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Davide Pascarella, artiste tatoueur

Originaire de Rome, Davide Pascarella, 33 ans, a grandi à Florence. À ses débuts, il suit une formation de sculpture et de peinture en Italie. Mais plutôt que d’officier en tant qu’artiste dans un atelier, Davide a envie de partir à la rencontre de l’Humain, d’offrir et de partager. C’est décidé : son art, c’est sur la peau qu’il a envie de l’encrer.

Ses créations sont tellement réalistes qu’elles en paraissent vivantes. La profondeur de ses dessins, le relief, et surtout les détails, sont stupéfiants : vous allez adorer ses animaux, ses portraits ou encore ses réalisations fantastiques. A chaque fois, les tatouages sont si criants de réalisme qu’ils sont sans aucun débat possible des œuvres d’art.

Les pièces qu’il tatoue sur les corps sont influencées par sa passion indéfectible pour la peinture.
Le maître de la Renaissance italienne Michel-Ange lui insuffle notamment son inspiration. Ce que Davide Pascarella aime par-dessus tout, c’est donner « l’expression de la vie » dans les yeux des portraits qu’il tatoue.

Les jeux d’ombres et de lumière, la profondeur et la puissance dans les dessins découlent de son amour pour la Renaissance italienne, à la fois pour la sculpture de Michel-Ange que pour la peinture de Caravage. Sa technique : user le plus possible de l’encre noire afin de faire ressortir au mieux l’encre blanche, tout en nuances.

Le bonheur de Davide est d’offrir une pièce unique à ceux qui lui font confiance. La satisfaction de donner et de partager. Tout ce qu’il fait, il le fait avec cœur. A cela s’ajoute un sourire toujours présent sur son visage, et une attitude hyper bienveillante même avec celui qui craint les aiguilles.

Envie de vous offrir un tatouage du talentueux Davide Pascarella ? Il se fera un plaisir de vous recevoir chez Matière Noire au 6 rue Quincampoix, 75004, Paris.

Suivez l’œuvre de davide sur tiktok : davide_pascarella_ART et instagram : @davide_pascarella

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Exposition Paolo Roversi au Palais Galliera

L’exposition Paolo Roversi au Palais Galliera dévoile 50 ans de photographies, et révèle
comment l’artiste s’est emparé de la mode pour créer une œuvre unique. Il s’agit de la
première monographie consacrée au photographe à Paris, sous sa propre direction artistique, épaulé par Sylvie Lécallier, chargée de la collection photographique.


D’origine italienne, né à Ravenne, Paolo Roversi s’installe à Paris en 1973. Sa carrière est marquée
par sa collaboration avec les plus grands créateurs de mode, notamment Yohji Yamamoto,
Romeo Gigli, Rei Kawakubo pour Comme des Garçons.

Sasha, Yohji Yamamoto, Paris, 1985.


Dès ses années d’apprentissage, le choix du studio, de la chambre grand format et du Polaroid,
définissent la manière de travailler et l’esthétique du photographe qui s’adapte au numérique
avec succès. Sa signature est reconnaissable entre toutes : tonalités douces et sépia des noir
et blanc à la lumière du jour, densité et profondeur des couleurs à la lumière de la lampe torche.

Sihana Shalaj, Comme des Garçons, Paris, 2023


Au fil des années, Paolo Roversi cherche, invente son propre langage photographique,
accueillant les hasards et les accidents comme des opportunités de se renouveler. Depuis, il travaille pour des magazines prestigieux (Vogue italien et français, Egoïste, Luncheon…).

Tami, Dior AH 1949, Paris, 2016


Les plus grands mannequins sont passés devant son objectif. Elles posent toujours avec
simplicité; leur présence est intense. Chacune de ses photographies de mode est un portrait.
Paolo Roversi se tient à la fois au cœur du système et à distance, loin des courants éphémères
de la mode. À la recherche de la beauté, il construit une œuvre singulière sur laquelle le temps
n’a pas prise.

Autoportrait Paolo Roversi 2020


Cette exposition qui réunit 140 oeuvres dont des images inédites, des tirages Polaroid, des
archives (magazines, catalogues…) dévoile le parcours professionnel et artistique d’un
photographe de mode exceptionnel. Entraînant le visiteur de l’ombre vers la lumière, la
scénographie fait du Palais Galliera le studio de l’artiste, un espace imaginaire, le théâtre de
tous les possibles.

Palais Galliera, musée de la Mode
de Paris

10, Avenue Pierre Ier de Serbie, Paris 16e arrondissement
Horaires
Mardi à dimanche de 10h à 18h – Nocturne les jeudis jusqu’à 21h
Fermé les lundis
Tarifs
Billet solo : 12€ (tarif plein) – 10€ (tarif réduit) – gratuit – de 18 ans
Réservation recommandée
www.billetterie-parismusees.paris.fr
Pour venir au musée
En métro : ligne 9, Iéna ou Alma-Marceau
En RER : ligne C, Pont de l’Alma

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Boldini: « Les plaisirs et les jours » au Petit Palais

Boldini, le portraitiste italien est mis à l’honneur par Le Petit Palais dans cette grande exposition consacrée à l’artiste dont la dernière rétrospective en France remonte à plus de soixante ans. Pourtant, le portraitiste virtuose fut l’une des plus grandes gloires du Paris du tournant des XIXe et XXe siècles, en observateur attentif de la haute société qu’il admirait et fréquentait.
Une scénographie évocatrice et immersive accompagne un parcours riche de 150 œuvres mêlant peintures, dessins, gravures, costumes et accessoires de mode. À travers l’oeuvre de Boldini, l’exposition invite le public à revivre les plaisirs de la Belle Époque et l’effervescence d’une capitale à la pointe de la modernité.

Né en Italie à Ferrare en 1842, Boldini passe la majeure partie de sa vie dans la Ville Lumière.
Il est vite introduit dans les milieux artistiques et devient proche de Degas. Protégé du marchand Adolphe Goupil, il se fait remarquer par le choix de ses sujets qui évoquent la modernité et le bouillonnement de la vie parisienne. Boldini profite des loisirs qu’offre la capitale et sort tous les soirs au théâtre, au restaurant en emportant toujours avec lui ses crayons. Les lumières nocturnes créées par le nouvel éclairage électrique le fascinent ainsi que les mouvements incessants de cette ville qui ne s’arrête jamais. Les tableaux qu’il tire de ses croquis comme « Scène de fête au Moulin Rouge » témoignent de l’effervescence qui s’empare alors de la ville.

Portrait du comte Robert de Montesquiou 1897 Musée d’Orsay Paris

L’artiste se lie également d’amitié avec le caricaturiste Sem et le peintre Paul Helleu et tous les trois deviennent inséparables. Mais au-delà de ces scènes de genre, ce sont ses portraits qui vont lui apporter le succès. Boldini saisit d’une manière très moderne mais à contre-courant des avant-gardes tout ce que la capitale compte d’héritières, de princesses, de dandys, d’artistes et d’écrivains. Ses portraits qui vont fixer à jamais le tout-Paris de la Belle Époque sont comme les équivalents picturaux des personnages d’À la Recherche du temps perdu de Proust, l’un de ses plus grands admirateurs.

Portrait de Miss Bell-1903

Avec ces tableaux, le peintre témoigne également de son goût prononcé pour la mode. Il brosse à grands traits les plus belles tenues des couturiers Worth, Paul Poiret, Jacques Doucet et bien d’autres et développe, au fil de ces commandes, un style unique qui sera sa signature : une touche rapide, une attention à la pose du modèle, une mise en valeur de la ligne serpentine des corps. À travers les œuvres présentées, l’exposition livre un témoignage captivant et émouvant de ce Paris perdu.

Portrait de Lady Colin Campbell, née Gertrude
Elizabeth Blood, 1894

À travers l’œuvre de Boldini, l’exposition invite le public à revivre les plaisirs de la Belle Époque et l’effervescence d’une capitale à la pointe de la modernité.

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Ahmed Al-Maadheed, expostion au Legacy Store

Pour sa première exposition parisienne, Ahmed Al-Maadheed présente jusqu’au 17 janvier 2022, une série d’œuvres inédites, placée sous le signe de la rencontre entre Doha et Paris. Le parcours artistique scénographié chez Legacy rassemble une vingtaine de peintures résolument contemporaines, dans lesquelles Ahmed aborde les grandes thématiques de la culture qatarie, où se mêlent graphisme, peinture, gravure et calligraphie.
Rimal (sable) Art Exhibition célèbre la beauté de son environnement tout en nuance, à mi-chemin entre modernité et tradition. Ses coups de pinceaux dynamiques et les couleurs vives utilisées dans ses peintures reflètent l’énergie créative de sa démarche sur fond d’ouverture culturelle.

Ahmed Al-Maadheed est un artiste international reconnu pour avoir créé l’icône « Tamim the Glorious » à l’effigie de l’émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, lors de la crise du Golfe en 2017.
Devenu emblématique, le portrait phénomène imaginé par l’artiste s’est propagé avec fulgurance sur les réseaux sociaux et dans les médias du monde entier. Son œuvre inspirée du pochoir est alors visible partout dans les rues de Doha, tant sur les voitures que les murs des bâtiments, remportant un succès sans précédent auprès de l’opinion publique et des qataris qui se l’approprient au quotidien, propulsant le jeune créatif au rang de figure incontournable de la nouvelle scène artistique du Qatar.

L’aventure commence en 2009, lorsqu’il lance son agence de création à 23 ans. Il multiplie les collaborations et réalise des campagnes d’envergure sur un large éventail de projets, notamment pour les grands événements culturels et sportifs du Qatar. En parallèle, il produit des films d’animation diffusés sur les médias locaux.
Aujourd’hui, Ahmed est l’artiste figure de proue du Qatar, reconnu sur la scène internationale représentant le renouveau artistique de son pays. Son œuvre devenue virale est aujourd’hui un symbole de constance, de loyauté et de détermination. En phase avec son temps, il publie son travail sur les réseaux sociaux pour continuer à transmettre son art porteur d’un message universel et son expérience aux jeunes générations. Son impulsion créative en perpétuelle effervescence le pousse à développer des projets toujours plus surprenants, uniques et positifs.

Legacy store propose une nouvelle expérience dans l’univers de l’hôtellerie internationale. Créée en 2019 par Sébastien Chapelle & BOW Group, Legacy est une boutique avant-gardiste spécialement conçue pour les hôtels de luxe. Avant de gagner les plus grandes capitales du globe la première du genre a ouvert au cœur de l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris à deux pas des Champs-Élysées.
Ce lieu inédit invite les visiteurs à la découverte de services personnalisés et de produits exclusifs dont les créations les plus recherchées dans les univers du high tech, de l’art de vivre, de l’horlogerie, du grooming, de l’accessoire et de la joaillerie, ainsi qu’une sélection de beaux livres et un espace dédié au voyage sous toutes ses formes. À découvrir sur www.legacy.paris

Ahmed Al-Maadheed «Rimal exhibition» – Exposition ouverte au public – 08 déc. 2021 – 17 janv. 2022 – Ouvert tous les jours de 10h à 19h. Legacy store – Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris – 46 avenue George V – Paris 8

Instagram : @ahmedbinmajed
www.ahmedbinmajed.com

Instagram : @legacyconceptstore

 

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CitizenM Champs-Elysées

CitizenM ouvre un nouvel hôtel à Paris. C’est le quatrième hôtel qu’il ouvre sur Paris et cette fois c’est à deux pas, littéralement, de l’une des avenues les plus célèbres au monde : les Champs-Elysées.

Avec désormais 4 hôtels (Gare de Lyon, La Défense, Charles de Gaulle, Champs-Elysées), Paris devient la première ville du Groupe qui compte 23 établissements dans le monde. Les quatre autres ouvertures prévues cette année sont à Los Angeles, San Francisco, et Miami. CitizenM est un groupe hôtelier néerlandais et a été lancé par Rattan Chadha en 2008 dans le but de changer les codes de l’industrie hôtelière traditionnelle.

Rattan Chadha, également fondateur de la marque de mode Mexx, s’est inspiré de ses clients pour créer un hôtel pour les voyageurs modernes, leur proposant tout ce dont ils ont besoin avec des emplacements centraux dans les villes les plus passionnantes du monde, à un prix abordable. Pas juste un endroit pour dormir, mais un lieu pour travailler, se détendre et se divertir, comme à la maison. Une combinaison de Wi-Fi haut-débit gratuit, de technologie qui rend la vie facile et un grand lit pour récupérer après une longue journée. Rattan Chadha qualifie cette façon de penser comme un « luxe abordable pour tous ».

Ce nouvel hôtel CitizenM Paris Champs-Elysées se situe à un emplacement idéal, en plein centre de la capitale, pour les touristes comme pour les voyageurs d’affaires, mais aussi pour les Parisiens à la recherche d’un spot pour boire un verre sur la plus belle avenue du monde. Il comprend pas moins de 3 terrasses et un rooftop.

Pour accéder aux chambres, on passe par un salon plutôt design, colorés et avec plein de petits objets de décos tendances un peu partout. On se sent comme dans une grande coloc de quadra férus d’art contemporain. Comme dans tous les CitizenM, plusieurs œuvres d’art sont exposées dans l’ensemble de l’hôtel, et c’est bien sûr le cas dans le salon avec notamment une peinture murale commandée à Lucky Left Hand, ou encore, un spectaculaire papier peint « Golden Age » d’Ai Wei Wei.

Parmi les autres œuvres d’art remarquables du salon, citons « Tauros » de Sarah Morris, des tirages photographiques de JR (Jean René), Frank Horvat avec « Flowers » d’Andy Wahrol, ainsi que des pièces sélectionnées par Thomas Raat, Christophe Bucklow, David Salle et Jordan Wolfson, certaines faisant partie de la collection CitizenM du propriétaire, Rattan Chadha.

La volonté première est que chacun se sente comme à la maison et cela est plutôt réussi : le salon offre un espace de travail et de détente, des centaines de livres, des objets ludiques et une cuisine CanteenM, ouverte 24h/24 et 7j/7. La carte propose repas chauds, collations, boissons sans alcool, cocktails et évidemment du café.

La particularité de ce CitizenM : une terrasse située sur la cour intérieure, permettant de savourer son café Latte au soleil et au calme. Mais ce CitizenM Paris Champs-Élysées propose également 4 espaces extérieurs : la cour intérieure au rez-de-chaussée, la terrasse de CanteenM, un bar au dernier étage et un rooftop CloudM qui offre une vue remarquable sur la Tour Eiffel.

Cet hôtel compte pas moins de 151 chambres toutes identiques en taille et en service. Des capsules de détente avec des aires futuristes : lit king-size, douche aux différentes ambiances lumineuses et olfactives, grand écran TV avec streaming et compilations musicales. Le tout piloté avec une tablette MoodPad et l’application gratuite CitizenM.

Les chambres ne sont pas en reste du côté de l’art. CitizenM a sélectionné trois artistes françaises, Marie Guillard, Elvire Caillon et Melodie Bachet, en collaboration avec Starter, une agence de création parisienne, pour assurer la décoration et créer l’ambiance.

CitizenM se veut être le premier hôtel complètement digital, avec une approche totale sans contact, où tout passe par votre mobile. Durant l’été 2020, CitizenM a lancé une application mobile qui est bien plus qu’un outil de réservation de chambres. Elle permet des séjours entièrement sans contact (enregistrement, ouverture des portes, réglage de l’ambiance de la chambre, paiement des achats via le smartphone du client), et ajoute des dizaines d’avantages locaux (comme des réductions sur la location de vélos ou la nourriture), des expériences sur-mesure, des badges à collectionner et des guides de la ville.

C’est une expérience nouvelle de l’hôtellerie, très moderne et connectée. CitizenM est une expérience à vivre.

 

www.citizenm.com

citizenM Paris Champs-Élysées

128 rue de la Boétie 75008 Paris

Chambre à partir de 129€

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VERSAILLES: RENAISSANCE DU BOSQUET DE LA REINE

A Versailles, au terme d’une campagne de restauration de deux ans, le bosquet de la Reine sera dévoilé au public le 14 juin.
Il présente aujourd’hui une diversité botanique et une richesse végétale uniques au sein des jardins de Versailles.
La restauration a été rendue possible grâce à une synergie exceptionnelle d’une centaine de mécènes français et étrangers, entreprises, fondations, institutions et particuliers.

Un bosquet pour Marie-Antoinette
Le bosquet de la Reine, situé dans le prolongement du parterre de l’Orangerie, au sud des jardins de Versailles, a été créé en 1776 spécialement pour la reine Marie-Antoinette, afin qu’elle puisse se promener à l’écart des visiteurs.
À sa création, le bosquet est conçu dans le style paysager en vogue dans les jardins du XVIIIe siècle. Pour composer ce jardin de fleurs, on acclimate plusieurs essences étrangères, notamment nord-américaines introduites en France au XVIIIe siècle, comme le tulipier de Virginie ou l’arbre à neige.

Une richesse végétale retrouvée
Ce salon de verdure s’est altéré progressivement au cours des XIXe et XXe siècles. Ses allées aux frondaisons généreuses avaient laissé place à des cheminements plus structurés et la diversité botanique avait disparu au profit de haies et bordures plus uniformes. Précédée d’une recherche documentaire détaillée, la restauration, initiée en 2019, a permis de retrouver précisément les anciennes dispositions.

Près de 150 tulipiers de Virginie, plante emblématique des anciennes expéditions botaniques, ont été replantés dans la salle centrale du bosquet. 600 rosiers et plus d’un millier de plantes vivaces viennent en agrémenter le pourtour et rendent hommage à la célèbre collection de roses de Marie-Antoinette et à son goût pour les fleurs, et la rose en particulier.

Les allées offrent, quant à elles, une profusion d’arbres et d’arbustes à fleurs. Au fil de la promenade, les lisières boisées conduisent à la découverte d’une salle consacrée aux cerisiers du Japon, une autre aux arbres de Judée, la suivante aux pruniers de Virginie comme une invitation à un tour du monde botanique dans une palette végétale conforme à celle des jardins de la fin du XVIIIe siècle.

La replantation en chiffres                                                                                                                                                                                                            2 hectares de superficie
147 tulipiers de Virginie
600 rosiers
650 arbres à fleurs
6 000 arbustes à fleurs

Une synergie de mécènes
De nombreux mécènes, français et internationaux, particuliers et entreprises, se sont engagés en faveur de la restauration du bosquet de la Reine : Crédit Agricole d’Île-de-France Mécénat, la Fondation Crédit Agricole – Pays de France, Parfums Christian Dior, Veolia Environnement, Smurfit Kappa, le Département des Yvelines, the American Friends of Versailles, la Société des Amis de Versailles, the French- American Cultural Foundation, The Hyatt Foundation, the National World War I Museum and Memorial, Goldman Sachs Gives, Hugo Events et près de 120 donateurs particuliers.

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KENZO TAKADA, l’Eternité en couleurs

Il était reconnaissable pour sa silhouette d’éternel adolescent, son visage rond et ses lunettes. Avec le temps, il avait changé sa coupe de cheveux, pour un look plus posé mais dès qu’il souriait, le jeune Kenzo Takada débarqué du « Cambodge » à Marseille en provenance de Yokohama en 1965, réapparaissait.

Né le 27 février 1939 à Himeji, près d’Osaka, Kenzo se passionne pour le dessin et pour la couture, qui était enseignée à ses sœurs. Formé au Bunka Fashion College (prestigieuse école de couture à Tokyo), il réalisait le rêve de tout amoureux de la mode en s’installant à Paris. Son talent, son charme et sa gentillesse lui ouvre toutes les portes.

Il crée sa première collection en 1970 dans sa première boutique de la galerie Vivienne. Il déménage à quelques pas en 1976, dans une boutique plus grande, donnant sur la place des Victoires, et fonde sa marque sous son seul prénom. Kenzo Takada marque les esprits en changeant les codes de la mode parisienne du moment. En insufflant un vent un vent de liberté, de la fraicheur, des couleurs acidulées.

« Quand il a montré ses premières créations, il s’est trompé de saison. Comme il ne maîtrisait pas le français, il a donc présenté la mauvaise ; l’été au lieu de l’hiver ou inversement, je ne sais plus, raconte Felipe Oliveira Baptista, directeur de la création de Kenzo depuis 2019. En dehors de l’anecdote, cela montre bien ce qu’était le monde de la mode dans les années 1970. »

Kenzo-Magazine ELLE 1970

En 1983, il lance sa ligne masculine, puis son premier parfum (Kenzo Kenzo) en 1988. En 1993, la marque est rachetée par le groupe de luxe LVMH. Kenzo Takada quitte la mode en 1999, sur un dernier défilé grandiose au Zénith de Paris, auquel avaient assisté 4000 personnes.

Il se consacrait depuis à des projets plus ponctuels, et a sa passion pour l’Art. En 2009, il vend son incroyable maison japonaise du quartier de la Bastille à Paris et en même temps, il disperse la majeur partie de sa collection d’art.

Photo: Jo ZHOU

Il organise en 2019 à l’occasion de ses 80 ans la fête « Arigato Paris ! » (« merci » en japonais) au Pavillon Ledoyen. C’est une façon de remercier toutes les personnes qui ont marqué sa vie parisienne… Ses collaborateurs des années 1970, ses mannequins, les acteurs et chanteurs qu’il avait habillé, les créateurs et photographes de mode et enfin ses amis – Marpessa Henninck, Satya Oblette, Chantal Thomas, Inès de La Fressange, Cristina Cordula, Jean-Charles de Castelbajac, Arnaud Lemaire ou encore le photographe Jean-Marie Marion.

dessin@-Archives-Kenzo

Il restera pour toujours connu pour sa passion des imprimés graphiques, de la couleur et de sa vision du métissage, de l’Extrême-Orient et de la France, mais aussi de l’Afrique et du sportswear Américain.

Le créateur japonais s’est éteint à l’âge de 81 ans, dimanche 4 octobre 2020, à l’Hôpital Américain de Paris, des suites du Covid-19.

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CHANEL: Rétrospective au Palais Galliera

À la faveur de sa réouverture après des travaux d’extension, le Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris, présente la première rétrospective à Paris d’une couturière hors normes : Gabrielle Chanel (1883-1971).

H. Kollar – G.Chanel au Ritz

En effet, après une importante campagne de travaux, le Palais Galliera peut désormais présenter sur deux étages des expositions temporaires de plus grande envergure ou bien exposer sa collection permanente. Aménagées dans les caves voûtées en briques rouges et pierres de taille, sur une superficie de plus de 700 m², les nouvelles salles améliorent l’expérience de visite du public. L’offre de services est également développée grâce à la création d’une salle d’atelier pour les activités culturelles et pédagogiques au rez-de-jardin et d’une librairie au rez-de-chaussée.
La fermeture pour travaux du Palais Galliera aura enfin été l’occasion de rénover 5 000 m² de magnifiques façades et ornements architecturaux.

Photo GM – Palais Galliera

L’occasion de re découvrir le lieu en visitant la rétrospective consacrée à Chanel. Dans ces années où Paul Poiret domine la mode féminine, Gabrielle Chanel, va dès 1912, à Deauville, puis à Biarritz et Paris, révolutionner le monde de la couture, imprimer sur le corps de ses contemporaines un véritable manifeste de mode.

Avedon – Gabrielle Chanel & Suzy Parker. 1959

Chronologique, la première partie évoque ses débuts avec quelques pièces emblématiques dont la fameuse marinière en jersey de 1916; elle invite à suivre l’évolution du style de Chanel à l’allure chic : des petites robes noires et modèles sport des Années folles jusqu’aux robes sophistiquées des années 30. Une salle est consacrée au N°5 créé en 1921, quintessence de l’esprit de « Coco » Chanel.

N°5 de Chanel

En regard du parcours articulé en dix chapitres, dix portraits photographiques de Gabrielle Chanel ponctuent la scénographie et affirment combien la couturière a incarné sa marque. Puis vient la guerre, la fermeture de la maison de couture…seule subsiste à Paris au 31, rue Cambon la vente des parfums et des accessoires. Viennent ensuite Christian Dior et le New Look, ce style corseté qu’elle conteste. Gabrielle Chanel réagit avec son retour à la couture en 1954 et, à contre-courant, réaffirme son manifeste de mode.

F.Kollar – mannequin descendant l’escalier rue Cambon.

Thématique, la seconde partie de l’exposition invite à décrypter ses codes vestimentaires : tailleur en tweed gansé, escarpin bicolore, sac matelassé 2.55, couleurs noir et beige bien sûr, mais aussi rouge, blanc et or… sans oublier les bijoux fantaisie et de haute joaillerie indispensables à la silhouette de Chanel.

Robes du soir rouges PE 1955 et AH 1970-1971

Gabrielle Chanel. Manifeste de mode occupe une surface de près de 1500 m– dont les nouvelles galeries ouvertes en rez-de-jardin. Sur un parcours jalonné de plus de 350 pièces issues des collections de Galliera, du Patrimoine de la Maison, de musées internationaux – le Victoria & Albert Museum de Londres, le De Young Museum de San Francisco, le Museo de la Moda de Santiago du Chili, le MoMu d’Anvers… et de collections particulières, cette exposition est une invitation à découvrir un univers et un style intemporels.

GABRIELLE CHANEL. MANIFESTE DE MODE – Du 1er octobre 2020 au 14 mars 2021
Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris
10, Avenue Pierre-Ier-de-Serbie 75116 Paris

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Luca Giordano – Le triomphe de la peinture napolitaine

Luca Giordano (1634-1705) est exposé au Petit Palais depuis le 14 novembre, et pour la première fois en France pendant une une rétrospective consacrée à cet artiste napolitain, l’un des peintres les plus brillants du seicento. Disciple du maître espagnol Jusepe de Ribera, Giordano a participé tout au long de sa vie à la mise en lumière de la peinture napolitaine sur la scène artistique européenne. Un artiste prodige, un fils de peintre qui fut placé dès son plus jeune âge comme apprentis auprès du maître José de Ribera pour parfaire son talent précoce, celui d’un artiste infatigable, que son père avait surnommé Luca Fà-presto (Luca fait vite) et dont on dénombre à l’heure actuelle plus de 1000 peintures.

Jusepe de Ribera (lo Spagnoletto) Xàtiva 1591 – Napoli 1652) Apollo e Marsia 1637
olio su tela 182 × 232 cm Napoli, Museo e Real Bosco di Capodimonte

Lors d’un voyage à Rome en 1652, il découvre les chefs-d’œuvre de Michel-Ange, de Raphaël, des Carracci et du Caravage, en s’appliquant à les dessiner, puis, à Parme les œuvres du Corrège et de Véronèse. Il complétera par un séjour à Venise entre 1653 et 1667 où il obtient ses premières grandes commandes. Pour la Basilique San Pietro di Castello il réalise un retable la Vierge à l’Enfant avec les âmes du Purgatoire. Il travailla aussi pour l’église Santa Maria del Pianto, aujourd’hui fermée. Après avoir visité et expérimenté dans la plupart des grands centres artistiques de l’Italie, Giordano se forgea un style personnel, combinant dans une certaine mesure la pompe ornementale de Véronèse avec les grandes compositions de Pierre de Cortone. À la fin des années 1670, à Naples, il termine l’ensemble des fresques de l’abbaye du Mont-Cassin et surtout la coupole de l’église napolitaine Santa Brigida, puis les fresques dorées de San Gregorio Armeno. De nouveau à Florence au début des années 1680, il travaille à la chapelle Corsini dans l’église Santa Maria del Carmine et à la décoration de la bibliothèque et du palais Medici-Riccardi. Il fait un troisième séjour vénitien en 1672-1674.

Vers 1687, Charles II d’Espagne l’invite à Madrid, où il reste au moins pendant toute la décennie 1692-1702 pour les fresques au monastère de l’Escurial, au palais royal du Buen Retiro de Madrid et de Tolède qui conservent une partie de ses œuvres. Giordano fut populaire à la cour espagnole et le roi lui concéda le titre de caballero (en français : « chevalier »). De retour à Naples vers 1702, il continue de travailler avec la même incessante fureur créatrice, peignant notamment de 1703 jusqu’à sa mort le plafond de la salle du Trésor de la chartreuse San Martino de Naples. Les commissions toujours plus nombreuses le conduisirent à se servir d’un atelier de production, dans lequel des aides et des collaborateurs développaient « en grands » les projets et les ébauches fournies par le maître, complétaient des œuvres commencées par celui-ci, et pour lesquelles, dans beaucoup de cas, Giordano se limitait à finir, d’un coup de pinceau, le travail effectué par ses élèves. Luca Giordano est inhumé en l’église Sainte-Brigitte de Naples.

L’ambition de cette exposition est de souligner la virtuosité de cet artiste du XVIIe siècle à travers la présentation de près de 120 peintures sur toile et d’une vingtaine de ses dessins préparatoires réunis grâce aux prêts exceptionnels du musée Capodimonte à Naples, de plusieurs églises de la ville et de nombreuses institutions européennes. Après l’exposition sur le sculpteur Vincenzo Gemito, cette rétrospective constitue le second volet de la saison que le Petit Palais consacre à Naples.
Organisée selon un axe chronologique, le parcours de l’exposition souhaite apporter une vision renouvelée de l’artiste et montrer comment Luca Giordano a su tirer le meilleur des différents courants stylistiques de l’époque pour créer l’une des peintures les séduisantes de son siècle.

Du 14 novembre 2019 au 23 février 2020 – Du mardi au dimanche de 10h à 18h
Nocturne le vendredi jusqu’à 21h – Informations: www.petitpalais.paris.fr

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TRÉMOIS-RÉTROSPECTIVE: l’amoureux du trait

Pierre-Yves Trémois, né en 1921, est un artiste qui conjugue le passé au présent. Amoureux du trait, adepte de la ligne pure, sans concession au volume, à l’ombre, à la couleur, ou si peu, Trémois trace sur le papier, le parchemin, la toile, des courbes parfaites, incise le cuivre, la terre, le bronze… avec une diabolique habileté.
Une gestuelle ample et sans possibilité du moindre repentir dans ses œuvres peintes de grand format, associée à une étonnante et fabuleuse précision de la main dans ses estampes, pièces d’orfèvrerie ou céramiques, sont les fondements de son écriture, une écriture dont il ne s’est jamais départi, et qui ne trouve dans l’art moderne aucune équivalence, aucune appartenance à quelque mouvement que ce soit.

 

Dürer

Du premier coup d’œil, on reconnaît un Trémois, comme on reconnaît un Buffet, un Miró, un Bacon ou encore un Mathieu avec lequel il entretint durant des années une solide amitié et une admiration partagée.
C’est la (re)découverte de cette écriture singulière, doublée d’un profond humanisme, où l’art voisine en permanence avec la science et la philosophie, qui vous est aujourd’hui proposée dans une exposition à double visage : Réfectoire des Cordeliers, « Le fou du trait » Celui d’abord de l’éclectisme des productions d’un artiste en quête permanente de défis à relever, de techniques à peaufiner ou à révolutionner, de réponses à trouver quant aux contradictions d’une nature humaine pour laquelle il éprouve cependant une passion profonde ; un éclectisme à qui le trait donne toute sa cohérence.

Couple à l’ADN

Musée d’Histoire de la Médecine, « Les Grands Livres Illustrés » Celui aussi,exceptionnel bien que plus confidentiel, des « Grands Livres Illustrés », 26 ouvrages à tirages limités, réalisés pour certains à quatre mains avec des personnalités telles que Montherlant, Claudel, Rostand ou bien encore Fellini…, comportant de multiples burins et eaux-fortes qui jalonnent son parcours artistique depuis 1945.
– Yvan Brohard, commissaire de l’exposition –

Le Singe Savant – 1994

Réfectoire des Cordeliers: « LE FOU DU TRAIT »
Homme de son temps à l’héritage humaniste pérenne, il n’est assimilable à aucun
courant, aucun mouvement de l’art moderne. C’est dire si son écriture est unique et
possède un accent d’universalité !

Le singe et l’homme

Infatigable chercheur, ses terrains d’élection sont multiples : estampes, dessins,
peintures et monotypes, mais également sculptures, céramiques, orfèvrerie… Avec
une place particulière pour ses « Grands Livres Illustrés » : 26 ouvrages à tirages
limités comportant de multiples burins ou eaux-fortes qui jalonnent son parcours
artistique à partir de 1945. De Rostand à Fellini, de Guitry à Montherlant, de Mathieu à Jouhandeau, de Pauwels à Buffet, de Claudel à Dali…, sa vie est émaillée de rencontres dont certaines donnent naissance à de riches collaborations et à de profondes amitiés.
Si les peintures de Lascaux sont pour lui des fondements incontournables, révélant des artistes auxquels il aime, dans une profonde communion à s’associer ; s’il reconnaît dans l’art égyptien un caractère hiératique et éternel qui le trouble, Trémois trouve dans l’art japonais du portrait d’incontournables références. Pas d’ombre, de matière, de volume, de perspective, de couleur ou si peu, de repentirs… seulement des signes !
Mais si Trémois est fasciné par l’Orient, il est aussi l’héritier d’une culture occidentale, prolifique en maîtres du trait, celle des Primitifs comme Mantegna, Signorelli, Pietro della Francesca, avec une prédilection particulière pour la Renaissance et l’Humanisme; deux notions, deux réalités indissociables, essentielles elles aussi à son inspiration et à la réalisation de son œuvre. Ainsi, rend-til de vibrants hommages aux maîtres tels que Dürer « dieu des graveurs et graveur des empereurs » dans « un dieu désordonné », ouvrage dont les planches liées entre elles, forment une bande gravée de 6,60 mètres de long sur 38 cm de hauteur !

La mer

Riche de ces deux influences, l’art de Trémois est avant tout celui du trait, un trait d’une absolue pureté qui donne à son écriture sa fabuleuse singularité. Car pour Trémois, le trait, à l’image d’une signature, ne tolère ni hésitation, ni rature, ni gommage. Il est l’expression de soi !
Pour respecter la pureté de la ligne, il ne fait que peu de concessions aux couleurs, si ce n’est à un bleu profond ou à un rouge aux accents de cinabre si chers à l’Asie, traités en à-plats ; et surtout au blanc auquel il voue une véritable passion.
Même dans son œuvre sculpté, il revendique son appartenance à une « sculpture du trait, de la ligne », celle des prodigieux bas-reliefs assyriens ou égyptiens, plus qu’à une « sculpture en volume » si chère à Rodin.
Ne soyons toutefois pas dupes de l’extrême lisibilité de ses œuvres ; c’est quand elles nous paraissent les plus claires qu’elles sont les plus mystérieuses !

Grand Livre Bestiaire

L’écriture de Trémois, par essence figurative, possède en effet l’indéniable pouvoir, comme l’exprime Jean Rostand en février 1971, de « dominer la technique au point de la faire oublier » et ainsi de nous laisser entrevoir les arcanes de sa pensée. Si Trémois est le trait, il est aussi le corps, et plus encore le corps nu, dépourvu de tout artifice, dans sa beauté originelle, car il a aussi le culte du Beau ; non pas d’une beauté figée, prisonnière de simples codes esthétiques, mais d’une beauté en mouvement, transcendée par les multiples facettes de la passion.

Du 03 au 26 octobre 2019
Réfectoire des Cordeliers 15, rue de l’École de Médecine, Paris 6e
Musée d’Histoire de la Médecine 12, rue de l’École de Médecine, Paris 6e

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ArchivesLifestyleMagazine

LA BIENNALE PARIS REVIENT

LA BIENNALE PARIS, POURSUIT SON ÉVOLUTION EN PROPOSANT DES CHANGEMENTS MAJEURS AFIN DE S’INSCRIRE DANS LA TRANSFORMATION DU MARCHÉ DE L’ART INTERNATIONAL.

GALERIE NICOLAS BOURRIAUD – RODIN L’Age d’Airain – crédit photo : F.Benedetti

La Biennale Paris 2019 se tiendra au Grand Palais du 13 au 17 septembre 2019, soit cinq jours d’ouverture publique, au lieu de neuf jours précédemment.
Cette évolution, mise en œuvre à la demande des galeries internationales, présente de nombreux atouts : elle permet de renforcer la dynamique commerciale d’un salon qui s’établit dès les premiers jours, et elle facilite les participations multiples à plusieurs salons dans un calendrier international très chargé.
L’ouverture publique de La Biennale Paris le 13 septembre, soit une semaine plus tard que les éditions précédentes, permet ainsi de mettre fin aux nombreuses contraintes de tout début septembre (difficultés de préparation liées aux fermetures estivales, calendrier prématuré pour les collectionneurs). Son vernissage se tiendra le jeudi 12 septembre, précédé de son dîner de gala le mercredi 11.

 

Costermans – commode attribuée à Saunier

Un nouveau concept d’installation générale est développé pour La Biennale Paris par le leader européen des salons spécialisés : STABILO.
Très apprécié des exposants, Stabilo a proposé un nouveau principe de stands plus moderne, qui offre une plus grande interface entre le visiteur, et les objets proposés.
Ces stands ouverts sur les allées, offrent moins de contraintes techniques, et permettent à chaque exposant d’aménager plus librement son espace et son décor.
La Biennale Paris a souhaité faire évoluer son offre afin de répondre aux attentes exprimées par ses exposants en 2018. Ainsi, tout en conservant le plan initié lors de la précédente édition, La Biennale Paris est en mesure de faire une offre de prix resserrée qui inclut le décor (890€ le m2 pour un stand habillé ou 825€ le m2 pour un stand nu), et de proposer des stands de plus petites tailles, à partir de 20m2 (contre 40m2 auparavant), qui faciliteront la participation de plus d’exposants, plus diversifiés.

CAHN – Amphore figures noires – Grece, attique, vers 550-540 av. J.-C.

La Biennale Paris poursuit son innovation en accueillant la nouvelle génération de marchands et de créateurs au sein d’une nouvelle section Nouveaux Talents.
Un espace sera créé pour rassembler dix marchands et créateurs nationaux et internationaux installés depuis moins de 10 ans. Ils bénéficieront d’un stand de 10m2, décors inclus, dans des conditions financières incitatives.
Le SNA et La Biennale Paris souhaitent ainsi encourager les jeunes professionnels à y exposer pour la première fois afin de promouvoir leur activité, rencontrer les visiteurs et collectionneurs, et révéler leur travail et leurs ambitions pour le marché de demain. Les candidats seront sélectionnés par La Commission Biennale, qui décernera en septembre, un prix du meilleur Nouveau Talent.

Maison Auclert – Collier de cinq rangs de perles antiques de calcédoine bleue, fermoir en argent oxydé et diamants.

La Commission Biennale poursuit son action en 2019 en contribuant à l’élaboration de la liste des exposants. Force de propositions, elle est à nouveau placée sous l’égide de son Président, Christopher Forbes et rassemble 9 personnalités qualifiées : Prince AMYN AGA KHAN, Fondation pour la sauvegarde de Chantilly, Max BLUMBERG, collectionneur, Becca CASON THRASH, mécène, Jacques GARCIA, décorateur, Christian LANGLOIS-MEURINNE, mécène, Alain-Dominique PERRIN, président de la Fondation Cartier, Judy PRICE, présidente du National Jewelry Institute, Jean-Louis REMILLEUX, collectionneur, et Didier WIRTH, président de la Fondation des parcs et des jardins de France. Ainsi que 6 membres issus du conseil du SNA. Christopher Forbes a souhaité renouveler son mandat pour la troisième année consécutive. Cet engagement durable est la marque des personnalités la composant et qui donnent bénévolement de leur temps et démontrent leur profond attachement à l’événement.

La Biennale Paris aborde cette 31ème édition avec une nouvelle accessibilité qui s’inscrit dans une tendance de fond générale du marché, doublée d’une approche centrée sur le client. 

La Biennale Paris sera ouverte à partir du vendredi 13 septembre de 11h à 22h. Fermeture le mardi 17 septembre à 18h.

 

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ArchivesLifestyleMagazine

Shopping Culturel a la Vallée Village

RENCONTRES ARTISTIQUES A CIEL OUVERT JUSQU’AU 18 AOÛT 2019

Une envie de shopping? Direction la Vallée Village et ses boutiques qui font le plein de mode et d’événements festifs. C’est rose, ça pétille et ça explose de vie pour un été des plus frenchy. « La vie en rose » c’est une exposition à 360° sur tout ce qui rend la saison plus belle, plus fun, plus légère. Et les animations ne sont pas en reste : un bar à rosé, des dj-sets pour des soirées festives ou des installations artistiques pour un shopping culturel. Ici, on a banni l’ennui. Jusqu’au 18 août, la seule règle est de se faire plaisir, seul, à deux ou en famille!

L’art rencontre la Vallée Village et transforme ses ruelles en exposition à ciel ouvert. Avec ses huit artistes, le village accueille une série de performances arty qui rythmeront la belle saison. Sculptures géantes, création d’oeuvres d’art en live… Dans un esprit arty et festif, les découvertes seront multiples, en dévoilant parmi les plus grands artistes de la scène contemporaine :


· Le sculpteur Richard Orlinski et son célèbre ours polaire de 5 mètres de haut
· L’artiste peintre et sculptrice pop art, Laurence Jenkell, connue pour ses bonbons géants en bronze.
· L’artiste photographe Sylvie Barco qui, en live, recouvrira un mur de collages sur la vie parisienne
· Le street artiste à la renommée mondiale Jonone qui installera l’un de ses graffiti XXL.
· Le street artiste L’Atlas à l’univers hypnotique et l’un de ses travaux optiques.
· Le Diamantaire, artiste-artisan qui laisse une empreinte brillante partout où il passe.
Pour La Vallée Village, il exposera un diamant géant.
· Monsieur Chat, enfin, et sa sculpture chat au vaste sourire.
· Clement Mougel, artiste au geste expressionniste qui décrit des perspectives émotionnelles en mouvement constant.

A la Vallée Village, on navigue entre les deux tendances cool de l’été, l’esprit casual et le chic décontracté. Une allure très française qui ne cesse d’inspirer les créateurs de mode.
Mais nul besoin de se compliquer la vie pour afficher la bonne « french attitude ». Un sac en paille, des baskets flashy, une blouse en dentelle, un short et une chemise en lin : les boutiques mettent à l’honneur notre style avec un seul objectif, donner des airs de vacances au quotidien.

Le fooding se met aussi à l’heure d’été, avec des apéros à rallonge et des pique-niques en plein air. Au village, notre jardin devient un lieu de vie à part entière. La rock star de la pâtisserie française Christophe Michalak, sacré champion du monde du secteur en 2005, y installe un food truck le 1er juin avec ses pâtisseries aussi délicieuses  qu’ Instagrammables .

Et qui dit été, dit rosé ! Le restaurant Menu Palais, toujours, ouvre un bar dédié à la boisson la plus prisée de l’été. Une occasion de se détendre en prenant un verre après une intense séance de shopping!

 

 

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