close

Blog

ArchivesBlogEdito

David Michigan by Greg Glamoc

pull Lucien Pelat Finet pantalon Uniqlo

Photographe Greg Glamoc / @themodelsfactory

Modèle David Michigan / @davidmichigan

Stylisme Hervé Godard

pull Zara Man
pull Lucien Pelat Finet pantalon Uniqlo sneakers Soloviere
pull Hugo Boss short Les Hommes
pantalon Les Hommes
pull Hugo Boss short Les Hommes sneakers Bikkenbergs
pull Boss Orange short Les Hommes sneakers Soloviere

 

 

 

Entrer
ArchivesBlogLifestyle

HOT SPOTS 2 – Attention, ça brûle !

hot spot noel

3 lieux parisiens, 3 ambiances.

Attention ça brûle! Voici une nouvelle sélection Spécial hiver pour se réchauffer. Cocktails, restaurants…ça brûle les papilles pour un maximum de chaleur dans les corps !

 

Le Pachamama : un club splendide

Voici le lieu le plus « caliente » de la capitale ! Dans un décor fantastique et impressionnant de 3000 m2, le Pachamama – en lieu et place du Barrio Latino – vous promet cocktails, bonnes assiettes et clubbing sur quatre niveaux. Installé dans un magnifique bâtiment historique du XIXe siècle créé par Gustave Eiffel, dont on reconnaît la signature, à deux pas de la place de la Bastille, cet endroit incroyable est un aller simple pour l’Amérique du Sud dans tout ce qu’elle inspire de plus grandiose.

Au cœur d’un jeu de lumières envoûtant et d’une mise en scène surréaliste signée Ludovic Messager, vous pouvez siroter un mojito, déguster un ceviche péruvien, des churros au dulce de Leche, découvrir d’excellents nectars chiliens, français ou argentins, déambuler dans les étages et finir sur le dancefloor jusqu’à 5h du matin sur les tubes des DJ les plus branchés de la capitale. Situé au rez-de-chaussée, le fameux Ballroom, que l’on peut admirer en vue plongeante de tous les étages, en met plein la vue avec un escalier extraordinaire qui semble sorti d’un conte. Le lieu dans son ensemble pourrait se prêter à un décor de cinéma tant chaque objet chiné comme chaque pièce laisse sans voix.

Des soirées à thème sont régulièrement organisées au dernier étage qui dispose d’un grand fumoir. Les bars sculptés et décorés de fresques sont tous absolument somptueux, et même si les prix sont un peu élevés, le Pachamama vaut vraiment le détour !

A ne pas manquer : le magnifique patio et son mur végétal pour dîner presqu’en pleine nature.

Le Pachamama, 46-48 rue du Faubourg St-Antoine, 12e.

01 55 78 84 75

 

 

Yikou : Les Dim Sum à la française

Quand la France et la Chine se rencontrent, ça donne de merveilleuses petites bouchées aux goûts étonnants ! Les fameux Dim Sum, devenus très tendances dans la capitale, retrouvent leurs lettres de noblesses chez Yikou, grâce au savoir-faire et à l’imagination de deux copains, Pierre et Chen. L’un Français et l’autre Chinois, ils ont décidé d’unir leurs deux cultures pour mieux les valoriser.

Dans un décor branché et chaleureux, face à une magnifique fresque colorée signée Mateus Bailon, un artiste brésilien, on déguste des raviolis délicats, disposés dans de magnifiques boîtes carrées en bois fabriquées artisanalement en Chine.

On se régale de Susu Champêtres, ravioles végétariennes au chou rouge, poireaux et feuille de tofu, mais aussi de Provençai, raviole d’aubergines à la provençale, tomates à l’huile d’olive, pâte de haricots rouge chinois, duo de basilic et graines de tournesol , accompagnés de frites de riz démentes ou d’un assortiments de légumes à en perdre ses baguettes ! Des Bao Burgers étonnants sont également à la carte.

Quelques cocktails maison exquis et desserts de folie plus tard, on se dandine sur la playlist de hip-hop chinois et on n’a qu’une envie : revenir goûter le reste !

Yikou, 49 rue de l’Aqueduc, 10e.

09 83 76 44 64

 

 

Pacifico : Meilleur Poké de Paris !

Vous l’avez sûrement remarqué : les Poké, spécialités hawaïennes à base de riz et de poisson cru, poussent à tous les coins de rue. Tous ne se valent pas et Pacifico, restaurant familial et chaleureux, sort clairement du lot avec ses compositions ultra fraîches et ses associations originales !

A bord d’un charmant cocon, on embarque pour un beau voyage culinaire : en entrée, un mini-burger de thon fumé décoiffant, ou un ceviche saumon-avocat-mangue rafraîchissant, réveillent d’emblée les papilles. Côté Poké, le magnifique Veggie décoré de somptueuses betteraves chioggia, en met autant plein la vue que le splendide Saumon et ses adorables radis Red Meat.

En dessert, une pavlova aux fruits de saison pleine de fraîcheur et une mousse au chocolat aérienne clôturent en beauté cette belle escapade aux portes du Pacifique !

Accueil charmant et aux petits soins, prix très corrects.

Pacifico, 50 rue Saint-Georges, 9e.

01 42 85 12 30.

Un article écrit par Johanna Alam

 

Entrer
ArchivesBlogLifestyle

Sélection HI-FI pour Noël

Noel-2016-la-selection-de-cadeaux-de-Grazia_exact1900x908_l

Voici notre sélection Hi-Fi pour Noël. Ainsi vous pourrez faire le plus beau des cadeaux aux amoureux de musique qui vous entourent. Cette année retrouvez notre sélection de casques hi-fi et des enceintes pour votre intérieur.

Les casques avec “noise reduction”

-Le Beat by Dre Studio 3 wireless :

Un casque parfait pour les nomades amoureux de son chaud et flatteur. Les basses sont très présentes. La signature Beat sans surprise. Le casque est léger sans donner d’impression de fragilité, il compresse un peu les oreilles.Le réduction de bruit fonctionne bien.

Prix : 249€

 

 

-Le KEF Porsche design :

Ce sont de véritables enceintes hifi dans les oreilles, tant sa réponse en fréquence est équilibré. La spatialisation du son est étonnante pour un casque fermé. Pour les amateurs ce casque sera magnifié avec un DAC externe, pour une expérience d’écoute ultime pour les trajets quotidiens. La finition est soignée, sobre, compacte et solide, signée Porsche design.  Le système de réduction de bruit modifie légèrement la courbe de réponse mais ce casque isole si parfaitement du bruit de part sa structure qu’on en oublie facilement d’activer le réducteur de bruit.

Prix : 399€

 

 

-Le Sennheiser PXC 550 :

Il est le champion toutes catégories pour la réduction de bruit. Sennheiser n’en est pas à son premier essai dans la mise en œuvre de cette technologie et le prouve clairement avec ce casque. Le confort des oreillettes larges et souples permet une longue écoute lors de voyages exotiques ou de simples trajets de métro. Le rendu est très bon pour la musique et les différents modes d’égalisation intégrés au casque permettent une belle expérience sur les films ou les jeux vidéos.

Prix : 249€

 

-Le skullCandy Venue :

Ce casque est plus dédié aux joueurs et aux cinéphiles qui aiment voyager. L’expérience d’écoute est flatteuse mais perd en précision pour l’audiophile, avec une présence importante des bas mediums. Le réducteur de bruit fait son office. Pour ce modèle qui est le moins cher de la sélection, sa finition soigné n’a pas à pâlir face aux autres casques.

Prix : 139€

 

 

– Les enceintes et systèmes :

 

La qualité sonore de ces ensembles, moyennant un prix d’achat non négligeable, n’est plus à discuter. Ces enceintes et systèmes tout en un possèdent en outre deux avantages:

– le plug and play. On sort le matériel, on le pose sur la table, le meuble, la bibliothèque ou autre… ( ceci grâce à leur encombrement « réduit » au vu des prestations sonores émises), on connecte avec une pléthore de possibilité (en câble ou en wireless) avec son dispositif habituel, et on envoie sa musique depuis son streamer favoris. Le tout aidé par des applications dédiées permettant de piloter et régler votre installation. En terme d’expérience utilisateur, la simplicité de mise en œuvre est à son comble et répondra à de nombreuses attentes. Cette simplicité d’installation annonce leur second point fort.

-Le rapport qualité / prix : Le son de ces systèmes, peut être pris en défaut par des systèmes HI FI de prix avoisinant (surtout pour la Pearl, pour les Kef, cela devient vraiment plus délicat). Après des mois d’essais entre différents éléments séparés, câbles, enceinte, de recherche sur forum, d’achat non concluant s’accumulant et autres. Avec le tout en un, on branche, l’électronique est optimisée pour les caractéristiques physiques du système, et on écoute sa musique avec un rendu quasi HI FI.

Seule différence la douceur, l’ampleur ou la spacialisation que seul de gros systèmes hifi peuvent rendre. Le gain de temps et d’argent risque de peser lourd dans la balance des non passionnés d’écoute pure audiophile avec un fauteuil ne pouvant bouger de 2cm du sweet spot. Et pour les habitations avec une surfaces plus modeste, l’encombrement des tout en un face à une système hifi « complet » n’est pas à négliger.

Dans ces système tout en un, deux ont retenu notre attention pour les fêtes:

 

-Les KEF LSX le “tout en un” ultime pour les petits espaces :

On commence par la connectique parce que c’est le point fort de ces enceintes : Wifi : Airplay2 (disponible début 2019), Spotify Connect, DLNA, application de streaming KEF. Bluetooth 4.2. Entrées : optique toslink, jack 3.5 mm, RJ45 (pour le réseau) et une sortie caisson de basses. La superbe finition de ces enceintes existant en différents colories, permettrons à chacun de trouver une teinte correspondant à son intérieur. Le rendu sonore est bluffant pour la musique comme pour le home cinema surtout vue l’encombrement de ces petites bibliothèques.

Description :

Réponse en fréquences : 54 – 28.000 Hz

Puissance : Système actif à quatre amplificateurs (2 x 30W + 2 x 70W Classe D)

Alimentation : 100 – 240 V 50/60 Hz

Haut-parleurs : KEf Uni-Q 120 mm de diamètre (tweeter à dôme aluminium 19 mm, medium/woofer cône en alliage magnésium/aluminium 115 mm)

Dimensions : 240 x 155 x 180 mm

Fonctionnalités : Fonctionne sans fil entre les 2 enceintes. Application de contrôle des enceintes KEF CONTROL (équalisation, paramétrages…)

Poids : 3.6 kg par enceinte

Prix : 1200€

 

-Les Cabasse Pearl :

La perle de cette sélection et sans mauvais jeu de mots cette enceinte en plus d’un design unique, a une capacité de sonoriser une pièce entière avec force et finesse. Même avec une seule Pearl l’ampleur du son déployé est impressionnant. Quand on met en multiroom, comprenez plusieurs Pearl jouant ensemble la même partition, on se sent alors enveloppé dans une sphère acoustique.

La télécommande est un autre point fort de cette enceinte : belle, très bien finie, réactive et particulièrement agréable au toucher. Ce bonus dans la boîte participe au côté haut de gamme du produit

Description :

Directement inspiré de La Sphère et de L’Océan

Le nouveau haut-parleur de grave de 25 cm 25 HLD avec excursion linéaire jusqu’à 30 mm offre le niveau de basse le plus riche et le plus dynamique existant sur le marché.

Le nouveau coaxial tweeter/médium de 13 cm BCI en carbone dispose de composants brevetés par Cabasse.

Le dissipateur thermique surdimensionné permet d’optimiser la plage dynamique même à des niveaux très élevés avec une faible distorsion.

La disposition du triaxiale à 3 voies brevetée du haut-parleur de graves + médium + tweeter fait gagner en compacité mais aussi en tenue en puissance et une réponse en douceur à 360 °

Chaque haut-parleur possède une amplification indépendante.

-1 x ampli de 300 Watts RMS pour le tweeter

-1 x ampli de 300 Watts RMS pour le médium

-1 x ampli de 1000 Watts RMS pour le grave

 

Coté connexion sans fil la Cabasse The Pearl offre le Wi-Fi et le Bluetooth. Coté connectique physique vous trouverez une entrée optique, 1 entrée RCA analogiques, 1 port Usb et 1 Ethernet. L’enceinte est également Multi Room, compatible avec le système Stream de Cabasse, et accepte les principaux services de streaming (Spotify, Deezer, Qobuz ou Tidal) ainsi que de nombreux formats audio (MP3, AAC, WMA, AIFF, FLAC, ALAC).

Prix : 2790€

 

-Les sonus faber Sonetto :

La marque italienne montre là encore ses qualités de finitions irréprochables. Pour ce qui est du son, le rendu HI FI est là: une plage sonore très détaillé et neutre. Ces enceintes sont capables de déployer une énorme puissance sonore. Au delà du plaisir d’écoute c’est un véritable “bel objet” à mettre chez vous.

Description :

Types : 2 voies

Bass-reflex à évent frontal

Borniers compatibles bi-amplification

3x haut-parleurs de grave-médium de 18 cm

1x tweeter à dôme enduit de 2,9 cm

Puissance admissible : 300 W RMS

Réponse en fréquence : 36 Hz à 25 kHz

Sensibilité : 90 dB /2,83 V/m

Impédance : 4 Ohms

Fréquence de coupure : 270 Hz et 3000 Hz

Dimensions (lxhxp) : 283 x 1188 x 427 mm

Poids : 26,3 kg (pièce)

Finition bois naturel

Prix : 6000€

 

-Les Vienna acoustics The Music :

Le gros modèle de la sélection, la marque autrichienne propose là des enceintes très haut de gamme. Vous aurez la sensation d’avoir le concert chez vous, les musiciens jouent directement devant vous. Même si l’on peut trouver dans cette gamme de prix des enceintes plus précises sur la microdynamique des enregistrements, la musicalité qu’elles développent fait vite oublier ce détails. Elles sont tout simplement impressionnantes. On n’écoute plus la musique on la vit.

Description :

Type: 3 voies, avec caisson intégré

Bande passante : 22 – 100.000 Hz

Boomers : 3 x 9? Vienna Acoustics

spidercones, fabriqués par

Eton Allemagne

Medium coaxial:1 x 7? Vienna Acoustics Flat-

Spider, 1 x 1?, aimant Neodym

ventilé, dôme en soie, fabriqué par

Eton Allemagne

Supertweeter : 0,5? Murata

Sensibilité : 91 dB

Impédance : 4 Ohms

Puissance : amplis de 50 à 500 watts

Poids : 82 kg

Dimensions : 273 x 1295 x 630 mm

Finitions : Piano Black – Sapele

Prix : 24 900€

 

Un article écrit pas Adrien Barthou et Alexis Dumétier. Merci à Alexandra Pham

Entrer
ArchivesBlogNews de Mode

NEW ERA MARIE DEUX ICÔNES AVEC LES DÉBUTS D’ENGINEERED FIT EN NBA

NEW ERA

Cette saison, la technologie révolutionnaire Engineered Fit de New Era fait ses débuts en NBA.

Depuis 1920, New Era fabrique de façon artisanale les meilleurs casquettes et bonnets au monde. Aujourd’hui, avec des lignes de vêtements et d’accessoires, la marque est l’un des leaders du marché. Implantée dans le sport, elle compte parmi les créateurs exerçant une influence sur la culture urbaine et les modes de vie partout dans le monde. Avec plus de 500 licences dans son portefeuille, New Era est la marque de choix dans le monde du sport, de la mode, de la musique et des divertissements.  L’entreprise est basée à Buffalo, N.Y., et ses produits sont vendus dans plus de 80 pays.

L’hiver est bien présent mais ce n’est pas une raison pour arrêter le sport. Pour que vous ayez un look sportif et hivernal à la fois voici une ligne créée par New era qui va vous plaire.

Un an après son apparition dans les rues, la gamme Engineered Fit de New Era fait ses débuts NBA pour la nouvelle saison avec toute une ligne de vêtements et de casquettes lifestyle.  Animée par le terrain, la dernière collection s’inspire de certains des plus grands noms du basketball et adopte l’esthétique sport-luxe qui a transformé la mode ces dernières années.

Les pièces de la nouvelle ligne Engineered Fit comprennent une parka matelassée équipée de cordons de serrage réglables sur l’ouverture et d’un logo de l’équipe dans des couleurs tonales. Ailleurs dans la gamme, ce sont des tenues utilisant des garnitures caoutchoutées appliquées à des sweats à capuche et de hauts entièrement zippés qui traduisent au quotidien le look des terrains de sport.  La collection est complétée par une ligne assortie de pantalons de survêtements en polaire brossé, de t-shirts à manches raglan et de tops à manches longues ornés du logo caoutchouté et d’un ourlet arrondi décontracté pour un look sophistiqué.

Les coloris de saison dans toute la collection comprennent le vert olive, le graphite et le bleu marine, avec un tissage trois couleurs donnant à chaque modèle un fini tactile à l’allure générale sport-luxe, aujourd’hui emblématique de la gamme Engineered Fit. En plus, avec une ligne de casquettes et bonnets assortis également disponible, c’est un look qu’on peut arborer des pieds à la tête.

 

La collection est disponible en magasin et en ligne sur neweracap.eu depuis le octobre.

Pour en savoir plus sur les bureaux internationaux et les partenariats de New Era, visitez www.neweracap.com et les réseaux sociaux @neweraeurope.

 

 

 

Entrer
ArchivesBlogHorlogerie

Lip : un retour en grâce

Lipster campagne 2 – web

L’emblématique maison horlogère LIP, connue tant pour ses modèles iconiques que pour son riche passé, entame un nouveau chapitre de son histoire depuis sa reprise par la Société des Montres Bisontines (SMB) en 2015.
Fondée en 1867 à Besançon, l’entreprise horlogère a périclité dans les années 1960, avant d’être marquée par un conflit social d’ampleur nationale et une tentative d’autogestion inédite au début des années 1970. Une période tumultueuse qui a contribué à faire de LIP un acteur majeur du patrimoine, une marque forte qui jouit d’une affection particulière auprès des français.

En 2015, SMB (Société des Montres Bisontines), se porte acquéreur de la marque via une licence d’exploitation dans le but de redonner à la marque ses lettres de noblesse. Aujourd’hui, après des premiers résultats fructueux, SMB confirme sa volonté de rachat de la marque. Plus importante entreprise horlogère de France avec 140 salariés, 1 million de montres commercialisées par an et 30 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2014, SMB a consacré ces trois dernières années à rendre à la société son prestige d’antan. Un rachat synonyme de retour aux sources.

La première étape de ce retour en grâce fut le rapatriement de la marque dans son berceau historique, à Besançon. Non pas dans les ateliers d’origine, qui ont été complètement transformés depuis le départ de la marque, mais à proximité, à Châtillon-le-Duc. Environ 100 personnes travaillent au quotidien sur le site, dont plus de quinze personnes embauchées récemment. Et si en 2016, LIP ne représentait que 10% des 30 millions d’euros de chiffre d’affaires de SMB, la volonté de continuer sa croissance est bien présente. L’objectif pour 2018 est d’atteindre les 4,5 millions d’euros de CA pour un peu plus de 50 000 montres produites dans l’année.

Distribuée dans plus de 600 points de vente en France, 150 au Japon et, avec l’ouverture du premier magasin en propre sur Hong-Kong, LIP affiche son ambition de redevenir la grande marque française qu’elle a été pendant de nombreuses années.
Aujourd’hui la marque utilise son passé historique pour se construire un présent, réédite ses modèles emblématiques et réinterprète ses classiques sans oublier d’innover, avec la première création « made in Besançon » depuis plus de 40 ans : la LIP MARINIER. Toute la production des montres est réalisée à Besançon et certifiée « Made in France ».

 

Entrer
ArchivesBlogNews de Mode

Oneculture, globe trotter de la Mode

blakemag_magazine_mode_homme_one_culture_TOKYO

Oneculture est un voyage. Une maison globe-trotter, inspirée par la diversité du monde. Un concept radical régit la marque : chaque saison, une collection pose ses valises dans une ville pour mettre la culture d’une cité et d’un pays à l’honneur. Une démarche née de l’envie de son fondateur, Anthony Alvarez, de partager la pluralité culturelle qui l’entoure dans son propre parcours et à travers ses amis, à l’heure où l’on érige des murs dans un monde post-brexit et d’Amérique trumpienne. Jamais littérale ou ethnique, Oneculture surfe sur l’esprit streetwear et sportwear, langage universel de la youth culture contemporaine.


Manille a servi de toile de fond à la première collection de oneculture pour l’automne-hiver 2017-2018, envisagée comme un retour aux sources pour son fondateur, d’origine eurasienne. Pour cette collection fondatrice, Oneculture s’est approprié le Barong, vêtement traditionnel en fibre de feuille d’ananas, et a imprimé des feuilles d’eucalyptus capturées dans la ville, sur des pièces destructurées, à l’image du grand chaos qui forment le bouillonnement de la capitale philippine.

Seconde collection, le printemps-été 2018 est inspiré par Fès au Maroc avec un hoodie tatoué « Universal Culture » en alphabet berbère, qui comptent parmi les pièces clés, tandis que la nébuleuse tokyoïte a inspiré des prints de mangas sur des t-shirts et des chemises de baseball (sport le plus connu au Japon) pour l’automne-hiver 2018-2019.


Sans calcul, Oneculture sonde chaque saison la singularité d’une nouvelle culture selon les aspirations et les voyages de son fondateur, comme un road-trip en toute liberté.
Une série de collections capsule ponctue les saisons, avec deux leitmotivs : l’alphabet oneculture, série de 24 signes inspirés des signaux maritimes, et le slogan « If you know, you know », imprimé sur les pièces. Pour son lancement, Oneculture a posé ses ateliers en France, où 80% de son prêt-à-porter haut de gamme est produit, dans des matières nobles et techniques, exclusivement françaises et italiennes.

Adresse : 16 Boulevard des Filles du Calvaire, 75011 Paris
https://www.one-culture.com

Entrer
ArchivesBlogLifestyleMagazine

Les bars à huîtres et le menu des frères Pourcel

1 Montparnasse

Voilà une belle collaboration entre une maison parisienne, qui n’a plus à faire ses preuves tant elle garde la qualité comme maître-mot pour ses produits, et les deux frères étoilés que sont les frères Pourcel.

Pour commencer ce repas, je déguste et découvre des huîtres fabuleuses de la maison Gillardeau : fabuleuses, je n’ai pas peur du mot. J’ai choisi les numéros 3, petites tout en étant charnues, mais le plus fou est ce goût de noisette mêlé à des saveurs iodées et salines dans un équilibre parfait.

Le menu Pourcel s’ouvre avec un bouillon Thaï et coquillages, aux notes marines, soutenu délicatement d’épices asiatiques, accompagné d’un tartare de saumon simple et d’une belle fraîcheur qui met en appétit mes papilles.

Je choisis le bar rôti miroir à l’orange sangria. Bien exécuté et bien cuit.

Pour le dessert les frères Pourcel ont passé la main à la cheffe pâtissière Ilham Moudnib :

Je choisis son dessert au chocolat : Chocolat mon amour. Un moelleux au chocolat bien coulant avec du sésame croquant. Parfait pour finir ce beau repas riche en saveurs variées et légères.

 

Profitez-en! La carte des frères Pourcel est à découvrir jusque mi-décembre.

 

Pour les semaines à venir les Bars à Huîtres renouvellent leur carte et vous invitent à découvrir son Oyster & Raw Bar, un florilège d’huîtres qui seront vous ravir quels que soient vos goûts.

Au menu, de nouvelles huîtres d’exception ainsi que de nouveaux plateaux à partager où vous pourrez savourer des huîtres bio, arômatisées, ou encore la pousse en clair et pied de cheval. Ces huîtres rares pour les amateurs de saveurs fraîches et iodées proviennent de nouveaux ostréiculteurs mais pas d’inquiétude, les huîtres des références Madec et Cadoret continueront d’être servies.

Cette nouvelle carte sera disponible début décembre. Le décor, quant à lui va être revisité, pour créer une atmosphère bord de mer : on pourrait presque s’imaginer la dune du Pyla face à l’ocean.

 

Article écrit par Alexis Dumétier

 

 

Entrer
ArchivesBlogLifestyle

La sélection des calendriers de l’avent

NOEL A PARIS

Le dernier mois de l’année arrive à grands pas. Il est temps de se faire plaisir et de choisir un calendrier pour patienter jusqu’au jour J.

Nous avons choisi pour vous différents calendriers ludiques, drôles et riches de découvertes gustatives.

 

Le beery christmas

L’année dernière je vous l’avais déjà proposé et cette année je n’ai pas pu résister au fait de le remettre dans la sélection tant les différentes bières proposées cette année sont au dessus de la sélection de l’année passée. Il existe de plus en plus de calendrier de l’avent de la bière mais celui-ci est particulièrement soigné.

Vous aurez la joie de goûter des bières crafts, des bières de petits et plus gros brasseurs. Toutes dignes d’être découvertes et qui bousculeront vos papilles sans basculer dans le bizarre…

Dépêchez-vous le succès de ce calendrier de l’avent de la bière est bien grand.

 

Prix : 69,90€

https://www.saveur-biere.com/fr/beery-christmas?utm_source=content_block&utm_campaign=beery_christmas

 

Lenôtre

Encore une magnifique création cette année pour cette mythique maison : un calendrier aux motifs animaliers dessiné par l’artiste Michaël Cailloux, qui raconte un voyage inspiré des traditions païennes du solstice d’hiver. Derrière chaque jolie fenêtre se niche une gourmandise imaginée par Guy Krenzer et son équipe, sous forme de d’ours, panda, écureuil ou lapin. Une façon plaisante de patienter jusqu’au réveillon !

Prix : 29€.

 

Le calendrier de l’avent du Foie gras de la maison Castaing

 

 

Une boîte en bois, contenant 24 petites verrines, de différentes préparations de la maison Castaing. Vous pourrez déguster tous types de pâtés, de mousses, confits, et foie gras pour découvrir les recettes de la maison Castaing, qui existe depuis 1925.

Ce calendrier est surprenant et le coffret bois est bien réalisé.

Vous le trouverez dans les épiceries fines, notamment à La Grande Épicerie de Paris et chez Lafayette Gourmet.

 

Prix : 69,90€

http://www.castaing-foiegras.com/

 

Le Chocolat Alain Ducasse

Sous les merveilleuses illustrations de Pierre Tachon et de Soins Graphiques, aux couleurs chatoyantes, ce sublime calendrier cache 24 pépites absolument exquises réalisées par la Manufacture d’Alain Ducasse : orangettes, pralinés à l’ancienne, chocolat origine 75%, ou dragées…De quoi éprouver sérieusement la patience des plus gourmands devant tant de finesse et de créativité !

Prix : 42€.

 

Le calendrier du thé

 

Un calendrier de l’avent du thé créé par deux sommelières du thé: Cécile Pinto et Magali Baumgarden.

12 thés et tisanes bio et même des chocolats à découvrir tout au long du mois de décembre pour attaquer les fêtes avec le plein d’énergie.

 

Prix : 28,99€

www.colorsoftea.fr

Bernard Loiseau

Cette année, la maison Loiseau créé la surprise avec un calendrier de l’avent hors du commun ! Ici, point de fenêtre à ouvrir mais des cadeaux à découvrir soigneusement emballés dans une magnifique malle de voyage ! A l’intérieur de ce superbe objet, vous trouverez des produits d’épicerie fine, un beau livre de recettes, des objets d’art de la table ou encore des bons cadeaux à utiliser dans toutes les adresses de Loiseau. Une surprise s’y cache pour le 24 décembre…Attention, ce magnifique objet n’est qu’en édition très limitée : seulement 50 exemplaires sont disponibles.

Prix : 350€ (la totalité des cadeaux ayant une valeur de plus de 700€).

 

Article écrit par Johanna Alam et Alexis Dumétier

Entrer
ArchivesBlogLifestyleMagazine

Le Crazy Horse mis à nu

RiccardoTinelli@Scanner_02

J’ai été invité à découvrir les coulisses très privées du Crazy Horse pour une interview exclusive d’une toute nouvelle recrue: Spicy Squeeze. Une jeune danseuse pétillante et mutine.

Mais avant de vous parler de la nouvelle revue du Crazy Horse: « Totally Crazy », laissons place à l’interview de Spicy Squeeze.

Cela fait 65 ans que le Crazy horse est un lieu de création à l’esprit cabaret, avec pour thème principal la sensualité féminine.

J’y suis venu en connaissant de loin l’idée principale des chorégraphies: des danseuses nues habillées de lumières. Et pour être sincère, je me suis demandé si ce côté cabaret parisien historique n’allait pas être désuet.

Et bien pas du tout! J’ai assisté à 90 minutes de spectacle bien rythmé, entraînant, élégant, onirique et envoutant. La bande son du spectacle est un savant mélange de chansons mythiques du Crazy et de tubes modernes détournés, comme le Toxic de Yael.

Les chorégraphies sont vraiment bien pensées et mettent en valeur les crazy girls. Elle ne sont pas seulement jolies, ce sont de vraies danseuses professionnelles.

La mise en scène est souvent surprenante et les jeux de lumières sont sexys, charmeurs et toujours raffinés. Chaque tableau donne envie de découvrir le prochain.

L’ambiance cabaret à l’interieur du Crazy Horse tout de velours rouge et de lumières tamisées nous fait nous sentir dans un écrin. Le spectacle est accompagné par un ou une maître(sse) de cérémonie, ce soir là j’ai pu voir Lolly Wish (une femme qui vient de la scène burlesque) qui possède une superbe voix et dont la présence donne le ton d’entrée : nous sommes à Paris, dans un cabaret et la soirée sera sous le signe de la passion, de l’audace, de la sensualité et de l’humour.

Le show se savoure accompagné de champagne CRAZY comme il se doit ou d’un cocktail si vous préférez.

Un spectacle unique à voir!

INFORMATION & RESERVATIONS

BOOKINGS

www.lecrazyhorseparis.com

+33 (0)1 47 23 32 32 –

 

reservation@lecrazyhorseparis.com

 

RESERVATIONS GROUPES

(à partir de 11 pers.)

GROUP BOOKINGS

(from 11 people on)

+33 (0)1 47 23 98 39

groupes@lecrazyhorseparis.com

 

Article écrit par Alexis Dumétier

Entrer
ArchivesBlogLifestyleMagazine

PAUL REITZ by Jeffrey Felner

BLAKEmag_Cover_paulreitz_jeffreyfelner

As is my wont in many cases, I am always on the lookout for multitalented creatives who juggle more than one occupation while employing a varied skilled set. As you will read Paul Reitz takes multi-tasking to a whole other level aside from being a lensman. Paul Reitz graciously carved out some precious time from his busy schedule to enlighten us, yes me too, about his everyday life and what that might encompass which could be anything from flowers to venues, to speeches to photography to napkins.

He is also a consistent presence and voice on social media which may or may not be confined to his creative strengths but also as a critic concerning the politics of our nation.

So, rather than me trying to offer any more of an introduction about this man’s creative endeavors, here he is in his own words and he can tell you himself…

Jeffrey Felner: Can you sort of give us a brief resume as to how you arrived to “where you are” at present?

Paul Reitz: Having moved to New York 30 years ago, following a few years in Tulsa as a DJ at alternative clubs but while in college my interest in photography was amplified studying the craft. I started shooting friends, mostly men, and made a conscious decision that whatever else I did; I wanted to be project a my singular vision of male beauty.  As soon as I got to NYC, I started shooting frequently, mostly actors, models, club kids that I would meet and in the post 9/11 NYC. I really put my heart and soul into photography as a way to express beauty and to make my way through what was a rather long emotional and mental recovery.  I was so fortunate that in 2010 German publisher Bruno Gmunder approached me to assemble my first book; that experience really just made everything explode for me and I’ve been fortunate to be very busy ever since.

JF: You juggle 2 very different careers…  but are they as different as they appear on the face? Explain please.

PR: Simultaneously working as a photographer and producing charity events for nonprofits (which might include fundraising to planning the theme, design concept, evening program, flowers, menu, the overall guest experience, and writing most of the speeches).  My touch is in every detail.  

Both careers, offer a similarity in that you’re telling a story. I studied journalism for radio/tv/film in college, and saved my money for three years after graduation to move to NYC since it would afford me considerably more opportunities than my native Oklahoma. I don’t work in TV, or at a news organization, but I work with many of those creatives and journalists on a daily basis. I use storytelling in events, in translating a mission of an organization or its culture to donors. As a photographer, I’m trying to tell a story in most images, albeit far more subtly. as event planner I am part of a collaborative effort while as photographer it’s usually just me on the photo side…my vision, my style choices, location — everything.

JF: If you could invite any 5 people to dinner who would they be and why?

PR; Debby Harry has always been one of my favorite people, as has Siouxsie Sioux, Vivienne Westwood…and a couple of male sports crushes would delight me to no end, but I think I’d instead opt, in the current atmosphere in our country, for five advocates for positive change, and leadership.  I’m thinking of Presidents Obama and Carter, both of whom I’ve long admired and who made a tremendous impact on me.  Jimmy Carter is a saint…out building homes for the poor at his fragile age.   I could learn from him and from President Obama.  I’ve been fascinated by the young survivors of the Parkland School shooting, and what they are doing to create change. Like David Hogg.  I’d love to hear how he connects the dots and how he motivates young people and people of all ages to take action, and how he has turned a horrific event into action.  That inspires me tremendously, Christiane Amanpour who is radiant and fiercely intelligent as well as being a superlative interviewer. the last guest, the « just because » factor would be Cher who is Still out there and standing up for what is right in this country  The common theme with this lot, I suppose, is perseverance, humor, thoughtful advocacy.  

JF:As part of the maturation process, did you have any mentors or icons that you either tried to emulate or idolize …? Who and why?

PR: Growing up in Oklahoma, I saw these rich black & white photos of the Dust Bowl era and the Great Depression that were part of our history.th eimages documented as well as cinematically transporting the viewer into the grit of the dust and the simple beauty of the faces of the men and women who retained dignity despite the despair of those times.  Photographers like Dorothea Lange, in whose work you could feel the wool and cotton garments, the grit and dust, and the bare human emotion.  Works like that told a story. In college, studying photographers like Duane Michals who married imagery with the written word, creating a dual impact.  Then the rich deep black and white landscapes of Ansel Adams in the American West embodied a majesty, and a stillness that was formative for me.  The black and white made it even more timeless.  For male beauty, there was the 1970s porn look, more than anything I suppose … Shirtless, barefoot men in jeans, with naturally toned physiques and an easy, open expression, or invitation, punk and rock star swagger…. unfiltered sex appeal. Then there were the old copies of Physique Pictorial that I’d come across from time to time.  I love that the magazine is back, and in such a special way, honoring the past and keeping current in male erotica.  Herb Ritts and Bruce Weber were becoming popular when I was in college, and I certainly admired their work.

JF: Could you give us your opinions about the influence of social media on the world of fashion? Photography? Models?

PR: I suppose I’m one of those people that feels that so much of our current technology…smartphones etc., isn’t necessarily making our lives more efficient, but really busier, more distracted and I’d argue more anxious.  It’s certainly thrown fashion into a tailspin, with many brands rushing to keep up with those outlets and retailers who are savvy in their use of the medium to push fast-fashion.  Social media amplifies all of it.  As for photography, I think the old rules apply: the image must be multi-dimensional, it must grab you, it must evoke something, and if possible, touch you in some way, especially sensually.  

And as for models, I’ve garnered a considerable amount of work and individual clients… a distinction other than agency contact, editorial work … through Instagram in particular.  But how long will that model be viable, or « hot? »  In a few years, there will be another platform, another way of communicating … the censorship there is infuriating.  

Models? Please don’t call yourself a model unless you have an agency behind you; Otherwise, you are a social media « celebrity,” and that can be very empty and rather dull and soulless.  These Instagram « models » for example are rarely groomed, rarely do their homework and almost always have an inflated sense of their value.  It’s a popularity contest but there’s no single panel of judges.  The Kardashian mentality sickens me; they contributed heavily to the downfall of American culture.  Kanye and Kim on the cover of Vogue was an absolute travesty, as It endorsed this mindless ridiculousness.  

A plus for the social media platforms however is their delivery of fashion; it’s been exciting to be able to watch things that interest me like a Vivienne Westwood show live in Paris via Instagram.   So much of what interests me in photography is the use of my imagery to seek a product, or a concept.  I love seeing my work focused through someone else’s lens, and have found a new audience in the modern romance novel.  I’ve sold numerous covers for both gay and straight romance novels, and have loved learning about and being in that community.

IN the end the old rules must apply.  Less is more, for me. That’s my mantra and to present the image as a high point.  The current social media platforms will evolve, and change. I’m looking forward to the next one…one that allows my vision to be presented even more in tandem with what I see in my head.  I want a new big black and white book in everyone’s hands 🙂

Entrer
ArchivesBlogLifestyle

BAND OF BOATS – Rêve de marin

vlcsnap-error525

A peine la rentrée amorcée que vous avez déjà une folle envie de mettre les voiles ? Sachez que désormais, posséder son bateau et fendre les eaux turquoise à bord d’un sublime voilier ou catamaran n’est plus réservé aux nantis. Retour sur un merveilleux séjour sur les îles de Lérins, au large de Cannes, à la découverte de Band of Boats, un tout nouveau service de vente et location de bateaux.

A bord, matelot !

 

La navigation pour tous

Incroyable mais vrai : avec cette toute nouvelle plateforme en ligne, tout le monde -ou presque- peut louer l’embarcation de son choix à des prix défiants toute concurrence. Sur le site, il est possible de tout personnaliser, notamment le choix d’être accompagné ou non d’un skiper, et pour cette escapade en Méditerranée, nous avons eu la chance de naviguer sur deux superbes bateaux de la marque Beneteau : à l’aller sur un bateau moteur « Love » et au retour sur un magnifique voilier monocoque « Rêve de vie ».

Durant notre traversée au large de Cannes, nous avons le loisir d’admirer les aménagements, aussi élégants que fonctionnels avec de belles chambres spacieuses de nombreux rangements, des jolies salles de bain et de larges hublots laissant voir le ciel et offrant un bain de lumière.

Posséder son propre bateau permet de profiter d’une expérience exceptionnelle, de découvrir des criques sauvages, des plages non accessibles à pieds, de fuir la foule des lieux touristiques et de se sentir seul au monde. Un luxe désormais à portée de main

Confortablement installés sur les bateaux, nous avons le loisir d’admirer les extraordinaires Iles de Lérins (Ile de Sainte Marguerite et Ile Saint-Honorat), nous déjeunons les pieds dans le sable au restaurant La Tonnelle avant de profiter d’activités comme le paddle, le snorkeling, la baignade ou simplement faire bronzette à l’avant des bateaux. Une journée inoubliable, simplement entre nous !

Le lendemain, nous avons pu nous rendre à la 41e édition du Cannes Yachting Festival qui se tenait du 11 au 16 septembre, et admirer au cœur de ce plus grand salon nautique d’Europe, les plus beaux spécimens dans le cadre idyllique de la Croisette. Le long des allées, nous avons eu le loisir de voir la centaine de petits bateaux semi-rigides, des voiliers somptueux, des Catamarans époustouflants offrant une vue de cabine à 360° sur les eaux, et des yachts extraordinaires atteignant les 50 mètres.

Quelles destinations pour cet hiver ?

Outre la France, le site offre ses services dans de nombreux destinations paradisiaques à travers le monde. Faites vos choix !

  • Aux Seychelles, un Lagoon 380 vous propulse dans l’exploration marine de cet archipel de plus de 115 villes.
  • En Thaïlande, un Océanis 45 offre un séjour de rêve dans le décor paradisiaque de l’île de Koh Phi Phi.
  • A Saint-Martin, un Dufour 410 permet une fusion totale avec les baies de sables fin.

www.bandofboats.com

02 40 32 10 00

 Article écrit par Johanna Alam

Entrer
1 7 8 9 10 11 68
Page 9 of 68

La Newsletter BLAKE

Chaque mois recevez des offres exclusives, coups de cœur, spots préférés, ventes très privées, sessions de découvertes culinaires et défilés et événements mode.

Le tout, sélectionné par la rédaction.

 

[sibwp_form id=1]