danan et Nathalie Ryan. Un homme et une femme pour repenser Le Normandy avec élégance et raffinement.
Chargée de la décoration des Chambres et Suites, Nathalie Ryan avait à cœur de conserver ce qui fait l’histoire et la mémoire des murs qui ont vu passer des générations et des générations de clients. Avec talent, elle a su ressusciter l’atmosphère de ce bâtiment mythique tout en imaginant un décor d’aujourd’hui. Ainsi revisitée, la nouvelle décoration transcende les codes de l’élégance anglo-normande.
Emblématique du lieu, la toile de Jouy est embellie et rafraîchie. Elle se décline avec poésie, dans des coloris harmonieux selon les Chambres : vert, beige, orange, bleu et rouge. Un classicisme pimenté de quelques touches contemporaines, avec des tissages légers, unis ou structurés qui ornent délicatement le mobilier créé spécialement par Nathalie Ryan. La moquette arbore des motifs en forme de chevrons pour rappeler les parquets d’origine.
Les fameuses Suite Présidentielle et Suite Un homme et une femme, où fut tourné le chef-d’œuvre de Lelouch, n’ont pas échappé au relooking. Les salles de bain sont rajeunies pour des instants de détente magiques avec pierres blanches, mosaïques argentées et meubles vasques en acajou.

Photo Fabrice Rambert

Alexandre Danan a, lui, restitué à La Belle Epoque, le restaurant au cœur du Normandy son faste d’autrefois tout en parsemant le lieu de touches actuelles. Son ambition ? Réécrire le lien entre l’hôte et l’hôtelier de façon soignée, honnête et respectueuse, en alliant design, sens des volumes et jeux de couleurs et matériaux. Pour réinventer La Belle Epoque, le designer a misé sur la subtilité et la simplicité. Le résultat : un design épuré, un luxe plus discret, une architecture magnifiée, des déplacements simplifiés et des espaces plus intimes qui ne troublent pas pour autant la convivialité du lieu. Atout majeur du restaurant, la magnifique verrière a été davantage mise en valeur.
L’intérieur et l’extérieur ne semblent plus faire qu’un, la lumière est reine. Des meubles et fauteuils, en bois élégant de l’époque, participent au confort et à la clarté de l’espace. Au sol, une immense mosaïque créée sur mesure reprend les codes et couleurs du nouveau Barrière sur fond de Naïade Belle Époque.

Le Normandy propose une fabuleuse expérience à vivre pour une clientèle désireuse de découvrir ou retrouver les 271 Chambres et Suites au caractère normand et à l’atmosphère cosy. Un séjour à savourer seul, en famille ou entre amis, en profitant toujours de l’excellence du service Barrière. Les habitués retrouveront leur « Normandy », les autres comprendront pourquoi il est mythique. Soyez les bienvenus…

Photo Fabrice rambert

LE BAR DU NORMANDY – LE COIN COSY
Marcher sur les pas de Coco Chanel ou Winston Churchill, habitués des lieux. S’installer dans la galerie, face aux portraits d’hôtes prestigieux.
Préférer les chaises hautes du superbe bar en acajou. Et apprécier l’instant unique.
Un feu de cheminée qui crépite l’hiver. Un piano à queue dans un coin. Des vitraux lumineux. Des tableaux équestres aux murs. Une harmonie de vert olive et d’acajou. Cosy, Le Bar du Normandy offre le décor idéal pour savourer, avec modération, un malt des plus prestigieux, un cidre normand ou un cocktail sans alcool revigorant.
Le lieu multiplie les espaces pour garantir intimité et convivialité. Une superbe carte de whiskies prestigieux côtoie un choix étonnant de cocktails originaux, créations à base de calvados et spritz réinventés. À consommer avec modération. Entre vieux rhums, cocktails detox, thés précieux et cafés rares, les “Afternoon gourmands” deviennent des goûters raffinés avec pâtisseries maison.
L’incontournable: le Spritz Colette, où du cidre de la Cuvée Colette remplace le prosecco.

Totalement rénové, L’Hôtel Barrière Le Normandy Deauville offre désormais un espace de quiétude entièrement dédié au bien-être. Aerial Wellbeing for the Future™ a mis son expertise au service du Spa Diane Barrière avec un programme intégratif original, sur-mesure et innovant. Une parenthèse d’exception très privée, une merveilleuse bulle de bien-être où, dans un cadre luxueux, sont proposés les soins les plus novateurs, ultime alliance entre savoir-faire expert, équipements dernière génération et diagnostic de haute précision. Relaxation, énergie, détox, chacun y trouvera son compte.

LA BELLE EPOQUE – LES SAVEURS À L’HONNEUR
Se régaler de poissons frais cuisinés à la perfection. Apprécier le goût incomparable des produits du cru. Hésiter entre un Baba flambé au Calvados et mille-feuilles au caramel beurre salé. Contempler d’un regard un décor élégant, baigné de lumière…
Assurément, La Belle Epoque n’usurpe pas sa réputation de « meilleure table de Deauville ». Le restaurant sous la direction du Chef Christophe Bezannier propose une cuisine imaginative alliant des produits simples à des saveurs merveilleuses, le tout concocté avec des produits locaux de saison. Les plats à partager sont à l’honneur pour découvrir des saveurs insolites. Et savourer l’un de ses desserts gourmands revient à croquer dans une madeleine. Délicieuse régression.
Comme chaque Tables Barrière, La Belle Epoque met à l’honneur modernité, élégance et partage. Brunch dominical, repas festif, dîner romantique, le lieu se prête à toutes les occasions, petites ou grandes : grande salle festive, véranda plus cosy, terrasse chauffée…
L’incontournable: La Côte de veau cuite au poêlon, jus perlé à partager.

Alors n’hésitez plus. Venez rejoindre la légende du Normandy, pour une soirée, un week-end ou quelques jours de détente.

L’HÔTEL BARRIÈRE LE NORMANDY 38, Rue Jean Mermoz, Deauville – 02 31 98 66 22 – 09 70 82 13 14

 

 

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La Ponche à Saint Tropez

La Ponche : le nouveau souffle d’un hôtel mythique

En juin 2021, après huit mois de re?novation, le légendaire Hôtel La Ponche, dans le cœur historique de Saint-Tropez, dévoilait ses nouveaux habits, sous la direction de l’architecte d’intérieur, Fabrizio Casiraghi.

Donnant sur la petite plage de La Ponche, cette « maison de vacances » de 21 chambres (dont 5 suites), appartient aux hôtels iconiques de la Riviera. Il accueillit Françoise Sagan, Brigitte Bardot, Gunter Sachs, Romy Schneider, Michel Piccoli, Boris Vian, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir…

Ce qui fut une affaire familiale avec Simone Duckstein (jusqu’en octobre 2020), a continué dans cette même dynamique puisque deux familles (Hubert et Nicolas Saltiel avec Georges Saier) — acteurs dans l’hôtellerie — en ont pris la suite afin d’en faire perdurer l’histoire.

La direction de cet hôtel cinq étoiles — dorénavant ouvert d’avril à fin décembre — a été confiée à Audrey Brémond, Tropézienne, avec à ses côtés, le chef exécutif Thomas Danigo (qui officie également au restaurant Le Galanga, Hôtel Monsieur George, Paris).

Après une saison estivale 2021, pleine de succès, L’Hôtel La Ponche a entamé sur l’hiver 2022, sa deuxième phase de rénovation et a re ouvert ses portes le 15 avril dernier.

Retour sur le renouveau de cette institution.

Avril 2022 : L’authentique, discrète et intimiste maison Tropézienne re ouvre ses portes après une seconde phase de rénovation.

Donnant sur la petite plage de La Ponche, cet hôtel de 21 chambres (dont 5 suites) s’est refait une beauté en deux temps sous la direction de Fabrizio Casiraghi.

Prouesse de ce renouvellement artistique en seulement quelques mois, afin d’assurer une ouverture estivale 2021 qui fut un succès, les portes de cette maison de vacances se sont refermées en novembre dernier afin de poursuivre et finaliser ce nouveau souffle de fraicheur architectural.

Ces derniers mois, ce sont les salles de bain, dans un esprit maison bourgeoise Française qui ont été repensées, ainsi que les couloirs et vestibules agrémentés de tapis persan afin d’y rajouter de la délicatesse, du confort et de la chaleur. Le bar également, afin d’intensifier l’esprit marin du lieu a été rhabillé tout de bois pour s’y sentir comme dans un bateau. Enfin, dans les prochaines semaines, une offre supplémentaire va compléter l’offre de cette maison de village. Un appartement de 70m2 comprenant deux chambres, et dont le séjour offre une large vue mer séduira les hôtes       désireux d’indépendance tout en appréciant le service hôtelier.

Lors de ces deux phases de rénovation, L’Hôtel La Ponche aura été entièrement « revisitéé » mais sans toucher à l’essentiel, son esprit et son authenticité. On y retrouve le goût de la Dolce Vita mêlé au farniente et au roulis des vagues. Mieux encore, un esprit frais souffle dans un renouveau porté par une nouvelle génération. Celle-ci ne souhaite pas bousculer les codes, mais redonner à La Ponche son chic détendu, son élégance insouciante. Plus encore, témoignant d’un ancrage local, L’Hôtel La Ponche sera ouvert au-dela? des saisons estivales et ce jusqu’aux fêtes de fins d’année pour célébrer un Noël Provençal et prolonger une aventure sentimentale qui dure depuis plus de quatre-vingts ans en continuant d’accueillir les amoureux de ce village a? travers les saisons …

« Cela n’en fait pas un hôtel précisément, dit Fabrizio Casiraghi, mais une maison de vacances à  la mer ».

Dès l’entrée, le ton de la maison est donné. Elle sera à la fois provençale et estivale : damier en marbre noir et blanc au sol, mur ivoire sur lesquels des lithographies originales de Picasso ornés avec des cadres en céramiques et artistiques signés Victor Levai, un tableau de clés dont les porte-clefs ronds en laiton produit par la maison Goossens illuminent la conciergerie et la réception toute en bois de noyer.

De cette réception on accède et son éclairage zénithale incitant à s’y retrouver en compagnie de la table de jeux (backgammon). Un petit jardin d’hiver du sud de la France, dont la banquette centrale d’où se hisse de la végétation, baigne dans un puit de lumière de la nouvelle coupole en verre jaune et transparent.

Les couloirs se sont habillés d’une moquette centrale en tapis persan aux motifs bleus et rouges comme dans une vieille maison française, des miroirs, dessinés par Fabrizio Casiraghi, rond en bois de noyer foncé faisant penser à un gouvernail de bateau se mêlent à des bas- reliefs retraçant l’histoire de Saint-Tropez sur un fond de peinture à la chaux.

Glissant sous les pieds, ce tapis persan dans le dédale des couloirs et escaliers de cette maison authentique mênent les hôtes jusqu’à leur chambre dont les portes, en bois de noyer foncé et poignées dorée, rappelle qui eut été (dans l’histoire de cette maison), fidèles de ces 21 chambres (et suites). En effet, chacune d’entre elles portent le nom des visiteurs illustres : on peut alors s’inviter chez Romy Schneider, Kenzo, Brigitte Bardot, Boris Vian, Michèle Morgan… ainsi que dans la chambre de la propriétaire Simone Duckstein.

Les chambres sont traitées avec légéreté pour rester dans l’esprit des débuts lorsque les murs étaient blanchis à la chaux et les lits recouverts de cretonne fraîche et fleurie. Aujourd’hui, voici un blanc cassé ivoire, des boiseries en noyer d’Amérique au vernis brillant. Au sol, on retrouve les tomettes d’origines ou du jonc de mer, agrémentés ici et là par des tapis persans à motifs. Les tissus sélectionnés dans les collections de Loro Piana et Pierre Frey drapent les sofas, les fauteuils et des jupes de lit.

Fraicheur 2022, les salles de bains, inspirées de celles de maisons bourgeoises du sud de la France tout en marbre blanc et gris « arabescato » et rose « Portogallo » du sol au plafond. C’est en damier que le marbre s’organise au sol et en bandeau qu’il se structure sur les murs. Partie pris de Fabrizio Casiraghi, chrome et laiton se mêlent dans les accessoires qui parent les salles de bain.

La chambre ultime, c’est la 8, de Romy Schneider et Daniel Biasini. Au dernier étage de cette maison, avec un plafond mansardé, elle donne accès à une terrasse aussi grande que la chambre, qui surplombe les toits de Saint-Tropez, la citadelle, le clocher et la mer.

Bonne nouvelle : Simone Duckstein restera proche de La Ponche, elle en sera l’ambassadrice…

Adresse :

5 rue des Remparts 83990 Saint Tropez

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L’HÔTEL DES ACADÉMIES ET DES ARTS – HÔTEL ATELIER

« Pour savoir ce qu’il se passe dans la tête d’un peintre, il sufft de suivre sa main » Henri-George Cluzot, Le mystère Picasso.

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Sur la rive gauche, dans le sixième arrondissement de Paris, rue de la Grande Chaumière ouvre un hôtel-atelier, l’Hôtel des Académies et des Arts. Il est au cœur du quartier artistique du Paris de la Belle Epoque, entre Saint-Germain-des-prés et Montparnasse. C’est aujourd’hui un boutique-hôtel 4 étoiles de 20 chambres qui voit le jour dans un immeuble du 19ème faisant face à l’Académie de la Grande Chaumière.

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Aujourd’hui l’hôtel des Académies et des Arts fait revivre les maisons-ateliers dans lesquelles les artistes travaillaient ensemble, partageaient leurs ateliers, se recevaient entre amis. Empruntez un livre dans la bibliothèque.
Installez-vous dans le grand canapé confortable du salon, ou servez-vous un verre à l’Honesty bar.
À l’arrière du salon, un atelier a été aménagé. Il y a là des pinceaux et un chevalet. Des artistes et des voyageurs viennent y dessiner en compagnie des étudiants en BeauxArts. À l’Hôtel des Académies et des Arts, vous êtes vraiment chez vous.

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Dans les étages, les chambres sont conçues comme des écrins dont les fenêtres s’ouvrent sur les toits de Paris. Elles sont un écrin. Les matériaux bruts non transformés ont été privilégiés. Les enduits ont été faits à la chaux. Les têtes de lit en chêne à nœuds teintés ont été façonnées dans des lignes franches pour intégrer l’atmosphère des chambres. En bout de lit, un plaid en feutre vient en écho aux tentures murales en soie à fines rayures fauve ou bleu ciel. Le mobilier, dessiné sur mesure, est installé dans les chambres comme une composition. Pour certaines, des oeuvres sont peintes à même les murs. Aucune décoration standardisée ne viendra brider votre imagination vagabonde. L’atmosphère intérieure est presque dépouillée, sans agencement ni décoration superflue. Tous les éléments de mobilier ont été dessinés et conçus sur mesure. Des tableaux sont posés çà et là, à même le sol. Des toiles peintes à l’huile, gras sur maigre, sèchent sur les clous en fer. Des croquis sont exposés sur les chaises en bois. Les tabourets fleuris de quelques tâches de couleurs. On y cultive le confort et la spontanéité. Deux chambres disposent d’une terrasse végétalisée sur le patio.

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Comme un clin d’oeil aux fresques de Franck Lebraly, elles sont décorées de mobiliers-poisson. Aux derniers étages, rue de la Grande Chaumière, les fenêtres donnent sur les toits de Paris et les ateliers vitrés de l’Académie des arts. Une jardinière fleurie à la parisienne s’accroche à la balustrade. La chambre est baignée de lumière, idéal pour sortir son carnet de croquis.

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Pour le petit déjeuner, les hôtes sont reçus dans le café – atelier sur des tables en bois dessinées sur mesure. Il y est servi un petit déjeuner continental. Le café est torréfé par Lomi et les fruits et légumes sont fournis par le maraîcher Charraire.
Au sous-sol, une salle de relaxation et de massage. Les activités du Spa sont organisées avec le célèbre Tigre Yoga Club. Il est proposé tapis de yoga, table de massages pour les soins et sur demande, des cours de yoga individuel.

Suivez votre main. Laissez libre cours à l’inspiration. L’Hôtel des Académies et des Arts offre un abri pour les rêves.

L’HÔTEL DES ACADÉMIES ET DES ARTS – 15, RUE DE LA GRANDE CHAUMIÈRE 75006

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Les Ménuires 2022 avec la Team BLAKE

La team BLAKE est partie aux Ménuires pour le reportage montagne de l’année 2022.

Située dans les Alpes à 1800 mètres d’altitude, la neige y est garantie toute la saison et l’accès aux deux versants permet de skier toute la journée au soleil.

Les Ménuires se trouve sur le Domaine des 3 vallées, considéré comme l’un des plus grands domaines skiables au monde. Les 3 Vallées c’est 600km de pistes. C’est aussi 7 stations réparties entre les vallées de Courchevel, des Allues, des Belleville sans oublier Orelle, en Maurienne. Vous pourrez donc skier avec le forfait 3 vallées sur ces 600km de pistes de quoi vous occuper toute une semaine sans jamais skier deux fois sur la même piste. Attention cependant aux horaires de fermeture des remontées mécaniques, sinon vous aurez toujours la possibilité d’utiliser les navettes à disposition gratuitement pour revenir chez vous.

Photo : Gilles Lansard

Les Ménuires est une station très vivante qui, en plus du ski et du snow, propose de nombreuses activités. Nous avons découvert le lancé de hache, insolite et amusant. Vous pourrez vous défier avec vos amis ou en famille, afin de voir qui a le plus d’adresse. En respectant les règles simples du lieu, il n’y a aucun danger, que du fun. Il y a au même endroit de quoi découvrir et jouer au même jeu en réalité virtuelle.

Pourquoi ne pas essayer la luge sur la piste du Roc‘n Bob, 4km de descente et un temps à battre de 7 min ! On vous assure que si vous jouez le jeu et que vous vous lancez sur la piste à fond, le casque ne sera pas de trop. C’est assez intense. Rires et sensations fortes garanties !

Pour les lèvent tôt et ceux qui veulent être les premiers sur les pistes, Les Ménuires proposent le First Track. Partez pour l’ouverture des remontés mécaniques au départ de la Masse, avec les équipes du domaines (maximum 40 personnes par session). Un moment convivial qui permet de voir le lever du soleil sur les cimes enneigées. On vous recommande chaudement de le faire. En plus, vous finirez votre périple au 2800, un restaurant d’altitude avec un buffet petit déjeuner et un chocolat chaud mémorable.

L’ours Blanc un Hôtel / Spa 4 étoiles :

Pour les fins de journée ou les après midi sans ski, vous devriez essayer le spa de L’Ours Blanc, cet hôtel / spa 4 étoiles a été entièrement repensé et rénové en 2021, dans le respect de son esprit d’origine. Vous vous y sentirez comme chez vous. Les chambres spacieuses ont des vues magnifiques sur la montagne, et le spa Nuxe, à une dimension très humaine et un bassin intérieur / extérieur de toute beauté. Mais surtout les protocoles de soins à base de produits Nuxe sont exécutés par des expertes. Nous avons été pris en charge par Pauline, que nous vous recommandons chaleureusement.

Si vous souhaitez explorer la montagne différemment, vous pouvez partir en randonnée à raquette ou en randonnée à ski. Et si vous êtes désireux de vous lancer dans le hors pistes, n’oubliez pas de vous faire accompagner par quelqu’un qui connaît bien la montagne et qui est équipé du triptyque indissociable en terme d’équipement de sécurité avalanche : DVA (détecteur de victimes d’avalanche), pelle, sonde ! A ce triptyque, s’ajoute un nouvel équipement qui tend à devenir lui aussi indispensable : le sac airbag !

Freeride avec Fabien Maierhofer :

La team Blake a eu l’honneur d’avoir pour sa sortie freeride un « guide » hors pair : Fabien Maierhofer, Professionnel du freestyle et du freeride depuis l’âge de 17 ans. Il est également le créateur de la chaîne youtube Bon appétit ski : https://www.youtube.com/user/Bonappetitski où vous trouverez de superbes vidéos de skis et vous pourrez voir le niveau incroyable de Monsieur Maierhofer. Nous sommes parties du haut de la Gratte pour nous lancer. L’occasion de découvrir une zone où la neige est quasi vierge et le paysage à couper le souffle.

Dénériaz Skis :

 La team Blake a également eu la chance de rencontrer Antoine Dénériaz, champion Olympique, médaillé d’or sur l’épreuve de descente et également Triple Champion du Monde. Aujourd’hui Antoine a créé sa propre marque de ski et il nous a permis de tester deux paires de sa gamme. La particularité des skis Dénériaz c’est le soin apporté à leurs confections. Comme nous l’a dit Antoine, les matériaux utilisés pour confectionner ses skis sont choisis à la manière d’un chef étoilé qui sélectionne un à un les produits qui feront son plat signature. Un travail d’artisan, avec des produits nobles comme du bois d’exception ou encore du carbone. Les skis sont faits à la main en série limitée en Savoie dans l’atelier de Antoine Dénériaz à environ 250 éditions par an. La marque Dénériaz se positionne indubitablement sur le haut de gamme.

Nous avons testé les Cruising D, Les essences de bois choisies donnent un ski léger grâce au balsa, tout en restant stable et confortable par l’utilisation du noyer. Les différentes fibres dont celles de carbone apportent de la précision et de la réactivité en courbe. Un ski plaisir pour les pistes, facile à skier. Ce ski est précis et affuté et donne de bonnes sensations sur piste. Il permet aussi de tracer de beaux virages si l’on veut un peu plus attaquer sur les carres et prendre de la vitesse. Des skis qui vous offriront une belle marge de progression sur piste. Leur finition carbone et la qualité du vernis leur offrent une très belle allure.

Il nous a été permis de découvrir également les Dual D. Ces skis sont fait de deux essences différentes de bois pour apporter selon l’environnement des réactivités différentes. La partie en noyer apporte beaucoup de stabilité et de confort sur piste et le frêne donne du snaps en poudreuse. Le carbone apporte quant à lui de la cohésion à l’ensemble ainsi que de la réactivité. Il est de ce fait plus polyvalent que le Cruising D grâce à ses spatules bien plus larges, et donc parfait pour la poudreuse.

Les skis Dénériaz sont en plus de beaux objets, de qualité, fait main, et on aime les posséder autant que les skier.

Colmar sport :

Pour skier ou faire du snow dans de bonnes conditions il faut de bonnes tenues. Colmarmarque fondée en 1923 à Monza en Italie, incarne le luxe et la mode, tout en intégrant des matières haut de gamme et des finitions de grande qualité. Cela se ressent tout de suite quand on met le manteau ou enfile le pantalon. Les coupes sont bonnes, on se sent à l’aise et la sensation de chaleur est immédiate tout en laissant le corps respirer. C’est confortable et pratique pour le sport. La veste de ski Chamonix JKT sunflower, avec son style rétro n‘en est pas moins ultra moderne et fonctionnelle. Son revêtement extérieur en polyamide est bien résistant et sa technologie isolante Piuma Down Daunen en duvet naturel est ultra efficace et vous tient bien au chaud, de plus la veste est un véritable coupe vent. Les nombreuses poches zippées avec curseur camlock sont bien imperméables. Un gros coup de cœur.

Pour aller avec, nous avons choisi le pantalon salopette Fit Ski noir, dans l’esprit retro lui aussi. Il allie trois qualités nécessaires pour la pratique du ski: il est imperméable, coupe-vent et respirant. Son stretch lui donne beaucoup de confort à ski.

La Colmar Texas est tout aussi performante est donne un effet veste de jean très streetwear. Mais surtout cette veste est faite en polyester recyclé, elle associe une membrane imperméable et respirante pour résister aux intempéries hivernales. Pour cette veste, nous avons choisi le pantalon assorti, le Texas Denim. Vous aurez l’impression de skier ou surfer en jean, avec le confort en plus.

Les deux vestes Colmar ont une petite poche quasi invisible sur le bras gauche pour y glisser le forfait et passer rapidement aux portiques des remontées. Un petit plus efficace et bienvenu.

Foodspring :

Durant ce séjour sportif et intense, nous avons pu tester les produits Foodspring. En commençant nos matinées par une dose de Energy Aminos, qui donne un bon coup de boost pour attaquer les pistes. Selon les envies et les besoins pour nos encas, nous avions des protein balls chocolatées, des barres protéinées. Pour ma part, la protéine barre cookie dough remporte la palme des saveurs foodspring. Ou tout simplement une poignée de nuts & berries qui est un mélange de baies goji, myrtille, raisins secs et noix. Un assortiment vraiment bon et plein d’énergie. Mais le must après être rentré de nos longues journées, c’était de prendre le Recovery Aminos, et toute la team Blake est unanime sur le sujet : on a senti la différence. Avec le Recovery les jambes sont moins lourdes, les muscles tirent moins, et on est en pleine forme le lendemain.

Montre connectée Garmin, Instinct Solar :

 Au déballage, on retrouve une montre tout en plastique.  Pas forcément agréable de prime abord, mais elle est bien finie et ce choix de matériaux la rend légère. Elle se fait vite oublier une fois au poignet, point très important pour une montre de sport.
Les multiples fonctions demandent un certain temps d’ adaptation pour gérer les boutons et les différents menus. Mais l’encart en haut à droite de l’écran est bien pensé et permet d’identifier les actions possibles et les menus en cours.
En parlant d’écran, c’ est un simple monochrome, mais très lisible même en plein soleil. Ce choix joue également sur la durée de vie de la batterie qui est assez impressionnante.

Pour les usages testés, principalement le snowboard et une petite marche, ce fut un vrai plaisir. Les éléments affichés pendant « l’action » sont paramétrables et différents types de présentations sont possibles. Lire les informations, comme la vitesse instantanée, ne pose aucun souci même en plein ride. Augmentant encore l’attrait pour ce petit tableau de bord au poignet. Le nombre de descentes est lui détecté automatiquement après chaque remontée et marche parfaitement.
Revoir ses trajets en fin de journée, vitesse, altitude, calories perdues, sur l’ application dédiée et bien conçue elle aussi, est très agréable en avalant un shaker de récup. Autre capacité de cette Instinct solar, c’est de pouvoir effectuer une recharge solaire via son cadran.
Bref, une montre très fonctionnelle à l’usage. Pour son domaine d’utilisation, il n’y a rien a redire et elle deviendra rapidement votre compagnon de monitoring. On regrettera juste la présence d’un chargeur au format unique Garmin, que l’on fera bien attention à ne pas oublier pour son séjour…

 Les masques et casques Bollé

Le plastique des masques est épais tout en restant souple, et très bien fini. Le bandeau élastique est très dense et rassure sur sa longévité. Même les ajouts caoutchouc de la marque Bollé sur le côté respire la qualité.
Côté optique, nous avons pu en tester plusieurs.  Quoi qu’ il en soit, le système magnétique de changement d’écran est très pratique et rapide. Les écrans sont solides et en plus protégés par une housse, fournie, presque rigide. Aucune appréhension de transporter son écran de rechange dans le sac à dos toute la journée.
Côté positionnement, pas de soucis, le nez est par ailleurs bien dégagé, ce qui permet de les porter avec des casques autres que ceux de la marque sans obtenir l’ effet « pince nez », et cela malgré l’ imposante hauteur du masque.
A l’usage, toutes les optiques étaient très convaincantes, rien à dire. Le champ de vision est très large et ne déforme pas la perception.
Le seul point négatif que nous avons remarqué mais qui se fait oublier, est un petit reflet de la monture du nez sur le bas de l’écran quand le soleil vient de côté. Sur le télésiège, on le perçoit, en descendant, il n’est clairement pas assez fort pour nous gêner.
Pour résumer, nous avons tous adopté ces masques.

Les casques Bollé sont quant à eux très confortables.  Ils sont très légers une fois en position et le serrage occipital le plaque parfaitement sur la tête. Le design est plus orienté skieur que snowboarder, et dans un sens, il ressemble assez à un casque de vélo. En snowboard,  avec le vent venant de côté, les oreilles manquent un peu de protection contre le froid, rappelant peut-être encore sa conception plus ski. Par contre, les oreillettes peu épaisses laisse bien passer le son des voix et permettront de mettre des écouteurs dans orienté problème pour ceux qui ride en musique. La ventilation marche très bien. On note également un bon dégagement du front permettant de placer différents masques dans soucis. Un casque très agréable, léger, convenant sans doute plus à des skieurs, quelques soit la tailles de leur masque.

Masque de ski KL X Dragon :

Les Ménuires, c’est du ski intensif mais c’est aussi de la mode. Nous avons donc testé la collaboration sur le masque de ski entre la maison Karl Lagerfeld et Dragon, il en résulte un masque sobre et élégant mais surtout bien fait. Mousse confortable et solide. Champ de vision extra large. Pas de buée grâce au système d’aération sur le haut et le bas du masque même avec un cache-cou remonté jusque sous le masque. Et l’écran de base fait pour le solaire joue parfaitement son rôle en plus de disposer d’un système très fiable pour le bloquer et changer de type d’écran puisque le masque est fourni avec un écran supplémentaire pour le temps plus nuageux.

 

 

Test snowboard : Capita Kazu Kokubo Pro 157cm

Le snowboarder Japonais de légende Kazuhiro Kokubo signe son « pro-model » chez Capita aux graphismes exceptionnels : une fine couche de bois plus légère qu’un revêtement classique et qui rend chaque Kazu unique, ainsi qu’un chef d’œuvre de son tatoueur Japonais pour la semelle.

Son profil « Alpine V2 » présente un cambre classique avec un cambre inversé à l’avant pour un maximum de pop en freestyle ainsi qu’une flottaison idéale et facile en poudreuse.

De plus, par sa forme directionnelle avec une position légèrement reculée ainsi que l’avant bien plus prononcé et plus soft que l’arrière, c’est une valeur sûre pour les sessions backcountry à travers une neige poudreuse et profonde.

 

Notre test :

Classée dans la catégorie Alpine par Capita et non « resort » (« station »), alias « all-mountain », la Kazu est avant tout une planche ferme, réactive et légère prévue pour les fortes descentes en haute-montagne et pour envoyer d’énormes sauts en poudreuse. Son arrière plus dur permet de parfaitement réceptionner de grands sauts mais aussi de mieux flotter en poudreuse car moins prononcé que l’avant.

Son cambre classique en fait une planche très maniable qui relance fort en sortie de carve ; excellente carveuse (petite carve, moyenne et longue sans broncher) qui ne demande qu’à charger à fond à travers n’importe quel type de terrain. Ce qui la rend bien plus versatile que son programme initial, notamment avec son cambre inversé à l’avant qui permet une plus grande facilité d’entrée en virage, cependant elle reste exigeante et conviendra plus aux riders intermédiaires/experts qu’aux débutants.

Une planche qui respire la puissance et le pop, créée dans le plus grand respect de l’environnement à Capita The Mothership®, réservée aux riders au gros cœur qui veulent envoyer du lourd à travers toute la montagne.

Pour ceux qui ne sont pas équipés en ski nous vous recommandons chaudement l’équipe du Sport 2000 Snow sport, équipe familiale et accueil vraiment sympa.

Le restaurant L’Alpin :

 L’Alpin est un restaurant steack house mais surtout il propose à ses clients de vivre un repas sous tente alpine avec tout le confort : peaux de bêtes, poêles, guirlandes lumineuses, et au menu : raclette ou carré de porc. On est reçu en groupe spécialement par une personnes assignée aux services des tentes. Un petit apéritif autour d’un brasero vous est proposé avec les célèbres saucisses Savoyardes, les diots, se mettre en appétit.

Puis on entre sous la tente, où la douce chaleur nous pousse à faire tomber les doudounes. La petite enceinte connectée qui nous est prêtée permet de mettre l’ambiance musicale de notre choix. Quand les plats sont servis, on ne peut que constater que la qualité des produits est là : le fromage de la raclette a un goût prononcé et léger à la fois, et le porc est fondant et savoureux. Les desserts en farandoles achèvent un repas des plus agréables. Si vous voulez passer une belle soirée qui sort de l’ordinaire, les tentes alpines sont le bon plan. Gros plus du lieu la super équipe qui est au petit soin.

Cosmeto pour la montagne :

Les Ménuires, c’est du soleil et du froid. Pour affronter la rudesse du climat, nous avons testé les produits La Biosthétique et plus particulièrement,  la gamme régénérante qui hydrate la peau. Le soin Cold Cream pour se protéger des attaques mordantes du froid est très efficace et pour le retour du ski après une journée au soleil, dont les rayonnements sont amplifiés par la réverbération de la neige, la crème après soleil apaise véritablement la peau.

Avant de vous coucher, et pour se délasser pleinement tout en prenant soin de soi, la gamme spa de La Biosthetique avec le Sea Salt Scrub, puis le Rich Firming Body Cream est une combinaison parfaite pour se tonifier la peau et s’exfolier tout en ressortant de ce soin avec le sentiment d’une peau plus ferme et toute lisse. Nous avons apprécié particulièrement les senteurs de beurre de karité et florales de la Rich Firming Body Cream qui donnent un sentiment très cocooning et réconfortant.

Nous avons emmené aussi le UFO mini 2 mint de chez Foreo, un appareil aux multiples talents pour vous permettre d’avoir un soin du visage quasi complet aux options variées. Ce petit galet connecté permet de faire des soins presque comme dans un institut : il chauffe, vibre (vibrations soniques) et utilise la luminothérapie. Toutes ces fonctionnalités permettent de mieux faire pénétrer les actifs dans la peau, et / ou de booster la circulation sanguine. Pour être très honnête, cela fonctionne vraiment bien. On sent que les produits pénètrent bien la peau, en tout cas mieux qu’avec nos doigts et surtout après le soin, la peau est visiblement plus hydratée et lumineuse. Nous avons été conquis.

 

 

Lifestyle hors piste :

La team Blake a porté hors des pistes les vêtements de la marque Superdry dont la tenue des matières est véritablement remarquable et offre un confort et une chaleur appréciable pour l’après ski. La marque Stetson fait des bonnets classiques, mais chaud, et des casquettes très styléesLes doudounes Ellesse sont des classiques indémodables, et nous avons particulièrement aimé la White Camo. Les pulls Woolrich ont une très bonne facture et une bonne tenue. Eastpack et leurs pochettes éditions spéciales Avengers furent bien pratiques pour caser nos affaires.

Enfin, un gros coup de cœur pour les solaires Bollé, Calvin Klein, Victoria Beckham, Arnette et Ralph Lauren que vous retrouvez sur les photos de notre reportage.

 

Nous avons également testé la gamme technique de la marque  Atlas for men . Des vêtements abordables, chauds et efficaces. Pour les doudounes montagne de cette marque, réservez les plutôt pour l’après ski, elles ne permettent pas de résister au grand froid ou froid prolongé.

Apnée sous glace :

Les Ménuires offre activité hors ski exceptionnelle et rare : de l’apnée sous glace. C’est Dan Arbogast qui encadre l’activité. Dan est instructeur d’apnée professionnels, mais aussi Vice Président France, juge, et instructeur de Aida France, la Fédération internationale d’apnée. Bref nous sommes entre de bonnes mains.

Après 45 min de marche d’approche à travers la montagne depuis les Ménuires en direction du Lac du Lou, on arrive dans un petit refuge qui date de 1845. En contrebas quelques trous on été fait dans l’épaisse croûte de glace qui s’est formée sur le Lac du Lou. Le temps d’écouter les instructions de Dan et d’enfiler une combinaison d’apnée néoprène de 14mm, qui vous donne l’impression de devenir un morse, et l’on descend vers le lieu de l’activité. Dan est extrêmement pédagogue, calme et bienveillant.

 

Pendant 45 minutes, une heure, Dan accompagne cette découverte de l’apnée sous glace pas à pas. J’ai cru le temps d’un instant revivre la scène du grand bleu, j’entendais presque la musique d’Eric Serra. Le corps s’habitue lentement à l’eau que l’on perçoit à peine froide, l’esprit doit s’habituer à plonger sous l’eau en altitude, car le cerveau nous dicte de remonter plus vite à la surface alors que l’on vient d’inspirer à plein poumon. Et après quelques descentes verticales le long d’une corde pour augmenter sa capacité d’apnée, Dan nous invite à faire une première longueur sous glace (l’instructeur nous suit discrètement, il est toujours là pour assurer notre sécurité) nous passons d’un trou à un autre. Première longueur, 8 mètres, 20-30 secondes d’apnée en tout, au plus court, sauf si vous voulez profiter du spectacle et prenez votre temps.

Exceptionnel, hors du temps, atypique…

Après libre à vous (et en convenant cela avec Dan) de tenter le trou à 12 mètres ou à 18 mètres.

Une activité que Dan est le seul à proposer en Europe, il a même accompagné des gens qui ne savaient pas nager ou encore des handicapés. Un homme qu’il faut rencontrer.

 

Article écrit par : Alexis Dumétier, Adrien Barthou et Maxence Manasterski

Vidéo réalisée par : Alexis Dumétier

Assistante vidéo : Lucie Fricheteau

 

Photos : Alexis Dumétier, Adrien Barthou, Laureleen Jacquet

 

Lien et infos :

https://www.50shadesofblue.fr

https://lesmenuires.com/fr/

https://www.les3vallees.com/fr

https://www.hotel-ours-blanc.com/spa

 

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HÔTEL BEL AMI – Les couleurs du chic Parisien

Cet hôtel de charme*****mérite doublement son nom de « Bel Ami ». Idéalement situé dans le cœur de Saint-Germain-des-Prés. Tout d’abord parce qu’il est élégant et accueillant. Ensuite, car il occupe un bâtiment datant du XIXème siècle : les anciennes imprimeries qui en 1885 sortent le premier exemplaire du célèbre roman de Guy de Maupassant, Bel Ami.


L’Hôtel Bel Ami, référence incontournable de Saint-Germaindes-Prés, est un lieu au design contemporain, qui fait pétiller la vie germanopratine. C’est l’adresse que l’on confie à ses meilleurs amis en leur assurant que leur séjour parisien sera vraiment exceptionnel. Situé à deux minutes à pied des adresses mythiques, le Café de Flore et les Deux Magots, choisir de séjourner à l’Hôtel Bel Ami c’est la garantie de se réveiller en plein Paris.
Avec ses 102 chambres dont 5 appartements au design original, son restaurant, son barn et son Spa, l’Hôtel Bel Ami est l’écrin discret de Saint-Germain-des-Prés.

Dès l’entrée, deux fauteuils Bubble Chair de Silvera donnent le ton : le Bel Ami Bar est le lieu de détente de Saint Germain-des-Prés. Géraldine Prieur a signé le bar et le lobby, avec un esprit audacieux, Modern Tie and Dye. Un œil comme un miroir XXXXL entouré de chrome reflète la vibration du lieu, des tissus du canapé et du fauteuil, a été signé par des rédacteurs locaux, comme Osborn et Little. On peut contempler les étagères de la grande bibliothèque avec une collection de livres éclectiques, ou lire à la lumière d’une lampe dorée Attolo par Vico Magistretti. Dans un décor privilégiant les alcôves en bois de Macassar Eboni, les barmen de l’hôtel Bel Ami font découvrir leurs créations.

L’esprit des chambres est un concept très graphique en référence à la calligraphie et à l’ancienne imprimerie qui abrite désormais le Bel Ami. Le décorateur a ainsi dessiné tous les éléments de mobilier des chambres : le bureau, les tables de chevet en chêne naturel habillées d’un plateau en verre laqué orange. 

Les motifs ethniques Ikat (une technique de l’Orissa en Inde) de chez Dedar contribuent à retrouver l’esprit avant-gardiste du Saint-Germain-des-Prés des années cinquante. Ils s’associent au dessin de la moquette inspiré des toiles de cette époque, notamment celles de Suzanne Vignier. Afin de travailler l’espace des chambres, les salles de bains ont été entièrement repensées. Elles sont séparées par un cloisonnement vitré qui évoque un atelier d’artiste parisien.

Au premier étage de l’hôtel Bel Ami se trouvent désormais cinq appartements chics et confortables. Les amoureux de Paris et de Saint-Germain-des-Prés ont désormais la possibilité de réserver un appartement privé au sein de l’hôtel Bel Ami. Conçus par l’architecte Pascal Allaman, les cinq appartements offrent un décor chic et apaisant, comme celui d’un lieu privé composé au fur et à mesure du temps. Ils proposent un style de vie typiquement Parisien. L’univers décoratif y mélange le XIXème siècle Guy de Maupassant et le SaintGermain-des-Prés période Drugstore.
Un environnement où tout évoque la bohème artistique et culturelle de ce quartier mythique, propice à un mode de vie décontracté.

HÔTEL BEL AMI 7-11 rue Saint Benoît, Paris 6ème Tél. 01 42 61 53 53

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Le Bulgari Hotel : l’excellence Italienne au cœur de Paris

Le Bulgari Hotel Paris est la dernière création de la collection Bulgari Hotel & Resorts qui compte déjà des hôtels à Milan, Bali, Londres, Pékin, Dubai et Shanghai, auxquels s’ajouteront prochainement ceux de Rome (2022), Moscou (2022), Tokyo (2023), Miami (2024) et Los Angeles (2025). Au cœur du célèbre Triangle d’Or parisien, le Bulgari Hotel Paris est une expérience à part entière aussi bien pensée pour les visiteurs de la ville que pour les Parisiens. Rompant avec les codes traditionnels de l’architecture parisienne, l’élégant bâtiment du Bulgari Hotel Paris enrichit le 8ème arrondissement par son style contemporain.

À l’instar de tous les établissements Bulgari Hotels & Resorts, le Bulgari Hotel Paris a été conçu par le cabinet d’architecture italien Antonio Citterio Patricia Viel. Les espaces intérieurs et extérieurs ont été pensés avec le même souci du détail et la même précision accordés à une création Bulgari, soulignant les codes propres aux établissements développés par la Maison de joaillerie romaine. Le Bulgari Hotel Paris propose 76 chambres, dont 75 % sont des suites, la plupart disposant de terrasses et de loggias. Chaque chambre a été conçue comme un véritable appartement privé, meublé avec soin de marques de mobilier de luxe de la plus haute qualité. Les œuvres d’arts et portraits de célébrités proches de la Maison Bulgari ajoutent la touche de personnalité caractéristique des Bulgari Hotel & Resorts.

Perché sur le toit de l’édifice, le Bulgari Penthouse marque l’apogée de cette philosophie. Sur deux étages et avec une surface de plus de de 1000 m2 dont 400 m2 d’espaces interieurs et 600 m2 d’extérieur, le Bulgari Penthouse dispose d’un jardin suspendu entièrement aménagé et arboré de plantes méditerranéennes et d’arbres fruitiers qui offre une vue panoramique sur les monuments emblématiques de la capitale française.

 Le point culminant de l’offre culinaire sera « Il Ristorante – Niko Romito », par le Chef aux trois étoiles Michelin, Niko Romito, qui a élaboré ce concept pour tous les Bulgari Hotels & Resorts, mêlant cuisine italienne classique et moderne, et misant sur les ingrédients essentiels de la culture, de l’élégance et de la vitalité du Made in Italy.

Adjacent au restaurant, le Bulgari Bar est un lieu où s’exprime toute la générosité et l’élégance de l’esprit de la Maison. Ouvrant sur le jardin, Le Bulgari Bar est appelé à devenir l’une des destinations de choix de l’Ouest parisien. Situé juste à côté, le Lounge – avec ses fauteuils profonds, son imposante cheminée et son plafond inspiré d’une minaudière Bulgari – se prêtera à toutes les retrouvailles.

S’étendant sur 1300 m2 et deux niveaux, le Bulgari Spa du Bulgari Hotel Paris offrira lui aussi une expérience inédite grâce à sa piscine de 25 mètres, l’une des plus grande parmi les hôtels de luxe parisiens. L’espace fitness doté des dernières technologies et des méthodes d’entraînement du Workshop Gymnasium, créées exclusivement pour Bulgari par Lee Mullins, inclut également un studio d’entrainement privatif.

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The Peninsula Paris, Le Lili et son Chef Dicky To

Le Palace The Peninsula Paris fait partie des plus beaux hôtels de la capitale. Si le bâtiment est classé au patrimoine historique c’est parce que son histoire est riche. L’origine, Sur l’emplacement actuel du Peninsula Paris, s’élevait un palais construit en 1864 pour le comte Alexander Petrovitch Basilewski, un aristocrate russe qui aimait à l’appeler son « petit Versailles ». Le nouvel édifice devint rapidement l’objet de toutes les conversations à Paris et, pour la première fois, le site du futur Peninsula Paris exerça une irrésistible attraction sur les mondains. On y donnait des réceptions pratiquement tous les soirs quand le comte était en ville, le plus souvent à la demande insistante de ses trois filles.

 

En 1906 La propriété a été acquise par le magnat viennois de l’hôtellerie Léonard Tauber après une guerre d’enchères qui a impliqué le gouvernement des États-Unis et le roi de Belgique. L’emplacement de la propriété, à la fois proche du bois de Boulogne, de l’Arc de triomphe, de la tour Eiffel et du Trocadéro, constituait un atout majeur aux yeux de Tauber. Ce site offrait à Tauber l’exceptionnelle opportunité d’élargir son empire en construisant «un hôtel aristocratique sans rival» qui, une fois terminé, pourrait se targuer d’être le plus grand hôtel d’Europe. Le palais est alors démoli et remplacé par un hôtel de luxe, le Majestic. L’édifice est construit dans un mélange de styles d’inspiration classique encore très en vogue à la Belle Époque : le style Haussmannien, réhaussé de touches décoratives néoclassiques. A l’époque l’hôtel compte 400 chambres et c’est le premier à proposer des salles de bains privées pour 350 de ses chambres.

 

Depuis le Peninsula a traversé l’histoire, et vécu bien des choses, depuis 2007 c’est la renaissance d’un Palace parisien, le bâtiment est vendu par l’Etat français à un groupe hôtelier à la société hôtelière qatarie Katara Hospitality, qui en 2009, annonça un accord avec The Hongkong and Shanghai Hotels, Limited (HSH) pour créer The Peninsula Paris. L’établissement actuel est le fruit d’un réaménagement qui a pris 4 ans de 2010 à 2014. Un travail titanesque, fait en étroite collaboration avec les organismes chargés du patrimoine Français.

Si nous vous parlons du Peninsula aujourd’hui c’est pour vous faire découvrir l’un de ses restaurants d’exception, Le Lili et son Chef Dicky To.

Le restaurant Lili :

La décoration intérieure du Peninsula est réalisée sous l’égide d’Henry Leung. Le restaurant LiLi, est situé à l’emplacement de l’ancienne salle à manger de l’hôtel Majestic, Leung choisit comme thème de la décoration intérieure la passion commune des cultures françaises et chinoises pour l’opéra. Le concept repose sur l’association d’éléments chinois à l’Art déco de la fin des années 20. Dès l’entrée du restaurant une gigantesque installation de cristal, représentant la coiffe traditionnelle d’une cantatrice chinoise (qui pourrait être Lili). C’est l’artiste coréenne, basée à New York, Ran Hwang qui a créé ce scintillant chef-d’œuvre en hommage à l’opéra chinois. Il est composé de 32 831 cristaux montés sur broches et insérés dans une base de plexiglas.

On pénètre dans la salle par un corridor très haut de plafond. L’ambiance est feutrée, la lumière chaude et tamisée, on croirait en effet entrer dans une salle de spectacle ou être l’un des personnages de Wong Kar-wai dans In the mood for love. Une fois dans la salle principale un splendide dôme, inspiré de l’installation acoustique d’une scène d’opéra de Shanghai, domine le décor théâtral du restaurant. Les boiseries, les peintures, les lumières, les rideaux rouges gigantesques et les embrasses de soie bleue monumentale : on pénétre dans un univers onirique.

Le LiLi propose une cuisine chinoise progressive avec des influences françaises.

Nous avons découvert la table du LiLi qui propose un menu où se distinguent des dim sum raffinés, une salade de saumon «Lo Hei» aux jeux de textures surprenants qui donnent envie de ne plus s’arrêter, un riz frit au foie gras exceptionnel, mais si nous devions garder un seul et unique souvenir, ce serait le bœuf au wok du Chef Dicky To.

Ce bœuf saisi au wok, exprime toutes les saveurs d’un feu puissant, avec des notes grillées et si particulières au wok, tout en ayant à cœur une viande juteuse, avec un goût de bœuf qui explose littéralement en bouche, et fin du fin une viande qui fond sous la dent comme jamais. Incroyable.

 

Pour ceux qui aiment faire des accords mets/vins divers et étonnants, sachez que le livre de cave du Lili est très fourni. Il bénéficie de la même cave que L’Oiseau Blanc, le restaurant étoilé du Peninsula Paris. Ainsi vous pouvez découvrir des vins natures, des grands châteaux et des millésimes d’exception. Vous pourrez même trouver un millésime spécial de 1908, mis en bouteille l’année de l’ouverture du grand hôtel de l’époque.

Dicky To est à la tête du restaurant Lili. Le chef originaire de Hong Kong est né en 1974. Il exerce ses talents de maître wok et de chef cuisinier au Lili depuis décembre 2018.

Dicky To, 2021, par A. Dumétier

Avant cela il est passé par différents restaurants. Pour mieux le connaître et comprendre sa cuisine nous l’avons rencontré, voici son interview :

 

Quel est votre parcours ?

Je travaille en tant que chef depuis plus de 30 ans. Dès l’âge de 15 ans, je travaillais pour un restaurant cantonnais de fruits de mer à Hong Kong. A l’âge de 27 ans j’ai commencé à être un Chef, et petit à petit j’ai commencé à apprendre l’anglais, tout l’aspect administratif du travail d’un restaurant, à utiliser l’informatique. A 32 ans j’ai eu mon premier poste dans un Hôtel de Hong Kong de Chef exécutif. Après cela je suis allé vivre à Macao pendant deux ans, toujours comme Chef exécutif, et pour moi c’était la première fois que j’allais à “l’étranger” (rire). Ensuite j’ai eu une opportunité à Shanghai, je m’en souviens car c’était l’exposition universelle, j’ai donc saisi cette opportunité et j’ai rejoint le Peninsula Shanghai, après quelques temps j’ai été transféré au Peninsula de Tokyo et après je suis venu ici, à Paris.

 Quel est votre premier souvenir lié à la cuisine ?

Je me souviens encore de la première fois où je travaillais dans une cuisine chinoise professionnelle. C’était le restaurant de fruits de mer de Dunhuang.  Je regardais les cuisiniers et je les trouvais tous très beaux, ils utilisaient le wok avec une grande agilité et une bonne rythmique, il y avait une grande énergie qui se dégageait de leur travail. J’aimais apprendre au sein de cette brigade. La première fois que j’ai eu l’opportunité de cuisiner, c’est quand le Chef a quitté le poste des woks et qu’une commande est arrivée. Je regardais tous les jours comment le Chef cuisinait, avec envie et pour moi il était impossible de ne pas saisir cette opportunité de cuisiner à mon tour un plat pour des clients. Alors que je finissais presque de préparer le plat, je m’en souviens encore parfaitement, c’était un riz frit, le Chef est revenu en cuisine. Il m’a regardé, je l’ai regardé,…il a goûté le plat…il n’a rien dit…et après quelques secondes, il a dit : “ok, amenez le plat en salle”…J’étais très heureux et soulagé (rire).

Comment en êtes-vous venu à travailler comme Chef dans une cuisine ?

A l’âge de 15 ans, pour être honnête, ce n’était pas un choix de cœur, je voulais avoir de l’argent pour sortir, jouer avec mes amis. Après quelques années je me sentais mal dans ce travail, les fêtes, Noël, Saint-Valentin, le Nouvel An, en tant que Chef dans une cuisine, vous devez travailler encore plus, spécialement dans ces moments-là. Je voyais mes camarades qui ne travaillaient pas dans mon milieu, sortir, qui s’amusaient, qui profitaient des fêtes, c’était dur pour moi. J’ai alors quitté l’univers de la restauration, durant quelques mois. Je me suis demandé à cette époque si j’aimais cuisiner, si j’aimais travailler en cuisine. Je suis donc allé travailler dans d’autres industries mais je me suis rendu compte que cela ne m’allait pas. J’ai compris que le lieu où je me sentais le mieux, c’était une cuisine. J’ai alors repris le chemin des fourneaux, jusqu’à aujourd’hui.

Quelle est la personne qui vous a le plus influencé dans votre carrière de Chef ?

Les personnes très importantes avec qui j’ai appris mon métier de Chef, ont été peu nombreuses, mais elles m’ont beaucoup influencé. Le premier Chef important dans ma vie professionnelle, s’appelait Chef Leung Coeng, à cette époque je travaillais encore à la découpe. Dans une cuisine cantonaise, dans la partie du chaud, il y a deux sections différentes : l’une est le wok et l’autre c’est la découpe, juste tenir le couteau. Et à cette époque, je tenais le couteau. Un jour le Chef Leung Coeng m’a demandé : “Crois-tu que travailler dans une cuisine c’est ton métier, que tu ne changeras jamais pour un autre ?” J’ai dit : “oui”. C’est alors qu’il m’a encouragé et inspiré.  Il m’a dit : “Dans ta situation actuelle, tu es comme une vache, tu travailles sans réfléchir. Tu dois avoir une vision de ce que tu fais, une idée de toi-même, un but à atteindre. Si tu en as une et que tu aimes cuisiner, tu devrais te mettre au poste du wok. Parce qu’aujourd’hui dans la cuisine cantonaise les choses changent. Avant le Chef de cuisine était celui qui tenait le couteau, c’était lui qui tenait le business. Maintenant la tendance a changé, les gens veulent d’un chef qui cuisine et non qui découpe. Si tu n’as pas assez d’expérience au wok il te faudra tout réapprendre depuis la base.” J’ai réfléchi pendant plusieurs jours à ce qu’il m’avait dit, je n’ai pas dormi pendant deux, trois nuits. Je pensais ne pas pouvoir le faire à l’époque mais c’était un bon challenge. J’ai alors tout appris depuis les bases du maniement du wok, pour petit à petit parvenir à être Chef wok. Je pense que Chef Leung Coeng a été le premier et le plus important pour moi dans ma carrière, pour changer et définir un but pour moi-même : je savais alors où j’allais, ce que je devais faire pour mon avenir.

 Quel est le plus important en cuisine pour vous ?

Pour moi le plus important en tant que Chef c’est de créer des plats qui soient goûtus et que ces saveurs spécifiques restent à jamais en mémoire pour la personne qui découvre ce plat.

Quel est votre moment préféré en cuisine ?

Le moment le plus important pour moi alors que je travaille au wok, c’est quand je regarde mon équipe, qui est en pleine ébullition avec beaucoup de positivité. Même dans une situation de tension, l’équipe reste toujours focalisée sur la méthode et l’objectif qui est de satisfaire le client. Pour moi, c’est le moment le plus joyeux.

En tant que Chef wok, quelle est votre particularité ?

 Je dirais que peu importe ce que je cuisine avec un feu fort, dans un wok, que ce soit avec de la sauce ou sans sauce, le plus important est que l’on sente que ce plat a été fait au wok avec les saveurs spécifiques que cela apporte. Et peu importe le plat, je dirais que c’est l’une de mes forces.

 Quel est l’aliment que vous aimez le plus cuisiner ?

 L’ingrédient le plus délicat pour moi à cuisiner au wok, c’est le bœuf. Qu’il soit découpé finement, en lamelles, en cubes, vous devez alors utiliser différentes températures toujours dans le wok. Le challenge est là, comment rendre la viande tendre, avec du goût, juteuse, et cela va aussi se jouer avec la combinaison d’ingrédients qui ira avec. Et ce challenge-là, j’adore le relever à chaque fois.

Quels sont les ingrédients que vous avez découverts en France ?

 Nous utilisons le foie gras, et pour le homard nous utilisons le caviar. Avant tout, le caviar qui est un ingrédient haut de gamme, apporte beaucoup de goût. Vous savez tout de suite que c’est un plat marin. Il permet de mettre moins de sel. Le caviar rend la texture du plat plus douce, plus naturelle.

Quel est votre plat signature ?

Je dirais, même si c’est un plat simple, le riz frit au foie gras, car c’est le plat que les gens reconnaissent tout de suite. Même si c’est un simple riz frit, on fait tout pour ne pas le rendre si simple. Nous utilisons un foie gras local, que les français aiment. Et nous utilisons du poivre noir, et la technique de cuisine est cantonaise, avec une cuisson du riz au wok. C’est une combinaison de cuisine, et ce plat est devenu très populaire. J’ai aimé mettre quelque chose que j’adore dans ce plat et que les gens ont aimé : du poivre noir. Pour moi c’est un peu unique de mettre du poivre noir pour faire un riz frit, jusqu’ici je ne l’ai jamais vu dans un autre restaurant.

Quel type de poivre noir utilisez-vous ? Pouvez-vous nous donner le secret ?

 (rire) Ce n’est pas un secret, juste du poivre noir très simple…(rire)

Comment créez-vous les plats de la carte du Lili ?

J’essaye de travailler mes idées, seul d’abord, dans ma tête. J’essaye de trouver ce que l’équipe pourrait mettre en œuvre. Une fois l’idée formalisée dans mon esprit, j’en parle avec ma brigade pour créer réellement le plat.

Pouvez-vous nous parler du Lili et de son ambiance ?

J’aime ce restaurant Lili car c’est un lieu d’interaction fort entre les clients et l’équipe en salle. C’est une véritable scène ici. La thématique de décoration c’est l’Opéra, un mélange entre l’opéra européen et l’opéra chinois. Les invités viennent ici pour voir le spectacle. Pour moi, mon équipe en salle, c’est comme un ballet, et parfois je viens aussi en salle voir les convives, je viens dire bonjour. Et ce sentiment d’être sur une scène, d’être à l’opéra, je ne le trouve nulle part ailleurs. Regardez le dôme derrière moi; pour moi c’est la plus belle partie du restaurant, cela montre le centre de la scène, de la salle, je n’ai jamais vu un restaurant aussi beau.

Quel est votre souvenir culinaire d’enfance ?

 Quand j’étais enfant j’aimais les choses croquantes, craquantes, vous ne pouvez pas vous arrêter de manger. Bien sûr il y a le goût, mais il y a aussi le son et la texture. Pour moi c’était ce qui m’attirait le plus.

 Maintenant que vous êtes Chef, comment retranscrivez- vous ce souvenir d’enfance ?

Je peux vous donner des exemples qui illustreront comment cette texture croquante, m’influence encore aujourd’hui. Nous avons une salade de saumon “Lo Hei”, composée de légumes croquants, de saumon, de sauce, mais nous ajoutons également un ingrédient croquant. Face à ce plat vous pouvez vous demander pourquoi avoir ajouter du croquant avec du saumon, mais quand vous le dégusterez vous comprendrez pourquoi. Le plat n’est pas seulement délicat, avec la texture douce du saumon, vous avez un jeu de texture, et vous ne pouvez plus vous arrêter. Un autre exemple, encore une foie avec le riz frit au foie gras. Pourquoi vous combinez dans un plat riz souple et riz croquant ? C’est parce que c’est cela qui attire les gens.

 Pour vous quel est le meilleur accord mets/vins ?

Pour moi, l’accord parfait pour la cuisine cantonaise, c’est le thé, d’abord parce qu’ils viennent du même endroit, mais aussi parce que quand on déjeune et que l’on se sent un peu “lourd”, alors on boit un thé et l’on se sent mieux. C’est au-delà de l’accord mets/vins, cela aide à digérer. Nous avons six différents thés, donc selon ce que vous mangez, vous accordez : vous mangez quelque chose d’un peu gras, le meilleur est un thé Pu erh, par contre si vous mangez quelque chose de délicat et d’élégant, un thé floral, un thé vert, sera mieux.

Si vous deviez manger un dernier plat, quel serait-il et quel serait l’accord ?

Ce serait des gâteaux traditionnels de lune, fourrés à la pâte de graine de lotus, et on boit un thé Pu erh, c’est l’accord parfait !

Photo A.Dumétier

 

 

https://www.peninsula.com/fr/paris/hotel-fine-dining/lili-cantonese-chinese

 

 

 Article écrit par Alexis Dumétier

Vidéo réalisé par Alexis Dumétier

 

 

 

 

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Eminente : un peu de Cuba à Paris

Eminente…Vous rêvez de Cuba ? il n’est pas si loin. Depuis le 30 septembre et jusqu’au 12 décembre 2021, l’Hôtel Eminente nous ouvre les portes d’un Cuba onirique et surprenant. Un lieu éphémère qui propose de nombreuses expériences sensorielles et culturelles en plein cœur de Paris. Dans tout l’hôtel et jusque dans les chambres, le parfum de la canne à sucre et les notes du rhum Eminente. Ce lieu éphémère a été créé spécialement autour du rhum Eminente. 

Le Ron Eminente :

Pour l’histoire, selon les origines du breuvage on parle de ron, de rum ou de rhum. En France on utilise l’orthographe rhum, mais on parle bien du même produit à chaque fois, un alcool conçu à base de canne à sucre. La différence vient donc plus du lieu où il est fait. Les rums viennent de la Barbade et de la Jamaïque, les rhums désignent une eau de vie produite en Guadeloupe, à Haïti, en Martinique, sur l’île de Marie-Galante ou de la Réunion. C’est le goût dit « français ». Pour ce qui est des rons cela nous indique qu’ils sont en provenance  de Cuba, de Porto Rico, d’Amérique du Sud ou encore de Guyane.

Eminente est un nouveau rhum cubain, élaboré au cœur d’une île que ses habitants surnomment «Isla del Cocodrilo», sa forme peu commune évoquant celle de son crocodile endémique. Imaginé par César Martí, plus jeune Maestro Ronero (Maître Rhumier), Eminente est un rhum riche et structuré, puisant son inspiration dans les eaux-de-vie de canne cubaines du XIXème siècle, caractérisées par leur complexité aromatique.

Eminente Réserva, est un rhum cubain de 7 ans d’âge : un rhum vieilli en fût de chêne, ce qui lui apporte des notes douces de vanille, de cacao et d’amande grillée. Un rhum aux saveurs de canne à sucre marquées, une pointe poivrée sur un léger fumé.

L’hôtel :

Au 20 rue Pascal dans le 5ème arrondissement de Paris, la végétation a repris ses droits. Derrière la végétation, un petit hôtel cubain ouvre ses portes. Une casa particular perdue au milieu de la jungle dont la façade aux murs peints d’un rouge ocre laissent entrevoir les marques du temps. Pendant 24h, vous pourrez vivre une immersion totale aux saveurs de la Havane, où l’on y découvre un bar à rhums exceptionnels, des chambres à la décoration tropicale et cubaine, un restaurant rattaché à l’hôtel qui offre un menu aux saveurs de l’île, jusqu’au spa qui prend des allures de mangroves…Un voyage tropical le temps d’une soirée.

« Cette adresse éphémère, dédiée aux cinq sens, incarne à elle seule le retour aux racines d’Eminente, un rhum cubain de dégustation.Avec cet hôtel perdu au milieu de la jungle, nous voulons faire vivre une expérience qui met à l’honneur la richesse du patrimoine culturel Cubain : son rhum, ses cocktails, mais aussi sa gastronomie ».

CAMILLE DE DOMINICIS — COFONDATRICE D’EMINENTE

Les chambres :

La décoration vous immerge dans une scène d’un polar cubain, les teintes sont vertes émeraudes, les baldaquins, le lin, les meubles en bois, les vinyles ça et là, le chapeau de paille négligemment oublié, les plantes vertes en « forêt luxuriante » dès l’ouverture de la porte de votre chambre. Tout y est et vous plonge dans un ailleurs tropical. C’est très cocooning et réconfortant, il ne manque plus que l’humidité étouffante, mais sans aucun doute on est transporté à la Havane. Le parfum d’ambiance aux notes de rhum et de canne à sucre y fait pour beaucoup aussi. Tous les sens sont travaillés pour augmenter l’immersion.

Le restaurant :

Le Grand dictionnaire, restaurant qui fait face à l’hôtel, est devenu paladar (restaurant familial), vous y découvrirez les spécialités cubaines qui se partagent de l’entrée au dessert. Le tout accompagné de rhum Eminente ou d’une sélection de vins blancs et rouges. Le menu qui vous est servi, compris dans le prix de votre soirée, a été pensé par Annabelle Cantarero, formée à l’institut Ferrandi à Paris, et qui a travaillé dans les plus beaux palaces de la capitale. Annabelle Cantarero propose une cuisine maison et traditionnelle, agrémentée d’une touche contemporaine inspirée de ses propres productions et des matières premières issues de Cuba. Du poisson, du porc, des saveurs mêlant épices et agrumes, une cuisine authentique et réjouissante. Pour finir sur un baba au rhum bien sûr, comment faire autrement.

Le bar de l’hôtel : Le 1802

L’expérience gustative se trouve ici, dans le bar de l’hôtel. Un temple du rhum. Un choix extraordinaire et venu des quatres coins de la planète : Barbade, Jamaïque, Réunion, Antilles, Haïti… Des rhums blancs, ambrés, des bruts de fûts, des sans âges, des clairins, des rhums rares et d’exceptions ou alors des cocktails maîtrisés et équilibrés.

Au 1802, vous avez l’occasion de découvrir un univers que l’on ne connaît pas assez ou que l’on croit plus petit qu’il n’est.

Ce soir là c’est Christopher Bellail qui est mon guide en terre de rhum. Et quelle aventure sensorielle, que de découvertes dans l’immense choix que le monde des rhums offre : de la douceur des notes de bananes plantains, aux notes de pétroles âpres, en passant par les notes d’ananas, de vanille et de mélasse.

Je pourrais maintenant vous en parler des heures mais il vous faudra y aller vous même pour faire vibrer vos papilles et bousculer vos croyances. Car si vous en avez l’envie, la curiosité, vous avez sur place des spécialistes de la question rhum, qui sauront vous initier.

Le Spa :

Comment mieux finir la soirée que par un bain, entouré de verdure et du chant de la jungle tropicale. Au sous-sol, l’ambiance cubaine perdure, et comble du plaisir, vous aurez le lieu privatisé pour vous durant 45 minutes.

 

Un couloir de nage d’une dizaine de mètres, une eau ni trop fraîche, ni trop chaude. Un moment parfait pour savourer l’élan de la dégustation des rhums, avant d’aller vous coucher sous un baldaquin de lin.

Une expérience à s’offrir sans plus attendre. Un dépaysement savamment travaillé et unique, que nous ne pouvons que vous recommander.

Avec pour dernier plaisir avant d’atterrir sur Paris un petit déjeuner au lit.

 

Article écrit par Alexis Dumétier

 

Réservation sur Staycation. Offre 24h, « Una noche Cubana » , à partir de 300€.

L’offre inclut une nuit pour deux personnes, le petit-déjeuner, une dégustation Eminente, 1 cocktail par personne, le dîner cubain, l’accès à la piscine pendant 45 minutes et 1 bouteille de Eminente Reserva.

 

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Le Pley Hotel

Le PLEY Hotel est situé sur la célèbre rue du Faubourg Saint Honoré. Nous avons découvert pour vous ce nouveau lieu à quelques pas des Champs Elysées. Le PLEY Hotel fait parti de ces établissements qui sont pensés comme de véritable lieu de vie. Ainsi le voyageur ce sent plus comme chez lui et la sensation de confort est immédiate.

La décoration d’intérieur du PLEY Hotel est vintage et moderne à la fois, inspirée par la riche histoire radiophonique du 8ème arrondissement de Paris. Les œuvres de l’artiste contemporain Julien Nédélec, les photographies d’archives de la radio Europe 1, les vieux postes de radio chinés dans toute la France et les affiches publicitaires d’époque ou encore les vinyles laissés ça et là viennent ainsi rendre hommage à l’histoire de la radio française dont les plus grandes pages furent écrites dans les rues de ce quartier.

Mais bien plus encore que par les objets décoratifs, le PLEY Hotel offre ce lien fort avec l’histoire de la radio dans son sous-sol qui ressemble à s’y méprendre à des locaux de radio.

Vous y trouverez même un studio où vous pourrez jouer de la musique…On a adoré l’ambiance de ce lieu, qui vous donne envie d’y rester se prélasser en écoutant un vieux vinyle.

 

Les chambres

Le PLEY Hotel est constitué de 100 chambres et suites aux volumes généreux, toutes habillées dans des déclinaisons de bleus, blancs et roses. Leurs décorations sont ponctuées de photographies et d’affiches publicitaires mettant en valeur l’histoire de la radio française. Les hôtes retrouvent ainsi des clichés historiques des studios Europe 1, de la rue François Ier, ou des publicités des années 50 pour les postes Schaub-Lorenz ou Radiovox. Elles offrent à tous une immersion rassurante, délicate, chaleureuse et même feutrée dans les souvenirs collectifs de l’univers musicale et radiophonique parisien du siècle dernier. L’hôtel met à disposition de tous les cosmétiques vegan et Made in France Terre de Mars, ainsi qu’une radio Bluetooth Lexonou Tivoli.

D’une superficie allant de 15 à 75m2, cinq catégories permettront à chacun, travailleur d’un soir ou voyageur au long cours, de trouver l’espace idéal pour se ressourcer et vivre une expérience Parisienne. Les amoureux des grands espaces privilégieront le Penthouse, la suite avec accès privatif au rooftop du PLEY Hotel, tandis que les grandes tribus pourront privatiser un étage complet de l’hôtel, grâce à des espaces modulables et connectés.

Le bar / restaurant, Pleyground

Les bars d’hôtels sont les lieux de vie incontournable des établissements. le Pleyground est un espace à la fois convivial et confortable, qui vit tout au long de la journée. Du petit-déjeuner au déjeuner, du tea-time à l’aperitivo, jusqu’en fin de soirée. La pièce maîtresse de ce bar est le piano à queue PLEYEL de 1903, présent dans l’hôtel depuis 49 ans. Cet instrument précieux et historique crée une ambiance forte dans cet espace lumineux.

Le Rooftop

Le rooftop de l’hôtel est un lieu intimiste et calme avec sa vue imprenable sur les toits de Paris et la tour Eiffel. Vous pourrez y déguster les cocktails du bar. Fait très à la mode, vous pourrez également boire du Kombucha, un thé fermenté et donc pétillant, bon pour votre santé parait-il, en tout cas rafraîchissant. Et pour accompagner cela, des charcuteries de la maison Montalet , des tapas : Tapenade d’olive verte, Tzatziki, et autres planches ainsi que des pizzas.

Et pour ceux qui veulent s’accrocher à l’été durant les éclaircies de notre été indien, vous pourrez déguster les vins du Château de Pampelonne, en blanc, rouge ou en rosé. Fermez les yeux : vous êtes presque à Saint-Tropez.

Un rooftop encore peu connu, à découvrir avant l’hiver.

 

www.pley-hotel.comhello@pley-hotel.com

214 Rue du Faubourg Saint Honoré – Paris 8ème, Tel : +33 1 42 25 26 27

 

Article écrit par Alexis Dumétier

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