close

moto

ArchivesMagazine

ROAD TRIP TEST BMW & TRIUMPH

La team BLAKE est partie en road trip dans le Perche pour tester deux derniers trails de BMW avec le GS 1300 R et de Triumph avec le TIGER 1200, version 2024. Le temps était entre nuages, pluies et soleil donc on a pu éprouver les motos et les tenues touring Bering et Nolan, dans toutes les conditions. On vous en parle. 

LE TIGER 1200 de TRIUMPH – 2024

Si la position est haute et bien digne d’un hypertrail, on se sent immédiatement en confiance. Le Tiger 1200 de 2024, est souple, très intuitif et se laisse manier sans effort malgré son poids assez conséquent et plutôt haut placé, son poids ne se fait sentir finalement que lors des manœuvres à basse vitesse. Les suspensions gomment parfaitement les aspérités de la route, et les différents réglages rapidement accessibles en roulant dans l’ordinateur de bord offrent un feeling bien marqué. Le cadre est bien rigide et permet de lire la moto dès les premiers tour de roue, la rendant très saine. Le combo cadre assez rigide et suspension plus souple offre un compromis extrêmement agréable à rouler sur route ouverte.

Elle s’inscrit sur l’angle très facilement, est stable et confortable. Elle permet de se faire plaisir sans effort sur de longs périplse, caractéristique fortement pertinente vu le type de moto. Le freinage Brembo offre un très bon mordant et une puissance difficile à prendre en défaut, renforçant le sentiment de confiance et de sécurité à son guidon. On regrettera uniquement la sélection des vitesses moins franches que sur le GS, surtout le neutre. Mais le point de patinage est très lisible et offre un bon retour au levier, ce qui aide au manœuvre à basse vitesse. Le trois cylindres 1200 est terriblement efficace, et nous envoie même un  coup de pied au fesse arrivé à 6 7000 tr, un comportement moins linéaire que le moulin du GS. Il faut faire attention au compteur de vitesse car passé cette zone, le 3 pattes propulse l’embarcation avec vigueur, pouvant même surprendre au vu du comportement globalement doux de la moto. Le bruit du moteur, agréable en spectateur, est par contre peu flatteur à son bord, dommage pour un 3 pattes de 1200cc. Côté nouvelle technologie, l’ordinateur de bord, bien que long à démarrer, à un écran aux menus très ergonomique. Il est très facile de paramétrer sa monture. Seul le GPS, avec une simple flèche d’indication, ne nous a pas convaincu. S’il peut dépanner, nous allons vite opter pour un support smartphone pour ne pas louper notre road trip préparer avec soin en amont.

Le shifter pro est très doux, en même après 20 ans de moto, descendre les rapport sans débrayer est devenu naturel (il faut se servir du selecteur plus comme un bouton et non comme un « vrai  sélecteur ») le seul point noir de la boite était le neutre, très difficile à trouver, à l arrêt ou en roulant à basse vitesse, de la premier comme de la seconde…dommage car cela a été pour nous le seul vrai défaut ennuyant du Tiger. D’ailleurs pour respecter le bon fonctionnement de la boîte il faut embrayer pour le neutre, la première et la deuxième. En option sur notre modèle, le top case, cubique comme une flycase posée à l’ arrière de la moto, s’est avéré extrêmement utile et pratique. Étanche, de belle capacité, très simple à remplir grâce à sa forme simple et pratique à enlever.

LA GS 1300 R BMW de 2024

Notre GS 1300 R, 2024 d’essai, full option, est très massif et compact pour ce type de moto. Son design est moins caricatural qu’en photo et il ressemblerait presque à un gros roadster, ce qui n’a pas été pour nous déplaire. Son coloris Vert émeraude et or, associé aux jantes à rayon fait son effet. Les passants s’arrêtent régulièrement pour la regarder ou venir nous en parler, un très bon point pour alimenter l’orgueil du motard….Bien moins haute que le Tiger, on l’ enfourche avec aisance pour une moto de type trail (un très bon point pour les petites tailles ou les personnes peu souple…). Tout comme son aspect le laisse présumer, la moto est rigide, sèche sans être pour autant désagréable.

L’ embrayage est très souple mais le verrouillage des vitesses est franc (avec le bruit caractéristique des boîtes BMW), le neutre est facile à trouver contrairement à la Tiger. Le train avant est rigide, la mise sur l’angle est progressive et demande plus d’effort que sur la Tiger, mais la moto donne plus la sensation d’être sur un rail quand on est sur l’angle et sa stabilité est grandiose, quitte à rogner légèrement sur l’agilité, surtout face à l’anglaise. Les suspensions sont plus fermes également, le frein moteur plus violent et le shifter secoue à chaque passage comme un passage à la volé plus ou moins bien exécuté. Ce trail joue clairement le côté plus sport que ballade, et il donne envie d’attaquer pour tirer partie de cette orientation. En forçant le rythme, le flat twin fait des merveilles, toujours plein, linéaire, avec un bruit envoûtant d’un avion de la seconde guerre, c est un régal. En virage la moto est plus sous vireuse que la Tiger et il faut s’habituer au telelever : qui est le système BMW qui dissocie l’amortissement de la gestion de la fourche de direction qui offre des sensations d’amortissement et d’écrasement au freinage différent des motos qui ont une simple fourche à l’avant. La moto ne s’ enfonce pas de l’avant, seul l’ arrière oscille. Il est difficile au début de sentir l appuie sur ce train avant et on a l’impression de ne pas le charger assez et donc de ne pas « mordre la route ». Cela est clairement une question d’habitude, car aucun doute sur la tenue de l’engin, surtout en longue courbe rapide. L’ordinateur de bord regorge d’informations. La molette de sélection au guidon est un très bon concept, mais le petit stick du tiger était plus intuitif. Le régulateur adaptatif est très au point et les radars avant et arrière de la GS 1300 R de BMW, captent sans soucis la moto ou la voiture de devant.


Bien qu’appartenant à la même gamme de moto, les Trails, nos deux modèles voient clairement là route avec deux approches différentes, différence incarnée parfaitement par le maniement des 2 shifters. Sec sur la BMW, et doux sur la Triumph. Les deux engins sont diablement efficaces à rouler, non piégeux, puissant, et bardés d’électronique et d’assistances. Mais le GS est bien plus typée sport et donne envie d’attaquer avec son train avant rigide alors que la Tiger est plus douce, et même si elle n’est pas en reste en accélèration, la Triumph amène plus à enrouler les virages en souplesse.

Quoi qu’il en soit, ces deux motos sont excellentes est très abouties, durant notre périple du week-end de Pâques 2024 dans le Perche, venteux, pluvieux, frais, mais également avec de belles éclaircies et des routes sèches, sur petite départementale cabossées, partagées avec les agriculteurs comme sur autoroute, ces motos avalent les kilomètre avec facilité. A vous de choisir votre philosophie…

TENUES POUR AFFRONTER LA PLUIE EN MOTO

Durant notre trajet, nous avons été vêtu de textiles de chez Bering. Les modèles Antartica et Austral, les deux en gore tex, furent très pertinent pour la saison d’avril, et encore plus lors de notre week end. Grâce aux nouveaux tissus techniques mais aussi aux dernières technologies des protections, le blouson et le pantalon se sont fait totalement oubliés, le gain en poids est considérable, et change radicalement des cuirs “à l ancienne”. Du confort, de la chaleur, et pleins de petites attentions ergonomiques; la fermeture éclair principale aimantée pour aider à enclencher, la bavette de col amovible extrêmement efficace sur l’Antartica. Pour l’Austral celui de poche avant est très pratique. On retrouve les poches qui facilitent la vie des motards sur la route, dont une pour carte bleue / ticket de péage sur la manche gauche, et les doublures amovibles du pantalon comme du blouson. A part un airbag, c’est du matériel “toutes options” et elles sont aussi bien penser que sur des produits d’une grande marque française d’équipement de sports réputé sur le sujet. Sur du matériel de moto d’un certain prix cela fait plaisir et j’ai envie de dire : enfin !!! Merci à Bering pour cela.

Et autant dire ce qui est, en commençant notre périple un vendredi soir par 2h de ville/route/ autoroute de nuit par 7 degrés et sous une pluie battante…l’equipement à sauvé notre week-end et notre humeur. Nous sommes arrivés au sec, sans avoir froid ni chaud durant cette épreuve. Je ne reviens toujours pas du confort que j’ai pu ressentir dans ces vêtements, vu les éléments que nous affrontions. La gamme de nos textiles Bering essayé est dans la catégorie haut de gamme avec le tarif y correspondant,  mais quelle efficacité générale! Pour tout motard souhaitant être tranquille et ne pas avoir à regarder les radars de pluie toutes les 15min, ou disposer de 20 tenues différentes, je ne peux que recommander très fortement nos Bering Austral ou Antartica.
Les bottes Bering, Xroad de dernière génération, ont été également de précieux alliés pour affronter les éléments changeants de ce mois d’avril. En effet, malgré de fortes pluies, nos pieds sont restés au sec et au chaud. Les bottes offrent une bonne rigidité qui donne un sentiment de protection, tout en laissant une certaine souplesse lors de la marche. La semelle permet notamment des positions debout sur moto, tout en étant très confortable et stable.

DES CASQUES POUR LE ROAD TRIP


La panoplie était complétée par les casques modulaires en carbone, le Nolan X-1005 Ultra carbon. Le haut de gamme de chez Nolan pour tailler la route. A l’ installation d’un système intercom d’une autre marque, les emplacements réservés aux écouteurs ont bien acceuilli l’équipement, même s’il a fallu cacher dans les mousses, les câbles comme on a pu. La visière pinlock a bien fonctionné par notre météo changeante, évitant toute bué à l’interieur du casque. Et pour un modulaire, pas de trace d’eau à l’intérieur malgré certaines averses violentes. Facile à manipuler, assez léger pour un modulaire grâce au carbone. Le casque est stable et bien isolé phoniquement. La visière interne ajoute du poids ce qui est dommage et n’était pas si évident à manipuler pour la baisser (question d’ habitude aussi sans doute). Mais mentonnière ouverte,  elle permet de ne pas avoir trop de vent dans les yeux à vitesse intermédiaire ou entre 2 villages. Si de telles visières peuvent paraître superflues dans les intégraux classique, elle a une bonne utilité ici. Ces casques offrent également la possibilité de porter des lunettes de vue ou de soleil, on oublit pas le style. Le seul bémol si il doit y en avoir un, c’est le manque de mousse sur la sangle jugulaire, qui pourrait être plus large et un tout petit peu plus longue. Sur les 800 km effectués ces casques ont été de précieux atouts par leur modularité mais aussi par leur confection générale qui permet de voyager sereinement.

Un road trip moto nécessite de bien préparer le paquetage, et pour cela nous étions équipés des sacs thermo-moulé de Bering, les Oxley, qui permettent de transporter de quoi grignoter et boire sur la route, les chargeurs et batteries pour tourner, le drone, bref tout le matos tout en le gardant au sec. On a un truc pour les encas sur la route avec Adrien, les barres protéinées. Sur ce voyage on a découvert les barres de chez Koro, une marque vegan, mais surtout un allié de poids pour les voyages de ce type, c’est petit, donc prend peu de place dans le sac et cela apporte suffisamment d’énergie pour poursuivre la route entre deux arrêts. Pour s’hydrater et prendre un petit shoot de sucre nous avions les toutes dernières créations de Good Vie, une marque française qui fait des kombuchas aromatisés aux fruits, ce sont que des bons produits dedans et c’est véritablement désaltérant.

Article écrit par Adrien Barthou et Alexis Dumétier

Vidéo réalisée par Alexis Dumétier et Adrien Barthou

Merci à BMW mottorad France, Triumph France, ainsi qu’à Bering et Nolan, mais aussi Superdry, Timberland eyewear, Adidas eyewear, Newman.

https://www.triumphmotorcycles.fr/bikes/adventure/tiger-1200
https://www.bmw-motorrad.fr/fr/modeles/adventure/r1300gs.html?gad_source=1&gclid=CjwKCAjwrIixBhBbEiwACEqDJbyo_6QLoHkZ4AqprR0iGVOllZw76lVwQqZXASoyd-x8lKBNI1_TCRoCjPgQAvD_BwE
https://bering-moto.com/fr_FR/products/austral-gore-tex-btv89-eu
https://nolan-helmets.com/fr_FR/products/x-1005-ultra-carbon-u15-eu
read more
ArchivesLifestyleMagazine

Road Trip en Low Rider ST 2023

Un road trip avec la Harley Davidson Low Rider ST 2023

C’est avec la Low Rider ST de chez Harley Davidson, version 2023 que la team Blake c’est lancée dans un road trip de Paris jusqu’à Barcelonnette, en passant par le Morvan et les cols de Savoie. Une route de 2100 km pour tester et découvrir la nouvelle mouture de la Low Rider ST, en grey pearl.

La Low Rider ST, de 2023 c’est un V-Twin, le Milwaukee-Eight 117, de 1923 cm pour un couple de 168 Nm, qui arrache fort les 327 kilos de la bécane. Une moto conçue pour la route, avec son assise confortable et son saute vent bien large qui protège bien le haut du corps, mais pas la tête. A la première vue on adore ce nouveau coloris grey pearl, qui en jette, et qui lui donne un look moderne, le noir mat de la partie mécanique et échappement renforce ce sentiment avec quelques touche de chrome pour garder l’esprit Harley. Cela en fait une moto bien inscrite dans son époque, ce qui est sûr c’est qu’on la remarque, au feu ou même depuis le bord de la route, beaucoup vous arrête pour en parler. Fini les gros compteurs, ici a été préféré un compteur digital discret mais complet.

La position

La position de conduite est plus confortable que ce que l’on imagine, les bras légèrement en l’air reposent sur le guidon, on se laisse porter. L’assise est très large, bien rembourrée et légèrement relevée sur l’arrière pour bloquer le bas du dos. Les cales pieds sont bien larges et épais. Même si à la longue on se sent un peu plié entre deux positions, cela est modéré par la possibilité d’activer le cruise contrôle qui permet de garder la vitesse de la moto et donc de lâcher la poignée des gaz, très reposant sur les trajets de plusieurs centaines de kilomètres.

Le comportement routier

La Low rider ST, lourde de ses 327 kilos, est très stable et avale les kilomètres avec aisance. La souplesse de son amortissement lui permet de vous faire vivre les irrégularités de la route comme sur un gros chewing gum bien moelleux. Ce qui permet de vivre des centaines de kilomètres journalier avec facilité. Au final elle est plutôt agile dans les virages et même les épingles quand, avec le temps on ose plus la lancer dans les courbes et jouer des fesses pour la faire dandiner et “attaquer” les virolos. Son couple monstrueux lui permet une très belle reprise en sortie de virage, qu’il faut même modérée si l’on ne veut pas partir à plat.

Le freinage

La moto est lourde mais freine pas si mal que ça avec son étrier avant 4 pistons. De prime abord c’est mou et long pour freiner : au moment où on prend les freins la fourche avant s’écrase avec beaucoup de souplesse, et donne le sentiment que le freinage est délayé, les petits disques avant et les 327 kilos de la moto du coup font peur et pourtant l’abs est très bien géré et la moto se freine vraiment. A la longue, on apprend à la freiner avec plus d’intention et de fermeté.

Le train de pneu :

La Low Rider ST 2023 possède en sortie de concessionnaire un train de pneu Michelin fait pour Harley. Il offre une belle tenue de route et à un comportement agréable sous une grosse averse, en gardant un bon comportement d’adhérence et au freinage.

Les sacoches

Partir en road trip durant 9 jours cela impose d’emmener du change, une tenue pluie qui prend beaucoup de place, et du matériel de prise de vue : gopro, caméra, drone, objectif,…un sac à dos finalement aura permis de tout emmener. Mais les sacoches rigides ont bien aidé. Le Low Rider ST est fourni avec une paire de sacoches de 53,8 litres de contenance appartenant au Sport Glide. Ces dernières sont placées plus haut afin qu’elles ne touchent pas lors des fortes prises d’angles. Elles sont en plus bien pratiques avec leur ouvertures en portefeuilles qui permettent un accès facile. Cependant 53,8 litres cela semble beaucoup et en pratique cela se remplit bien plus vite que ce que l’on imagine.

La vieille Auberge du Lac, dans le Morvan

Un road trip c’est aussi de belles haltes. Le Morvan est vaste et riche de multiples lieux pour vous reposer entre deux sessions de roulage. Mais si on doit vous suggérer un endroit qui vaut le détour, c’est bien cette auberge. Elle n’a de vieille que le non et les pierres, car son équipe familiale est jeune mais surtout a pour amour l’hospitalité et le bien être de ses hôtes. Le restaurant propose une belle terrasse et une cuisine bistrotière réconfortante et maison. Des chambres bien faites, propres et bien équipées. Et pour les motards une possibilité de garer les motos dans un garage fermé, comble du luxe.

Casque Shark Helmet Skwal i3 :

C’est le tout dernier né de la marque française de casque moto, avec une technologie extra celle de leds intégrées pour être mieux vue la nuit. Des leds ont été intégrées au casque devant et derrière avec beaucoup d’élégance, cela donne au casque un côté cyberpunk que l’on a adoré mais surtout offre une option supplémentaire pour être vue et cela n’est pas indéniable pour les deux possesseurs de 2 roues. Le gros plus de ce système intégré c’est qu’il est très performant car en plus de fonctionner en constant, ou en alternant clignotant, sur l’arrière du casque il va s’illuminer plus fort au moment des freinages, même au frein moteur ce qui est très appréciable, puisque la moto elle n’a pas son voyant de frein qui s’allume dans ces moments la. De plus le casque possède une double visière fumé pour se protéger du soleil, cette visière descend bien bas sur le nez, et ça c’est top. Très confortable, on notera qu’il est un peu bruyant. Pour ce qui est du poids c’est raisonnable mais on a hâte d’une version carbone allégée.

Gant Segura :

Cela fait partie de la loi française, en deux roues motorisé il faut un casque et des gants. Segura propose des gants d’été, court notamment, très élégant et un brin vintage : cuir, recouvert de nubuck brun, parfait pour l’été, la main respire bien dedans mais on est aussi protégé en cas de légère pluie fine. Ici les modèles sont les Stoney pour le rétro/chic.

Gant Bering chauffant :

C’est un road trip d’été mais tout le monde sait que l’été il peut y avoir de grosses averses surtout en montagne et ce tour en moto n’y a pas échappé. Nous étions heureux d’avoir avec nous les Bering Breva Primaloft®, le gant est chaud sans rendre la main complètement moite en quelques minutes, ce qui signifie qu’il est aussi respirant, il propose 4 niveaux de chauffe pour être efficace jusqu’à 8 heures. Largement suffisant pour les journées de roulage donc. Le test fut hyper concluant, même sous une très grosse averse nos mains sont restées sèches et le plus c’est que le gant sèche bien  et plutôt vite, après l’averse. La sensation de chauffe est plutôt diffuse sur la main ce qui est très agréable, pas de sensation de point chaud. Et le gros bouton sur le dessus du poignet rend l’ accès au réglage de chauffe facile en conduisant. On l’adopte pour l’hiver du coup.

Chaussure Segura et Bering

Nous avons testé deux modèles de chaussures types basket montantes, l’une de chez Bering, waterproof, BASKET SKYDECK Grise et pour le temps plus clément les BASKET GREEZ MARRON de chez Segura. Faites sur la même base, de protection de malléole, d’avant de pied légèrement renforcé et d’une semelle rigide mais sans barre anti torsion, ces chaussures sont faites pour vous protéger et vous permettre d’évoluer hors moto en étant à l’aise et avec un look urbain. Le zip latéral permet de les mettre et les retirer facilement, le laçage assure un maintien parfait. Prévoyez de prendre une pointure au-dessus de la vôtre, histoire de confort. Elles passent inaperçues hors moto, et sont assez renforcées pour assurer les passages de vitesse sans le rendre fatigant ou sensible sur les longs roulages. Pour la paire de Béring waterproof, les Skydeck, elles sont vraiment waterproof, la grosse averse d’été de plus d’une heure n’a pas eu raison d’elle, et nos pieds sont restés bien secs, c’est validé. Nous les recommandons.

Segura et Bering sont des marques historiques moto pour les tenues qui savent se fondrent dans le milieu urbain tout en garantissant une protection en cas de chute et les nouvelles technologies assurent finesse et discrétion à des renforts de plus en plus performant : dorsale fine mais robuste, renfort d’épaules, de coudes, de genoux et de hanches.De plus les matériaux offrent de l’ élasticité aux pantalons et cela pour la position du motard c’est appréciable, et cela sans enlever de la robustesse en cas d’abrasion. Le plus des pantalons c’est aussi d’avoir intégré un tissu qui est déperlant parfait pour les ondés matinales.

Du coup on peut porter un pantalon, type jean, ou encore un type cargo qui ont du style quand on est au bar, ou en ville, ou en soirée, tout en étant protégé sur la moto. Ici modèle Segura PANTALON UZY NOIR, et le modèle Bering PANTALON RICHIE KAKI. Pour le manteau nous avons opté pour un Segura très esprit Harley, BLOUSON FERGUS KAKI, plein de poches très pratiques pour un road trip, notamment celle sur la manche pour la carte bleu pour les passages aux péages, une fois la doublure retiré il est parfait pour l’été, sinon il fait l’affaire en demi-saison, résistant à la pluie il n’est pas prévu pour les grosses averses et sèche doucement. Un blouson hyper pratique pour le beau temps.

Une montre pour les road trip aventureux : La mudman de Gshock

Pour nous accompagner sur ce road trip nosu avons choisi la dernière née de Gshock : la Mudman GW-9500-1, elle intègre un écran LCD double couche ainsi qu’un triple capteur, fournissant des relevés d’altitude, d’orientation, de température et de pression barométrique directement à votre poignet. Sa structure Carbon Core Guard offre une robustesse, une résistance et un confort exceptionnels, parfait pour les road trip, elle ne craint ainsi ni la pluie, ni la boue, ni le sable, bref elle est faite pour toutes les situations. Grâce à l’énergie solaire radio-pilotée, vous bénéficiez d’une indication précise de l’heure alimentée par la lumière, et le système Super Illuminator assure une visibilité optimale même dans les environnements sombres.

Le plus de cette montre c’est son engagement écologique : le boîtier, la lunette et le bracelet en uréthane sont fabriqués à partir de résines bio dérivées de ressources naturelles renouvelables. Pour que la batterie puisse fonctionner entre 6 et 26 mois, en fonction de votre utilisation, un système Tough Solar convertit la lumière du soleil en charge pour la cellule interne de la batterie.

A Barcelonnette, c’est l’Hôtel Azteca :

L’aboutissement de notre voyage est Barcelonnette, un point de départ pour deux jours de roulage sur les cols de Savoie. Une petite ville avec une vie animée sur son centre et sa place entourée de bars et de restaurants. Avec l’été on peut même y vivre des concerts de jazz et des soirées DJ. Nous avons posé nos bagages à l’Hôtel Azteca, notamment car il dispose d’un parking privé couvert, précieux pour les motards.

Mais son gros atout est son équipe toute jeune et féminine, très professionnelle et attentionnée. Les chambres sont bien entretenues, la literie de qualité, les salles de bain sont très agréables, la propreté impeccable. Le petit déjeuner est comme il faut, il se prend au rez de chaussé dans un cadre réconfortant : pains bio, confitures et miel de la région, fromages, charcuteries tout est local. Parfait pour attaquer la journée sur les cols. Le petit plus, le spa, pour ceux qui le souhaite un service de massage est disponible.

Parfum Olibanum Cuir végétal :

Être motard c’est aussi prendre soin de soi, un parfum c’est important, et pour rester dans un univers cohérent avec la moto, nous vous proposons cette création de Olibanum, aux notes de cuirs certe mais végétal, donc plutôt un cuir léger délicat, animal mais pas trop…

Casque Beats Pro blue Marine :

Quand on voyage on aime se poser aussi pour admirer les paysages, se reposer, et en amoureux de la musique on ne pouvait pas ne pas emmener de casque audio. Mais voilà en moto la place est comptée, donc il fallait trouver un casque pliable mais qui ne sacrifie pas la qualité d’écoute et permet de s’isoler au maximum une fois sur les oreilles.

On a opté pour le tout dernier de Beats by Dr Dre, le Beats Studio Pro. Bien que ce soit un casque pliable, les écouteurs sont assez larges et isolent bien l’oreille de l’environnement extérieur, il est en plus capable avec son système ANC revu de vous mettre dans une bulle qui vous coupe quasiment totalement de l’extérieur et en un geste vous reconnecter avec l’entourage. Son autonomie revue à la hausse offre jusqu’à 40 heures d’écoute, ce qui est très appréciable en voyage. La qualité du son est toujours présente, avec de belles basses mais sans être autant processée qu’au début et pour écouter tout type de musique cela est très appréciable. Le son est propre sur un large spectre de fréquences même quand on pousse la puissance d’écoute, la nouvelle techno incorporée au casque Studio Pro fait très bien le travail. Un très bon produit Hi Fi pour les travellers.

Une belle table : Autour de l’âtre

Un road trip sans une belle adresse de restaurant ce ne serait pas complet. Alors voici notre pépite pour ce voyage de Paris à la Savoie : Autour de l’Âtre, tenu et créé par Gabriel Guimebault, sommelier et aujourd’hui cuisinier, mettre des flammes de son âtre. Tout d’abord cette table campagnarde, se mérite, se trouve, se découvre, au confin de petits vallons et de vignes du Jura. On arrive alors dans ce lieu intime, au beau volume, avec une cuisine ouverte sur une salle aux tables bien séparées et à son âtre qui est en majesté. Le lieu dégage beaucoup de douceur et de tranquillité comme son propriétaire.

Gabriel aime avant toutes choses l’hospitalité, le recevoir, le savoir servir et emmener ses hôtes sur un chemin gustatif et organoleptique dont ils se fait le guide. Car à Autour de l’âtre on se laisse emmener par le Chef sur les produits du terroir et de la saison, une très belle carte des vins avec un accent sur la nature. Une excellence des goûts jusqu’au café !

Article réalisé par Adrien Barthou et Alexis Dumétier

Un road trip moto pour le mettre en image il faut être accompagné c’est mieux.

Vidéo et photo : Adrien Barthou et Alexis Dumétier

Stylisme : Segura, Bering, Supreme, Stetson, Flibustier, Thomas Sabo, Jimmy Fairly, Monsieur Blanc

read more
ArchivesBlogLifestyleMagazine

Tankmachine revisite la dernière BMW R18

Nous avons pu découvrir la nouvelle création de Clément Molina (patron et créateur de Tankmachine) pour BMW sur la base de la toute dernière BMW R18 et on a faillit repartir avec, car nous sommes littéralement tombé sous le charme.

Avec son partenaire HorizonRide (concessionnaire BMW à Paris), Clément Molina s’est approprié cette nouvelle R18 avec ce moteur boxeur iconique. La BMW R18 a tout de suite inspiré Clément, ravi de modifier cette “machine“ à sa façon, en y apportant un aspect plus “brutal“, révélant ce côté un peu plus musclé de la moto avec un certain charisme.

La BMW R18 est un Bobber raffiné équipé du plus gros moteur boxer jamais fabriqué par la marque, un 1800cm3 développant 91ch et 150 Nm de couple entre 200 0 et 4000tr / min . Elle est dotée d’un pneu arrière plus large, avec l’élargissement de la jante arrière en 240 de large, d’un garde-boue sur dimensionné, d’un train avant radicalement différent et de jantes à rayons sur – mesure en 18 pouces.

La « patte » de Clément Molina a permis au Big Boxer de se mettre sur l’avant de la scène, cela lui donne un look assez radical.

 

Une fourche Öhlins inversée complète cet engin ainsi qu’un système de freinage Beringer, une sellerie suspendue pilote avec option selle passager, un guidon Drag Bar sans oublier la réalisation d’une ligne d’échappement Jekill & Hyde sur mesure.

Une mention spéciale pour l’optique à LED avant les les embouts de guidon à LED également qui servent de clignotant.

 

Une très belle réussite avec des finitions soignées faite pour cruiser calmement en ville ou sur des petites routes.

 

 

Pour s’offrir ce bijou, fait spécialement à la commande et exclusivement chez HorizonRide, il vous faudra débourser la modique somme de 59 750 euros, mais ce qui est rare est cher et la beauté n’a pas de prix!

 

HorizonRide – 49 avenue de la Grande Armée – 75116 Paris – www.horizonride.fr

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Plaisir de lire – nos livres découvertes

La lecture c’est un plaisir, c’est l’évasion. C’est l’occasion d’apprendre et de se cultiver. De découvrir ou redécouvrir, ou même d’approfondir un sujet qui nous passionnent. C’est bientôt Noël et c’est l’occasion ou de se faire offrir le livre ou les livres qui nous font envie!

Cinéma, musique et modèles de collection, American Freedom Machine explore comment Harley Davidson a créé un style de vie à part entière et s’est imposé au fil du temps comme symbole de la culture populaire. Véritable hommage à Harley Davidson, ce livre fera voyager les fans à travers plus de 100 ans d’histoire.

 

Pour un dépaysement total, ce livre aux couleurs vitaminées sur Capri et la Dolce Vita. Mieux qu’un simple lieu de villégiature, c’est un Art de vivre.

Pour les amateurs, les passionnées ou les curieux, voici l’anthologie du genre. C’est sans conteste le livre de référence pour les amoureux du cigare et le plaisir de les fumer!

Construit à partir des archives photographiques de la compagnie, ce livre présente des documents d’une grande valeur dont nombre sont dévoilés pour la première fois. Si le célèbre roman d’Agatha Christie, Le Crime de l’Orient Express (1934), consacre sa cristallisation mythologique, les coulisses du train légendaire ne sont pas moins fascinantes : des cuisines aux ateliers, des blanchisseries aux majestueux hangars où reposent les trains prêts à partir.

Comment fonctionne notre métabolisme ? Et comment optimiser son capital santé ? Révolution Cétogène dresse un tour d’horizon à 360° de l’alimentation cétogène pour rendre ce mode de vie accessible au plus grand nombre. Manger pour soigner sa santé tout en se faisant plaisir. Pour réaliser cet ouvrage, Pauline Bley, directrice éditoriale de Caliopea, a fait appel à la blogueuse et youtubeuse Johanne Cammarata (Superketo.fr) et à Nora Tellis, deux coachs en alimentation cétogène fédérant d’importantes communautés.

Loic Prigent revient avec un nouvel opus compilant les petites phrases entendues dans le milieu de la Mode, et c’est aussi hilarant que le premier! A dévorer sans modération!

Il s’agit de la première monographie officielle consacrée à MSGM, fondée à Milan en 2009 par Massimo Giorgetti, l’une des marques de mode les plus encensées à travers le monde, mais aussi l’un des plus étonnants succès à avoir émergé de l’Italie cette dernière décennie. Avec ses 375 pages, ce volume retrace l’histoire de la marque au cours des 10 dernières années, suivant un flux instinctif, non conventionnel, fidèle à son ADN.

Buccellati, Fabergé, Harry Winston, Boucheron, Garrard, Lalique, Tiffany, Piaget, Bulgari, Fred, Mauboussin parvinrent à mêler l’élégance discrète, le raffinement, le goût de l’innovation, le design, à des techniques de plus en plus sophistiquées. À travers la saga de ces quinze maisons magnifiques, Bertrand Meyer-Stabley, longtemps journaliste à Elle, et Laurence Catinot-Crost, historienne, nous racontent l’histoire des joyaux les plus mythiques.

Vous avez parfois du mal à vous projeter dans le parfum d’un « homme authentique et vrai », « dans toute sa puissance », « hédoniste et flamboyant » qui « n’obéit à personne sauf à ses fantasmes » et « s’affranchit de tout code » ? Alors ce livre est fait pour vous. Un bréviaire pour trouver son prochain parfum, en découvrir de nouveaux ou simplement enrichir sa culture olfactive sur l’histoire du parfum pour homme et sa savoureuse diversité, à l’image d’un genre en pleine réinvention.

Réalisé en étroite collaboration avec Paul Smith, légende du design britannique, les éditions Phaidon publient en octobre prochain Paul Smith. Cette nouvelle monographie est un concentré de l’esprit unique de Paul Smith, le légendaire créateur de mode britannique.

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Metropolis 400i Allure le nouveau 3 roues de Peugeot

 

PEUGEOT sort cette année une “nouvelle“ mouture de son tricycle Metropolis, le Metropolis 400i Allure. C’est La troisième génération de Peugeot Metropolis.

le Métropolis est un trois roues donc, ce qui rend ce véhicule gros cube accessible au détenteur du permis B et après 7h de formation.

Un Nouveau design

Le design de la carrosserie a été revue et c’est très bien exécuté, notamment sur l’avant qui s’affine et semble plus racé. La machine reprend un coup de modernité avec la peinture bleu canard (Amazonite Satin Blue) effet métallisé mat, qui est du plus belle effet.

Peugeot a doté son 400i d’optiques à Led en forme de griffes sur l’arrière du véhicule à l’instar des automobiles de la marque au lion, pour les optiques de l’avant elles sont puissantes et efficaces.

L’instrumentation du tableau de bord a été modernisée : elle conserve des aiguilles mais intègre un nouvel écran numérique en couleur bien lumineux qui est repris des voitures de la même marque.

Ce Metropolis 400i possède une connexion Bluetooth pour communiquer avec son téléphone via une application Peugeot Motocycles spécifique. Il est alors possible de lire une partie des SMS, l’affichage des appels au tableau de bord et d’afficher des flèches pour la navigation par GPS. Une boîte à gant (bien profonde) sur le côté du guidon permet de mettre le téléphone portable et est doté d’une prise USB bien pratique pour charger notre mobile.

Petit plus non négligeable : une clef dite main libre, une fois dans la poche elle vous permet de démarrer le véhicule à la main.

La mécanique

Le Metropolis 400i répond aux normes antipollution Euro 5, du coup sa puissance a été légèrement réduite (de 37 à 36 ch) et la valeur de couple maximum s’obtient à 5750 tr/mn avec 38 Nm. A cela s’ajoute une prise de poids de 3 kg et pour reculer le véhicule une fois assis dessus cela n’est pas négligeable, il est un peu pataud.

La prise en main

L’assise est confortable et le petit dosseret conducteur est parfait pour caler le bas du dos.

On est assis bien droit, les pieds à plats derrière une bulle réglable manuellement (on aurait pas dit non à une commande électrique) qui est un peu juste pour les conducteurs dépassant le mètre 75 (je fais 1’80 et même en position haute on prend le vent de plein fouet, mais il existe en option une bulle plus haute).

D’ailleurs la place pour les jambes du conducteur est correcte mais aurait pu proposer une possibilité d’allonger les jambes sur le côté pour les plus grands.

Le Metropolis 400i s’avère très vite maniable et on lui fait facilement prendre de l’angle ou se faufiler entre les voitures (toute proportion gardées bien sur). Pour le passager la selle reste confortable et les repose-pieds sont bien large et sécurisant.

les performances

L’accélération peut être soit douce soit plus franche si on met la poignet bien dans le coin, les reprises sont rassurantes et la vitesse de pointe est de 140 km/h (au compteur).

La partie cycle est bonne est je me suis surpris à laisser le scooter rouler sur l’élan de son acceleration, on en oublierai presque le poids du véhicule. Par contre le système de suspension est très ferme, trop même et vous sentirez toutes les aspérités de la route. Petit point bonus pour les ralentisseur à attaquer très doucement sans quoi vous allez taper fort et la machine et votre dos.

Le freinage ABS est bon en tout temps, et déclenche les warnings automatiquement en cas de freinage d’urgence. Les disques qui ne sont pas de grandes tailles ne sont pas fait pour de gros freinages ou une conduite “sportive”. Le Metropolis 400i est un tricycle de ville qui se conduit tranquillement. Il possède l’antipatinage qui garanti une bonne motricité du pneu arrière même sur le mouillé.

La consommation

Peugeot annonce 5,4 l/100 km. Lors de notre roulage sur Paris et sa région nous avons constaté une oscillation entre 5,4 et 6,0 l/100 km de moyenne.

Les rangements :

Deux coffres sont accessibles sur le Metropolis 4O0i : celui de l’arrière permet de ranger un casque intégrale et celui sous la selle permet de ranger un petit sac à dos…on aurait aimé avoir plus de place pour le rangement pour un scooter d’un tel gabarit.

À l’avant 2 vides poches et une boîte à gant permettent de se delester le temps du trajet car ces dernières ne peuvent pas être verrouillées. Un choix de la marque légitime face aux trop nombreux vandalisme constatés sur ces vides poches.

Le prix

Le Peugeot Metropolis 2020 est proposé à partir de 9000 € en finition Active et c’est 700 € de plus en version Allure. Ce qui ajoute la connexion Bluetooth, une prise USB (au lieu de 12V), un tapis de coffre, des embouts de guidon chromés, des rétroviseurs spécifiques ou encore des jantes noires et brillantes. Un tarif élevé.

 

On a aimé :

-La partie cycle

-Assise conducteur et passagé

-La prise en main

-Finition soignée et clef main libre

 

On a pas aimé :

-Suspensions trop fermes

-Coffre peu profond

-Coût d’achat

 

Fiche technique :

Moteur : Monocylindre 4V à refroidissement liquide

Cylindrée : 399 cm3

Puissance : 36 ch à 7 250 tr/mn

Couple : 38,1 Nm à 5 750 tr/mn

Poids tous pleins faits : 271 kg

Hauteur de selle : 780 mm

Capacité du réservoir : 13,5 litres

Consommation moyenne annoncée : 3,9 l/100 km

Consommation moyenne de l’essai : 6,0 l/100 km

 

Prix : 8999 € en Active et 9699 € en Allure – www.peugeot-motocycles.fr

Article écrit par Alexis Dumétier

 

read more
ArchivesMagazineNews de Mode

DIESEL & ALPINESTARS, la collection capsule

DIESEL est fier d’annoncer sa nouvelle collaboration avec Alpinestars ; le géant italien de l’équipement spécialisé pour les courses autos et motos.
Ce partenariat se dévoile au travers d’une mini-capsule, accompagnant la sortie de la collection Automne/Hiver 2019.
Multiples sont les raisons qui ont amené à une telle collaboration. DIESEL n’a cessé de s’inspirer de l’univers des courses de motos, depuis les années 1980, lorsque la marque sponsorisait diverses rencontres sportives.
Quelques décennies plus tard, la marque est toujours habité par cette même passion pour le racing, allant de ses partenariats – tel que celui avec le légendaire constructeur de motos italien Ducati – jusqu’au design de ses multiples collections (dernièrement, la SS19 réinterprétait les codes esthétiques du monde du racing).


L’adrénaline, l’instinct, le courage et la bravoure sont autant d’émotions communes au domaine sportif et à l’éthique de DIESEL. C’est pourquoi la marque s’est naturellement trouvée galvanisée par cet univers et ce durant quatre décennies.
En s’associant avec une entreprise italienne comme Alpinestars, dont la renommée et l’expertise l’ont positionnée en leader dans son domaine, DIESEL insuffle un renouveau artistique et créatif dans sa collection Automne/Hiver 2019, tout en rendant hommage aux racines des deux entreprises et en renforçant leur unicité et leur variété avec toujours le même objectif, satisfaire le client avant tout.

La capsule se compose de : 2 vestes en cuir pour hommes inspirées des archives des deux marques, incluant des détails et empiècements en cuir rappelant les logos des sponsors (réinterprétées toutes deux avec l’iconographie DIESEL) ; et une veste de motard pour hommes associée à un pantalon en cuir. L’équivalent féminin se traduit par une veste motard en cuir assortie à une mini-jupe en cuir. De plus, pour compléter la capsule, des pulls, des t-shirts, une casquette et une paire de chaussures rappelleront l’atmosphère si particulière de l’univers des sports mécaniques.


Pour impliquer les publics existants et nouveaux, DIESEL et Alpinestars ont collaboré avec des talents de la communauté motocycliste. L’objectif est de célébrer et de mettre en lumière l’engagement de DIESEL et d’Alpinestars dans cette discipline, ainsi que leur passion commune pour une compétition audacieuse et à haute performance.

La collection sera disponible en Août dans une sélection de magasins DIESEL à travers le monde et sur diesel.com

read more
ArchivesBlogLifestyleMagazine

La nouvelle Iron 1200 de chez Harley-Davidson

L’Iron 883 de Harley-Davidson fait partie des Sportster les plus réputés et les plus vendus. Avec sa silhouette d’Easy Rider à coup sûr, on se prenait pour un biker. Le succès des ventes de la 883 est suffisant pour qu’on se demande pourquoi il n’a jamais eu un grand frère.

C’est chose faite par Harley-Davidson  avec ce nouveau 1200 Iron. Le Sportster est un peu relooké pour la prise de puissance et gagne en style.

Cette 1200 offre un plus de puissance pour à peine plus cher. Le moteur est le fameux V-Twin 1200 Evolution, cher à la marque. Il apporte du couple (+36% vs. le 883). Avec quasiment 10 mkg de couple atteint à seulement 3500 tours, le twin Evolution balance 36 % de power en plus. C’est aussi 66 chevaux supplémentaires, soit 15 de plus que l’Iron originel.

Question look, la petite casquette a été remplacée par un saute-vent minimaliste. Harley a choisi de poser, de série, un guidon mini-ape. Et pour ce qui est de l’assise, on gagne une selle avec un petit dosseret qui soulage les lombaires … un peu … et on garde la pureté du plaisir solitaire car la Iron 1200 reste une moto une place.

L’Iron 1200 de Harley-Davidson est disponible en noir classique, en blanc et en rouge foncé. Plaisir de la modernité, le système de démarrage sans clé et l’ABS sont de la partie. Heureusement que l’ABS est de série car le disque mono à l’avant est pas toujours rassurant dans les situations où il faut freiner fort … mais en Harley on cruise, on pilote pas.

Les finitions moteur sont toutes de noir mat vêtues. Harley reste dans sa ligne de modernisation de sa ligne. Le double échappement noir mat est magnifique et le garde boue avant a des petites ajournements ronds qui apportent une touche d’élégance. Le modèle en test avait une couleur lie de vin magnifique de profondeur avec le saut vent noir, on se prend vite pour un type de la bande de Sons of Anarchy. Le look Iron ce sont aussi ses jantes à bâtons, noir mat également. La jante avant est de 19 pouces et 16 à l’arrière, histoire de marquer l’aspect Bad Boy. La capacité du réservoir qui semble petit sur l’Iron 1200 grimpe à 12,5 l presque 4 litres de plus que la 882. Ce qui permettra de faire un peu plus de 200 km en roulant en respectant la loi.

La Iron 1200 n’est pas une routière de toute manière. C’est une moto pour flâner, se balader en ville, faire de petites routes ou un petit bout d’autoroute (mais petit alors, car il faut tenir la demoiselle qui, passé le 110, se dandine un peu). On a envie de mettre un bandana sur le nez et de belles lunettes de soleil aves un cuir marqué et des grosses boots vintage. Plus qu’une moto, c’est une aventure, un moment “jeu de rôle” où l’on se surprend à se croire membre d’un gang de motard, en entendant un bon gros riff de guitare très rock en bande son.

Prix : Couleur 10 765 € et Couleur deux-tons custom 11 755 €

FICHE TECHIQUE:

Moteur:

  • Moteur2 Evolution™, refroidissement à air
  • Alésage 76,2 mm
  • Course 96,8 mm
  • Cylindrée 883 cc
  • Taux de compression 9:01
  • Circuit de carburant Injection électronique à port séquentiel (ESPFI)
  • Échappement Collecteur d’échappement et silencieux noirs

Dimensions :

  • Longueur 2 185 mm
  • Hauteur de selle, sans charge 760 mm
  • Garde au sol 140 mm
  • Angle de l’axe de direction (colonne de direction) (deg) 30
  • Chasse 117 mm
  • Empattement 1 515 mm
  • Pneus, spécifications avant 100/90B19 57H
  • Pneus, spécifications arrière 150/80B16 77H
  • Capacité du réservoir de carburant 12,5 l
  • Capacité d’huile (avec filtre) 2,6 l
  • Poids (à l’expédition) 247 kg
  • Poids (en marche) 256 kg

Performances :

  • Méthode de test du couple moteur EC 134/2014
  • Couple moteur3 73 Nm
  • Couple moteur (tr/min) 4 750
  • Angle d’inclinaison, droit (deg) 27
  • Angle d’inclinaison, gauche (deg) 28
  • Méthode de test de la consommation de carburant EU 134/2014
  • Consommation de carburant 4,8 l/100 km
  • Méthode de test des émissions de CO2 EU 134/2014
  • Émissions de CO2 111 g/km CO2

 

 

Article écrit par Alexis Dumétier

Merci à Adrien Barthou et Sylvie Mira-Morlière

 

 

read more
ArchivesEditoMagazine

Bonnie & Clyde

Photographe: Alexis Dumetier @alexispicturemaker

Style: Hervé Godard @blake_mag

Make-up: Gabriella Leconte

Mannequins: Fanny Beladona – fanny-beladona.book.fr / Julien – https://blakemen.com/model/julien-c

Remerciements: Harley-Davidson pour la moto

Fanny: blouson Jitrois lingerie Maison Close bottes Harley Davidson bijoux Flibustier
Julien: blouson OneCulture jean Tommy Hilfiger boots San Marina lunettes Prada bijoux Thomas Sabo.

 

 

Julien: debardeur Zara Man jean Levis boots San Marina bijoux Thomas Sabo

Fanny: blouson Jitrois lingerie Maison Close bottes Harley Davidson bijoux Flibustier

Fanny: top resille et lingerie Prima Donna jupe Jitrois chaussures Minelli bijoux Flibustier et Thomas Sabo
Julien: blouson chevignon jean Diesel boots San Marina bijoux Thomas Sabo

Fanny: blouson Jitrois lingerie Maison Close bottes Harley Davidson bijoux Flibustier – Julien: blouson Harley Davidson debardeur Zara Man jean Levis bijoux Thomas Sabo

Fanny: -top Ateliers de la Maille short en jean Marlo chaussures Minelli bijoux Thomas Sabo.
Julien: veste longue sans manches Benetton jean Tommy Hilfiger sneakers Bikkenbergs

Fanny: top resille et lingerie Prima Donna jupe Jitrois chaussures Minelli bijoux Flibustier et Thomas Sabo
Julien: blouson chevignon jean Diesel boots San Marina bijoux Thomas Sabo

Julien: blouson Jitrois teeshirt Harley Davidson jeans Tommy Hilfiger sneakers Bikkenbergs bijoux Thomas Sabo

Fanny: blouson Jitrois lingerie Prima Donna bijoux Thomas Sabo & Flibustier
Julien: blouson Jitrois jeans Tommy Hilfiger sneakers Bikkenbergs bijoux Thomas Sabo

 

 

 

 

 

 

 

 

 

read more
ArchivesBlogNews de Mode

LA GARCONNNIERE // MOTORCYCLE CLUB

En Mai, La Garçonnière vous invite à découvrir sa thématique « motorcycle club », un petit concentré de Bonheur pour les amateurs de motos rétro, et d’un lifestyle mêlant liberté et grosses cylindrées.

Côté marques, Tendance Roaster par Royal Enfield, Kytone, Iron and Resin, Feuille 2 route, Malle London, Alaskan makers et Champ de Manoeuvre rentrent en boutique pour l’occasion, avec une offre de vêtements et d’accessoires, épaulés par notre sélection de bouquins traitant de la moto, de whiskys pour se réchauffer à l’étape du soir, et de Vinyls très Rock’n’roll pour prolonger l’expérience.

«La Garçonnière Motorcycle club»

Corner Thématique Du 16 mai au 30 juin

A la Garçonnière – 40 rue des petits carreaux
75002 Paris

read more