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God of War Ragnarök, visite aux pays des dieux nordiques

La suite de la série des God of War vient de voir sortir son dernier volet : God of War Ragnarök. Pour ceux qui ne connaissent pas la série, cest un jeu vidéo d’action-aventure développé par Santa Monica Studio et édité par Sony Interactive Entertainment. Il est sorti très exactement le 9 novembre 2022 sur PlayStation 4 et PlayStation 5, en exclusivité. Ce God of War Ragnarök est le neuvième épisode des God of War, il fait suite à l’épisode God of War de 2018 ayant marqué un renouveau dans la série en se basant sur la mythologie nordique et non plus sur la mythologie grecque, et en voyant l’arrivé d’un compagnon de route pour Kratos, notre héros, en la personne de Atreus, son fils. Dans ces jeux c’est là que repose toute la beauté et la puissance de ces titres, une découverte ou redécouverte des mythologies antiques et de leur panthéon, le tout avec un jeu épique, brutal, et émouvant. Si si, Santa Monica Studio arrive à faire cohabiter ces deux états d’être.

 

L’Histoire (sans spoiler)

 
Après avoir sauvé Midgard des Valkyries dans l’épisode de 2018, Kratos et Atreus doivent parcourir les Neufs Mondes de l’Yggdrasil pour tenter d’éviter que ne se produise le Ragnarok :  qui est le Crépuscule des Puissances où le monde actuel s’effondrera pour donner naissance à un monde nouveau, et où se déclencheront alors les guerres entre les Dieux et les Géants de la glace sur le champ de bataille nommé Vigrid. Bref, la fin du monde.
 
L’histoire de cet épisode God of War Ragnarök commence en plein Fimbulveter, le grand hiver qui précède le Ragnarok. Et l’on retrouve tous les décors de l’opus de 2018 couvert d’un épais manteau neigeux, ce qui le transfigure. Alors vous me direz : « oui mais c’est de la réutilisation, on découvre rien, pas de surprise, pas d’évolution ». Et bien détrompez vous ! Le bestiaire des ennemis est dense et renouvelé, les paysages sont nouveaux et bousculés dans bien des lieux, on rencontre d’autres dieux du panthéon nordique, autant d’interactions et de possibilités nouvelles pour Kratos et Atreus. Cette fois Kratos démarre avec la hache Léviathan, les lames du Chaos, ainsi que le bouclier Gardien, Atreus toujours avec son arc pour assister son père. 

 
Si vous n’avez pas fait l’épisode de 2018, le jeu propose un résumé des aventures de Kratos et Atreus, cependant si vous voulez comprendre tous les tenants et aboutissants de l’histoire, les nombreuses références et liens entre les protagonistes, jouer à God of War  2018 sera un véritable plus. Car l’histoire de ce God of War Ragnarök  est dense et va se complexifier au fur et à mesure de l’aventure et les enjeux entre les personnages sont forts. Rassurez-vous tout de même car la narration est si prenante que vous vous plongerez dans la vie de Kratos et Atreus quoi qu’il arrive.
 

Le gameplay

 
On retrouve toutes les fonctionnalités du précédent épisode. Le jeu est fluide et on le prend vite en main. Il existe 5 modes de difficulté, comme autant d’options qui vont permettre d’approcher le jeu de la manière dont vous le souhaitez : 
  1. Donnez-moi une histoire: pour ceux qui veulent se concentrer sur l’histoire plutôt que sur le combat.
  2. Donne-moi la grâce: pour ceux qui veulent se concentrer principalement sur l’histoire en mettant l’accent sur le combat.
  3. Donnez-moi l’équilibre: pour ceux qui se soucient autant de l’histoire que du combat.
  4. Ne me donne aucune pitié: pour ceux qui souhaitent relever des défis.
  5. Donnez-moi God of War: pour ceux qui veulent God of War Ragnarok être l’expérience la plus difficile possible.

On peut changer ces modes durant le jeu à l’exception du dernier mode God of War, car si il est désactivé vous ne pourrez plus y revenir.
 
La grande est belle nouvelle de ce God of War Ragnarök, c’est de que Santa Monica Studio à repris le chemin du grandiose et de l’Épique avec un E majuscule : on retrouve beaucoup plus de combats puissants, contre des bêtes énormes et parfois gigantesques, une signature des premiers épisodes, mais aussi plus de challenge avec un plus grands nombres de mini boss intermédiaires. Et le jeu gagne en puissance et en entrain. Le beats them all est là mais aussi le décryptage des techniques des adversaires les plus coriaces pour pouvoir les dépasser. Sinon rien de nouveau et certain le reproche à la licence, nous non, il y a des combats, des QTE : cinématiques avec des actions à faire avec le bon timing, c’est du beau et du bon God of War.
Et vous aurez des surprises pour ce qui est des personnages et des possibilités de jeux.

 

Les graphismes et la bande son :

 
Les graphismes sont superbes, les effets de neiges sont beaux, les couleurs des différents mondes chatoyantes (on la testé sur PS5 et c’est très beau de lumières et de brillances), les expressions des protagonistes fines et réalistes. Le soin apporté à la faune innombrable et la flore luxuriante, cela fourmille de détails à l’écran : des papillons, des lézards, toutes sortes d’insectes, des oiseaux petits et grands, et j’en passe. Pour la végétation, le même soin de détail, des couleurs multiples et des variétés nombreuses, on se prend à s’arrêter de jouer pour scruter ce monde de God of War Ragnarök. Les voix et le jeux d’acteur sont toujours au rendez-vous, notamment le doublage français, qui est excellent et nous immerge dans l’aventure. On est happé et on se prend d’affections pour les différents personnages que l’on croise et les dieux que l’on côtoie. Les musiques sont symphoniques, grandioses, et soutiennent parfaitement toutes les phases du jeu. Pas de sentiment de lassitude, jamais. Une grande aventure digne d’un péplum magistral. 

 

Conclusion

 
God of War Ragnarök est une aventure épique sublime et entrainante, à faire absolument, Santa Monica Studio est parvenu à aller plus loin, à nous faire découvrir encore plus de cette mythologie Nordique, et pour notre plus grand bonheur. On est exalté par les phases de combats qui peuvent selon la difficulté être physique manette en main. On voit la relation Kratos et Atreus évoluer et leur psychologie changer au fur et à mesure de l’avancée de nos héros. Préparez vous à vivre une claque magistrale sur cet opus, mais shuuuutttt on ne vous en dit pas plus.

 
Article écrit par Alexis Dumétier
Merci à Sony Playstation de nous avoir permis de réaliser cet article.
Test réalisé sur Playstation 5 avec un écran Viewsonic XG270QC
 
 
 
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La nouvelle bombe d’Ubisoft : Mario + The Lapins Crétins Sparks of Hope

 

Nintendo et Ubisoft sortent pour la Switch la suite du mélange détonnant et drôle de Mario et les lapins crétins, avec Mario + The Lapins Crétins Sparks of Hope. Le premier volet sortait il y a déjà cinq ans : Mario + The Lapins Crétins : Kingdom Battle.

Nos lapins déjantés, préférés, reforment une alliance avec Mario et sa team, pour un jeu tactique / RPG coloré et envoûtant. Un jeu parfait pour initier les plus jeunes aux plaisirs vidéoludique, et un RPG sous couvert de tactique (très « jeux d’échec ») pour les grands. Vous pourrez choisir entre trois niveaux de difficultés, et ceux à tout moment du jeu.

Que vous soyez fan de Mario ou des Lapins Crétins, le jeu sait une nouvelle fois brillamment marier les deux univers. La bande de Mario est là : Luigi, Peach, et une belle surprise : Bowser.
Mais aussi son univers sonore : bien des effets audio sont issus des jeux de Mario, de l’entrée dans les tuyaux au gain de pièce d’or, en passant par les « yeahh héééé » si typique de Mario. Pour la bande des « affreux » lapins, qui sont des lapins déguisés en équivalent de la team Mario, on retrouve évidemment leur univers frappadingue, et pour une fois ils parlent….on découvre alors leurs voix, par bribe, accompagnant le texte et cela est réussit; évidemment leur onomatopées caractéristique sont toujours de la partie. Vous n’avez pas fait le 1, cela n’est pas très grave, le 2 se fait sans notion du premier épisode et Les équipes d’Ubisoft ont eu la bonne idée d’agrémenter la dream team de Beep-0, un robot qui analyse votre comportement et celui des ennemis sur le terrain pour en révéler les forces ainsi que les faiblesses, et les nouvelles fonctionnalités qu’offrent le jeu au fur et à mesure de votre avancé. Pour les noobs mais pas que, c’est un allié précieux pour votre tactique d’attaque. 
L’histoire principale de Mario + The Lapins Crétins Sparks of Hope, est une histoire de sauvetage d’univers, à travers l’exploration de différentes planètes, satiné de conscience écologique. Une entité malveillante, Cursa, a plongé la galaxie dans le chaos le plus total en usant d’une énergie sombre, la Confusi-Ombre. Un pouvoir qui a des conséquences désastreuses sur l’environnement et la vie des populations des planètes de cet univers : Le soleil est éclipsé, une tempête de neige sur une montagne se déchaîne plus que de raison, bref le climat est totalement déréglé. Pour venir à bout de ce Super-Vilain il vous faut  sauver les Sparks pourchassés par Cursa. Les Sparks sont des hybrides, mi-étoile à la Mario, mi-lapin crétin, possédant chacun des pouvoirs spéciaux qui aideront au fur et à mesure votre équipe de joueurs.

Les graphismes

Le jeu est beau, n’oublions pas qu’il tourne sur Switch et cela est très raisonnable par rapport à la puissance de la machine, je dirais même plutôt bien optimisé. Un peu de scintillement par moment mais rien de désagréable, les phases de jeu sont régulièrement entrecoupées de séquences narratives et de cinématiques très bien réalisées. On s’attache à cet univers loufoque, un brin enfantin mais relaxant et doux. Cela change aussi et permet de renouer avec son enfant intérieur.

La bande son

Une partie très réussie du jeu est la musique, rien n’a été laissé au hasard, Ubisoft a recruté des grands noms de l’industrie, une véritable dream team musicale. Grant Kirkhope (Donkey Kong 64, Banjo-Kazooie 64…) est de retour comme compositeur principal et il est rejoint par Yoko Shimomura (Street Fighter 2, Super Mario RPG, Streets of Rage 4…) ainsi que Gareth Coker (Ori and the Blind Forest, Ori and the Will of the Wisps). Les morceaux pendant et en dehors des combats sont tous parfaitement composés, pas de sentiment de boucle lancinante. Des mélodies qui passent d’ambiances inquiétantes, à envoûtantes, de calmes à rapides pour mieux coller à l’action. Bref, on est autant captivé par le son que par l’histoire dans ce jeu qui nous donne envie d’avancer sans cesse.

Le Gameplay

Le jeu qui est un RPG tactique, en tour par tour, est aussi un jeu d’exploration, à la Mario 64 ou plus récemment Mario Odyssey. Fini les cases pour compter les déplacements, remplacé par des zones, donnant un sentiment de liberté plus important. Outre la quête principale et les drapeaux qui en marquent les points d’intérêts, on trouve des coffres, des passages secrets, des pièces, des souvenirs qui nous en apprennent plus sur l’univers et l’histoire du jeu. Cela est bien pensé car on se prend à vouloir revenir sur une planète pour en dénicher tous les secrets.
Pour ce qui est des tactiques de jeu, vous avez au départ une équipe de deux héros, puis de 3. Il faudra faire évoluer ses personnages avec des XP : sur leur puissances, leurs armes mais aussi leur capacité à se déplacer, et enfin vous devrez gérer votre ensemble de Sparks, qui ont tous des pouvoirs différents et peuvent eux aussi évoluer et être assignés à n’importe lequel de vos héros. Tout cela ayant une importance certaine selon les lieux et les ennemis combattus. Avec les neufs héros du jeu, disposant chacun de leur propre attaque spéciale, trente Sparks aux effets différents, des objets à équiper, des interactions avec les décors, et du calcul des déplacements de chacun, le tout en comptant sur les nombreux ennemis ayant des faiblesses et résistances particulières, les possibilités sont innombrables.A vous de trouver la team Héros / Spark la plus efficace selon le terrain, les ennemis et la situation.

Conclusion

Pour conclure, la BLAKE team a adoré ce jeu dont l’univers est parfaitement réalisé, beau, drôle et divertissant, avec selon le niveau choisi un peu de quoi faire travailler votre sens tactique. On se plaît dans ce monde mi-Mario, mi-Lapin crétin, et on y retourne avec curiosité. Un numéro 2 qu’il ne faut pas louper !

Article écrit par Alexis Dumétier
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F1 2021 ou quand jeu vidéo et réalité se croisent

NETFLIX a créé un regain d’engouement autour de la Formule 1 avec sa série éponyme. Les créateurs de jeux vidéo emboîtent le pas et ont compris la recette : il faut faire vivre ce sport mécanique avec toute l’effervescence qu’il suscite, scénariser les courses et les saisons comme des séries à succès et placer les pilotes en tête d’affiche.

 

Pour se faire,  Codemasters® et Electronic Arts Inc. (NASDAQ : EA) ont sorti F1® 2021, une nouvelle expérience de course next-gen depuis juillet, avec les écuries, les pilotes et les circuits du Championnat du monde FIA de Formule 1 2021. Avec un tout nouveau mode histoire, un mode Carrière étendu pour deux joueurs et trois nouveaux circuits Portimão, Imola, and Jeddah, dF1® 2021 offre aux joueurs de nouvelles façons de vivre la compétition dans la catégorie reine du sport automobile. F1® 2021, est le jeu vidéo officiel du Championnat du monde FIA de Formule 1 2021, sera disponible dans le monde entier sur PlayStation 5, Xbox Series X|S, PlayStation 4, Xbox One et PC via Steam.

 

Nous l’avons testé sur notre configuration PC (détails en fin d’article) :

Techniquement, et en pratique rien à redire sur ce point. Des dizaines d’ heures de jeux sur PC… pas un bug. Sur notre configuration, les graphismes en « haut » ou « ultra », tournent fluides, et restent très beaux. On pouvait certes espérer de plus grosses améliorations esthétiques par rapport à la version 2020, mais c’est honnêtement très propre et détaillé et cela aide beaucoup à l’immersion. Enfin immersion, pour ce qui est capable de restituer un jeux « 3d »… Car Codemaster fait ici l’ impasse sur le support de la VR… et cela est vraiment très très dommage, surtout de la part d’un si gros éditeur ayant déjà dans ses cartons une gestion VR de haut niveau sur les Dirt Rally. Jouer à des simulation de courses en VR apporte clairement une autre dimension dont on est ici privé.

 

 

Autre petit point sans doute spécifique à notre setup, le réglage de notre volant Thrustmaster tmx pro. Le retour de force nous donnait au commencement que très peu (pas) d’information nous permettant d’appréhender le niveau de grip de notre voiture (que cela soit en virage, à l’accélération ou au freinage). De longues sessions furent nécessaires afin d’obtenir un ressenti jouable du comportement des voitures.

Plein de modes, plein de contenus !

Vous aurez accès au mode carrière « habituelle », où vous aurez en plus avec la gestion entière de l’ écurie (RD, planning, presse, usure matériel, finance, pilotes…) la masse de paramètres dont il faut s’occuper est vraiment prenante. On s’y perd un peu au début, puis on se prend au jeu.

F1 2021 arrive à faire transparaître un aspect de la F1 trop absent habituellement : la course n’est qu’une partie de ce sport et il se rapproche dans un sens plus d’un sport d’équipe que d’ une seule performance d’un pilote sur une course !

Cet aspect complète la « simple » course et donne vraiment un suivi 360 de la saison de l’écurie. En revenant à un jeu uniquement « ciblé conduite », cela donne l’impression d’enchaîner bêtement une succession de circuits. Sur ce point, le contenu de F1 2021 change vraiment la donne face à d’autres jeux de course automobile et lui donne une autre dimension. Revers de la médaille on aimerait juste avancer sa carrière d’une petite course sans y passer des heures et repartir sur d’autres occupations. Ici cela vous prendra plus de temps (même si l’on peut paramétrer afin que ce concept perdure mais soit moins chronophage).

 

Autre nouveauté 2021, le mode carrière « Braking Point »; où l’on suit l’entrée dans le monde de la F1 d’un jeune pilote. On a pris beaucoup de plaisir à y jouer, car l’on s’identifie tout de suite et la scénarisation de la saison est captivante.

Autre les cinématiques bien réalisée, cette scénarisation permet de nous mettre face à des faits de courses spécifiques (pneus hs, pannes, remontée de peloton etc) que l’ on doit surmonter pour passer à la suite. C’est bien vu !

 

 

En revanche on est mis dans la monoplace au moment opportun pour le scénario (Comme au milieu de la course, donc pas d’essais, pas de qualification…), mieux vaut connaître les circuits avant de s’y lancer pour ne pas devoir recommencer encore et encore le défi proposé…

En piste !

Pendant la course, volant BIEN réglé, l’ IA est très agréable. Prévisible (dans le bon sens du terme) mais combative, ses placements sur le circuit sont piégeur, disposant de stratégies pour vous fermer la porte en entrée de courbe, les courses sont vraiment prenantes des l’extinction des feux !

 

 

L’immersion est aussi aidée par un système de communication avec votre ingénieur de piste. Si on enlève tous les affichages disponibles à l’écran (positionnement, état des pneus, etc) ce  lien unique avec les informations provenant du monde extérieur nous plonge alors vraiment dans la course et est suffisamment complet pour pouvoir gérer  sa course ! Vraiment un plus (mais attention, à mettre en anglais pour avoir une intonation correcte des messages radio). Mais un gain immersif en intégrant la VR sur cet opus 2021 aurait été le must !

En résumé, nous avons vraiment pris du plaisir à jouer à ce titre. Si vous ne possédez pas F1 2020, ce F1 2021 est un très très bon jeu de course et de gestion. Avoir la saison en cours est un plus, surtout si l’on suit le championnat et les dernières séries en vogue sur la F1 sur NETFLIX. Ce jeu est surtout prenant en course et complet en contenu, il joue sur différents niveaux, ce qui change d’un jeu de course plus traditionnel.

 

Configuration PC :  RTX 3080, AMD 5800 X de chez Ludisys, écran ELITE XG270 de Viewsonic.

Article écrit par Adrien Barthou et Alexis Dumétier

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NEXT GEN 2021, LE PC GAMER

La rédaction de BLAKE magazine vous propose sa configuration PC gamer Next Gen 2021.

Les consoles PS5 et XBOX séries X sont sorties, enfin pour les chanceux qui ont réussi à les obtenir, le jeu vidéo de salon entre dans une nouvelle aire vidéoludique. Les PC ne pouvaient pas être en reste. C’est pour cela que les constructeurs AMD et NVIDIA avaient prévu de sortir leurs nouvelles cartes graphiques (GPU) et processeurs (CPU) pour la fin d’année 2020. Mais voilà la Covid 19 passant par là, les chaînes de montage du monde entier ont tourné au ralenti, ce qui a engendré une très faible production des composants informatiques. Les demandes furent énormes et les prix ont flambé.

Fin 2020, nous avions tout tenté pour nous équiper et tester les nouveautés du marché afin de vous partager nos découvertes. Mais il était quasi impossible d’obtenir du matériel. Après des semaines de recherches sur Amazone, LDLC, ou autres sites spécialisés, mais aussi en contactant les agences de presse des marques rien n’y faisait. Les GPU et CPU dernières générations étaient aux abonnés absents.

Nous avons pu, grâce à David, le propriétaire de Ludisys, une boutique d’informatique bretonne, concevoir LE PC gamer Next Gen 2021 que la rédaction de BLAKE souhaitait mettre en oeuvre pour tester les derniers composants du marché.

Nous avons baptisé avec humour, ce PC : le KRAKEN

Sa fiche technique est pensée pour être optimum. Il possède une carte graphique NVIDIA par Gigabyte Eagle RTX3080 10GDDR6X , un processeur AMD 9 5800X (3.8/4.6GHz 12-core), une carte mère MSI B550 Gaming Edge, 32GO de Ram de chez Corsair, les Vengeance RGB 3600Mhz.

Pour refroidir ce système amené à chauffer lors de nos tests, des test de jeux à venir et des phases d’utilisation pour les applications de montage vidéo, nous avons choisi la dernière création de NZXT, le Kraken Z73. Ce choix est tout aussi cosmétique que utile, nous vous le concédons.

Et pour alimenter cette bête de course, il fallait une grosse alimentation qui tiendrait la cadence, nous avons opté pour Alimentation Enermax Revolution DF 850W 80+GOLD Modulaire.

Le tout dans un boîtier parmi les plus fiables et bien ventilés de chez Corsair, le 465X Noir RGB, car il faut bien être au niveau de tout le matériel que l’on va mettre dedans.

Les tests

Lors des premiers tests CPU et GPU fait avec PASSMARK, les chiffres de Performance Test étaient clairs, la machine tourne fort, elle fait partie des 10 % des machines testées les meilleures du marché. Nous vous laissons apprécier les chiffres car les tests restent des tests et rien de mieux que de mettre la machine en situation réelle de jeux et de travail.

Les jeux vidéo

Pour tester les capacités de ce PC Next Gen, nous avons pu collaborer avec les studios qui ont mis au point les derniers jeux les plus gourmands en matière de performances.

La vidéo faite dans cet article vous en donne un bref aperçu.

-Asobo studio et Microsoft nous ont permis de tester Flight Simulator, et grâce à la RTX3080, le jeu tourne en ultra, il est fluide, très fluide et les heures de vol sont un vrai régal des yeux ; nous avons même pu tester le jeu VR avec l’Oculus Quest 2. Evidemment moins beau en rendu, car la VR dégrade le rendu, mais follement immersif.

-Rockstar nous a aimablement permis d’essayer Red dead redemption 2, et le rendu est au rendez-vous, les textures, les arbres, l’herbe dans les immenses étendues du jeu, ou encore les villes pleines de monde, chevaux et chariots en tout genre. Tout s’anime de façon fluide, le rendu des couleurs est magnifique. Le jeu a tourné en Ultra et l’univers western de Red dead redemption 2 avec cette qualité graphique est grisant.

-L’équipe de Codemasters nous a offert l’early access de leur dernier DIRT 5, dans ce jeu de voitures très fun et orienté arcade, les courses sont palpitantes et prenantes. Malgré le nombre conséquent d’autres véhicules, les météos diverses et les terrains de boues, de neige et de glaces, le jeu tourne merveilleusement et l’on se prend à faire championnats sur championnats. Un jeu avec beaucoup de Fun.

-Pour tester le DLSS, qui remplace le raytracing Bloober team, qui est sorti tout récemment The Medium, nous a fait confiance et nous a permis de découvrir ce jeu où deux mondes se regardent en miroir, celui des morts et des vivants, du présent et du passé, et où l’héroïne peut passer de l’un à l’autre. Notre configuration PC Next Gen 2021 a su rendre honneur à ce jeu pensé presque comme un film et où les cadres sont soignés et les lumières travaillées pour vous plonger dans une ambiance pesante et forte.

Nous avons tenu à tester également Cyber Punk 2077, de chez CD projekt. Le jeu tant attendu par les gamers, et aussi attendu pour faire trembler les dernières générations de GPU et CPU ; et même si le jeu a essuyé des critiques fondées, notamment pour les possesseurs de console. Avec un PC Next Gen 2021 comme celui que nous testons, le jeu s’avère magnifique. Les effets de lumières et de réflexions sont dingues, le jeu vous attrape et vous emmène dans un futur dystopique et cybernétique. Pour nous, ce jeu annonce véritablement ce que vont être les nouveaux jeux à venir en terme de graphisme.

Pour clore les tests de jeux, il n’était pas possible de ne pas tester la réalité virtuelle. Nous avons à la rédaction un Oculus Quest 2, nous avons branché le casque à notre PC Next Gen 2021 et fait tourner notamment Onward, un jeu de tir en ligne de Downpour Interactive. Le jeu tourne merveilleusement, aucun lag, les textures sont très bonnes, la réactivité excellente. Notre “Kraken” montre là encore toutes ses capacités.

Le PC Next Gen 2021 de la rédaction est donc officiellement prêt pour le futur du jeu vidéo.

Pour parfaire ce test de capacité, nous avons utilisé le logiciel de montage Avid Media composer. Un logiciel utilisé pour les montages télévision mais aussi cinéma. Que ce soit en lecture, montage, compression ou export, notre PC Next Gen a montré des capacités excellentes et des temps d’exécution minimum.

Il s’avère donc que notre PC Next Gen est aussi performant en gaming qu’en application. Il a passé tous les tests haut la main.

Les périphériques

Pour accompagner cette configuration, il fallait un écran gamer puissant et de dernière génération également. Nous avons opté pour le Viewsonic XG270QG. Un écran WQHD soit une résolution native de 2560 x 1440 pixels, avec une dalle IPS. De 165 Hz – 1 ms des temps de réponse parfaits pour le gaming. Le rendu des couleurs est somptueux, sa luminosité et sa taille en font des partenaires de jeux parfaits. Le rapport qualité prix parfait sur le marché en terme de gaming.

Pour magnifier les sessions de jeux, il fallait un système de son à la hauteur et quoi de mieux que JBL et leur dernière série de casque et enceinte Quantum, avec le casque gaming Qauntum One, confortable, pratique et beau. Pourvu de boutons et molettes sur les écouteurs, vous avez tout à portée de main et rapidement, sans compter le petit pad déporté qui permet un accès rapide au volume pour basculer du volume du tchat au volume du jeu pour les parties de jeux en ligne. Ce casque est particulièrement beau avec son réseau de veines lumineuses RGB qui lui donne un look très futuriste.

Pour les sessions musiques et jeu solo, ou encore les heures de montage vidéo rien de mieux que de bonnes enceintes. Les Quantum duo de JBL sont parfaites, le rendu du son est excellent et les basses bien présentes sans baver. De plus, elles peuvent développer une belle puissance d’écoute. La série Quantum est accès gaming et du coup les enceintes aussi sont équipées RGB et de la plus belle des manières avec des programmes différents, mais qui réagissent en fonction de la nature de ce que vous écoutez et de son rythme.

Qui dit PC gamer Next Gen dit clavier et souris gamer, pour cela nous avons été épaulés par Steelseries, avec le top de leur gamme : le clavier Apex pro, ultra réactif, robuste et performant ; ce clavier mécanique est tout simplement le meilleur. C’est simple à la rédaction, on se bat pour l’avoir : confortable et avec un toucher qui est aussi agréable pour la bureautique que ultra performant pour le gaming. Plus la technologie OLED complètement paramétrable qui vient parfaire l’ensemble de cette configuration PC Gamer Next Gen.

Et, avec la souris gaming Steelseries Rival 600, le combo est parfait, cette souris est équipée d’un capteur optique TrueMove 3+ ultra précis et en plus vous pouvez répartir des poids selon votre envie dans le corps de la souris.

Le tout sur un tapis de souris XXL T21 de chez Skillcorp avec un bandeau RGB, gamer effet assuré.

Pour finir, ce test il fallait un disque dur externe pour soutenir cette configuration PC Gamer Next Gen 2021. Aujourd’hui, tout est dématérialisé, la musique, les films, les séries, les jeux, les photos, les souvenirs en tout genre. C’est Western Digital qui nous a fait la sympathique proposition de tester leur tout dernier WD_Black D10 de 8To. Un disque mécanique qui tourne jusqu’à 7200tr/Min. Il est fait pour le gaming. Et nous l’avons éprouvé. En effet, les jeux qui furent installés dessus répondaient parfaitement, sans faire sentir aucune latence. Certes le SSD est merveilleusement silencieux mais encore cher. Et cette solution proposée par Western Digital est très très intéressante pour les gros gamers et les gourmands d’espace disque.

Le confort

Pour installer cette magnifique configuration de PC gamer Next Gen 2021 et être confortable pour les heures de jeux et de travail, il fallait un duo bureau / chaise ergonomique.

Le bureau est le dernier de la marque française REKT, c’est le Rgo touch desk 140, grand, robuste et surtout qui peut passer de 73cm de hauteur à 118cm de hauteur et supporter 150 kilos, ce qui laisse de quoi mettre votre PC et deux écrans. Et ainsi vous permettre de travailler assis mais aussi debout pour soulager votre dos. Cela s’avère être très très très utile et un vrai plus comparé au bureau classique. Cela fait partie des innovations que l’on essaie et dont on ne peut plus s’en passer. De plus, le plateau du bureau possède un éclairage Led RGB pour rester dans l’esprit gamer mais surtout d’une zone de recharge à induction pour les téléphones portables équipés et des prises USB très fonctionnelles.

 

La chaise n’est autre que la Rolls Royce des chaises gaming, je dis ça car c’est une véritable chaise étudiée par des ergonomes. L’association de Logitech et le bureau de design Hermann Miller a donné naissance à la chaise gamer Embody qui laisse les autres très loin. Son look ! Fini les sièges baquet type course de voiture. Mais c’est sa technologie qui le rend admirablement confortable pour le dos et les positions de travail et de jeux. Fin du fin, son revêtement est étudié pour éviter de faire et contenir votre transpiration. Son prix vaut largement le bien être qu’elle vous offrira.

Tout ceci est notre proposition de PC Gamer Next Gen 2021, notre volonté était d’imaginer vous proposer le mieux de ce qui ce fait actuellement. Pour la configuration du PC nous vous encourageons à vous rapprocher de David de Ludisys qui, en plus de son grand professionnalisme est à votre écoute selon vos besoins. Foncez-y ! Mieux vaut faire travailler les petits artisans que Amazon. Et en plus, ce ne sera pas plus cher !

-Pour le PC, www.ludisys.com

– Le Kraken, Prix : 2958 euros

 

– Viewsonic XG270QG, Prix : 769 euros

– JBL, Quantum One, Prix 249 euros

– JBL, Quantum Duo, Prix : 149 euros

– Clavier Steelseries Apex pro, Prix : 229,99 euros

– Souris Steelseries Rival 600, Prix: 89 euros

– Skillcorp XXL T21, Prix : 49,90 euros

– Western Digital Black 8To, Prix : 199, 99 euros

– Rekt rgo touch desk 140, Prix : 799 euros

– Logitech & Herman Miller gamer Embody, Prix : 1300 euros

 

Article écrit par Alexis Dumétier

 

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