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Calendrier de l’avent 2021 : notre sélection

Il approche à grand pas le mois de décembre, pour clore l’année et nous mener vers les fêtes de fin d’année. Pour patienter jusque là et vivre chaque jour de ce mois comme une surprise, une joie, voici quelques belles idées de calendriers de l’avent :

Beery Christmas :

Doit-on vous le présenter ? C’est notre calendrier de l’avent bière préféré. Cette année il vous emmènera explorer divers brasserie, avec moins d’excentricité que les années précédentes et je sais que cela fera plaisir à beaucoup. Les bières viennes des quatre coins du globes et l’on passe d’une lager au stout en passant par des IPA. Attention il y en a 25 car il y a un blend (mélange de deux bières) à faire, tester cette méthode à la mode chez les brasseurs en Europe. www.saveur-biere.com

Compagnie Coloniale :

Un joli calendrier qui vous fera découvrir thés et infusions de la marque. Le calendrier ainsi que tous les sachets sont exclusivement Made in France et le coffret est réutilisable après l’Avent ! 24 cases sur 2 faces ! www.compagnie-coloniale.com

Pierre Hermé :

Pierre Hermé nous invite dans un monde enchanté fait de jardins opulents et de nuages chimériques. Noël est ce moment magique de l’année où la rêverie est à la source de tous les voyages. Avec en prime une belle boule de verre à accrocher au sapin.

Rituals :

Dévoilez les festivité de ce village. Une farandole de produits pour prendre soin de vous dans ce mois au temps rude annonciateur de l’hiver. www.rituals.com

ASOS :

Un calendrier de l’avent composé de 24 plaisirs pour chouchouter votre corps et votre visage. www.asos.com

 

Sève :

La Maison Sève vous propose 24 jours de bonheur. Chaque jour, une immersion gourmande au cœur de la forêt Amazonienne vous invite à découvrir Chocolats, Pralines, Pierres des Mont d’Or et d’autres surprises à découvrir dès le 1er décembre. La Maison SÈVE poursuit son engagement pour l’écologie et utilise, pour ce calendrier, des matériaux intégralement recyclables. L’ensemble est fabriqué à Lyon, France. www.chocolatseve.com

Amorelie :

Le calendrier de l’avent des grands qui veulent titiller leurs sens. L’Original, destiné aux nouveaux explorateurs de leurs sexualité et qui veulent explorer. De sextoys premium de qualité que nous vous recommandons. www.calendar.amorelie.com

 

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The Peninsula Paris, Le Lili et son Chef Dicky To

Le Palace The Peninsula Paris fait partie des plus beaux hôtels de la capitale. Si le bâtiment est classé au patrimoine historique c’est parce que son histoire est riche. L’origine, Sur l’emplacement actuel du Peninsula Paris, s’élevait un palais construit en 1864 pour le comte Alexander Petrovitch Basilewski, un aristocrate russe qui aimait à l’appeler son « petit Versailles ». Le nouvel édifice devint rapidement l’objet de toutes les conversations à Paris et, pour la première fois, le site du futur Peninsula Paris exerça une irrésistible attraction sur les mondains. On y donnait des réceptions pratiquement tous les soirs quand le comte était en ville, le plus souvent à la demande insistante de ses trois filles.

 

En 1906 La propriété a été acquise par le magnat viennois de l’hôtellerie Léonard Tauber après une guerre d’enchères qui a impliqué le gouvernement des États-Unis et le roi de Belgique. L’emplacement de la propriété, à la fois proche du bois de Boulogne, de l’Arc de triomphe, de la tour Eiffel et du Trocadéro, constituait un atout majeur aux yeux de Tauber. Ce site offrait à Tauber l’exceptionnelle opportunité d’élargir son empire en construisant «un hôtel aristocratique sans rival» qui, une fois terminé, pourrait se targuer d’être le plus grand hôtel d’Europe. Le palais est alors démoli et remplacé par un hôtel de luxe, le Majestic. L’édifice est construit dans un mélange de styles d’inspiration classique encore très en vogue à la Belle Époque : le style Haussmannien, réhaussé de touches décoratives néoclassiques. A l’époque l’hôtel compte 400 chambres et c’est le premier à proposer des salles de bains privées pour 350 de ses chambres.

 

Depuis le Peninsula a traversé l’histoire, et vécu bien des choses, depuis 2007 c’est la renaissance d’un Palace parisien, le bâtiment est vendu par l’Etat français à un groupe hôtelier à la société hôtelière qatarie Katara Hospitality, qui en 2009, annonça un accord avec The Hongkong and Shanghai Hotels, Limited (HSH) pour créer The Peninsula Paris. L’établissement actuel est le fruit d’un réaménagement qui a pris 4 ans de 2010 à 2014. Un travail titanesque, fait en étroite collaboration avec les organismes chargés du patrimoine Français.

Si nous vous parlons du Peninsula aujourd’hui c’est pour vous faire découvrir l’un de ses restaurants d’exception, Le Lili et son Chef Dicky To.

Le restaurant Lili :

La décoration intérieure du Peninsula est réalisée sous l’égide d’Henry Leung. Le restaurant LiLi, est situé à l’emplacement de l’ancienne salle à manger de l’hôtel Majestic, Leung choisit comme thème de la décoration intérieure la passion commune des cultures françaises et chinoises pour l’opéra. Le concept repose sur l’association d’éléments chinois à l’Art déco de la fin des années 20. Dès l’entrée du restaurant une gigantesque installation de cristal, représentant la coiffe traditionnelle d’une cantatrice chinoise (qui pourrait être Lili). C’est l’artiste coréenne, basée à New York, Ran Hwang qui a créé ce scintillant chef-d’œuvre en hommage à l’opéra chinois. Il est composé de 32 831 cristaux montés sur broches et insérés dans une base de plexiglas.

On pénètre dans la salle par un corridor très haut de plafond. L’ambiance est feutrée, la lumière chaude et tamisée, on croirait en effet entrer dans une salle de spectacle ou être l’un des personnages de Wong Kar-wai dans In the mood for love. Une fois dans la salle principale un splendide dôme, inspiré de l’installation acoustique d’une scène d’opéra de Shanghai, domine le décor théâtral du restaurant. Les boiseries, les peintures, les lumières, les rideaux rouges gigantesques et les embrasses de soie bleue monumentale : on pénétre dans un univers onirique.

Le LiLi propose une cuisine chinoise progressive avec des influences françaises.

Nous avons découvert la table du LiLi qui propose un menu où se distinguent des dim sum raffinés, une salade de saumon «Lo Hei» aux jeux de textures surprenants qui donnent envie de ne plus s’arrêter, un riz frit au foie gras exceptionnel, mais si nous devions garder un seul et unique souvenir, ce serait le bœuf au wok du Chef Dicky To.

Ce bœuf saisi au wok, exprime toutes les saveurs d’un feu puissant, avec des notes grillées et si particulières au wok, tout en ayant à cœur une viande juteuse, avec un goût de bœuf qui explose littéralement en bouche, et fin du fin une viande qui fond sous la dent comme jamais. Incroyable.

 

Pour ceux qui aiment faire des accords mets/vins divers et étonnants, sachez que le livre de cave du Lili est très fourni. Il bénéficie de la même cave que L’Oiseau Blanc, le restaurant étoilé du Peninsula Paris. Ainsi vous pouvez découvrir des vins natures, des grands châteaux et des millésimes d’exception. Vous pourrez même trouver un millésime spécial de 1908, mis en bouteille l’année de l’ouverture du grand hôtel de l’époque.

Dicky To est à la tête du restaurant Lili. Le chef originaire de Hong Kong est né en 1974. Il exerce ses talents de maître wok et de chef cuisinier au Lili depuis décembre 2018.

Dicky To, 2021, par A. Dumétier

Avant cela il est passé par différents restaurants. Pour mieux le connaître et comprendre sa cuisine nous l’avons rencontré, voici son interview :

 

Quel est votre parcours ?

Je travaille en tant que chef depuis plus de 30 ans. Dès l’âge de 15 ans, je travaillais pour un restaurant cantonnais de fruits de mer à Hong Kong. A l’âge de 27 ans j’ai commencé à être un Chef, et petit à petit j’ai commencé à apprendre l’anglais, tout l’aspect administratif du travail d’un restaurant, à utiliser l’informatique. A 32 ans j’ai eu mon premier poste dans un Hôtel de Hong Kong de Chef exécutif. Après cela je suis allé vivre à Macao pendant deux ans, toujours comme Chef exécutif, et pour moi c’était la première fois que j’allais à “l’étranger” (rire). Ensuite j’ai eu une opportunité à Shanghai, je m’en souviens car c’était l’exposition universelle, j’ai donc saisi cette opportunité et j’ai rejoint le Peninsula Shanghai, après quelques temps j’ai été transféré au Peninsula de Tokyo et après je suis venu ici, à Paris.

 Quel est votre premier souvenir lié à la cuisine ?

Je me souviens encore de la première fois où je travaillais dans une cuisine chinoise professionnelle. C’était le restaurant de fruits de mer de Dunhuang.  Je regardais les cuisiniers et je les trouvais tous très beaux, ils utilisaient le wok avec une grande agilité et une bonne rythmique, il y avait une grande énergie qui se dégageait de leur travail. J’aimais apprendre au sein de cette brigade. La première fois que j’ai eu l’opportunité de cuisiner, c’est quand le Chef a quitté le poste des woks et qu’une commande est arrivée. Je regardais tous les jours comment le Chef cuisinait, avec envie et pour moi il était impossible de ne pas saisir cette opportunité de cuisiner à mon tour un plat pour des clients. Alors que je finissais presque de préparer le plat, je m’en souviens encore parfaitement, c’était un riz frit, le Chef est revenu en cuisine. Il m’a regardé, je l’ai regardé,…il a goûté le plat…il n’a rien dit…et après quelques secondes, il a dit : “ok, amenez le plat en salle”…J’étais très heureux et soulagé (rire).

Comment en êtes-vous venu à travailler comme Chef dans une cuisine ?

A l’âge de 15 ans, pour être honnête, ce n’était pas un choix de cœur, je voulais avoir de l’argent pour sortir, jouer avec mes amis. Après quelques années je me sentais mal dans ce travail, les fêtes, Noël, Saint-Valentin, le Nouvel An, en tant que Chef dans une cuisine, vous devez travailler encore plus, spécialement dans ces moments-là. Je voyais mes camarades qui ne travaillaient pas dans mon milieu, sortir, qui s’amusaient, qui profitaient des fêtes, c’était dur pour moi. J’ai alors quitté l’univers de la restauration, durant quelques mois. Je me suis demandé à cette époque si j’aimais cuisiner, si j’aimais travailler en cuisine. Je suis donc allé travailler dans d’autres industries mais je me suis rendu compte que cela ne m’allait pas. J’ai compris que le lieu où je me sentais le mieux, c’était une cuisine. J’ai alors repris le chemin des fourneaux, jusqu’à aujourd’hui.

Quelle est la personne qui vous a le plus influencé dans votre carrière de Chef ?

Les personnes très importantes avec qui j’ai appris mon métier de Chef, ont été peu nombreuses, mais elles m’ont beaucoup influencé. Le premier Chef important dans ma vie professionnelle, s’appelait Chef Leung Coeng, à cette époque je travaillais encore à la découpe. Dans une cuisine cantonaise, dans la partie du chaud, il y a deux sections différentes : l’une est le wok et l’autre c’est la découpe, juste tenir le couteau. Et à cette époque, je tenais le couteau. Un jour le Chef Leung Coeng m’a demandé : “Crois-tu que travailler dans une cuisine c’est ton métier, que tu ne changeras jamais pour un autre ?” J’ai dit : “oui”. C’est alors qu’il m’a encouragé et inspiré.  Il m’a dit : “Dans ta situation actuelle, tu es comme une vache, tu travailles sans réfléchir. Tu dois avoir une vision de ce que tu fais, une idée de toi-même, un but à atteindre. Si tu en as une et que tu aimes cuisiner, tu devrais te mettre au poste du wok. Parce qu’aujourd’hui dans la cuisine cantonaise les choses changent. Avant le Chef de cuisine était celui qui tenait le couteau, c’était lui qui tenait le business. Maintenant la tendance a changé, les gens veulent d’un chef qui cuisine et non qui découpe. Si tu n’as pas assez d’expérience au wok il te faudra tout réapprendre depuis la base.” J’ai réfléchi pendant plusieurs jours à ce qu’il m’avait dit, je n’ai pas dormi pendant deux, trois nuits. Je pensais ne pas pouvoir le faire à l’époque mais c’était un bon challenge. J’ai alors tout appris depuis les bases du maniement du wok, pour petit à petit parvenir à être Chef wok. Je pense que Chef Leung Coeng a été le premier et le plus important pour moi dans ma carrière, pour changer et définir un but pour moi-même : je savais alors où j’allais, ce que je devais faire pour mon avenir.

 Quel est le plus important en cuisine pour vous ?

Pour moi le plus important en tant que Chef c’est de créer des plats qui soient goûtus et que ces saveurs spécifiques restent à jamais en mémoire pour la personne qui découvre ce plat.

Quel est votre moment préféré en cuisine ?

Le moment le plus important pour moi alors que je travaille au wok, c’est quand je regarde mon équipe, qui est en pleine ébullition avec beaucoup de positivité. Même dans une situation de tension, l’équipe reste toujours focalisée sur la méthode et l’objectif qui est de satisfaire le client. Pour moi, c’est le moment le plus joyeux.

En tant que Chef wok, quelle est votre particularité ?

 Je dirais que peu importe ce que je cuisine avec un feu fort, dans un wok, que ce soit avec de la sauce ou sans sauce, le plus important est que l’on sente que ce plat a été fait au wok avec les saveurs spécifiques que cela apporte. Et peu importe le plat, je dirais que c’est l’une de mes forces.

 Quel est l’aliment que vous aimez le plus cuisiner ?

 L’ingrédient le plus délicat pour moi à cuisiner au wok, c’est le bœuf. Qu’il soit découpé finement, en lamelles, en cubes, vous devez alors utiliser différentes températures toujours dans le wok. Le challenge est là, comment rendre la viande tendre, avec du goût, juteuse, et cela va aussi se jouer avec la combinaison d’ingrédients qui ira avec. Et ce challenge-là, j’adore le relever à chaque fois.

Quels sont les ingrédients que vous avez découverts en France ?

 Nous utilisons le foie gras, et pour le homard nous utilisons le caviar. Avant tout, le caviar qui est un ingrédient haut de gamme, apporte beaucoup de goût. Vous savez tout de suite que c’est un plat marin. Il permet de mettre moins de sel. Le caviar rend la texture du plat plus douce, plus naturelle.

Quel est votre plat signature ?

Je dirais, même si c’est un plat simple, le riz frit au foie gras, car c’est le plat que les gens reconnaissent tout de suite. Même si c’est un simple riz frit, on fait tout pour ne pas le rendre si simple. Nous utilisons un foie gras local, que les français aiment. Et nous utilisons du poivre noir, et la technique de cuisine est cantonaise, avec une cuisson du riz au wok. C’est une combinaison de cuisine, et ce plat est devenu très populaire. J’ai aimé mettre quelque chose que j’adore dans ce plat et que les gens ont aimé : du poivre noir. Pour moi c’est un peu unique de mettre du poivre noir pour faire un riz frit, jusqu’ici je ne l’ai jamais vu dans un autre restaurant.

Quel type de poivre noir utilisez-vous ? Pouvez-vous nous donner le secret ?

 (rire) Ce n’est pas un secret, juste du poivre noir très simple…(rire)

Comment créez-vous les plats de la carte du Lili ?

J’essaye de travailler mes idées, seul d’abord, dans ma tête. J’essaye de trouver ce que l’équipe pourrait mettre en œuvre. Une fois l’idée formalisée dans mon esprit, j’en parle avec ma brigade pour créer réellement le plat.

Pouvez-vous nous parler du Lili et de son ambiance ?

J’aime ce restaurant Lili car c’est un lieu d’interaction fort entre les clients et l’équipe en salle. C’est une véritable scène ici. La thématique de décoration c’est l’Opéra, un mélange entre l’opéra européen et l’opéra chinois. Les invités viennent ici pour voir le spectacle. Pour moi, mon équipe en salle, c’est comme un ballet, et parfois je viens aussi en salle voir les convives, je viens dire bonjour. Et ce sentiment d’être sur une scène, d’être à l’opéra, je ne le trouve nulle part ailleurs. Regardez le dôme derrière moi; pour moi c’est la plus belle partie du restaurant, cela montre le centre de la scène, de la salle, je n’ai jamais vu un restaurant aussi beau.

Quel est votre souvenir culinaire d’enfance ?

 Quand j’étais enfant j’aimais les choses croquantes, craquantes, vous ne pouvez pas vous arrêter de manger. Bien sûr il y a le goût, mais il y a aussi le son et la texture. Pour moi c’était ce qui m’attirait le plus.

 Maintenant que vous êtes Chef, comment retranscrivez- vous ce souvenir d’enfance ?

Je peux vous donner des exemples qui illustreront comment cette texture croquante, m’influence encore aujourd’hui. Nous avons une salade de saumon “Lo Hei”, composée de légumes croquants, de saumon, de sauce, mais nous ajoutons également un ingrédient croquant. Face à ce plat vous pouvez vous demander pourquoi avoir ajouter du croquant avec du saumon, mais quand vous le dégusterez vous comprendrez pourquoi. Le plat n’est pas seulement délicat, avec la texture douce du saumon, vous avez un jeu de texture, et vous ne pouvez plus vous arrêter. Un autre exemple, encore une foie avec le riz frit au foie gras. Pourquoi vous combinez dans un plat riz souple et riz croquant ? C’est parce que c’est cela qui attire les gens.

 Pour vous quel est le meilleur accord mets/vins ?

Pour moi, l’accord parfait pour la cuisine cantonaise, c’est le thé, d’abord parce qu’ils viennent du même endroit, mais aussi parce que quand on déjeune et que l’on se sent un peu “lourd”, alors on boit un thé et l’on se sent mieux. C’est au-delà de l’accord mets/vins, cela aide à digérer. Nous avons six différents thés, donc selon ce que vous mangez, vous accordez : vous mangez quelque chose d’un peu gras, le meilleur est un thé Pu erh, par contre si vous mangez quelque chose de délicat et d’élégant, un thé floral, un thé vert, sera mieux.

Si vous deviez manger un dernier plat, quel serait-il et quel serait l’accord ?

Ce serait des gâteaux traditionnels de lune, fourrés à la pâte de graine de lotus, et on boit un thé Pu erh, c’est l’accord parfait !

Photo A.Dumétier

 

 

https://www.peninsula.com/fr/paris/hotel-fine-dining/lili-cantonese-chinese

 

 

 Article écrit par Alexis Dumétier

Vidéo réalisé par Alexis Dumétier

 

 

 

 

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Calendrier de l’avent, pour en finir avec 2020

Comme chaque fin d’année, arrive le temps des calendriers de l’Avent. Encore une fois, les marques ont fait preuve d’imagination pour gâter les amateurs de gourmandises, de beauté, de déco et de vins ou d’alcool ( à consommer avec modération!). Retrouvez ci-dessous notre sélection:

-Un calendrier de l’avent des spiritueux avec 24 spiritueux 100 % français, Partez à la rencontre d’un bouilleur de cru. De Dijon à Fort-de-France : Crème de Cassis, Armagnac Hors d’Âge, Génépi des Alpes, Whisky de Bretagne, Rhum de Guadeloupe, … www.domainedugout.com

 

Pour les amoureux de terrines, rillettes et autres crèmes de foie gras, Comtesse du Barry propose un magnifique arbre de Noël de 48 cm à assembler. 24 jours à patienter et autant de ballotins à déballer pour se délecter de 24 spécialités du terroir français.

– Comptoir français du thé propose 24 recettes toutes différentes à base de thés (noir, vert, oolong, mixte) et d’infusions pour découvrir chaque jour des saveurs différentes. En alternant grands classiques et mythiques thés de Noël.

-De neuville propose cette année un chouette calendrier qui nous fait cheminer dans une ville où vous pourrez déguster Papillotes, pralinés, ganaches subtiles, rochers en chocolat. Des chocolats sans huile de palme, sans colorant, et 100% français, et petit plus: chaque calendrier renferme un ticket d’or pour gagner des surprises chocolatées à découvrir en boutique. Comme un cadeau avant l’heure, chacun peut tenter sa chance et remporter des tablettes, des ballotins, et même un assortiment ultra gourmand d’une valeur de 100€ !

 

-Un calendrier coquin avec Amorelie pour toutes les envies et les désirs. L’«Original», conviendra parfaitement à tous les désireux de découvrir l’univers des lovetoys et la version « Luxury » satisfera ceux qui en veulent plus grâce à ses produits premium. Nous avons sucombé pour le Luxury et ses produits véritablement de qualité. Un très bon partenaire pour pimenter vos soirées jusqu’à Noël.

 

-Le Berry Christmas : notre préféré des calendriers de bières. Cette année il revêt un design très élégant qui vous fera voyager dans les differentes brasserie qui participent à se calendrier. Une sélection très bières Noël mais toujours dans de belles brasseries. 24 bières artisanales brassées exclusivement pour le Berry Christmas.

 

-Calendrier Révillon pour savourer des papillotes Révillon mais aussi une citation, un proverbe à partager avec ceux que l’on aime. Un calendrier simple mais qui est efficace.

 

-Un calendrier de l’avent digital avec Gault & Millau : Chaque jour en attendant Noël, rendez-vous sur le compte Instagram de Gault&Millau France pour ouvrir les volets du calendrier et tenter de gagner des cadeaux à déguster (dîners de compet’, ustensiles pour mitonner, pauses gourmandes, pépites à picorer et délices en tous genres). Le principe : un jeu concours par jour pour remporter une expérience gastronomique.

En guise de mise en bouche : un atelier de pâtisserie avec Philippe Conticini ; un dîner pour deux au restaurant du Chef Mory Sacko ; un cours de cuisine au Ritz ; un tea-time au Crillon… et plein d’autres surprises! Au total, 24 lots prestigieux pour aider les gourmets à patienter en attendant les fêtes !

 

Enfin, pour finir en beauté, 25 jours uniques dans l’année, empreints de féerie et d’impatience joyeuse : le Calendrier de l’Avent diptyque ponctue l’attente de 25 surprises, 25 produits emblématiques de la collection et des exclusivités en taille vente et taille découverte. Un coffret à tiroirs merveilleusement illustré par l’artiste Ugo Gattoni, qui conserve sa magie même après les fêtes.

Article par Alexis Dumetier & Hervé Godard

Illustration: Agnès Solange

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Halloween: la sélection 2020

C’est Halloween et avec le confinement annoncé nous avons pensé à quelques idées pour vous distraire…

 

 

 Les bonbons de chez Leonidas : Des boules chocolatées de belles factures, avec de belles surprises quand on croque dedans, parfois délicatement caramélisées et d’autres fois, les papilles se font surprendre par un sucre pétillant.

 

 

– Jimini’s : Vous voulez une vraie idée Halloween pour votre apéritif de l’horreur ? Et bien osez dépasser vos idées reçues avec ces insectes comestibles enrobés de différentes saveurs : criquets, molitors (petit vers), grillons, … et votre recette de sorcier sera parfaite !

– Blair Witch: Oculus Quest Edition Key : Pour Halloween, en priorité sur Oculus, est une expérience VR d’horreur particulièrement prenante, l’histoire du film a été repensée pour la VR …Vous allez trembler !

 

– Bjorg : La marque bio se met à l’heure d’Halloween et propose un plat gourmand aux saveurs d’automne à réaliser en famille. Cette recette ludique plaira aux grands comme aux enfants pour passer une soirée effrayante !

Velouté de potiron et lait d’avoine Bjorg : Temps de préparation : 20 minutes

Temps de cuisson : 15 minutes – Pour 4 personnes

Ingrédients :

Pour le velouté: 1 potiron (ou 1kg de chair), 30 cl de lait d’avoine Bjorg, 2 oignons, 2 gousses d’ail, 1 pincée de sel, 30 g de beurre, 1 pincée de muscade, 3 cl d’huile d’olive et quelques graines de courge

Pour les sablés (env 15) : 100 g de farine, 80 g de parmesan râpé, 40 g de beurre demi-sel, 1 œuf, un peu d’eau tiède, du sel et du poivre

Préparation :Mélanger la farine, l’œuf, le beurre pommade et le parmesan. Ajouter un peu d’eau tiède, puis saler et poivrer. Former une boule, recouvrir de papier film et réserver au frigo pendant 30 minutes.

Préchauffer le four à 180°C.

Après repos, étaler la pâte sur un papier sulfurisé, découper à l’aide d’un couteau des chauves souris.

Déposer un second papier sulfurisé puis cuire entre deux plaques de four, pendant une dizaine de minutes. Ciseler finement les oignons et l’ail.

Dans une casserole, faire chauffer à feu moyen le beurre ainsi que l’huile d’olive, ajouter ensuite les oignons, l’ail et la muscade. Laisser cuire quelques minutes.

Pendant ce temps, découper le potiron en deux, découper la chair avec la peau en gros cubes, débarrasser les graines ainsi que la pulpe. Ajouter les cubes de potiron dans la casserole. Laisser cuire quelques minutes. Ajouter le lait d’avoine Bjorg. Continuer la cuisson pendant 15 minutes environ.

Verser le tout dans un blender, puis mixer afin d’obtenir un mélange lisse et homogène. Déposer le velouté dans les bols, ajouter quelques graines de courge et un tour de poivre du moulin. Ajouter quelques chauves souris en sablé parmesan, et déguster !

 

– Box Ookies : On sera confiné en ce weekend d’Halloween, donc pour occuper vos bambins voici des box très sympas pour faire des pâtisseries surprenantes : chauves souris en boules soufflées de chocolat, manoirs hantés en biscuit chocolat ou encore cookies araignées, …

– Colors of tea: En octobre, la box se met aux couleurs d’Halloween ! Les clients peuvent choisir parmi de nouveaux thés et tisanes bio monstrueusement délicieux. Parmi eux, le Sourire d’Halloween (tisane citrouille et pomme), le Fruit défendu (thé noir pomme, pêche et raisin), le Train Fantôme (tisane au riz soufflé et cacao torréfié), le Loup court toujours, (Pu Erh gourmand orange chocolat et amande) ou encore Abracadanoix (thé vert mandarine et noix).

– Vous aimez les frissons : Amorino a pensé à vous. En effet, pour Halloween, Amorino la marque des délicieuses glaces propose un cornet exceptionnel : Un cornet rouge sang, le parfum fraise et un macaron fruit rouge … Si vous en voulez plus, vous pouvez rajouter quelques saveurs supplémentaires.

 

 

 

 

-Le Creuset : Au vu du contexte actuel, la collecte de bonbons n’est pas possible cette année. Mais ce n’est pas pour autant que nous ne pourrons pas célébrer Halloween comme il se doit ! Cette fête est une excellente occasion d’initier les enfants à la pâtisserie, en créant des friandises effrayantes à partager ! On utilise les mini-cocottes en céramique. Meringue ou Volcanique pour préparer des araignées au chocolat et cacahuètes, si délicieuses qu’elles régaleront les monstres les plus redoutables de la soirée !

 

Article par Alexis Dumétier

Illustration: @agnes_solange_art

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La sélection des calendriers de l’avent

Le calendrier de l’avent est indissociable de Noël. Il reste encore un mois avant le repas familiale et l’avalanche de cadeaux. Pour patienter sereinement voici une sélection gourmande sucrée, salée,… mais pas que pour que vous puissiez choisir LE calendrier de l’avent idéal :

 

1-Saveur bière : Le beery christmas 2019 : Celui-ci a ma préférence. Il est ludique, gustatif et plein de découvertes étonnantes et parfois déroutantes. A réserver aux amoureux du houblons ou aux volontaires explorateur des papilles à bière. Prix : 58,80 euros

 

 

 

 

 

2-Monbana : coffret 24 boules en chocolat à accrocher au sapin et décrocher au fur et à mesure. Prix : 14,90€

 

 

 

 

 

 

 

 

3-Bath & Body : Un calendrier pour prendre soin de soi tous les jours. Des produits beauté et bien être pour homme : soin du visage, rasage, entretient de la barbe. Parfait en ce mois qui met à rude épreuve nos peaux et nos looks. Prix : 29,99€

 

 

 

 

 

4- Les Thés bio de Nature & Découvertes : Tout simplement 25 sachets de thé et d’infusions bio sélectionné scrupuleusement par Nature et découverte. Prix : 19,95€

 

 

 

 

 

5-La Manufacture Cluizel : La sélection “Mille et Un Éclats” réunit tout le savoir-faire et l’excellence du chocolatier. Prix : 43,45€

 

 

6-Le calendrier de l’avent du vin : 2 grandes bouteilles de vin (une case à ouvrir tous les deux jours)
Chaque vin est accompagné d’une fiche d’informations sur le vigneron, le vin et des conseils de dégustation et des accords met-vin. Prix : 129,90€

 

 

 

7-Le calendrier de l’avent aromathérapie : 6 flacons d’huiles essentielles, 6 flacons de synergies d’huiles essentielles voyage, 2 flacons de synergies d’huiles essentielles bien-être, 6 diffuseurs d’huiles essentielles, 2 tisanes bio. Prix : 39,95€

 

 

 

 

 

8-Comtesse du Barry : 24 petites fenêtres lumineuses à ouvrir, qui renferment chacune une sélection des chocolats les plus raffinés. Et, pour que la surprise soit totale, la Maison a également caché dans les calendriers des tickets gagnants qui permettront aux chanceux de remporter des coffrets, des terrines et même des foies gras. Prix : 27,90€

 

 

 

 

9-Le calendrier de l’avent du fromage : Calendrier de l’Avent avec 24 fromages en 2 envois de 12 fromages. Précommande dès dès le 1er novembre sur le site la boitedufromager.com. Prix : 59,99€

 

 

 

 

10-Le calendrier de l’avent dyptique : 1 bougie parfumée (70g), 12 bougies parfumées (35g), 7 eaux de toilette (10ml), 4 pampilles en métal, 2 soins pour le visage, 1 huile de douche (15ml), 1 patch de parfum. Prix : 350€

 

 

 

 

11-Olive et Co : Calendrier de l’Avent avec 4 huiles aromatiques, une huile d’olive à la truffe noire, Vinaigre balsamique de Modène à la figue, Vinaigre balsamique de Modène, Douceur de vinaigre mangue, 16 truffes au chocolat variées. Prix : 34,90€

 

 

 

 

12-Le calendrier sexy de passage du désir : des sextoys, des cosmétiques intimes, des accessoires, des jeux et objets…ou plus simplement une phrase par jour pour jouer ensemble….Prix : 14,90€€ ou 69,30€

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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