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Toutânkhamon, l’expérience immersive

Toutânkhamon, l’expérience immersive pharaonique est une opportunité unique de rejoindre
l’équipe d’Howard Carter à la découverte du trésor funéraire du pharaon au destin tragique et de
dénouer les fils du mystère entourant la vie et la mort de Toutânkhamon.

Toutânkhamon, l’expérience immersive pharaonique est une aventure ludique et pédagogique pour
toute la famille ! Au sein d’une reconstitution du tombeau du pharaon Toutânkhamon, sur une surface de
3.000 m2, les apprentis explorateurs démarreront cette expédition immersive depuis la tente du
célèbre explorateur anglais Howard Carter, découvreur de la tombe. Armés d’un plan du tombeau et d’énigmes à résoudre tout au long du parcours, ils traverseront l’Antichambre, l’Annexe puis la Chambre funéraire où ils découvriront le précieux sésame pour enfin accéder au Trésor, l’ultime pièce abritant le reste des objets inestimables du tombeau.

Elle présente plus de 1.000 pièces et objets exceptionnels trouvés dans la tombe du pharaon méticuleusement reproduits à l’identique. Ces répliques ont été reconstituées dans les Ateliers du Musée du Caire sous la direction du Docteur Atef Abdel Shafi par des artistes et artisans égyptiens pendant six ans. La découverte du trésor est accompagnée d’une projection cartographique monumentale de 200 m2 qui illustre le voyage mythologique de Toutânkhamon dans l’Au-Delà. Une odyssée pour les yeux et l’âme qui promet d’offrir aux petits et grands un moment d’une magie exceptionnelle. Cette reconstitution immersive offre une opportunité unique de vivre une aventure archéologique authentique, pédagogique et ludique, qui invite à la curiosité et à la connaissance.

Archéologue et égyptologue, Bénédicte Lhoyer est conseillère scientifique de Toutânkhamon, l’expérience immersive pharaonique. Chargée de cours à l’École du Louvre et chargée de projet au musée
de Picardie (Amiens), elle participe également à des fouilles en Égypte et au Levant. Elle a déjà été conseillère scientifique de l’exposition Ramsès et l’Or des Pharaons (2023).
«Je suis ravie de participer à cette aventure immersive qui offre au plus grand nombre l’opportunité
de pénétrer dans le tombeau mythique de Toutânkhamon. Mon rôle consiste à apporter mon
expertise scientifique dans la reproduction du tombeau et de la fouille d’Howard Carter, veiller à la
cohérence de la présentation mais aussi apporter un souci de véracité à travers les répliques exceptionnelles présentées. Ce trésor et le destin tragique de ce pharaon ne peut que passionner les
foules !
», déclare Bénédicte Lhoyer.

Photos : ©Francis Barria

LES GALERIES MONTPARNASSE – 22, RUE DU DÉPART 75015 PARIS
MÉTRO : MONTPARNASSE-BIENVENÜE – LIGNES 4, 6, 12 ET 13
DATE DE DÉBUT DE L’EXPÉDITION IMMERSIVE : SAMEDI 3 FÉVRIER 2024
LANCEMENT DU SITE ET OUVERTURE DE LA BILLETTERIE EN LIGNE : JEUDI 30 NOVEMBRE 2023
www.toutankhamon-experience.com 

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MONTBLANC: HOMMAGE A NAPOLEON BONAPARTE

Montblanc,  chaque année, rend hommage à l’un des grands mécènes de l’histoire et à l’héritage culturel qu’il a laissé. Créée dans l’Atelier d’Artisanat de Montblanc à partir de matériaux précieux et façonnée par des maîtres artisans hautement qualifiés avec beaucoup de soin et de dévouement, la nouvelle édition Montblanc Patron of Art célèbre la vie et le mécénat de Napoléon Bonaparte (1769 -1821), empereur des Français de 1804 à 1814, puis brièvement en 1815 avant son exil et sa mort en 1821. En dehors de son rôle de chef militaire et d’homme d’État redoutable, il était un champion des arts. Il est à l’origine du renouveau des arts décoratifs et l’ère de Napoléon est considérée comme « l’âge d’or de l’artisanat français ».

Napoléon accorde une attention particulière au Néoclassicisme, un mouvement dans les arts visuels, la littérature, la musique, le théâtre et l’architecture qui s’inspire de l’art et de la culture classiques de la Grèce et de la Rome antiques. Il a demandé à des artistes, des artisans et des architectes de travailler à ce qui est ensuite devenu le style Empire, avec des édifices célèbres comme l’église de la Madeleine et l’Arc de Triomphe émulant les imposants édifices de l’Empire romain.

Pour créer les quatre éditions du Montblanc Patron of Art, Montblanc s’est appuyé sur les métiers d’art de la manufacture – orfèvrerie, laquage, sertissage de pierres précieuses, gravure en camée – pour raconter l’histoire de l’ascension fulgurante de Napoléon, du soldat au consul, puis à l’empereur des Français. Le style néo-classique des instruments d’écriture combine un design géométrique et des lignes pures avec de riches décorations.

Si la laque bleue du capuchon et du corps s’inspire de l’uniforme bleu de Napoléon, elle rend également hommage à la couleur de la salle du trône du château de Fontainebleau. Symbole d’immortalité et de résurrection, l’abeille orne la surface laquée du stylo-plume. Parce que l’abeille est le plus ancien emblème souverain de la dynastie mérovingienne, l’empereur a choisi ce symbole pour relier sa nouvelle dynastie aux premiers souverains de France.
Le capuchon recouvert d’or jaune est décoré des insignes du sacre de Napoléon, notamment la couronne de laurier du sacre inspirée de la Rome antique, la couronne Impériale et l’aigle, et couronné de l’emblème de Montblanc en résine précieuse. L’agrafe de l’instrument d’écriture évoque une lame d’épée, avec une pierre d’agrafe rouge représentant l’anneau de couronnement de l’épouse de Napoléon, Joséphine. Dans le respect de l’esthétique néo classique, l’anneau du capuchon présente un motif rappelant l’architecture antique. Les délicates gravures sur le cône doré représentent l’abeille de Napoléon avec le motif de la palme égyptienne, typique des arts décoratifs du style Empire. Une pièce de monnaie dorée avec un portrait de l’empereur est incrustée dans la base de l’instrument d’écriture. La plume en or massif Au 750 présente un gaufrage spécial de Napoléon portant son célèbre chapeau bicorne.

Hommage à l’époque où Napoléon était consul, le rôle qu’il a établi sur la voie du pouvoir impérial, cette fontaine à la robinetterie platinée est dotée d’un revêtement complexe en or jaune massif Au 750, riche en symboles impériaux. La laque bleue précieuse qui se trouve sous le revêtement rappelle le bleu de son premier uniforme de consul. La spirale squelette en or jaune massif Au 750 qui recouvre la calotte et le canon s’inspire de la Colonne Vendôme de Paris, une structure militaire inspirée de la colonne Trajane de Rome. La décoration du squelette comporte des feuilles de chêne provenant de l’uniforme de consul de Napoléon pour représenter la force et la longévité, des feuilles d’olivier provenant de son uniforme de l’académie française comme symbole de force et de victoire, de sagesse et de fidélité, d’immortalité, d’espoir, de richesse et d’abondance, ainsi que le symbole de l’abeille souveraine reliant sa dynastie aux premiers rois de France.

L’agrafe en forme d’épée est gravée du « N » et ornée d’un grenat rouge. La plume en or massif 750, partiellement rhodiée, présente l’embossage spécial de Napoléon portant son chapeau bicorne distinctif. Les gravures sur le dessus de la casquette – une couronne de laurier, la couronne impériale et un aigle – font référence aux insignes du couronnement de Napoléon Bonaparte. La casquette est couronnée par l’emblème Montblanc en nacre. Le motif de palmier antique est gravé sur le cône, qui porte également un portrait gravé de l’empereur. Le gaufrage rhodié – inspiré de la poignée de son épée de couronnement – décore la plume en or jaune massif Au 750 fabriquée à la main.

Limitée à 92 exemplaires pour marquer l’année 1992 où la Colonne Vendôme a été classée monument historique, cette oeuvre d’art en or jaune massif Au 750 est une célébration du couronnement opulent de Napoléon. Le jaspe rouge utilisé sur le barillet, associé à l’or dans un quadrillage de style Empire, est un hommage aux couleurs du pouvoir impérial. En référence aux abeilles d’or qui décoraient les palais, les cours et les bureaux impériaux de Napoléon Bonaparte, le guillochage de la capsule en or jaune massif Au 750 présente une abeille gravée à la main en or blanc massif Au 750, entourée d’étoiles qui s’inspirent du trône de Napoléon Bonaparte au palais des Tuileries. En plus des symboles décoratifs du couronnement, l’emblème Montblanc en nacre orne le sommet du capuchon. L’agrafe en forme d’épée porte le  » N  » napoléonien, si bien mis en évidence sur le trône de Napoléon Bonaparte à Fontainebleau. L’extrémité de l’agrafe est décorée d’un grenat rouge rappelant le magnifique anneau de couronnement de son épouse Joséphine. Un motif important du style empire, la palmette égyptienne, est gravé sur le cône, qui porte également un portrait gravé de l’empereur. 

Célébrant la puissance et l’opulence de Napoléon, ce rare chef-d’oeuvre limité à 8 pièces seulement est réalisé en or jaune massif Au 750 et présente une combinaison de rouge et de blanc, couleurs qui rappellent les vêtements de son couronnement. L’empereur portait une longue tunique de satin blanc brodée de fils d’or, associée à un lourd manteau de velours cramoisi doublé de fourrure d’hermine et couvert d’abeilles d’or brodées. Clin d’oeil aux arts décoratifs de l’Empire, la coiffe est guillochée de laque blanche translucide et est élégamment décorée de feuilles d’acanthe gravées à la main en 3D, inspirées de l’art gréco-romain et égyptien. En référence à l’enthousiasme pour les camées qui s’est développé pendant son règne, la casquette présente un portrait en camée de Napoléon, réalisé à la main.
L’édition fait écho à la beauté en spirale de la Colonne Vendôme avec une spirale faite de diamants s’enroulant autour du canon et une laque rouge qui se reflète entre les deux. Les gravures à la main sur le dessus de la capsule – une couronne de laurier, la couronne impériale et un aigle – font référence aux insignes de son couronnement. La plume en or massif Au 750, fabriquée à la main, est décorée d’une représentation de son épée de couronnement, symbole du pouvoir absolu de l’empereur.

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ArchivesJoaillerieMagazine

TIFFANY & CO. PRÉSENTE LA PREMIERE BAGUE DE FIANÇAILLES POUR HOMME

Tiffany & Co. présente cette année le lancement de la Charles Tiffany Setting, la première bague de fiançailles pour homme, ornée d’un solitaire à la personnalité affirmée. Charles Lewis Tiffany lui donne son nom, lui qui, en 1886, a ébloui les amoureux du monde entier avec le lancement de la bague de fiançailles au diamant solitaire, la Tiffany® Setting. Dans les pas de son illustre ainée, cette nouvelle création rend hommage à l’héritage d’amour et d’inclusion longuement établi du joailler, jetant les bases de nouvelles traditions pour célébrer nos histoires d’amour uniques et singulières, et honorer nos engagements les plus chers l’un envers l’autre.


Le design de la première bague de fiançailles à diamant pour homme exprime une échappée moderne et audacieuse de l’alliance traditionnelle. Rappelant la silhouette d’un sceau, les modèles en platine et en titane redessinent un style masculin classique aux contours puissants, au profil contemporain, avec un diamant central éblouissant.


La première partie de la collection Charles Tiffany Setting sera disponible avec des diamants taille rond brillant et taille émeraude jusqu’à 5 carats. Les modèles diamant rond brillant ont un anneau au bord effilé, inspiré de l’anneau de la légendaire Tiffany® Setting, alors que ceux taille émeraude présentent des bords biseautés architecturés.


Tiffany continue à développer le niveau de transparence sur sa chaine d’approvisionnement en diamants, réaffirmant sa réputation en tant que leader dans la traçabilité des diamants. La Maison est unique parmi les joaillers de luxe mondiaux de par sa capacité à couvrir le parcours artisanal complet de chaque nouveau diamant acquis, individuellement certifié, et notamment chaque diamant serti dans la Charles Tiffany Setting. La région ou le pays d’origine de chaque diamant, ainsi que l’endroit où il a été taillé et poli, évalué et soumis au contrôle qualité, ainsi qu’où il a été monté en bijou sont inscrits sur le « Tiffany Diamond Certificate ».

Depuis plus de 180 ans, Tiffany crée des pièces de Haute Joaillerie plus impressionnantes les unes que les autres, qui valent à la Maison sa réputation. Les collections Haute Joaillerie de Tiffany & Co. se nourrissent d’innovation. Ce désir de continuellement repousser les limites du design permet à la Maison de donner vie aux idées les plus alternatives et expérimentales. Le savoir-faire incomparable de Tiffany accompagne la volonté de la Maison d’introduire des designs qui continuent de redéfinir le sens même de la Haute Joaillerie. Dans la collection Haute Joaillerie de 2019, des diamants aux tailles uniques furent sertis à la main pour assigner aux diamants la beauté singulière de la glace craquelée, n’exposant que peu de métal autour de chaque pierre pour maximiser sa brillance.


Tiffany & Co. a toujours été avant-gardiste quant à la découverte et l’introduction de pierres précieuses uniques, parcourant la terre entière pour découvrir des gemmes rares et exotiques. Vers 1902, une variété particulière de spodumène minéral fut découverte en Californie ; cette pierre semi-précieuse spectaculaire, aux tons lilas, fut baptisée « kunzite » en 1903, en hommage au Gemmologue en chef de de la maison, le Docteur George Frederick Kunz. Un béryl rose éclatant fut ensuite découvert à Madagascar, que le Docteur Kunz proposa de baptiser « morganite », en l’honneur du financier et client de Tiffany & Co., J. Pierpont Morgan, et qui fut présenté au monde en 1910. Tiffany eut également le privilège d’introduire la « tanzanite » en 1968, une pierre bleue violacée incroyable et jusqu’alors inconnue, qui fut découverte en Tanzanie, ainsi que la « tsarovite », un grenat d’un vert chatoyant exceptionnel découverte au Tsavo National Park au Kenya, introduite par Tiffany en 1974. Ces pierres de couleur, sont au coeur de la tradition de Tiffany & Co.; elles rendent hommage à la longue histoire de la Maison dans la découverte et l’introduction au monde de pierres de couleur dans les collections Haute Joaillerie.

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La REVERSO fête ses 90 ans!

À l’occasion du 90e anniversaire de la Reverso en 2021, Jaeger-LeCoultre réinterprète l’un de ses modèles emblématiques. A cette occasion est lancée en édition limitée avec un cadran bordeaux et un boîtier en or rose, la Reverso Tribute Duoface Fagliano qui rend hommage à un design d’une longévité exceptionnelle.
Créée dans les années 30, à l’apogée du style Art déco, la Reverso a été imaginée pour répondre aux besoins du gentleman sportif moderne de l’époque, notamment du joueur de polo. Mêlant parfaitement le design à la fonctionnalité, avec des lignes épurées et un boîtier qui se retourne, la Reverso est devenue l’une des montres les plus emblématiques, une icône à l’état pur.

Peu après son introduction, à mesure que les créateurs de tendance de tous horizons ont adopté la Reverso, de nouvelles variantes de celle-ci ont vu le jour. Avant même que la montre ne souffle sa première bougie, des cadrans colorés sont apparus, créant ainsi un contraste saisissant avec le boîtier en métal et conférant une note de style à la sobriété de sa silhouette. La nouvelle édition limitée n’est pas sans nous rappeler les premières éditions de Reverso en couleur. Cette pièce signature de la Manufacture Jaeger-LeCoultre viendra à coup sûr enrichir l’histoire de Reverso.

Depuis sa création, la montre Reverso traverse le temps et les modes tout en préservant avec une rigoureuse précision les codes de la tradition Art déco qui la caractérisent. Lignes simples et épurées. Boîtier rectangulaire emblématique. Godrons typiques. Système de réversibilité.

La première Reverso voit le jour en 1931, mais le concept né un an auparavant dans un club de polo britannique de l’Inde coloniale. César de Trey, citoyen helvétique, distributeur de montres de luxe, est alors de passage dans le pays pour affaires. À l’issue d’une partie de polo, l’un des joueurs – un officier de l’armée britannique – montre à de Trey son garde-temps à la glace brisée et le met au défi de mettre au point un modèle suffisamment robuste pour supporter les chocs occasionnés par la pratique du polo sans s’en trouver altéré.

César de Trey envisage de solutionner ce problème au moyen d’une montre réversible et confie l’étude de ce projet à Jacques-David LeCoultre avec lequel il entretenait déjà de nombreuses relations d’affaires. La Manufacture Le Coultre n’ayant, à l’époque, que peu d’expérience dans la fabrication de boitiers, Jacques-David Lecoultre se tourne vers son partenaire parisien Edmond Jaeger, qui charge l’ingénieur René-Alfred Chauvot de concrétiser ce projet.

Le 4 mars 1931, René Chauvot dépose un brevet pour une « montre susceptible de coulisser dans son support et pouvant se retourner sur elle-même». Grâce à ce mécanisme, le porteur du garde-temps peut faire pivoter le boîtier à 180 degrés pour protéger son cadran. Le 25 juillet 1931 est signé le contrat par lequel René Chauvot renonce définitivement à ses droits en contrepartie du paiement comptant de 10’000 francs suisses auxquels s’ajoutaient 2,5 francs suisses pour chaque montre vendue avec un boitier de sa conception. L’idée révolutionnaire est baptisée Reverso – du latin « je me retourne ».

Afin de tenir l’objectif d’une commercialisation avant la fin de 1931, la production des boitiers est confiée à la maison Wenger. Faute de calibres LeCoultre suffisamment fins pour être utilisés dans ce boitier si particulier, la fourniture des premiers mouvements est temporairement sous-traitée à la société Tavannes Watch Co . Ce n’est qu’à partir du second semestre de 1933 que les montres Reverso embarquent des mouvements fabriquées en interne par la Manufacture LeCoultre. Remarquable pour l’époque, la version « Luxe » de la Reverso disposait dès 1931 d’un verre incassable, en saphir synthétique.

Aujourd’hui, la montre est reconnue de tous comme un symbole du design Art Déco et un modèle emblématique de l’histoire horlogère. Réversible comme son nom l’indique, celle qui devient rapidement une icône bien au-delà des frontières suisses se retourne d’un glissement de doigt sur son boîtier, laissant apparaître un verso plein, volontiers personnalisable ou un deuxième cadran.
Afin de démontrer son éternelle jeunesse, et pour entourer le modèle Reverso Tribute Duoface Fagliano Limited, Jaeger-Lecoultre présente d’autres  nouveaux modèles :

• Reverso Tribute Small Seconds
• Reverso Tribute Duoface
• Reverso One Duetto

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ArchivesHorlogerieMagazine

Chopard Alpine Eagle, la collection s’étoffe!

Chopard dévoile trois nouveaux modèles au sein de la collection de garde-temps à bracelet intégré Alpine Eagle, lancée avec succès en 2019 : deux en format Large taillés dans l’or éthique rose, ainsi qu’un modèle Small en Lucent Steel A223 dont la lunette se pare de diamants. Du mouvement certifié chronomètre au boîtier, en passant par le cadran et le bracelet, les garde-temps Alpine Eagle, inspirés pas la puissance de l’aigle et des Alpes, sont entièrement réalisés dans les ateliers d’horlogerie de Chopard par les Artisans de la Maison.

Johannes Huebl Chopard Alpine Eagle XL Chrono ©Greg Williams

L’ADN de la collection

Imaginée par trois générations d’hommes de la famille Scheufele, la collection Alpine Eagle réinterprète avec modernité la montre St. Moritz, la première création horlogère de Karl-Friedrich Scheufele. Avec son design pur et affirmé, Alpine Eagle reflète la richesse créative, l’esprit visionnaire et l’engagement éthique de Chopard autant qu’elle s’inspire de la puissance de la nature. Des caractéristiques qui la destinent aux aigles contemporains, ces hommes aspirationnels qui surperforment dans leur vie quotidienne et dont la vision inspire et élève. La collection signe une allure contemporaine et élégante : un boîtier rond aux flancs stylisés, une couronne gravée de la rose des vents, une lunette à huit vis fonctionnelles indexées, un cadran texturé aux teintes profondes et aux indications luminescentes, et enfin un bracelet métal intégré.

Alpine Eagle Large

Alpine Eagle Large 

Précieuse et éthique. Deux modèles inédits à boîtier et bracelet entièrement façonnés dans l’or rose 18 carats viennent enrichir la ligne Alpine Eagle Large, d’un diamètre de 41mm, proposée jusqu’ici en Lucent Steel A223 ou bi-matière. Gage de l’engagement de Chopard pour un luxe responsable, et à l’image de toutes les créations horlogères et joaillières sorties de ses ateliers depuis juillet 2018, l’or utilisé pour les Alpine Eagle Large est éthique.

Alpine Eagle Small

Alpine Eagle Small 

Pure et éclatante. La gamme de garde-temps Alpine Eagle Small, d’un diamètre de 36 mm, qui comptait jusqu’à présent sept références en Lucent Steel A223, or éthique ou bi-matière, accueille également un nouveau modèle en Lucent Steel A223 avec cadran Bleu Aletsch illuminé d’un sertissage de diamants sur la lunette, aussi bien adapté à un poignet masculin que féminin. À l’image de tous les garde-temps Alpine Eagle, cette nouvelle montre abrite un mouvement mécanique à remontage automatique Chopard certifié chronomètre par le COSC : le calibre Chopard 09.01-C, pourvu d’une réserve de marche de 42 heures.

 

 

 

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OMEGA solaires pour un été chic

OMEGA dévoile une collection de lunettes unique, dont les designs font écho à l’univers emblématique de la Maison tout en affichant un look tendance et contemporain. Les beaux jours sont de retour, et après les péripéties de ce début d’année, il n’a jamais été aussi agréable de sortir au soleil. Pour profiter de ces journées tant attendues en plein air, n’hésitez pas à chausser ces lunettes au look chic et décontracté. 


Une collection née de l’idée audacieuse de fusionner un look rétro avec des éléments signature de l’héritage horloger d’OMEGA, à l’image de la monture carrée. Tel l’adieu chaleureux d’un soleil couchant, les montures métalliques en or rose scintillant se parent d’un cerclage cannelé classique, rehaussé de l’emblématique motif vagues de la Seamaster sur l’extrémité des branches. Un design à la fois rétro et très actuel grâce à des détails au fini luxueux moderne.
Toujours en quête de sophistication intemporelle, OMEGA a également révolutionné le célèbre modèle aviateur pour homme. Au volant d’un cabriolet ou sur une chaise longue au bord de la piscine, ce design couleur or pâle vous offre une allure jet-set. Doté d’une structure résolument italienne, ce modèle présente des inserts motif écailles foncées, et, la touche suisse traditionnelle, le logo rappelant la couronne de remontoir OMEGA sur l’extrémité des branches.

Enfin, l’inspiration vintage transparaît dans un modèle rond unisexe doté de verres fumés et d’une monture innovante en acétate et métal couleur Palladium brillant et noir. Bien qu’un brin futuriste, le design rétro avec pare-soleil et double pont ne fait pas l’ombre d’un doute. Des lunettes à porter lors de chaudes journées d’été, quand le soleil tant espéré vous enveloppe de tous les côtés. Définitivement indispensables pour passer un été en toute élégance.
Découvrez tous les modèles issus des collections de lunettes de soleil OMEGA désormais disponibles sur omegawatches.com

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FRED Joaillerie, la légende du bracelet FORCE 10

Fred Samuel, fondateur de Fred Joaillerie, a toujours été en quête permanente de cette lumière qu’il a connue en Argentine. La voilà dans les reflets de l’eau… Grand sportif, il faisait de l’aviron les dimanches après-midi sur la Marne et passait tous ses étés en Bretagne à Perros-Guirrec. « J’aurai dû naître poisson. » Il transmettra cette passion à ses fils, qui deviendront champions d’Europe de voile. C’est ainsi qu’en 1966, naît la collection Force10 : « Mon fils aîné a eu l’idée de tresser des câbles marins fixés aux deux bouts par des rivets, afin de composer un bracelet qu’il offrit à sa femme. Il ajouta un fermoir en or en forme de mousqueton. ». Fabriqué avec un mélange audacieux d’or et d’acier, il s’impose comme le premier bijou de sport. Un bijou précieux mais décontracté, chic et casual.

Une histoire formidable, certes, mais pas surprenante, au fond, car il y avait déjà toutes les valeurs de la maison Fred dans cet objet : amour, mer, liberté, voyage et une certaine dose d’audace. Mariage inattendu d’un câble marin d’acier tressé et d’une manille en or, le bracelet Force 10 incarne depuis sa création en 1966 le style FRED : singulier, précieux, lumineux, puissant et intemporel.

La collection Force 10 exprime l’énergie et la liberté créatrice : les bracelets se personnalisent avec des câbles interchangeables, les bagues subliment la manille et les colliers se parent de chaînes fines pour révéler toute leur féminité. Le nom Force 10 symbolise une grande résistance car il fait référence à un vent terrible qui ne permet pas de sortir les dériveurs en mer.

Grace à son système interchangeable, et ces nouveaux coloris, permettant des centaines de possibilités de personnalisation, FRED réinvente sa palette pour sublimer une silhouette, illuminer une peau bronzée, affirmer le style qui lui est propre: chic et ludique. Incontournable dans ses infinies tonalités colorées, FRED offre mille et une façons d’embellir le temps qui passe au gré de ses désirs.

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CARTIER présente le collier MAHARAJAH

Cartier rend hommage aux grands colliers de cérémonie des maharajahs. Cette parure créée en 2019 met en scène un ensemble exceptionnel d’émeraudes, mais aussi de saphirs et de rubis, autour d’un savoir-faire ancien venu d’Inde.

Les émeraudes gravées réunies par Cartier constituent un ensemble d’autant plus singulier que la forme en « grappe » du pendant est rare en Haute Joaillerie – même si Cartier l’a déjà employée par le passé dans les années 1920-30. Ce pendant est composé de 19 gemmes.
Deux émeraudes d’un poids total de 86,96 carats et une pierre de centre de 43,73 carats originaires de Colombie, lieu de provenance de gemmes parmi les plus réputés au monde, complètent cet ensemble.

Impressionnantes par leur poids, ces émeraudes se distinguent par l’ensemble harmonieux qu’elles composent mais aussi par leur couleur, leur intensité lumineuse et leur cristallisation. S’y ajoutent une émeraude de Zambie gravée hexagonale de 18,58 carats, un rubis de Birmanie gravé de 23,24 carats, huit rubis de Birmanie pour un poids total de 46,34 carats et deux rubis de Birmanie pour un poids total de 13,26 carats.

Pour Cartier, l’important dans le savoir-faire, c’est le trait d’union entre l’idée et sa réalisation, entre la créativité de Cartier et son exigence. C’est ce trait d’union que l’on retrouve entre les outils d’hier et les techniques d’aujourd’hui, entre l’esprit pionnier de Louis Cartier et la vision contemporaine de la Maison. Le savoir-faire de Cartier est le résultat d’échanges entre les designers, les joailliers et les ingénieurs. Il se développe au fil de rencontres parfois inattendues et se concrétise au fil d’un processus d’itérations. Le savoir-faire de Cartier : un dialogue ininterrompu entre technique et créativité qui unit le savoir et le faire – d’un trait d’union. On compte au total 4566 heures de travail de joaillerie, de sertissage et de polissage.

Le passage du dessin en deux dimensions à l’objet en volume constitue la première prouesse du collier Maharajah. De l’idée à l’objet, cette transformation révèle une multitude d’inconnues – ajustements de pierres, de couleurs, réglages à apporter pour parfaire l’ergonomie de la pièce. Dessinateur et joailliers travaillent côte à côte à servir un but commun : retranscrire l’idée d’origine en une parure exceptionnelle.

Une création de Haute Joaillerie est un éblouissement, un rêve transformé en lumière. C’est aussi une construction ingénieuse, conçue au millimètre, dont la complexité de conception est insoupçonnable. Sur le pendant du collier, les 19 émeraudes composent une architecture en volume, d’une parfaite tenue. Pour permettre cette chute, chaque gemme est sertie dans une très fine armature en métal,
véritable dentelle apposée sur l’arrière du collier. Chaque pierre étant unique, la mise au point de cette structure sur mesure a généré une collaboration intense dans l’atelier, mêlant à part égale esthétique et technique. Pour diriger le regard sur les gouttes d’émeraude du pendant – et ne pas le laisser s’égarer vers d’infimes points de métal qui pouvaient apparaître selon l’angle d’où l’on se place – le designer et le chef d’atelier ont mis au point un leurre : de minuscules billes de saphir ont été ajoutées en terminaison de chaque goutte d’émeraude. Ainsi, le saphir attire le regard vers l’émeraude avec laquelle il compose une association de couleurs chère à Cartier.

Tout autour de la partie centrale, plusieurs rangs de boules sont disposés, formant un plastron transformable.  Selon le porté choisi (le collier en propose huit principaux), le nombre des rangs varie, et avec lui la répartition du poids des gemmes. Pour que celle-ci soit agréable à porter quel que soit le porté, l’enfilage a été intensément étudié – avec de multiples réglages et ajustements. Le dessin de création constitue le point de départ : il donne la direction et prévoit les différentes étapes en atelier, auxquelles sont associées des durées. À ce temps de travail, s’ajoute un temps parallèle qui se déroule tout au long de l’élaboration de la pièce et engage designer et joailliers à concevoir, alors que la pièce prend forme sur l’établi, une multitude de réponses à apporter aux questions qui surgissent.

Cette pièce s’inscrit dans la grande tradition Cartier de la joaillerie transformable et propose huit portés principaux pour le collier et deux variations pour les pendants d’oreilles. Ainsi, la partie intérieure en rubis se transforme en collier de chien ; les pampilles et les grappes d’émeraudes cernant le motif central peuvent être enlevées, offrant une version plus courte de la parure ; la grappe centrale se porte en pendant sur une chaîne. Les pendants d’oreilles peuvent, quant à eux, accueillir les deux émeraudes latérales.

Une pièce exceptionnelle, moderne, inspirée par le passé et l’histoire de la maison Cartier.

 

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LACLOCHE, JOAILLIERS 1892-1967

Pour la première fois, une exposition du 23 octobre au 20 décembre 2019 et un ouvrage rendent hommage à Lacloche, maison de joaillerie emblématique en Europe de 1892 à 1967.

Paire de boucles d’oreilles de style Egyptien

La Belle Époque de la maison Lacloche

La maison Lacloche fut l’une des gloires de la joaillerie parisienne, de la Belle Époque aux années 1960. Établie rue de la Paix en 1901, elle était également présente à Madrid et Londres et disposait de succursales à Nice, Biarritz, Saint-Sébastien, Cannes, Deauville.
Lacloche Frères, puis Jacques Lacloche, qui ont débuter modestement rue de Châteaudun en 1892, et ont pourtant fini parer des têtes couronnées – la reine Victoria d’Espagne, Édouard VII d’Angleterre, les rois de Grèce et de Siam -, des personnalités de l’aristocratie, telle la duchesse de Westminster, ainsi que des stars d’Hollywood, dont Grace Kelly. Toutes pièces de la maison Lacloche étaient conçus par les meilleurs ateliers parisiens, comme Strauss, Allard, Meyer ; Verger ; Helluin-Mattlinger ; Langlois ou Rubel… dont les noms sont mis en lumière dans cette exposition comme dans l’ouvrage qui lui est consacré.

C’est la première fois qu’une exposition est dédiée à la créativité de ce joaillier. Elle est organisée alors que paraît l’unique monographie sur cette brillante famille de joailliers par Laurence Mouillefarine, également co-auteur de l’ouvrage.
À travers des bijoux, des pendules et pendulettes, des nécessaires de beauté – la spécialité des Lacloche – et des documents d’archives, la rétrospective illustrera, tour à tour, le naturalisme propre à l’Art nouveau, l’Egyptomanie et l’engouement pour l’Extrême-Orient au temps des Années folles, le modernisme de l’Art déco, la fantaisie séduisante des années 1950.

L’apogée de la maison Lacloche

Loelia Ponsonby, duchesse de Westminster,1931 – © The Cecil Beaton Studio Archive at Sotheby’s

Toutefois, le point d’orgue de cette rétrospective inédite sera l’évocation d’un événement devenu historique : l’Exposition internationale de 1925 qui se tint à Paris durant six mois. Une longue chasse aux trésors a, en effet, permis de retrouver, aux quatre coins du monde et auprès de collectionneurs privés, des joyaux que les frères Lacloche déployèrent sur leur stand lors de cette manifestation mythique. Des bracelets, des broches, des pendulettes, des boîtes qui, tous, éblouissent par leur élégance et la délicatesse de leur fabrication.

Devant de corsage – Platine & diamants

Entrée libre du lundi au samedi de 12h à 19h au 31 rue Danielle Casanova 75001

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Barbera, objets précieux et bougies bijoux

BARBERA est une marque créée en 2013 par Fabien Barbera, jeune et brillant antiquaire longtemps installé rue de Verneuil, au sein du Carré Rive Gauche à Paris.
Passionné par la restauration du bois doré, Fabien Barbera connait les secrets du travail de la feuille d’or depuis des années. Dans un souci d’allier son goût pour la décoration à celui pour la feuille d’or, il décide de créer sa marque d’objets intégralement réalisés à la main. Photophores et vide-poches constituent le cœur de la collection d’objets précieux.
En jouant avec la transparence de l’or, dont l’épaisseur est de l’ordre du micron, BARBERA propose une large sélection de photophores reprenant la technique ancestrale du verre églomisé à la feuille d’or.

Une fois la bougie allumée et placée dans le photophore, l’or acquiert sa dimension magique. La flamme devenue bleutée révèle toutes les vibrations de celui-ci. Les dessins dont des reproductions en fine sérigraphie des peintures de Fabien Barbera, qui confèrent à ces bougies de décoration une sophistication unique. Des objets uniques et précieux évoquant les fastes des royaumes antiques de Grèce, d’Egypte ou de la Reine de Saba.


Une gamme de 10 bougies parfumées au décor métallisé et sérigraphié vient compléter la gamme BARBERA. Toutes les bougies sont réalisées avec le concours d’un cirier de Grasse, et « Jardins de Bagheria », bougie à la tubéreuse, a été composée par Rodrigo Flores-Roux, vice-président de la parfumerie Givaudan Fragrances corporation. Les cires sont composées de fragrances d’origines naturelles dilués à 10 % et comportent une mèche 100 % coton . Leur design original et suprêmement élégant en fait de véritables objets de décoration. Les bougies existent en 180 grammes avec une mèche, 1 kilo avec trois mèches et également au format chauffe-plats.

La Méditerranée, dans sa plus large expression, chère au cœur de Fabien Barbera, reste sa plus fidèle inspiratrice, tant pour la création des parfums des bougies, que pour la création des décors ornant les photophores et les vide-poches de cette précieuse collection.

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Atelier RENÉE

Diplômée de l’école Boulle à Paris, Manon Abramovicz-Fontbonne crée sa ligne de bijoux contemporains ATELIER RENÉE en 2013.

En novembre, elle s’installe dans une galerie rue de Charonne à Paris. Là, elle conçoit réalise et expose ses collections. La créatrice travaille directement la matière sans dessin au préalable. Elle laisse libre court à son inspiration, au geste artistique. Ses bijoux se révèlent autour d’une réflexion précise de recherche d’équilibre et de cohérence visuelle.

Des « créations instinctives » qui allient spontanéité des formes aux techniques artisanales et ancestrales de la haute joaillerie, travaillant la matière presque brute, martelée, volontairement « imparfaite »; par ces imperfections elle devient unique, originale et vivante.

En juin 2014, ATELIER RENÉE reçoit le prix « Coup de Coeur » du concours Talents de Mode, présidé par Serge Bensimon.

www.atelierrenee.fr

 

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Cartier: l’histoire d’une légende.

Tout le monde connait « Cartier ». Un nom chanté par Marilyn Monroe, associé à des pierres précieuses et des bijoux mythiques, chargés d’histoires et de malédictions mais finalement, bien peu connaissent la saga de cette maison plus que centenaire qui créa les parures de pratiquement toutes les tête couronnées d’Europe, des Stars de Hollywood, des maharajas d’Inde et des riches héritières américaines à tel point que le futur roi d’Angleterre, Edouard VII, déclara: «Cartier est le joailliers des rois, et le roi des joailliers».

Après avoir été fondée en 1847 par Louis-François Cartier, et ouvert sa première boutique en 1899 au 13, rue de la Paix, suivit de Londres et New-York, Cartier compte aujourd’hui 300 boutiques dans le monde, emploie environ 5 500 personnes, et reste le synonyme du luxe français.

Découvrez son extraordinaire savoir-faire dans l’exposition qui se tient au Grand Palais à Paris, jusqu’au 16 Février 2014.

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