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Barbera, objets précieux et bougies bijoux

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BARBERA est une marque créée en 2013 par Fabien Barbera, jeune et brillant antiquaire longtemps installé rue de Verneuil, au sein du Carré Rive Gauche à Paris.
Passionné par la restauration du bois doré, Fabien Barbera connait les secrets du travail de la feuille d’or depuis des années. Dans un souci d’allier son goût pour la décoration à celui pour la feuille d’or, il décide de créer sa marque d’objets intégralement réalisés à la main. Photophores et vide-poches constituent le cœur de la collection d’objets précieux.
En jouant avec la transparence de l’or, dont l’épaisseur est de l’ordre du micron, BARBERA propose une large sélection de photophores reprenant la technique ancestrale du verre églomisé à la feuille d’or.

Une fois la bougie allumée et placée dans le photophore, l’or acquiert sa dimension magique. La flamme devenue bleutée révèle toutes les vibrations de celui-ci. Les dessins dont des reproductions en fine sérigraphie des peintures de Fabien Barbera, qui confèrent à ces bougies de décoration une sophistication unique. Des objets uniques et précieux évoquant les fastes des royaumes antiques de Grèce, d’Egypte ou de la Reine de Saba.


Une gamme de 10 bougies parfumées au décor métallisé et sérigraphié vient compléter la gamme BARBERA. Toutes les bougies sont réalisées avec le concours d’un cirier de Grasse, et « Jardins de Bagheria », bougie à la tubéreuse, a été composée par Rodrigo Flores-Roux, vice-président de la parfumerie Givaudan Fragrances corporation. Les cires sont composées de fragrances d’origines naturelles dilués à 10 % et comportent une mèche 100 % coton . Leur design original et suprêmement élégant en fait de véritables objets de décoration. Les bougies existent en 180 grammes avec une mèche, 1 kilo avec trois mèches et également au format chauffe-plats.

La Méditerranée, dans sa plus large expression, chère au cœur de Fabien Barbera, reste sa plus fidèle inspiratrice, tant pour la création des parfums des bougies, que pour la création des décors ornant les photophores et les vide-poches de cette précieuse collection.

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Renoma: éternelle élégance

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En 1999, paraît un ouvrage qui associe Maurice Renoma à un néologisme qui peut intriguer : «modographe».
Il fallait inventer un mot pour définir l’homme passionné et débordant d’idée qu’est ce couturier, designer, photographe et scénographe.
Avec la modographie, ses deux principales passions, la mode et la photographie, sont intrinsèquement réunies. En effet, avant de faire de la photographie, son mode d’expression incontournable, Maurice Renoma a largement contribué à inventer la mode dès les années 1960, en créant notamment la marque Renoma, extraordinaire et transgressive, coup de griffe dans les codes vestimentaires de l’époque.
Considérant la mode comme une forme d’art à part entière, Renoma exprime à travers le vêtement une vision originale et libérée de tout préjugé esthétique.

Fils du taillleur et confectionneur Simon Cressy, Maurice Renoma, né le 23 octobre 1940, grandit avec son frère Michel dans l’appartement familial qui fait aussi office d’atelier de confection, à deux pas du Carreau du Temple, dans le 3ème arrondissement de Paris.
Dès ses 15 ans, Maurice se confectionne des vêtements en suédine ou en loden, dans un style typiquement anglais, du jamais vu pour l’époque.
En 1963, la boutique White House Renoma ouvre ses portes, rue de la Pompe, dans le 16ème arrondissement. Considérant la mode comme une forme d’art, Maurice Renoma en exprime sa vision originale et audacieuse. Matières inédites, couleurs franches et coupes sculpturales, tous les ingrédients sont réunis pour que la maison de couture familiale se démarque des autres.

Le style Renoma devient célèbre : veste cintrée à larges revers, aux fentes profondes, aux épaules droites associée à un pantalon coupe droite, taille basse. Maurice Renoma bouscule les standards de la mode avec ses blazers en drap militaire, ses costumes cintrés en velours vert, grenat, violine…
Il détourne le vêtement en le taillant dans du tissu d’ameublement. Pour la jeunesse parisienne et pour les personnalités politiques et artistiques, la boutique Renoma devient le lieu incontournable d’une mode inédite, sans convention, sans concession.

Au début des années 1990, Maurice Renoma commence à s’intéresser à la photographie et à l’utilisation de la pellicule noir et blanc 400 asa.
Il invente le néologisme «modographe», qui selon lui correspond mieux aux liens essentiels qui unissent la mode et la photographie. Depuis 1993, Maurice Renoma expose ses photographies en France et dans le monde entier. En 1997, il est fait Chevalier des Arts et des Lettres.

Son style révolutionnaire lui permettra d’habiller et de fréquenter les plus grands artistes français de l’époque : Brigitte Bardot, Serge Gainsbourg, Jacques Dutronc, Françoise Hardy, Catherine Deneuve, Alain Delon, Johnny Halliday, Sylvie Vartan, Jean-Paul Belmondo, Nino Ferrer, Christophe, Claude François, puis un très grand nombre d’acteurs français dont Jean Rochefort, la troupe du Splendid, Fabrice Lucchini, Gérard Lanvin… La boutique devient un lieu de rencontre et d’amusement où se retrouvent les plus grands.
Les grands politiciens succombent eux aussi à l’émulation Renoma : Pierre Mendès-France, François Mitterrand, Valérie Giscard D’Estaing ou encore Jacques Chirac passeront entre les mains du couturier dont le Tout-Paris raffole.
Serge Gainsbourg, ami proche de Maurice, sera l’égérie de la marque pendant plus de 10 ans.
Modernité, provocation, liberté, subtilité, Renoma sublime l’atmosphère parisienne des années 60, 70 et 80 aux quatre coins du monde. Il fréquente et habille ceux qui deviendront les plus grandes figures de la mode, tout en étant une source d’inspiration pour eux : Yves Saint Laurent, Karl Lagerfeld, Giorgio Armani, Gianni Versace, Hubert de Givenchy, Jean-Louis Scherrer, Marc Bohan…

® David Bailey

Petit à petit, des artistes internationaux de grande envergure viennent s’habiller dans la boutique Renoma, devenue mythique. Du rock à l’art contemporain en passant par les grandes stars hollywoodiennes et sportives, les plus grandes légendes s’y font tailler le costard : Salvador Dali, Pablo Picasso, Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat mais aussi Bob Dylan, Eric Clapton, James Brown, Jack Nickolson, John Lennon et les Beatles, Les Rolling Stones, Jim Morrison, et bien d’autres.

Renoma marque un réel tournant dans l’histoire de la mode : «C’est l’incarnation même de ce moment où la mode masculine émergea de l’inexistence pour prendre le pas sur les «vanités» des femmes.
S’habiller chez Renoma vous décernait un brevet de parisianisme, certificat d’une jeunesse à consommer sans modération.» J. Brunel
Les innombrables collections créées par Maurice Renoma peuvent scander le siècle en un kaléidoscope de forme et de couleurs, dont la mode masculine compte, aujourd’hui encore, peu d’équivalents. Très inspiré par Vasarely et Escher, Maurice Renoma emprunte les codes de l’op art (art optique), du cubisme et de l’art moderne en général pour les intégrer à ses vêtements avec goût et minutie.
Provocateur sans concession, c’est toute une génération qui se prend de passion pour l’extravagance vestimentaire et l’éclatement des codes masculins. Elle porte d’ailleurs son nom qui résonne toujours aujourd’hui : la Génération Renoma.
Costumes en lin ou en chutes de tissu d’ameublement, chemises à cols asymétriques, paysages imprimés sur blouson en cuir ou encore caleçon parfumé … Renoma est une marque inventive, sans limite et révolutionnaire. Un seul mot d’ordre, l’audace au service du style. Renoma bouscule les codes en injectant la notion d’esthétisme dans le vêtement au delà du fonctionnel, explorant l’androgynie et le brassage des genres, des partis-pris choquants pour l’époque.

En 1963, le blazer Renoma fait son apparition. Porté jusque là comme uniforme dans les collèges anglais et par les marins britanniques, Maurice en fait une pièce iconique de mode en France, encore portée aujourd’hui.
Serge Gainsbourg l’a adopté pendant plusieurs dizaines d’années et en a fait un symbole fort de l’élégance décontractée dandy et parisienne. Dans un souci artistique et pour accentuer la valeur exceptionnelle de son blazer, Maurice Renoma décide en 2006 de confier ses modèles aux plus grands artistes contemporains internationaux pour qu’ils en fassent des oeuvres d’art.
Cette nouvelle aventure exprime son idée de la création : un univers mixte, où convergent différentes inspirations. Cette collection inédite de Blazers naît de cet échange, d’un regard qui revient sur la matière textile imprégnée d’autres couleurs, d’autres matières, d’autres perceptions. 32 figures artistiques du monde entier ont
répondu présentes : Arnal, Ben, Mark Brusse, Jean-Paul Chambas, Henri Cueco, Erro,
Jean-Pierre Formica, Patrice Giorda, Marc Goldstein, Joseph Grau-Garriga, Hastaire, Rachid Khimoune, Peter Klasen, Aki Kuroda, Catherine Lopes Curval, Zwy Milshtein, Andrew Painter, Bernard Rancillac, Michel Rovelas, Istvan Sandorfi, Satoru Sato, Antonio Segui, Shahabuddin, Sung-Hy Shin, Tony Soulié, Peter Stampfli, Paul Van Hoeydonck, Vladimir Velickovic, Jacques Villeglé, A-Sun Wu, et Constantin Xenakis.

Helmut Newton

La boutique Renoma ouvre ses portes le 23 octobre 1963, au 129 bis rue de la Pompe, Paris 16ème. Porté par son intuition, Maurice voyagera partout dans le monde pour en rapporter des vêtements, tissus, inspirations, motifs et matières inédites dont le tout-Paris raffolera tant ils cassent les codes avec esthétisme et brio.
Très vite, la boutique devient une source d’inspiration pour les futurs grands créateurs de mode: Giorgio Armani, Gianni Versace, Karl Lagerfeld ou encore Yves Saint Laurent. Tous ces couturiers qui dessineront bientôt des lignes masculines s’habillent pour l’instant chez Renoma.
La boutique devient un lieu branché incontournable.
On y croise Catherine Deneuve, Nino Ferrer, Françoise Hardy, Jacques Dutronc, Jane Birkin, Serge Gainsbourg… «Quand c’est fashion, tous les gens fashion sont là, simplement parce qu’il le faut». M. Renoma
Eric Clapton s’intéressant à la mode parisienne dira «il n’y a pas en Angleterre un endroit où l’on achète des costumes aussi bien taillés». À chaque escale en France, les stars y font alors des folies.
Un jour c’est Bob Dylan qui vient s’offrir une panoplie, un autre c’est Elton John que l’on voit sortir avec soixante chemises. Cinquante-cinq ans plus tard, la boutique Renoma est toujours ouverte et fascine par son aura historique et ses collections hors norme. Plus qu’un simple magasin, c’est toute une époque qui imprègne les murs et les collections, sceau d’un style hors du commun qui poussa toute une génération à l’extravagance.

 

 

 

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Mavrommatis, l’unique étoile grecque de la gastronomie française

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Les frères Mavrommatis : Andreas le chef cuisinier (au milieu sur la photo ci-dessous), Dionysos et Evagoras ont créé en 1981 la Maison Mavrommatis pour faire connaître aux Parisiens les saveurs grecques authentiques et raffinées. Aujourd’hui, il existe plusieurs restaurants, des boutiques traiteur, et deux caves où on peut découvrir la diversité des vins helléniques, ont peu même y acheter des produits grecs estampillés Mavrommatis chez Monoprix ou encore au Bon Marché à Paris.

 

Depuis 2018, « Le Mavrommatis », le restaurant gastronomique des trois frères s’est vu attribuer une étoile au guide Michelin. Il devenait le premier restaurant grec en France à être étoilé. Cette année, Andreas et son équipe renouvellent la performance et confirment leur étoile. Quand on passe la porte, on entre dans un espace calme, épuré. Les formes et les couleurs rappellent l’architecture des maisons traditionnelles grecques. Le blanc, le sol composé de grandes plaques de pierres renforcent ce sentiment d’être passé dans une autre dimension : celle d’un bord de mer face à la Méditerranée. Les tables sont rondes et spacieuses. Les fauteuils sont confortables et enveloppants. L’espace entre chaque table permet une intimité toute agréable. Régis Botta est l’architecte qui a repensé le lieu, main dans la main avec Andréas Mavrommatis.

Nous sommes allés découvrir la cuisine grecque gastronomique et inspirée de souvenirs d’enfances d’Andreas, dans le bel écrin du restaurant « Le Mavrommatis » au cœur du Paris historique. Un repas en accord mets et vins, pour une expérience grecque totale et une leçon sur le vignoble grec.

En guise de prémices, le sommelier Norman Valck, nous fait goûter deux Retsina, une méthode grecque classique qui donne aux vins des notes de pins. Le premier est un Retsina rose du domaine KECHRIS, Roza. Ce vin est fait avec une extraction d’une durée de quelques heures, puis une fermentation alcoolique dans des fûts de chêne avec l’ajout de résine de pin fraîche et maturation de 6 mois avec bâtonnage sur lies. Des notes de fruits rouges, cerise, et de résine de pin. En fin de bouche, une acidité caractéristique du cépage Xinomavro.

En parallèle, Norman nous présente les « Larmes des pins », toujours du Domaine KECHRIS. Un vin dont les vignes poussent sur des collines à une altitude de 250 mètres. Millésime 2006. Le cépage choisi a été l’Assyrtiko, le cépage le plus noble de la Grèce. Après une période d’élevage de 10 mois, l’assemblage final est formé en sélectionnant le contenu des meilleurs fûts. Un vin d’exception. Au nez, ce sont des notes d’agrumes comme un champagne vieux élevé en fût. Des notes de thym en bouche et de gingembre ainsi que des notes de résine de pin très fondues.

Pour régaler nos papilles, le chef Andréas a voulu ouvrir le repas sur des amuses bouches fondantes de saumon laqué aux agrumes, des aumônières aux olives et jus de viandes, puissantes en goût mais aussi craquantes et évanescentes en bouche; ainsi qu’un macaron feta, yaourt au basilic, sucré salé croquant et piquant, étonnant ! C’est avec curiosité que nous sommes passés à l’entrée qui fut en deux temps. Premier temps, un velouté de topinambour, lait de coco et chips de betteraves, texture soyeuse et crémeuse à la fois. Un joli mariage coco-topinambour. Pour l’accompagner, un vin 100% Robola, du Domaine GENTILINI. Les vignobles Gentilini sont situés près du village de Minies, en Céphalonie, à 700 m d’altitude sur la côte ouest de la Grèce. Ce vin très tendu, possède une belle minéralité aérienne en fin de bouche. Subtil pour accompagner ce velouté.

Le deuxième temps de l’entrée, c’est un artichaut, le cœur en majesté et fondant, entouré de légumes maraîchers, palourdes, aneth, façon Constantinople. Un plat où l’amer et l’acidulé s’équilibrent sur des textures tantôt moelleuses, tantôt croquantes. Pour mettre en avant ce plat, un vin du Domaine PARPAROUSSIS, à base d’un seul cépage, le Sideritis. Un nez floral, jasmin, camomille, minéral et un peu gras en fin de bouche.

Nous poursuivons avec un poisson : un thon rouge grillé aux épices Zaatar, légumes glacés aux herbes de Provence, boutargue fumée de Messolonghi, jus vert à la cardamome. Le thon à peine snacké est relevé de sa croûte d’épices qui rehausse les saveurs du poisson et fait vibrer nos papilles.

Pour accompagner ce plat subtil et puissant à la fois Norman Valck choisit un vin du Domaine SIGALA, Kavalieros 2014. Un vin en monocépage, 100% Assyrtiko et mono parcellaire de vignes de 90 ans. Donc, une expressivité forte et du cépage et du terroir. Et au nez comme en bouche, les saveurs explosent : noix, fruits jaunes. L’attaque en bouche est sur le miel d’acacia, puis très ample, avec une fin tendue. Un bel équilibre gras-tension.

Je demandais à Andréas, le chef, quel était un plat de son enfance qu’il pourrait mettre sur sa carte aujourd’hui, accommodé avec ses talents de cuisinier. Voici sa réponse : une dégustation d’agneau de lait de Lozère.

Une épaule confite en cannelloni de céleri, une selle rôtie au halloumi (un fromage originaire de l’île de Chypre), dolmadès de blettes, jus aux olives de Volos. Toutes les saveurs de la Grèce ou presque en un plat, succulent et dont la cuisson rosée, parfaite, laisse la place aux goûts. Pour découvrir un peu plus les vignobles grecs et pour montrer l’étendue des accords possibles, le sommelier nous propose deux vins rouges très différents pour accompagner la farandole d’agneau.

D’abord un vin du Domaine KIR YIANNI, Ramnista 2011. Un vin d’altitude (700 m) et des vignes de 60 ans qui font face aux montagnes de Kaimakcalan et Vitsi. La robe est rouge claire, au nez des notes de purée d’olives noires, de câpres. En bouche, il est vif et âpre, amer comme un cacao 90 %. Un vin atypique qui s’accommode parfaitement avec l’agneau et sa sauce. Pour contraster avec ce vin audacieux, il nous est proposé un vin du Domaine MERCOURI, Cava 2013, qui est élevé 18 mois en fûts de chêne, puis 12 mois en bouteilles. Cela lui confère une robe d’un rouge profond, noir, au nez des notes de tabac, de prunes confites, les tanins encore serrés laissent imaginer la longue garde de ce vin. En bouche, c’est d’une belle longueur de saveurs sur les épices.

Après ce tour de la Grèce gargantuesque, il nous est servi un pré-dessert tout en légèreté: Framboises en coulis, tuiles aux amandes, crumble et sorbet framboise au thym. C’est vivifiant et cela remet le palais droit. Pour le rendre encore plus léger, quelques bulles grecques du Domaine KIR YIANNI, Akakies rosé effervescent 2017 : les bulles fines et délicates soutiennent une robe rose claire lumineuse. Au nez, c’est très fruits rouges : framboise, mara des bois, que l’on retrouve en bouche sur la saveur et non la sucrosité. Une superbe découverte ! Pour moi qui aime le champagne, j’ai toujours le plaisir de dénicher des vins pétillants, effervescents, brefs à bulles venues d’ailleurs. Merci Norman.

Pour finir ce repas, Andreas Mavrommatis fait résonner les saveurs des olives grecques avec le chocolat. Le mariage est une réussite, soulignée par la fraîcheur du basilic et d’une glace à la fleur d’oranger, évanescente.

Pour ce dessert original, le vin le plus vieux du monde, en 735, le poète Hesiode décrivait déjà le «Chyprus nama», ancêtre du commandaria, comme un vin subtil, suave, moelleux et de grande qualité. En effet, c’est un vin doux naturel de Chypre : St John Commandaria. Au nez, une farandole de dattes fraîches, d’oranges confites et de pruneaux avec une nuance de café, de pain d’épices et de fruits secs, noix et raisins.

Si vous souhaitez découvrir une belle cuisine grecque, c’est ici qu’il faut venir. C’est une cuisine faite avec les talents d’un chef qui se souvient des plats de son pays et des saveurs de son enfance. Andréas Mavrommatis aime à trouver les meilleurs produits grecs pour les restituer avec cœur de ses assiettes, avec le souci de l’excellence. Grâce à Norman Valck et à la cave du Mavrommatis riche de belles références, vous survolerez les terroirs grecs. Et quand à la fin du repas l’on pousse la porte du restaurant pour retrouver le vrombissement des rues parisiennes, on a le sentiment de revenir de voyage, les papilles en extases …

-Interview d’Andreas Mavromatis

– Qu’est-ce qui vous a amené à la cuisine ?

Au début, fin 1977, c’était un petit boulot la cuisine et c’était pour financer mes études. J’ai commencé par la plonge, puis les différents postes de cuisine. En même temps j’étudiais le français et les sciences humaines. Et là, j’ai découvert une passion pour la cuisine, même en tant que commis, j’aimais créer des plats, voir ce que les gens aimaient. Je ne savais pas encore que ce serait une paisson. Ce qui m’a poussé à aller plus loin, c’est que les Français aiment la cuisine et découvrir des choses. J’ai alors eu envie de donner une autre image de la cuisine grecque. Et après, cela a été une succession d’opportunités. On a acheté une boutique en 1981, un petit traiteur, une petite cuisine. On a commencé tout petit. J’ai alors commencé à m’exprimer en faisant simple et authentique. Les clients ont aimé. En 1996 quand j’ai eu ma maîtrise, je me suis inscrit à l’école de Le Nôtre et là, j’ai appris les classiques de la cuisine française.

– Quel est votre parcours de cuisinier ?

J’ai appris auprès de chefs. Le premier Frédéric Vardon, ancien de chez Alain Ducasse, et après Gabriel Biscay (basque) qui fut comme un mentor, je travaille encore avec lui. William Ledeuil, puis Christophe Bacquié aussi 3 étoiles Michelin. J’ai toujours eu envie de rencontrer de grand chef pour me perfectionner. Celui que je garde beaucoup à l’esprit est Biscay, personnage extraordinaire, il m’a apporté les techniques précises des cuissons, qui évoluent beaucoup, pour optimiser la qualité des produits, magnifier les produits en les respectant.

-Y a-t-il des produits que vous n’aimez pas travailler?

J’aime tout travailler sauf les tripes peut-être… Je n’ai pas eu l’occasion de travailler cela. J’avais eu l’occasion de goûter en Corse et le goût fort m’a marqué.

-Y a-t-il des produits que vous aimez travailler plus que d’autres et pourquoi ?

J’adore les légumes, racines, l’hiver, le printemps. La base en cuisine grecque ce sont les légumes. La viande et le poisson viennent en supplément. Ils apportent du goût. En ce moment, c’est le choux, le butternut , le topinambour. Je fais une crème avec une raviole de cèleri et du yaourt grec. Je fais aussi un gratin de topinambours avec de la truffe. Il y a tellement de façons de travailler les légumes.

– Un plat de votre enfance que vous pourriez remettre à votre carte aujourd’hui, retravaillé à la manière du Chef que vous êtes ?

Oui, plusieurs, j ai déjà fait un sauté de porc à la coriandre, je l’ai travaillé différemment pour le mettre à la carte. Je le fais avec sauté de veau aux cèleris avec des pommes de terre chypriotes qui ont un goût très particulier. La cuisine grecque, c’est l’affaire des mères et des grands-mères. Moi, j’essaie d’élever cette cuisine pour en faire une cuisine étoilée, je recherche les souvenirs de goût de mon enfance. Je veux faire découvrir constamment à mes clients de nouvelles saveurs. Je vais souvent en Grèce pour échanger avec les producteurs, je travaille des herbes grecques comme la criste marine qui pousse près de la mer. J’ai toujours cette envie de faire découvrir aux clients les produits qu’ils ne connaissent pas.

– Quelle est votre dernière découverte gustative ? Un produit, une saveur, un vin ? …

On prépare la nouvelle carte et l’on essaie de nouveaux accords : thé pomme citronnelle, crabe et avocat ou encore concombre, pomme verte et gingembre sur du crabe, peut être mangue et tarama…

– Mavromatis c’est une histoire de famille, est-ce que vous transmettez tout cela à la génération suivante ?

Oui. La France nous a accueillis, nous a tout donné et on lui a tout donné en retour. On a commencé avec moins que zéro et tout cela s’est fait à la force du travail, la solidarité, la famille, on partage les mêmes valeurs, c’est très important. On est habité par la fierté de notre pays et la volonté de montrer ce qu’ il peut donner. On veut valoriser cette cuisine. C’est très important d’avoir le désir de transmission. Ce qui compte, c’est demain. Tous les plats qu’on fait sont photographiés, ont des fiches. J’ai même fait un livre aux éditions Ducasse.

– En cuisine, comment se passe un coup de feu avec vous ?

En cuisine, c’est d’abord la maîtrise. Je suis pilote au passe. Je ne veux pas paniquer les équipes. Je fais en sorte de donner les plats petits à petits. Gueuler dans la cuisine, c’est fini. La préparation, la mise en place c’est important. Je déteste l’agressivité, on ne peut pas avoir de bons résultats avec. On ne doit pas rabaisser quelqu’un. On peut hausser le ton pour garder la vitesse, donner le rythme, mais toujours en bienveillance.

– L’année dernière vous obteniez une étoile au Michelin, qu’avez vous ressenti à cette annonce ?

Cela fait des années qu’on l’attendait. Au moins 5ans … Même les clients sollicitaient le guide Michelin. On n’a pas fait de travaux pour avoir l’étoile. On a fait des travaux après. Ca nous a donné le courage. La cuisine, c’est ça qui nous a donné l’étoile. C’est le goût grec.

J’ai ressenti de la fierté pour l’équipe, pour mes frères, pour ma cuisine et puis une grande reconnaissance pour la France de nous avoir donné la chance de tout ça. Il y a eu beaucoup de patience, de travail, et en France c’est possible.

– Vous confirmez votre étoile cette année. Félicitations. Que mettez-vous en œuvre en cuisine et avec vos équipes pour garder ce niveau d’excellence ?

On travaille sur les bases que l’on a depuis des années : la rigueur, la régularité de la cuisine, suivre les saisons. La rigueur, la rigueur, la rigueur, le choix des produits, des plats travaillés et l’évolution de la carte, toujours avec des prix raisonnables.

Pour poursuivre l’expérience grecque à la maison et essayer d’égaler le chef, Andréas Mavrommatis a sortie un livre de cuisine : Mavrommatis – 45 recettes de Grèce, avec amour aux éditions Alain Ducasse.

 

Le Mavrommatis

Adresse : 42 Rue Daubenton, 75005 Paris

Téléphone : 01 43 31 17 17

Article écrit par Alexis Dumétier
Merci à Sylvie Mira-Morlière

 

 

 

 

 

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Karl Lagerfeld 1933 – 2019

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Commencer un article sur un homme que l’on admire est difficile, voir  compliqué. Trouver un titre accrocheur sur un homme qui a utilisé à son compte le plus large éventail des ressorts du marketing l’est encore plus alors autant jouer la simplicité.

Karl Lagerfeld, de son vrai nom, Karl Otto Lagerfeldt, né le 10 septembre 1933 à Hambourg en Allemagne et mort le 19 février 2019 à Neuilly-sur-Seine -France, fût certainement l’un des plus grand couturier du 20eme siècle. Touche à tout de génie, il fut également photographe, mais aussi réalisateur et éditeur.

Il fut directeur artistique de la maison italienne Fendi à Rome à partir de 1965, de la maison de couture Chanel à Paris à partir de 1983, et de sa propre ligne à partir de 1984.

Sa vocation de couturier remonte précisément au 13 décembre 1949 lorsqu’il accompagne sa mère à son premier défilé de mode, celui de Christian Dior. Dès lors, ce jeune passionné de dessin, se met à dessiner des modèles.

En 1952, Karl et sa mère quittent l’Allemagne et s’installent à Paris, alors LA capitale de la mode. Il est d’abord élève dans une école privée, puis au lycée Montaigne.

Après avoir travaillé en tant qu’illustrateur de mode, il s’installe en 1954 au 7 quai Voltaire dans un hôtel particulier. Le 25 novembre de la même année, il remporte le premier prix du concours du « Secrétariat international de la laine », organisé par la marque Woolmark, ex-æquo avec Yves Saint-Laurent. Le couturier Pierre Balmain, qui fait partie du jury, le remarque et le recrute comme assistant de 1955 à 1962. C’est le début pour lui d’une brillante carrière professionnelle.

La rivalité entre Yves Saint Laurent et Karl Lagerfeld date de cette époque : Yves Saint Laurent évoluant en Haute Couture, Karl Lagerfeld choisissant le prêt à porter.

De Jean Patou à Fendi

En 1959, Karl Lagerfeld est nommé directeur artistique chez le couturier Jean Patou. Peu de temps après, il choisit de mener une carrière de styliste indépendant contractuel et de créer des collections de mode, successivement pour la France, l’Italie, l’Allemagne et le Japon. En 1963, il innove en dirigeant le prêt-à-porter et en créant les accessoires de la marque de mode Chloé, et cela durant vingt années, jusqu’en 1983.

Depuis 1965, il travaille également pour la maison italienne Fendi à Rome, dont il crée le logo.

De Chanel à H&M en passant par le gilet jaune

En 1983, Lagerfeld est nommé directeur artistique pour l’ensemble des « collections Haute couture, prêt-à-porter et accessoires » de la maison Chanel qui à l’époque frôle la fermeture, et dont il doit relancer l’activité pour éviter sa disparition.

«Mon travail ce n’est pas de faire survivre le tailleur Chanel, mais de le garder vivant.» dit-il.

Pour réveiller cette « Belle au bois dormant », il choisit le mannequin Inès de La Fressange pour représenter l’image de Chanel. Elle est le premier mannequin à signer un contrat d’exclusivité avec une maison de haute couture et la première à devenir autant médiatisée dans l’histoire de la mode. L’inspiration de Lagerfeld est basée sur l’esthétisme et l’histoire de Coco Chanel. Il ne se contente pas de faire du Chanel, il réinvente le style Chanel selon ses idées : «La personnalité commence où finit la comparaison.»

N’étant pas intéressé au chiffre d’affaires, ne mettant jamais son « nez dans les comptes », il est soutenu par Alain Wertheimer propriétaire avec son frère de la maison de couture et dispose d’« une liberté totale » selon ses dires.

Connu pour sa liberté de pensée et de ton, il sait imposer ses choix, parfois avec un franc parler qui lui est propre. Souvent acerbe, toujours spirituel, ses petites phrases, les « Karlismes » comme il les appelait, claquaient comme un coup de cravache : «La méchanceté est excusable si elle est spirituelle. Si elle est gratuite, elle est impardonnable.»

En 1989, Inès de la fressange laisse la place à une jeune inconnue allemande, Claudia Schiffer que Karl Lagerfeld propulsera au firmament des top modèles de l’époque.

En 1986, il avait choisit l’actrice Carole Bouquet comme égérie du parfum N°5 qui le restera jusqu’en 1996, et la chanteuse et actrice Vanessa Paradis pour incarner Coco. Chanel sous son impulsion habille les jeunes actrices du cinéma français mais aussi les stars de la scène internationale. Il créera ainsi des tenues pour Madonna et Kylie Minogue et Nicole Kidman incarnera le parfum N°5 dans un clip mis en scène par Baz Luhrmann en 2004.

En 2004 également, le couturier créé la polémique en lançant une « collection capsule » de prêt-à-porter de trente vêtements pour H&M. Dans certaines boutiques, la collection est vendue en quelques minutes. Irrité par le manque de qualité des matières et des finitions, et par le peu de vêtements mis en vente dans les magasins de la chaîne, et devant la déception des clients, Lagerfeld déclare : « Je trouve pénible que H&M ait contrarié tant de gens. C’est du snobisme de faire de l’antisnobisme. »

Son irrévérence et son sens de l’humour lui permettent de toujours prendre du recul par rapport au milieu aseptisé de la mode. Se prendre au sérieux oui, mais pas trop. «Les stylistes qui se prennent la tête, je trouve ça assommant, ridicule ; faire des robes, c’est important, mais ce ne sont que des robes. On n’est pas Kierkegaard quand même !»

En 2007, deux ans après avoir revendu toutes ses marques (la Lagerfeld Gallery, une collection sous licence pour hommes et femmes et des accessoires, la boutique parisienne de la Rive Gauche et la boutique de Monaco) à Tommy Hilfiger pour 30 millions de dollars, Karl Lagerfeld lance une nouvelle ligne, K par Karl.  C’est à cette période qu’il est rejoint chez Chanel par Amanda Harlech, l’ancienne consultante de John Galliano.

En 2008, il surprend tout le monde en acceptant d’être l’égérie d’une campagne de prévention pour la sécurité routière où il arbore un gilet jaune sous le slogan : « C’est jaune, c’est moche, ça ne va avec rien, mais ça peut vous sauver la vie »

Les défilés de la maison Chanel ont toujours crées la surprise tant par leur mise en scène innovante et souvent grandiose que par l’originalité et la technicité des matières. On gardera en mémoire la reconstitution du 1er étage de la Tour Eiffel sous la nef du Grand Palais, le supermarché Chanel, la villa et ses jardins, la fusée ou la magnifique plage de sable fin.

En 2013, il réalise le court-métrage « Once Upon a Time » à la Cité du Cinéma de Luc Besson à Saint-Denis avec Keira Knightley dans le rôle de Coco Chanel et Clotilde Hesme dans celui de sa tante Adrienne Chanel.

Infatigable, toujours en avance de 2 coups comme un joueur d’échecs, ses multiples activités reposaient sur une large équipe de stylistes qui l’assistaient tant chez Fendi, chez Chanel ou pour sa propre marque. Il disait avoir un contrat « à vie » avec la maison Chanel, qui n’a jamais démenti…

«Je suis devenu comme le crocodile de Lacoste. Il va bientôt falloir me coudre sur les vêtements.»

Illustration Agnès Solange pour Blakemag

 

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Saint Valentin, il n’est jamais trop tard pour penser à l’être aimé

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1-Les gâteaux coquins de Yann Couvreur:

Le pâtissier facétieux crée cette année deux gourmandises dans la collection FOXY VALENTINE’S DAY, une édition limitée pour deux personnes : Saveurs : Chocolat-Noisette ou Marron Vanille

Prix : 14€ l’entremet

Adresses :

1 – 37 avenue Parmentier – 75010 Paris

2 – 23 bis rue des Rosiers – 75004 Paris

3 – 35 Boulevard Haussmann – 75009 Paris

 

2-Les gâteaux de le Nôtre:

Le Nôtre crée deux jolis gâteaux évocateurs du couple pour la Saint Valentin.Une création gourmande à déguster à deux et à personnaliser. Guy Krenzer et ses équipes ont imaginé 3 entremets à déguster de 6 façons possibles. Chaque entremet en forme de cœur peut être assemblé de 6 façons différentes. 100% exotique, moitié exotique et praliné-noisettes ou encore moitié vanille-cassis et exotique.

L’exotique : Biscuit Joconde imbibé aux deux citrons, crémeux mangue coco passion, mousseline mangue passion et décor ananas mangue.

Le praliné-noisette : Biscuit amande, ganache chocolat noir, crème mousseline praliné amande noisette et décor noisettes caramélisées.

Le vanille-cassis : Biscuit amande punché au cassis, crémeux cassis, crème mousseline vanille et décor framboises myrtilles.

Prix : 7,50€ l’entremets individuel – www.lenotre.com

 

3-Les Petits Carreaux de Paris : du chocolat pour la Saint Valentin

Pour fêter dignement la Saint Valentin, Petits Carreaux de  Paris dévoile sa recette de chocolat qui séduira les amoureux par son mélange de saveurs : le noir gingembre et piment d’Espelette. Délicatement relevée de subtiles notes poivrées, cette recette allie la saveur fraîche du gingembre et la subtilité du piment d’Espelette, adoucis bien sûr par la douceur du chocolat. Un recette qui ne manque pas d’audace et réveille les papilles !

Poids net : 90g / prix : 5,60€ – www.petitscarreauxdeparis.com

 

4-La Felicità pour une soirée comme dans les 80’s

Avis à tous les eighties addict, pour la Saint Valentin La Felicità diffuse le film La Boum de Claude Pinoteau. Bières artisanales bien fraîches, bons produits de la botte et huge écran pour se remémorer le plus cute des slows de l’histoire du cinéma français.
Venez accompagné (ou pas) de votre Valentin(e), votre chat, ou encore de votre Poupette, pour cette cool soirée à l’ambiance plus love que jamais. Après la diffusion du film, c’est Romy’s music à la platine folle qui reprendra le contrôle, La Felicità promet un slow au moins aussi boom boom lov’ que celui du film !

 

La Felicità (entrée libre): 5 parvis Alan Turing 75013

 

5-La souris de gamer Lexip : LE cadeau idéal pour un chéri geek ! La souris est made in France, entièrement configurable et gardant en mémoire chaque configuration pour chaque application. Cette souris est la souris parfaite des gamers et des illustrateurs ou autre motion designer 2D ou 3D. La marque Lexip propose également aux fans   de   jeux   vidéo   les patins   en céramique. A coller sous la base de sa souris pour réduire la friction et améliorer la qualité de glisse ! La souris est chargeable par port usb. La finition de la souris est soignée. Bref c’est la Rolls Royce des souris!

Prix : 129€90 – www.lexip-gaming.com

 

6-Un dîner en amoureux au Peninsula :

Menu de Saint Valentin 2019 – 490€ par personne et 635€ par personne avec accords mets et vins.

Voici le programme:

Caviar Osciètre / feuille d’or

Belle Gamberosso / bergamote / thon séché 12 mois

Vouvray sec – Domaine du Clos Naudin 2014

Saint-Jacques juste pochée / gingembre / caviar pressé

Meursault « Les Vieilles Vignes » – Domaine Vincent Girardin 2015

Filet d’agneau du Pays Basque / pommes dauphines truffées / jus d’un foie gras truffé

Pomerol – Château Bellegrave 2009

Sphère d’amour / chocolat intense / jus de passion et banane

Madère Colheita « Malvazia » – D’Oliveiras

Un repas d’exceptoin dans un lieu avec une vue unique sur Paris.

Adresse : 19 Avenue Kléber, 75116 Paris – Téléphone : 01 58 12 28 88

 

7-Un menu spécial amoureux au « Nous 4 » restaurant :

Un lieu de bistronomie qui est convivial et familial. Le chef Stephane Browne, crée un menu à 60 € qui commencera par un amuse-bouche, en entrée un carpaccio de langoustines (à la demande : supplément truffes (+5 €)). Pour suivre un foie gras et foie gras poêlé, homards et sauce Sauterne aux agrumes. Le plat est un bœuf Wellington, c’est-à-dire un bœuf cuit en croûte de pâte feuilleté. (à la demande : supplément truffes (+7€)). Le dessert Saint-Valentin et une coupe de champagne est offerte!

3 Rue Beccaria, 75012 Paris Réservations : nous4restaurant.com ou lafourchette.com – 06 06 70 64 92

 

8-Un abonnement Moi Chef, une boxe de Chef pour les cuisiniers en herbe.

Vous aurez accès aux produits que les grands chefs utilisent. Avec tous les conseils pour les utiliser. Pour pimenter votre quotidien ou pour aller plus loin en cuisine. Avec le code de réduction BLAKE vous bénéficiez de 15% sur toutes les formules que propose Moi Chef.

Prix : 79,90€ pour un trimestre hors réduction – www.moichef.fr

9-Du champagne rosé :

La maison Drappier a créé un rosé brut nature, d’une belle robe rose pâle. C’est un rosé de saigné. Le nez est très fraise. En bouche, il y a des notes de grenadine sur une fin tendue d’agrumes. Un très joli rosé pour commencer une belle soirée entre amoureux(ses).

Prix : 33,90€ – www.netvin.com

 

Article écrit par Alexis Dumétier

Illustration : Agnes Solange

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Saké Nouveau: la 2ème édition

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En février 2018, la manifestation du Saké Nouveau était lancée en France, avec la complicité d’une vingtaine de restaurants et cavistes ainsi que de la maison Dassai et de la Maison du Saké. L’opération a immédiatement gagné l’intérêt des professionnels mais plus encore, remporté un vrai succès chez les clients de ces adresses partenaires ; clients qui pour la plupart découvrait cet alcool (bien loin de l’eau-de-vie à 40° servie en fin de repas dans certains restaurants asiatiques.) Aussi, cet engouement a conforté l’idée de pérenniser cette célébration et d’en faire un rendez-vous annuel, permettant de mieux faire connaître le saké hors du Japon.

Le Saké Nouveau revient pour une seconde édition le jeudi 7 février 2019, avec la participation d’une vingtaine d’établissements répartie à travers la France et le partenariat de quatre maisons de saké aux typicités bien distinctes : Akabu, Dassai, Komatsu et Takeno. Le saké est issu de la fermentation du riz (au même titre que le vin avec le raisin), d’apparence translucide et titre entre 14 et 16° d’alcool. Il dégage des notes aromatiques assez subtiles, souvent florales. Tout comme le Beaujolais nouveau, la Saké nouveau est une production exceptionnelle de l’année.

Traditionnellement au Japon, le saké est produit pendant l’hiver, lorsque le climat est frais, ce qui assure un meilleur contrôle de la fermentation du riz. Les premiers tirages et mises en bouteilles sont effectués à partir de la fin janvier. Ce « premier » saké est ainsi qualifié de «saké nouveau» (Shinshuen japonais). Les amateurs apprécient la typicité de ce produit très frais en bouche et disposant aussi de plus de corps qu’un saké classique, car encore vif de son élaboration récente. De même, il dégage un caractère très vivant, dû notamment au fait qu’il est embouteillé de manière non-pasteurisée. Autrement dit, sans méthode de conservation qui viendrait bloquer toute reprise de fermentation. Ce procédé n’en devient que plus excitant pour le dégustateur car ce saké nouveau doit être consommé dans les 6 semaines suivant son tirage, et plus vite encore après ouverture d’une bouteille.

Chaque maison, de par des procédés qui lui sont propres mais aussi par la qualité de l’eau qu’elle utilise, la qualité du riz et le polissage de ce dernier, constitue une « recette» unique et propose un breuvage à l’identité distincte.

C’est un événement japonais, il est donc ritualisé : pour ouvrir la soirée on brisera le capot d’une jarre de saké avec un marteau. Youlin Ly, fondateur de la Maison du Saké à Paris et détenteur depuis 2015 du titre de Saké Samourai, a eu l’idée de faire de ce rituel un événement unique et de le partager avec une sélection d’établissements (restaurants, bars, caves…) sensibles à la promotion du saké.

Comme l’an passé, les clients des établissements se verront offrir un verre de ce premier saké de l’année, issu de la production des 4 maisons de saké, en accord avec un plat ou une mise en bouche élaborés par le chef.

Différents types d’établissements participent à l’événement, du bistrot à la table gastronomique, tels que Mirazur, La Grenouillère, Virtus, Kitchen Ter, Elmer, Les Enfants du Marché, AM… seront notamment cette année rejoints par Ne/so, L’Auberge de la Fenière, Alliance, Tomy & Co, Bon Georges, Vantre…

La grande nouveauté de cette deuxième édition est la participation de 4 maisons de saké dont les productions sont très différentes les unes des autres. Ces maisons originaires de plusieurs régions du Japon proposeront des alcools non pasteurisés, avec leur ADN propre. Si certaines marques sont désormais bien connues en France, d’autres sont plus rares et leurs productions plus confidentielles.

Le Saké Nouveau offre une belle occasion aux gourmets et curieux de découvrir ou redécouvrir cet alcool si subtil par le biais d’accords originaux avec des mets de plusieurs régions du monde.

Site: https://www.sakenouveau.com/

 

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weekend de la galette des rois : florilège de bonheurs sucrés

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Pour bien débuter cette sélection je vous propose une galette à part qui vous rappellera les fêtes :

 

1-la galette de la maison de la Truffe ! Une galette artisanale, avec une frangipane fraîche et généreuse avec des morceaux de noisettes et d’amandes, qui soutiennent parfaitement la truffe noire présentent en copeaux généreux. Un accord étonnant et qui fonctionne bien. La fève est en fine porcelaine à l’effigie de La Maison de la Truffe .Prix : 45€ – Adresse : La Maison de la Truffe – 19, Place de la Madeleine – 75008 Paris – Téléphone : 01 42 65 53 22

 

2-La galette de Pierre Hermé célèbre la fête de l’Épiphanie en s’associant à Christofle, Maître de l’orfèvrerie et des arts de la table. De cette collaboration, résulte une édition exclusive de fèves, inspirée d’un modèle d’anneau twisté en argent, faisant partie de la collection Idole : la première ligne de bijoux créée par la grande designer française Andrée Putman et lancée par Christofle en 2005. Côté galette la nouveauté 2019 c’est la galette Médélice : une pâte feuilletée dorée associée à la crème d’amande au citron et au praliné feuilleté maison. L’acidité du citron exacerbe les arômes de la noisette du Piémont torréfiée, alors que le croustillant de la pâte feuilletée rythme le croquant du praliné pour une dégustation riche en sensations. Elle sera parée de coques de macarons argentées reprenant ainsi la matière phare de la Maison Christofle. Prix : 4 personnes : 35 € – 8 personnes : 56 € – 12 personnes : 72 € – Disponible du 2 au 20 Janvier 2019 – Pour commander en ligne : www.pierreherme.com – Adresse : Pierre Hermé Paris – 72 Rue Bonaparte · 01 43 54 47 77

3-Cyril Lignac propose de satisfaire tous les goûts pour cette épiphanie avec plusieurs créations :

 

 

– La couronne briochée au beurre des Charentes parfumée à la fleur d’oranger, agrémentée d’oranges confites et décorée de grains de sucre, pistaches et noisettes caramélisées. Prix : Individuel 4,5 €, 6 personnes 27 €

 

 

 

 

– La galette « classique » : Pâte feuilletée au beurre des Charentes caramélisée, fourrée à la crème d’amande au lait d’amande. Prix : Individuelle 6 €, 4 personnes 24 €, 6 personnes 36 €, 8 personnes 48 €, 10 personnes 60 €

 

 

 

 

 

 

– Et une galette “création” avec une pâte feuilletée au beurre des Charentes caramélisée, fourrée d’une ganache au Gianduja, mélange de chocolat et de noisettes pour bousculer nos papilles. Prix : 4 personnes 29€

 

 

 

Cyril Lignac a imaginé un jeu façon Charlie et la chocolaterie: à l’intérieur de 10 galettes et gâteaux des Rois de Cyril Lignac se cache une fève petit ourson argenté. Si vous trouvez ce “ticket d’or” vous pourrez gagner une spectaculaire pyramides d’oursons chocolatés, spécialité gourmandes du pâtissier. Adresses : Pâtisserie by Lignac, 2 Rue de Chaillot 75116 Paris 16

4-Monoprix prend le virage du Bio et nous propose une galette Bio et un cidre Bio pour l’accompagner. Le feuilletage est aérien et la belle surprise c’est la crème d’amandes bien épaisse et généreuse. Une galette simple et bonne. Traditionnellement on peut accompagner la dégustation de ce dessert de cidre et Monoprix propose justement une gamme de cidre bouché brut Bio. La fève est en forme du célèbre l’éclair de génie du pâtissier Christophe Adam. Des produits bien fait et à un prix très abordable. Prix galette 4 personnes: 10,20€ – Prix Cidre bouché Brut : 2€

 

5-Une glace à Paris : la galette glacée mais qui se déguste tiède surprenant et original. Une galette glacée composée d’une pâte feuilletée pur beurre dissimulant une crème glacée aux amandes, des meringues fondantes et des dragées. Il faut la déguster tiède, après un court passage au four (10 minutes au four à 150°C), pour découvrir la richesse des accords et des textures. La crème glacée aux amandes ne fond pas, protégée par une meringue qui devient elle-même tiède et croustillante. Cette galette est parrainé par Emmanuel Petit, en effet il y a 11 fèves gagnantes qui donneront la possibilité de manger la galette des rois avec 2 Champions du Monde (Emmanuel Petit et Emmanuel Ryon) et de remporter une médaille de la Coupe du Monde de Football 2018 de la FIFA en édition série limitée frappée par la Monnaie de Paris. Prix : Taille unique 5 personnes – 34€ – Adresse : LA BOUTIQUE DU MARAIS, 15, rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie – 75004 Paris – Tel : 01 49 96 98 33

 

6-Pierre Marcolini propose sa vision de la galette des rois avec un millefeuille des rois : Cette création se compose d’une crème d’amande de Faro (célèbre ville du Portugal pour ses fruits à coques), où les amandes sont travaillées entières pour conserver toutes leurs saveurs. Le tout est glissées entre deux couches de pâte feuilletée, cuite à part pour dévoiler un croustillant parfait. Une délicate manière de sortir du classicisme Prix : 29€ – Adresse : 89 Rue de Seine, 75006 Paris

 

 

 

 

Article écrit par Alexis Dumétier

 

 

 

 

 

 

 

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Un nouvel an sans champagne n’est pas un nouvel an

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Pour fêter dignement la nouvelle année et parce que Noël, les cadeaux pour tata, toute la ribambelle d’enfants et neveux qui nous entourent sont passés par là et que cette ultime fête va nous faire finir l’année sur la paille, je vous propose une ultime sélection de champagne pour 2018 pour 45€ grand maximum. Ces flacons n’en sont pas moins dignes des plus grands et accompagnerons parfaitement une fête inoubliable.

 

 

 

-Labruyère, Prologue : Oui c’est un extra brut, d’accord mais il a sa place dans cette sélection de fêtes tant il est bien fait. Il est très peu dosé : 1,7g donc très peu sucré! Au nez ce sont des notes de noisettes torréfiées, d’agrumes tout cela très finement. En bouche des saveurs très fraîches de quetsche, d’agrumes il est vineux et à une belle ampleur. Une longueur en bouche agréable sur la tension. Le chardonnay joue merveilleusement son rôle. Prix : 39 €

 

 

 

 

 

-Copinet blanc de noir : C’est un champagne de vignerons du Sézannais. Le nez est floral et acidulé. Les saveurs en bouche sont vives. Un vin minéral et avec une belle acidité. Il sera parfait pour l’apéritif. Prix : 34 €

 

 

 

 

 

 

 

 

-Albert Beerens Blanc de noir : Un blanc de noir explosif en saveurs et en parfums de fruits blancs, de fleurs et de pain grillé. La bouche est bien fraîche, sur une fin d’agrumes. La bulle est vive et prépare les papilles à un repas de fête. Prix : 28 €

 

 

 

 

 

 

 

-Jean-Michel, Les mulottes 2010 : Ce champagne est atypique. Il est fait sans engrais, ni traitements chimiques, sans désherbants. C’est une cuvée 100% Chardonnay vinifiée avec des levures indigènes et cela lui confère une nature en bouche très ample, complexe et le chardonnay s’exprime pleinement puisque au delà des saveurs il persiste une vraie tension. Ce champagne passe 6ans sur lattes avant dégorgements et cette élevage lui donne une belle rondeur et une jolie longueur en bouche. Ce champagne accompagnera tout un repas, même avec des plats en sauce ou épicés. On est sur des notes d’abricots confits, de pain grillés, d’amandes torréfiées. Prix : 31,50€

 

 

 

 

-Franck Bonville Millésimes 2012 : Ce millésime fait partie des très belles années, beaucoup de maison sortent en ce moment leur 2012, cela en dit long : c’est une année où acidité ert sucrosité c’est particulièrement bien équilibré. C’est un blanc de blancs qui vient des grands crus d’Avize, terre de grands crus s’il en est en champagne. Au nez jaillient des notes toastés, de fruit blancs (poire et mirabelle) et d’agrumes. En bouche on retrouve la mirabelle et la minéralité typique du sol crayeux des grands cru d’Avize. Belle longueur en bouche. Prix : 35,50€

 

 

 

 

 

 

-TER blanc de Philippe Gonet : Je vous ais proposé le noir pour Noël et le blanc est inévitable pour cette saint Sylvestre! Ce champagne est vinifié en foudre de chêne ce qui lui apporte complexité et profondeur. Un champagne très frais et tendu. Au nez cela s’ouvre sur des notes salines et toniques de fruits exotiques et de noisettes. La bouche est gourmande et vineuse, sur des arômes de pêche de vigne et d’agrumes. Un champagne équilibré et soyeux. Prix : 40€

 

 

 

 

-Mandois millésimes 2008 vieilles vignes : Avant 2012, 2008 était aussi une très belle année à millésimes. Ce champagne est issu principalement des vignes de plus de 50ans du domaine. Ces vieilles vignes confèrent au vin une concentration des saveurs et une finesse dans sa structure. Il est en partie vinifié en fût de chêne ce qui ajoute rondeur et notes toastées. Tout cela apporte une très grande longueur en bouche. Au nez c’est beurré, des notes de fruits à coques torréfiés mais aussi de fruits blancs et d’agrumes mûrs. En bouche on retrouve toute cette complexité harmonieuse, de l’opulence et une véritable persistance. Un grand champagne à déguster. Prix : 45€

 

 

 

 

-André Heucq Héritage millésime 2012 : Un champagne de vigneron, un vin Bio et très bien fait. Il est passé en partie en fût de chêne. Ce beau millésimes s’annonce rond et gourmand. Au nez on perçoit fruits blancs confits et noix de cajou, puis en bouche une belle minéralité mêlée à des saveurs toastées. Prix : 38,90€

 

 

 

 

 

 

-Fleury, blancs de noirs : Une belle maison que la maison Fleury, qui nous offre ici un blanc de noir très élégant réalisé en biodynamie. Son nez est gourmand sur la pomme et les fruits confits. En bouche il y a des notes de fruits secs, très légèrement miellé. Une belle persistance aromatique franche et nette. Prix : 28,90€

 

 

 

 

Belle fin d’année à toutes et tous, fêtez grand, fêtez beau et prenez soin de vous. Tous mes vœux.

 

Article écrit par Alexis Dumétier

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Cadeaux de dernières minutes

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– Côté cosmétiques :

 

Cosmydor : Un packaging chic et design, des produits très subtiles et particulièrement bien faits.

SOINS INTENSES : Une gamme spécialement étudiée pour répondre de manière optimale au besoin d’hydratation de votre peau et renforcée avec des actifs ultra-concentrés. Plus de 99% des ingrédients sont d’origine naturelle. De 42€ à 88€

 

LES PETITS BAUMES : Conçus pour le visage, le corps et les mains, les Petit Baumes, avec leur nouvelle texture type “crème fouettée” sont parfaits à glisser dans un sac. 99,5% d’ingrédients d’origine naturelle. 99,5% de principes actifs végétaux. Formulés avec peu ou pas d’eau. De

 

 

 

 

Bulldog : Des produits spécialement conçus pour les hommes et fait à base d’ingrédients naturels. Labelisé Vegan, ils sont sans colorant artificiel, sans parfum synthétique. Les coffrets Bulldog : Une trousse de soinS à 21,90€ ou un coffret Soins pour barbe à 15,90€.

 

– Côté high-tech:

 

Playstation classic, une mini Playsation one avec 20 jeux pré-chargés dans la machine, dont Final Fantasy VII, Jumping Flash!, R4 RIDGE RACER TYPE 4, Tekken™ 3, Wild Arms™, et 2 manettes de jeux. Parfait pour les nostalgiques de la première console de Sony ou pour ceux qui n’ont pas connu cette époque et qui aiment le retro gaming.   Prix : 99,99€

 

 

 

Flashback, le retour d’un jeu mythique! Vous vous souvenez de ce superbe jeu qui révolutionna le genre du jeu de plateforme? Une histoire de science fiction, inspirée des univers de Blade runner et Star wars. Un grand jeu à découvrir ou à revisiter. Disponible sur Playstation 4 et Nintendo Switch. Prix : 29,99€

 

 

 

Un écran BenQ pour les gamer PC ou console: Si vous êtes désireux d’une image exceptionnelle et très précise pour vos jeux rien de tel que cet écran conçu pour le E-sport. Il est en effet présent dans toutes les compétitions de jeux vidéos Playstation. ZOWIE RL2460 24 inch Console e-Sports Monitor Officially Licensed by Sony SIEE EU for PlayStation®. Prix: 249€

 

 

– Côté mode:

 

 

 

 

Un sac Oxbow tout droit sorti de la nouvelle série de la marque : la ligne 1985. Prix : 90€

 

 

 

 

 

Russel Athletic : Un retour au classique avec le comeback de Russel Athletic : créateur du sweatshirt depuis 1902, Russell Athletic a été créé dans une petite usine d’Alabama en 1902, lorsque Benjamin Russell, âgé de 26 ans, a commencé à créer une marque de vêtements de sport légendaire. La collection se relance avec des tshirts, des sweat avec ou sans capuche.

– Côté maison:

 

 

Bougie en cire végétale, Lavandière de Provence – Prix : 50€

 

 

 

 

 

 

 

Parfum d’intérieur 250 ml, Lavandière de Provence – Prix : 60€

 

 

 

 

Parure de lit Juste le Bleu, en percale de coton, Bonsoirs. – à partir de 135€ / www.bonsoirs.com

 

 

 

– Côté gastronomie:

Box Moi-Chef: Labélisée par le Gault&Millau. Cette box est vraiment bien pensée. Chaque box est crée en relation avec un grand Chef (Jérôme Banctel, Guy Savoy, Christian Etchebest, Denny Imbroisi,…), et contient des produits hauts de gamme. Le magazine qui accompagne la recette est clair et détaillé. Prix : pour 1 trimestre 79,90€ jusque un an d’abonnement au prix de 319,60€

 

 

Mistral Gin, un Gin Rose qui nous vient du Sud, élaboré dans une distillerie centenaire, au cœur de la Haute Provence. Il révèle des arômes de plantes et d’agrumes de la région. Ses ingrédients: Cardamome, Maniguette, Poivre Rose, Genièvre, Iris, Coriandre, Fleurs de Thym, Eucalyptus, Basilic, Menthe, Pamplemousse Rose, Fenouil. A la dégustation, ce gin révèle tous les arômes de la Provence, ainsi que des notes de fleurs et de pamplemousse à la fois élégantes et rafraîchissantes. À déguster pur ou avec un très bon tonic, quelques feuilles de basilic, une rondelle de pamplemousse. Prix : 70cl / 42€

 

Et pour ceux qui n’aurait pas encore acheté le dessert: ça bûche!

Sélection des plus belles bûches de Noël 2018 !

Le Collectionneur

 

 

Cette année, Bryan Esposito, nouveau pâtissier de l’hôtel, prend son envol! Sa bûche de Noël, imaginée pour le Collectionneur Paris est un véritable bijou aérien et exquis. Sous une magnifique cage cuivrée en chocolat surmontée de jolies plumes, se cache une merveille de gourmandise aux saveurs festives: pommes de pin, confit d’églantine, biscuit trois noix, brisures de châtaignes et marmelade de kumquat. Un vrai délice d’hiver! A commander auprès du Collectionneur Paris, 57 rue de Courcelles, 8e. Prix : 75€ pour 8 personnes.

 

 

Le Crillon

 

Cette sublime bûche d’un blanc immaculé réalisée par Pablo Gicquel pour l’hôtel Le Crillon est un retour en enfance! Son esthétique impeccable, qui rend hommage à l’architecture du palace en rappelant ses somptueuses colonnes, renferme une exquise confiture de myrtille et cassis fumée au feu de bois, dans une mousse d’amandes du Languedoc. Un plaisir aussi magique que régressif! A commander auprès du Crillon Paris, 10 place de la Concorde, 8e. Prix : 120€ pour 6/8 personnes. Ou à déguster sur place en version mini-colonne : 20€

 

 

Lenôtre

 

Intitulée Odyssée Merveilleuse, la très belle création de Lenôtre évoque la douce nuit étoilée de Noël, réunissant les saveurs des trois continents d’origine des animaux de ce conte: le citron d’Asie, le chocolat d’Afrique et la noisette d’Europe. Sous l’égide du chef Guy Krenzer, elle réunit, comme chaque année, tous les savoir-faire de la Maison et est disposée dans un superbe écrin dessiné par l’artiste Michael Cailloux. Une merveille gustative et visuelle!Edition limitée en boutique ou sur commande. Prix : 120€ pour 12 personnes.

 

 

Maison Aleph

 

Ici, les saveurs levantines sont à l’honneur ! La créative Myriam Sabet propose deux bûches roulées aux goûts originaux. L’une, très gourmande, se pare de noisettes, chocolat et halva, tandis que l’autre, s’enrobe d’amandes, de safran et de fleur d’oranger. Un voyage merveilleux de la part de cette charmante maison bleue située en plein cœur du Marais. Maison Aleph, 20 rue de la Verrerie, 4e. Prix : 42€ pour 6-8 personnes.

 

 

 

Article écrit par Johanna Alam et Alexis Dumétier

 

 

 

 

 

 

 

 

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La Sélection Spiritueux pour Noël

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-Rhum :

 

 

 

 

 

Trois Rivières Bois des Indes : Son nom rappelle l’une des trois cours d’eau qui traversent les plantations de la maison Trois rivières. Une édition limitée à 2400 bouteilles. Daniel Baudin le maître de chai a sélectionné 11 millésimes pour créer ce rhum d’exception, notamment le très rare millésime 1979. Un rhum fondu mais toujours puissant et long en bouche. De belles notes de citrons noirs confits et poivrés. Une bouteille unique pour votre bar. Prix : 200 €

 

 

 

 

 

 

 

Mount Gay : XO The peat smoke expression : Cela faisait longtemps que je n’avais pas était aussi surpris par la qualité et la délicatesse d”un rhum. Au nez on ne sent pas l’alcool, c’est suave. Dominent des senteurs de fruits et d’épices puis vient une bouche complexe où se mêlent des saveurs de bois chauffé, d’épices, de cacao, et en fin de bouche les fruits refont surfaces ananas et banane.Un grand moment pour un grand Rhum. Ne laissez pas passer ce Rhum…il existe 180 bouteilles pour la France…Prix : 225 €

 

 

 

-Whisky :

 

 

 

GLENFIDDICH : FIRE & CANE : Cette année, la distillerie présente le dernier né de ses Experimental Series : Fire&Cane. Le premier single malt Glenfiddich tourbé et affiné en fûts de Rhum. Au nez cela est trompeur, puisque des notes de mélasses de canne à sucre dominent, on imagine déjà en bouche les saveurs épicées d’un rhum. La surprise se fait en bouche puisque c’est un whisky finement tourbé, qui laisse la place aux saveurs poivrées et épicées de la finition en fût de Rhum. Prix : 36 €

 

 

 

 

 

 

 

GLENGLASSAUGH Peated Port Wood Finish : Un whisky fruité et fué, finit en fût de porto ce qui lui procure encore plus de rondeur, surtout au nez où les notes de cerises griottes sont bien présentes. En bouche des notes de tourbes pointent, et de poivre noir. Un beau breuvage. Prix : 65 €

 

 

 

 

 

-Vodka :

 

 

Petrossian au caviar by Guillotine : La maison Petrossian signe là une très belle vodka, subtile, tendue où l’infusion au caviar est délicate mais bien présente. Cette vodka comme toutes les grandes vodka est, une fois bien glacée, comme sirupeuse. Une vrai découverte qui vaut le détoure. Prix : 190 euros

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Flair – Vodka : Elle est faite à base de quinoa de Bolivie et blé de Beauce bio. Une vodka made in France par des maîtres distillateurs charentais. Ce qui donne une vodka minérale et fruitée,avec en retour de bouche des épices douces, de fève de Tonka et de foin. Flair fait fort encore une fois. Prix : 39 €

 

 

 

 

 

-Le Sake :

Je veux partager avec vous mon grand amour gustatif de ces dernières années :le Saké. Un alcool japonais, fait à base de riz, d’eau et de Koji (un champigon) qui permet de fermenter le riz et ainsi de créer cet alcool doux et subtil. Pour cette sélection de Noël je vous propose 3 découvertes de cette année et bientôt je consacrerais un article entier au Saké.

 

 

 

Dassai 39 : Le riz a un polissage résiduel de 39%, ce qui en fait la deuxième meilleure qualité de la gamme après le Dassai 23. Un saké qui peut accompagner tout votre repas. Au nez des notes de compotées de fruits et de zeste de yuzu. En bouche il est doux et moelleux, avec un final très rafraîchissant et floral. Prix : 25 €

 

 

 

 

 

 

 

L’eau du désir : Ici le taux du polissage est de 50%. Au nez c’est un bouquet printanier. La bouche est très ample, marquée par les fruits mûrs, le pamplemousse. Le final reste tendu et minéral, ce qui lui confère un très bel équilibre global.Un grand saké qui plaira aux amateurs de vins. Prix : 38 € – Point de vente https://galeriekparis.com/shop/produit/kuheiji-50-fm364/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Enter saké SILVER Junmai : Un très beau porte étendard pour la cause Saké car il est tout d’abord soyeux en bouche et très droit. En bouche c’est une explosion de saveurs de mangue et de pêche blanche. Pour moi il est parfait pour débuter un apéritif de Noël différents avec de belles huîtres par exemple…Prix : 38 € – Disponible à la dégustation dans les établissements suivants : Manko ( http://manko-paris.com/fr/home/ ), Buddha Bar ( https://www.buddhabar.com/fr/ ) et Le Crillon ( https://www.rosewoodhotels.com/fr/hotel-de-crillon )

 

 

 

 

 

 

 

-Les cocktails : 

Shake it easy :

Une soirée avec des amis et pas d’idées pour les surprendre, pas de soucis il y a Shake it easy! De plus cette société propose des cocktails inventifs et originaux, mais surtout bien réalisés et gourmands.

BALATA (14% alc.) – Rhum Saint James, sirop de falernum, vermouth rouge et sirop d’épices maison

DALSTON (12% alc.) – Gin, Apérol, sirop de sucre maison, liqueur de sureau, ginger beer et purée de citron vert

KAZANTIP (10% alc.) – Vodka, jus de citron, purée de fruits de la passion, sirop de sucre maison, liqueur de fruits de la passion et vanille

ALTAÏ (11% alc.) – Vodka, liqueur de poire, sirop de citron vert, sirop de sucre maison, jus de citron vert et tabasco

De plus les cocktails vous sont livrés avec glaçons et tout ce qu’il faut pour dresser joliment les verres de vos convives. Je vous conseille fortement cette solution pour ceux qui veulent faire simple mais beaux et bons.

https://www.shakeiteasy.fr/

Prix : 23 € / le cocktail

Pack Caraïbos :

Les jus de fruits les plus connus des barmen parisiens proposent pour Noël différentes box de cocktails avec les ustensiles permettant d’élaborer vos élixirs préférés. Aux choix : mojito, sex on the beach, capirina et Pina colada. Un cadeau simple et efficace pour ceux qui veulent revoir leurs classiques.

Prix : 32,95 € / Le kit

-Le Cognac :

 

 

 

 

Merlet sélection Saint-Sauvant : La sélection Saint Sauvant est un assemblage de cognacs élaborés par Gilles et ses fils, Pierre et Luc, cinquième génération des Distillateurs Merlet, et produit en série limitée. Un numéro est apposé à chaque nouvel assemblage et vient garantir la rareté d’un Cognac d’exception : au nez abricots confits, en bouche les notes de noisettes torréfiées sont équilibrées par celles de fleurs blanches, le final délicat et boisé. Prix : 100 €

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Meukow esprit de famille : Un flacon hors norme. Des notes de fruits secs et de tabac au nez, suivent de notes de zeste d’orange en bouche et d’amertume chocolatée, pour un final léger de gingembre. Prix : 590 €

 

 

 

 

 

-l’extra :

 

 

 

Moutai : Cuvée emblématique de MOUTAI, Feitian, la princesse volante, est issue d’un assemblage d’eaux-de-vie ayant reposé un minimum de quatre années en jarres de terre cuite. L’une des grandes particularités de cette cuvée est d’être l’un des rares spiritueux à se bonifier pendant plusieurs années en bouteille. En fonction de l’âge des cuvées le Moutai sera plus ou moins « goûteux ». Si le jeune Moutai est vif, quelque peu astringent, les cuvées plus anciennes sont plus souples, onctueuses avec des saveurs plus complexes. Le nez est gourmand avec de chaudes notes chocolatées, légèrement réglissées et vanillées. La bouche est très fruitée et ample et une belle acidité dynamisante avec des épices et des notes de fruits secs. La finale est sur une minéralité de plus en plus présente et laisse place à des notes florales et végétales particulièrement élégantes. Prix: 199 euros

 

 

 

Article écrit par Alexis Dumétier

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Les bars à huîtres et le menu des frères Pourcel

1 Montparnasse

Voilà une belle collaboration entre une maison parisienne, qui n’a plus à faire ses preuves tant elle garde la qualité comme maître-mot pour ses produits, et les deux frères étoilés que sont les frères Pourcel.

Pour commencer ce repas, je déguste et découvre des huîtres fabuleuses de la maison Gillardeau : fabuleuses, je n’ai pas peur du mot. J’ai choisi les numéros 3, petites tout en étant charnues, mais le plus fou est ce goût de noisette mêlé à des saveurs iodées et salines dans un équilibre parfait.

Le menu Pourcel s’ouvre avec un bouillon Thaï et coquillages, aux notes marines, soutenu délicatement d’épices asiatiques, accompagné d’un tartare de saumon simple et d’une belle fraîcheur qui met en appétit mes papilles.

Je choisis le bar rôti miroir à l’orange sangria. Bien exécuté et bien cuit.

Pour le dessert les frères Pourcel ont passé la main à la cheffe pâtissière Ilham Moudnib :

Je choisis son dessert au chocolat : Chocolat mon amour. Un moelleux au chocolat bien coulant avec du sésame croquant. Parfait pour finir ce beau repas riche en saveurs variées et légères.

 

Profitez-en! La carte des frères Pourcel est à découvrir jusque mi-décembre.

 

Pour les semaines à venir les Bars à Huîtres renouvellent leur carte et vous invitent à découvrir son Oyster & Raw Bar, un florilège d’huîtres qui seront vous ravir quels que soient vos goûts.

Au menu, de nouvelles huîtres d’exception ainsi que de nouveaux plateaux à partager où vous pourrez savourer des huîtres bio, arômatisées, ou encore la pousse en clair et pied de cheval. Ces huîtres rares pour les amateurs de saveurs fraîches et iodées proviennent de nouveaux ostréiculteurs mais pas d’inquiétude, les huîtres des références Madec et Cadoret continueront d’être servies.

Cette nouvelle carte sera disponible début décembre. Le décor, quant à lui va être revisité, pour créer une atmosphère bord de mer : on pourrait presque s’imaginer la dune du Pyla face à l’ocean.

 

Article écrit par Alexis Dumétier

 

 

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Le Crazy Horse mis à nu

RiccardoTinelli@Scanner_02

J’ai été invité à découvrir les coulisses très privées du Crazy Horse pour une interview exclusive d’une toute nouvelle recrue: Spicy Squeeze. Une jeune danseuse pétillante et mutine.

Mais avant de vous parler de la nouvelle revue du Crazy Horse: « Totally Crazy », laissons place à l’interview de Spicy Squeeze.

Cela fait 65 ans que le Crazy horse est un lieu de création à l’esprit cabaret, avec pour thème principal la sensualité féminine.

J’y suis venu en connaissant de loin l’idée principale des chorégraphies: des danseuses nues habillées de lumières. Et pour être sincère, je me suis demandé si ce côté cabaret parisien historique n’allait pas être désuet.

Et bien pas du tout! J’ai assisté à 90 minutes de spectacle bien rythmé, entraînant, élégant, onirique et envoutant. La bande son du spectacle est un savant mélange de chansons mythiques du Crazy et de tubes modernes détournés, comme le Toxic de Yael.

Les chorégraphies sont vraiment bien pensées et mettent en valeur les crazy girls. Elle ne sont pas seulement jolies, ce sont de vraies danseuses professionnelles.

La mise en scène est souvent surprenante et les jeux de lumières sont sexys, charmeurs et toujours raffinés. Chaque tableau donne envie de découvrir le prochain.

L’ambiance cabaret à l’interieur du Crazy Horse tout de velours rouge et de lumières tamisées nous fait nous sentir dans un écrin. Le spectacle est accompagné par un ou une maître(sse) de cérémonie, ce soir là j’ai pu voir Lolly Wish (une femme qui vient de la scène burlesque) qui possède une superbe voix et dont la présence donne le ton d’entrée : nous sommes à Paris, dans un cabaret et la soirée sera sous le signe de la passion, de l’audace, de la sensualité et de l’humour.

Le show se savoure accompagné de champagne CRAZY comme il se doit ou d’un cocktail si vous préférez.

Un spectacle unique à voir!

INFORMATION & RESERVATIONS

BOOKINGS

www.lecrazyhorseparis.com

+33 (0)1 47 23 32 32 –

 

reservation@lecrazyhorseparis.com

 

RESERVATIONS GROUPES

(à partir de 11 pers.)

GROUP BOOKINGS

(from 11 people on)

+33 (0)1 47 23 98 39

groupes@lecrazyhorseparis.com

 

Article écrit par Alexis Dumétier

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