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Une BMW en road trip culinaire

La team Blake est partie en road trip gastronomique entre le Nord de la France et la Bourgogne avec pour véhicule le tout dernier X1 M35i xDrive de chez BMW, le SUV compact, pépite de la marque allemande.

Premier arrêt: le restaurant La Laiterie Lambersart près de Lille, tenu par le Chef Edouard Chouteau. Cette maison a 120 ans d’histoire,elle est une Institution gastronomique majeure et immanquable de la métropole lilloise, y sont passés déjà passé des chefs comme Ludovic VANTOURS (1984-2002), Steven RAMON et Benoit BERNARD (2002-2013) qui obtiendra une étoile au guide Michelin, puis Nicolas GAUTIER (2013-2017), Corentine LEDUC (2017-2019). Aujourd’hui pour Edouard Chouteau tout y est à refaire, l’étoile est à reconquérir, et il a carte blanche.

La salle de restaurant est grande, divisée en plusieurs espaces dans le L que forme La Laiterie, nous dînons dans la partie qui a le plus de hauteur sous plafond. Les tables sont bien séparées ce qui laisse une véritable intimité pour vivre le repas. Le ton principal est le blanc, une façon de mettre en lumière ce qui se passe dans l’assiette. L’équipe est complète, en salle le rythme est bon et les plats s’enchaînent en laissant le temps de discuter et d’apprécier chacun des temps du dîner. La cave, très fournie, offre des pairings riches : des grands classiques, aux natures en passant par la bière. La cuisine d’Edouard Chouteau est une cuisine française, qui sait jouer des grandes techniques classiques avec de l’inventivité et ayant à coeur d’être dans les marqueurs fort de la région mais aussi de l’AND de la maison qui était une ancienne laiterie, donc place belle aux produits laitiers, crème, fromages, beurres, …

Pour le dîner il nous est proposé 3 menus : produits d’exceptions,  végétale et terre-mer. Nous ferons une diagonale qui comprendra un mélange des 3 pour explorer au maximum les talents du Chef. Parmis les amuse bouche Edouard Chouteau revisite le grand classic moule-frite avec briaud, il aime jouer avec le Terre-mer comme avec le veau caviar, plein de peps et de saveurs mêlées et équilibrées. Dans un registre de “cuisine classique” la queue de langoustine tapée façon Gagnaire, superbe de maîtrise. Pour le végétal, l’asperge verte, concombre au barbecue et sauce tigre explose de saveurs, une véritable réussite qui mêle les influences tout en respectant les saveurs de chaque produits, pour le plus grand plaisir de nos papilles.  La sole au lard de colonnata fumé au foin avec une cuisson maîtrisée propose un terre mer subtil.

La Tourte de bœuf au foie gras achève de démontrer que Edouard Chouteau maîtrise les codes de la cuisine française. Comment finir un repas à La Laiterie sans prendre de fromages, impossible, et cela est un régal mais pour une fois je m’attarderais sur la salade et son assaisonnement, qui apporte une très belle fraîcheur, et surprend avec  ses notes de jus de viande et ses chips de pain. Comment ne pas vous parler des desserts du chef pâtissier Benjamin Caunois …surtoutcelui au miel préparé avec les miels de ruches de La Laiterie, un délice d’élégance et de saveurs sans tomber dans le trop sucré, et le baba, tout en légèreté, je sais ca peut surprendre mais on est dans l’aérien, ce qui est nécessaire pour une fin de repas.Un régal à travers toutes ces saveurs de la région Nord et de France. Edouard Chouteau montre tout son talent et son inventivité galopante. Une cuisine à découvrir et redécouvrir sur toutes les saisons.

Interview de Edouard Chouteau – La Laiterie Lambersart

Comment en êtes-vous venu à la cuisine ?

J’ai grandi dans l’hôtel de mes parents j’avais l’envie de faire comme mon père faire plaisir aux gens, il y avait quelque chose de magique dans la cuisine. Tout d’abord j’ai fait un stage chez mon oncle qui m’a dit va faire des grands restaurants j’ai alors commencé l’apprentissage en faisant des stages dans des restaurants étoilés à Lorient.

Quel a été votre parcours d’apprentissage ?

Mon premier stage c’était chez Henri et Joseph j’ai fait mon apprentissage là-bas puis au bristol avec Éric Fréchon avec une brigade de fou Henri et Joseph on était trois alors que là on était cinq il y avait Florian enfin Mario Colin Foulquier Nawel que du beau monde et puis j’ai été extra espace extra chez Paul Berger à l’Arpège, je suis passé aussi chez qui Kika d’Agosto en Espagne.  Mais ma grande envie c’était d’aller chez Gagnaire. Ensuite je suis allé à Courchevel, pusi au Balzac chez Gagnaire, J’y ai tout adoré l’équipe le matériel c’était exceptionnel. Gagnaire, vraiment, c’est super complet c’est tout ce que j’aime on ne jette rien la brigade est soudé à beaucoup de niveau il y a beaucoup de plaisir en cuisine c’est géré comme une maison de patron c’est le grand luxe beaucoup de produits incroyables tout le temps en mouvement rien de figé c’est une cuisine vivante avec du risque de l’audace et avec beaucoup d’énergie.

Après le bal après le Balzac j’ai fait le tour du monde je ne savais pas trop ce que je voulais faire je suis passé à New York je suis allé au Portugal mais aussi à Dakar il y avait une opportunité au Clarence pour rejoindre Christophe pelé en tant que sous-chef je l’ai saisi. Christophe appeler ce sont des jeux de textures incroyable et en cuisine c’est très décomplexé un festival de produits j’ai fait des services de 20 couverts dit table sans qu’une assiette ne se ressemble, Christophe appeler c’est un artiste, personne personne ne vit la cuisine comme lui.

Puis j’ai eu la direction du pavillon de la reine avec Mathieu Paco c’était une opportunité folle je n’avais jamais été chef je n’avais jamais fait d’ouverture je n’avais jamais embauché d’équipe une magnifique opportunité.

J’ai quitté le pavillon de la reine pour avoir plus d’espace pour l’opportunité de faire pleinement ce que je voulais, faire ma cuisine.

Comment êtes-vous arrivé à la Laiterie ?

Pour la laiterie j’ai été embauché par une chasseuse de tête qui m’a convaincu du potentiel de la maison, que le projet était excitant, parce qu’à la base je ne voulais pas partir de Paris. Ici il y a une histoire qui me parle et y avait tout à faire.

La laiterie c’est 120 ans d’histoire c’est une institution  qui parle à tous les lillois, donc il y avait une grosse attente c’était une nouvelle page à écrire comme au Pavillon de la Reine, mais là j’étais aux commandes. On m’a donné carte blanche, il y avait tout à refaire : une équipe à monter, jusqu’à racheter de la vaisselle. Mais il y a ici une cave exceptionnelle, une bonne base pour un restaurant (rire).

Quelle est la nature de votre cuisine à la Laiterie ?

Ma cuisine…ce sont d’abord de beaux produits, aller à la recherche de petits producteurs locaux, raconter quelque chose avec des goûts réconfortant, mais aussi se faire plaisir en cuisinant à la laiterie je veux que cette maison soit cohérente alors je travaille le lait évidemment mais surtout je souhaite être avec des produits locaux du bœuf de la volaille de la région mettre en avant terroir. Dans la région il y a un vivier d’artisans précieux, le terroir nordique est riche et singulier.

On bosse beaucoup avec une petite ferme du Pont d’Achelles, elle fait des petits pois, des asperges, des fraises, des framboises, mais aussi des morilles exceptionnelles. Ce que j’aime le plus c’est de travailler les fruits de mer et le gibier, le végétal,… J’aime la diversité, en fait, à chaque saison on réinvente le métier de cuisinier.

Quel est votre accord boisson et plat préféré :

J’aime utiliser le vin, l’alcool ou les eaux de vie en cuisine, ça ajoute de la fraîcheur mais aussi de la profondeur et une vivacité. Je préfère rajouter de l’eau-de-vie à une sauce que des épices, ça ramène une autre dimension.

Y a t il une volonté vers l’étoile Michelin ?

Mon ambition pour la Laiterie c’est de faire vivre la Maison et de prendre du plaisir. j’ai toujours travaillé dans des maisons en lien avec le Michelin… nous on fait ce qu’on sait faire, on va de l’avant, pour le reste autour, on n’y peut rien.

Notre voyage se poursuit direction la Bourgogne, à Courban, entre Troyes et Dijon.

Le Château de Courban fait hôtel, spa et restaurant. Dans la petite ville de Courban, ainsi que dans la région, les plus grosses demeures de chaque cité était nommée Château. C’est ainsi que au détour d’une rue du village de Courban l’on devine derrière un portail, une grande maison de maître. 

Le domaine est splendide avec ses jardins, ses différentes dépenses pour différents logements, dont un pigeonnier tout à fait romantique pour les nuits étoilées. Mais aussi des points d’eau, un couloir de nage, un spa Nuxe, et le chien du maître de maison pour veiller sur les lieux.

Le restaurant offre deux espaces, dont le premier avec la cheminée pour débuter ou finir le repas au coin du feu, et la salle principale qui jouit d’un beau volume. Les tables sont bien espacées pour offrir une bulle apaisante et vivre son repas sans gêner les tables d’à côté. L’équipe en salle est très prévenante, la sommelière accompagne avec tacte tout le repas. On est clairement sur une maison qui va chercher l’étoile.  Le repas commence sur de jolies amuses bouches où jeux de couleurs, textures et saveurs annonce un dîner qui aura des influences multiples venant de France, mais aussi des pays arabes et de l’Asie. Les saveurs sont toujours très justes et équilibrées, le poisson est particulièrement mis en avant avec un travail sur la maturation de la chaire, qui marque son goût et lui apporte une salinité naturelle, c’est très bien maîtrisé.

La langoustine soutenue par la vanille et la patate douce est un terre-mer subtil et très réussi. D’ailleurs tous les jus et réduction sont goutû à souhait et révèle les plats qui sont très lisible, en bouche on sait ce qu’on mange. La volaille de Racan au morille de saison est superbe également, un sans faute, avec des pairings vins classiques mais justes. Le plateau de fromage arrive avec du miel sur son rayon, un délice ! Une belle expérience culinaire qui devrait bientôt se voir glorifiée.

Interview de Maxime Lesobre – Le Château de Courban

Pourquoi avoir choisi la cuisine ?

Mes parents étaient bouchers, et avant mon père était à Rungis et grand spécialiste du gibier. J’étais pas fait pour les études, j’avais trop d’énergie à dépenser (rire)…je suis portugais de par ma mère, j’avais donc 2 grands- mères qui cuisinaient très bien l’une française et l’autre portugaise, deux belles écoles de cuisine. Et puis la cuisine c’est les moments joyeux où l’on se réunit et j’aimais ça. Donc la cuisine a pris le dessus très vite. J’ai fait quelques stages et des chefs m’ont pris sous leurs ailes. Mon avantage c’était qu’avant d’arriver en cuisine je savais travailler les carcasses de viandes grâce à  mon père. J’ai fait un BEP cuisine à Ferrandi Versailles, avec de très bons profs donc Frédéric Anton, qui est MOF aujourd’hui.

J’ai fait beaucoup d’heures et j’ai été bien formé. J’ai été mordu totalement. Puis un BP, Bac pro, avec que de la cuisine. Mes parents ont une boucherie dans le 78 à Saint Quentin en Yvelines, petite ville sympa.

Quel a été votre parcours ?

Première maison Le Laurent, j’ai fait la réouverture du Royal Monceau en 2010, puis la Grande Cascade pendant 2ans, avec le Chef Robert, probablement m’a plus grosse influence, ses auces, ses jus, puis Alain Passard, Michel Rostang, j’étais sous-chef tournant, puis retour à la grande cascade, et ouverture à la Réserve, Jérôme Banctel, grand technicien,

Avez-vous un chef pâtissier avec vous ou c’est aussi vous les desserts ?

Cheffe Pâtissière,  Sae Hasegawa, on fait des essais tout le temps, je viens donner des indications mais j’aime quand ce sont les saveurs qui explosent surtout sans trop de sucre, un avis qu’on partage.

Comment cela a commencé au Chateau de Courban ?

Je suis là depuis février mais en vérité, je suis là depuis octobre. J’ai fait venir mon sous-chef, Lilian Ardouin. On reprend une maison, on y va étape par étape, on peut pas tout révolutionner d’un coup. Là c’est la 2ème carte. Au début on a perdu 5 personnes dans l’équipe et là j’ai une bonne équipe de gens qui donnent beaucoup. Je suis fier de ma team, que des petits jeunes qui s’investissent.

Le petit déjeuner c’est tout maison, brioche, quiche, cake,…

Le Château de Courban a été un restaurant étoilé pendant des années. Aujourd’hui il y a tout à faire et je vais faire ma cuisine. L’important c’est l’esprit d’équipe. Je suis ici pour montrer l’exemple sur l’esprit d’équipe faire du gourmand et du goût.

Quelle est votre cuisine ?

Ma cuisine c’est la cuisine du produit, sublimer le produit sans trop le dénaturer. Il y a pas de règles, je mélange les influences japonaises ou encore africaines, et bien sur du français cela reste notre base, cela reste les 90% de ce qu’on fait? Ici on fait beau avant de faire beau. Avant j’en mettais peut être trop et mon passage avec Alleno m’a appris ça, se concentrer sur l’essentiel. On concentre le goût du produit, pour faire un jus on met 2 à 3 jours : on déglace et on laisse mijoter longtemps…pas trop de sel, le sel vient du produit. J’aime jouer sur les acides, le gras, faut que cela titille les papilles. Je fais un vinaigre de shiso, qu’un ami japonais m’a appris, la cuisine c’est le partage, le savoir. Je dis à mes équipes de tout noter, je donne mes recettes. Il faut aller à l’essentiel, ne pas dénaturer le produit, sublimer le produit et que ce soit lisible dans l’assiette.

Quel est le produit que vous préférez travailler ?

La truffe (rire) ! J’adore les champignons, les poissons. La lotte on l’a fait maturer, comme une viande, j’ai suivi la méthode d’un chef australien qui a lancé ça. Du coup on ne met pas de sel sur cette Lotte et ses saveurs se sont concentrées. J’ai envie de faire des charcuteries de poisson, je viens d’acheter une ventrèche de thon et on va en faire un jambon. Bien sûr on travaille les produits de saison, les produits on va les prendre là où ils sont. On fait que des poissons de ligne, avec des petits bateaux. Faut valoriser nos paysans. Je ne négocie pas les prix mais j’attends de l’excellence. Nous on travaille avec un volailler extraordinaire,  en Touraine, Maison Bellorr, ils étaient au Michelin cette année, ils ont un petit élevage avec une race ancestrale, une des plus vieilles volailles de France, ils font pigeons, des escargots, des asperges bio,…du top.

Le superbe SUV compact de BMW !

Pour rallier ces deux lieux d’exception nous avons découvert la toute dernière merveille de chez BMW, le SUV compact, X1 M35i xDrive : Puissance, Élégance et Technologie de Pointe.

Lorsque l’on voit le tout nouveau X1 M35i xDrive, ce qui saute aux yeux c’est son format compressé et agressif, on sent que la bête sommeil. Ce véhicule allie puissance, élégance et technologie de pointe. Voici pourquoi le BMW X1 M35i xDrive est le véhicule parfait pour ceux qui ne veulent faire aucun compromis.

Un Design Audacieux et Raffiné

Sa calandre emblématique à double haricot, plus large et plus agressive, est complétée par des phares LED adaptatifs et des feux arrière à LED distinctifs, conférant au véhicule une allure moderne et sophistiquée. Les lignes sculptées et les contours musclés ajoutent une touche de sportivité qui ne laisse personne indifférent.

Les pare-chocs avant et arrière sont spécifiquement dessinés pour la version M, intégrant des prises d’air plus larges et des diffuseurs qui accentuent l’aérodynamisme et la performance et lui donnent un look sportif. Les jupes latérales et les rétroviseurs extérieurs au design M renforcent l’aspect dynamique du véhicule.

Les jantes en alliage léger M de 20 pouces, avec un design exclusif et des pneus haute performance, non seulement ajoutent à l’attrait visuel du X1 M35i xDrive, mais améliorent également sa tenue de route et sa maniabilité. Le toit ouvrant panoramique, en option, offre une vue dégagée sur le ciel, ajoutant une touche de luxe et de liberté à chaque trajet.

Un Intérieur Luxueux et Modulable

À l’intérieur, le X1 M35i xDrive offre un environnement luxueux et technologiquement avancé. Les matériaux de haute qualité, comme le cuir Dakota et les inserts en aluminium, créent une ambiance élégante et confortable. Les sièges sport M, chauffants et réglables électriquement, assurent un soutien optimal, même lors des trajets les plus longs. Ces sièges sont dotés de multiples réglages électriques, y compris le réglage lombaire à quatre voies, permettant de trouver facilement la position de conduite idéale. Les renforts latéraux réglable eux aussi maintiennent fermement le conducteur et le passager avant en place, même lors des virages serrés, offrant ainsi une expérience de conduite plus engageante et dynamique.

Le X1 M35i xDrive se distingue également par sa modularité exceptionnelle. Les sièges arrière sont rabattables dans une configuration 40/20/40, offrant ainsi une flexibilité maximale pour transporter des passagers et des charges volumineuses. Le volume du coffre, déjà généreux, peut être augmenté de manière significative, facilitant le transport d’équipements de sport, de bagages ou d’achats importants.

Technologies de Pointe et Connectivité

Le tableau de bord est équipé du dernier système d’infodivertissement iDrive 8 de BMW, avec un écran tactile de 10,25 pouces et un affichage tête haute. Ce système intuitif permet un accès facile à la navigation, aux applications connectées et à vos médias préférés. La compatibilité sans fil avec Apple CarPlay et Android Auto assure une intégration transparente de votre smartphone, vous permettant de rester connecté en toute simplicité.

Les systèmes d’assistance vocale et gestuelle améliorent encore l’expérience utilisateur, rendant les commandes intuitives et sécurisées. Le système de sonorisation Harman Kardon, disponible en option, transforme l’habitacle en une véritable salle de concert, offrant une qualité audio exceptionnelle pour tous les occupants.

Des Performances Époustouflantes et une Motorisation M que l’on aime

Sous le capot, le BMW X1 M35i xDrive cache un moteur quatre cylindres turbo de 2,0 litres, capable de développer 306 chevaux et 450 Nm de couple. Couplé à une transmission automatique à huit rapports et à la transmission intégrale xDrive, ce moteur offre une accélération fulgurante, permettant de passer de 0 à 100 km/h en seulement 5,4 secondes.

Le système xDrive répartit intelligemment le couple entre les roues avant et arrière, garantissant une traction optimale et une stabilité exceptionnelle, quelles que soient les conditions de conduite. La suspension M Sport, combinée à la direction sportive variable, offre une réactivité et une précision remarquables, transformant chaque trajet en une expérience dynamique et engageante.

Système de Freinage Avancé

Le BMW X1 M35i xDrive est équipé d’un système de freinage hautes performances qui assure une puissance de freinage exceptionnelle. Les freins à disque ventilés, équipés d’étriers de frein M Sport en bleu avec le logo M, garantissent une dissipation optimale de la chaleur et une réponse précise, même lors des situations de conduite les plus exigeantes. Le système de freinage antiblocage (ABS), associé à la répartition électronique de la force de freinage (EBD) et à l’assistance au freinage d’urgence, assure une sécurité maximale en toutes circonstances.

Sécurité et Assistance à la Conduite

Le X1 M35i xDrive est équipé des dernières technologies de sécurité et d’assistance à la conduite. Parmi elles, le régulateur de vitesse adaptatif avec fonction Stop & Go, l’assistant de maintien de voie avec retour actif, la surveillance des angles morts et le système de freinage d’urgence autonome. Ces fonctionnalités avancées travaillent de concert pour vous offrir une conduite sereine et sécurisée.

Le système Parking Assistant Plus, incluant une caméra de recul haute définition, des capteurs de stationnement avant et arrière, et l’assistant de stationnement autonome, rend le stationnement simple et sans stress. Le système de caméra 360 degrés offre une vue panoramique autour du véhicule, facilitant les manœuvres dans les espaces restreints.

Une Expérience de Conduite grisante

La combinaison de la puissance brute, de l’élégance et des technologies de pointe en fait un véhicule qui offre une expérience de conduite sportive et rassurante à la fois. On peurt s”amuser tout en se sentant toujours très en sécurité et en maîtrise. Que vous naviguiez en ville ou que vous partiez pour une escapade sur route, le X1 M35i xDrive vous offre des performances sans compromis et un confort inégalé.

Conclusion : Le Choix Idéal pour les Conducteurs Exigeants

Le BMW X1 M35i xDrive n’est pas simplement un SUV compact; c’est une déclaration de style, de performance et d’innovation. Un SUV compact mais aussi un véhicule de luxe, avec l’ADN sportif qui caractérise la gamme M de BMW.

Un gardien du temps, Le Chrono type 20, Flymaster n°73 de Auricoste

Pour garder un œil sur le temps lors de cette cavalcade gustative, Auricoste nous a prêté un chrono de sa gamme, une montre parfait pour aller avec l’aspect sport de la BMW, et pour ce weekend à travers les régions de France.

Auricoste est une marque française, depuis 1854, spécialisée dans le domaine des chronomètres de marine. Auricoste est intimement liée à la vie aéronavale française. Son histoire lui confère un statut particulier dans l’univers horloger ou beauté et rigueur du mécanisme sont les maîtres mots. Ses chronographes sont considérés comme des instruments de mesure de choix par les spécialistes et amateurs de mécanismes horlogers dans le monde entier.

Ses performances lui permettent d’équiper les armées navales, aériennes et terrestres en France comme à l’extérieur de l’hexagone. Nos outils de mesure, nos différents modèles sont conçus en vue d’une robustesse et d’une lisibilité parfaite pour résister aux situations les plus extrêmes.

La type 20

En 1954, Auricoste crée et développe le modèle type 20 dont la fonction « flyback » devient une norme imposée par le Ministère français de la Guerre. Plus de 2000 chronographes sont livrés aux différentes forces françaises. A l’époque le Ministère de la Guerre, imposant à ses pilotes d’aéronavales d’être équipées de chronographes dotés de la fonction “retour en vol“ également connue sous le nom de “flyback”. Cette complication à pour fonction de permettre aux pilotes de mesurer des intervalles de temps successifs en une fraction de seconde, rendant inutiles les fastidieuses opérations répétitives des 3 étapes, stop, remise à zéro et start habituelle. 

Un boîtier de 39,5mm et des aiguilles recouvertes de superluminova, pour être lues même de nuit, ainsi que deux chronos dans le cadran. La glace hésalite a été choisie pour éviter les bris de verre.

Article réalisé par Alexis Dumétier

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La fête des mères : Gâtons les !

La fête des mères ? Quand est-ce ? Mais c’est dimanche ! Pour tous les attentistes, procrastinateurs et procrastinatrices, ou bien juste ceux qui se réveillent toujours à la dernière minute, pas de soucis, nous avons pensé à vous. Voici une liste de belles idées pour faire plaisir à votre maman.

Pour une maman, parfois le simple souvenir des moments marquants suffit à générer une belle et grande émotion. Cheerz, le célèbre site d’impression de photos vous propose de nouvelles idées de supports pour vos photos. Un poster, un encadrement, un livre, des tirages type polaroids, … Vous aurez le choix pour faire briller les plus beaux instants partager avec elle ou les photos de famille qu’elle aime tant. Un joli cadeau pour la fête des mères.
Vous avez justement rendez-vous avec elle pour le tea time du week-end, foncez sur le site de Claire Heitzler, pâtissière, qui a créé pour l’occasion un gâteau délicat et frais, parfait pour ce début d’été : le bien nommé Sakura. Le gâteau est sur une base d’un crumble à la fleur de sel, surmonté d’un généreux biscuit aux griottes, d’une marmelade de fruits rouges et d’une mousse légère à la fleur de cerisier. Le dessert sera sublimé par une fleur de cerisier préservée dans de la fleur de sel Le Saunier de Camargue et agrémentée de pétales de fleurs de cerisier. En bouche c’est léger, fleuri et frais, la texture est douce, un véritable nuage de plaisir.
FOREO, le leader de la beauté technologique, poursuit son évolution et propose désormais une ligne de soins cosmétiques qui s’associe parfaitement à ses appareils innovants. Il s’agit de la première d’une longue série d’innovations à venir. Parmi la gamme, nous avons sélectionnés SUPERCHARGED un gel-crème luxueusement riche à absorption rapide, méticuleusement formulé comme une puissante solution tout-en-un qui fournit une hydratation longue durée, améliore l’élasticité, prévient la perte d’hydratation et aide à renforcer la barrière cutanée pour un éclat naturel et rajeunie. À base de trois acides hyaluroniques différents, d’acide polyglutamique, squalane, vitamine E et panthénol.
Pour qu’elle reste la plus belle le plus longtemps possible Silk’n a créé un masque à led, qui permet de faire de la luminothérapie, le LED Face Mask 100 et franchement nous l’avons testés, et après plusieurs séances confortablement allongé dans notre canapé, on trouve que ça fait du bien à notre
peau. Alors votre maman le vaut bien.
Toujours pour prendre soin de son visage, offrez lui la crème riche cellulaire de La Reine Capricieuse. Un soin pour le visage développé au cœur du Parc naturel des Vosges, dont la formule est concentrée en actifs hydratants et régénérants pour peaux normales à sèches ou sensibles.
Votre mère vous dit depuis des années qu’elle voudrait changer de parfum mais elle ne parvient pas à trouver la perle rare ? Surprenez la avec la toute dernière création de l’artisan parfumeur parisien, Cherigan : Lovers in Pink. Un parfum subtile, aux notes de cassis, gingembre, cèdre, vanille, et rose. Très frais et bien équilibré, entre sucrosité, floralité et rondeur.
Toujours dans l’univers du parfum, faîtes lui découvrir L’Eau Papier de Diptyque. Une plongée au cœur du musc et de ses multiples facettes. Le musc évolue, change, s’exprime avec le temps et d’une peau à l’autre, à la manière de l’encre qui imprègne le papier, s’accorde à sa texture pour faire apparaître rêves et images. Délicatement, le musc est facetté par un accord de vapeur de riz, évocation du grain du papier. S’y ajoutent les notes lumineuses du mimosa et, en toile de fond, les tonalités de bois blonds enracinent L’Eau Papier dans la matière.
Enfin, dernier dans notre choix de parfum pour la fête des mères, dans la collection Aqua Allegoria Forte, de Guerlain, voici Nerolia Vetiver Forte, un néroli irradié de lumière, enveloppé par la générosité d’un accord figue onctueux, la chaleur du vétiver et les notes amandées de la fève tonka.
Vous avez une maman branchée techno et photo, pensez à la nouvelle pépite de chez Honor, le smartphone Magic 5 Pro. Son appareil photo de 50 millions de pixels fait des photos superbes, et il est relativement léger, parfait pour les mains délicates de votre mère. De plus sa batterie extra longue durée lui permettra d’oublier de le charger sans être en rade au milieu de sa balade dominicale. On a pris le temps de le tester et on vous garantit que ce smartphone abordable est un super compromis à la célèbre pomme du marché. Nous sommes tombé amoureux du modèle couleur verte.
L’une des meilleures idées pour la fête des mères est de passer un moment avec elle. Offrez lui un voyage à Cuba sans bouger de Paris. Une soirée à la Casa Eminente, cocktails de mixologue avec le Rhum Eminente bien sûr et un repas aux saveurs cubaines. Un menu pensé et fait par le Chef Alberto Gonzalez, originaire de Cuba, qui twist les recettes de sa grand mère avec finesse et élégance. Difficile de faire plus authentique. Ce chef possède une étoile Michelin, mais surtout il est passionné et d’une grande générosité. Le décor de la Casa Eminente offre un dépaysement réel, au sein de cet hôtel particulier à Paris.
Votre mère est joueuse et curieuse, mais par-dessus tout, fan d’Arsène Lupin ? Offrez lui une après midi inoubliable à l’Opéra Garnier, un lieu mythique, historique, dont l’architecture superbe, recèle quelques secrets. Cultival en collaboration avec l’Opéra national de Paris on imaginé un escape game grandeur nature : Arsène Lupin et le secret de l’Opéra. Ce jeu sera une façon ludique de visiter tous les recoins de Garnier : comme le Grand Foyer, le Grand Escalier ou encore la Rotonde du Glacier, et vous aurez le privilège d’accéder à des étages habituellement fermés aux visiteurs. Nous l’avons fait un c’est une très belle occasion de visiter l’Opéra et de prendre le temps de scruter son décor onirique.
Et enfin parce que les beaux jours reviennent, offrez lui la gamme solaire La Biosthétique. Une gamme de soins complète qui protège efficacement la peau et les cheveux avant, pendant et après une belle journée au soleil.
Sélection réalisée par Alexis Dumétier et Hervé Godard
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Les terrasses du Grand Véfour pour l’été

La terrasse du Grand Véfour est enfin ouverte pour profiter des rayons de soleil ! L’été s’est fait attendre, mais ça y est, il est là, et on est tous à la recherche de spot pour se prélasser, profiter d’un verre en terrasse ou encore mieux d’un déjeuner d’exception sous un grand ciel bleu. Le Grand Véfour, restaurant mythique du Palais-Royal, possède deux terrasses, l’une couverte et l’autre sur le jardin du Palais Royal. Un lieu idéal pour vivre un Paris historique et enchanteur. Depuis 2011 Guy Martin est aux commandes du Grand Véfour, en plus d’en être le propriétaire. Il est un ambassadeur de la cuisine française dans le monde.

 

Une table qui fait le funambule entre tradition et inventivité

La carte du Grand Véfour est un porte drapeau des saisons et de la gastronomie française : œuf mollet, foie gras, terrine, bouillon, épaules d’agneau de Lozère, cuisse de poulet, filet de canette, fraisier, éclair à la vanille, profiterole…Mais aussi inventive et nourrit d’influences asiatiques notamment : thon mi-cuit mariné au gingembre, Daurade royale et sa vinaigrette au miso,…Le chef Guy Martin joue entre tradition et modernité. Vous avez le choix, avec la carte, des menus qui changent tous les jours, et en plus vous avez les grands classiques du Chef à disposition.

 

Notre dégustation

Nous avons dégusté selon l’humeur du chef un œuf mollet sur une purée de fenouil, avec un twist intéressant et surprenant mangue et coco. Cela apporte une touche sucré salé et une pointe acidulée qui se marie bien avec l’œuf et sa texture mollet. Ont suivi deux entrées iconiques du chef Guy Martin  : l’oursin oeuf de caille, caviar et arlette à l’algue, un terre mer délicat et réussi, ainsi que les ravioles de foie gras de canard, crème foisonnée truffée, une réussite, qui tient le gras le foie gras dans sa consistance, la truffe souligne avec élégance ce plat. Ces entrées ont été astucieusement accompagnés par la sommelière par un blanc Côte de Toul de Lelièvre, Auxerrois, vin fin et léger sur la pomme, la mirabelle, avec une pointe agrumes acidulés, très juste pour porter ces entrées entre terre et mer.

 

Nous avons poursuivi dans ce cadre historique notre repas avec un plat noble et parfaitement de saison : homard bleu breton sur son lit d’asperge. La cuisson du homard est superbe et en révèle toutes les saveurs et la texture gourmande, une réduction citronnée donne beaucoup de peps, mais pas trop et soutient ainsi l’amertume douce des asperges vertes. La sommelière propose Domaine Lacoste, Grand vin blanc, de 2021, brioché, miélé et avec une belle tension, une belle minéralité, il accompagne parfaitement le homard.

Puis nous avons conclu par une farandole de dessert, du très gourmand Profiterol qui m’a réconcilié avec ce classique en passant par les blancs en neige sur fruits rouges, fraîche et désaltérante sur une fin de repas. Sans oublier une fraîche et inventive Piña Colada, tartare d’ananas, rhum citron et piment d’espelette, que l’on a particulièrement aimé. Et pour accompagner ces desserts un muscat beaumes de venises du domaine des bernardins, 2021. Sa robe rose pâle surprenant, mais le nez est tout de suite flatteur et gourmande fruits mûres : abricot et poire, en bouche très belle fraîcheur avec des notes de raisins de Corinthe.

Un grand restaurant ne peut pas avoir de mauvais desserts. Guy Martin veille à cela tout en proposant jusqu’à la fin du repas un jeu de funambule entre tradition et innovations réussies.

Pour finir le repas en terrasse, le restaurant possède une cave à cigare, petit plus d’élégance pour les connaisseurs.

Le Grand Véfour : L’histoire d’une icône culinaire au cœur de Paris

Situé dans le Palais-Royal, au cœur de Paris, Le Grand Véfour est l’un des restaurants les plus emblématiques et historiques de la capitale française. Depuis plus de deux siècles, cet établissement prestigieux a accueilli des clients du monde entier, offrant une expérience gastronomique inoubliable associée à un décor magnifique et à une riche histoire.

L’histoire du Grand Véfour remonte à l’année 1784, lorsque le restaurant a ouvert ses portes pour la première fois sous le nom de « Café de Chartres« . À l’époque, le lieu était un rendez-vous prisé des intellectuels et des artistes de renom, tels que Voltaire et Rousseau. Cependant, ce n’est qu’en 1820, lorsque le restaurateur Jean Véfour prit la direction de l’établissement, qu’il acquit sa réputation légendaire.

Jean Véfour transforma le Café de Chartres en un lieu de rencontre pour les élites parisiennes. Grâce à son talent culinaire exceptionnel et à son sens de l’hospitalité, il attira rapidement une clientèle prestigieuse, comprenant des personnalités telles que Napoléon Bonaparte et Joséphine de Beauharnais. Le restaurant devint rapidement l’un des endroits les plus en vogue de la ville, fréquenté par la haute société et les célébrités de l’époque.

Au fil des ans, le Grand Véfour a continué à prospérer, avec différents propriétaires qui ont préservé son héritage culinaire et son charme intemporel. En 1828, le fils de Jean Véfour, Antoine Véfour, prit les rênes de l’établissement et apporta de nouvelles innovations à sa cuisine. Il introduisit des plats classiques français tels que le consommé de volaille, la sole meunière et la crème brûlée, qui devinrent rapidement des signatures du restaurant.

Le restaurant a également connu des moments de gloire pendant la Belle Époque au tournant du XXe siècle. Des personnalités telles que Sarah Bernhardt, Victor Hugo et Colette y ont régulièrement dîné, contribuant ainsi à sa renommée internationale. Le Grand Véfour est également apparu dans plusieurs œuvres littéraires, notamment dans les romans de Balzac et d’Émile Zola, ce qui lui a conféré une aura de légende.

Au fil des décennies, le Grand Véfour a su maintenir sa réputation de restaurant d’exception. En 1947, Raymond Oliver, un chef renommé, prit les rênes de l’établissement et ajouta sa propre touche à la cuisine. Il décrocha trois étoiles au Guide Michelin, une distinction prestigieuse qui ne cessa de renforcer la renommée du restaurant.

De nos jours, le Grand Véfour continue d’émerveiller les gourmets du monde entier avec sa cuisine raffinée et son atmosphère intime. Le restaurant a conservé son décor d’origine, avec ses boiseries, ses miroirs dorés et ses banquettes de velours rouge.

Un chef c’est aussi une belle équipe en salle, ici c’est le cas, Henry Delaunay mène avec attention et bienveillance les festivités, surtout avec discrétion et élégance.

Article réalisé par Alexis Dumétier

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Selection foody pour le printemps

Le printemps joue à cache cache avec nous alors entre terrasse sous la pluie et petit lieux cosy, nous avons débusqué quelques bonnes adresses pour se réchauffer le coeur et le corps.

Le spot parfait pour un bon café : Bel Horizon

Pour bien commencer la journée avec un bon café de spécialités torréfié sur place et des pâtisseries de chez Madame Charlotte, chez Bel Horizon, dans le 15ème. Un lieu cosy et minimaliste, emprunt d’esprit japonais. Le patron Grégoire est passionné forcément et son barista Thomas est aussi accueillant que pointu sur la réalisation des lattes. On a goûté un café brésilien, Fasenda monjolo, rond, sur le chocolat et les fruits à coques, parfait en expresso. On ne peut que vous conseiller ce lieu, ouvert depuis un an, où vous pourrez également acheter du café pour chez vous.

Bel Horizon coffee roasters – 26 Bd Garibaldi, 75015 Paris

Umami Burger : Hatik s’en mêle.

Une envie d’un burger facile, vers Montparnasse, pourquoi pas tenter le Burger pensé par Hatik, dans le restaurant Umami Burger, de l’hôtel Pullman Montparnasse. Dans la lignée des celebrity burger, celui-ci fait le taff. Le burger de Hatik c’est un filet de poulet Halal croustillant au piment de Cayenne et graines (pavot, tournesol, lin, sésame). C’est cher pour un burger assez basique, on vous le cache pas. Le gros plus est une équipe très sympa, jeune et à l’écoute.

Photographer Leslie Grow

Umami Burger – 19 Rue du Commandant René Mouchotte, 75014 Paris

Siseng ouvre son popup food à la Samaritaine :

Pour une expérience culinaire street food de chef, au centre de Paris, à la Samaritaine, il y a Siseng, qui a posé ses valises dans un pop up store au milieu des fringues les plus trendy. Là c’est du haut vol, Stephane Siseng, le chef du restaurant éponyme, vous chouchoute des bombes de saveurs. Dès l’entrée, salade de mangue et fenouil, ou spring roll tout frais et goûtus, en plat, on a testé le Bao burger Kaï, ne vous y trompez pas, vous êtes devant un plat pensé et maîtrisé, de la street food en forme d’art culinaire, le steack de poulet est dingue et les saveurs explosent, c’est follement gourmand ! Des accompagnements généreux et assaisonné avec élégance, des boissons maisons healthy. On a adoré et vous adorerez ne pas le louper.

Pop up Siseng – dans la Samaritaine – 9 R. de la Monnaie, 75001 Paris

Gruppomimo 2, L’Italie 70’S :

Le soir venu, si vous voulez vous poser dans un lieu tout nouveau, à la déco très seventies, dans une ambiance jeune et tout en musique, direction la nouvelle adresse de Gruppomimo, vers les grands boulevard. Vous allez faire la queue mais cela en vaut le coup. Le service est friendly et attentionné, les plats généreux comme jamais. L’Italie explose sur la table, comme la mama sait le faire le dimanche midi, pas question de vous laisser repartir sans avoir fait sauter le premier bouton. Les entrées en bruschetta sont folles de gourmandises. Les pizzas et les pâtes sont généreuses, mais je ne peux que vous recommander le tiramisu ultra café dont je suis tombé amoureux. Dois-je parler des cocktails xxl, bien fait…Bref, un spot à faire !

Gruppomimo Paris 2 – 157 Rue Montmartre, 75002 Paris
Sélection faite par Alexis Dumétier
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Orient Express : Luxe, calme & volupté

Orient Express, c’est un nom qui évoque le luxe, un temps révolu où tout était possible. C’est l’histoire d’un train né d’un rêve, qui défie le temps. Aujourd’hui réimaginé par l’architecte Maxime d’Angeac. Un design inédit, inspiré des années 20, pensé avec les codes du luxe contemporain.
À l’occasion de la semaine de l’art contemporain à Paris, Orient Express, à travers le groupe Accor, dévoile en exclusivité du 17 au 21 octobre, dans un établissement exclusif du 7e arrondissement de Paris. Une révélation à suivre également à Design Miami/, du 30 novembre au 4 décembre, à Miami Beach, en Floride.

Révélé par ses collaborations avec les maisons Daum et Hermès, en partenariat avec le designer américain Hilton McConnico, Maxime d’Angeac réalise depuis 20 ans, des projets de restauration et de décoration de prestige, à l’instar de la Maison Guerlain, avenue des Champs-Elysées, et donne une nouvelle vie aux appartements, châteaux ou villas privés qu’on lui confie.
Fasciné par les grands mouvements artistiques révolutionnaires, amoureux de la Renaissance italienne comme de l’Art déco, féru de romans de voyage, adepte des récits de Jules Verne, d’Henry Miller ou de la bande dessinée postapocalyptique du Transperceneige, l’architecte relève le défi de réinventer l’Orient Express. Une aventure humaine. Le projet d’une vie. Pour écrire la nouvelle destinée d’un mythe.

Maxime d’Angeac, architecte du future Orient Express déclare : « Le point de départ de ce fabuleux projet est un rêve. Une histoire contemporaine qui s’inscrit dans le sillage du mythe Orient Express. Une projection dans une époque, les années 20. Dans la culture du luxe. Et de ses artisans. Tout a débuté autour de dessins, de croquis et de maquettes réalisés à la main. Un travail millimétré. De ce cadre naît un décor. Sans époque. Inspiré par les codes de l’Art déco, des style Empire et contemporain. Un passé recomposé, qui s’affranchit de toutes les modes, pour nous transporter dans une ambiance dénuée de superflu, où chaque détail trouve un sens. Au final, un tableau pour rêver, pensé comme une ambassade du luxe à la française, un écrin raffiné, et sublimé par le savoir-faire et les talents des meilleurs artisans français. »

En 2015, réapparaît au grand jour le Nostalgie-Istanbul-Orient-Express. Un train de légende, disparu, oublié. Et réimaginé aujourd’hui par Maxime d’Angeac et les meilleurs artisans de France. Dès 2024, à l’occasion des Jeux Olympiques de Paris, les premières voitures seront exposées et les voyageurs pourront accéder pour la première fois à bord. Ils découvriront les décors inédits du futur train.
Sébastien Bazin, Président & Directeur-général, groupe Accor : « Nous sommes fiers, aujourd’hui, de révéler les premières images du futur train Orient Express. Une histoire inspirée d’un rêve, un train classé hors du temps, objet de tous les fantasmes et qui devient réalité. Le design de Maxime d’Angeac réveille le mythe avec la révélation de son écrin de luxe, de modernité, et d’élégance à la française. Demain, l’Orient Express rayonnera à nouveau, légitime de ses 140 années d’histoire et tourné vers l’avenir. La légende continue. »

Sous de larges coupoles de lumière au style Second Empire, chacune portée par quatre colonnes, les salons intimes de la Voiture-Bar dévoilent leur tonalité au vert spectaculaire. Du bois de palissandre au marbre couvrant les tables jusqu’au bronze des chapiteaux, l’esprit est élégant et voyageur.
L’aménagement, précis, intelligent, optimise la circulation à bord, ouvre des espaces de convivialité, de rondeur et de liberté. Pièce maîtresse, le bar s’offre un comptoir tout verre et un hommage idéal à Lalique autour d’une œuvre moderne qui revisite les symboles de la maison. À chaque table, une pendule sonne l’heure du cocktail et du dîner. Un bouton d’appel est réservé au service du champagne. Un autre au personnel. Le charme du passé conjugué au présent.

Spectaculaire et inattendue, pensée dans le confort et le luxe, la Voiture-Restaurant du futur Orient Express réinterprète les codes du train de légende.
Inspiré par les motifs des tapisseries signés Suzanne Lalique, et qui entraient dans la composition des premiers trains Orient Express, Maxime d’Angeac réinterprète le motif « rail », détourné sur les cloisons grâce au carton-pierre. Une technique née au XIXème et servant à réaliser des ornements de moulures et décors de plafonds. Sous un plafond miroité, traversé d’une série d’arches reflétant une douce lumière tamisée, tables napées et fauteuils enrobant s’alignent, éclairés des lampes à abat-jour revisitant les modèles originels. Un salon privé fait revivre les panneaux de marqueterie originaux du train. Au fond, derrière une paroi de verre, s’ouvre la cuisine. Un espace réservé au chef et à sa brigade, où l’on devine leurs gestes et leur chorégraphie.

Bienvenue dans le grand luxe, le confort absolu et l’esprit fonctionnel. Pour parer aux lignes et aux plans stricts du train, Maxime d’Angeac
introduit la figure du cercle, porteuse de douceur et d’harmonie. Partout, les angles s’arrondissent. Les fenêtres s’offrent en tableaux sur la nature. Des miroirs sorcière s’amusent des perspectives.
Ici, les cloisons se couvrent de bois précieux et d’un cuir mural qui réinterprète le célèbre motif « rail » de Suzanne Lalique. Les têtes de lit se couvrent de broderies de bois insérant perles de nacre et bronze. Une moquette « comète » invite à la rêverie.
Des niches se parent des panneaux Lalique « Merles et Raisins » originaux, ceux récupérés dans les voitures du Nostalgie-Istanbul-Orient-Express. Les tablettes en ellipse font se poser journaux, objets et souvenirs de voyage. Porte-bouteilles et verres trouvent d’astucieux agencements. En configuration « Jour », canapé et sofa invitent au repos, à la détente comme aux lectures. Et à l’heure de la Grande Transformation (le passage en configuration « nuit »), un lit de 2 x 1,40 mètres invite les voyageurs au meilleur sommeil.
Discrète et étonnamment confortable, la salle de bain aux portes coulissantes se pare de marbre, un cabinet de toilette et un dressing complètent l’aménagement précieux.

Artisan du voyage depuis 1883, Orient Express sublime l’Art du Voyage autour de ses trains de luxe, ses expériences uniques, ses collections d’objets rares. En parallèle du lancement du Orient-Express imaginé par Maxime d’Angeac, Orient Express La Dolce Vita, accueillera ses premiers passagers à bord de ses trains de luxe en 2024. Un maillage qui permettra d’offrir aux invités d’Orient Express toute l’expérience ultra luxe du voyage.

Instagram : @orientexpress
orient-express.com

 

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GastronomieLifestyleMagazine

Restaurants à Paris : notre sélection du Printemps

 

Une sélection de restaurants, pour ce printemps qui s’éveille enfin. Le soleil pointe délicatement ses rayons et les soirées se réchauffent doucement,. Nous avons eu envie de vous proposer quelques lieux pour réveiller vos papilles et retrouver vos amis. De la bistronomie, des belles viandes, du bbq américain, revu par des frenchis. Quatre restaurants un peu partout dans Paris, où le maître mot reste la qualité et le plaisir des convives.
Le Petit George :
Ce restaurant à la décoration chic et sobre à la fois, offre une salle à dimension humaine avec de larges tables pour y déjeuner ou y dîner, confortablement. L’équipe est aux petits soins, et le service soigné. Un lieu bistronomique, situé dans le triangle d’or. La carte reste accessible, en prix, sans faire l’impasse sur la qualité des produits. Une carte restreinte, mais suffisamment fournie pour vous rendre indécis. C’est simplement, bon ! Vous devez absolument goûter le tarama maison en amuse bouche : frais et croquant à la fois, il ouvre parfaitement le repas. La carte des vins propose des vignobles traditionnels mais aussi des vins en biodynamie, comme le champagne de chez Daniel Leclerc et Fils, un vignoble en biodynamie qui fait de belles bulles.
Je vous recommande chaudement le fondant chocolat pour finir. Très fondant ! très chocolat….une joie.
Pensez à réserver, c’est un endroit un peu confidentiel.

MELT – Cambrone :
MELT existe depuis quelques années maintenant dans Paris avec deux adresses : à Oberkampf et l’autre aux Batignolles. Voici donc le nouveau lieu pensé par l’équipe de MELT dans le 15ème arrondissement de Paris. MELT, pour ceux qui ne connaissent pas, c’est un restaurant où la fumaison est reine. Les créateurs de MELT sont allés chercher les secrets des techniques de cuisson par fumaison, directement aux Etats-unis, au Texas auprès des meilleurs. Et franchement ils ont ramené le savoir faire et l’ont magnifié. Il faut absolument goûter les classiques des viandes fumées chez MELT, leur Brisket (poitrine de boeuf angus, fumée pendant 15 heures) qui vous fera découvrir ce que fondant veut dire, ou encore le classico : Pulled Pork (effiloché d’épaule de cochon ibérique fumée au feu de bois de chêne), on a eu un gros coup de cœur pour le Jamaican Jerk Chicken (un demi poulet mariné 48h, fumé et grillé, sauce ananas piment, coriandre et cébette). Le plus de ce lieu qui reste bien français c’est la carte des vins et bières : une superbe sélection de vins natures et de bières craft, on y boit du très bon !!! En plus l’équipe est d’enfer, le lieu hyper convivial, et festif.
Allez-y !
MELT – CAMBRONNE – 103 Rue Cambronne, 75015 Paris – Tel : 01 42 59 71 47
https://www.meltparis.com/

La Mère Lachaise

Guy Martin, Chef du restaurant le Grand Véfour, ouvre une nouvelle adresse bistrotière dans Paris et dans un lieu où il manque de bonnes tables simples, mais efficaces. Ce bistro-guinguette version « méditerranéenne » est situé au cœur de Ménilmontant. La décoration intérieur est signée Jérome Faillant-Dumas, très arty, aux couleurs acidulées, par touche, sur ce grand espace blanc,  qui font pensé à Cocteau, et ses accroches lumineuses florales, organiques, qui éclaire avec douceur cette espace où l’on se sent bienEn cuisine c’est le chef Romain Dassier et sa brigade qui, sous la houlette de Guy Martin, propose une carte qui évolue au rythme des saisons. Kevin, au bar, prépare les cocktails signatures, avec beaucoup de finesse, et la grande terrasse extérieur sera un lieu à ne pas louper pour les beaux jours. Pour revenir aux plats, c’est de la haute bistronomie, un dressage soigné, créatif. Des plats maîtrisés. On hésite à choisir parmi les propositions toutes plus gourmandes les unes que les autres : Ceviche, frais et soutenu par une mousse marine subtil, Tataki de boeuf grillé, explosif et fondant, Quasi de veau savoureux ou encore risotto d’asperges parfaitement de saison.

On finit sur un enivrant dessert chocolaté le «Finger chocolat et noisettes», génoise à la noisette, pralin, ganache au chocolat, mousse au chocolat, et noisette, qui s’avère léger. un Jeux de textures et un savant mélange de saveurs chocolat, noisette, pralin, très réussi.
La Mère Lachaise 78 Bd de Ménilmontant, 75020 Paris Tel : 01 40 30 26 00

Le Grillé

Vous ne jurez que par le kebab, et bien voici l’adresse a essayer. Le célèbre boucher, Hugo Desnoyer, a décidé de faire passer ce sandwich populaire au rang de délice carnivore.
Le pari est réussi, sans difficulté, pour cet artisan qui sait avoir des viandes d’exception. Le kebab en lui-même est irréprochable : du veau de lait, tranché sur l’emblématique rôtissoire à la verticale. Vous pouvez avoir des sauces classiques, mais ici, en plus on vous propose la crème de fromage rehaussée au raifort, un délice. Mais puisque Hugo Desnoyer est un boucher star il a mis en avant d’autres viandes tout aussi goutues, essayez l’agneau ou le poulet, oui le poulet, un bon poulet cela transcende les saveurs. Les frites sont fraîches et du coup bonnes. Si vous cherchez un kebab hors norme vous serez servi.
https://grilleparis.com/

Sélection faite par Alexis Dumétier
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Les Ménuires 2022 avec la Team BLAKE

La team BLAKE est partie aux Ménuires pour le reportage montagne de l’année 2022.

Située dans les Alpes à 1800 mètres d’altitude, la neige y est garantie toute la saison et l’accès aux deux versants permet de skier toute la journée au soleil.

Les Ménuires se trouve sur le Domaine des 3 vallées, considéré comme l’un des plus grands domaines skiables au monde. Les 3 Vallées c’est 600km de pistes. C’est aussi 7 stations réparties entre les vallées de Courchevel, des Allues, des Belleville sans oublier Orelle, en Maurienne. Vous pourrez donc skier avec le forfait 3 vallées sur ces 600km de pistes de quoi vous occuper toute une semaine sans jamais skier deux fois sur la même piste. Attention cependant aux horaires de fermeture des remontées mécaniques, sinon vous aurez toujours la possibilité d’utiliser les navettes à disposition gratuitement pour revenir chez vous.

Photo : Gilles Lansard

Les Ménuires est une station très vivante qui, en plus du ski et du snow, propose de nombreuses activités. Nous avons découvert le lancé de hache, insolite et amusant. Vous pourrez vous défier avec vos amis ou en famille, afin de voir qui a le plus d’adresse. En respectant les règles simples du lieu, il n’y a aucun danger, que du fun. Il y a au même endroit de quoi découvrir et jouer au même jeu en réalité virtuelle.

Pourquoi ne pas essayer la luge sur la piste du Roc‘n Bob, 4km de descente et un temps à battre de 7 min ! On vous assure que si vous jouez le jeu et que vous vous lancez sur la piste à fond, le casque ne sera pas de trop. C’est assez intense. Rires et sensations fortes garanties !

Pour les lèvent tôt et ceux qui veulent être les premiers sur les pistes, Les Ménuires proposent le First Track. Partez pour l’ouverture des remontés mécaniques au départ de la Masse, avec les équipes du domaines (maximum 40 personnes par session). Un moment convivial qui permet de voir le lever du soleil sur les cimes enneigées. On vous recommande chaudement de le faire. En plus, vous finirez votre périple au 2800, un restaurant d’altitude avec un buffet petit déjeuner et un chocolat chaud mémorable.

L’ours Blanc un Hôtel / Spa 4 étoiles :

Pour les fins de journée ou les après midi sans ski, vous devriez essayer le spa de L’Ours Blanc, cet hôtel / spa 4 étoiles a été entièrement repensé et rénové en 2021, dans le respect de son esprit d’origine. Vous vous y sentirez comme chez vous. Les chambres spacieuses ont des vues magnifiques sur la montagne, et le spa Nuxe, à une dimension très humaine et un bassin intérieur / extérieur de toute beauté. Mais surtout les protocoles de soins à base de produits Nuxe sont exécutés par des expertes. Nous avons été pris en charge par Pauline, que nous vous recommandons chaleureusement.

Si vous souhaitez explorer la montagne différemment, vous pouvez partir en randonnée à raquette ou en randonnée à ski. Et si vous êtes désireux de vous lancer dans le hors pistes, n’oubliez pas de vous faire accompagner par quelqu’un qui connaît bien la montagne et qui est équipé du triptyque indissociable en terme d’équipement de sécurité avalanche : DVA (détecteur de victimes d’avalanche), pelle, sonde ! A ce triptyque, s’ajoute un nouvel équipement qui tend à devenir lui aussi indispensable : le sac airbag !

Freeride avec Fabien Maierhofer :

La team Blake a eu l’honneur d’avoir pour sa sortie freeride un « guide » hors pair : Fabien Maierhofer, Professionnel du freestyle et du freeride depuis l’âge de 17 ans. Il est également le créateur de la chaîne youtube Bon appétit ski : https://www.youtube.com/user/Bonappetitski où vous trouverez de superbes vidéos de skis et vous pourrez voir le niveau incroyable de Monsieur Maierhofer. Nous sommes parties du haut de la Gratte pour nous lancer. L’occasion de découvrir une zone où la neige est quasi vierge et le paysage à couper le souffle.

Dénériaz Skis :

 La team Blake a également eu la chance de rencontrer Antoine Dénériaz, champion Olympique, médaillé d’or sur l’épreuve de descente et également Triple Champion du Monde. Aujourd’hui Antoine a créé sa propre marque de ski et il nous a permis de tester deux paires de sa gamme. La particularité des skis Dénériaz c’est le soin apporté à leurs confections. Comme nous l’a dit Antoine, les matériaux utilisés pour confectionner ses skis sont choisis à la manière d’un chef étoilé qui sélectionne un à un les produits qui feront son plat signature. Un travail d’artisan, avec des produits nobles comme du bois d’exception ou encore du carbone. Les skis sont faits à la main en série limitée en Savoie dans l’atelier de Antoine Dénériaz à environ 250 éditions par an. La marque Dénériaz se positionne indubitablement sur le haut de gamme.

Nous avons testé les Cruising D, Les essences de bois choisies donnent un ski léger grâce au balsa, tout en restant stable et confortable par l’utilisation du noyer. Les différentes fibres dont celles de carbone apportent de la précision et de la réactivité en courbe. Un ski plaisir pour les pistes, facile à skier. Ce ski est précis et affuté et donne de bonnes sensations sur piste. Il permet aussi de tracer de beaux virages si l’on veut un peu plus attaquer sur les carres et prendre de la vitesse. Des skis qui vous offriront une belle marge de progression sur piste. Leur finition carbone et la qualité du vernis leur offrent une très belle allure.

Il nous a été permis de découvrir également les Dual D. Ces skis sont fait de deux essences différentes de bois pour apporter selon l’environnement des réactivités différentes. La partie en noyer apporte beaucoup de stabilité et de confort sur piste et le frêne donne du snaps en poudreuse. Le carbone apporte quant à lui de la cohésion à l’ensemble ainsi que de la réactivité. Il est de ce fait plus polyvalent que le Cruising D grâce à ses spatules bien plus larges, et donc parfait pour la poudreuse.

Les skis Dénériaz sont en plus de beaux objets, de qualité, fait main, et on aime les posséder autant que les skier.

Colmar sport :

Pour skier ou faire du snow dans de bonnes conditions il faut de bonnes tenues. Colmarmarque fondée en 1923 à Monza en Italie, incarne le luxe et la mode, tout en intégrant des matières haut de gamme et des finitions de grande qualité. Cela se ressent tout de suite quand on met le manteau ou enfile le pantalon. Les coupes sont bonnes, on se sent à l’aise et la sensation de chaleur est immédiate tout en laissant le corps respirer. C’est confortable et pratique pour le sport. La veste de ski Chamonix JKT sunflower, avec son style rétro n‘en est pas moins ultra moderne et fonctionnelle. Son revêtement extérieur en polyamide est bien résistant et sa technologie isolante Piuma Down Daunen en duvet naturel est ultra efficace et vous tient bien au chaud, de plus la veste est un véritable coupe vent. Les nombreuses poches zippées avec curseur camlock sont bien imperméables. Un gros coup de cœur.

Pour aller avec, nous avons choisi le pantalon salopette Fit Ski noir, dans l’esprit retro lui aussi. Il allie trois qualités nécessaires pour la pratique du ski: il est imperméable, coupe-vent et respirant. Son stretch lui donne beaucoup de confort à ski.

La Colmar Texas est tout aussi performante est donne un effet veste de jean très streetwear. Mais surtout cette veste est faite en polyester recyclé, elle associe une membrane imperméable et respirante pour résister aux intempéries hivernales. Pour cette veste, nous avons choisi le pantalon assorti, le Texas Denim. Vous aurez l’impression de skier ou surfer en jean, avec le confort en plus.

Les deux vestes Colmar ont une petite poche quasi invisible sur le bras gauche pour y glisser le forfait et passer rapidement aux portiques des remontées. Un petit plus efficace et bienvenu.

Foodspring :

Durant ce séjour sportif et intense, nous avons pu tester les produits Foodspring. En commençant nos matinées par une dose de Energy Aminos, qui donne un bon coup de boost pour attaquer les pistes. Selon les envies et les besoins pour nos encas, nous avions des protein balls chocolatées, des barres protéinées. Pour ma part, la protéine barre cookie dough remporte la palme des saveurs foodspring. Ou tout simplement une poignée de nuts & berries qui est un mélange de baies goji, myrtille, raisins secs et noix. Un assortiment vraiment bon et plein d’énergie. Mais le must après être rentré de nos longues journées, c’était de prendre le Recovery Aminos, et toute la team Blake est unanime sur le sujet : on a senti la différence. Avec le Recovery les jambes sont moins lourdes, les muscles tirent moins, et on est en pleine forme le lendemain.

Montre connectée Garmin, Instinct Solar :

 Au déballage, on retrouve une montre tout en plastique.  Pas forcément agréable de prime abord, mais elle est bien finie et ce choix de matériaux la rend légère. Elle se fait vite oublier une fois au poignet, point très important pour une montre de sport.
Les multiples fonctions demandent un certain temps d’ adaptation pour gérer les boutons et les différents menus. Mais l’encart en haut à droite de l’écran est bien pensé et permet d’identifier les actions possibles et les menus en cours.
En parlant d’écran, c’ est un simple monochrome, mais très lisible même en plein soleil. Ce choix joue également sur la durée de vie de la batterie qui est assez impressionnante.

Pour les usages testés, principalement le snowboard et une petite marche, ce fut un vrai plaisir. Les éléments affichés pendant « l’action » sont paramétrables et différents types de présentations sont possibles. Lire les informations, comme la vitesse instantanée, ne pose aucun souci même en plein ride. Augmentant encore l’attrait pour ce petit tableau de bord au poignet. Le nombre de descentes est lui détecté automatiquement après chaque remontée et marche parfaitement.
Revoir ses trajets en fin de journée, vitesse, altitude, calories perdues, sur l’ application dédiée et bien conçue elle aussi, est très agréable en avalant un shaker de récup. Autre capacité de cette Instinct solar, c’est de pouvoir effectuer une recharge solaire via son cadran.
Bref, une montre très fonctionnelle à l’usage. Pour son domaine d’utilisation, il n’y a rien a redire et elle deviendra rapidement votre compagnon de monitoring. On regrettera juste la présence d’un chargeur au format unique Garmin, que l’on fera bien attention à ne pas oublier pour son séjour…

 Les masques et casques Bollé

Le plastique des masques est épais tout en restant souple, et très bien fini. Le bandeau élastique est très dense et rassure sur sa longévité. Même les ajouts caoutchouc de la marque Bollé sur le côté respire la qualité.
Côté optique, nous avons pu en tester plusieurs.  Quoi qu’ il en soit, le système magnétique de changement d’écran est très pratique et rapide. Les écrans sont solides et en plus protégés par une housse, fournie, presque rigide. Aucune appréhension de transporter son écran de rechange dans le sac à dos toute la journée.
Côté positionnement, pas de soucis, le nez est par ailleurs bien dégagé, ce qui permet de les porter avec des casques autres que ceux de la marque sans obtenir l’ effet « pince nez », et cela malgré l’ imposante hauteur du masque.
A l’usage, toutes les optiques étaient très convaincantes, rien à dire. Le champ de vision est très large et ne déforme pas la perception.
Le seul point négatif que nous avons remarqué mais qui se fait oublier, est un petit reflet de la monture du nez sur le bas de l’écran quand le soleil vient de côté. Sur le télésiège, on le perçoit, en descendant, il n’est clairement pas assez fort pour nous gêner.
Pour résumer, nous avons tous adopté ces masques.

Les casques Bollé sont quant à eux très confortables.  Ils sont très légers une fois en position et le serrage occipital le plaque parfaitement sur la tête. Le design est plus orienté skieur que snowboarder, et dans un sens, il ressemble assez à un casque de vélo. En snowboard,  avec le vent venant de côté, les oreilles manquent un peu de protection contre le froid, rappelant peut-être encore sa conception plus ski. Par contre, les oreillettes peu épaisses laisse bien passer le son des voix et permettront de mettre des écouteurs dans orienté problème pour ceux qui ride en musique. La ventilation marche très bien. On note également un bon dégagement du front permettant de placer différents masques dans soucis. Un casque très agréable, léger, convenant sans doute plus à des skieurs, quelques soit la tailles de leur masque.

Masque de ski KL X Dragon :

Les Ménuires, c’est du ski intensif mais c’est aussi de la mode. Nous avons donc testé la collaboration sur le masque de ski entre la maison Karl Lagerfeld et Dragon, il en résulte un masque sobre et élégant mais surtout bien fait. Mousse confortable et solide. Champ de vision extra large. Pas de buée grâce au système d’aération sur le haut et le bas du masque même avec un cache-cou remonté jusque sous le masque. Et l’écran de base fait pour le solaire joue parfaitement son rôle en plus de disposer d’un système très fiable pour le bloquer et changer de type d’écran puisque le masque est fourni avec un écran supplémentaire pour le temps plus nuageux.

 

 

Test snowboard : Capita Kazu Kokubo Pro 157cm

Le snowboarder Japonais de légende Kazuhiro Kokubo signe son « pro-model » chez Capita aux graphismes exceptionnels : une fine couche de bois plus légère qu’un revêtement classique et qui rend chaque Kazu unique, ainsi qu’un chef d’œuvre de son tatoueur Japonais pour la semelle.

Son profil « Alpine V2 » présente un cambre classique avec un cambre inversé à l’avant pour un maximum de pop en freestyle ainsi qu’une flottaison idéale et facile en poudreuse.

De plus, par sa forme directionnelle avec une position légèrement reculée ainsi que l’avant bien plus prononcé et plus soft que l’arrière, c’est une valeur sûre pour les sessions backcountry à travers une neige poudreuse et profonde.

 

Notre test :

Classée dans la catégorie Alpine par Capita et non « resort » (« station »), alias « all-mountain », la Kazu est avant tout une planche ferme, réactive et légère prévue pour les fortes descentes en haute-montagne et pour envoyer d’énormes sauts en poudreuse. Son arrière plus dur permet de parfaitement réceptionner de grands sauts mais aussi de mieux flotter en poudreuse car moins prononcé que l’avant.

Son cambre classique en fait une planche très maniable qui relance fort en sortie de carve ; excellente carveuse (petite carve, moyenne et longue sans broncher) qui ne demande qu’à charger à fond à travers n’importe quel type de terrain. Ce qui la rend bien plus versatile que son programme initial, notamment avec son cambre inversé à l’avant qui permet une plus grande facilité d’entrée en virage, cependant elle reste exigeante et conviendra plus aux riders intermédiaires/experts qu’aux débutants.

Une planche qui respire la puissance et le pop, créée dans le plus grand respect de l’environnement à Capita The Mothership®, réservée aux riders au gros cœur qui veulent envoyer du lourd à travers toute la montagne.

Pour ceux qui ne sont pas équipés en ski nous vous recommandons chaudement l’équipe du Sport 2000 Snow sport, équipe familiale et accueil vraiment sympa.

Le restaurant L’Alpin :

 L’Alpin est un restaurant steack house mais surtout il propose à ses clients de vivre un repas sous tente alpine avec tout le confort : peaux de bêtes, poêles, guirlandes lumineuses, et au menu : raclette ou carré de porc. On est reçu en groupe spécialement par une personnes assignée aux services des tentes. Un petit apéritif autour d’un brasero vous est proposé avec les célèbres saucisses Savoyardes, les diots, se mettre en appétit.

Puis on entre sous la tente, où la douce chaleur nous pousse à faire tomber les doudounes. La petite enceinte connectée qui nous est prêtée permet de mettre l’ambiance musicale de notre choix. Quand les plats sont servis, on ne peut que constater que la qualité des produits est là : le fromage de la raclette a un goût prononcé et léger à la fois, et le porc est fondant et savoureux. Les desserts en farandoles achèvent un repas des plus agréables. Si vous voulez passer une belle soirée qui sort de l’ordinaire, les tentes alpines sont le bon plan. Gros plus du lieu la super équipe qui est au petit soin.

Cosmeto pour la montagne :

Les Ménuires, c’est du soleil et du froid. Pour affronter la rudesse du climat, nous avons testé les produits La Biosthétique et plus particulièrement,  la gamme régénérante qui hydrate la peau. Le soin Cold Cream pour se protéger des attaques mordantes du froid est très efficace et pour le retour du ski après une journée au soleil, dont les rayonnements sont amplifiés par la réverbération de la neige, la crème après soleil apaise véritablement la peau.

Avant de vous coucher, et pour se délasser pleinement tout en prenant soin de soi, la gamme spa de La Biosthetique avec le Sea Salt Scrub, puis le Rich Firming Body Cream est une combinaison parfaite pour se tonifier la peau et s’exfolier tout en ressortant de ce soin avec le sentiment d’une peau plus ferme et toute lisse. Nous avons apprécié particulièrement les senteurs de beurre de karité et florales de la Rich Firming Body Cream qui donnent un sentiment très cocooning et réconfortant.

Nous avons emmené aussi le UFO mini 2 mint de chez Foreo, un appareil aux multiples talents pour vous permettre d’avoir un soin du visage quasi complet aux options variées. Ce petit galet connecté permet de faire des soins presque comme dans un institut : il chauffe, vibre (vibrations soniques) et utilise la luminothérapie. Toutes ces fonctionnalités permettent de mieux faire pénétrer les actifs dans la peau, et / ou de booster la circulation sanguine. Pour être très honnête, cela fonctionne vraiment bien. On sent que les produits pénètrent bien la peau, en tout cas mieux qu’avec nos doigts et surtout après le soin, la peau est visiblement plus hydratée et lumineuse. Nous avons été conquis.

 

 

Lifestyle hors piste :

La team Blake a porté hors des pistes les vêtements de la marque Superdry dont la tenue des matières est véritablement remarquable et offre un confort et une chaleur appréciable pour l’après ski. La marque Stetson fait des bonnets classiques, mais chaud, et des casquettes très styléesLes doudounes Ellesse sont des classiques indémodables, et nous avons particulièrement aimé la White Camo. Les pulls Woolrich ont une très bonne facture et une bonne tenue. Eastpack et leurs pochettes éditions spéciales Avengers furent bien pratiques pour caser nos affaires.

Enfin, un gros coup de cœur pour les solaires Bollé, Calvin Klein, Victoria Beckham, Arnette et Ralph Lauren que vous retrouvez sur les photos de notre reportage.

 

Nous avons également testé la gamme technique de la marque  Atlas for men . Des vêtements abordables, chauds et efficaces. Pour les doudounes montagne de cette marque, réservez les plutôt pour l’après ski, elles ne permettent pas de résister au grand froid ou froid prolongé.

Apnée sous glace :

Les Ménuires offre activité hors ski exceptionnelle et rare : de l’apnée sous glace. C’est Dan Arbogast qui encadre l’activité. Dan est instructeur d’apnée professionnels, mais aussi Vice Président France, juge, et instructeur de Aida France, la Fédération internationale d’apnée. Bref nous sommes entre de bonnes mains.

Après 45 min de marche d’approche à travers la montagne depuis les Ménuires en direction du Lac du Lou, on arrive dans un petit refuge qui date de 1845. En contrebas quelques trous on été fait dans l’épaisse croûte de glace qui s’est formée sur le Lac du Lou. Le temps d’écouter les instructions de Dan et d’enfiler une combinaison d’apnée néoprène de 14mm, qui vous donne l’impression de devenir un morse, et l’on descend vers le lieu de l’activité. Dan est extrêmement pédagogue, calme et bienveillant.

 

Pendant 45 minutes, une heure, Dan accompagne cette découverte de l’apnée sous glace pas à pas. J’ai cru le temps d’un instant revivre la scène du grand bleu, j’entendais presque la musique d’Eric Serra. Le corps s’habitue lentement à l’eau que l’on perçoit à peine froide, l’esprit doit s’habituer à plonger sous l’eau en altitude, car le cerveau nous dicte de remonter plus vite à la surface alors que l’on vient d’inspirer à plein poumon. Et après quelques descentes verticales le long d’une corde pour augmenter sa capacité d’apnée, Dan nous invite à faire une première longueur sous glace (l’instructeur nous suit discrètement, il est toujours là pour assurer notre sécurité) nous passons d’un trou à un autre. Première longueur, 8 mètres, 20-30 secondes d’apnée en tout, au plus court, sauf si vous voulez profiter du spectacle et prenez votre temps.

Exceptionnel, hors du temps, atypique…

Après libre à vous (et en convenant cela avec Dan) de tenter le trou à 12 mètres ou à 18 mètres.

Une activité que Dan est le seul à proposer en Europe, il a même accompagné des gens qui ne savaient pas nager ou encore des handicapés. Un homme qu’il faut rencontrer.

 

Article écrit par : Alexis Dumétier, Adrien Barthou et Maxence Manasterski

Vidéo réalisée par : Alexis Dumétier

Assistante vidéo : Lucie Fricheteau

 

Photos : Alexis Dumétier, Adrien Barthou, Laureleen Jacquet

 

Lien et infos :

https://www.50shadesofblue.fr

https://lesmenuires.com/fr/

https://www.les3vallees.com/fr

https://www.hotel-ours-blanc.com/spa

 

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GastronomieMagazine

Noël : Nos Idées gastronomiques

Le soir de Noël arrive à grands pas et que vous soyez près ou non, en famille entre amis ou seul nous avons pensé à vous. Des idées de mets, de bûches et même une belle adresse pour vous régaler en cette fin d’année.

La bonne adresse :

 La daronne : Restaurant, que dis je, pépite du quartier Réaumur-Sébastopol, Margaux, Jules, Alexis et Clément vous reçoivent dans ce lieu chaleureux et convivial où le chef, Jules Recoquilln, passé par le Georges V et Apicius, propose une cuisine fine, particulièrement bien exécutée et à la présentation soignée. Pour le menu de fête vous pourrez vous régaler avec des Saint-Jacques rôties accompagné d’un craquant et d’œufs de saumon, ce qui offre un jeu de texture superbe pour cette entrée à la cuisson parfaite, puis un râble de lapin truffé et son râpée de truffe fraîche, très festif et au jus de viande envoûtant et un dessert tarte au chocolat grand cru et voile de framboise léger et gourmand en même temps. Le lieu idéal pour un repas de Noël.

Foncez-y ! Vous pourrez le déguster jusqu’au 23 décembre.  10 Rue Marie Stuart, 75002 Paris –  www.ladaronnerestaurant.com

Les mets :

Truffe Alena : Producteur de truffe noir du Périgord, vous pouvez même adopté un chêne truffié qui vous permettra de bénéficier tous les ans pendant 15 ans de 50g par an de truffe. La nouveauté chez Alena en plus des classiques truffes entières, ce sont les truffes en suprêmes : de la truffe packagée dans des boîtes type caviar pour permettre de garder un maximum de fraîcheur. Super produit pour vos recettes de fêtes. truffe-alena.com

Perle Noire : la marque française Caviar Perle Noire propose un coffret d’exception comprenant son Caviar Classique, au puissant goût iodé accompagné d’une vodka inspirée des saveurs du terroir périgourdin, racine de la marque. châtaignes et céréales anciennes, tel que le sarrasin, sont distillées artisanalement dans un alambic traditionnel, à partir de l’eau des sources de la distillerie de l’Ort, où est distillée la vodka. » On y retrouve bien les notes de châtaignes de ce fait et cela se marie parfaitement avec le caviar, trouvaille originale pour déguster à la russe le caviar.

 

Fondée en 2016, Aurea Ova fait découvrir des Caviars rares et d’exception à une clientèle d’amateurs, de non initiés et de professionnels exigeants
Elle allie ainsi le meilleur de la nature, de la tradition et des pratiques respectueuses de l’environnement pour vous offrir des Caviars frais semi sauvages.

Parfait à déguster avec la vodka de chez Kaviari

Sturia et Christofle : Plus que du caviar c’est une véritable pièce de collection, « La perle Sturia x Christofle » est l’incarnation de ce processus créatif, dont le design et la forme – qui évoquent un grain de caviar – s’inspirent de l’emblématique MOOD by Christofle, écrin à couverts pour le moins culte de la maison Christofle. Initiée par Sturla et réalisée par Christofle, « La perle Sturia x Christofle » se compose d’un socle en porcelaine française à l’aspect texturé sur lequel apparaît en relief la mosaïque caractéristique de Sturia. La cale, qui sert à accueillir la boîte de caviar, ainsi que la cloche sont en métal argenté. Et dans cette perle vous pourrez y mettre un contenant allant de 15g à 125g de caviar sturia de votre choix.

Pour beaucoup, pas de repas de Réveillon sans saumon. Celui de chez Bellota Bellota & Byzance vient de mer d’Ecosse, produit par une petite entreprise locale à la pointe de l’élevage durable et qui respecte les normes les plus élevées en matière de bien-être et d’environnement. Fumé de manière traditionnelle dans un petit fumoir local, sur du bois de chêne et de hêtre, le saumon bio Ecossais est tranché à la main et dégage des saveurs délicates, complexes et parfumées.

Pour les inconditionnels du foie gras à Noël, nous avons sélectionnés ce foie gras de canard entier du Sud-Ouest millésime 2021 de chez Larnaudie.

Les gourmandises :

Patrick Roger : et ses fameux marrons glacés, le maître chocolatier fait aussi des merveilles avec les marrons. Les choses simples sont bien souvent les plus dures à réussir, ici Patrick Roger fait un marron glacé efficace.

Nous avons craqué pour les sublimes mini baba de Noël aux fruits confits du Comptoir de Mathilde.

Un de nos coups de cœur gourmand: les gaufres de la Maison MEERT. Un délice absolu!

Les bûches :

Yann Couvreur : Yann Couvreur a souhaité présenter un dessert aussi gourmand qu’esthétique autour de saveurs simples, déclinées en différentes matières et textures. Cette bûche signature est composée d’un crémeux moka d’Ethiopie, d’un biscuit craquant et d’un savoureux caramel au café. Le caramel est délicat et peu sucré et le café explose en bouche sans masquer le reste des saveurs. Une réussite légère et avec les petits renards comme des bonbons de chocolat cette bûche est particulièrement gourmande.

Yann Couvreur propose aussi une nouvelle version de sa bûche Isatis, mousse et caramel vanille bleue, praliné et biscuit noix de pécan. Le caramel domine et les autres saveurs pointent en délicatesse, la mousse est légère. Une bûche pour 6 ou 8 personnes selon la gourmandise de chacun. www.yanncouvreur.com

La bûche FAMILY, et la bûche Isatis sont vendues 90€ chacune et seront disponibles en retrait dans toutes les boutiques Yann Couvreur ou en Click and Collect depuis le 18 décembre à Paris et en banlieue parisienne.

Angelina : le célèbre salon de thés parisien, propose une bûche adaptée de son célèbre Montblanc. Un délice de crème de marrons fondante et de meringue croustillante.

Nicolas Guercio : le Chef a souhaité replonger dans ses souvenirs d’enfance avec cette bûche, en associant une mousse de mandarine légère enrobant un biscuit moelleux sans gluten au chocolat à un croustillant chocolat noir. Une crème brûlée mandarine aussi surprenante que délicieuse, une mousse chocolat noir 64% Valrhona et une gelée de mandarine viennent sublimer cette bûche pour un équilibre parfait. Sans oublier une pointe de mandarine Napoléon, la liqueur aux saveurs d’agrumes. Une réussite légère et fraîche pour la fin du repas.

Bûche pour 6 personnes au prix de 95€ – Sur réservation par téléphone au 01 49 54 46 00 jusqu’au 22 décembre 2021. Hôtel Lutetia : 45, bd Raspail – 75006 Paris – hotellutetia.com/fr

Kaffeehaus – gastronomie d’Allemagne et d’ailleurs – et le chef Ralf Edeler signe une collection de bûches qui raviront les yeux et les palais pour les fêtes de fin d’année 2021. Nous avons littéralement fondu pour la bûche Forêt Noire.

Pierre-Jean Quinonero : le chef a travaillé autour de la cire d’abeille dans ses préparations, offrant des saveurs sucrées florales à sa bûche : nous sommes sur un biscuit noisette, avec des éclats de praliné noisette, on retrouve une mousse à base de cire d’abeille et une infusion cire-crème vanille et une marmelade de clémentines pour la fraîcheur. En bouche c’est très équilibré et gourmand. Pierre-Jean Quinonero, a imaginé une bûche en trompe-l’œil, sous la forme d’une farandole de bougies chaleureuse de Noël. 12 bougies pour 12 convives, qui selon leur appétit pourront choisir le format qui leur conviendra.

Le Burgundy, Sur réservation par téléphone au : 01 42 60 34 12, 8 Rue Duphot -75001 Paris – www.leburgundy.com/fr

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Le Bulgari Hotel : l’excellence Italienne au cœur de Paris

Le Bulgari Hotel Paris est la dernière création de la collection Bulgari Hotel & Resorts qui compte déjà des hôtels à Milan, Bali, Londres, Pékin, Dubai et Shanghai, auxquels s’ajouteront prochainement ceux de Rome (2022), Moscou (2022), Tokyo (2023), Miami (2024) et Los Angeles (2025). Au cœur du célèbre Triangle d’Or parisien, le Bulgari Hotel Paris est une expérience à part entière aussi bien pensée pour les visiteurs de la ville que pour les Parisiens. Rompant avec les codes traditionnels de l’architecture parisienne, l’élégant bâtiment du Bulgari Hotel Paris enrichit le 8ème arrondissement par son style contemporain.

À l’instar de tous les établissements Bulgari Hotels & Resorts, le Bulgari Hotel Paris a été conçu par le cabinet d’architecture italien Antonio Citterio Patricia Viel. Les espaces intérieurs et extérieurs ont été pensés avec le même souci du détail et la même précision accordés à une création Bulgari, soulignant les codes propres aux établissements développés par la Maison de joaillerie romaine. Le Bulgari Hotel Paris propose 76 chambres, dont 75 % sont des suites, la plupart disposant de terrasses et de loggias. Chaque chambre a été conçue comme un véritable appartement privé, meublé avec soin de marques de mobilier de luxe de la plus haute qualité. Les œuvres d’arts et portraits de célébrités proches de la Maison Bulgari ajoutent la touche de personnalité caractéristique des Bulgari Hotel & Resorts.

Perché sur le toit de l’édifice, le Bulgari Penthouse marque l’apogée de cette philosophie. Sur deux étages et avec une surface de plus de de 1000 m2 dont 400 m2 d’espaces interieurs et 600 m2 d’extérieur, le Bulgari Penthouse dispose d’un jardin suspendu entièrement aménagé et arboré de plantes méditerranéennes et d’arbres fruitiers qui offre une vue panoramique sur les monuments emblématiques de la capitale française.

 Le point culminant de l’offre culinaire sera « Il Ristorante – Niko Romito », par le Chef aux trois étoiles Michelin, Niko Romito, qui a élaboré ce concept pour tous les Bulgari Hotels & Resorts, mêlant cuisine italienne classique et moderne, et misant sur les ingrédients essentiels de la culture, de l’élégance et de la vitalité du Made in Italy.

Adjacent au restaurant, le Bulgari Bar est un lieu où s’exprime toute la générosité et l’élégance de l’esprit de la Maison. Ouvrant sur le jardin, Le Bulgari Bar est appelé à devenir l’une des destinations de choix de l’Ouest parisien. Situé juste à côté, le Lounge – avec ses fauteuils profonds, son imposante cheminée et son plafond inspiré d’une minaudière Bulgari – se prêtera à toutes les retrouvailles.

S’étendant sur 1300 m2 et deux niveaux, le Bulgari Spa du Bulgari Hotel Paris offrira lui aussi une expérience inédite grâce à sa piscine de 25 mètres, l’une des plus grande parmi les hôtels de luxe parisiens. L’espace fitness doté des dernières technologies et des méthodes d’entraînement du Workshop Gymnasium, créées exclusivement pour Bulgari par Lee Mullins, inclut également un studio d’entrainement privatif.

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GastronomieMagazine

Le Club Pierre Charron et son restaurant secret

Le Club Pierre Charron reçoit dans sa « salle à manger », à deux pas des Champs-Élysées, pour le temps d’un dîner, d’un souper ou juste d’une pause gourmande ses invités. Les tables de ce restaurant bien caché, à la taille d’un boudoir secret, sont loin de la foule et de l’excitation de l’une des avenues les plus fréquentées du monde et en même temps toute proche, de l’excitation des tables de jeux.

Trouver cette adresse semble donc une affaire d’initiés. En effet, aucune indication, ni enseigne sur la façade haussmannienne pour trouver le Club Pierre Charron : ce Club de Jeux se veut discret, à contre-courant du clinquant associé aux jeux d’argent. Et pourtant aucune obligation de jouer sur les tables du casino ou encore au poker pour profiter de son restaurant. Une enclave gustative qui perpétue l’art de recevoir et une certaine idée de la cuisine française, entre héritage et air du temps. Le service est très soigné, et l’équipe en salle attentive. Dans ce club on se sent VIP que l’on joue ou pas, et cela, dès l’entrée dans les lieux.
Le Chef, Eddy Bajeux, qui a été formé dans de belles maisons parisiennes, de l’hôtel Costes à La Maison Nordique, suit la saisonnalité des produits : en ce moment vous pourrez déguster un cappuccino de châtaigne et mousse de cèpes, très bien exécuté et réconfortant.
Il se passionne pour les assaisonnements créatifs et la précision des belles cuissons. À l’image de son saumon laqué miso, juste snacké et relevé de gingembre confit, ou encore son veau fondant et rosé à cœur mais pourtant parfaitement saisi, ce qui en conserve toutes les saveurs et la tendreté.

En dessert j’ai craqué pour un fondant au chocolat et là encore la promesse est respectée, et pour moi, amoureux de chocolat, ce dessert est véritablement chocolaté : tout en générosité et en amertume. Un délice. La carte des vins est bien faite et permet de beaux accords, comme ce soir-là avec un Condrieu 2018.
On en oublierait presque que nous sommes dans un club de jeu. Et pourtant le lieu est pensé, dédié à cela. Et d’une belle manière : lumineux, spacieux, de beaux volumes, l’élégance de posséder des œuvres d’arts aux murs. En plus de son restaurant vous pouvez aussi bénéficier d’un fumoir avec une cave à cigare.
Mais revenons aux jeux puisque c’est l’essence du lieu : C’est le Groupe Marval qui a choisi Paris et son triangle d’or pour ouvrir son premier établissement dédié aux jeux en 2020 : le Club Pierre Charron. Grégory Benac joueur passionné, familier des plus grands tournois de poker en est le créateur. Il a choisi pour ambassadeur : Bruno Fitoussi, l’un des pionniers du poker en France. C’est lui qui avait lancé les premiers tournois de poker à l’Aviation Club de France.
Ce qui est surprenant au Club Pierre Charron, c’est que vous pourrez y croiser des hommes comme des femmes, de tous horizons et classes sociales. Cela démystifie l’idée que l’on peut se faire de ces lieux de jeux. De plus, tout un service existe pour vous initier si c’est votre première fois ou tout simplement si vous le désirez.
D’ailleurs pour ceux qui ne veulent pas quitter le jeu, le restaurant du Club sert aussi aux tables de jeux.
Et pour ce qui est du jeu vous avez le choix :
Pour le Poker, 13 tables de Cash-Game de 7 à 8 joueurs par table, en Texas Hold’em, ou Omaha.
Pour les Grands Jeux, 12 tables de jeux de contrepartie, de 5 joueurs par table :
Punto Banco, Ultimate Poker, Poker 21, Poker 3 Cartes, Stud Poker.
Un lieu à découvrir donc pour jouer ou tout simplement pour y manger. Le restaurant sert de 13h à 5h du matin et les prix aux vues de la qualité de la table et du lieu sont véritablement raisonnables. Pour nous c’est le meilleur spot food des noctambules du quartier.
Infos pratiques :
62 Rue Pierre Charron, 75008 Paris
7J/7 de 13h à 6h du matin / Entrée libre
Voiturier / Vestiaire / Fumoir / Wifi / Distributeur de billets
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The Peninsula Paris, Le Lili et son Chef Dicky To

Le Palace The Peninsula Paris fait partie des plus beaux hôtels de la capitale. Si le bâtiment est classé au patrimoine historique c’est parce que son histoire est riche. L’origine, Sur l’emplacement actuel du Peninsula Paris, s’élevait un palais construit en 1864 pour le comte Alexander Petrovitch Basilewski, un aristocrate russe qui aimait à l’appeler son « petit Versailles ». Le nouvel édifice devint rapidement l’objet de toutes les conversations à Paris et, pour la première fois, le site du futur Peninsula Paris exerça une irrésistible attraction sur les mondains. On y donnait des réceptions pratiquement tous les soirs quand le comte était en ville, le plus souvent à la demande insistante de ses trois filles.

 

En 1906 La propriété a été acquise par le magnat viennois de l’hôtellerie Léonard Tauber après une guerre d’enchères qui a impliqué le gouvernement des États-Unis et le roi de Belgique. L’emplacement de la propriété, à la fois proche du bois de Boulogne, de l’Arc de triomphe, de la tour Eiffel et du Trocadéro, constituait un atout majeur aux yeux de Tauber. Ce site offrait à Tauber l’exceptionnelle opportunité d’élargir son empire en construisant «un hôtel aristocratique sans rival» qui, une fois terminé, pourrait se targuer d’être le plus grand hôtel d’Europe. Le palais est alors démoli et remplacé par un hôtel de luxe, le Majestic. L’édifice est construit dans un mélange de styles d’inspiration classique encore très en vogue à la Belle Époque : le style Haussmannien, réhaussé de touches décoratives néoclassiques. A l’époque l’hôtel compte 400 chambres et c’est le premier à proposer des salles de bains privées pour 350 de ses chambres.

 

Depuis le Peninsula a traversé l’histoire, et vécu bien des choses, depuis 2007 c’est la renaissance d’un Palace parisien, le bâtiment est vendu par l’Etat français à un groupe hôtelier à la société hôtelière qatarie Katara Hospitality, qui en 2009, annonça un accord avec The Hongkong and Shanghai Hotels, Limited (HSH) pour créer The Peninsula Paris. L’établissement actuel est le fruit d’un réaménagement qui a pris 4 ans de 2010 à 2014. Un travail titanesque, fait en étroite collaboration avec les organismes chargés du patrimoine Français.

Si nous vous parlons du Peninsula aujourd’hui c’est pour vous faire découvrir l’un de ses restaurants d’exception, Le Lili et son Chef Dicky To.

Le restaurant Lili :

La décoration intérieure du Peninsula est réalisée sous l’égide d’Henry Leung. Le restaurant LiLi, est situé à l’emplacement de l’ancienne salle à manger de l’hôtel Majestic, Leung choisit comme thème de la décoration intérieure la passion commune des cultures françaises et chinoises pour l’opéra. Le concept repose sur l’association d’éléments chinois à l’Art déco de la fin des années 20. Dès l’entrée du restaurant une gigantesque installation de cristal, représentant la coiffe traditionnelle d’une cantatrice chinoise (qui pourrait être Lili). C’est l’artiste coréenne, basée à New York, Ran Hwang qui a créé ce scintillant chef-d’œuvre en hommage à l’opéra chinois. Il est composé de 32 831 cristaux montés sur broches et insérés dans une base de plexiglas.

On pénètre dans la salle par un corridor très haut de plafond. L’ambiance est feutrée, la lumière chaude et tamisée, on croirait en effet entrer dans une salle de spectacle ou être l’un des personnages de Wong Kar-wai dans In the mood for love. Une fois dans la salle principale un splendide dôme, inspiré de l’installation acoustique d’une scène d’opéra de Shanghai, domine le décor théâtral du restaurant. Les boiseries, les peintures, les lumières, les rideaux rouges gigantesques et les embrasses de soie bleue monumentale : on pénétre dans un univers onirique.

Le LiLi propose une cuisine chinoise progressive avec des influences françaises.

Nous avons découvert la table du LiLi qui propose un menu où se distinguent des dim sum raffinés, une salade de saumon «Lo Hei» aux jeux de textures surprenants qui donnent envie de ne plus s’arrêter, un riz frit au foie gras exceptionnel, mais si nous devions garder un seul et unique souvenir, ce serait le bœuf au wok du Chef Dicky To.

Ce bœuf saisi au wok, exprime toutes les saveurs d’un feu puissant, avec des notes grillées et si particulières au wok, tout en ayant à cœur une viande juteuse, avec un goût de bœuf qui explose littéralement en bouche, et fin du fin une viande qui fond sous la dent comme jamais. Incroyable.

 

Pour ceux qui aiment faire des accords mets/vins divers et étonnants, sachez que le livre de cave du Lili est très fourni. Il bénéficie de la même cave que L’Oiseau Blanc, le restaurant étoilé du Peninsula Paris. Ainsi vous pouvez découvrir des vins natures, des grands châteaux et des millésimes d’exception. Vous pourrez même trouver un millésime spécial de 1908, mis en bouteille l’année de l’ouverture du grand hôtel de l’époque.

Dicky To est à la tête du restaurant Lili. Le chef originaire de Hong Kong est né en 1974. Il exerce ses talents de maître wok et de chef cuisinier au Lili depuis décembre 2018.

Dicky To, 2021, par A. Dumétier

Avant cela il est passé par différents restaurants. Pour mieux le connaître et comprendre sa cuisine nous l’avons rencontré, voici son interview :

 

Quel est votre parcours ?

Je travaille en tant que chef depuis plus de 30 ans. Dès l’âge de 15 ans, je travaillais pour un restaurant cantonnais de fruits de mer à Hong Kong. A l’âge de 27 ans j’ai commencé à être un Chef, et petit à petit j’ai commencé à apprendre l’anglais, tout l’aspect administratif du travail d’un restaurant, à utiliser l’informatique. A 32 ans j’ai eu mon premier poste dans un Hôtel de Hong Kong de Chef exécutif. Après cela je suis allé vivre à Macao pendant deux ans, toujours comme Chef exécutif, et pour moi c’était la première fois que j’allais à “l’étranger” (rire). Ensuite j’ai eu une opportunité à Shanghai, je m’en souviens car c’était l’exposition universelle, j’ai donc saisi cette opportunité et j’ai rejoint le Peninsula Shanghai, après quelques temps j’ai été transféré au Peninsula de Tokyo et après je suis venu ici, à Paris.

 Quel est votre premier souvenir lié à la cuisine ?

Je me souviens encore de la première fois où je travaillais dans une cuisine chinoise professionnelle. C’était le restaurant de fruits de mer de Dunhuang.  Je regardais les cuisiniers et je les trouvais tous très beaux, ils utilisaient le wok avec une grande agilité et une bonne rythmique, il y avait une grande énergie qui se dégageait de leur travail. J’aimais apprendre au sein de cette brigade. La première fois que j’ai eu l’opportunité de cuisiner, c’est quand le Chef a quitté le poste des woks et qu’une commande est arrivée. Je regardais tous les jours comment le Chef cuisinait, avec envie et pour moi il était impossible de ne pas saisir cette opportunité de cuisiner à mon tour un plat pour des clients. Alors que je finissais presque de préparer le plat, je m’en souviens encore parfaitement, c’était un riz frit, le Chef est revenu en cuisine. Il m’a regardé, je l’ai regardé,…il a goûté le plat…il n’a rien dit…et après quelques secondes, il a dit : “ok, amenez le plat en salle”…J’étais très heureux et soulagé (rire).

Comment en êtes-vous venu à travailler comme Chef dans une cuisine ?

A l’âge de 15 ans, pour être honnête, ce n’était pas un choix de cœur, je voulais avoir de l’argent pour sortir, jouer avec mes amis. Après quelques années je me sentais mal dans ce travail, les fêtes, Noël, Saint-Valentin, le Nouvel An, en tant que Chef dans une cuisine, vous devez travailler encore plus, spécialement dans ces moments-là. Je voyais mes camarades qui ne travaillaient pas dans mon milieu, sortir, qui s’amusaient, qui profitaient des fêtes, c’était dur pour moi. J’ai alors quitté l’univers de la restauration, durant quelques mois. Je me suis demandé à cette époque si j’aimais cuisiner, si j’aimais travailler en cuisine. Je suis donc allé travailler dans d’autres industries mais je me suis rendu compte que cela ne m’allait pas. J’ai compris que le lieu où je me sentais le mieux, c’était une cuisine. J’ai alors repris le chemin des fourneaux, jusqu’à aujourd’hui.

Quelle est la personne qui vous a le plus influencé dans votre carrière de Chef ?

Les personnes très importantes avec qui j’ai appris mon métier de Chef, ont été peu nombreuses, mais elles m’ont beaucoup influencé. Le premier Chef important dans ma vie professionnelle, s’appelait Chef Leung Coeng, à cette époque je travaillais encore à la découpe. Dans une cuisine cantonaise, dans la partie du chaud, il y a deux sections différentes : l’une est le wok et l’autre c’est la découpe, juste tenir le couteau. Et à cette époque, je tenais le couteau. Un jour le Chef Leung Coeng m’a demandé : “Crois-tu que travailler dans une cuisine c’est ton métier, que tu ne changeras jamais pour un autre ?” J’ai dit : “oui”. C’est alors qu’il m’a encouragé et inspiré.  Il m’a dit : “Dans ta situation actuelle, tu es comme une vache, tu travailles sans réfléchir. Tu dois avoir une vision de ce que tu fais, une idée de toi-même, un but à atteindre. Si tu en as une et que tu aimes cuisiner, tu devrais te mettre au poste du wok. Parce qu’aujourd’hui dans la cuisine cantonaise les choses changent. Avant le Chef de cuisine était celui qui tenait le couteau, c’était lui qui tenait le business. Maintenant la tendance a changé, les gens veulent d’un chef qui cuisine et non qui découpe. Si tu n’as pas assez d’expérience au wok il te faudra tout réapprendre depuis la base.” J’ai réfléchi pendant plusieurs jours à ce qu’il m’avait dit, je n’ai pas dormi pendant deux, trois nuits. Je pensais ne pas pouvoir le faire à l’époque mais c’était un bon challenge. J’ai alors tout appris depuis les bases du maniement du wok, pour petit à petit parvenir à être Chef wok. Je pense que Chef Leung Coeng a été le premier et le plus important pour moi dans ma carrière, pour changer et définir un but pour moi-même : je savais alors où j’allais, ce que je devais faire pour mon avenir.

 Quel est le plus important en cuisine pour vous ?

Pour moi le plus important en tant que Chef c’est de créer des plats qui soient goûtus et que ces saveurs spécifiques restent à jamais en mémoire pour la personne qui découvre ce plat.

Quel est votre moment préféré en cuisine ?

Le moment le plus important pour moi alors que je travaille au wok, c’est quand je regarde mon équipe, qui est en pleine ébullition avec beaucoup de positivité. Même dans une situation de tension, l’équipe reste toujours focalisée sur la méthode et l’objectif qui est de satisfaire le client. Pour moi, c’est le moment le plus joyeux.

En tant que Chef wok, quelle est votre particularité ?

 Je dirais que peu importe ce que je cuisine avec un feu fort, dans un wok, que ce soit avec de la sauce ou sans sauce, le plus important est que l’on sente que ce plat a été fait au wok avec les saveurs spécifiques que cela apporte. Et peu importe le plat, je dirais que c’est l’une de mes forces.

 Quel est l’aliment que vous aimez le plus cuisiner ?

 L’ingrédient le plus délicat pour moi à cuisiner au wok, c’est le bœuf. Qu’il soit découpé finement, en lamelles, en cubes, vous devez alors utiliser différentes températures toujours dans le wok. Le challenge est là, comment rendre la viande tendre, avec du goût, juteuse, et cela va aussi se jouer avec la combinaison d’ingrédients qui ira avec. Et ce challenge-là, j’adore le relever à chaque fois.

Quels sont les ingrédients que vous avez découverts en France ?

 Nous utilisons le foie gras, et pour le homard nous utilisons le caviar. Avant tout, le caviar qui est un ingrédient haut de gamme, apporte beaucoup de goût. Vous savez tout de suite que c’est un plat marin. Il permet de mettre moins de sel. Le caviar rend la texture du plat plus douce, plus naturelle.

Quel est votre plat signature ?

Je dirais, même si c’est un plat simple, le riz frit au foie gras, car c’est le plat que les gens reconnaissent tout de suite. Même si c’est un simple riz frit, on fait tout pour ne pas le rendre si simple. Nous utilisons un foie gras local, que les français aiment. Et nous utilisons du poivre noir, et la technique de cuisine est cantonaise, avec une cuisson du riz au wok. C’est une combinaison de cuisine, et ce plat est devenu très populaire. J’ai aimé mettre quelque chose que j’adore dans ce plat et que les gens ont aimé : du poivre noir. Pour moi c’est un peu unique de mettre du poivre noir pour faire un riz frit, jusqu’ici je ne l’ai jamais vu dans un autre restaurant.

Quel type de poivre noir utilisez-vous ? Pouvez-vous nous donner le secret ?

 (rire) Ce n’est pas un secret, juste du poivre noir très simple…(rire)

Comment créez-vous les plats de la carte du Lili ?

J’essaye de travailler mes idées, seul d’abord, dans ma tête. J’essaye de trouver ce que l’équipe pourrait mettre en œuvre. Une fois l’idée formalisée dans mon esprit, j’en parle avec ma brigade pour créer réellement le plat.

Pouvez-vous nous parler du Lili et de son ambiance ?

J’aime ce restaurant Lili car c’est un lieu d’interaction fort entre les clients et l’équipe en salle. C’est une véritable scène ici. La thématique de décoration c’est l’Opéra, un mélange entre l’opéra européen et l’opéra chinois. Les invités viennent ici pour voir le spectacle. Pour moi, mon équipe en salle, c’est comme un ballet, et parfois je viens aussi en salle voir les convives, je viens dire bonjour. Et ce sentiment d’être sur une scène, d’être à l’opéra, je ne le trouve nulle part ailleurs. Regardez le dôme derrière moi; pour moi c’est la plus belle partie du restaurant, cela montre le centre de la scène, de la salle, je n’ai jamais vu un restaurant aussi beau.

Quel est votre souvenir culinaire d’enfance ?

 Quand j’étais enfant j’aimais les choses croquantes, craquantes, vous ne pouvez pas vous arrêter de manger. Bien sûr il y a le goût, mais il y a aussi le son et la texture. Pour moi c’était ce qui m’attirait le plus.

 Maintenant que vous êtes Chef, comment retranscrivez- vous ce souvenir d’enfance ?

Je peux vous donner des exemples qui illustreront comment cette texture croquante, m’influence encore aujourd’hui. Nous avons une salade de saumon “Lo Hei”, composée de légumes croquants, de saumon, de sauce, mais nous ajoutons également un ingrédient croquant. Face à ce plat vous pouvez vous demander pourquoi avoir ajouter du croquant avec du saumon, mais quand vous le dégusterez vous comprendrez pourquoi. Le plat n’est pas seulement délicat, avec la texture douce du saumon, vous avez un jeu de texture, et vous ne pouvez plus vous arrêter. Un autre exemple, encore une foie avec le riz frit au foie gras. Pourquoi vous combinez dans un plat riz souple et riz croquant ? C’est parce que c’est cela qui attire les gens.

 Pour vous quel est le meilleur accord mets/vins ?

Pour moi, l’accord parfait pour la cuisine cantonaise, c’est le thé, d’abord parce qu’ils viennent du même endroit, mais aussi parce que quand on déjeune et que l’on se sent un peu “lourd”, alors on boit un thé et l’on se sent mieux. C’est au-delà de l’accord mets/vins, cela aide à digérer. Nous avons six différents thés, donc selon ce que vous mangez, vous accordez : vous mangez quelque chose d’un peu gras, le meilleur est un thé Pu erh, par contre si vous mangez quelque chose de délicat et d’élégant, un thé floral, un thé vert, sera mieux.

Si vous deviez manger un dernier plat, quel serait-il et quel serait l’accord ?

Ce serait des gâteaux traditionnels de lune, fourrés à la pâte de graine de lotus, et on boit un thé Pu erh, c’est l’accord parfait !

Photo A.Dumétier

 

 

https://www.peninsula.com/fr/paris/hotel-fine-dining/lili-cantonese-chinese

 

 

 Article écrit par Alexis Dumétier

Vidéo réalisé par Alexis Dumétier

 

 

 

 

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ArchivesGastronomieMagazine

Eminente : un peu de Cuba à Paris

Eminente…Vous rêvez de Cuba ? il n’est pas si loin. Depuis le 30 septembre et jusqu’au 12 décembre 2021, l’Hôtel Eminente nous ouvre les portes d’un Cuba onirique et surprenant. Un lieu éphémère qui propose de nombreuses expériences sensorielles et culturelles en plein cœur de Paris. Dans tout l’hôtel et jusque dans les chambres, le parfum de la canne à sucre et les notes du rhum Eminente. Ce lieu éphémère a été créé spécialement autour du rhum Eminente. 

Le Ron Eminente :

Pour l’histoire, selon les origines du breuvage on parle de ron, de rum ou de rhum. En France on utilise l’orthographe rhum, mais on parle bien du même produit à chaque fois, un alcool conçu à base de canne à sucre. La différence vient donc plus du lieu où il est fait. Les rums viennent de la Barbade et de la Jamaïque, les rhums désignent une eau de vie produite en Guadeloupe, à Haïti, en Martinique, sur l’île de Marie-Galante ou de la Réunion. C’est le goût dit « français ». Pour ce qui est des rons cela nous indique qu’ils sont en provenance  de Cuba, de Porto Rico, d’Amérique du Sud ou encore de Guyane.

Eminente est un nouveau rhum cubain, élaboré au cœur d’une île que ses habitants surnomment «Isla del Cocodrilo», sa forme peu commune évoquant celle de son crocodile endémique. Imaginé par César Martí, plus jeune Maestro Ronero (Maître Rhumier), Eminente est un rhum riche et structuré, puisant son inspiration dans les eaux-de-vie de canne cubaines du XIXème siècle, caractérisées par leur complexité aromatique.

Eminente Réserva, est un rhum cubain de 7 ans d’âge : un rhum vieilli en fût de chêne, ce qui lui apporte des notes douces de vanille, de cacao et d’amande grillée. Un rhum aux saveurs de canne à sucre marquées, une pointe poivrée sur un léger fumé.

L’hôtel :

Au 20 rue Pascal dans le 5ème arrondissement de Paris, la végétation a repris ses droits. Derrière la végétation, un petit hôtel cubain ouvre ses portes. Une casa particular perdue au milieu de la jungle dont la façade aux murs peints d’un rouge ocre laissent entrevoir les marques du temps. Pendant 24h, vous pourrez vivre une immersion totale aux saveurs de la Havane, où l’on y découvre un bar à rhums exceptionnels, des chambres à la décoration tropicale et cubaine, un restaurant rattaché à l’hôtel qui offre un menu aux saveurs de l’île, jusqu’au spa qui prend des allures de mangroves…Un voyage tropical le temps d’une soirée.

« Cette adresse éphémère, dédiée aux cinq sens, incarne à elle seule le retour aux racines d’Eminente, un rhum cubain de dégustation.Avec cet hôtel perdu au milieu de la jungle, nous voulons faire vivre une expérience qui met à l’honneur la richesse du patrimoine culturel Cubain : son rhum, ses cocktails, mais aussi sa gastronomie ».

CAMILLE DE DOMINICIS — COFONDATRICE D’EMINENTE

Les chambres :

La décoration vous immerge dans une scène d’un polar cubain, les teintes sont vertes émeraudes, les baldaquins, le lin, les meubles en bois, les vinyles ça et là, le chapeau de paille négligemment oublié, les plantes vertes en « forêt luxuriante » dès l’ouverture de la porte de votre chambre. Tout y est et vous plonge dans un ailleurs tropical. C’est très cocooning et réconfortant, il ne manque plus que l’humidité étouffante, mais sans aucun doute on est transporté à la Havane. Le parfum d’ambiance aux notes de rhum et de canne à sucre y fait pour beaucoup aussi. Tous les sens sont travaillés pour augmenter l’immersion.

Le restaurant :

Le Grand dictionnaire, restaurant qui fait face à l’hôtel, est devenu paladar (restaurant familial), vous y découvrirez les spécialités cubaines qui se partagent de l’entrée au dessert. Le tout accompagné de rhum Eminente ou d’une sélection de vins blancs et rouges. Le menu qui vous est servi, compris dans le prix de votre soirée, a été pensé par Annabelle Cantarero, formée à l’institut Ferrandi à Paris, et qui a travaillé dans les plus beaux palaces de la capitale. Annabelle Cantarero propose une cuisine maison et traditionnelle, agrémentée d’une touche contemporaine inspirée de ses propres productions et des matières premières issues de Cuba. Du poisson, du porc, des saveurs mêlant épices et agrumes, une cuisine authentique et réjouissante. Pour finir sur un baba au rhum bien sûr, comment faire autrement.

Le bar de l’hôtel : Le 1802

L’expérience gustative se trouve ici, dans le bar de l’hôtel. Un temple du rhum. Un choix extraordinaire et venu des quatres coins de la planète : Barbade, Jamaïque, Réunion, Antilles, Haïti… Des rhums blancs, ambrés, des bruts de fûts, des sans âges, des clairins, des rhums rares et d’exceptions ou alors des cocktails maîtrisés et équilibrés.

Au 1802, vous avez l’occasion de découvrir un univers que l’on ne connaît pas assez ou que l’on croit plus petit qu’il n’est.

Ce soir là c’est Christopher Bellail qui est mon guide en terre de rhum. Et quelle aventure sensorielle, que de découvertes dans l’immense choix que le monde des rhums offre : de la douceur des notes de bananes plantains, aux notes de pétroles âpres, en passant par les notes d’ananas, de vanille et de mélasse.

Je pourrais maintenant vous en parler des heures mais il vous faudra y aller vous même pour faire vibrer vos papilles et bousculer vos croyances. Car si vous en avez l’envie, la curiosité, vous avez sur place des spécialistes de la question rhum, qui sauront vous initier.

Le Spa :

Comment mieux finir la soirée que par un bain, entouré de verdure et du chant de la jungle tropicale. Au sous-sol, l’ambiance cubaine perdure, et comble du plaisir, vous aurez le lieu privatisé pour vous durant 45 minutes.

 

Un couloir de nage d’une dizaine de mètres, une eau ni trop fraîche, ni trop chaude. Un moment parfait pour savourer l’élan de la dégustation des rhums, avant d’aller vous coucher sous un baldaquin de lin.

Une expérience à s’offrir sans plus attendre. Un dépaysement savamment travaillé et unique, que nous ne pouvons que vous recommander.

Avec pour dernier plaisir avant d’atterrir sur Paris un petit déjeuner au lit.

 

Article écrit par Alexis Dumétier

 

Réservation sur Staycation. Offre 24h, « Una noche Cubana » , à partir de 300€.

L’offre inclut une nuit pour deux personnes, le petit-déjeuner, une dégustation Eminente, 1 cocktail par personne, le dîner cubain, l’accès à la piscine pendant 45 minutes et 1 bouteille de Eminente Reserva.

 

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