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CELIO lance la collection SAINT TROPEZ

Celio lance une collection estivale exclusive, comme une déclaration d’amour au style de vie méditerranéen.

Avec cette collection exclusive et officielle, sous licence de la Commune, celio propose des vêtements chics et confortables qui capturent l’essence ensoleillée de Saint-Tropez : culture, sport, farniente, soirées, et élégance. Des pièces intemporelles et modernes pour profiter de l’été avec style, célébrant l’élégance décontractée de cette cité emblématique.

Pour cet été, la collection sera composée de nombreuses pièces, comme par exemple des shorts de bain s’inspirant du clocher mythique et des eaux bleutées de ses plages, tee-shirts, casquettes, chemises ou encore une serviette de plage.

Pour mettre en avant cette nouvelle collection , celio s’est inspiré de la culture cinématographique Française et des films cultes tournés à Saint Tropez.
Et pour faire honneur à l’un des acteurs Français les plus iconiques, la marque s’entoure de Paul et
Giacomo Belmondo, fils et petit-fils de Jean-Paul Belmondo, en tant qu’égéries de cette nouvelle
collection. Cette campagne, qui véhicule des valeurs intergénérationnelles tenant à cœur à celio, est une véritable ode au cinéma des années 60 à 80 et à la ville de Saint Tropez avec une esthétique travaillée et intemporelle.

La collection Saint-Tropez en exclusivité chez celio est disponible depuis le 21 juin sur le site internet et dans toutes les boutiques.

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La Ponche à Saint Tropez

La Ponche : le nouveau souffle d’un hôtel mythique

En juin 2021, après huit mois de re?novation, le légendaire Hôtel La Ponche, dans le cœur historique de Saint-Tropez, dévoilait ses nouveaux habits, sous la direction de l’architecte d’intérieur, Fabrizio Casiraghi.

Donnant sur la petite plage de La Ponche, cette « maison de vacances » de 21 chambres (dont 5 suites), appartient aux hôtels iconiques de la Riviera. Il accueillit Françoise Sagan, Brigitte Bardot, Gunter Sachs, Romy Schneider, Michel Piccoli, Boris Vian, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir…

Ce qui fut une affaire familiale avec Simone Duckstein (jusqu’en octobre 2020), a continué dans cette même dynamique puisque deux familles (Hubert et Nicolas Saltiel avec Georges Saier) — acteurs dans l’hôtellerie — en ont pris la suite afin d’en faire perdurer l’histoire.

La direction de cet hôtel cinq étoiles — dorénavant ouvert d’avril à fin décembre — a été confiée à Audrey Brémond, Tropézienne, avec à ses côtés, le chef exécutif Thomas Danigo (qui officie également au restaurant Le Galanga, Hôtel Monsieur George, Paris).

Après une saison estivale 2021, pleine de succès, L’Hôtel La Ponche a entamé sur l’hiver 2022, sa deuxième phase de rénovation et a re ouvert ses portes le 15 avril dernier.

Retour sur le renouveau de cette institution.

Avril 2022 : L’authentique, discrète et intimiste maison Tropézienne re ouvre ses portes après une seconde phase de rénovation.

Donnant sur la petite plage de La Ponche, cet hôtel de 21 chambres (dont 5 suites) s’est refait une beauté en deux temps sous la direction de Fabrizio Casiraghi.

Prouesse de ce renouvellement artistique en seulement quelques mois, afin d’assurer une ouverture estivale 2021 qui fut un succès, les portes de cette maison de vacances se sont refermées en novembre dernier afin de poursuivre et finaliser ce nouveau souffle de fraicheur architectural.

Ces derniers mois, ce sont les salles de bain, dans un esprit maison bourgeoise Française qui ont été repensées, ainsi que les couloirs et vestibules agrémentés de tapis persan afin d’y rajouter de la délicatesse, du confort et de la chaleur. Le bar également, afin d’intensifier l’esprit marin du lieu a été rhabillé tout de bois pour s’y sentir comme dans un bateau. Enfin, dans les prochaines semaines, une offre supplémentaire va compléter l’offre de cette maison de village. Un appartement de 70m2 comprenant deux chambres, et dont le séjour offre une large vue mer séduira les hôtes       désireux d’indépendance tout en appréciant le service hôtelier.

Lors de ces deux phases de rénovation, L’Hôtel La Ponche aura été entièrement « revisitéé » mais sans toucher à l’essentiel, son esprit et son authenticité. On y retrouve le goût de la Dolce Vita mêlé au farniente et au roulis des vagues. Mieux encore, un esprit frais souffle dans un renouveau porté par une nouvelle génération. Celle-ci ne souhaite pas bousculer les codes, mais redonner à La Ponche son chic détendu, son élégance insouciante. Plus encore, témoignant d’un ancrage local, L’Hôtel La Ponche sera ouvert au-dela? des saisons estivales et ce jusqu’aux fêtes de fins d’année pour célébrer un Noël Provençal et prolonger une aventure sentimentale qui dure depuis plus de quatre-vingts ans en continuant d’accueillir les amoureux de ce village a? travers les saisons …

« Cela n’en fait pas un hôtel précisément, dit Fabrizio Casiraghi, mais une maison de vacances à  la mer ».

Dès l’entrée, le ton de la maison est donné. Elle sera à la fois provençale et estivale : damier en marbre noir et blanc au sol, mur ivoire sur lesquels des lithographies originales de Picasso ornés avec des cadres en céramiques et artistiques signés Victor Levai, un tableau de clés dont les porte-clefs ronds en laiton produit par la maison Goossens illuminent la conciergerie et la réception toute en bois de noyer.

De cette réception on accède et son éclairage zénithale incitant à s’y retrouver en compagnie de la table de jeux (backgammon). Un petit jardin d’hiver du sud de la France, dont la banquette centrale d’où se hisse de la végétation, baigne dans un puit de lumière de la nouvelle coupole en verre jaune et transparent.

Les couloirs se sont habillés d’une moquette centrale en tapis persan aux motifs bleus et rouges comme dans une vieille maison française, des miroirs, dessinés par Fabrizio Casiraghi, rond en bois de noyer foncé faisant penser à un gouvernail de bateau se mêlent à des bas- reliefs retraçant l’histoire de Saint-Tropez sur un fond de peinture à la chaux.

Glissant sous les pieds, ce tapis persan dans le dédale des couloirs et escaliers de cette maison authentique mênent les hôtes jusqu’à leur chambre dont les portes, en bois de noyer foncé et poignées dorée, rappelle qui eut été (dans l’histoire de cette maison), fidèles de ces 21 chambres (et suites). En effet, chacune d’entre elles portent le nom des visiteurs illustres : on peut alors s’inviter chez Romy Schneider, Kenzo, Brigitte Bardot, Boris Vian, Michèle Morgan… ainsi que dans la chambre de la propriétaire Simone Duckstein.

Les chambres sont traitées avec légéreté pour rester dans l’esprit des débuts lorsque les murs étaient blanchis à la chaux et les lits recouverts de cretonne fraîche et fleurie. Aujourd’hui, voici un blanc cassé ivoire, des boiseries en noyer d’Amérique au vernis brillant. Au sol, on retrouve les tomettes d’origines ou du jonc de mer, agrémentés ici et là par des tapis persans à motifs. Les tissus sélectionnés dans les collections de Loro Piana et Pierre Frey drapent les sofas, les fauteuils et des jupes de lit.

Fraicheur 2022, les salles de bains, inspirées de celles de maisons bourgeoises du sud de la France tout en marbre blanc et gris « arabescato » et rose « Portogallo » du sol au plafond. C’est en damier que le marbre s’organise au sol et en bandeau qu’il se structure sur les murs. Partie pris de Fabrizio Casiraghi, chrome et laiton se mêlent dans les accessoires qui parent les salles de bain.

La chambre ultime, c’est la 8, de Romy Schneider et Daniel Biasini. Au dernier étage de cette maison, avec un plafond mansardé, elle donne accès à une terrasse aussi grande que la chambre, qui surplombe les toits de Saint-Tropez, la citadelle, le clocher et la mer.

Bonne nouvelle : Simone Duckstein restera proche de La Ponche, elle en sera l’ambassadrice…

Adresse :

5 rue des Remparts 83990 Saint Tropez

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Naturisme: plaidoyer pour un été tout nu!

La France est la reine du naturisme. La France est la première destination pour les adeptes de cette façon de vivre, devançant même l’Allemagne, pourtant pionnière en la matière ! Deux millions de touristes du monde entier viennent profiter tous les ans de nos 155 centres de vacances naturistes. Le premier samedi de juillet est même la Journée Mondiale du naturisme. Sur les dernières années, le nombre d’adeptes de la pratique a grimpé de 13%, entraînant de meilleures recettes pour les centres concernés. On note également une réelle satisfaction de ces nouveaux disciples : 91% se disent conquis et affirment vouloir revenir.

Et pourtant, les idées reçues sur cette pratique persistent : « Gens dénués de pudeur » au mieux, « pervers exhibitionnistes » au pire. C’est parce qu’il avait envie d’en parler « normalement », parce qu’il en avait « marre des blagues graveleuses sur son lieu de vacances » que Kévin, 24 ans, a accepté de nous raconter son histoire.

Kévin, lorsqu’il a enlevé son short de bain, c’était avant tout pour un job d’été mais maintenant qu’il le pratique quasiment au quotidien, c’est avant tout pour se sentir bien, libre. « Nous sommes nés nus, c’est notre état naturel. Le vêtement sert à protéger du froid et des blessures. Si vous n’êtes pas en train de faire un travail manuel qui nécessite de protéger votre corps et qu’il fait 30 degrés à l’ombre pourquoi rester habiller?? Se baigner nu est incomparable par rapport au fait d’aller à la mer avec un maillot de bain. En sortant de l’eau, vous êtes sec en deux minutes, alors qu’en maillot de bain, jamais complètement. Ce truc humide sur les fesses à longueur de journée, non merci. La sensation du sable, de la mer, des embruns sur la peau crée un bien-être et une impression de liberté. Il faut l’avoir vécu pour le comprendre complètement. Et c’est ce que j’aimerai que les gens comprennent. C’est mon ressenti. »

La crainte du regard des autres et la classe sociale au vestiaire

La première idée qui peut venir à quelqu’un quand on lui dit « naturisme », c’est la crainte du regard des autres surtout si on n’est pas super bien dans sa peau. Même si on est bien dans sa peau, on a un appréhension à se déshabiller en public, devant des inconnus. Mais, affirme Kévin, « contrairement à ce que les gens croient, on ‘mate’ moins sur une plage naturiste que sur une plage ‘textile’. Bien sûr au début, on regarde les sexes des hommes et des femmes, c’est nouveau, donc ça paraît intéressant. Mais très rapidement, on se rend compte à quel point nous sommes tous faits pareils et à quel point, ‘scotcher’ sur le sexe d’une personne et aussi absurde que de fixer son nez ».

Et le jeune homme de lancer un appel à la gent féminine : « Mesdames, ne vous prenez plus la tête avec ces régimes qui vous promettent 3 kg en moins avant l’été. Gardez vos trois kilos et foncez dans un centre naturiste où personne ne vous regardera ». Autre intérêt de la pratique du bronzage intégral?: « nu, il n’y a plus de riche ou de pauvre. Nu, on se déshabille aussi de nos signes extérieurs d’appartenance à un groupe social. Et c’est hyper reposant ». 

Oui, on peut être nu, entouré de gens nus et ne pas penser au sexe !

Autre « bêtise » que Jérôme aimerait démonter, c’est l’association d’idées « nudité = sexe ». « Ça, c’est à cause de la mauvaise publicité que fait le Cap d’Agde [pour ceux qui vivent sur Mars et viennent de débarquer sur Terre, c’est un endroit où naturisme et libertinage sont pratiqués quasiment 24h sur 24!] soupire Kévin. Sachant que le Cap d’Agde est plus une exception qu’une norme dans le milieu du naturisme, la plupart des centres étant familiaux. Pour Kévin, « quiconque en a fait l’expérience le sait : ce qui est excitant, ce n’est pas la nudité, c’est sa suggestion. En mode naturiste, je me suis même surpris à me retourner sur des femmes… habillées alors que j’avais été entouré de femmes nues toute la journée sur la plage ». 

D’accord mais les garçons peuvent connaître des problèmes… incommodants. Et la grande question de tous mes copains qui sont tentés de m’accompagner est : « Et si je suis surpris par une érection, je fais quoi ? « . Je me suis posé la question, évidemment. Bon la première réponse est: tu t’allonges sur le ventre! Mais franchement, très rapidement, la nudité n’a plus rien d’électrisant. 

Aujourd’hui, la perspective de voir quelqu’un nu peut vous paraître excitante, mais c’est parce que vous vivez dans un monde où la norme est d’être habillé. Dans un monde où la norme est la nudité, celle-ci devient hyper banale. Les premiers jours en camp, tu t’habilles en rentrant de la plage, puis finalement, tu ne t’habilles plus. Et c’est ainsi qu’on se retrouve à faire ses courses à poil. Non pas parce qu’on y trouve un quelconque plaisir (on se les gèle au rayon frais, d’ailleurs) mais parce qu’être nu devient normal au sens sociologique du terme ».

Le naturisme, c’est aussi une question d’éducation.

Kévin ne s’est pas découvert naturiste du jour au lendemain. Il explique qu’il a baigné dans un environnement où le rapport au corps était très « simple » : « quand j’étais petit, mon père ne fermait pas la porte de la salle de bain quand il prenait sa douche. Et nous discutions comme si nous étions au salon. Cela m’a appris dès l’enfance que la nudité, si elle n’est pas cachée, est donc normale, et que le corps était une enveloppe qu’il fallait nettoyer avec soin. Une fois le corps démystifié, il devient assez difficile de répondre à la question?: « Pourquoi devrais-je couvrir mes fesses et mon pénis alors je ne cache pas mon nez ?. Attention, je ne prône pas la nudité obligatoire à la maison, mais plutôt ce que j’appellerai une nudité « naturelle ». Ne pas l’imposer, mais ne pas la cacher, et surtout expliquer. Les enfants posent des questions. Leur corps les intéresse, donc ne pas avoir peur de parler et d’écouter. Mes parents, et surtout mon père, avaient une grande intelligence à ce propos et cela nous a beaucoup aidé à nous sentir bien dans notre corps mon frère et moi ».

De la vie de tous les jours aux vacances, le pas se franchit naturellement. « L’été, on allait sur une plage de l’île d’Oléron relativement difficile d’accès car il fallait 30 minutes de marche sous le soleil pour en profiter. Elle était toujours quasiment vide, ce qui me plaisait beaucoup. J’avais de la place pour jouer au foot avec mon frère. Bon, il y avait quelques personnes sans maillot, mais comme mes parents ne s’en offusquaient pas, je n’y ai jamais vraiment fait attention. Pour moi c’était normal. Comme de courir se baigner nu une dernière fois, le soir avant de partir, parce que nos maillots étaient secs et que ma mère ne voulait pas tremper les sièges de la voiture ! ».

« Les tourments de la puberté »

Mais comment gérer à l’adolescence, quand le corps change et qu’on a du mal à contrôler ses émotions ? « C’est vrai qu’à cette période, j’ai complètement zappé le naturisme de ma vie. Déjà que je séchais les cours de piscine au lycée pour ne pas me montrer en maillot de bain…alors me mettre nu en public… ». Là, encore, le dialogue avec mon père, et mon frère, m’ont beaucoup aidé à passer ce cap. Et je sais pour en avoir parler avec des copines, que si c’est compliqué pour les garçons, cela l’est également pour les filles ! »

Le naturisme est revenu dans sa vie vers 19 ans, un peu par hasard : « Je cherchais un job d’été. Etant de Bordeaux, j’ai cherché dans les alentours et j’ai trouvé une annonce pour s’occuper de faire faire des activités à des enfants de 10 à 12 ans dans un centre de naturisme à Montalivet. J’avais mon certificat d’aptitude, je connaissais le coin, les plages sont magnifiques et la paye était intéressante. J’ai donc dit « oui ». Arriver dans ce centre où, passé la porte, la nudité est la norme, a été, disons assez cocasse ! Mais l’équipe a été très cool avec moi et finalement j’ai préféré jouer le jeu immédiatement et après m’être installé dans mon bungalow, je me suis déshabillé pour visiter l’endroit et découvrir mon lieu de travail ». Autant sauter dans le grand bain dès le début ! J’ai retrouvé avec bonheur ce sentiment, vaguement oublié depuis quelques années, d’être libre et sans contrainte et j’ai adoré. Depuis cette pratique, est devenue avec grand plaisir ma norme.

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Vilebrequin fête ses 50 ans de vacances!

Vilebrequin n’a jamais été aussi jeune que depuis qu’il a atteint le demi-siècle : cultiver l’élégance des vacances 365 jours par an, ça conserve.
A l’occasion de ce bel anniversaire, Vilebrequin se dote d’une charte graphique néo-psychédélique éphémère déclinable (et stickable !) à l’envie et vous invite à découvrir une collection exceptionnelle de 50 maillots collectors, un par an entre 1971 et 2021. (Re) Plongez-vous dans l’histoire de la Maison, ses valeurs et son savoir-faire pour mieux rêver de vos futures vacances.

LE CENTRE DU MONDE EN 1971 ? SAINT-TROPEZ
Vous trouvez qu’on exagère ? Dans quel autre endroit du monde pouvait-on croiser Brigitte Bardot à la plage, boire un verre chez Sénéquier avec Romy Schneider et Alain Delon, faire un tour de Riva avec Gunther Sachs, s’arrêter bavarder avec Jane Birkin et Serge Gainsbourg avant de rejoindre Andy Warhol au Gorille puis de filer à la soirée de mariage de Mick Jagger ? Oui, on pouvait faire tout ça, à Saint-Tropez, en 1971.
Le petit port provençal, joyau de la French Riviera, était depuis l’arrivée de Coco Chanel devenu le lieu de ralliement estival des beautiful people, mais le tournant des années 70 y a fait souffler un nouveau vent de liberté, et c’est dans une ambiance festive, glamour et colorée que deux Nîmois ont joyeusement bousculé le maillot de bain pour homme cette année-là.

D’AMOUR ET D’EAU SALEE
Peut-on séduire la femme de sa vie avec un maillot de bain ? Oui, quand on s’appelle Fred Prysquel. Ce passionné de course automobile parcourt d’abord le monde pour couvrir les courses de Formule 1. Revenu en France, il débarque à Saint-Tropez en 1968 et pour séduire Yvette, son amour de jeunesse, décide d’inventer un maillot d’un nouveau style, inspiré de ses voyages. Un modèle qui libère les mouvements du corps à l’image des boxer shorts des surfers californiens, et joue la couleur aux travers de motifs inspirés du wax africain, que Fred a découvert au Sénégal. Pari gagnant, sur la plage « Moorea » de Saint-Tropez, Fred tape dans l’œil d’Yvette, mais aussi de tous ses copains et des vedettes. Il fallait oser : un short de bain tous terrains qu’on peut porter sur la plage comme en ville ou sous les stroboscopes. Révolutionnaire pour les hommes et pour l’époque.
Fred et Yvette s’associent, c’est le début de l’aventure Vilebrequin. Une aventure toujours restée fidèle à ses origines : audacieuse et colorée, élégante et légère, pleine d’humour et foncièrement libre. La maison Vilebrequin est bien née. Synonyme de liberté, elle est née sous le soleil et sur la plage, dans l’allégresse et le plaisir du Saint-Tropez des années 1970. Elle ne l’a jamais oublié. Saison après saison, Vilebrequin invente l’élégance des vacances, et transmet, de génération en génération, notamment de père
en fils et désormais, de mère en fille, une certaine idée du plaisir.

LABEL MILLÉSIME
Puisqu’on a qu’une fois 50 ans, la charte graphique s’offre un lifting éphémère à la fois vintage et pop. La tortue iconique enfile un costume néo-psychédélique “50” tandis que des stickers faisant référence aux mots clés qui ont fait le succès de Vilebrequin dansent tout autour d’elle. Le bleu marine emblématique de la maison épouse des teintes jaune orangé, bleu lagon, violet sunset.
Cette charte anniversaire, imaginée par le Studio Yorgo & Co se décline sur une foule de supports collectors: de la griffe des maillots masculins de la collection 50 ans, aux spi bags dans lesquels ils sont emballés, en passant par la sacherie, les vitrines, et une multitude d’autres surprises.

Pour cette collection de 50 modèles, un par année de 1971 à 2021, les équipes du style Vilebrequin se sont plongées dans leurs archives depuis l’origine. Et ce qu’elles y ont trouvé les a bluffées : l’ADN libre, fantasque, audacieux et plein d’humour de la marque était palpable dans toutes les collections depuis les débuts de l’aventure tropézienne, lorsque Vilebrequin n’était encore que le pari fou d’un couple amoureux qui osait tout, y compris tailler des maillots dans des serviettes de table ou de la toile de spi.
Bien sûr, il a fallu choisir. Désigner dans les archives 1 modèle, le seul, l’unique, pour représenter son année. Parfois, l’imprimé a été réédité tel quel, absolument fidèle à l’original. Parfois, il a servi de point de départ à une réinterprétation libre liée à son époque. Un exercice auquel Richard René, directeur artistique du Studio Vilebrequin depuis 2013, s’est adonné avec un plaisir non dissimulé :« Nous avons déroulé l’histoire de Vilebrequin depuis sa création jusqu’à aujourd’hui, l’exercice a consisté à nous replonger dans les archives pour en recréer l’essentiel”». Chaque décennie est ponctuée par un ou plusieurs Mistral, l’emblématique maillot brodé et numéroté…Le summum du collector!

On retrouve au fil de ces modèles une galerie de portraits chère à Vilebrequin : étoiles de mer, poissons ou poulpes ponctuent les imprimés, mais bien sûr, la vedette incontestée de cette collection anniversaire reste la tortue de mer. Un emblème reconnaissable entre tous, qui se prête volontiers au jeu des interprétations graphiques.
Au travers de ces imprimés, on redécouvre aussi les partis pris qui ont fait la renommée de la marque : l’audace de la couleur bien sûr, mais aussi l’amour dudessin et de toutes ses techniques, explorées avec gourmandise chaque saison, enfin l’espièglerie des motifs à double lecture, qui racontent deux histoires différentes selon qu’on les regarde de près…ou de loin.
Cette collection est à la fois un voyage dans le temps et une jolie manière de se projeter dans l’avenir : les pieds dans le sable, la tête sous le soleil, Vilebrequin entend bien continuer à surprendre et inspirer des générations d’amoureux des vacances pour les 50 prochaines années. Et pour marquer le coup, Vilebrequin offre à ses clients de la collection millésimée une révision complète de leur maillot de bain, lorsque les signes du temps apparaîtront au fil des baignades. (voir plus à la rubrique “Une petite révision”). Cette collection est disponible dans son intégralité dans certaines boutiques flagships depuis Mars 2021 et sur le site internet.

Pour Vilebrequin, qui depuis 25 ans porte une histoire de transmission initiée par les collections père-fils, c’est une évidence : mieux protéger la planète pour nos enfants et leurs enfants est une cause qui mérite un engagement fort et de long terme. Vilebrequin a toujours fabriqué des costumes de bain d’une qualité telle qu’ils traversent les étés sans prendre une ride, au point de pouvoir se transmettre de père en fils. Cette durabilité exceptionnelle, Vilebrequin la cultive, proposant depuis toujours un service de réparation pour tous ses maillots à taille élastiquée. Changer le slip intérieur, les cordons, les embouts en Zamak, ou même remplacer l’élastique de la taille : un jeu d’enfant pour les ateliers Vilebrequin qui connaissent leurs maillots jusqu’à la pointe des cordons. Pour la collection des 50 ans, Vilebrequin offre même une réparation gratuite sur chaque maillot, sans limitation dans la durée. La transmission, toujours. 

Vilebrequin prend d’autres engagements concrets comme celui de passer dès 2021 à 50% de ses collections en matières recyclées ou recyclables (dont 62% des maillots de bain homme pour la collection exclusive 50 ans) et à 80% dès 2023.
Déchets plastiques récupérés en Méditerranée par des bateaux de pêche, reliquats de productions industrielles, chutes de fibres et de matériaux, bouteilles en plastique, Vilebrequin multiplie les sources pour proposer des textiles innovants qui font pâlir de jalousie leurs homologues conventionnels. Quant au prêt à porter, il passe sous le signe des matières naturelles vertueuses, comme le Tencel (aussi appelée lyocell, cette fibre est produite à partir de la pulpe de bois d’eucalyptus et d’un solvant non toxique), le lin, ou le coton bio (labelisé Supima).
Côté packaging les choses bougent aussi : les nouveaux sacs et boîtes cadeaux, 100% recyclables, sont fabriqués à partir de forêts gérées durablement (label FSC) et composés à 40% de papiers recyclés.

Depuis 2016, Vilebrequin s’engage auprès de l’association polynésienne Te Mana O Te Moana (l’esprit de l’océan, en Maori). Créé en 2004 par la vétérinaire Cécile Gaspar, cette clinique de tortues basée à Moorea veille à la préservation de l’environnement marin, notamment via la protection des tortues de mer. 1500 tortues sauvées et rendues à leur habitat naturel, 100 000 écoliers sensibilisés à la protection des tortues et de l’environnement marin, Te Mana O Te Moana peut compter sur le soutien constant de Vilebrequin qui a déjà fait don de $189 K € à date grâce à la vente du maillot Mappemonde Dots réinterprété chaque année et dont 10$ sont reversés à l’association.

 

 

 

 

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Tod’s Compétition

Légèreté, style et performance s’associent dans la création de la réédition du modèle emblématique de sneaker homme de la Maison Tod’s baptisé Tod’s Compétition.

Cette chaussure inspirée du monde du yachting est définitivement un modèle essentiel à avoir, fonctionnel et intemporel pour se promener sur les plages de Biarritz ou de Capri, flâner sur un quai en Bretagne ou sur le port de Saint Tropez.

Initialement conçu par la maison Tod’s en 1995 pour l’équipage Moro di Venezia, le voilier italien qui a participé à l’America’s Cup, la célèbre course nautique, ce modèle original qui a su évoluer pour être totalement dans l’air du temps revient cette saison comme un incontournable et évoque des moments de liberté et de détente dans la collection P/E 2020 pour profiter de l’été et de l’arrière saison.

 

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Lunettes noires (ou presque) pour grand soleil (ou pas)…

Une sélection de lunettes de soleil conçues autant pour vous protéger des rayons du soleil, lorsqu’il y en a, que des regards indiscrets…

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