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La Renault Megane e tech, nouvele 100% électrique

La nouvelle Megane e tech de chez Renault, nous sommes allez la découvrir à Marbella sous le soleil d’Espagne et sur les jolies routes de l’arrière pays ibérique. Nous avons eu en main le modèle E-Tech Electric Techno EV60, 220 ch.

Dehors

Une voiture 100% électrique qui vient enrichir la gamme de véhicules tout électrique de chez Renault. La Mégane e tech est une berline compacte avec un look sport et un style crossover. Au premier regard, elle en jette : les roues de 20 pouces en imposent, la signature lumineuse full LED au design acéré, les poignées de porte noyées dans la masse de la portière, le grand bouclier avant et ce logo aux lignes considérées. Tout y est pour donner envie.

Dedans

On ne perd pas une minute de plus pour monter à bord. Une fois à l’intérieur, on est tout de suite happé par le tableau de bord tout en écran vidéo en L de 774 cm2. dont la partie centrale est tactile. Le gros point fort justement de cet écran qui répond au doigt aussi bien que votre smartphone et cela est plus qu’agréable pour la navigation, qui devient un jeu d’enfant. C’est d’ailleurs ce dernier qui nous « reçoit », quand on ouvre la portière avec un allumage progressif et une tonalité d’accueil.

L’intérieur est soigné dans cette nouvelle Megane e tech. Les sièges réglables en tous sens sont confortables et ergonomiques. Dès l’instant où l’on referme la portière, on sent véritablement comme le son intérieur est matifié. Cela apporte un sentiment très cocooning. Le volant est réduit, ce qui apportera sans doute un confort de conduite. Pour l’aspect pratique, cette voiture dispose d’un chargeur à induction à l’avant, de prise USB-C à l’arrière pour permettre au passager de rester connecté durant le voyage.

La connectivité

La connectivité, c’est l’atout des voitures modernes. La Megane e tech joue cette partition à merveille. C’est simple et pratique : grâce au système openR link avec Google intégré. Le tableau de bord connecté à Google rappelle les environnements androïdes des smartphones et permet une navigation intuitive dans tous les menus, de la musique en passant par la navigation ou encore les menus de configuration de la voiture, tout tombe sous le sens, comme si on la connaissait déjà et cela sans même avoir à connecter son smartphone. La lisibilité et le puissance de luminosité de l’écran est très bonne en toute circonstance.

Les hauts parleurs fournissent une belle puissance et une belle qualité d’écoute. C’est Harman Kardon qui développe cela pour Renault : il offre une puissance totale de 410W via 2 tweeters sur les côtés du tableau de bord, 2 woofers dans les panneaux de porte avant, 2 tweeters et 2 woofers dans les panneaux de porte arrière et 1 caisson de basse dans le coffre. On peut gérer la spatialisation du son à merveille pour profiter de la musique sans déranger ceux qui n’en veulent pas. La technologie Quantum Logic Surround™ permet 5 ambiances sonores, qui pourront vous faire profiter de tous les styles musicaux..

Les rangements

Pour ce qui est des rangements, la Megane e tech dispose d’un vide-poche central bien large et qui permet d’y laisser téléphone et autres boîtes à lunette. Au total c’est 33 L d’espaces de rangements centraux et latéraux. le volume du coffre ? 440 Litres…cela ne vous parle pas. Vous ne partirez pas en famille nombreuse avec valises et poucette mais vous pourrez y mettre deux valises cabines et deux sac à dos pour partir en amoureux.

Le petit défaut, vite rattrapé

Petit bémol : le pare-brise arrière en meurtrière et le seul élément qui semble peu pratique. Mais, cela est sans compter l’option du rétroviseur central qui peut se switcher en écran vidéo. Ultra pratique et particulièrement réussi. Nous on a adoré cette technologie. En parlant de technologies, le radar de recul couplé à la vidéo qui s’affiche sur le large écran central et qui recrée une vision vue du dessus de la voiture, permet une manoeuvrabilité sans égale de la Megane e tech. Même quand on la découvre pour la première fois, cela devient un jeu d’enfant.

La sécurité

La Megane e tech est une voiture du futur véritablement : elle possède 26 systèmes avancés d’aide à la conduite et certains dispositifs de sécurité sont innovants. Il y a les classiques qui régulent la vitesse et maintiennent les distances de sécurité avec le véhicule qui précède, tout en assurant le centrage dans la voie de 0 km/h à 170 km/h, en situation de bouchon, le véhicule s’arrête et redémarre automatiquement…mais aussi des nouveautés très utiles : reconnaissance des panneaux de signalisation, Elle vous informe des limitations de vitesse via le tableau de bord et alerte en cas de dépassement de la vitesse limitée grâce à une caméra positionnée au sommet du pare-brise. Le freinage automatique d’urgence en marche arrière fait son apparition (piéton, cycliste, obstacles fixes…) ou encore le radar qui vous alerte au moment de la sortie de votre véhicule si il arrive un vélo ou un piéton ou encore une moto et ainsi pouvoir s’extraire tout en sécurité de son véhicule.

L’Autonomie

Qui dit véhicule électrique dit autonomie, la Megane e tech annonce 470 km à condition de rouler dans les limites de vitesse autorisées et sans mode sport activé constamment. Avec l’optimum Charge (22 kW et 130 kW), on peut récupérer jusqu’à 300 km d’autonomie en 30 minutes.

La conduite

La Renault Mégane E-Tech Electric est proposée en trois finitions (Équilibre, Techno et Iconic) et deux niveaux de puissance, 130 ou 220 ch. Côté batterie, deux capacités sont au choix : 40 kWh pour le moteur de 130 ch ou 60 kWh avec le moteur de 220 ch. Côté puissance, même si ce n’est pas une sportive, avec ses 1624 kg et son moteur de 220 ch, quand on active le mode sport qui est l’un des 5 modes de conduite proposé, on a une très bonne sensation d’accélération et de puissance. Le freinage est efficace et rassurant à tout moment, cela vient aussi de la précision de la pédale de frein. L’impression qui fut pour nous, la plus forte, reste le rayon de braquage du volant, qui a été revu, pour offrir une précision et une capacité élevé du rayon de braquage. Cela offre la possibilité au conducteur de ne pas se laisser surprendre dans les virages, même quand ceux-ci se resserrent brusquement. On reste en maîtrise et cela est véritablement un gros plus pour la Megane e tech, qui se révèle très très précise en direction.

Conclusion

Le sentiment global de cette nouvelle Megane e tech, ici en version Electric Techno EV60, 220 ch, est très bon. On est comme dans un cocon roulant, rassurant et apaisant. Un cocon qui permet une conduite ultra précise avec si on le veut un aspect joueur sur l’accélération. Une voiture électrique que l’on adopte rapidement et que l’on vous conseille d’essayer.

 

www.renault.fr/vehicules-electriques/megane-e-tech-electrique

Modèles : Pedro Estrella et Alexis

Look photo : Chapeau Stetson, chaussure K-swiss, Jean Lee, Chemise Studio, Lunette de soleil Victori Beckham

Article écrit par Alexis Dumétier

Vidéo réalisé par Alexis Dumétier et Alexandre Lamouroux

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ArchivesNews de Mode

LEE x PENDLETON: PREMIERE COLLABORATION

La collection célèbre deux marques américaines emblématiques avec une capsule mixte, en édition limitée.

Lee®, la marque de jeans emblématique connue pour son style intemporel et la marque lifestyle familiale Pendleton Woolen Mills, implantée dans le Nord-Ouest du Pacifique, se sont associées pour créer une collection capsule célébrant l’artisanat américain. Deux marques américaines iconiques se retrouvent ainsi autour d’une première collaboration. Cette collaboration en édition limitée réinvente des pièces phares issues de plus de 300 ans d’archives cumulées par les deux marques. Les modèles iconiques de Lee® tels que le Lee 101™ Jean, Union-Alls® et Storm Rider® Jacket sont revisités, ornés de motifs exclusivement imaginés par Pendleton®. Chaque empiècement Pendleton a été conçu dans de nouveaux coloris, finement ajustés sur des tissus « Made In USA ».

Pour renforcer le caractère unique de la capsule, les jeans sont fabriqués et cousus à Greensboro, en Caroline du Nord. Ces modèles se caractérisent par leurs denims selvedge américains provenant de l’usine White Oak de Cone Denim, fermée en 2017. Fabriqués sur des métiers à tisser Draper vintage – qui ne pouvaient produire que 100 mètres par jour historiquement, ndlr –  le tissu fait la part belle à l’héritage et à l’histoire du textile américain.

« L’utilisation par Pendleton de couleurs et de sublimes motifs a toujours été une source d’inspiration. Travailler ensemble est un rêve devenu réalité », a déclaré Betty Madden, Vice-Présidente du Design Monde Lee®. « Nous avons adopté une nouvelle approche du design et incorporé le denim selvedge «  Cone Mills » pour faire de cette collection un hommage à l’héritage et au savoir-faire exceptionnel. Je me réjouis de cette collaboration. « 

« Travailler avec Lee® était une collaboration parfaite pour Pendleton®. L’authenticité de la marque mêlée au patrimoine américain fait écho aux valeurs de Pendleton : qualité, design et innovation textile « , a déclaré Peter Bishop, Vice-Président Exécutif des Marchandises et du Design Pendleton®. « Avec tant d’années de savoir-faire et d’expertise combinés, nous sommes ravis de voir cette collection unique de vêtements et de plaids prendre vie. »

La collection se compose de jeans, de chemises, de vestes et d’Union-Alls (combinaisons) pour hommes et femmes, ainsi que d’un plaid en laine en édition limitée, fabriqués à partir d’un motif à rayures exclusif de Pendleton®. Les prix varient de 185 à 349,95€. La collection est disponible depuis le 16 novembre sur les sites en ligne de Lee® et de Pendleton, et au cours du mois chez certains revendeurs Pendleton®. Pour plus d’informations, visitez https://www.lee.com/pendleton.html

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ArchivesBlogNews de Mode

Jeans Story by So Jeans

Contrairement aux idées reçues, le jeans n’est pas une invention moderne et est plus ancien qu’on ne le pense. L’histoire de cette étoffe remonte en effet au XVIè siècle. Le tissu classique du jeans est alors confectionné à Nîmes, dans le Sud de la France.

En Europe, il est vendu sous l’appellation « serge de Nîmes ». C’est d’ailleurs de cette dénomination que vient le nom « denim ».
Les racines du mot « jeans » sont en Italie, à Gênes plus précisément, où le tissu des pantalons de marin était fabriqué.

En ce qui concerne les blue jeans tels que nous les connaissons, ils ne voient le jour que quelques siècles plus tard. Leur histoire débute en 1853 lorsque le fondateur des jean Levis, le Bavarois Levi Strauss, alors âgé de 24 ans, émigre à San Francisco en Californie, en pleine ruée vers l’or.
Pour des raisons pratiques, il se fait confectionner des pantalons de travail plus robustes avec de la toile de voile pour bateau et des bâches de chariots puis, à partir de la toile De Nimes qu’il avait amenée d’Europe.
Cette étoffe teinte en indigo a la particularité d’être tissée en diagonale avec du fil bleu et du fil blanc. Le premier jeans n’est qu’une salopette coupée avec des boutons pour les bretelles, large à la taille et ample aux cuisses. Les autres chercheurs d’or sont immédiatement enthousiasmés par la robustesse de ce pantalon.
Strauss en fait bientôt coudre d’autres. C’est le début de la « success story » de ce « vêtement pour les jambes » dont le retentissement est tel qu’il devient une véritable mine d’or.
Ce n’est qu’en 1922 que des passants pour la ceinture seront appliqués à la taille.
Pour le rendre encore plus solide, Strauss renforce les poches et les boutons de ses pantalons avec des rivets de cuivre et des doubles coutures orange.

L’incroyable réussite de Levi’s donne des idées. Bientôt, de nouvelles sociétés suivent le mouvement : Lee, Blue Bell Overall Company (future Wrangler), Big Ben Carter, Blue Ridge, Rica Lewis (pionnier du jeans en France).
Jusque dans les années 1960, le modèle du jeans ne varie pas : la référence demeure le 501 Levis.

En 1929, le krach boursier entraîne faillites et chômage aux États-Unis, poussant les populations vers l’Ouest.

Avec la découverte de la campagne, les citadins se laissent séduire par l’esthétique et la solidité du jean. Ce pantalon devient rapidement une tenue de détente idéale.

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, les jeans font partie de l’équipement de base de tout bon GI’s. C’est avec eux qu’ils font leur entrée en Europe.
À la démobilisation, les magasins de surplus américains écoulent toutes ces marchandises en Europe.

La paix installée, le denim poursuit sa campagne de séduction par le biais du cinéma.

Le film de Far-West, genre le plus populaire de l’époque, pose en héros le cow-boy vêtu de la solide toile bleue. Les jeunes Américains s’identifient aussi très vite au mythe du rebelle personnalisé par Marlon Brando dans « L’Équipée sauvage » et, surtout, James Dean dans « La Fureur de vivre ». Ils lancent la mode des « bikers » avec grosses cylindrées, Perfecto et Levis 501 délavé graisseux, retroussé sur des bottes de chantier. Un vent de révolte souffle sur la jeune génération. Le jeans est alors interdit dans les écoles car synonyme de débauche !

Au début des années 60, Marylin Monroe, divine en jeans, insuffle sensualité et allure au célèbre pantalon.

L’esprit de révolte se manifeste aussi à travers le rock’n roll. Little Richard, mais surtout Elvis Prestley, blouson teddy court serré et jeans délavé assez ample roulé sur les chevilles, deviennent des publicités vivantes.

Bientôt le jeans se fait la tenue de toute une génération, signe de liberté et d’indépendance. Se battant pour l’égalité des droits, les Afro-Américains délaissent symboliquement les vêtements du dimanche pour assister à la messe en jeans.

En 1968, le jean 501 investit les campus, sur les jambes des manifestants contre la guerre du Viêt-Nam.
Le bas du fameux pantalon s’élargit progressivement pour devenir « patte d’eph’ ». Le jeans se customise : frangé, clouté, brodé de fleurs ou décoré de strass, le denim façon hippie envahit les rues, car le jeans a une capacité d’adaptation assez phénoménale, incorporant les codes de chaque époque.

Les seventies voient la montée du jeans sur les podiums, initiée par les couturiers américains,bientôt suivi par les couturiers européens qui rivalisent alors de créativité. Le denim devient star. Les innovations se succèdent, et on applique plusieurs techniques pour teinter le tissu et le rendre plus intéressant, par exemple le classique délavage « stonewash », mais aussi le teinter, l’user avec du papier de verre ou encore le couvrir de cire ou de feuille d’or ou d’argent.
Dans les années 1980, le Lycra s’intègre au denim, lui assurant un nouveau confort.

Dans la rue, le jeans poursuit son émancipation. Le style grunge émerge avec le groupe Nirvana en tête de file. Les modèles se déchirent, s’éclatent, se lacèrent.
Le « sportswear » et le « streetwear » sont très vite adoptés par le monde des skaters, puis du rap. Le Baggy, pièce confidentielle, créée en 1974 devient à la mode dans les années 90.

En 1998, un jean Levis original de 1880 est racheté lors d’une vente aux enchères pour près de 47.000 US dollars par la firme Levi’s pour ses archives.
En 1999, Christie’s NYC met en vente trois paires de jean Levis ayant appartenu à Marilyn Monroe portés dans le film « La rivière sans retour ». Le styliste américain Tommy Hilfiger les obtient pour 37.000 US dollars.
Quelques années plus tard, l’un de ces jean Levis sera offert à Britney Spears.

Aujourd’hui, le jeans est présent dans toutes les gardes-robes, des plus modestes aux stars de l’écran ou de la chanson, comme Kate Moss, Vanessa paradis ou Taylor Lautner, et se portent aussi bien classique que noir métallisé, issu de jeaneries traditionnelles comme de collections Haute Couture, ou bien encore de collaborations entre deux grands noms comme la ligne jean Levis par Jean Paul Gaultier.

3,5 milliards de jeans plus tard, la marque Levi’s est commercialisé dans plus de 100 pays. Elle symbolise la liberté, l’individualité et le plaisir.

Retrouver toute l’actualité de So Jeans sur twitter et sur le blog so jeans

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