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TIFFANY & CO. PRÉSENTE LA PREMIERE BAGUE DE FIANÇAILLES POUR HOMME

Tiffany & Co. présente cette année le lancement de la Charles Tiffany Setting, la première bague de fiançailles pour homme, ornée d’un solitaire à la personnalité affirmée. Charles Lewis Tiffany lui donne son nom, lui qui, en 1886, a ébloui les amoureux du monde entier avec le lancement de la bague de fiançailles au diamant solitaire, la Tiffany® Setting. Dans les pas de son illustre ainée, cette nouvelle création rend hommage à l’héritage d’amour et d’inclusion longuement établi du joailler, jetant les bases de nouvelles traditions pour célébrer nos histoires d’amour uniques et singulières, et honorer nos engagements les plus chers l’un envers l’autre.


Le design de la première bague de fiançailles à diamant pour homme exprime une échappée moderne et audacieuse de l’alliance traditionnelle. Rappelant la silhouette d’un sceau, les modèles en platine et en titane redessinent un style masculin classique aux contours puissants, au profil contemporain, avec un diamant central éblouissant.


La première partie de la collection Charles Tiffany Setting sera disponible avec des diamants taille rond brillant et taille émeraude jusqu’à 5 carats. Les modèles diamant rond brillant ont un anneau au bord effilé, inspiré de l’anneau de la légendaire Tiffany® Setting, alors que ceux taille émeraude présentent des bords biseautés architecturés.


Tiffany continue à développer le niveau de transparence sur sa chaine d’approvisionnement en diamants, réaffirmant sa réputation en tant que leader dans la traçabilité des diamants. La Maison est unique parmi les joaillers de luxe mondiaux de par sa capacité à couvrir le parcours artisanal complet de chaque nouveau diamant acquis, individuellement certifié, et notamment chaque diamant serti dans la Charles Tiffany Setting. La région ou le pays d’origine de chaque diamant, ainsi que l’endroit où il a été taillé et poli, évalué et soumis au contrôle qualité, ainsi qu’où il a été monté en bijou sont inscrits sur le « Tiffany Diamond Certificate ».

Depuis plus de 180 ans, Tiffany crée des pièces de Haute Joaillerie plus impressionnantes les unes que les autres, qui valent à la Maison sa réputation. Les collections Haute Joaillerie de Tiffany & Co. se nourrissent d’innovation. Ce désir de continuellement repousser les limites du design permet à la Maison de donner vie aux idées les plus alternatives et expérimentales. Le savoir-faire incomparable de Tiffany accompagne la volonté de la Maison d’introduire des designs qui continuent de redéfinir le sens même de la Haute Joaillerie. Dans la collection Haute Joaillerie de 2019, des diamants aux tailles uniques furent sertis à la main pour assigner aux diamants la beauté singulière de la glace craquelée, n’exposant que peu de métal autour de chaque pierre pour maximiser sa brillance.


Tiffany & Co. a toujours été avant-gardiste quant à la découverte et l’introduction de pierres précieuses uniques, parcourant la terre entière pour découvrir des gemmes rares et exotiques. Vers 1902, une variété particulière de spodumène minéral fut découverte en Californie ; cette pierre semi-précieuse spectaculaire, aux tons lilas, fut baptisée « kunzite » en 1903, en hommage au Gemmologue en chef de de la maison, le Docteur George Frederick Kunz. Un béryl rose éclatant fut ensuite découvert à Madagascar, que le Docteur Kunz proposa de baptiser « morganite », en l’honneur du financier et client de Tiffany & Co., J. Pierpont Morgan, et qui fut présenté au monde en 1910. Tiffany eut également le privilège d’introduire la « tanzanite » en 1968, une pierre bleue violacée incroyable et jusqu’alors inconnue, qui fut découverte en Tanzanie, ainsi que la « tsarovite », un grenat d’un vert chatoyant exceptionnel découverte au Tsavo National Park au Kenya, introduite par Tiffany en 1974. Ces pierres de couleur, sont au coeur de la tradition de Tiffany & Co.; elles rendent hommage à la longue histoire de la Maison dans la découverte et l’introduction au monde de pierres de couleur dans les collections Haute Joaillerie.

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CHANEL : ESCALE À VENISE

Chanel et Patrice Leguéreau, directeur du studio de création de Joaillerie présente la collection Escale à Venise.
Composée de soixante-dix pièces exceptionnelles, ces parures de Haute Joaillerie offrent une lecture contemporaine de la découverte de la Cité des Doges par Gabrielle Chanel.
Hommage à la ville favorite de Mademoiselle, cette Escale à Venise passe les icônes de CHANEL au prisme de la Sérénissime d’aujourd’hui.
Le trait sculptural, porté par des pierres extraordinaires, donne à cet ensemble une esthétique aussi précieuse que puissante.

Bague Eblouissante – Spinels & diamants

 

Sérénissime
Célébration de la richesse architecturale de Venise, la parure Eblouissante se compose de dessins
géométriques blancs et roses, interprétation unique des façades des palais et des sols en marbre
polychrome des églises. Sur une structure en or rose et platine, le collier, au tomber parfait, déploie des
motifs en quinconce sertis de diamants baguette qui rappellent le matelassé cher à Gabrielle Chanel.
Dans un style néo-baroque, la parure Sérénissime ravive, sous un jour contemporain, l’esprit byzantin des
mosaïques de la « basilique d’or ». A l’instar de ce plastron composé de carrés d’onyx et de brillants où des
tesselles de saphirs roses, jaunes et orangés, des grenats spessartites réfléchissent la lumière sur un saphir
jaune ovale de 27,09 carats auréolé d’une pluie de diamants. Une bague, d’architecture puissante, porte
une croix d’onyx, de saphirs jaunes et orangés et de brillants où resplendit un saphir Padparadscha de 6,04
carats.

Collier Volute Italienne – diamants et lapis lazuli

Gran Canale
Quatre parures d’une grande fluidité traduisent l’élégance du nautique. Volute Vénitienne met en scène les
palines d’amarrage blanches et bleues des gondoles. Elles apparaissent ici en lapis-lazuli et diamants,
rythmant un grand sautoir à trois rangs en perles et maillons d’or jaune. Dans le même accord chromatique,
Volute Marine travaille en volume cet élément de la lagune sur un pendentif en lapis-lazuli et brillants
suspendu à un rail avec une alternance d’éléments en diamants de forme étoilée et de pierres serties clos.
Il s’accompagne d’une paire de boucles d’oreilles et d’un jonc au pavage asymétrique uni et rayé sur lequel
repose une emblématique comète d’or jaune unie à un diamant poire de 1 carat.
En rouge et blanc, les palines prêtent leurs rayures transversales à Volute Croisière. Sur un sautoir
spectaculaire, spinelles rouges et diamants sont montés de façon à procurer un effet torsadé, à l’image des
cordages. Un jonc retient en ses filets une étoile et un diamant ovale de 2,13 carats.

Bague Camelia Baroque – Diamants, email, emraude

Isole della laguna
Ode aux Métiers d’art, les îles de lagune regroupent trois parures consacrant la fleur préférée de Gabrielle
Chanel, le camélia. Camélia Byzantin célèbre les mosaïques anciennes présentes sur l’île de Torcello au
travers d’un collier virtuose en pierres dures. Leur tracé irrégulier exalte la beauté d’un camélia rouge en
tesselles de cornalines et opales de feu. Son pistil est composé d’un diamant jaune de 10,07 carats.
Pour Camélia Vénitien, CHANEL a traduit dans la joaillerie le travail du verre, propre à l’île de Murano, en
employant du cristal de roche marié à de l’or jaune. Taillé dans cette gemme translucide, la fleur fétiche est
ornée de festons, au centre d’un plastron immaculé qui rappelle les ornements des miroirs vénitiens de
l’appartement de la rue Cambon. Ce collier se termine par un diamant rond de 1,5 carat. Une bague
feuillage ornée d’un diamant rond, une paire de boucles d’oreilles asymétriques et une montre-bijou
complètent admirablement cette parure.

Collier Constellation Astrale – Diamants, Lapis Lazuli

Spirito di Venezia
L’esprit de Venise s’exprime dans la personnalité du lion qui règne en maître dans la ville. Après la première
collection de Haute Joaillerie dédiée au signe astral de Gabrielle Chanel, en 2013, le félin apparaît
aujourd’hui dans cinq ensembles de caractère. Monochrome, le collier Lion Secret montre le profil de deux
fauves en or blanc sertis de diamants de taille poire et navette sur la crinière veillant sur un diamant poire
de 15,55 carats. Tel un bas-relief, ce duo unique apparaît sur un bracelet souple en mailles de diamants.
Lion Secret joue la carte de la couleur sur un sautoir à trois rangs. Il conjugue des beads de spinelles rouges
et de lapis-lazuli avec deux lions souverains au pelage de saphirs jaunes.
Ce collier s’accompagne d’un merveilleux bracelet aussi baroque que fluide.
Le ciel où apparaît le lion ailé sur la façade de la basilique San Marco, CHANEL le transpose dans la parure
Constellation Astrale. Il en ressort un collier nocturne taillé dans une puissante mosaïque de lapis-lazuli.
L’astre central serti d’un saphir jaune de 4,47 carats rayonne sur une nuée d’étoiles que l’on retrouve sur un
bracelet et une paire de boucles d’oreilles au relief majestueux. Enfin, la gemme bleue, facettée comme un
brillant, forme une bague étoilée sertie d’un saphir jaune taille coussin de 4,25 carats.

Découvrez le film de la collection:

http://pr.chanel.com/fj/escaleavenise2021

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CHANEL – EXCEPTIONNELLE J12 X-RAY

En l’an 2000, Chanel lance la montre J12 désarçonne le monde de l’horlogerie. Dans sa robe de céramique noire, puis blanche en 2003, elle transforme ce matériau haute résistance en matière précieuse et fait rentrer, de manière définitive, le noir et le blanc dans les codes de l’horlogerie. La première icône horlogère du 21ème siècle connait un succès immédiat.


En 2020, la montre J12 a fêté ses vingt ans et ne laissera personne dire que ce n’est pas le plus bel âge de la vie. Sans renier son passé, elle s’affranchit des codes couleurs qui ont fait son triomphe. Elle passe aux rayons X.
Elle abolit le noir, transcende le blanc et surpasse la couleur en choisissant la transparence. La nouvelle montre J12 X-RAY affiche sa clarté horlogère dans un boîtier de saphir inédit laissant admirer la pureté de ses formes.
Dotée d’un nouveau mouvement conçu et assemblé par la Manufacture CHANEL – le Calibre 3.1, la J12 X-RAY mise sur la transparence. La platine, le pont de minuterie, le pont de rouage sont en saphir. Ils s’effacent pour laisser passer la lumière et révéler une dentelle brodée de rouages. Chacun de ces composants mesure entre 0,5 et 1mm d’épaisseur seulement.


L’assemblage du mouvement requiert la délicatesse, la patience et l’expertise des maitres horlogers. Une opération qui dure une semaine complète. Le cadran est en saphir aussi et serti d’index en diamant taille baguette. Douze diamants qui semblent en suspension.
Pour la première fois de l’histoire, une montre se voit également habillée d’un bracelet dont la totalité des maillons a été taillée dans du saphir brut. Une prouesse technique. Une première mondiale.


Lumineuse, la lunette est pavée de diamants taille baguette d’un total de 5,46 carats. Éclatante, la couronne est chapeautée d’un cabochon de diamant. Nobles, les aiguilles et la boucle sertie sont, comme il se doit, en or blanc.
En édition limitée de seulement 12 pièces, la montre J12 X-RAY ouvre une nouvelle ère dans l’histoire de la couleur. 

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Chopard Alpine Eagle, la collection s’étoffe!

Chopard dévoile trois nouveaux modèles au sein de la collection de garde-temps à bracelet intégré Alpine Eagle, lancée avec succès en 2019 : deux en format Large taillés dans l’or éthique rose, ainsi qu’un modèle Small en Lucent Steel A223 dont la lunette se pare de diamants. Du mouvement certifié chronomètre au boîtier, en passant par le cadran et le bracelet, les garde-temps Alpine Eagle, inspirés pas la puissance de l’aigle et des Alpes, sont entièrement réalisés dans les ateliers d’horlogerie de Chopard par les Artisans de la Maison.

Johannes Huebl Chopard Alpine Eagle XL Chrono ©Greg Williams

L’ADN de la collection

Imaginée par trois générations d’hommes de la famille Scheufele, la collection Alpine Eagle réinterprète avec modernité la montre St. Moritz, la première création horlogère de Karl-Friedrich Scheufele. Avec son design pur et affirmé, Alpine Eagle reflète la richesse créative, l’esprit visionnaire et l’engagement éthique de Chopard autant qu’elle s’inspire de la puissance de la nature. Des caractéristiques qui la destinent aux aigles contemporains, ces hommes aspirationnels qui surperforment dans leur vie quotidienne et dont la vision inspire et élève. La collection signe une allure contemporaine et élégante : un boîtier rond aux flancs stylisés, une couronne gravée de la rose des vents, une lunette à huit vis fonctionnelles indexées, un cadran texturé aux teintes profondes et aux indications luminescentes, et enfin un bracelet métal intégré.

Alpine Eagle Large

Alpine Eagle Large 

Précieuse et éthique. Deux modèles inédits à boîtier et bracelet entièrement façonnés dans l’or rose 18 carats viennent enrichir la ligne Alpine Eagle Large, d’un diamètre de 41mm, proposée jusqu’ici en Lucent Steel A223 ou bi-matière. Gage de l’engagement de Chopard pour un luxe responsable, et à l’image de toutes les créations horlogères et joaillières sorties de ses ateliers depuis juillet 2018, l’or utilisé pour les Alpine Eagle Large est éthique.

Alpine Eagle Small

Alpine Eagle Small 

Pure et éclatante. La gamme de garde-temps Alpine Eagle Small, d’un diamètre de 36 mm, qui comptait jusqu’à présent sept références en Lucent Steel A223, or éthique ou bi-matière, accueille également un nouveau modèle en Lucent Steel A223 avec cadran Bleu Aletsch illuminé d’un sertissage de diamants sur la lunette, aussi bien adapté à un poignet masculin que féminin. À l’image de tous les garde-temps Alpine Eagle, cette nouvelle montre abrite un mouvement mécanique à remontage automatique Chopard certifié chronomètre par le COSC : le calibre Chopard 09.01-C, pourvu d’une réserve de marche de 42 heures.

 

 

 

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FRED Joaillerie, la légende du bracelet FORCE 10

Fred Samuel, fondateur de Fred Joaillerie, a toujours été en quête permanente de cette lumière qu’il a connue en Argentine. La voilà dans les reflets de l’eau… Grand sportif, il faisait de l’aviron les dimanches après-midi sur la Marne et passait tous ses étés en Bretagne à Perros-Guirrec. « J’aurai dû naître poisson. » Il transmettra cette passion à ses fils, qui deviendront champions d’Europe de voile. C’est ainsi qu’en 1966, naît la collection Force10 : « Mon fils aîné a eu l’idée de tresser des câbles marins fixés aux deux bouts par des rivets, afin de composer un bracelet qu’il offrit à sa femme. Il ajouta un fermoir en or en forme de mousqueton. ». Fabriqué avec un mélange audacieux d’or et d’acier, il s’impose comme le premier bijou de sport. Un bijou précieux mais décontracté, chic et casual.

Une histoire formidable, certes, mais pas surprenante, au fond, car il y avait déjà toutes les valeurs de la maison Fred dans cet objet : amour, mer, liberté, voyage et une certaine dose d’audace. Mariage inattendu d’un câble marin d’acier tressé et d’une manille en or, le bracelet Force 10 incarne depuis sa création en 1966 le style FRED : singulier, précieux, lumineux, puissant et intemporel.

La collection Force 10 exprime l’énergie et la liberté créatrice : les bracelets se personnalisent avec des câbles interchangeables, les bagues subliment la manille et les colliers se parent de chaînes fines pour révéler toute leur féminité. Le nom Force 10 symbolise une grande résistance car il fait référence à un vent terrible qui ne permet pas de sortir les dériveurs en mer.

Grace à son système interchangeable, et ces nouveaux coloris, permettant des centaines de possibilités de personnalisation, FRED réinvente sa palette pour sublimer une silhouette, illuminer une peau bronzée, affirmer le style qui lui est propre: chic et ludique. Incontournable dans ses infinies tonalités colorées, FRED offre mille et une façons d’embellir le temps qui passe au gré de ses désirs.

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Saint Valentin brillante de mille feux

Saint Valentin et joaillerie ont toujours fait très bon ménage, alors pourquoi vouloir changer une équipe qui gagne? Découvrez la sélection coup de cœur de la rédaction et dîtes-vous qu’il vous reste encore trois jours pour trouver votre cadeau!

Nous commençons par la maison Chopard et le thème du cœur, Saint Valentin oblige, avec une bague en or blanc 18 carats ornée d’un rubis « sang de pigeon » de 5 carats taillé en forme de cœur et épaulé par deux diamants taillés également en forme de cœur.

Maintenant une bague en or blanc ornée d’un extraordinaire diamant taille Marquise pesant 14,3 carats de couleur D-Internally Flawless type IIA.

 

Continuons toujours chez Chopard, par cette paire de boucles d’oreilles en titane serties de deux émeraudes taille octogonale de 25,6 et 25,2 carats, de deux émeraudes taille émeraude de 6,4 et 6,3 carats et d’émeraudes taille brillant toutes provenant de Colombie.

 

 

Chez David Morris, pour la Saint Valentin, découvrez le collier Chrysalis. Une symphonie de plus de 73 carats de diamants blancs et roses montés sur or blanc 18 carats.

Pour rester dans la même gamme de couleurs, cette broche « Rose » sertie d’un diamant central taille coussin pesant un peu plus de 5 carats entouré de diamants blancs et roses, toujours sur une monture en or blanc 18 carats.

Dans un registre différent mais tout aussi féerique, la maison David Morris vous propose Phenix, une paire de boucles d’oreilles sertie, sur or blanc, de presque 25 carats de tourmalines brésilienne Paraïba et de 31,60 carats de diamants.

Chez Chanel, la joaillerie rejoint totalement l’ADN de la maison de couture en réinventant le motif Tweed sur une base d’or blanc serti de diamants et d’onyx. Une prouesse technique incroyable de souplesse et de légèreté.

Un motif monochrome pour ce bracelet « Franges » reprenant l’idée d’un motif de Tweed détricoté en or blanc 18 carats serti de diamants.

Enfin, Chanel propose cette bague Tweed Contraste qui reprend le code cher à la Couture: le motif Tweed, les chaînettes, les perles, l’or jaune, le noir, les diamants… Une bague de Saint Valentin?

Chez Poiray, il y a bien évidemment la ligne « Coeurs entrelacés » dont voici le pendentif grand modèle en or rose.

Nous avons également sélectionné la collection « Flowers » dont voici une paire de boucles d’oreilles en or blanc 18 carats serties de diamants et saphirs jaunes en pierre de centre.

Nous avons aussi sélectionné la bague Indari, toujours chez Poiray, qui propose un quartz rose monté sur or rose. Du rose pour la Saint Valentin, cela semble parfait, non?

La panthère est peut-être l’emblème le plus connu de Cartier. Nous avons découvert cette bague en or blanc 18 carats sertie d’un saphir taille coussin. Le corps de l’animal est pavé de diamants taille brillant et de cabochons d’onyx. Ses yeux sont sertis d’émeraudes.

et voici un bracelet, lui aussi au motif Panthère, présentant sur or blanc 18 carats, deux têtes de panthères serties de diamants, d’onyx et d’émeraudes.

 

Chez FRED, nous sommes tombés amoureux du collier « Pain de Sucre » qui propose une monture en or rose 18 carats sertie de diamants et d’un ensemble de tourmalines roses taillées en pain de sucre.

Tout comme le serpent séduisit Eve, laissez-vous tenter par cette bague de chez Bulgari, modèle Serpenti Scaglie, articulée en or rose 18 carats sertie de 2,50 carats de diamants et d’une rubellite.

Idéal pour créer un lien, ce bracelet maille gourmette XL de chez Pomellato en or jaune 18 carats pavé de saphirs bleus et violets, spinelles roses, et rubis.

Une bague encore de chez Sarah Jane Wilde, en or jaune 18 carats ornée d’un incroyable spodumène ovale facetté sur une monture à motif flammé.

Encore des bagues mais cette fois de chez Tiffany&Co. L’inventeur de la monture 6 griffes pour solitaire nous propose une variante moderne et originale: le 4 griffes sur diamant carré. Deux exemples vous sont ici proposés: diamant jaune sur or jaune et diamant blanc sur or blanc ou platine.

Enfin, pour finir notre sélection joaillerie, deux pièces exceptionnelles de Buccellati. Un bracelet manchette conçu pour la collection « Opera High Jewellery » qui reprend les caractéristiques traditionnelles chères au savoir faire de la maison, comme la gravure en « rigato » et la douce alternance de motifs décoratifs avec des petits chatons en or blanc et diamants. 176 diamants ronds (2,33 carats) et 7 rubis ovales à facettes pour 2,84 carats.

et enfin la bague « Ventaglio » issue de la collection « Romanza » en or blanc avec des lignes bombées et sinueuses. Le diamant central de 1,54 carats est accompagné, de chaque côté, par une décoration en forme d’éventail composée de 40 diamants (0,72 carats) disposés en dégradé.

 

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CARTIER présente le collier MAHARAJAH

Cartier rend hommage aux grands colliers de cérémonie des maharajahs. Cette parure créée en 2019 met en scène un ensemble exceptionnel d’émeraudes, mais aussi de saphirs et de rubis, autour d’un savoir-faire ancien venu d’Inde.

Les émeraudes gravées réunies par Cartier constituent un ensemble d’autant plus singulier que la forme en « grappe » du pendant est rare en Haute Joaillerie – même si Cartier l’a déjà employée par le passé dans les années 1920-30. Ce pendant est composé de 19 gemmes.
Deux émeraudes d’un poids total de 86,96 carats et une pierre de centre de 43,73 carats originaires de Colombie, lieu de provenance de gemmes parmi les plus réputés au monde, complètent cet ensemble.

Impressionnantes par leur poids, ces émeraudes se distinguent par l’ensemble harmonieux qu’elles composent mais aussi par leur couleur, leur intensité lumineuse et leur cristallisation. S’y ajoutent une émeraude de Zambie gravée hexagonale de 18,58 carats, un rubis de Birmanie gravé de 23,24 carats, huit rubis de Birmanie pour un poids total de 46,34 carats et deux rubis de Birmanie pour un poids total de 13,26 carats.

Pour Cartier, l’important dans le savoir-faire, c’est le trait d’union entre l’idée et sa réalisation, entre la créativité de Cartier et son exigence. C’est ce trait d’union que l’on retrouve entre les outils d’hier et les techniques d’aujourd’hui, entre l’esprit pionnier de Louis Cartier et la vision contemporaine de la Maison. Le savoir-faire de Cartier est le résultat d’échanges entre les designers, les joailliers et les ingénieurs. Il se développe au fil de rencontres parfois inattendues et se concrétise au fil d’un processus d’itérations. Le savoir-faire de Cartier : un dialogue ininterrompu entre technique et créativité qui unit le savoir et le faire – d’un trait d’union. On compte au total 4566 heures de travail de joaillerie, de sertissage et de polissage.

Le passage du dessin en deux dimensions à l’objet en volume constitue la première prouesse du collier Maharajah. De l’idée à l’objet, cette transformation révèle une multitude d’inconnues – ajustements de pierres, de couleurs, réglages à apporter pour parfaire l’ergonomie de la pièce. Dessinateur et joailliers travaillent côte à côte à servir un but commun : retranscrire l’idée d’origine en une parure exceptionnelle.

Une création de Haute Joaillerie est un éblouissement, un rêve transformé en lumière. C’est aussi une construction ingénieuse, conçue au millimètre, dont la complexité de conception est insoupçonnable. Sur le pendant du collier, les 19 émeraudes composent une architecture en volume, d’une parfaite tenue. Pour permettre cette chute, chaque gemme est sertie dans une très fine armature en métal,
véritable dentelle apposée sur l’arrière du collier. Chaque pierre étant unique, la mise au point de cette structure sur mesure a généré une collaboration intense dans l’atelier, mêlant à part égale esthétique et technique. Pour diriger le regard sur les gouttes d’émeraude du pendant – et ne pas le laisser s’égarer vers d’infimes points de métal qui pouvaient apparaître selon l’angle d’où l’on se place – le designer et le chef d’atelier ont mis au point un leurre : de minuscules billes de saphir ont été ajoutées en terminaison de chaque goutte d’émeraude. Ainsi, le saphir attire le regard vers l’émeraude avec laquelle il compose une association de couleurs chère à Cartier.

Tout autour de la partie centrale, plusieurs rangs de boules sont disposés, formant un plastron transformable.  Selon le porté choisi (le collier en propose huit principaux), le nombre des rangs varie, et avec lui la répartition du poids des gemmes. Pour que celle-ci soit agréable à porter quel que soit le porté, l’enfilage a été intensément étudié – avec de multiples réglages et ajustements. Le dessin de création constitue le point de départ : il donne la direction et prévoit les différentes étapes en atelier, auxquelles sont associées des durées. À ce temps de travail, s’ajoute un temps parallèle qui se déroule tout au long de l’élaboration de la pièce et engage designer et joailliers à concevoir, alors que la pièce prend forme sur l’établi, une multitude de réponses à apporter aux questions qui surgissent.

Cette pièce s’inscrit dans la grande tradition Cartier de la joaillerie transformable et propose huit portés principaux pour le collier et deux variations pour les pendants d’oreilles. Ainsi, la partie intérieure en rubis se transforme en collier de chien ; les pampilles et les grappes d’émeraudes cernant le motif central peuvent être enlevées, offrant une version plus courte de la parure ; la grappe centrale se porte en pendant sur une chaîne. Les pendants d’oreilles peuvent, quant à eux, accueillir les deux émeraudes latérales.

Une pièce exceptionnelle, moderne, inspirée par le passé et l’histoire de la maison Cartier.

 

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LACLOCHE, JOAILLIERS 1892-1967

Pour la première fois, une exposition du 23 octobre au 20 décembre 2019 et un ouvrage rendent hommage à Lacloche, maison de joaillerie emblématique en Europe de 1892 à 1967.

Paire de boucles d’oreilles de style Egyptien

La Belle Époque de la maison Lacloche

La maison Lacloche fut l’une des gloires de la joaillerie parisienne, de la Belle Époque aux années 1960. Établie rue de la Paix en 1901, elle était également présente à Madrid et Londres et disposait de succursales à Nice, Biarritz, Saint-Sébastien, Cannes, Deauville.
Lacloche Frères, puis Jacques Lacloche, qui ont débuter modestement rue de Châteaudun en 1892, et ont pourtant fini parer des têtes couronnées – la reine Victoria d’Espagne, Édouard VII d’Angleterre, les rois de Grèce et de Siam -, des personnalités de l’aristocratie, telle la duchesse de Westminster, ainsi que des stars d’Hollywood, dont Grace Kelly. Toutes pièces de la maison Lacloche étaient conçus par les meilleurs ateliers parisiens, comme Strauss, Allard, Meyer ; Verger ; Helluin-Mattlinger ; Langlois ou Rubel… dont les noms sont mis en lumière dans cette exposition comme dans l’ouvrage qui lui est consacré.

C’est la première fois qu’une exposition est dédiée à la créativité de ce joaillier. Elle est organisée alors que paraît l’unique monographie sur cette brillante famille de joailliers par Laurence Mouillefarine, également co-auteur de l’ouvrage.
À travers des bijoux, des pendules et pendulettes, des nécessaires de beauté – la spécialité des Lacloche – et des documents d’archives, la rétrospective illustrera, tour à tour, le naturalisme propre à l’Art nouveau, l’Egyptomanie et l’engouement pour l’Extrême-Orient au temps des Années folles, le modernisme de l’Art déco, la fantaisie séduisante des années 1950.

L’apogée de la maison Lacloche

Loelia Ponsonby, duchesse de Westminster,1931 – © The Cecil Beaton Studio Archive at Sotheby’s

Toutefois, le point d’orgue de cette rétrospective inédite sera l’évocation d’un événement devenu historique : l’Exposition internationale de 1925 qui se tint à Paris durant six mois. Une longue chasse aux trésors a, en effet, permis de retrouver, aux quatre coins du monde et auprès de collectionneurs privés, des joyaux que les frères Lacloche déployèrent sur leur stand lors de cette manifestation mythique. Des bracelets, des broches, des pendulettes, des boîtes qui, tous, éblouissent par leur élégance et la délicatesse de leur fabrication.

Devant de corsage – Platine & diamants

Entrée libre du lundi au samedi de 12h à 19h au 31 rue Danielle Casanova 75001

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CODE COCO: un bijou, une montre

 

Un Bijou. Une Montre. Des Codes.

Au premier abord, un bracelet qui étincelle autour du poignet. C’est un bijou.
On reconnaît ensuite le fermoir du sac 2.55. Ce bijou est un code.
Puis, on distingue deux aiguilles. Ce code est une montre.
Le regard glisse enfin le long du bracelet matelassé. Cette montre est décodée.

Un bijou. Une montre. Des codes. Cette montre s’appelle : CODE COCO.

Elle ne livre pas ses secrets d’emblée. Ni à tout le monde.
Il faut du temps pour en décrypter les codes. Ou y être initié.
Affranchis du temps grâce à un respect des traditions allié à l’irrévérence la plus contemporaine, les codes de CHANEL sont intemporels.

La montre CODE COCO se ferme d’un clic comme le sac matelassé 2.55, créé par Mademoiselle Chanel en février 1955, dont le fermoir orne le coeur du cadran.

Ouvert ou fermé, il cache ou dévoile l’heure qui s’y affiche discrètement. Le temps, lui-même, est un secret à protéger.
Discrètement brille un diamant sur fond noir, dernier carat d’une allure précieuse.
Son bracelet souple, d’une légèreté qui n’entrave aucun geste, rappelle la vocation première du motif matelassé.

Hommage à une histoire, un style, une allure, la montre CODE COCO porte en elle les codes de CHANEL sans cesse renouvelés.

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Cartier le joaillier du film « Grace de Monaco » d’Oliver Dahan

Cartier apporte son expertise et son savoir-faire joaillier au film Grace de Monaco d’Oliver Dahan. C’est devant la célèbre boutique de Cartier du 13 rue de la Paix que s’est déroulée la dernière prise du film Grace de Monaco tournée par Olivier Dahan, qui sera présenté en ouverture du festival de Cannes le mercredi 14 mai. Un clap de fin pour une des scènes principales du film lors de laquelle la Princesse Grace, interprétée par Nicole Kidman, chapeautée de rose et parée de bijoux signés Cartier, annonce à la presse qu’elle renonce à sa carrière hollywoodienne pour se consacrer à ses obligations familiales et princières.

Grande cliente de la Maison Cartier, Grace Kelly devenue la Princesse Grace de Monaco entretiendra des liens de fidélité tant à Paris qu’à Monaco avec le joaillier. C’est à lui qu’elle doit la création en 1956 de sa bague de fiançailles, cadeau du Prince Rainier III, sertie d’un diamant taille émeraude de 10,47 carats.

A l’occasion de son mariage, elle recevra notamment de nombreux cadeaux signés Cartier comme par exemple un diadème en rubis et diamants et un collier rivière au triple rang de diamants. C’est donc tout naturellement que la production du film s’est tournée vers l’expertise de Cartier qui a fait réaliser dans ses ateliers de joaillerie, en accord avec le Palais de Monaco, des reproductions fidèles de cinq bijoux dont les originaux figurent aujourd’hui dans la collection princière de Monaco.

Au-delà de cette reconstitution historique, Cartier a confié à la production plusieurs parures contemporaines de haute joaillerie portées par Nicole Kidman tout au long du film et un spectaculaire collier d’émeraudes vu au cou de l’actrice espagnole Paz Vega, interprète de Maria Callas. Les personnages masculins – le Prince Rainier III sous les traits de l’acteur Tim Roth ainsi qu’Aristote Onassis joué par l’acteur Robert Lindsay – portent, quant à eux, montres et accessoires signés Cartier.

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Cartier: l’histoire d’une légende.

Tout le monde connait « Cartier ». Un nom chanté par Marilyn Monroe, associé à des pierres précieuses et des bijoux mythiques, chargés d’histoires et de malédictions mais finalement, bien peu connaissent la saga de cette maison plus que centenaire qui créa les parures de pratiquement toutes les tête couronnées d’Europe, des Stars de Hollywood, des maharajas d’Inde et des riches héritières américaines à tel point que le futur roi d’Angleterre, Edouard VII, déclara: «Cartier est le joailliers des rois, et le roi des joailliers».

Après avoir été fondée en 1847 par Louis-François Cartier, et ouvert sa première boutique en 1899 au 13, rue de la Paix, suivit de Londres et New-York, Cartier compte aujourd’hui 300 boutiques dans le monde, emploie environ 5 500 personnes, et reste le synonyme du luxe français.

Découvrez son extraordinaire savoir-faire dans l’exposition qui se tient au Grand Palais à Paris, jusqu’au 16 Février 2014.

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