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ARMOR LUX, de la mode & des valeurs

1938-1993 : La Bonneterie d’Armor est née de la volonté d’un homme : Walter Hubacher. Cet ingénieur suisse a le goût d’entreprendre. Ce sera dans le Finistère à Quimper. Il fonde la Bonneterie d’Armor le 7 octobre 1938.
Les années de guerre et d’occupation ne remettent pas en cause la confiance et les certitudes de Walter Hubacher même si l’activité de l’usine s’arrête pendant cette période. A la fin de la guerre, la société achète en 1947 un terrain sur la zone de l’hippodrome de Quimper et un premier atelier accueille 50 personnes. Walter Hubacher aime la mer et la Bretagne et est attaché à la qualité : la marque Armor-Lux voit le jour.

L’entreprise prend une nouvelle dimension et compte 600 salariés au début des années 80.
La conjoncture est difficile et le secteur du textile durement touché par la crise. Des licenciements sont décidés et Walter Hubacher passe partiellement la main à Michel Glain qui devient Président du Directoire. La situation ne s’arrange pas pour autant et l’entreprise est à vendre.
La Bonneterie d’Armor est cédée en 1993 à deux industriels finistériens qui souhaitent pérenniser l’activité de la société à Quimper : Jean-Guy Le Floch et Michel Gueguen. La société prend sous leur direction un nouveau départ.

1994-2023 : Jean-Guy Le Floch et Michel Gueguen contribuent au développement de l’entreprise avec la volonté indéfectible de maintenir en France une production de qualité.
1993 : le groupe reprend la société Guy de Bérac (pulls en laine) dont l’usine est située à Troyes dans l’Aube. Avec cette nouvelle unité, Armor-Lux intègre un savoir-faire complémentaire dans le domaine de la maille rectiligne.
1997 : création de la ligne Armor-Kids pour les enfants âgés de 3 à 14 ans.

2000 : L’usine Armor-Lux est terriblement touchée par les graves inondations qui ravagent la ville de Quimper. La décision de changer de site est alors prise par Jean-Guy Le Floch et Michel Gueguen.
• 2002 : Armor-Lux reprend la société Bermudes. L’acquisition de cette entreprise permet d’acquérir un nouveau savoir-faire dans le vêtement technique de protection.
• 2005 : Armor-Lux signe un contrat de licence avec Max Havelaar pour la commercialisation d’articles en coton équitable.
• 2007 : La SNCF confie à Armor-Lux la fabrication des nouvelles tenues des contrôleurs
• 2009 : Armor-Lux signe un contrat avec ECOCERT pour la fabrication et la distribution de produits en coton biologique.
• 2010 : Jean-Guy Le Floch reçoit à Quimper les insignes de Chevalier de la Légion d’Honneur. Armor-lux est labellisée Entreprise du Patrimoine Vivant.
• 2011 : AFNOR Certification remet à Armor-Lux une attestation d’évaluation AFAQ 26000 (niveau 3 : confirmé) pour l’ensemble de sa politique RSE.
• 2012 : l’entreprise crée, en partenariat avec Pôle Emploi, sa propre formation de mécaniciennes de confection.


• 2013 : Armor-Lux ouvre à Plaisir (Yvelines), son 50ème magasin en propre.
• 2014 : La SNCF choisit Armor-Lux pour fabriquer la Nouvelle Tenue des 31 000 agents en contact avec la clientèle. GeoPost confie à Armor-Lux l’habillement de ses 40 000 collaborateurs.
• 2015 : La Poste qui travaille avec la marque depuis 2004 renouvelle sa confiance à Armor-Lux pour l’habillement de ses 110 000 agents.
• 2016 : Armor-Lux obtient le niveau Exemplaire de l’évaluation AFAQ 26000. Armor-Lux reprend également la marque Karting.
• 2018 : Armor-Lux investit 2,5 Millions d’euros pour agrandir la surface de ses bureaux et de son magasin à Quimper.
• 2019 : Armor-Lux reprend Fileuse d’Arvor, société quimpéroise spécialisée dans la fabrication de pulls haut de gamme et ouvre 15 boutiques en propre et en affiliation. L’entreprise obtient également la certification ISO 14001.

• 2020 : Pour lutter contre la pandémie de la Covid-19, Armor-lux fournit des masques et des blouses aux établissements de santé, aux entreprises et aux collectivités.
• 2021 : Armor-lux obtient le niveau exemplaire pour sa politique RSE à la suite d’une évaluation réalisée par Afnor Certification (803 points/1000). Jean-Guy Le Floch est fait Officier de la Légion d’honneur ;
• 2022 : Armor-lux investit dans la construction d’une nouvelle plateforme logistique de 18 000 m² à Quimper ;
• 2023 : Armor-lux obtient la certification ISO 9001 de son Système de Management de la Qualité.

La qualité est le maître mot du groupe : tous les produits sont testés à chaque stade de la chaîne de fabrication afin d’assurer une qualité irréprochable. L’entreprise dispose d’un Service Qualité, rattaché à la Direction Générale, dont la mission principale est de contrôler les matières premières et les articles aux différentes étapes de fabrication.
Armor-Lux dispose également de son propre laboratoire d’essais et d’analyses spécialisé dans le contrôle et le développement des textiles. Depuis 2011, le laboratoire est accrédité selon la norme ISO/CEI 17025 (accréditation n°1-2305 – Portée disponible sur www.cofrac.fr). Le laboratoire d’Armor-Lux réalise plus de 10 000 tests physiques et chimiques par an (tests colorimétriques, stabilité dimensionnelle, solidité des teintures, caractéristiques mécaniques…).
En 2023, Armor-Lux a obtenu la certification ISO 9001 qui lui permet désormais de valoriser la performance de son organisation en matière d’orientation client et de management de la qualité.

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LA CORVETTE®, le vrai savon de Marseille

LA CORVETTE® est la plus ancienne marque de savon de Marseille encore commercialisée, aussi bien en France qu’à l’étranger. Créée par la Savonnerie du Midi, fondée en 1894 à Marseille, LA CORVETTE® offre ainsi une part d’histoire authentique et naturelle, un cadeau méditerranéen riche en tradition, préservé par une poignée de passionnés, et garantissant une authenticité devenue rarissime.
La marque doit son nom et son logo aux bateaux qui, au XIXème siècle, approvisionnaient les savonneries marseillaises en matières premières. Livrées au Vieux Port, celles-ci faisaient l’objet d’un commerce florissant sur la place aux Huiles, lieu qui a gardé son nom et où la Savonnerie du Midi a récemment ouvert une boutique.

L’authentique savon de Marseille a toujours été reconnu à travers le monde entier, pour ses vertus naturelles et hypoallergéniques. Composé d’huiles 100% d’origine végétale, il est naturel et n’irrite pas la peau. Le savon de Marseille est utilisé pour le soin du corps mais également pour les tâches d’entretien 100% d’origine naturelle, le savon de Marseille LA CORVETTE® est fabriqué selon le procédé traditionnel de cuisson au chaudron. A base d’huiles exclusivement végétales, sans colorant, sans parfum ni conservateur, il est le premier véritable savon de Marseille à avoir été certifié par ECOCERT, selon le référentiel COSMOS NATURAL.
De par sa composition, son procédé de fabrication, et l’implantation géographique de la Savonnerie du Midi à Marseille, dans le quartier des Aygalades, le savon de Marseille LA CORVETTE® respecte la charte de fabrication artisanale fixée par l’UPSM (Union des Professionnels du Savon de Marseille), dont la Savonnerie du Midi est membre fondateur, et qui ne compte en tout que quatre savonneries. La Savonnerie du Midi fait également partie du cercle restreint des entreprises labellisées Entreprise du Patrimoine Vivant, une reconnaissance de son engagement à perpétuer des traditions d’excellence et un savoir-faire artisanal et ancestral.

Copyright MOIRENC

« Ce qui est plaisant chez LA CORVETTE® , c’est de pouvoir vraiment créer un savon de A à Z ! A l’ancienne. Exercer le métier de maître savonnier, c’est un peu comme être œnologue de savon. Il faut sur veiller et observer en permanence comment la pâte à savon se comporte, et détecter en la goûtant ce dont elle a besoin. Je cherche en permanence une texture et un goût particulier. A partir de l’observation du comportement de chaque pâte à savon, c’est l’expérience qui permet d’obtenir le meilleur savon. Ainsi chaque chaudron de cuisson – il y en a cinq à la Savonnerie de 10 à 20 tonnes – est unique. Chaque pâte à savon nécessite des ajustements qui lui sont propres, et une durée qui lui appartient et qui varie de 7 à 10 jours. Aucune mécanisation ni accélération du procédé? ne permet de créer le même résultat. » Franck, Maître Savonnier chez LA CORVETTE®

photo @Julie Cohen

LA CORVETTE® propose une gamme adaptée à un usage contemporain, pour prendre soin de toute la famille, dans le respect de l’environnement et d’un savoir-faire français. Ces produits authentiques, destinés au soin du corps ou à l’entretien de la maison, sont en grande partie labellisés ECOCERT. La Savonnerie du Midi est adhérente à la charte COSMEBIO depuis 2007.


Parmi les meilleures ventes de la marque, nous retrouvons : le savon de Marseille en cube de 300g Olive nu, le savon de Marseille en cube de 300g Extra Pur en boîte, la barre de savon de 900g et les savonnettes Méditerranée – Tous Ecocert. Mais également : le coffret cubes de Provence et le baume mains à la fleur d’olivier.

 

 

 

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On Aura Tout Vu et ses (Re)belles dentelles

On Aura Tout Vu, la maison de couture parisienne, s’empare du musée de Caudry dans une exposition-évènement marquant les 20 ans de leur première collection Couture.

Fondée en 2002 par les designers Livia Stoianova et Yassen Samouilov, On Aura Tout Vu est réputée et reconnue sur la scène internationale de la mode pour son style déjanté et son univers débridé où détournement de matières, sophistication, artisanat d’art et innovations technologiques se côtoient. Leur style marquant et décalé séduit les icônes de la mode telles que Lady Gaga, Madonna, Beyonce, Katy Perry ou encore Gwen Stephani.
Ses créateurs manifestent depuis leur première collection un intérêt prononcé pour la dentelle Leavers fabriquée à Caudry en l’utilisant chaque saison. Cet amour pour la dentelle se traduit par des collaborations et partenariats créatifs notamment avec les manufactures Solstiss et André Laude, la plus ancienne toujours en activité à Caudry.
Afin de restituer leur attachement et leur fidélité à l’industrie dentellière caudrésienne, le musée fait un focus sur leurs créations utilisant ou s’inspirant de la dentelle à travers l’exposition (Re)belles dentelles, la première conçue à travers le prisme de cette étoffe.
Présentée en deux volets, cette exposition est conçue en collaboration avec Livia Stoianova et Yassen Samouilov.

A travers la présentation d’une trentaine de modèles et accessoires uniques, l’exposition restitue les différentes utilisations de la dentelle à travers leurs collections depuis 2002.
Les créateurs de On Aura tout Vu bousculent l’image traditionnelle de la dentelle en la réinventant par le biais d’ennoblissements innovants et des techniques de couture main relevant d’un savoir-faire d’exception.
Ainsi, le musée invite le public à poser un nouveau regard sur cette étoffe en montrant que grâce à la créativité débordante et à l’audace de ces créateurs, la dentelle n’a de cesse de se renouveler pour s’inscrire dans une mode d’avant-garde.

Le musée, situé dans un ancien atelier (1898), conserve et valorise la dentelle mécanique Leavers fabriquée à Caudry, patrimoine vivant, tout en évoquant les autres textiles du territoire : tissage, tulle, guipure et broderie.
Orienté sur la création contemporaine, le musée est aussi un laboratoire créatif qui organise des partenariats entre dentelliers et jeunes créateurs dans une démarche de soutien et d’innovation.
”J’observe depuis 20 ans la métamorphose des dentelles Leavers fabriquées à Caudry à travers les collections du collectif de créateurs On Aura Tout Vu. Leur approche décomplexée et expérimentale de cette étoffe a permis d’en redéfinir au fil des présentations son intérêt créatif. Dans leurs modèles la dentelle se révèle, elle est support d’expression, dessine le corps, s’insinue dans d’autres matières, affirme pleinement son caractère. Livia et Yassen font partie de ces rares créateurs qui grâce à leur perception novatrice de la mode ont su, à l’aube du XXIes, percevoir l’extraordinaire potentiel de cette étoffe. » Claire Catoire, responsable du pôle mode et création

Devant le succès de l’exposition, celle-ci est prolongée jusqu’au 30 janvier 2023 !

http://musee-dentelle.caudry.fr

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Ateliers de Nîmes: le renouveau du Denim

Ateliers de Nîmes relance la légende de la toile de Nîmes, le denim, car le mot denim associé au légendaire jeans vient du nom de la ville française : Nîmes, d’où elle était exportée vers les Etats-Unis où elle était coupée pour servir de base aux vêtements des travailleurs, des mineurs et des pionniers de l’Ouest américain. En 2020, la marque rend hommage à ce passé glorieux en tissant de nouveau cette toile, à Nîmes, au sein de son propre atelier. 

En remettant en activité les métiers à tisser, et en relocalisant la production dans le Gard, la marque ranime une industrie séculaire, et participe à la valorisation du savoir-faire français. L’entreprise est ainsi la seule marque française de denim à tisser sa propre toile pour son seul usage, et surtout, l’une des rares à l’échelle mondiale. 


Ateliers de Nîmes propose 4 coupes femme et 4 coupes homme : A.D.N. 60, A.D.N. 70, A.D.N. 80, A.D.N. 90 et A.D.N. 10, A.D.N. 20, A.D.N. 30 et A.D.N. 40. Les modèles sont droits, ajustés, fuselés, slim ou encore larges. Les coloris disponibles sont le bleu, le noir et le naturel. Les modèles respectent aussi différentes méthodes de lavages. Actuellement seule la gamme bleue est tissée à Nîmes. Les tailles vont du 25 au 34 pour un denim femme, et du 28 au 38 pour un denim homme. Cette toile authentique s’adapte à chaque morphologie, et invite à repenser ses classiques.

Tissé dans l’ancienne ville romaine dès 1557, la toile de Nimes, autrefois mélange de laine et de soie, solide et rapiéçable, est devenue au fil du temps, un sergé de coton quasiment inusable et surtout un des vêtements de base de notre dressing. Chez Ateliers de Nîmes, cette saison, le vestiaire homme s’étoffe avec des sweatshirts et des tee-shirts, et dévoile une capsule exclusive “Le Trophée des As”. Pêle-mêle, la gamme de couleurs contient tout ce que la région produit de meilleur : vert garrigue, terre orange de Roussillon, lin beige et marine.

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Chausse Mouton, la charentaise New Look

Chausse Mouton, la jeune marque française et tendance de charentaises présente sa nouvelle collection qui allie style et confort totalement dans l’air du temps.

Modèle ARLEQUIN Rouge

Après un succès unanime et des mois de confinement au chaud pour ses adeptes, les designers de Chausse Mouton prouvent à nouveau leur créativité pour cette collection haute en couleurs.
La marque innove chaque année et propose des motifs peps et colorés tout en garantissant un confort optimal. Charentaises classiques ou mules, chaque modèle bénéficie du savoir-faire de la marque et de matières aussi tendance que confortables : laine, tweed, velours côtelé pour la première fois et moumoute toute douce.

Pour les motifs, Chausse Mouton sait marquer la différence avec des modèles très graphiques : Dreamtime, Arlequin, Art Déco, Scottish – et des chaussons à messages avec les inédits : Love is in the air, Super pantouflard(e). Les unis se portent en velours côtelé cette saison, avec des tons doux à assortir selon ses goûts ! Pour une douceur incomparable, il faudra se tourner vers la ligne de chaussons ou bottillons Top Moumoutes. Pour les adeptes de la charentaise traditionnelle, Chausse Mouton réédite ses modèles intemporels en tweed et propose de nouveaux tartans.

Modèle TROPICAL Ocre

Si pour certains, made in France signifie création française, pour la marque périgourdine, il s’agit de bien plus. Ses authentiques charentaises sont conçues ET fabriquées dans les ateliers de Thiviers (Périgord Vert), selon la méthode ancestrale du « cousu-retourné ». Née d’une volonté de remettre au goût du jour la charentaise, la marque périgourdine Chausse Mouton allie tradition et innovation depuis 3 ans, pour rendre tendance ce chausson trop souvent jugé classique ou désuet. Fabriqué dans la pure tradition artisanale, sans colle ni solvants et à partir d’une laine de mouton de qualité, il est doté d’une semelle en feutre très résistante.

Modèle STUART

Pour Chausse Mouton, la douceur ce n’est pas négociable ! Une laine de mouton de qualité, une semelle en feutre d’origine française, une méthode de fabrication ancestrale… c’est le respect du savoir-faire et du produit qui font des charentaises Chausse Mouton une référence du confort et de la douceur. La marque bénéficie même de l’Indication Géographique Charentaises de Charente-Périgord.
Les charentaises homme ou femme sont au prix public conseillé de 45,90 € Les mules homme ou femme sont au prix public conseillé de 42,90 €

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MONTBLANC: HOMMAGE A NAPOLEON BONAPARTE

Montblanc,  chaque année, rend hommage à l’un des grands mécènes de l’histoire et à l’héritage culturel qu’il a laissé. Créée dans l’Atelier d’Artisanat de Montblanc à partir de matériaux précieux et façonnée par des maîtres artisans hautement qualifiés avec beaucoup de soin et de dévouement, la nouvelle édition Montblanc Patron of Art célèbre la vie et le mécénat de Napoléon Bonaparte (1769 -1821), empereur des Français de 1804 à 1814, puis brièvement en 1815 avant son exil et sa mort en 1821. En dehors de son rôle de chef militaire et d’homme d’État redoutable, il était un champion des arts. Il est à l’origine du renouveau des arts décoratifs et l’ère de Napoléon est considérée comme « l’âge d’or de l’artisanat français ».

Napoléon accorde une attention particulière au Néoclassicisme, un mouvement dans les arts visuels, la littérature, la musique, le théâtre et l’architecture qui s’inspire de l’art et de la culture classiques de la Grèce et de la Rome antiques. Il a demandé à des artistes, des artisans et des architectes de travailler à ce qui est ensuite devenu le style Empire, avec des édifices célèbres comme l’église de la Madeleine et l’Arc de Triomphe émulant les imposants édifices de l’Empire romain.

Pour créer les quatre éditions du Montblanc Patron of Art, Montblanc s’est appuyé sur les métiers d’art de la manufacture – orfèvrerie, laquage, sertissage de pierres précieuses, gravure en camée – pour raconter l’histoire de l’ascension fulgurante de Napoléon, du soldat au consul, puis à l’empereur des Français. Le style néo-classique des instruments d’écriture combine un design géométrique et des lignes pures avec de riches décorations.

Si la laque bleue du capuchon et du corps s’inspire de l’uniforme bleu de Napoléon, elle rend également hommage à la couleur de la salle du trône du château de Fontainebleau. Symbole d’immortalité et de résurrection, l’abeille orne la surface laquée du stylo-plume. Parce que l’abeille est le plus ancien emblème souverain de la dynastie mérovingienne, l’empereur a choisi ce symbole pour relier sa nouvelle dynastie aux premiers souverains de France.
Le capuchon recouvert d’or jaune est décoré des insignes du sacre de Napoléon, notamment la couronne de laurier du sacre inspirée de la Rome antique, la couronne Impériale et l’aigle, et couronné de l’emblème de Montblanc en résine précieuse. L’agrafe de l’instrument d’écriture évoque une lame d’épée, avec une pierre d’agrafe rouge représentant l’anneau de couronnement de l’épouse de Napoléon, Joséphine. Dans le respect de l’esthétique néo classique, l’anneau du capuchon présente un motif rappelant l’architecture antique. Les délicates gravures sur le cône doré représentent l’abeille de Napoléon avec le motif de la palme égyptienne, typique des arts décoratifs du style Empire. Une pièce de monnaie dorée avec un portrait de l’empereur est incrustée dans la base de l’instrument d’écriture. La plume en or massif Au 750 présente un gaufrage spécial de Napoléon portant son célèbre chapeau bicorne.

Hommage à l’époque où Napoléon était consul, le rôle qu’il a établi sur la voie du pouvoir impérial, cette fontaine à la robinetterie platinée est dotée d’un revêtement complexe en or jaune massif Au 750, riche en symboles impériaux. La laque bleue précieuse qui se trouve sous le revêtement rappelle le bleu de son premier uniforme de consul. La spirale squelette en or jaune massif Au 750 qui recouvre la calotte et le canon s’inspire de la Colonne Vendôme de Paris, une structure militaire inspirée de la colonne Trajane de Rome. La décoration du squelette comporte des feuilles de chêne provenant de l’uniforme de consul de Napoléon pour représenter la force et la longévité, des feuilles d’olivier provenant de son uniforme de l’académie française comme symbole de force et de victoire, de sagesse et de fidélité, d’immortalité, d’espoir, de richesse et d’abondance, ainsi que le symbole de l’abeille souveraine reliant sa dynastie aux premiers rois de France.

L’agrafe en forme d’épée est gravée du « N » et ornée d’un grenat rouge. La plume en or massif 750, partiellement rhodiée, présente l’embossage spécial de Napoléon portant son chapeau bicorne distinctif. Les gravures sur le dessus de la casquette – une couronne de laurier, la couronne impériale et un aigle – font référence aux insignes du couronnement de Napoléon Bonaparte. La casquette est couronnée par l’emblème Montblanc en nacre. Le motif de palmier antique est gravé sur le cône, qui porte également un portrait gravé de l’empereur. Le gaufrage rhodié – inspiré de la poignée de son épée de couronnement – décore la plume en or jaune massif Au 750 fabriquée à la main.

Limitée à 92 exemplaires pour marquer l’année 1992 où la Colonne Vendôme a été classée monument historique, cette oeuvre d’art en or jaune massif Au 750 est une célébration du couronnement opulent de Napoléon. Le jaspe rouge utilisé sur le barillet, associé à l’or dans un quadrillage de style Empire, est un hommage aux couleurs du pouvoir impérial. En référence aux abeilles d’or qui décoraient les palais, les cours et les bureaux impériaux de Napoléon Bonaparte, le guillochage de la capsule en or jaune massif Au 750 présente une abeille gravée à la main en or blanc massif Au 750, entourée d’étoiles qui s’inspirent du trône de Napoléon Bonaparte au palais des Tuileries. En plus des symboles décoratifs du couronnement, l’emblème Montblanc en nacre orne le sommet du capuchon. L’agrafe en forme d’épée porte le  » N  » napoléonien, si bien mis en évidence sur le trône de Napoléon Bonaparte à Fontainebleau. L’extrémité de l’agrafe est décorée d’un grenat rouge rappelant le magnifique anneau de couronnement de son épouse Joséphine. Un motif important du style empire, la palmette égyptienne, est gravé sur le cône, qui porte également un portrait gravé de l’empereur. 

Célébrant la puissance et l’opulence de Napoléon, ce rare chef-d’oeuvre limité à 8 pièces seulement est réalisé en or jaune massif Au 750 et présente une combinaison de rouge et de blanc, couleurs qui rappellent les vêtements de son couronnement. L’empereur portait une longue tunique de satin blanc brodée de fils d’or, associée à un lourd manteau de velours cramoisi doublé de fourrure d’hermine et couvert d’abeilles d’or brodées. Clin d’oeil aux arts décoratifs de l’Empire, la coiffe est guillochée de laque blanche translucide et est élégamment décorée de feuilles d’acanthe gravées à la main en 3D, inspirées de l’art gréco-romain et égyptien. En référence à l’enthousiasme pour les camées qui s’est développé pendant son règne, la casquette présente un portrait en camée de Napoléon, réalisé à la main.
L’édition fait écho à la beauté en spirale de la Colonne Vendôme avec une spirale faite de diamants s’enroulant autour du canon et une laque rouge qui se reflète entre les deux. Les gravures à la main sur le dessus de la capsule – une couronne de laurier, la couronne impériale et un aigle – font référence aux insignes de son couronnement. La plume en or massif Au 750, fabriquée à la main, est décorée d’une représentation de son épée de couronnement, symbole du pouvoir absolu de l’empereur.

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Wakaze : un saké 100% français créé par des japonais

Nous avons découvert le saké Wakaze (la « brise du Japon » en français), un saké français fait à quelques kilomètre de Paris, à Fresnes, créé avec des produits français et bio par des maîtres japonais.

Le saké

Le saké est un alcool léger (entre 5 et 19 degrés), aux notes délicates souvent florales, fruitées, ou encore de riz. C’est un alcool qui peut se boire en apéritif, durant le repas ou en fin de repas. Il existe beaucoup de variétés de saké, il en existe même des pétillants.

Cet alcool que nous apprécions particulièrement, nous vous en parlons régulièrement.

La naissance de Wakaze

Aujourd’hui, nous tenons à vous présenter cette maison de saké créée par des Japonais en France et avec la volonté ferme de faire un saké 100 % français.

Takuma Inagawa et Shoya Imai, deviennent amis autour de leur passion commune pour le saké.

Takuma est un jeune entrepreneur de trente ans, né à Tokyo. Il découvre la France en venant faire deux ans d’études à Centrale Paris. Shoya Imai, contrairement à Takuma, connaît bien l’univers du saké : sa production est une tradition familiale.

Quand Takuma retourne au Japon, il crée avec Shoya : Wakaze.

Shoya est alors le Tôji (maître sakéificateur, l’équivalent de notre maître de chai) et Takuma s’occupe de la partie communication et marketing. Ce sera auprès de leur maître et mentor Amanoto, que Shoya apprendra toutes les subtilités de la confection du saké.

Ils ouvrent un bar à tapas attenant à la sagakura (lieu de création du saké) à Tokyo dans le quartier de Sangenjyaya, comme cela se fait en France dans ces bars où l’on peut boire la bière brassée sur place. C’est un succès.

Wakaze en France :

Takuma Inagawa garde un bon souvenir de ses années d’études à l’École Centrale de Paris. Il sait que le saké, en dehors d’une clientèle réduite d’amateurs initiés, est encore assez peu connu des Français. Il est persuadé que le saké pourrait être apprécié par une clientèle plus répandue, similaire à celle qui redécouvre aujourd’hui les bières artisanales. Il sait aussi que en France, il pourra élaborer avec Shoya le saké qu’ils veulent et expérimenter de nouvelles choses sans aucune contrainte liée à la tradition.

Arrive alors la deuxième phase du projet Wakaze : s’installer en France avec pour ambition de produire un saké 100% made in France et le rendre accessible aux Français en terme de prix, un saké de qualité.

C’est au Sud de Paris, à Fresnes, dans le Val-de-Marne, que Takuma trouve les 450m2 nécessaires pour déployer la sagakura : le lieu de création du saké. Takuma et Shoya travaillent avec une équipe de 17 personnes pour produire leur saké.

Wakaze, en France, a pu exister grâce à l’apport de plus d’un million d’euros par un fond japonais ; ce qui a permis de trouver le lieu de confection et d’équiper en cuves et en machines la sagakura pour qu’elle puisse avoir un fonctionnement autonome.

Takuma et Shoya ont décidé de faire un fonctionnement de crowdfunding pour leur production qui s’apparente plus à de la précommande. (Cf. adresse ULULE ci-dessous ; vous pourrez précommander des lots de bouteilles de saké en échange de votre contribution financière.)

Pour élaborer leur saké français, ils ont choisi un riz de Camargue bio ; ils utilisent l’eau francilienne filtrée. Elle contient beaucoup de minéraux par rapport à l’eau douce du Japon. Pour ce qui est du kôji, le champignon qui permet de transformer l’amidon du riz en sucre, ils utilisent le koji jaune mais aussi, le blanc pour retrouver l’acidité de nos vins blancs.

Pour la suite du processus et parce qu’ils sont en France, Shoya peut tout expérimenter et il ne s’en prive pas. Ce qui lui permet ainsi d’explorer de nouvelles saveurs pour leurs sakés : infusion de plantes, d’épices, levures diverses, vieillissements en fûts de chêne, de vins, mais aussi de cognac ou de calvados. Bref, aucune limite si ce n’est leur imagination.

Et le résultat est magnifique !

Notre découverte de Wakaze :

Nous avons eu la chance de faire une dégustation sur place avec les deux créateurs, leurs sakés sont de belles factures.

 

 

 

 

 

 

 

 

Un grand coup de cœur pour leur saké vieilli en fût de cognac : le nez est surprenant, belle complexité, car ce saké mélange les senteurs du cognac (de noix, de miel et boisée,…) et la finesse florale d’un saké junmai (sakés dits « pur riz » sans ajout d’alcool de distillation. Les junmai sont généralement plus acides et ont plus de corps que les autres sakés). En bouche, ce saké est frais et fruité mais aussi très ample sur des notes de cognac et de tanin. Mais pour autant, le final est frais et aqueux et laisse la bouche limpide. Les bonheurs des bons sakés en somme.

 

 

 

Si vous voulez faire vous aussi partie de l’expérience Wakaze et déguster leurs sakés vous pouvez participer à leur crowdfunding ULULE :

https://fr.ulule.com/wakaze-france/

Jusqu’à fin avril 2020, Wakaze offre aux particuliers les frais de livraison en France métropolitaine, à partir d’une bouteille achetée sur le site web de Wakaze.

Vous voulez découvrir de nouvelles saveurs et ne connaissez pas le saké, c’est une belle manière d’aborder cet elixir. Vous connaissez le saké et êtes amateur, Wakaze c’est l’occasion de découvrir une nouvelle approche pleine d’audace.

Nous, c’est décidé, on participe !

Site : www.wakaze-sake.com

 

Un article écrit par Alexis Dumétier

 

 

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