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Affronter l’Hiver (et les fêtes de fin d’année)

L’Hiver est là et avec lui, son lot de petits désagréments comme la fatigue, le stress…, sans oublier les maladies saisonnières. Afin de booster votre santé, voici une sélection de produits testés par la rédaction afin d’affronter cette saison et d’être en forme pour Noël, et pendant les trois prochains mois.

C’est l’innovation du moment: les gummies ou gommes à mâcher. On les utilise en cure pour améliorer votre sommeil, réduire votre stress ou booster votre énergie ou vos défenses immunitaires. Les Miraculeux propose un gamme pour prendre soin de vous pour quasiment tout type de problématique. On a testé les gummies ENERGIE, et on a aimé!

Enéa Sens propose L’INFUSION TONUS ENERGIE. C’est l’infusion des journées actives (et il y en a beaucoup pendant la période des fêtes !), mais aussi des sportifs qui veulent être soutenus avant ou pendant leur séance.

So Vitamin innove en proposant une cure adaptée aux besoins de chacun en fonction d’un questionnaire révélant vos attentes et vos carences pour une cure allant de 30 à 90 jours. Idéal pour l’Hiver mais pas que!

L’hiver est là avec son lot de pâtisseries et friandises de Noël. Cependant cette année on peut les déguster d’une manière plus saine grâce aux pâtes à tartiner protéinées de FOODSPRING au goût de Strudel aux pommes ou de Pain d’épices. Ces deux produits, en édition limitée, contiennent des protéines de lactosérum de haute qualité et moins de sucre que les pâtes à tartiner traditionnelles.

En cas de coup de fatigue, voici Güt-Vega. C’est un stimulant naturel booster de testostérone, pour les femmes et les hommes. Il est composé d’un mélange de plantes qui luttent contre la fatigue physique et mentale, dont le muira puama, le tribulus terrestris, le maca, le ginkgo, et la rhodiola.
Présenté sous forme de pilules, Güt-Vega permet d’augmenter le tonus, l’endurance, et la libido.

Toujours pour combattre la fatigue passagère, on pourra essayer une cure de Berocca, riche en magnesium et en zinc sans oublier le duo Vitamines C et B.

Et parce qu’on en manque toujours en Hiver, on n’hésite pas à reforcer son système immunitaire avec un cure de Vitamine D de chez Santé Verte.

La marque EVIELAB a été créée avec un procédé breveté et un produit final : la première perle de CBD sublinguale made in France. Les perles EVIELAB sont complètement naturelles. Elles ne contiennent aucune substance chimique, aucun solvant, aucun OGM et aucun additif. Les résultats se font rapidement ressentir sans aucun effet secondaire et le tube individuel permet une manipulation facile.

Leurs formulations sont spécifiques et permettent d’optimiser chaque moment de la journée
– FOCUS : pour la concentration
– IMMUNITY : pour stimuler le système immunitaire
– INTIMACY : pour booster la sensualité et l’alchimie amoureuse
– PURE : la formulation 100% CBD naturel à base d’isolat
– RELAX : pour faire descendre le stress
– RELIEF : pour retrouver son bien-être et apaiser les douleurs
– SLEEP : pour optimiser le sommeil
– SPORT : pour améliorer ses sessions d’entraînement sportif

 

Enfin, une cure de 100 jours de Vitamine C dosée à 1000mg de chez ERIC FAVRE Santé vous permettra de traverser l’Hiver sans encombre.

Prenez bien soins de vous!

 

 

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Le Bulgari Hotel : l’excellence Italienne au cœur de Paris

Le Bulgari Hotel Paris est la dernière création de la collection Bulgari Hotel & Resorts qui compte déjà des hôtels à Milan, Bali, Londres, Pékin, Dubai et Shanghai, auxquels s’ajouteront prochainement ceux de Rome (2022), Moscou (2022), Tokyo (2023), Miami (2024) et Los Angeles (2025). Au cœur du célèbre Triangle d’Or parisien, le Bulgari Hotel Paris est une expérience à part entière aussi bien pensée pour les visiteurs de la ville que pour les Parisiens. Rompant avec les codes traditionnels de l’architecture parisienne, l’élégant bâtiment du Bulgari Hotel Paris enrichit le 8ème arrondissement par son style contemporain.

À l’instar de tous les établissements Bulgari Hotels & Resorts, le Bulgari Hotel Paris a été conçu par le cabinet d’architecture italien Antonio Citterio Patricia Viel. Les espaces intérieurs et extérieurs ont été pensés avec le même souci du détail et la même précision accordés à une création Bulgari, soulignant les codes propres aux établissements développés par la Maison de joaillerie romaine. Le Bulgari Hotel Paris propose 76 chambres, dont 75 % sont des suites, la plupart disposant de terrasses et de loggias. Chaque chambre a été conçue comme un véritable appartement privé, meublé avec soin de marques de mobilier de luxe de la plus haute qualité. Les œuvres d’arts et portraits de célébrités proches de la Maison Bulgari ajoutent la touche de personnalité caractéristique des Bulgari Hotel & Resorts.

Perché sur le toit de l’édifice, le Bulgari Penthouse marque l’apogée de cette philosophie. Sur deux étages et avec une surface de plus de de 1000 m2 dont 400 m2 d’espaces interieurs et 600 m2 d’extérieur, le Bulgari Penthouse dispose d’un jardin suspendu entièrement aménagé et arboré de plantes méditerranéennes et d’arbres fruitiers qui offre une vue panoramique sur les monuments emblématiques de la capitale française.

 Le point culminant de l’offre culinaire sera « Il Ristorante – Niko Romito », par le Chef aux trois étoiles Michelin, Niko Romito, qui a élaboré ce concept pour tous les Bulgari Hotels & Resorts, mêlant cuisine italienne classique et moderne, et misant sur les ingrédients essentiels de la culture, de l’élégance et de la vitalité du Made in Italy.

Adjacent au restaurant, le Bulgari Bar est un lieu où s’exprime toute la générosité et l’élégance de l’esprit de la Maison. Ouvrant sur le jardin, Le Bulgari Bar est appelé à devenir l’une des destinations de choix de l’Ouest parisien. Situé juste à côté, le Lounge – avec ses fauteuils profonds, son imposante cheminée et son plafond inspiré d’une minaudière Bulgari – se prêtera à toutes les retrouvailles.

S’étendant sur 1300 m2 et deux niveaux, le Bulgari Spa du Bulgari Hotel Paris offrira lui aussi une expérience inédite grâce à sa piscine de 25 mètres, l’une des plus grande parmi les hôtels de luxe parisiens. L’espace fitness doté des dernières technologies et des méthodes d’entraînement du Workshop Gymnasium, créées exclusivement pour Bulgari par Lee Mullins, inclut également un studio d’entrainement privatif.

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HUBLOT: LA BIG BANG UNNICO ARTURO FUENTE CERAMIC

Hublot et la manufacture de cigares Tabacalera Arturo Fuente y Compañia s’unissent à nouveau pour rendre hommage à Carlos A. Fuente, Sr., géant de l’industrie du cigare, créateur de tendances, père et patriarche de la famille Fuente.

« La famille Fuente et moi-même sommes très émus de rendre hommage à Don Carlos à
travers cette extraordinaire pièce d’horlogerie. Chacun des motifs qu’elle arbore reflète
l’épopée et la vision de mon grand-père et fait honneur aux valeurs communes de la
tabacalera Fuente et de la manufacture Hublot. »
Carlito Fuente

La montre Big Bang Unico Arturo Fuente Ceramic rend hommage à la remarquable épopée de Carlos A. Fuente Sr. Sa connaissance infinie de son métier, ainsi que son dévouement et sa vision pour sa marque, ont fait de lui un phare pour ceux qui l’ont connu et une référence pour l’industrie du cigare. Avec la contribution de Manny Iriarte, designer de la famille Fuente, les équipes Hublot ont insufflé à l’iconique Big Bang tous les codes chers à la tabacalera dominicaine. A commencer par sa boîte, d’un diamètre de 44mm, dont la céramique noire gravée reprend le motif des feuilles de tabac dansant au rythme de la brise de la montagne, l’un des éléments primordiaux de la famille Fuente. Elle abrite le fameux mouvement manufacture UNICO calibre HUB1242, un chronographe flyback offrant une réserve de marche de 72 heures.

Formidable et authentique clin d’oeil, le cadran incorpore les chiffres romains chers à la famille Fuente. Ils sont repris de la montre historiquement présente sur le blason familial. Celle-ci fait référence à la devise des Fuente : « Nous ne précipiterons jamais les aiguilles du temps ». Autre emblème, un lion couronné apparaît à 9 heures en souvenir de la fourniture de cigares à la cour d’Espagne ainsi qu’à la grandeur du patriarche.
Au dos de la montre, la mention Big Bang Limited Edition renseigne sur le numéro de la pièce sur une série limitée à 100 exemplaires. En son centre s’affiche le logo historique de la Maison Fuente, avec non pas les initiales AF actuelles (pour Arturo Fuente), mais CF, en référence à Carlos Fuente, Sr. et portant la mention Edición de homenaje (édition en hommage, en espagnol). Entre guillemets, Carlito Fuente, Jr. lui dédie ses mots : « Notre père, notre ami, notre héros ».

Editée à 100 exemplaires, la Big Bang Unico Arturo Fuente Ceramic est livrée dans un spectaculaire coffret en bois laqué faisant à la fois office d’écrin à montre et d’humidificateur à cigares.

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LifestyleMagazine

Far Cry 6 : le nouvel épisode de Ubisoft nous régale

Far Cry 6 vient de sortir et nous l’attendions avec impatience. Mais cela en valait-il la chandelle ?

Far Cry 6 est un FPS, un jeu de tir à la première personne et s’avère très immersif : que ce soit dans les combats, l’exploration ou la conduite de véhicules, la vue subjective est de mise.

Un peu d’histoire

La franchise Far Cry existe depuis 2004. Le premier volet de la saga a commencé sur une île paradisiaque, pour continuer sur l’Afrique centrale, puis est passé par l’Asie, avant de renouer avec le climat exotique. Mais c’est avec Far Cry 3, que la franchise explose, fort d’un méchant charismatique (Vaas), dotée de graphismes de premier ordre et d’un gameplay jouissif, le succès fut planétaire.

Le nouvel épisode :

Far Cry 6 veut renouer avec le succès d’antan et les espoirs sont grands : ceux de retrouver un périple aussi grisant que celui du troisième volet, sauvage et divertissant, tout en y ajoutant quelques nouveautés bien sur. Et dès les premières minutes  on est happé par l’aventure, le générique qui nous plonge dans l’histoire semble être le début d’un James Bond réussi. Les premières minutes m’ont véritablement hypé.

L’intrigue se déroule dans un chapelet d’îles aux couleurs cubaines : les îles fictives de Yara. Le méchant de Far Cry 6, Antón Castillo, est un dictateur cynique et sanguinaire qui manipule son fils et avilie son peuple. Ce personnage est interprété par Giancarlo Esposito qui joue notamment dans Breaking Bad, et il est encore une fois très froid, calme, intelligent et sans pitié, on aime le détester.

Pour imposer sa nation à l’internationale Castillo utilise le “Viviro” : traitement révolutionnaire contre le cancer. le Viviro est issu de la culture du tabac de l’île et de produits chimiques toxiques qui tuent à petit feu les paysans qui le cultivent, qui ne sont autre que les pauvres habitants de Yara. Il vous revient, ainsi qu’à une poignée de rebelles, de défaire la tyrannie.

Le héros (qui peut aussi être une héroïne) que l’on incarne s’appelle Dani Rojas. L’histoire nous amène dès le début à rejoindre la rébellion nommée Libertad. Dani est un ancien militaire et de ce fait il maîtrise les arts du combat et du maniement des armes. Armes d’ailleurs multiples que l’on peut faire évoluer de bien des façons et même personnaliser au fur et à mesure de l’avancer dans le jeu.

Gameplay :

Le gameplay est classique.Très facile à prendre en main pour peu que vous ayez déjà joué aux anciens épisodes. Le grand plus pour les possesseurs de PS5 sont les gâchettes adaptatives, qui renforce l’immersion dans le jeu car elles apportent une vraie différence de sensation en fonction des armes utilisées, chargées ou non. C’est très plaisant. Il existe de multiples façons tactiques d’appréhender une situation et la méthode douce ou frontale est toujours une option.

Graphisme et ambiances sonores :

L’île et sa végétation sont belles, le rendu des armes et du design sonore est top, sans parler de la bande son qui accompagne parfaitement les différents moments de ce Far Cry 6, voir rend certaines phases d’actions électrisantes : on se croirait presque dans un Tarantino. Le jeu est beau et nous plonge presque tous nos sens dans l’ambiance cubaine de cette île inventée.

Les nouveautés : 

On peut crafter les armes, on peut habiller le personnage de la tête aux pieds ce qui apportent des compétences nouvelles. Tout au long de notre route on croise des établis où l’on peut modifier les armes et en créer de nouvelles…

Il vous faudra  une vingtaine d’heures pour terminer l’histoire principale. Une fois celle-ci achevée, un mode « Insurrection » est disponible : chaque semaine, une zone de la carte est reprise par les forces de Castillo. Il faudra donc la libérer en réalisant plusieurs objectifs secondaires. Aujourd’hui il existe des extensions pour profiter encore un peu plus de l’ambiance caliente de l’île de Yara.

Far Cry 6 est un épisode dans lequel on se plaie à évoluer, à arpenter l’île luxuriante et jolie de Yara. Les équipes de Ubisoft ont réalisé un beau travail sur ce jeu dont il maîtrise la licence. Une expérience vidéoludique à faire que vous ayez ou non fait les épisodes précédents. Ce jeu est disponible sur PS5, XBOX X, XBOX ONE et PC. Bon jeu !

Le test a été réalisé sur PS5 sur un écran ELITE Viewsonic XG270QC.

https://www.ubisoft.com/fr-fr/game/far-cry/far-cry-6

Article écrit par Alexis Dumétier

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GastronomieMagazine

Le Club Pierre Charron et son restaurant secret

Le Club Pierre Charron reçoit dans sa « salle à manger », à deux pas des Champs-Élysées, pour le temps d’un dîner, d’un souper ou juste d’une pause gourmande ses invités. Les tables de ce restaurant bien caché, à la taille d’un boudoir secret, sont loin de la foule et de l’excitation de l’une des avenues les plus fréquentées du monde et en même temps toute proche, de l’excitation des tables de jeux.

Trouver cette adresse semble donc une affaire d’initiés. En effet, aucune indication, ni enseigne sur la façade haussmannienne pour trouver le Club Pierre Charron : ce Club de Jeux se veut discret, à contre-courant du clinquant associé aux jeux d’argent. Et pourtant aucune obligation de jouer sur les tables du casino ou encore au poker pour profiter de son restaurant. Une enclave gustative qui perpétue l’art de recevoir et une certaine idée de la cuisine française, entre héritage et air du temps. Le service est très soigné, et l’équipe en salle attentive. Dans ce club on se sent VIP que l’on joue ou pas, et cela, dès l’entrée dans les lieux.
Le Chef, Eddy Bajeux, qui a été formé dans de belles maisons parisiennes, de l’hôtel Costes à La Maison Nordique, suit la saisonnalité des produits : en ce moment vous pourrez déguster un cappuccino de châtaigne et mousse de cèpes, très bien exécuté et réconfortant.
Il se passionne pour les assaisonnements créatifs et la précision des belles cuissons. À l’image de son saumon laqué miso, juste snacké et relevé de gingembre confit, ou encore son veau fondant et rosé à cœur mais pourtant parfaitement saisi, ce qui en conserve toutes les saveurs et la tendreté.
En dessert j’ai craqué pour un fondant au chocolat et là encore la promesse est respectée, et pour moi, amoureux de chocolat, ce dessert est véritablement chocolaté : tout en générosité et en amertume. Un délice. La carte des vins est bien faite et permet de beaux accords, comme ce soir-là avec un Condrieu 2018.
On en oublierait presque que nous sommes dans un club de jeu. Et pourtant le lieu est pensé, dédié à cela. Et d’une belle manière : lumineux, spacieux, de beaux volumes, l’élégance de posséder des œuvres d’arts aux murs. En plus de son restaurant vous pouvez aussi bénéficier d’un fumoir avec une cave à cigare.
Mais revenons aux jeux puisque c’est l’essence du lieu : C’est le Groupe Marval qui a choisi Paris et son triangle d’or pour ouvrir son premier établissement dédié aux jeux en 2020 : le Club Pierre Charron. Grégory Benac joueur passionné, familier des plus grands tournois de poker en est le créateur. Il a choisi pour ambassadeur : Bruno Fitoussi, l’un des pionniers du poker en France. C’est lui qui avait lancé les premiers tournois de poker à l’Aviation Club de France.
Ce qui est surprenant au Club Pierre Charron, c’est que vous pourrez y croiser des hommes comme des femmes, de tous horizons et classes sociales. Cela démystifie l’idée que l’on peut se faire de ces lieux de jeux. De plus, tout un service existe pour vous initier si c’est votre première fois ou tout simplement si vous le désirez.
D’ailleurs pour ceux qui ne veulent pas quitter le jeu, le restaurant du Club sert aussi aux tables de jeux.
Et pour ce qui est du jeu vous avez le choix :
Pour le Poker, 13 tables de Cash-Game de 7 à 8 joueurs par table, en Texas Hold’em, ou Omaha.
Pour les Grands Jeux, 12 tables de jeux de contrepartie, de 5 joueurs par table :
Punto Banco, Ultimate Poker, Poker 21, Poker 3 Cartes, Stud Poker.
Un lieu à découvrir donc pour jouer ou tout simplement pour y manger. Le restaurant sert de 13h à 5h du matin et les prix aux vues de la qualité de la table et du lieu sont véritablement raisonnables. Pour nous c’est le meilleur spot food des noctambules du quartier.
Infos pratiques :
62 Rue Pierre Charron, 75008 Paris
7J/7 de 13h à 6h du matin / Entrée libre
Voiturier / Vestiaire / Fumoir / Wifi / Distributeur de billets
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ArchivesNews de Mode

Sneakers d’Hiver – la bonne paire

Que ce soit pour faire du sport, ou pour se promener ou pour sortir, les sneakers sont devenues la base de notre silhouette. Chic ou casual, on les portent aussi bien en ville qu’à la campagne, au bureau ou à la salle de sport, et elles sont parfois idéales pour « casser » un look trop formel en soirée.

Découvrez maintenant notre sélection de sneakers pour cette saison hivernal.

Nous débutons par le coup de cœur de la rédaction avec les sneakers MacFly de l’Atelier du Tranchet. A découvrir d’urgence pour choisir son modèle ou commander une création originale.

Le nouveau modèle de sneakers de chez Ron Dorff pour l’Hiver 2021. Un style épuré où l’on retrouve les 2 œillets signature de la marque.

 

 

VEJA présente cette paire de sneakers dont le cuir provient de fermes du Rio Grande do Sul. Il est tanné au Brésil dans le respect des normes REACH et l’utilisation d’eau est raisonnée au cours du processus de tannage.

Chez Superdry, une sneakers montante dans un cuir bleu Klein, idéal pour réchauffer l’Hiver.

Piola a choisi pour ses sneakers, une des couleurs tendance de la saison : le bordeaux

Caruus lance Gisèle, la première sneakers made in France et upcyclée à partir de jeans, de bleus de travail et de draps, avec une semelle réalisée à partir de plastique et de caoutchouc recyclés.

Geox propose une sneaker en cuir, sobre et épurée, et surtout respirante, grâce au savoir-faire de la marque.

 

Christian Pellet, maison crée en 1860, a imaginé une sneakers montante bi matière en cuir lisse et nubuck.

Gola mise sur une sneakers basse, classique qui se marie aussi bien avec une tenue décontractée que pour aller à la salle de sport.

Chez Jacques Solovière, une belle paire de sneakers en cuir, simple et chic.

 

Puma présente sa collaboration avec LaMelo Ball qui ajoute une nouvelle corde à son arc avec sa première chaussure signature, la MB.01.

Chez Reebok, une sneakers montante, classique et sportive

Scotch & Soda présente pour une sneakers avec un motif cranté sur le coup de pied

Sandro présente un modèle de sneaker basse en cuir noir à semelle épaisse en néoprène 

Ferragamo présente ce modèle chausson néo futuriste et ultra léger, aussi bien pour le sport que pour sortir.

Chez Zegna, l’emblématique sneaker Triple Stitch fait un pas en avant avec une nouvelle gamme de couleurs et de matériaux contemporains, incluant désormais une version #UseTheExistingTM. Cette sneaker #UseTheExistingTM est la nouvelle étape de l’engagement de Zegna en faveur de la durabilité et d’une évolution constante, avec une tige en laine douce fabriquée à partir de fibres, de fils et de tissus 14MILMIL14 récupérés à toutes les étapes du processus de fabrication. La doublure et la semelle sont fabriquées à partir de coton et de caoutchouc partiellement recyclés, se rapprochant ainsi de l’objectif de Zegna de réaliser le rêve du zéro déchet.

 

Avec le modèle Fast Track, la Maison Berluti s’approprie la tendance de la basket running et ouvre une ère nouvelle. Cette basket singulièrement moderne enfreint les règles en alliant une empeigne en cuir d’alligator à une semelle en néoprène extrêmement souple.

 

 

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Calendrier de l’avent 2021 : notre sélection

Il approche à grand pas le mois de décembre, pour clore l’année et nous mener vers les fêtes de fin d’année. Pour patienter jusque là et vivre chaque jour de ce mois comme une surprise, une joie, voici quelques belles idées de calendriers de l’avent :

Beery Christmas :

Doit-on vous le présenter ? C’est notre calendrier de l’avent bière préféré. Cette année il vous emmènera explorer divers brasserie, avec moins d’excentricité que les années précédentes et je sais que cela fera plaisir à beaucoup. Les bières viennes des quatre coins du globes et l’on passe d’une lager au stout en passant par des IPA. Attention il y en a 25 car il y a un blend (mélange de deux bières) à faire, tester cette méthode à la mode chez les brasseurs en Europe. www.saveur-biere.com

Compagnie Coloniale :

Un joli calendrier qui vous fera découvrir thés et infusions de la marque. Le calendrier ainsi que tous les sachets sont exclusivement Made in France et le coffret est réutilisable après l’Avent ! 24 cases sur 2 faces ! www.compagnie-coloniale.com

Pierre Hermé :

Pierre Hermé nous invite dans un monde enchanté fait de jardins opulents et de nuages chimériques. Noël est ce moment magique de l’année où la rêverie est à la source de tous les voyages. Avec en prime une belle boule de verre à accrocher au sapin.

Rituals :

Dévoilez les festivité de ce village. Une farandole de produits pour prendre soin de vous dans ce mois au temps rude annonciateur de l’hiver. www.rituals.com

ASOS :

Un calendrier de l’avent composé de 24 plaisirs pour chouchouter votre corps et votre visage. www.asos.com

 

Sève :

La Maison Sève vous propose 24 jours de bonheur. Chaque jour, une immersion gourmande au cœur de la forêt Amazonienne vous invite à découvrir Chocolats, Pralines, Pierres des Mont d’Or et d’autres surprises à découvrir dès le 1er décembre. La Maison SÈVE poursuit son engagement pour l’écologie et utilise, pour ce calendrier, des matériaux intégralement recyclables. L’ensemble est fabriqué à Lyon, France. www.chocolatseve.com

Amorelie :

Le calendrier de l’avent des grands qui veulent titiller leurs sens. L’Original, destiné aux nouveaux explorateurs de leurs sexualité et qui veulent explorer. De sextoys premium de qualité que nous vous recommandons. www.calendar.amorelie.com

 

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The Peninsula Paris, Le Lili et son Chef Dicky To

Le Palace The Peninsula Paris fait partie des plus beaux hôtels de la capitale. Si le bâtiment est classé au patrimoine historique c’est parce que son histoire est riche. L’origine, Sur l’emplacement actuel du Peninsula Paris, s’élevait un palais construit en 1864 pour le comte Alexander Petrovitch Basilewski, un aristocrate russe qui aimait à l’appeler son « petit Versailles ». Le nouvel édifice devint rapidement l’objet de toutes les conversations à Paris et, pour la première fois, le site du futur Peninsula Paris exerça une irrésistible attraction sur les mondains. On y donnait des réceptions pratiquement tous les soirs quand le comte était en ville, le plus souvent à la demande insistante de ses trois filles.

 

En 1906 La propriété a été acquise par le magnat viennois de l’hôtellerie Léonard Tauber après une guerre d’enchères qui a impliqué le gouvernement des États-Unis et le roi de Belgique. L’emplacement de la propriété, à la fois proche du bois de Boulogne, de l’Arc de triomphe, de la tour Eiffel et du Trocadéro, constituait un atout majeur aux yeux de Tauber. Ce site offrait à Tauber l’exceptionnelle opportunité d’élargir son empire en construisant «un hôtel aristocratique sans rival» qui, une fois terminé, pourrait se targuer d’être le plus grand hôtel d’Europe. Le palais est alors démoli et remplacé par un hôtel de luxe, le Majestic. L’édifice est construit dans un mélange de styles d’inspiration classique encore très en vogue à la Belle Époque : le style Haussmannien, réhaussé de touches décoratives néoclassiques. A l’époque l’hôtel compte 400 chambres et c’est le premier à proposer des salles de bains privées pour 350 de ses chambres.

 

Depuis le Peninsula a traversé l’histoire, et vécu bien des choses, depuis 2007 c’est la renaissance d’un Palace parisien, le bâtiment est vendu par l’Etat français à un groupe hôtelier à la société hôtelière qatarie Katara Hospitality, qui en 2009, annonça un accord avec The Hongkong and Shanghai Hotels, Limited (HSH) pour créer The Peninsula Paris. L’établissement actuel est le fruit d’un réaménagement qui a pris 4 ans de 2010 à 2014. Un travail titanesque, fait en étroite collaboration avec les organismes chargés du patrimoine Français.

Si nous vous parlons du Peninsula aujourd’hui c’est pour vous faire découvrir l’un de ses restaurants d’exception, Le Lili et son Chef Dicky To.

Le restaurant Lili :

La décoration intérieure du Peninsula est réalisée sous l’égide d’Henry Leung. Le restaurant LiLi, est situé à l’emplacement de l’ancienne salle à manger de l’hôtel Majestic, Leung choisit comme thème de la décoration intérieure la passion commune des cultures françaises et chinoises pour l’opéra. Le concept repose sur l’association d’éléments chinois à l’Art déco de la fin des années 20. Dès l’entrée du restaurant une gigantesque installation de cristal, représentant la coiffe traditionnelle d’une cantatrice chinoise (qui pourrait être Lili). C’est l’artiste coréenne, basée à New York, Ran Hwang qui a créé ce scintillant chef-d’œuvre en hommage à l’opéra chinois. Il est composé de 32 831 cristaux montés sur broches et insérés dans une base de plexiglas.

On pénètre dans la salle par un corridor très haut de plafond. L’ambiance est feutrée, la lumière chaude et tamisée, on croirait en effet entrer dans une salle de spectacle ou être l’un des personnages de Wong Kar-wai dans In the mood for love. Une fois dans la salle principale un splendide dôme, inspiré de l’installation acoustique d’une scène d’opéra de Shanghai, domine le décor théâtral du restaurant. Les boiseries, les peintures, les lumières, les rideaux rouges gigantesques et les embrasses de soie bleue monumentale : on pénétre dans un univers onirique.

Le LiLi propose une cuisine chinoise progressive avec des influences françaises.

Nous avons découvert la table du LiLi qui propose un menu où se distinguent des dim sum raffinés, une salade de saumon «Lo Hei» aux jeux de textures surprenants qui donnent envie de ne plus s’arrêter, un riz frit au foie gras exceptionnel, mais si nous devions garder un seul et unique souvenir, ce serait le bœuf au wok du Chef Dicky To.

Ce bœuf saisi au wok, exprime toutes les saveurs d’un feu puissant, avec des notes grillées et si particulières au wok, tout en ayant à cœur une viande juteuse, avec un goût de bœuf qui explose littéralement en bouche, et fin du fin une viande qui fond sous la dent comme jamais. Incroyable.

 

Pour ceux qui aiment faire des accords mets/vins divers et étonnants, sachez que le livre de cave du Lili est très fourni. Il bénéficie de la même cave que L’Oiseau Blanc, le restaurant étoilé du Peninsula Paris. Ainsi vous pouvez découvrir des vins natures, des grands châteaux et des millésimes d’exception. Vous pourrez même trouver un millésime spécial de 1908, mis en bouteille l’année de l’ouverture du grand hôtel de l’époque.

Dicky To est à la tête du restaurant Lili. Le chef originaire de Hong Kong est né en 1974. Il exerce ses talents de maître wok et de chef cuisinier au Lili depuis décembre 2018.

Dicky To, 2021, par A. Dumétier

Avant cela il est passé par différents restaurants. Pour mieux le connaître et comprendre sa cuisine nous l’avons rencontré, voici son interview :

 

Quel est votre parcours ?

Je travaille en tant que chef depuis plus de 30 ans. Dès l’âge de 15 ans, je travaillais pour un restaurant cantonnais de fruits de mer à Hong Kong. A l’âge de 27 ans j’ai commencé à être un Chef, et petit à petit j’ai commencé à apprendre l’anglais, tout l’aspect administratif du travail d’un restaurant, à utiliser l’informatique. A 32 ans j’ai eu mon premier poste dans un Hôtel de Hong Kong de Chef exécutif. Après cela je suis allé vivre à Macao pendant deux ans, toujours comme Chef exécutif, et pour moi c’était la première fois que j’allais à “l’étranger” (rire). Ensuite j’ai eu une opportunité à Shanghai, je m’en souviens car c’était l’exposition universelle, j’ai donc saisi cette opportunité et j’ai rejoint le Peninsula Shanghai, après quelques temps j’ai été transféré au Peninsula de Tokyo et après je suis venu ici, à Paris.

 Quel est votre premier souvenir lié à la cuisine ?

Je me souviens encore de la première fois où je travaillais dans une cuisine chinoise professionnelle. C’était le restaurant de fruits de mer de Dunhuang.  Je regardais les cuisiniers et je les trouvais tous très beaux, ils utilisaient le wok avec une grande agilité et une bonne rythmique, il y avait une grande énergie qui se dégageait de leur travail. J’aimais apprendre au sein de cette brigade. La première fois que j’ai eu l’opportunité de cuisiner, c’est quand le Chef a quitté le poste des woks et qu’une commande est arrivée. Je regardais tous les jours comment le Chef cuisinait, avec envie et pour moi il était impossible de ne pas saisir cette opportunité de cuisiner à mon tour un plat pour des clients. Alors que je finissais presque de préparer le plat, je m’en souviens encore parfaitement, c’était un riz frit, le Chef est revenu en cuisine. Il m’a regardé, je l’ai regardé,…il a goûté le plat…il n’a rien dit…et après quelques secondes, il a dit : “ok, amenez le plat en salle”…J’étais très heureux et soulagé (rire).

Comment en êtes-vous venu à travailler comme Chef dans une cuisine ?

A l’âge de 15 ans, pour être honnête, ce n’était pas un choix de cœur, je voulais avoir de l’argent pour sortir, jouer avec mes amis. Après quelques années je me sentais mal dans ce travail, les fêtes, Noël, Saint-Valentin, le Nouvel An, en tant que Chef dans une cuisine, vous devez travailler encore plus, spécialement dans ces moments-là. Je voyais mes camarades qui ne travaillaient pas dans mon milieu, sortir, qui s’amusaient, qui profitaient des fêtes, c’était dur pour moi. J’ai alors quitté l’univers de la restauration, durant quelques mois. Je me suis demandé à cette époque si j’aimais cuisiner, si j’aimais travailler en cuisine. Je suis donc allé travailler dans d’autres industries mais je me suis rendu compte que cela ne m’allait pas. J’ai compris que le lieu où je me sentais le mieux, c’était une cuisine. J’ai alors repris le chemin des fourneaux, jusqu’à aujourd’hui.

Quelle est la personne qui vous a le plus influencé dans votre carrière de Chef ?

Les personnes très importantes avec qui j’ai appris mon métier de Chef, ont été peu nombreuses, mais elles m’ont beaucoup influencé. Le premier Chef important dans ma vie professionnelle, s’appelait Chef Leung Coeng, à cette époque je travaillais encore à la découpe. Dans une cuisine cantonaise, dans la partie du chaud, il y a deux sections différentes : l’une est le wok et l’autre c’est la découpe, juste tenir le couteau. Et à cette époque, je tenais le couteau. Un jour le Chef Leung Coeng m’a demandé : “Crois-tu que travailler dans une cuisine c’est ton métier, que tu ne changeras jamais pour un autre ?” J’ai dit : “oui”. C’est alors qu’il m’a encouragé et inspiré.  Il m’a dit : “Dans ta situation actuelle, tu es comme une vache, tu travailles sans réfléchir. Tu dois avoir une vision de ce que tu fais, une idée de toi-même, un but à atteindre. Si tu en as une et que tu aimes cuisiner, tu devrais te mettre au poste du wok. Parce qu’aujourd’hui dans la cuisine cantonaise les choses changent. Avant le Chef de cuisine était celui qui tenait le couteau, c’était lui qui tenait le business. Maintenant la tendance a changé, les gens veulent d’un chef qui cuisine et non qui découpe. Si tu n’as pas assez d’expérience au wok il te faudra tout réapprendre depuis la base.” J’ai réfléchi pendant plusieurs jours à ce qu’il m’avait dit, je n’ai pas dormi pendant deux, trois nuits. Je pensais ne pas pouvoir le faire à l’époque mais c’était un bon challenge. J’ai alors tout appris depuis les bases du maniement du wok, pour petit à petit parvenir à être Chef wok. Je pense que Chef Leung Coeng a été le premier et le plus important pour moi dans ma carrière, pour changer et définir un but pour moi-même : je savais alors où j’allais, ce que je devais faire pour mon avenir.

 Quel est le plus important en cuisine pour vous ?

Pour moi le plus important en tant que Chef c’est de créer des plats qui soient goûtus et que ces saveurs spécifiques restent à jamais en mémoire pour la personne qui découvre ce plat.

Quel est votre moment préféré en cuisine ?

Le moment le plus important pour moi alors que je travaille au wok, c’est quand je regarde mon équipe, qui est en pleine ébullition avec beaucoup de positivité. Même dans une situation de tension, l’équipe reste toujours focalisée sur la méthode et l’objectif qui est de satisfaire le client. Pour moi, c’est le moment le plus joyeux.

En tant que Chef wok, quelle est votre particularité ?

 Je dirais que peu importe ce que je cuisine avec un feu fort, dans un wok, que ce soit avec de la sauce ou sans sauce, le plus important est que l’on sente que ce plat a été fait au wok avec les saveurs spécifiques que cela apporte. Et peu importe le plat, je dirais que c’est l’une de mes forces.

 Quel est l’aliment que vous aimez le plus cuisiner ?

 L’ingrédient le plus délicat pour moi à cuisiner au wok, c’est le bœuf. Qu’il soit découpé finement, en lamelles, en cubes, vous devez alors utiliser différentes températures toujours dans le wok. Le challenge est là, comment rendre la viande tendre, avec du goût, juteuse, et cela va aussi se jouer avec la combinaison d’ingrédients qui ira avec. Et ce challenge-là, j’adore le relever à chaque fois.

Quels sont les ingrédients que vous avez découverts en France ?

 Nous utilisons le foie gras, et pour le homard nous utilisons le caviar. Avant tout, le caviar qui est un ingrédient haut de gamme, apporte beaucoup de goût. Vous savez tout de suite que c’est un plat marin. Il permet de mettre moins de sel. Le caviar rend la texture du plat plus douce, plus naturelle.

Quel est votre plat signature ?

Je dirais, même si c’est un plat simple, le riz frit au foie gras, car c’est le plat que les gens reconnaissent tout de suite. Même si c’est un simple riz frit, on fait tout pour ne pas le rendre si simple. Nous utilisons un foie gras local, que les français aiment. Et nous utilisons du poivre noir, et la technique de cuisine est cantonaise, avec une cuisson du riz au wok. C’est une combinaison de cuisine, et ce plat est devenu très populaire. J’ai aimé mettre quelque chose que j’adore dans ce plat et que les gens ont aimé : du poivre noir. Pour moi c’est un peu unique de mettre du poivre noir pour faire un riz frit, jusqu’ici je ne l’ai jamais vu dans un autre restaurant.

Quel type de poivre noir utilisez-vous ? Pouvez-vous nous donner le secret ?

 (rire) Ce n’est pas un secret, juste du poivre noir très simple…(rire)

Comment créez-vous les plats de la carte du Lili ?

J’essaye de travailler mes idées, seul d’abord, dans ma tête. J’essaye de trouver ce que l’équipe pourrait mettre en œuvre. Une fois l’idée formalisée dans mon esprit, j’en parle avec ma brigade pour créer réellement le plat.

Pouvez-vous nous parler du Lili et de son ambiance ?

J’aime ce restaurant Lili car c’est un lieu d’interaction fort entre les clients et l’équipe en salle. C’est une véritable scène ici. La thématique de décoration c’est l’Opéra, un mélange entre l’opéra européen et l’opéra chinois. Les invités viennent ici pour voir le spectacle. Pour moi, mon équipe en salle, c’est comme un ballet, et parfois je viens aussi en salle voir les convives, je viens dire bonjour. Et ce sentiment d’être sur une scène, d’être à l’opéra, je ne le trouve nulle part ailleurs. Regardez le dôme derrière moi; pour moi c’est la plus belle partie du restaurant, cela montre le centre de la scène, de la salle, je n’ai jamais vu un restaurant aussi beau.

Quel est votre souvenir culinaire d’enfance ?

 Quand j’étais enfant j’aimais les choses croquantes, craquantes, vous ne pouvez pas vous arrêter de manger. Bien sûr il y a le goût, mais il y a aussi le son et la texture. Pour moi c’était ce qui m’attirait le plus.

 Maintenant que vous êtes Chef, comment retranscrivez- vous ce souvenir d’enfance ?

Je peux vous donner des exemples qui illustreront comment cette texture croquante, m’influence encore aujourd’hui. Nous avons une salade de saumon “Lo Hei”, composée de légumes croquants, de saumon, de sauce, mais nous ajoutons également un ingrédient croquant. Face à ce plat vous pouvez vous demander pourquoi avoir ajouter du croquant avec du saumon, mais quand vous le dégusterez vous comprendrez pourquoi. Le plat n’est pas seulement délicat, avec la texture douce du saumon, vous avez un jeu de texture, et vous ne pouvez plus vous arrêter. Un autre exemple, encore une foie avec le riz frit au foie gras. Pourquoi vous combinez dans un plat riz souple et riz croquant ? C’est parce que c’est cela qui attire les gens.

 Pour vous quel est le meilleur accord mets/vins ?

Pour moi, l’accord parfait pour la cuisine cantonaise, c’est le thé, d’abord parce qu’ils viennent du même endroit, mais aussi parce que quand on déjeune et que l’on se sent un peu “lourd”, alors on boit un thé et l’on se sent mieux. C’est au-delà de l’accord mets/vins, cela aide à digérer. Nous avons six différents thés, donc selon ce que vous mangez, vous accordez : vous mangez quelque chose d’un peu gras, le meilleur est un thé Pu erh, par contre si vous mangez quelque chose de délicat et d’élégant, un thé floral, un thé vert, sera mieux.

Si vous deviez manger un dernier plat, quel serait-il et quel serait l’accord ?

Ce serait des gâteaux traditionnels de lune, fourrés à la pâte de graine de lotus, et on boit un thé Pu erh, c’est l’accord parfait !

Photo A.Dumétier

 

 

https://www.peninsula.com/fr/paris/hotel-fine-dining/lili-cantonese-chinese

 

 

 Article écrit par Alexis Dumétier

Vidéo réalisé par Alexis Dumétier

 

 

 

 

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ArchivesMagazineSoins & Parfums

A poils, c’est l’Hiver !

Hiver, comme Eté, les poils s’entretiennent. Il est fini le temps où le visage se devait d’être glabre et lisse. Les barbes, les moustaches, les boucs… sont (re)devenus une quasi norme et c’est spécialement vrai en ce mois de Movembre si l’on participe à la campagne de sensibilisation pour le cancer de la prostate, le cancer des testicules, la santé mentale et la prévention du suicide chez les hommes. Depuis 2003, Movember a financé plus de 1250 projets autour de la santé des hommes dans le monde, remettant en cause le statu quo, bouleversant les recherches sur ce sujet et transformant la façon dont les services de santé atteignent et soutiennent les hommes. On en profite également pour prendre soin de nos cheveux car longs ou courts, ils méritent également toute notre attention. Voici notre sélection, pour qu’ils soient les plus beaux et les plus brillants possible.

On attaque cette sélection avec un coffret de Noël de chez BULLDOG : beard care kit

 

 

On prend soin de ses cheveux avec ce shampoing tonique de chez APIVITA

De chez MELVITA, une crème de rasage et un nettoyant visage

Evidemment, cette tondeuse tout usage BABYLISS MEN sera parfaite pour prendre soin de votre pilosité

Pour apaiser le feu du rasoir, ce baume Après Rasage à la Sauge Bleue de KORRES sera parfait

De la nouvelle gamme Skin de GILLETTE, cette crème de rasage légèrement parfumée

Le cadeau de Noël parfait pour un poilu de chez Paulette comprend une brosse, un soin pour la barbe et un shampoing barbe et cheveux, le tout dans un pochon.

Un gel de rasage de chez NOREVA

Dans la gamme THALGO MEN, ce baume après rasage sans alcool

 

QIRINESS propose un fluide pour barbe, nourrissant et adoucissant

Le sèche-cheveux T3 FIT possède un design 30% plus petit qu’un sèche-cheveux traditionnel.

L’iconique lotion PETROLE HAHN, véritable élixir de beauté offrant aux cheveux toute la force de la nature

De chez YODI, ce kit spécial Barbe va devenir votre nouvelle routine

Et enfin, pour la touche finale, les sticks de cire nez et oreilles de chez TEE-WAX, car on ne peut décemment pas laisser les poils disgracieux s’installer !

Vous voilà fin prêt pour terminer Movember en beauté!

 

 

 

 

 

 

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ArchivesNews de Mode

LEE x PENDLETON: PREMIERE COLLABORATION

La collection célèbre deux marques américaines emblématiques avec une capsule mixte, en édition limitée.

Lee®, la marque de jeans emblématique connue pour son style intemporel et la marque lifestyle familiale Pendleton Woolen Mills, implantée dans le Nord-Ouest du Pacifique, se sont associées pour créer une collection capsule célébrant l’artisanat américain. Deux marques américaines iconiques se retrouvent ainsi autour d’une première collaboration. Cette collaboration en édition limitée réinvente des pièces phares issues de plus de 300 ans d’archives cumulées par les deux marques. Les modèles iconiques de Lee® tels que le Lee 101™ Jean, Union-Alls® et Storm Rider® Jacket sont revisités, ornés de motifs exclusivement imaginés par Pendleton®. Chaque empiècement Pendleton a été conçu dans de nouveaux coloris, finement ajustés sur des tissus « Made In USA ».

Pour renforcer le caractère unique de la capsule, les jeans sont fabriqués et cousus à Greensboro, en Caroline du Nord. Ces modèles se caractérisent par leurs denims selvedge américains provenant de l’usine White Oak de Cone Denim, fermée en 2017. Fabriqués sur des métiers à tisser Draper vintage – qui ne pouvaient produire que 100 mètres par jour historiquement, ndlr –  le tissu fait la part belle à l’héritage et à l’histoire du textile américain.

« L’utilisation par Pendleton de couleurs et de sublimes motifs a toujours été une source d’inspiration. Travailler ensemble est un rêve devenu réalité », a déclaré Betty Madden, Vice-Présidente du Design Monde Lee®. « Nous avons adopté une nouvelle approche du design et incorporé le denim selvedge «  Cone Mills » pour faire de cette collection un hommage à l’héritage et au savoir-faire exceptionnel. Je me réjouis de cette collaboration. « 

« Travailler avec Lee® était une collaboration parfaite pour Pendleton®. L’authenticité de la marque mêlée au patrimoine américain fait écho aux valeurs de Pendleton : qualité, design et innovation textile « , a déclaré Peter Bishop, Vice-Président Exécutif des Marchandises et du Design Pendleton®. « Avec tant d’années de savoir-faire et d’expertise combinés, nous sommes ravis de voir cette collection unique de vêtements et de plaids prendre vie. »

La collection se compose de jeans, de chemises, de vestes et d’Union-Alls (combinaisons) pour hommes et femmes, ainsi que d’un plaid en laine en édition limitée, fabriqués à partir d’un motif à rayures exclusif de Pendleton®. Les prix varient de 185 à 349,95€. La collection est disponible depuis le 16 novembre sur les sites en ligne de Lee® et de Pendleton, et au cours du mois chez certains revendeurs Pendleton®. Pour plus d’informations, visitez https://www.lee.com/pendleton.html

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ArchivesHorlogerie

Longines Master Collection : la Lune à son poignet

Élégance, caractère et pureté sont les piliers de The Longines Master Collection, qui s’adresse aux inconditionnels de l’exception en proposant une large gamme de mouvements exclusivement mécaniques : heures, minutes, secondes et date, chronographe, réserve de marche, rétrograde ou encore calendrier annuel. C’est surtout l’affichage des phases de la Lune, introduit il y a deux ans sur les modèles messieurs, qui constitue le tour de force des nouveautés 2021. Faire tenir une telle complication dans un boîtier de 34 mm constitue un défi de taille, mais il répond aux exigences d’un public avide de technicité et naturellement enclin à l’élégance. Avec son choix de bracelets et de cadrans, The Longines Master Collection répond ainsi pleinement à tous ses désirs…

Une alchimie singulière se produit lorsque l’élégance purement féminine entre en phase avec l’univers de la complication horlogère. L’énergie qui s’en dégage, faite de cycles et de récurrences, est une source d’inspiration sans cesse renouvelée pour les designers et les horlogers de la marque au sablier ailé, qui ont voulu enrichir The Longines Master Collection d’une pièce aussi féminine que technique.

La boîte se décline désormais en ø 34 mm et elle est proposée avec, à choix, un éventail coloré de bracelets (rouge, bleu, taupe) ou un bracelet acier dont la chute lui procure une finesse et un confort renouvelés. L’élégance en toute simplicité, pourrait-on croire… mais c’est sans compter la complication que recèle cette pièce – affichage des phases de la Lune et quantième à aiguille à 6 heures – dont l’intégration a nécessité un travail minutieux sur l’harmonie des proportions de la boîte.
Observable à travers une glace saphir, le calibre exclusif automatique L899.5 est équipé d’un spiral en silicium, à la fois léger, amagnétique, résistant, inoxydable et insensible à la dilatation thermique. Preuve de sa fiabilité, il offre une garantie de 5 ans aux garde-temps qu’il anime. Sur la face visible, le cadran nacre rivalise de subtilité avec les index en diamants. Il est également proposé en bleu soleillé, et les puristes apprécieront le désormais classique et incontournable argenté «grain d’orge», emblématique de The Longines Master Collection.
Ces nouveaux modèles aspirent à orner le poignet d’un homme ou d’une femme à l’énergie volontaire, au caractère affirmé. Pouvoir s’offrir la Lune est un véritable privilège. Il faut pour cela un cœur pétri de haute technicité, battant au rythme de l’élégance, dans la plus pure tradition horlogère.

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ArchivesMagazineNews de Mode

Salvatore Ferragamo : C’est l’heure du film !

L’excitation de la saison des Fêtes, un sentiment de joie et d’unité : avec la campagne de Fêtes 2021, Salvatore Ferragamo avance
sa montre et nous invite déjà pour des vacances d’hiver afin de célébrer la chaleur de l’amitié.
It’s Movie O’Clock! Un portfolio de photos et de vidéos dédié à la période qu’on aime le plus dans l’année. Tous les préparatifs et la joie de l’anticipation réveillent l’envie de rêver, et l’éclat et la couleur des accessoires Ferragamo renouvellent l’envie de célébrer à nouveau tous ensemble.
Dans une villa imaginaire en Italie, qui pourrait être n’importe où, tout comme un foyer peut se situer n’importe où si il est partagé avec les gens que l’on aime, les jeunes vedettes de la campagne se réunissent pour un diner et une soirée cinéma. Ils ont tous reçu une mystérieuse invitation qui reliera trois épisodes différents de la campagne – Italie, Chine et Corée – ces deux derniers opus étant programmés pour être révélés un peu plus tard.
Comme la collection de Fêtes de Ferragamo, la campagne met en valeur un casting d’acteurs, de compositeurs et de musiciens talentueux qui retirent leurs « vêtements de travail » pour enfiler des habits, des chaussures et des accessoires festifs avec une allure intemporelle.
Les six talents italiens – Pilar Fogliati, Tezeta Abraham, Hildegard De Stefano, Guglielmo Poggi, Josef Gjura et Carlo Palmeri – sont rejoints par Jelly Lin et SEULGI, les deux nouveaux ambassadeurs mondiaux de la Maison, au centre des deuxième et troisième épisodes du conte de vacances Ferragamo de novembre.

Avec un langage typique du cinéma, ce court-métrage réalisé par Barbara Anastacio offre aux spectateurs un aperçu de l’intimité et de la chaleur d’un moment de partage. Une émotion traverse la séquence d’images qui composent la campagne : la solidité de l’amitié, une des relations les plus intenses qui soit. Un lien unique, tout comme le lien que Ferragamo entretien avec la créativité innovante de ses produits et le monde du cinéma.
La campagne met aussi en scène une série d’évidences avec des symboles de la Maison et de son héritage, comme le film choisi pour cette soirée cinéma – Salvatore – Shoemaker of Dreams.
Joyeuse, sincère, heureuse : c’est l’amitié vue par Ferragamo. Dans ce récit, l’amitié est belle, un rêve de bonheur qui incarne les valeurs les plus chères de la Maison.

Collection Femme : des articles sur mesure à l’empreinte minimaliste reflètent l’énergie explosive des accessoires : mules et bottes à talon F recouverts de paillettes, écharpes Viva, sandales avec brides à la cheville aux talons miroir rose ou argent métallisé.
Une grande nouveauté, les mocassins d’inspiration masculine ornés d’un noeud Viva.
Les sacs incluent de nouvelles formes pour le Viva Bow Bag en tissu lamé ou en cuir Flamingo Pink. Le sac Studio est proposé dans un fabuleux cuir tressé.
A cela s’ajoutent des lunettes de soleil et des montres avec de nouvelles formes et des détails Gancini, des créoles et des bracelets métalliques avec des éléments tissés.


Collection Homme: des chemises élégamment coupées. Des Pulls et d’autres pièces en laine. Porte-monnaie, portefeuilles et porte-cartes de la ligne « embossé ».
Pour les chaussures : un mocassin ultra-doux non doublé avec une nouvelle boucle Gancini. Incontournables pour toute occasion spéciale, les souliers Tramezza en version Derby et Tux noir brillant.
Les baskets enfin sont recouvertes du motif Gancini, résultat d’un processus spécial.

Avec la campagne de Fêtes 2021, Salvatore Ferragamo nous invite à faire une pause pour faire attention aux détails, à un geste, un sourire, un câlin…parce que ce sont justement ces détails qui forment un ensemble idéal et qui font la différence.
La collection de Fêtes 2021 sera la vedette des vitrines des boutiques Salvatore Ferragamo, de la boutique virtuelle House of Gifts et de toutes les chaînes numériques de Ferragamo et de ses partenaires.

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