Photographer Joseph Lally
Model Edward Bayer BMG Models @edwardbayer – Hair stylist Kabira Dame @bestbarbernyc – Concept by Kevin Holloman
Photographer Joseph Lally
Model Edward Bayer BMG Models @edwardbayer – Hair stylist Kabira Dame @bestbarbernyc – Concept by Kevin Holloman
En 1999, paraît un ouvrage qui associe Maurice Renoma à un néologisme qui peut intriguer : «modographe».
Il fallait inventer un mot pour définir l’homme passionné et débordant d’idée qu’est ce couturier, designer, photographe et scénographe.
Avec la modographie, ses deux principales passions, la mode et la photographie, sont intrinsèquement réunies. En effet, avant de faire de la photographie, son mode d’expression incontournable, Maurice Renoma a largement contribué à inventer la mode dès les années 1960, en créant notamment la marque Renoma, extraordinaire et transgressive, coup de griffe dans les codes vestimentaires de l’époque.
Considérant la mode comme une forme d’art à part entière, Renoma exprime à travers le vêtement une vision originale et libérée de tout préjugé esthétique.
Fils du taillleur et confectionneur Simon Cressy, Maurice Renoma, né le 23 octobre 1940, grandit avec son frère Michel dans l’appartement familial qui fait aussi office d’atelier de confection, à deux pas du Carreau du Temple, dans le 3ème arrondissement de Paris.
Dès ses 15 ans, Maurice se confectionne des vêtements en suédine ou en loden, dans un style typiquement anglais, du jamais vu pour l’époque.
En 1963, la boutique White House Renoma ouvre ses portes, rue de la Pompe, dans le 16ème arrondissement. Considérant la mode comme une forme d’art, Maurice Renoma en exprime sa vision originale et audacieuse. Matières inédites, couleurs franches et coupes sculpturales, tous les ingrédients sont réunis pour que la maison de couture familiale se démarque des autres.
Le style Renoma devient célèbre : veste cintrée à larges revers, aux fentes profondes, aux épaules droites associée à un pantalon coupe droite, taille basse. Maurice Renoma bouscule les standards de la mode avec ses blazers en drap militaire, ses costumes cintrés en velours vert, grenat, violine…
Il détourne le vêtement en le taillant dans du tissu d’ameublement. Pour la jeunesse parisienne et pour les personnalités politiques et artistiques, la boutique Renoma devient le lieu incontournable d’une mode inédite, sans convention, sans concession.
Au début des années 1990, Maurice Renoma commence à s’intéresser à la photographie et à l’utilisation de la pellicule noir et blanc 400 asa.
Il invente le néologisme «modographe», qui selon lui correspond mieux aux liens essentiels qui unissent la mode et la photographie. Depuis 1993, Maurice Renoma expose ses photographies en France et dans le monde entier. En 1997, il est fait Chevalier des Arts et des Lettres.
Son style révolutionnaire lui permettra d’habiller et de fréquenter les plus grands artistes français de l’époque : Brigitte Bardot, Serge Gainsbourg, Jacques Dutronc, Françoise Hardy, Catherine Deneuve, Alain Delon, Johnny Halliday, Sylvie Vartan, Jean-Paul Belmondo, Nino Ferrer, Christophe, Claude François, puis un très grand nombre d’acteurs français dont Jean Rochefort, la troupe du Splendid, Fabrice Lucchini, Gérard Lanvin… La boutique devient un lieu de rencontre et d’amusement où se retrouvent les plus grands.
Les grands politiciens succombent eux aussi à l’émulation Renoma : Pierre Mendès-France, François Mitterrand, Valérie Giscard D’Estaing ou encore Jacques Chirac passeront entre les mains du couturier dont le Tout-Paris raffole.
Serge Gainsbourg, ami proche de Maurice, sera l’égérie de la marque pendant plus de 10 ans.
Modernité, provocation, liberté, subtilité, Renoma sublime l’atmosphère parisienne des années 60, 70 et 80 aux quatre coins du monde. Il fréquente et habille ceux qui deviendront les plus grandes figures de la mode, tout en étant une source d’inspiration pour eux : Yves Saint Laurent, Karl Lagerfeld, Giorgio Armani, Gianni Versace, Hubert de Givenchy, Jean-Louis Scherrer, Marc Bohan…
Petit à petit, des artistes internationaux de grande envergure viennent s’habiller dans la boutique Renoma, devenue mythique. Du rock à l’art contemporain en passant par les grandes stars hollywoodiennes et sportives, les plus grandes légendes s’y font tailler le costard : Salvador Dali, Pablo Picasso, Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat mais aussi Bob Dylan, Eric Clapton, James Brown, Jack Nickolson, John Lennon et les Beatles, Les Rolling Stones, Jim Morrison, et bien d’autres.
Renoma marque un réel tournant dans l’histoire de la mode : «C’est l’incarnation même de ce moment où la mode masculine émergea de l’inexistence pour prendre le pas sur les «vanités» des femmes.
S’habiller chez Renoma vous décernait un brevet de parisianisme, certificat d’une jeunesse à consommer sans modération.» J. Brunel
Les innombrables collections créées par Maurice Renoma peuvent scander le siècle en un kaléidoscope de forme et de couleurs, dont la mode masculine compte, aujourd’hui encore, peu d’équivalents. Très inspiré par Vasarely et Escher, Maurice Renoma emprunte les codes de l’op art (art optique), du cubisme et de l’art moderne en général pour les intégrer à ses vêtements avec goût et minutie.
Provocateur sans concession, c’est toute une génération qui se prend de passion pour l’extravagance vestimentaire et l’éclatement des codes masculins. Elle porte d’ailleurs son nom qui résonne toujours aujourd’hui : la Génération Renoma.
Costumes en lin ou en chutes de tissu d’ameublement, chemises à cols asymétriques, paysages imprimés sur blouson en cuir ou encore caleçon parfumé … Renoma est une marque inventive, sans limite et révolutionnaire. Un seul mot d’ordre, l’audace au service du style. Renoma bouscule les codes en injectant la notion d’esthétisme dans le vêtement au delà du fonctionnel, explorant l’androgynie et le brassage des genres, des partis-pris choquants pour l’époque.
En 1963, le blazer Renoma fait son apparition. Porté jusque là comme uniforme dans les collèges anglais et par les marins britanniques, Maurice en fait une pièce iconique de mode en France, encore portée aujourd’hui.
Serge Gainsbourg l’a adopté pendant plusieurs dizaines d’années et en a fait un symbole fort de l’élégance décontractée dandy et parisienne. Dans un souci artistique et pour accentuer la valeur exceptionnelle de son blazer, Maurice Renoma décide en 2006 de confier ses modèles aux plus grands artistes contemporains internationaux pour qu’ils en fassent des oeuvres d’art.
Cette nouvelle aventure exprime son idée de la création : un univers mixte, où convergent différentes inspirations. Cette collection inédite de Blazers naît de cet échange, d’un regard qui revient sur la matière textile imprégnée d’autres couleurs, d’autres matières, d’autres perceptions. 32 figures artistiques du monde entier ont
répondu présentes : Arnal, Ben, Mark Brusse, Jean-Paul Chambas, Henri Cueco, Erro,
Jean-Pierre Formica, Patrice Giorda, Marc Goldstein, Joseph Grau-Garriga, Hastaire, Rachid Khimoune, Peter Klasen, Aki Kuroda, Catherine Lopes Curval, Zwy Milshtein, Andrew Painter, Bernard Rancillac, Michel Rovelas, Istvan Sandorfi, Satoru Sato, Antonio Segui, Shahabuddin, Sung-Hy Shin, Tony Soulié, Peter Stampfli, Paul Van Hoeydonck, Vladimir Velickovic, Jacques Villeglé, A-Sun Wu, et Constantin Xenakis.
La boutique Renoma ouvre ses portes le 23 octobre 1963, au 129 bis rue de la Pompe, Paris 16ème. Porté par son intuition, Maurice voyagera partout dans le monde pour en rapporter des vêtements, tissus, inspirations, motifs et matières inédites dont le tout-Paris raffolera tant ils cassent les codes avec esthétisme et brio.
Très vite, la boutique devient une source d’inspiration pour les futurs grands créateurs de mode: Giorgio Armani, Gianni Versace, Karl Lagerfeld ou encore Yves Saint Laurent. Tous ces couturiers qui dessineront bientôt des lignes masculines s’habillent pour l’instant chez Renoma.
La boutique devient un lieu branché incontournable.
On y croise Catherine Deneuve, Nino Ferrer, Françoise Hardy, Jacques Dutronc, Jane Birkin, Serge Gainsbourg… «Quand c’est fashion, tous les gens fashion sont là, simplement parce qu’il le faut». M. Renoma
Eric Clapton s’intéressant à la mode parisienne dira «il n’y a pas en Angleterre un endroit où l’on achète des costumes aussi bien taillés». À chaque escale en France, les stars y font alors des folies.
Un jour c’est Bob Dylan qui vient s’offrir une panoplie, un autre c’est Elton John que l’on voit sortir avec soixante chemises. Cinquante-cinq ans plus tard, la boutique Renoma est toujours ouverte et fascine par son aura historique et ses collections hors norme. Plus qu’un simple magasin, c’est toute une époque qui imprègne les murs et les collections, sceau d’un style hors du commun qui poussa toute une génération à l’extravagance.
Pilier sportif-chic de la Maison Baume & Mercier , la collection Clifton Club s’agrandit cette année d’une nouvelle offre : la Clifton Club Quartz qui répond aux besoins des gentlemen-sportifs à la recherche d’une montre à juste prix, aussi belle que polyvalente. Taillée pour l’aventure, contemporaine, raffinée et athlétique, la Clifton Club Quartz réécrit avec élégance les valeurs du sport tout en respectant les codes traditionnels de l’horlogerie.
Attractive et moderne, la Clifton Club de Baume & Mercier a été conçue pour accompagner les hommes d’aujourd’hui dans toutes les occasions, tant professionnelles que sportives. La Clifton Club Quartz de Baume & Mercier est faite pour ceux – nombreux – qui recherchent une montre sport-chic, belle et abordable. On la porte le week-end et la semaine, au bureau comme à moto, en déplacement professionnel et lors du jogging matinal. En bref, on ne la quitte jamais !
Nos Gentlesportsmen
C’est une bande de potes qui aime passer du bon temps autour d’un ballon ou une planche de surf. La compétition et le dépassement de soi font partie de leurs valeurs, mais sont indissociables au sens du partage et à l’esprit d’équipe. Nos « Gentlesportmen » partagent cette même philosophie et ont cette même idée du sport.
La montre Clifton Club est le symbole d’appartenance à cette communauté masculine au mode de vie urbain et sportif. Les athlètes accomplis et passionnés définissent avec une certaine élégance le sport d’aujourd’hui. Certains des ambassadeurs sportifs de Baume & Mercier se sont retrouvés pour un shooting entre amis.
L’idée : retranscrire la polyvalence de l’homme athlétique et raffiné, en jouant sur la dualité des looks qui expriment deux états d’esprit, deux personnalités, sans les dissocier. Pour créer le décalage, sur chacun des portraits de ces sportifs passionnés, on retrouve une mise en avant de leur discipline, associée à une tenue élégante. Comme touche finale, nos « Gentlesportsmen » portent au poignet un des modèles de la Collection Clifton Club.
Dans la lignée de la collection, la Clifton Club est motorisée par un mouvement suisse à quartz. Elle affiche un design soigné mariant élégance sportive, fonctionnalité et ergonomie au porté. En acier inoxydable de très haute qualité (316L), son confortable boîtier de 42 mm de diamètre à ouverture ronde s’adapte à tous les poignets. Svelte, elle n’affiche que 9,55 mm d’épaisseur ; des mensurations modernes et contemporaines lui permettant de se glisser en toute discrétion sous la manche d’une chemise ou d’un vêtement de sport. Se différenciant de la Clifton Club Automatique, la Clifton Club Quartz affiche une lunette fixe azurée renforçant son look athlétique. Ses codes couleurs (noir, bleu, orange contemporain) et son étanchéité de 10 ATM (100 mètres) idéale pour la pratique des sports aquatiques et nautiques garanti par un fond fermé et vissé, en font une montre sportive et fonctionnelle.
Comme toutes les montres signées Baume & Mercier, la Clifton Club Quartz présente des finitions haut de gamme dans le plus grand respect des traditions horlogères suisses. Affichant un jeu d’alternances raffinées de finitions poli-satinées, son boîtier évoque immédiatement la performance et l’élégance, la justesse et la puissance. La Clifton Club Quartz est ainsi proposée en trois versions aussi sportives qu’élégantes. D’un esprit « casual », la première se distingue par un cadran noir opalin et un bracelet en veau nubucké noir avec doublure en veau caoutchouté orange « rembordée à l’envers » et aux courbes qui épousent parfaitement la boîte et assure un confort irréprochable au porté. Plus classique mais résolument sportive, la seconde joue sur la sobriété avec un cadran noir opalin et un bracelet en acier inoxydable. Trendy et intemporelle, la troisième version affiche, quant à elle, un cadran bleu satiné-soleil, ainsi qu’un bracelet en acier de trois rangs poli-satiné. Un design maison, signé du logo «Phi» étampé sur le dessus, signe les boucles déployantes de ces deux dernières.
Avec son fond de boîte plein et vissé en acier personnalisable, l’envers de la montre Clifton Club Quartz synthétise sa philosophie. Il accueille un écusson en forme de blason. Comme une carte de membre d’un club. Ce blason symbolise les valeurs associées à la noble idée du sport que défend depuis toujours Baume & Mercier : camaraderie, élégance, générosité, don de soi, courage, sens de l’effort, fair-play, beauté du geste et esprit d’équipe.
Photographer, Stylist, Creative Director and Editor: Dawn Collins @dawnpcollins @dawn_collins_photography
Clothes: Immortal @weareimmortal.fashion @stuart_trevor
Models: @thanos_adamopoulos and @skinnyt – both from London’s @prm_agency
« We are Immortal » clothes, a new fashion brand which has been started by Stuart Trevor, the founder and former CEO/Design Director of All Saints, Reiss and Bolongaro Trevor.
Dormez! Allez, ce soir on décide de très bien dormir ! Pourquoi ce soir ? Parce qu’aujourd’hui est la 19ème Journée Nationale du Sommeil ! Alors on profite de cette journée pour se poser les bonnes questions sur l’état de nos oreillers, de nos couettes et de notre linge de lit et faire un état des lieux de ce que l’on peut trouver sur le marché des accessoires de literie.
Car bien dormir ne passe pas seulement par une bonne literie. Le reste aussi compte !
Se lover dans de beaux draps voilà un plaisir que l’on a tous. Si l’on veut du sobre, du sans chichis mais élégant et de qualité, on a l’embarras du choix avec la marque Bonsoirs. La start-up qui a fêté ses 1 an il y a quelques mois nous propose du linge de lit en percale de coton ou satin de coton dans des tons chics de bleu, gris, blanc, rayures tennis ou carreaux. Dormez dans des draps doux et frais.
Si l’on cherche une parure plus travaillée, aux tons chauds et apaisants, la parure « Allure » signée Anne de Solène réchauffera votre chambre et contribuera à un faire un havre de paix. La marque de linge de lit haut de gamme propose ici une parure en satin de coton, aux détails chics, qui donnent envie de s’y glisser…Dormez dans un vrai cocon.
https://www.anne-de-solene.com/
Côté oreillers et couettes, vous êtes sensibles aux acariens ? Soyez rassurés, vous allez pouvoir mieux dormir grâce à la marque DODO qui a sorti deux nouveautés : l’oreiller et la couette Suprelle® Allerban®, testés et approuvés par l’Association des Médecins Allergologues. La fibre Suprelle ® de leur enveloppe apporte douceur, aération et confort absolu. Quant au traitement Allerban ®, il les rend anti-acariens et antimicrobiens. Dormez en toute sécurité.
Que demander de plus ?
Les Bains font surgir par leur seul nom, tout un monde de vivantes inspirations et d’expériences inouïes, d’avant-gardes excentriques et de pionniers iconiques. Pour saisir l’esprit des Bains, il faut remonter le temps au point d’embrasser le présent de chaque époque. Jusqu’à la nôtre.
Les Bains Guerbois ouvrent en 1885 et deviennent aussitôt le temple parisien du bienêtre
et de la beauté où le Gotha et des artistes tels que, Manet, Zola, Renoir, Proust se retrouvent.
2015, Les Bains se transforment en boutique hôtel 5* et ravivent le club et le Spa. Mais Les Bains ne se résument pas à un hôtel de luxe, un lieu d’émulsion sociale et artistique, un club culte de la nuit parisienne ou une néo brasserie chic. Ils proposent l’expérience d’un nouvel art de vivre, vibrant, connecté, ouvert sur le monde. Ils rassemblent tous les happy few en quête d’un lifestyle ultime à Paris. Ils ouvrent un espace singulier où se savoure la fête et se déploie la créativité. Parisiens et transculturels, historiques et inventifs, hybrides et chics, élégants et accueillants : institution séculaire, les Bains se transfigurent en coeur battant du nouveau millenium.
Le bâtiment est un chef d’oeuvre architectural, fruit d’un héritage aussi riche que varié. Créés en 1885, Les Bains Douches (ou Bains Guerbois) abritent les plus célèbres thermes privés de Paris. S’y croisent l’élite et la Bohême fin-de-siècle dépeintes par Marcel Proust, client assidu. L’immeuble a été conçu par l’architecte Eugène Ewald, qui a bâti la Préfecture de Police de Paris, face à Notre Dame, ou l’Église Saint François de Salles. Outre Les Bains, la Famille Guerbois crée et gère aussi le fameux « Café Guerbois », haut lieu de rencontre intellectuel et artistique immortalisé par Zola et Manet où, de Renoir à Monet, se retrouve le tout–Paris de la Belle Époque.
En 1978, l’immeuble se révolutionne. Le voici salle de concert rock, restaurant et nightclub: les Bains Douches. Il entre dans un nouvel âge d’or et dans la légende – institution culturelle et mondaine au centre de Paris, référence absolue d’un clubbing sublimé en art de vivre, épicentre mondial des médias, du spectacle et des arts.
De tous les pays, on vient s’y imprégner de son vibrant état d’esprit et de son lifestyle unique. Temple de la beauté et de l’art, paradis urbain de la fête toujours précurseur d’une mode, coeur battant de la nuit parisienne et de la culture internationale : pendant trois décennies, les Bains Douches rayonnent.
En 2010, des travaux sauvages entrepris par l’ancien gérant de la boîte de nuit mettent l’immeuble en péril et provoquent la fermeture des Bains. Afin de réinventer et sauver cette icône de la vie parisienne naît « La Société des Bains » sous l’impulsion de Jean-Pierre Marois, dont la famille est propriétaire du bâtiment depuis les années 60.
En janvier 2013, c’est le retour des Bains sur la scène internationale avec une Résidence d’Artistes éphémère initiée par Jean-Pierre Marois qui rend hommage à son ADN artistique. Ainsi, avant rénovation, ce monument épique se mue pendant trois mois en chantier fulgurant offert à la créativité en liberté.
En 2015, s’ouvrent Les Bains du 21e siècle. Ils écrivent une nouvelle page de leur histoire.
Expression de sa renaissance, la métamorphose des Bains découle de trois projets de rénovation exceptionnels, signés Vincent Bastie pour l’architecture de la structure, Tristan Auer et Denis Montel/RDAI pour le design d’intérieur. Autant de talents, de styles, d’approches singulières, décuplés par l’envie de se réunir autour d’un lieu qu’ils adoraient déjà. De ces regards originaux s’est construite une vision commune, portée par
un enthousiasme à la hauteur de l’enjeu. Implantés au cœur de Paris, au 7 rue du Bourg l’Abbé dans le troisième arrondissement, Les Bains s’inscrivent au croisement du Marais médiéval, des Archives Royales et du moderne Centre Pompidou. Dans ce quartier central en rapide mutation se développent nouvelles galeries d’art et concept stores, restaurants bio et marchés alternatifs.
Les Bains, c’est 39 chambres et suites cinq étoiles, une suite très rockstar en penthouse pour accessoirement y dormir, et un salon boudoir pour fermer les yeux. C’est aussi le restaurant Roxo et son bar, écrins culinaires français imprégnés de saveurs du monde, et bien sur le Club, avec programmation sur mesure de concerts, DJ Set et happenings divers.
Ici, le luxe se vit dans l’Histoire et, déjà, au futur. Cette effervescence urbaine offre aux Bains un terreau fécond où s’épanouir en fleuron de la vie parisienne car Les Bains ne dorment jamais.
Le lieu est conçu comme un cercle exclusif au confort ultime, à vivre et expérimenter dans sa totalité, une expérience contemporaine à la vibration diurne et nocturne. Il incarne la quintessence d’un certain Paris, une fusion de « l’ici » et de « l’ailleurs », un lieu hybride ouvert à tous les trend-setters passeurs de frontières. Les Bains forment une manière de club urbain à géométrie variable et aux frontières changeantes, avec lobby, restaurant, bar, lounge, salons, patios, suites, terrasses.
On pourra y déjeuner, goûter, dîner, souper, danser, faire salon, quasiment partout et avec des horaires très souples. Aux contributeurs permanents des Bains viendront se greffer ponctuellement les signatures de « special guests », dont l’âme et la voix se frottent de façon sensible à celle des Bains.
LES BAINS – 7 rue du Bourg l’Abbé – Paris IIIe
S.T. DUPONT réinvente l’apparence du temps avec une nouvelle collection de montres
La flamme de l’innovation et du design brûle depuis toujours au cœur de la Maison S.T. Dupont. Depuis le travail des plus beaux cuirs tannés à la poudre de diamant jusqu’aux techniques traditionnelles du laquage naturel, S.T. Dupont incarne le nec plus ultra de l’élégance, de la créativité et du savoir-faire artisanal français.
Sa nouvelle collection de montres Hyperdome marie l’audace du design à des matériaux de pointe pour revisiter en profondeur les classiques de l’horlogerie. Toujours en quête d’innovation et fier d’être unique, S.T. Dupont a décidé de placer le temps sous un dôme de verre minéral.
Ce dôme de verre minéral révolutionnaire confère à la collection Hyperdome sa silhouette bombée reconnaissable entre mille. Au-delà de ses qualités esthétiques, le dôme de verre minéral présente également des propriétés antireflets, de résistance aux rayures et d’extrême longévité. Le dôme de verre minéral renferme un cadran en relief, dont les détails évoquent des coulées de métal en fusion.
Déclinée en six modèles au choix, la collection Hyperdome est conçue pour les avant-gardistes et les amateurs de montres en quête d’une nouvelle esthétique. Chaque montre incarne un style, qui traduit sa personnalité et son trait de caractère : Be Exceptional se distingue par un cadran au bleu brillant et un bracelet en tissu tricolore, hommage aux racines de la Maison S.T. Dupont, tandis que BeBold, Be Extreme et Be Daring célèbrent l’audace sans compromis du design de la collection. Be Elegant et Be Chic affichent l’élégance et la sophistication d’un subtile cadran aux reflets dorés. Six montres imaginées pas seulement pour donner l’heure, mais aussi pour donner au monde une idée de qui vous êtes.
« Nous avons créé une montre à la croisée de l’espace et du temps. Une montre qui s’affranchit de toutes les règles. Elle est moderne, elle est rebelle et c’est ce qui fait tout son attrait. »
Disponible sur https://www.st-dupont.com/, boutique S.T. Dupont au 10 rue de la Paix, Printemps Haussmann et Galeries Lafayette.
Commencer un article sur un homme que l’on admire est difficile, voir compliqué. Trouver un titre accrocheur sur un homme qui a utilisé à son compte le plus large éventail des ressorts du marketing l’est encore plus alors autant jouer la simplicité.
Karl Lagerfeld, de son vrai nom, Karl Otto Lagerfeldt, né le 10 septembre 1933 à Hambourg en Allemagne et mort le 19 février 2019 à Neuilly-sur-Seine -France, fût certainement l’un des plus grand couturier du 20eme siècle. Touche à tout de génie, il fut également photographe, mais aussi réalisateur et éditeur.
Il fut directeur artistique de la maison italienne Fendi à Rome à partir de 1965, de la maison de couture Chanel à Paris à partir de 1983, et de sa propre ligne à partir de 1984.
Sa vocation de couturier remonte précisément au 13 décembre 1949 lorsqu’il accompagne sa mère à son premier défilé de mode, celui de Christian Dior. Dès lors, ce jeune passionné de dessin, se met à dessiner des modèles.
En 1952, Karl et sa mère quittent l’Allemagne et s’installent à Paris, alors LA capitale de la mode. Il est d’abord élève dans une école privée, puis au lycée Montaigne.
Après avoir travaillé en tant qu’illustrateur de mode, il s’installe en 1954 au 7 quai Voltaire dans un hôtel particulier. Le 25 novembre de la même année, il remporte le premier prix du concours du « Secrétariat international de la laine », organisé par la marque Woolmark, ex-æquo avec Yves Saint-Laurent. Le couturier Pierre Balmain, qui fait partie du jury, le remarque et le recrute comme assistant de 1955 à 1962. C’est le début pour lui d’une brillante carrière professionnelle.
La rivalité entre Yves Saint Laurent et Karl Lagerfeld date de cette époque : Yves Saint Laurent évoluant en Haute Couture, Karl Lagerfeld choisissant le prêt à porter.
De Jean Patou à Fendi
En 1959, Karl Lagerfeld est nommé directeur artistique chez le couturier Jean Patou. Peu de temps après, il choisit de mener une carrière de styliste indépendant contractuel et de créer des collections de mode, successivement pour la France, l’Italie, l’Allemagne et le Japon. En 1963, il innove en dirigeant le prêt-à-porter et en créant les accessoires de la marque de mode Chloé, et cela durant vingt années, jusqu’en 1983.
Depuis 1965, il travaille également pour la maison italienne Fendi à Rome, dont il crée le logo.
De Chanel à H&M en passant par le gilet jaune
En 1983, Lagerfeld est nommé directeur artistique pour l’ensemble des « collections Haute couture, prêt-à-porter et accessoires » de la maison Chanel qui à l’époque frôle la fermeture, et dont il doit relancer l’activité pour éviter sa disparition.
«Mon travail ce n’est pas de faire survivre le tailleur Chanel, mais de le garder vivant.» dit-il.
Pour réveiller cette « Belle au bois dormant », il choisit le mannequin Inès de La Fressange pour représenter l’image de Chanel. Elle est le premier mannequin à signer un contrat d’exclusivité avec une maison de haute couture et la première à devenir autant médiatisée dans l’histoire de la mode. L’inspiration de Lagerfeld est basée sur l’esthétisme et l’histoire de Coco Chanel. Il ne se contente pas de faire du Chanel, il réinvente le style Chanel selon ses idées : «La personnalité commence où finit la comparaison.»
N’étant pas intéressé au chiffre d’affaires, ne mettant jamais son « nez dans les comptes », il est soutenu par Alain Wertheimer propriétaire avec son frère de la maison de couture et dispose d’« une liberté totale » selon ses dires.
Connu pour sa liberté de pensée et de ton, il sait imposer ses choix, parfois avec un franc parler qui lui est propre. Souvent acerbe, toujours spirituel, ses petites phrases, les « Karlismes » comme il les appelait, claquaient comme un coup de cravache : «La méchanceté est excusable si elle est spirituelle. Si elle est gratuite, elle est impardonnable.»
En 1989, Inès de la fressange laisse la place à une jeune inconnue allemande, Claudia Schiffer que Karl Lagerfeld propulsera au firmament des top modèles de l’époque.
En 1986, il avait choisit l’actrice Carole Bouquet comme égérie du parfum N°5 qui le restera jusqu’en 1996, et la chanteuse et actrice Vanessa Paradis pour incarner Coco. Chanel sous son impulsion habille les jeunes actrices du cinéma français mais aussi les stars de la scène internationale. Il créera ainsi des tenues pour Madonna et Kylie Minogue et Nicole Kidman incarnera le parfum N°5 dans un clip mis en scène par Baz Luhrmann en 2004.
En 2004 également, le couturier créé la polémique en lançant une « collection capsule » de prêt-à-porter de trente vêtements pour H&M. Dans certaines boutiques, la collection est vendue en quelques minutes. Irrité par le manque de qualité des matières et des finitions, et par le peu de vêtements mis en vente dans les magasins de la chaîne, et devant la déception des clients, Lagerfeld déclare : « Je trouve pénible que H&M ait contrarié tant de gens. C’est du snobisme de faire de l’antisnobisme. »
Son irrévérence et son sens de l’humour lui permettent de toujours prendre du recul par rapport au milieu aseptisé de la mode. Se prendre au sérieux oui, mais pas trop. «Les stylistes qui se prennent la tête, je trouve ça assommant, ridicule ; faire des robes, c’est important, mais ce ne sont que des robes. On n’est pas Kierkegaard quand même !»
En 2007, deux ans après avoir revendu toutes ses marques (la Lagerfeld Gallery, une collection sous licence pour hommes et femmes et des accessoires, la boutique parisienne de la Rive Gauche et la boutique de Monaco) à Tommy Hilfiger pour 30 millions de dollars, Karl Lagerfeld lance une nouvelle ligne, K par Karl. C’est à cette période qu’il est rejoint chez Chanel par Amanda Harlech, l’ancienne consultante de John Galliano.
En 2008, il surprend tout le monde en acceptant d’être l’égérie d’une campagne de prévention pour la sécurité routière où il arbore un gilet jaune sous le slogan : « C’est jaune, c’est moche, ça ne va avec rien, mais ça peut vous sauver la vie »
Les défilés de la maison Chanel ont toujours crées la surprise tant par leur mise en scène innovante et souvent grandiose que par l’originalité et la technicité des matières. On gardera en mémoire la reconstitution du 1er étage de la Tour Eiffel sous la nef du Grand Palais, le supermarché Chanel, la villa et ses jardins, la fusée ou la magnifique plage de sable fin.
En 2013, il réalise le court-métrage « Once Upon a Time » à la Cité du Cinéma de Luc Besson à Saint-Denis avec Keira Knightley dans le rôle de Coco Chanel et Clotilde Hesme dans celui de sa tante Adrienne Chanel.
Infatigable, toujours en avance de 2 coups comme un joueur d’échecs, ses multiples activités reposaient sur une large équipe de stylistes qui l’assistaient tant chez Fendi, chez Chanel ou pour sa propre marque. Il disait avoir un contrat « à vie » avec la maison Chanel, qui n’a jamais démenti…
«Je suis devenu comme le crocodile de Lacoste. Il va bientôt falloir me coudre sur les vêtements.»
Illustration Agnès Solange pour Blakemag
GANT CELEBRATES ITS 70 YEARS AND PAYS TRIBUTE TO THE AMERICAN SPORTWEAR HERITAGE OF THE HOUSE.
In 2019, GANT will celebrate its 70th anniversary and pay tribute to the brand’s American sportswear heritage. An original creator of shirts since 1949, GANT will trace the history of the house through a wardrobe of iconic pieces, which have become a must-have in sportswear. The brand honors this heritage through 7 emblematic pieces, representative of the culture of the house and defined by the Never Stop Learning creed.
Inspired by the city of New Haven and Yale University, Gant has helped define the casual and stylish look since its inception by reinventing the American sportswear fashion style and imagining a line of iconic pieces: the button-down Oxford shirt club, blazer, chino pants, polo, teddy, etc. This locker room was essential to the brand’s success for 70 years. Presented on the American East Coast, these icons were quickly adopted in Europe, through to a more sophisticated version. « We are proud of our heritage as original shirt manufacturers, » says Matthew Mounsay Wood, Artistic Director of GANT. « When we started thinking about how to celebrate our 70th birthday, we went back to our archives and realized that these 7 iconic pieces are an indisputable reference in the American sportswear wardrobe. We wish to highlight the timeless design of our products, illustrated by our 7 iconic products, throughout the anniversary year of the brand. By maintaining this desire to innovate through our Never Stop Learning philosophy, we will continue to create pieces that will be passed on to future generations. «
The Never Stop Learning credo is a real innovation driver for the brand. During its anniversary year, GANT will unveil the long-awaited sequel to the hit TV series « Couple Thinkers », which has 14 million views and 85 million viewing minutes. A new contemporary documentary will be released during the American independent film festival Tribeca, which takes place every May in New York. The seven representative icons of the seven decades will be marketed in GANT stores from February 7, throughout the anniversary year of the brand.
L’Hôtel Boutique 5 étoiles le Bowmann, installé Boulevard Haussman à Paris, signe en exclusivité et pour la première fois le Spa Lacure Officine, un écrin de luxe allié à l’art de vivre parisien.
Découvrez une véritable retraite détox en plein coeur de Paris.
Plus qu’une parenthèse anodine, le Spa du Bowmann offre une réelle expérience détox dans un cadre exceptionnel. Il offre une approche holistique et scientifique globale, capable d’agir à la fois sur la beauté, le bien-être et la santé de chacun.
Le Spa offre des programmes entièrement personnalisables. Après une phase de diagnostic, soins du visage et du corps sont proposés en complément d’un programme nutritionnel et d’activités physiques, dont la durée varie selon les besoins de chacun.
Les soins experts sont prodigués par des thérapeutes expérimentés et attentifs, appuyés par les produits la Cure Officine.
L’alliance de matières nobles et les innovations technologiques conduisent la carte du spa Bowmann à des horizons inédits.
Les Soins corps, proposés après un thé alcalin et l’inhalation d’huiles essentielles, associent l’action exfoliante et tonifiante (Soin Firm Allure), réactivent la fermeté (Soin Firm et Smooth), luttent contre la cellulite (Sculpting massage minceur), stimulent la circulation sanguine (Anti Inflamming Détox) et le renouvellement des cellules (Expérience h2Bo).
Les Soins visage ciblent les peaux désydratées et les teints ternes (Soin Hyro Radiance Illuminateur), apaisent et purifient (Soin Synergie Pureté Détox), reminéralisent en ciblant activement le vieillissement cutané (Soin Age Defense Secret d’Officine).
Le Soin visage Signature Bowmann s’inspire du massage japonais Kobido : lifting naturel par excellence.
D’une durée de 1h30, il aide à lutter contre les signes visibles du temps. Rythmé par des mouvements précis, le visage retrouve son véritable éclat !
En complément, la carte associe des massages sur-mesure à des shots d’huiles essentielles aux vertus curatives et holistiques. Objectif annoncé : le bien-être retrouvé.
Fond bleu saphir, plafond miroir et entourages en marbre de Carrare, la piscine du Spa ouvre son bassin magique. 8 mètres sur 6 pour un bain de jouvence et de relaxation maximale. Une parenthèse de bien-être complétée par un jacuzzi, un hammam entièrement recouvert de mosaïque dorée, un sauna et un pédiluve dont les jets massant et l’action de l’eau chaude stimulent la circulation sanguine.
En complément du spa, l’Hôtel Bowmann offre une salle de fitness, en partenariat avec Technogym.
Informations pratiques :
Hôtel Bowmann 99 Boulevard Haussmann, 75008 Paris / 01 40 08 00 10
reservation@hotelbowmann.com
www.hotelbowmannparis.com
Un nounours fétiche et des icônes de la scène et du cinéma Français, la fashion police et les nuits au Palace, des icônes du cabaret et de la scène Parisienne, des battles de sapeurs et de vogueurs, de la musique, des lumières et, bien sûr, ces dizaines de looks issus de défilés de mode devenus légendaires… Plus que le parcours de l’éternel « enfant terrible de la mode », ce Fashion Freak Show raconte la vie ou plutôt les mille et une vies de Jean Paul Gaultier. En réunissant sur la scène des Folies Bergère, épaulé de Thierry Suc et de Tonie Marshall, sa mode et ses coups de cœur, ses rencontres, ses amours, ses défis, ses complices et ses amis, le plus français des couturiers internationaux poursuit ce rêve de gamin qui a fait sa légende : émerveiller avec générosité.
« J’espère que ce spectacle vous donnera autant de plaisir que j’en ai eu à l’imaginer.
Le Fashion Freak Show est une invitation à rêver et à réaliser ses rêves. Parce que j’ai eu cette chance, je tenais à la partager et à montrer que, qui que l’on soit, les portes sont ouvertes.
Être soi-même, c’est peut-être la meilleure chose au monde. Et pour tout le monde. Bon show ! »
Ceux qui s’attendent à voir un classique spectacle de music-hall en seront pour leurs frais. C’est en fait une biographie sur scène. On rentre dans la tête et la vie de Jean Paul Gaultier. On y croise pêle-mêle son ours en peluche, les corsets de sa grand-mère; incarnée pour l’occasion par l’actrice Micheline Presle, qui était la vedette de « Falbalas », le film qui a donné à Jean Paul Gaultier l’envie de devenir couturier… la boucle est bouclée; ses premières créations, Francis, son premier amour, sa première marinière.
Mais aussi Le Palace, les Rita Mitsouko, son premier défilé de 1976 et sa robe poubelle, Joséphine Becker et son troublant pendant masculin, Amanda Lear, Yvette Horner, Madonna et son body à seins côniques, Line Renaud, une rétrospective de ses créations, Cristina Cordula et Conchita Wurst.
Les tableaux s’enchaînent dans l’ordre chronologique de la vie de Jean Paul Gaultier, ce n’est pas toujours fluide, ça peut paraître un peu bancale, et les enchaînements sont parfois chaotiques, mais le fil des souvenirs l’est-il toujours? Le choix musical résonne des tubes de chaque époque, chaque décennie. C’est joyeux et nerveux, gaie et triste comme l’ont été les années 80 et 90.
Plus on avance et plus le spectacle est construit et équilibré, comme si, dans l’ordre des souvenirs, Jean Paul Gaultier avait préféré la maturité à l’adolescence. Un comble pour celui qu’on qualifie toujours à 66 ans d’éternel adolescent. Mais le final met tout le monde d’accord et le public est debout pour acclamer cette troupe de « Freaks » fantastique.
Jean Paul Gaultier – Fashion Freak Show
aux Folies Bergères 32, rue Richer 75009 – PARIS jusqu’aux 30/12/2018
Situé au coeur du XVIe arrondissement de Paris, Brach est une adresse au luxe élégant et atypique. Brach offre une expérience immersive et inspirée pour les visiteurs qui découvrent la capitale française, et une nouvelle vision de la vie de quartier pour les riverains et habitués.
L’implantation du Brach s’est fait en lieu et place d’un immense centre de tri postal des années 70. Une surface de 7000 m2 laissée libre à l’imagination visionnaire du créateur Philippe Starck. L’architecture des années 30 rencontre le modernisme et le Bauhaus, le Dada et les surréalistes.
Des couleurs chaudes, des matières naturelles et brutes comme le bois, le cuir, le béton, le verre, le marbre et le métal. Partout, des mystères poétiques, des objets insolites, et une sélection d’oeuvres d’art qui créent une atmosphère chaleureuse. Cultivé, énergique, épicurien et esthète, Brach est un vrai parisien, connecté à son quartier, avec ses propres codes et une personnalité, un esprit sain dans un corps sain. Généreux, familial, il illustre des valeurs de partage et d’équilibre.
Avec ses chambres et ses suites, ses terrasses et son rooftop aux vues imprenables sur les toits de Paris et la Tour Eiffel, Brach est un lieu de vie cosmopolite et surprenant. Ici, il est question d’originalité, d’intimité, de confort et de convivialité déployés sur les huit étages de cette maison de verre.
Du premier au sixième étage : 52 chambres de 24 à 42 m2 lumineuses, habillées de matières nobles. Aux cinquième et sixième étages de Brach : 7 suites de 60 à 200 m2. Toutes dotées d’une terrasse avec bain norvégien, l’une d’entre elles abrite aussi un jacuzzi…
Dans un décor de bois, de cuir, de verre et de pierre, elles s’ouvrent sur des terrasses arborées dominant Paris : vue à 180° sur les toits et la ville, et sur la Tour Eiffel pour certaines.
L’accès exclusif au potager en rooftop leur est réservé.
Grâce à ses piscines et son club de sport (les hôtes du Brach ont accès au club
de sport, à la piscine, aux cours collectifs…), son bar, son restaurant, son épicerie et sa pâtisserie, Brach est un lieu de culture, de bien vivre et de rencontres dont on profite du matin jusqu’à la nuit. Intime et ouvert à la fois, Brach, dernier né du groupe Evok est une combinaison de contrastes et de contraires qui se complètent sans jamais s’entrechoquer.
Le Brach Hotel Paris – 1-7 Rue Jean Richepin, 75016 Paris – 01 44 30 10 00