close

Chanel

ArchivesHorlogerieMagazine

CHANEL – EXCEPTIONNELLE J12 X-RAY

En l’an 2000, Chanel lance la montre J12 désarçonne le monde de l’horlogerie. Dans sa robe de céramique noire, puis blanche en 2003, elle transforme ce matériau haute résistance en matière précieuse et fait rentrer, de manière définitive, le noir et le blanc dans les codes de l’horlogerie. La première icône horlogère du 21ème siècle connait un succès immédiat.


En 2020, la montre J12 a fêté ses vingt ans et ne laissera personne dire que ce n’est pas le plus bel âge de la vie. Sans renier son passé, elle s’affranchit des codes couleurs qui ont fait son triomphe. Elle passe aux rayons X.
Elle abolit le noir, transcende le blanc et surpasse la couleur en choisissant la transparence. La nouvelle montre J12 X-RAY affiche sa clarté horlogère dans un boîtier de saphir inédit laissant admirer la pureté de ses formes.
Dotée d’un nouveau mouvement conçu et assemblé par la Manufacture CHANEL – le Calibre 3.1, la J12 X-RAY mise sur la transparence. La platine, le pont de minuterie, le pont de rouage sont en saphir. Ils s’effacent pour laisser passer la lumière et révéler une dentelle brodée de rouages. Chacun de ces composants mesure entre 0,5 et 1mm d’épaisseur seulement.


L’assemblage du mouvement requiert la délicatesse, la patience et l’expertise des maitres horlogers. Une opération qui dure une semaine complète. Le cadran est en saphir aussi et serti d’index en diamant taille baguette. Douze diamants qui semblent en suspension.
Pour la première fois de l’histoire, une montre se voit également habillée d’un bracelet dont la totalité des maillons a été taillée dans du saphir brut. Une prouesse technique. Une première mondiale.


Lumineuse, la lunette est pavée de diamants taille baguette d’un total de 5,46 carats. Éclatante, la couronne est chapeautée d’un cabochon de diamant. Nobles, les aiguilles et la boucle sertie sont, comme il se doit, en or blanc.
En édition limitée de seulement 12 pièces, la montre J12 X-RAY ouvre une nouvelle ère dans l’histoire de la couleur. 

read more
ArchivesLifestyleMagazine

CHANEL: Rétrospective au Palais Galliera

À la faveur de sa réouverture après des travaux d’extension, le Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris, présente la première rétrospective à Paris d’une couturière hors normes : Gabrielle Chanel (1883-1971).

H. Kollar – G.Chanel au Ritz

En effet, après une importante campagne de travaux, le Palais Galliera peut désormais présenter sur deux étages des expositions temporaires de plus grande envergure ou bien exposer sa collection permanente. Aménagées dans les caves voûtées en briques rouges et pierres de taille, sur une superficie de plus de 700 m², les nouvelles salles améliorent l’expérience de visite du public. L’offre de services est également développée grâce à la création d’une salle d’atelier pour les activités culturelles et pédagogiques au rez-de-jardin et d’une librairie au rez-de-chaussée.
La fermeture pour travaux du Palais Galliera aura enfin été l’occasion de rénover 5 000 m² de magnifiques façades et ornements architecturaux.

Photo GM – Palais Galliera

L’occasion de re découvrir le lieu en visitant la rétrospective consacrée à Chanel. Dans ces années où Paul Poiret domine la mode féminine, Gabrielle Chanel, va dès 1912, à Deauville, puis à Biarritz et Paris, révolutionner le monde de la couture, imprimer sur le corps de ses contemporaines un véritable manifeste de mode.

Avedon – Gabrielle Chanel & Suzy Parker. 1959

Chronologique, la première partie évoque ses débuts avec quelques pièces emblématiques dont la fameuse marinière en jersey de 1916; elle invite à suivre l’évolution du style de Chanel à l’allure chic : des petites robes noires et modèles sport des Années folles jusqu’aux robes sophistiquées des années 30. Une salle est consacrée au N°5 créé en 1921, quintessence de l’esprit de « Coco » Chanel.

N°5 de Chanel

En regard du parcours articulé en dix chapitres, dix portraits photographiques de Gabrielle Chanel ponctuent la scénographie et affirment combien la couturière a incarné sa marque. Puis vient la guerre, la fermeture de la maison de couture…seule subsiste à Paris au 31, rue Cambon la vente des parfums et des accessoires. Viennent ensuite Christian Dior et le New Look, ce style corseté qu’elle conteste. Gabrielle Chanel réagit avec son retour à la couture en 1954 et, à contre-courant, réaffirme son manifeste de mode.

F.Kollar – mannequin descendant l’escalier rue Cambon.

Thématique, la seconde partie de l’exposition invite à décrypter ses codes vestimentaires : tailleur en tweed gansé, escarpin bicolore, sac matelassé 2.55, couleurs noir et beige bien sûr, mais aussi rouge, blanc et or… sans oublier les bijoux fantaisie et de haute joaillerie indispensables à la silhouette de Chanel.

Robes du soir rouges PE 1955 et AH 1970-1971

Gabrielle Chanel. Manifeste de mode occupe une surface de près de 1500 m– dont les nouvelles galeries ouvertes en rez-de-jardin. Sur un parcours jalonné de plus de 350 pièces issues des collections de Galliera, du Patrimoine de la Maison, de musées internationaux – le Victoria & Albert Museum de Londres, le De Young Museum de San Francisco, le Museo de la Moda de Santiago du Chili, le MoMu d’Anvers… et de collections particulières, cette exposition est une invitation à découvrir un univers et un style intemporels.

GABRIELLE CHANEL. MANIFESTE DE MODE – Du 1er octobre 2020 au 14 mars 2021
Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris
10, Avenue Pierre-Ier-de-Serbie 75116 Paris

read more
ArchivesEditoMagazine

Rock Stars Palace by Dom

 

From Blakemag archives, a fashion editorial styled with clothes by Smalto, Pierre Talamon, Cerruti 1881, Lucien Pellat-Finet, Maison Fabre, Lanvin, Zilli, Jitrois, Burberry, Dunhill & Montblanc and Chanel watches.

 

read more
ArchivesHorlogerieMagazine

CHANEL: LA MONTRE J12 A 20 ANS

Chanel et la J12, c’est vingt ans d’audace et vingt ans de succès.
Vingt ans d’un incomparable périple horloger.
Dès sa naissance, la J12 transforme la céramique en matière précieuse et réécrit deux cents ans d’histoire pour redéfinir les normes de l’horlogerie féminine.
Jacques Helleu, le directeur artistique de CHANEL à l’époque, imagine la pièce de ses désirs. Il la veut belle, différente. Il ne dessine pas une montre mais crée une légende.
A peine née, la J12 est sacrée première icône horlogère du 21ème siècle. Depuis ses débuts, la J12 puise son inspiration dans cet irrépressible désir de bousculer les codes en conjuguant singularité artistique et haute technicité, impertinence et inventivité.
La J12 capte l’air du temps comme aucune autre. Elle désire l’innovation, la suscite, la sublime.
Le secret de son infinie créativité est là, dans cet acte initial, dans ces allers-retours perpétuels, dans cette science innée du mouvement.
La mode et l’horlogerie.
L’allure et la modernité.
Le beau et le compliqué.

D’abord noire en 2000, elle surprend trois ans plus tard dans sa robe de céramique blanche de 38 mm ou 33 mm de diamètre. Plus qu’une nouveauté, un choc stylistique, un séisme horloger.
Le succès est immédiat. Dans la foulée, la J12 entame sa mue et décline ses mille personnalités en ouvrant la palette des complications horlogères qu’elle avait inaugurée en 2002 avec une première version chronographe aux lignes subtilement tendues.
En 2005 un tourbillon vient équiper la J12. La surprise est de taille. La J12 aime l’horlogerie, en doutiez-vous ? Cette même année, elle découvre les mystères de l’ultra-légèreté : imaginée en aluminium comme les châssis des voitures de course, la J12 Superleggera se pique de performance.

En 2007, elle part en voyage avec le lancement de la J12 GMT permettant d’afficher un second fuseau-horaire et s’associe à Audemars Piguet, l’année suivante pour développer un calibre haut de gamme (AP 3125) dont CHANEL redessine le pont de balancier et le rotor en or coiffé de céramique noire.
Nouvelle étape sur les chemins de la Haute Horlogerie en 2009 avec la présentation de la J12 Noir Intense. Cette année-là, les ateliers suisses CHANEL à La Chaux-de-Fonds, métamorphosent un bloc de céramique pure en 724 baguettes de lumière noire qui, serties, lui confèrent une allure folle, insensée, absolue. Une première mondiale, encore. Aucune autre Manufacture horlogère n’avait jamais serti la céramique ainsi. Editée en série limitée de cinq exemplaires, la J12 Noir Intense est motorisée par le calibre 3125 développé en association avec Audemars Piguet dont la noblesse stylistique ne fait pas secret. Belle et complexe, toujours.

En 2010, la J12 se pique de nautisme. Étanche à 300 mètres et dotée d’un bracelet en caoutchouc, la J12 Marine est une vraie plongeuse, parfaite icône du sport-chic. L’année 2010 marque un autre tournant magistral, pour ces 10 ans la J12 va aller plus loin, repousser les frontières, redéfinir l’indicible, pour poursuivre ce rêve éveillé.
Ainsi naît la J12 Rétrograde Mystérieuse dont la conception totalement novatrice est confiée aux maîtres horlogers de l’équipe experte de Giulio Papi (APRP SA), l’un des ateliers indépendants de Haute Horlogerie les plus respectés du monde. Cette pièce en céramique haute résistance noire ou blanche et or blanc, unique en tous sens, se définit comme un concentré d’innovations, de complications et de premières mondiales : tourbillon, lecture des minutes digitale, aiguille des minutes rétrograde, réserve de marche de 10 jours et couronne verticale rétractable. Personne n’attendait CHANEL à ce niveau de créativité horlogère. L’exigence d’innover, encore.

Le noir et le blanc, deux couleurs chères à Gabrielle Chanel, sont depuis le début les deux piliers de la J12. En 2011, elle se toque de céramique de titane, plus vivante que l’or, plus intense que le platine. Née de l’utilisation de ce matériau inédit qui transforme la lumière en éclats versatiles, la couleur Chromatic la propulse dans une autre dimension. La J12 Chromatic se rêve comme une « montre-reflet », le miroir d’un temps changeant que seul CHANEL sait capturer.
En 2013, la J12 regarde plus haut, vers les étoiles. Elle veut s’offrir la Lune.
La Manufacture CHANEL en Suisse la décroche pour elle. On ne peut vraiment rien lui refuser. Voici la J12 Moonphase avec son mécanisme permettant l’affichage des différentes phases de lune sur un disque en aventurine d’un bleu profond et pailleté comme une nuit d’été. Féminine, élégante, différente.
L’année suivante, la J12 veut danser, voler, rêver. Un tourbillon volant en forme de comète ?
Oui, mais totalement habillé de diamants. A l’unisson, la montre se couvre aussi de diamants, bracelet compris, comme dans un songe. Cette J12 est une pure folie. Son mouvement est conçu en exclusivité par Renaud et Papi (APRP SA).
Bis repetita en 2015 avec une J12 Tourbillon Volant Squelette, imaginée une nouvelle fois par les experts du studio Renaud et Papi (APRP SA). La J12 veut tout montrer. Son corps, son esprit, son âme. Elle n’a jamais rien eu à cacher.

En 2014, avec la montre J12-G10, CHANEL s’offre le luxe d’un détournement précieux en adaptant le bracelet NATO, incontournable de l’univers militaire, à l’horlogerie féminine.
Tel un code secret, la J12-G10 choisit ainsi une nouvelle identité en empruntant son nom au formulaire de commande de ce bracelet militaire légendaire. Inattendu, un cuir d’alligator à grandes écailles remplace le nylon d’origine. Précieuses, les boucles se voient serties de diamants de taille brillant ou baguette. D’une résolue modernité, ce bracelet brouille les pistes, se féminise sans perdre ses qualités de solidité et de confort et propose une allure définitivement luxueuse.
Aller là où on ne l’attend pas. Y aller, ou pas. Être la première, toujours.

Revenir aux sources, aussi. La J12 connaît les règles, c’est elle qui les édicte. En 2016, elle se veut discrète pour se lover sans bruit autour d’un poignet et se dévoile dans une version miniature de 19 mm de diamètre. C’est la J12?XS.
Imaginée par Arnaud Chastaingt, désormais aux commandes du Studio de Création Horlogerie de CHANEL, elle s’habille d’un bracelet classique en céramique ou d’une manchette. Elle fait la belle. Une autre J12 ? Oui, enfin non. Toujours la J12. Contemporaine, délicate, intemporelle, son cadran s’invite tantôt sur une bague, dans le pli d’un gant, sur une manchette, un bracelet de force grand format, elle se pare de diamants ou de broderies Lesage comme si elle réinventait la mode qu’elle a toujours aimée. XSsivement féminine, surprenante, paradoxale, sophistiquée, contradictoire, forte, inattendue, assumée, puissante, précieuse, déterminée, excessivement excessive !
En 2017, une silhouette en chapeau, escarpins et tailleur gansé agite ses bras sur son cadran pour donner l’heure. La J12 met en scène Mademoiselle Chanel, espiègle, impertinente, joyeuse. En 2018, CHANEL présente un coffret composé de 12 montres uniques en marqueterie de céramique, 12 compositions abstraites, formant un polyptyque, issu d’un motif graphique réalisé par le Studio de Création Horlogerie de CHANEL. La J12 Untitled est de son temps, comme jamais. Comme toujours.


Année 2019. Arnaud Chastaingt, Directeur du Studio de Création Horlogerie de CHANEL, offre à la J12 une cure de jouvence sans toucher l’identité qui a fait son mythe et son succès. A l’orée de ses 20 ans, la J12 veut grandir sans perdre son audace.
Elle s’offre un bain de jouvence sans griffer l’identité qui a fait ses succès.
Pour augmenter l’ouverture du cadran, sa lunette est affinée, le nombre de ses gouges augmenté, la typographie de ses chiffres redessinée, la largeur de sa couronne réduite et l’épaisseur de son boîtier délicatement augmentée.
La silhouette de la J12 se métamorphose. Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre.
Son profil est adouci, sa silhouette plus tendue. C’est la nouvelle J12, finement repensée par Arnaud Chastaingt. Sa robe change. Son coeur aussi. Elle possède désormais un boîtier monobloc en céramique, serti d’une glace saphir permettant d’admirer le nouveau calibre 12.1, mouvement conçu et développé exclusivement pour CHANEL par KENISSI, Manufacture suisse de mouvements haute performance dans laquelle elle a pris une participation. La Maison CHANEL est récompensée cette même année pour la montre J12 calibre 12.1, lors de la cérémonie du Grand Prix d’Horlogerie de Genève (GPHG), dans la catégorie « Dames ».
La J12 a 20 ans. Et elle ne les fait toujours pas. La nouvelle J12 est d’un classicisme moderne. Lunette, cadran, aiguilles, la J12 se pare de noir intense, couleur de prédilection de Mademoiselle Chanel. C’est l’Édition Noire, d’une profondeur absolue.

La voici en 2020, déjà. Dans un effet de manches dont elle a le secret, la J12 Paradoxe crée une nouvelle démarcation en alliant la lumière au mystère, le jour à la nuit. Son esthétique, unique, est un véritable défi technique qui repose sur la découpe et l’association de deux parties de carrures de céramique de dimensions différentes ; l’une de couleur blanche, l’autre de couleur noire, assemblées pour ne former qu’un seul et même boîtier.
Toujours en 2020, elle va encore plus loin. Sans renier son passé, elle s’affranchit des codes couleurs qui ont fait son triomphe. Elle abolit le noir, transcende le blanc et surpasse la couleur en choisissant la transparence. La nouvelle montre J12 X-RAY affiche sa clarté horlogère dans un boîtier de saphir inédit laissant admirer la pureté de ses formes.
Dotée d’un nouveau mouvement conçu et assemblé par la Manufacture CHANEL – le Calibre 3.1, la J12 X-RAY mise sur la transparence. La platine, le pont de minuterie, le pont de rouage sont en saphir. Ils s’effacent pour laisser passer la lumière et révéler une dentelle brodée de rouages. L’assemblage du mouvement requiert la délicatesse, la patience et l’expertise des maîtres horlogers. Une opération qui dure une semaine complète. Le cadran est en saphir aussi et serti d’index en diamants taille baguette. Douze diamants qui semblent en suspension. Pour la première fois de l’histoire, une montre se voit également habillée d’un bracelet dont la totalité des maillons a été taillée dans du saphir brut. En édition limitée de seulement 12 pièces, la montre J12 X-RAY ouvre une nouvelle ère dans l’histoire de la couleur.


Pour son 20ème anniversaire, la J12 a envie de jouer. Elle s’empare ainsi de vingt symboles et références de la Maison CHANEL : un sac 2.55, un camélia, un flacon de parfum N°5 ou encore une veste en tweed.
Elle devient la J12.20. Ponctués de 12 diamants, ces motif polis et rhodiés s’invitent sur sa lunette et son cadran. L’irrévérence sublimée pour signer son inaliénable liberté pour cette édition limitée à 2020 exemplaires et déclinée en une version Haute Horlogerie en émail, numérotée et limitée à 5 pièces.

read more
ArchivesJoaillerieMagazine

Saint Valentin brillante de mille feux

Saint Valentin et joaillerie ont toujours fait très bon ménage, alors pourquoi vouloir changer une équipe qui gagne? Découvrez la sélection coup de cœur de la rédaction et dîtes-vous qu’il vous reste encore trois jours pour trouver votre cadeau!

Nous commençons par la maison Chopard et le thème du cœur, Saint Valentin oblige, avec une bague en or blanc 18 carats ornée d’un rubis « sang de pigeon » de 5 carats taillé en forme de cœur et épaulé par deux diamants taillés également en forme de cœur.

Maintenant une bague en or blanc ornée d’un extraordinaire diamant taille Marquise pesant 14,3 carats de couleur D-Internally Flawless type IIA.

 

Continuons toujours chez Chopard, par cette paire de boucles d’oreilles en titane serties de deux émeraudes taille octogonale de 25,6 et 25,2 carats, de deux émeraudes taille émeraude de 6,4 et 6,3 carats et d’émeraudes taille brillant toutes provenant de Colombie.

 

 

Chez David Morris, pour la Saint Valentin, découvrez le collier Chrysalis. Une symphonie de plus de 73 carats de diamants blancs et roses montés sur or blanc 18 carats.

Pour rester dans la même gamme de couleurs, cette broche « Rose » sertie d’un diamant central taille coussin pesant un peu plus de 5 carats entouré de diamants blancs et roses, toujours sur une monture en or blanc 18 carats.

Dans un registre différent mais tout aussi féerique, la maison David Morris vous propose Phenix, une paire de boucles d’oreilles sertie, sur or blanc, de presque 25 carats de tourmalines brésilienne Paraïba et de 31,60 carats de diamants.

Chez Chanel, la joaillerie rejoint totalement l’ADN de la maison de couture en réinventant le motif Tweed sur une base d’or blanc serti de diamants et d’onyx. Une prouesse technique incroyable de souplesse et de légèreté.

Un motif monochrome pour ce bracelet « Franges » reprenant l’idée d’un motif de Tweed détricoté en or blanc 18 carats serti de diamants.

Enfin, Chanel propose cette bague Tweed Contraste qui reprend le code cher à la Couture: le motif Tweed, les chaînettes, les perles, l’or jaune, le noir, les diamants… Une bague de Saint Valentin?

Chez Poiray, il y a bien évidemment la ligne « Coeurs entrelacés » dont voici le pendentif grand modèle en or rose.

Nous avons également sélectionné la collection « Flowers » dont voici une paire de boucles d’oreilles en or blanc 18 carats serties de diamants et saphirs jaunes en pierre de centre.

Nous avons aussi sélectionné la bague Indari, toujours chez Poiray, qui propose un quartz rose monté sur or rose. Du rose pour la Saint Valentin, cela semble parfait, non?

La panthère est peut-être l’emblème le plus connu de Cartier. Nous avons découvert cette bague en or blanc 18 carats sertie d’un saphir taille coussin. Le corps de l’animal est pavé de diamants taille brillant et de cabochons d’onyx. Ses yeux sont sertis d’émeraudes.

et voici un bracelet, lui aussi au motif Panthère, présentant sur or blanc 18 carats, deux têtes de panthères serties de diamants, d’onyx et d’émeraudes.

 

Chez FRED, nous sommes tombés amoureux du collier « Pain de Sucre » qui propose une monture en or rose 18 carats sertie de diamants et d’un ensemble de tourmalines roses taillées en pain de sucre.

Tout comme le serpent séduisit Eve, laissez-vous tenter par cette bague de chez Bulgari, modèle Serpenti Scaglie, articulée en or rose 18 carats sertie de 2,50 carats de diamants et d’une rubellite.

Idéal pour créer un lien, ce bracelet maille gourmette XL de chez Pomellato en or jaune 18 carats pavé de saphirs bleus et violets, spinelles roses, et rubis.

Une bague encore de chez Sarah Jane Wilde, en or jaune 18 carats ornée d’un incroyable spodumène ovale facetté sur une monture à motif flammé.

Encore des bagues mais cette fois de chez Tiffany&Co. L’inventeur de la monture 6 griffes pour solitaire nous propose une variante moderne et originale: le 4 griffes sur diamant carré. Deux exemples vous sont ici proposés: diamant jaune sur or jaune et diamant blanc sur or blanc ou platine.

Enfin, pour finir notre sélection joaillerie, deux pièces exceptionnelles de Buccellati. Un bracelet manchette conçu pour la collection « Opera High Jewellery » qui reprend les caractéristiques traditionnelles chères au savoir faire de la maison, comme la gravure en « rigato » et la douce alternance de motifs décoratifs avec des petits chatons en or blanc et diamants. 176 diamants ronds (2,33 carats) et 7 rubis ovales à facettes pour 2,84 carats.

et enfin la bague « Ventaglio » issue de la collection « Romanza » en or blanc avec des lignes bombées et sinueuses. Le diamant central de 1,54 carats est accompagné, de chaque côté, par une décoration en forme d’éventail composée de 40 diamants (0,72 carats) disposés en dégradé.

 

read more
ArchivesEditoMagazine

Sous les pavés, la plage

Photographer: Gabriella Lecomte

Models: David & Yoan – www.blakemen.com

Style: Hervé Godard

 

 

polos REEF, jeans DIESEL, pants Uniqlo, boxer brief UNDIZ, sneakers CONVERSE

polo DIESEL, vintage short ENERGIE, sneakers FEIYUE – total look MUGLER, sneakers CONVERSE, sunglasses AZZARO vintage.

tank top CALVIN KLEIN, boardshort QUICKSILVER, flip flop HAVAIANAS, surf CHANEL
tee shirt ABERCROMBIE&FITCH, boxer short LUCIEN PELLAT FINET, bag FREITAG, flip flop HAVAIANAS – tee shirt AMERICAN EAGLE OUTFITTERS, boarder short QUICKSILVER, baseball cap ABERCROMBIE&FITCH, flip flop REEF
polo ving equipment ABERCROMBIE&FITCH, watch DIESEL, diving equipment TRIBORD
tank top CALVIN KLEIN, short & pull GANT
tank top CALVIN KLEIN, board short vintage ENERGIE, necklace CORPUS CHRISTI, surf CHANEL

 

 

 

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Legacy Store, la nouvelle adresse trendy.

Legacy Store, une nouvelle expérience au cœur de l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris.

Le 19 juin 2019, Sébastien Chapelle et BOW Group lancent Legacy Store, une boutique spécialement conçue pour l’hôtellerie de luxe. La première du genre ouvre ses portes au coeur de l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris, situé au 46 avenue George V, à deux pas des Champs-Élysées.


Après avoir dirigé le pôle horlogerie et high tech chez colette durant 14 ans puis fondé ‘nous’ en 2018, Sébastien Chapelle imagine un store nouvelle génération dans un écrin prestigieux. « J’ai toujours rêvé de créer une expérience unique pour les visiteurs du monde entier, leur permettant de découvrir des créations exclusives dans des lieux mythiques ». Un concept inédit qui a tout de suite séduit la direction
de l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris à l’identité culturelle forte, soucieux de proposer une expérience personnalisée et authentique. La boutique s’étend dans les alcôves du rez-de-chaussée plongées dans l’ambiance boudoir imaginée par le célèbre décorateur Jacques Garcia. Soucieux de conserver cette architecture, le design d’intérieur conçu avec Atelier HA se réapproprie l’espace en recréant un parcours
inédit, inscrit dans la continuité du bar Marta, comme le trait d’union entre les labels les plus pointus et l’univers de l’hôtel. Rideaux moirés, murs parsemés d’objets insolites et moquette pourpre donnent le ton de cet espace confidentiel dédié au luxe contemporain.


Legacy donne ainsi l’opportunité aux talents de demain de rencontrer de nouvelles communautés et aux visiteurs de la boutique de redécouvrir l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris récemment rénové, à travers les différents événements et lancements organisés pour soutenir la création d’aujourd’hui.

L’originalité de Legacy Store repose sur une philosophie innovante. Ici, chaque visiteur bénéficie de conseils sur mesure et d’une sélection de produits exclusifs que la boutique parisienne sera la seule à promouvoir. Les clients de l’hôtel pourront bénéficier d’un service en chambre dédié, d’une assistance personnalisée et d’une sélection ‘grooming’ spécifique. Chacun trouvera chez Legacy, les créations les plus recherchées dans les univers du high tech, de l’art de vivre, de l’horlogerie, de l’accessoire et de la joaillerie, avec des éditions limitées et des collaborations exclusives, ainsi qu’une sélection de beaux livres et un espace dédié au voyage sous toutes ses formes.

Fin des Temps

Parmi les marques proposées, on retrouve les produits high tech de Leica, B&O, Devialet, Lexon ou OnePlus… Le pôle horlogerie accueille les éditions hors du commun de Fin des Temps, la collection
vintage revisitée de Seconde Seconde, les montres exclusives de Ikepod, Corum, Casio G-Shock, Unimatic ou « la colonne du temps » de Jorg Hysek et les solaires de EyeVan, Lunetterie Générale, Ahlem ou Retrosuperfuture.

Chronopod by Ikepod

Pour la joaillerie, Legacy Store propose les pièces de Eyefunny, Lola Fenhirst, Atelier Makarios ou Shamballa Jewels.

The Crown Collection

Coté art de vivre, les dernières créations de Montblanc, Ligne Blanche, Label Bougie, les
ouvrages de Rizzoli et Taschen, Medicom et le grooming de Dyson ou Braun,  ou encore les éditions numérotées des sculptures Babolex qui investissent les lieux dès cet été. Déjà très convoitées par les amateurs d’art du monde entier, les oeuvres Babolex sont entièrement réalisées à la main et façonnées avec une finition chromée en véritable argent dont les reflets rappellent la signature de Jeff Koons. Pouvant mesurer jusqu’à 3 mètres de hauteur, les sculptures inspirées du célèbre Babar, projettent l’icône de notre enfance à l’âge de maturité sous l’impulsion de son créateur Vincent Faudemer et représentent l’opposition entre la réussite adulte poussée à l’extrême et la pureté, apparemment naïve, de l’éléphant emblème d’une génération.

Babolex

Ainsi réinterprété en version luxe, Babolex s’approprie les icônes de la mode à travers des déclinaisons
symboliques telles que Suprême, Gucci, Chanel pour n’en citer que certains. Désormais disponibles en
séries limitées et numérotées chez Legacy Store, les éléphants Babolex sont édités en 8 exemplaires et délivrés avec un certificat d’authenticité.

 

read more
ArchivesHorlogerieMagazine

Chanel présente la nouvelle J12

À l’orée de ses 20 ans, la montre J12 de Chanel se transforme, se métamorphose. Sans se dénaturer. Naturellement. Ce n’est pas une nouvelle montre J12, c’est La J12. Celle d’aujourd’hui et de demain. Celle d’hier aussi. Une icône ne change pas, elle s’adapte au temps qui passe, le capture, le sculpte, le sublime, le comprend. La montre J12 change tout, sans rien changer.

Quand Jacques Helleu, directeur artistique de la Maison, décide de créer une montre, il la dessine pour lui. Il trace ses premiers coups de crayons en l’imaginant intemporelle, sportive, toute noire. Il s’inspire de deux univers qu’il aime plus que tout, l’automobile et la voile. Il adore les lignes élancées des voitures de course et, surtout, la noblesse des silhouettes des voiliers de l’America’s Cup. On les appelle J12. La montre s’appellera ainsi.
En l’an 2000, la J12 révolutionne le monde de l’horlogerie. Dans sa robe de céramique noire, elle est sacrée première icône horlogère du 21ème siècle. D’abord noire en 2000, puis blanche en 2003, elle est inaltérable, presque aussi éternelle qu’un diamant. 

Vingt ans après sa création, Arnaud Chastaingt, Directeur du Studio de Création de l’Horlogerie de CHANEL, offre à la J12 une cure de jouvence sans toucher l’identité qui a fait son mythe et son succès. Pour augmenter l’ouverture du cadran, la lunette a ainsi été affinée, le nombre de ses gouges augmenté, passant de 30 à 40. La typographie de ses chiffres et index redessinée. Dans le même esprit, la largeur de la couronne a été réduite d’un tiers et son cabochon de céramique la coiffant légèrement aplani. Des indicateurs au niveau des heures ont été ajoutés au chemin de fer intérieur qui a, lui aussi, été redessiné. Pour ancrer totalement la J12 dans les codes de la Maison, les mentions AUTOMATIC et SWISS MADE sont désormais estampées en typographie CHANEL, le SWISS MADE étant intégré sur le rehaut.

La typographie originale des chiffres a également été repensée par le Studio de Création
pour l’optimiser et l’affiner. Appliqués sur le cadran, ils sont désormais en céramique.
Les aiguilles, elles aussi, ont été revues et corrigées. Heures et minutes ont désormais des
largeurs équivalentes avec un ajustement dimensionnel des zones luminescentes en
Super-LumiNova de couleur noire sur la J12 noire, ce qui en fait l’exact négatif de la J12 blanche.
L’épaisseur de la boîte a été délicatement augmentée mais la silhouette de la J12 demeure fluide. Grâce à un profil adouci, un peu arrondi, le boîtier ne paraît pas plus épais qu’auparavant. Le bassinage du fond et le dessin du nouveau bracelet, ré-architecturé subtilement avec des maillons rallongés, accentuent cette illusion d’optique et de finesse. Aussi bien masculine que féminine.


La nouvelle J12 possède désormais un boîtier monobloc en céramique, serti d’une glace saphir permettant d’admirer le nouveau calibre 12.1, mouvement automatique conçu et développé exclusivement pour CHANEL par la nouvelle Manufacture Suisse KENISSI.
Réalisée en tungstène pour permettre son ajourage tout en conservant un pouvoir de remontage efficace, la masse oscillante a été pensée par le Studio de Création CHANEL qui souhaitait un cercle parfait, l’une des signatures graphiques de la Haute Horlogerie CHANEL. Le calibre 12.1, certifié chronomètre par le COSC (Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres), offre une réserve de marche d’environ 70 heures.

Parce que la J12 ne peut être qu’elle-même, elle devait évoluer. Sans changer.
La montre J12 de Chanel reste La J12

 

read more
ArchivesBlogMagazine

Karl Lagerfeld 1933 – 2019

Commencer un article sur un homme que l’on admire est difficile, voir  compliqué. Trouver un titre accrocheur sur un homme qui a utilisé à son compte le plus large éventail des ressorts du marketing l’est encore plus alors autant jouer la simplicité.

Karl Lagerfeld, de son vrai nom, Karl Otto Lagerfeldt, né le 10 septembre 1933 à Hambourg en Allemagne et mort le 19 février 2019 à Neuilly-sur-Seine -France, fût certainement l’un des plus grand couturier du 20eme siècle. Touche à tout de génie, il fut également photographe, mais aussi réalisateur et éditeur.

Il fut directeur artistique de la maison italienne Fendi à Rome à partir de 1965, de la maison de couture Chanel à Paris à partir de 1983, et de sa propre ligne à partir de 1984.

Sa vocation de couturier remonte précisément au 13 décembre 1949 lorsqu’il accompagne sa mère à son premier défilé de mode, celui de Christian Dior. Dès lors, ce jeune passionné de dessin, se met à dessiner des modèles.

En 1952, Karl et sa mère quittent l’Allemagne et s’installent à Paris, alors LA capitale de la mode. Il est d’abord élève dans une école privée, puis au lycée Montaigne.

Après avoir travaillé en tant qu’illustrateur de mode, il s’installe en 1954 au 7 quai Voltaire dans un hôtel particulier. Le 25 novembre de la même année, il remporte le premier prix du concours du « Secrétariat international de la laine », organisé par la marque Woolmark, ex-æquo avec Yves Saint-Laurent. Le couturier Pierre Balmain, qui fait partie du jury, le remarque et le recrute comme assistant de 1955 à 1962. C’est le début pour lui d’une brillante carrière professionnelle.

La rivalité entre Yves Saint Laurent et Karl Lagerfeld date de cette époque : Yves Saint Laurent évoluant en Haute Couture, Karl Lagerfeld choisissant le prêt à porter.

De Jean Patou à Fendi

En 1959, Karl Lagerfeld est nommé directeur artistique chez le couturier Jean Patou. Peu de temps après, il choisit de mener une carrière de styliste indépendant contractuel et de créer des collections de mode, successivement pour la France, l’Italie, l’Allemagne et le Japon. En 1963, il innove en dirigeant le prêt-à-porter et en créant les accessoires de la marque de mode Chloé, et cela durant vingt années, jusqu’en 1983.

Depuis 1965, il travaille également pour la maison italienne Fendi à Rome, dont il crée le logo.

De Chanel à H&M en passant par le gilet jaune

En 1983, Lagerfeld est nommé directeur artistique pour l’ensemble des « collections Haute couture, prêt-à-porter et accessoires » de la maison Chanel qui à l’époque frôle la fermeture, et dont il doit relancer l’activité pour éviter sa disparition.

«Mon travail ce n’est pas de faire survivre le tailleur Chanel, mais de le garder vivant.» dit-il.

Pour réveiller cette « Belle au bois dormant », il choisit le mannequin Inès de La Fressange pour représenter l’image de Chanel. Elle est le premier mannequin à signer un contrat d’exclusivité avec une maison de haute couture et la première à devenir autant médiatisée dans l’histoire de la mode. L’inspiration de Lagerfeld est basée sur l’esthétisme et l’histoire de Coco Chanel. Il ne se contente pas de faire du Chanel, il réinvente le style Chanel selon ses idées : «La personnalité commence où finit la comparaison.»

N’étant pas intéressé au chiffre d’affaires, ne mettant jamais son « nez dans les comptes », il est soutenu par Alain Wertheimer propriétaire avec son frère de la maison de couture et dispose d’« une liberté totale » selon ses dires.

Connu pour sa liberté de pensée et de ton, il sait imposer ses choix, parfois avec un franc parler qui lui est propre. Souvent acerbe, toujours spirituel, ses petites phrases, les « Karlismes » comme il les appelait, claquaient comme un coup de cravache : «La méchanceté est excusable si elle est spirituelle. Si elle est gratuite, elle est impardonnable.»

En 1989, Inès de la fressange laisse la place à une jeune inconnue allemande, Claudia Schiffer que Karl Lagerfeld propulsera au firmament des top modèles de l’époque.

En 1986, il avait choisit l’actrice Carole Bouquet comme égérie du parfum N°5 qui le restera jusqu’en 1996, et la chanteuse et actrice Vanessa Paradis pour incarner Coco. Chanel sous son impulsion habille les jeunes actrices du cinéma français mais aussi les stars de la scène internationale. Il créera ainsi des tenues pour Madonna et Kylie Minogue et Nicole Kidman incarnera le parfum N°5 dans un clip mis en scène par Baz Luhrmann en 2004.

En 2004 également, le couturier créé la polémique en lançant une « collection capsule » de prêt-à-porter de trente vêtements pour H&M. Dans certaines boutiques, la collection est vendue en quelques minutes. Irrité par le manque de qualité des matières et des finitions, et par le peu de vêtements mis en vente dans les magasins de la chaîne, et devant la déception des clients, Lagerfeld déclare : « Je trouve pénible que H&M ait contrarié tant de gens. C’est du snobisme de faire de l’antisnobisme. »

Son irrévérence et son sens de l’humour lui permettent de toujours prendre du recul par rapport au milieu aseptisé de la mode. Se prendre au sérieux oui, mais pas trop. «Les stylistes qui se prennent la tête, je trouve ça assommant, ridicule ; faire des robes, c’est important, mais ce ne sont que des robes. On n’est pas Kierkegaard quand même !»

En 2007, deux ans après avoir revendu toutes ses marques (la Lagerfeld Gallery, une collection sous licence pour hommes et femmes et des accessoires, la boutique parisienne de la Rive Gauche et la boutique de Monaco) à Tommy Hilfiger pour 30 millions de dollars, Karl Lagerfeld lance une nouvelle ligne, K par Karl.  C’est à cette période qu’il est rejoint chez Chanel par Amanda Harlech, l’ancienne consultante de John Galliano.

En 2008, il surprend tout le monde en acceptant d’être l’égérie d’une campagne de prévention pour la sécurité routière où il arbore un gilet jaune sous le slogan : « C’est jaune, c’est moche, ça ne va avec rien, mais ça peut vous sauver la vie »

Les défilés de la maison Chanel ont toujours crées la surprise tant par leur mise en scène innovante et souvent grandiose que par l’originalité et la technicité des matières. On gardera en mémoire la reconstitution du 1er étage de la Tour Eiffel sous la nef du Grand Palais, le supermarché Chanel, la villa et ses jardins, la fusée ou la magnifique plage de sable fin.

En 2013, il réalise le court-métrage « Once Upon a Time » à la Cité du Cinéma de Luc Besson à Saint-Denis avec Keira Knightley dans le rôle de Coco Chanel et Clotilde Hesme dans celui de sa tante Adrienne Chanel.

Infatigable, toujours en avance de 2 coups comme un joueur d’échecs, ses multiples activités reposaient sur une large équipe de stylistes qui l’assistaient tant chez Fendi, chez Chanel ou pour sa propre marque. Il disait avoir un contrat « à vie » avec la maison Chanel, qui n’a jamais démenti…

«Je suis devenu comme le crocodile de Lacoste. Il va bientôt falloir me coudre sur les vêtements.»

Illustration Agnès Solange pour Blakemag

 

read more
ArchivesBlogHorlogerie

Joaillerie du Désir

Montre Guy Ellia

Photographe Dominique AMPHONESINH

From Blakemag.com Archives – Shot by our friend, the late « Dom » for Blake 13.

 

Collier Coeurs en cascade Fred Joaillerie
Broche Comète Chanel Joaillerie
Bracelet Tigre Cartier
Broche Pliure GWA Joaillerie
Pendentif Attrapes moi si tu m’aimes Chaumet
Bague en pendentif Dior Joaillerie
Montre Guy Ellia
Collier Zip VanCleef&Arpels

 

 

 

read more
1 2 3 4
Page 2 of 4