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POLICE x ZAC EFRON

La nouvelle campagne Police met en lumière le lancement de la collection de lunettes Printemps Été 2025 et met en vedette l’acteur et producteur Zac Efron, qui incarne l’essence de la marque emblématique du Groupe De Rigo.



Dans cette campagne inédite, l’artiste met en avant son talent d’acteur et place Police au cœur des visuels. Le résultat présente une série de clichés intimes et puissants qui redéfinissent la masculinité sous un prisme plus libre et moins stéréotypé. Brian Bowen Smith, photographe de renom connu pour ses collaborations avec les plus grandes stars du cinéma et les principaux créateurs de mode, capture ces portraits exclusifs et artistiques. Le récit de la campagne s’articule autour de l’audace, une qualité intrinsèque à l’ADN de Police, que l’on retrouve dans ses designs raffinés et emblématiques. Cette audace s’exprime de manière nouvelle à travers la personnalité multiple et nuancée de Zac Efron.



Efron, avec une carrière impressionnante à la fois au cinéma et à la télévision, est l’un des talents les plus prisés d’Hollywood. Il s’est fait connaître en jouant le rôle principal dans la trilogie culte High School Musical, qui a remporté un Emmy Award. Depuis, il a marqué les esprits grâce à ses performances remarquées dans Hairspray (2007), 17 ans encore (2009), The Greatest Showman (2017), A Family Affair (2024) et The Iron Claw, un film salué par la critique et réalisé par Sean Durkin. Cette même année, il a reçu une étoile sur le Hollywood Walk of Fame. En outre, en 2020, il a produit et animé la série documentaire Netflix Down to Earth, où il explore, sur deux saisons, des modes de vie durables à travers le monde aux côtés de l’entrepreneur Darin Olien, un sujet qui lui tient particulièrement à cœur.

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Police bâtit son succès sur l’authenticité et la passion, ce qui fait de la marque un symbole mondial de style et d’audace. Ces valeurs font de Zac Efron l’ambassadeur idéal pour incarner une nouvelle vision de la masculinité : moderne, respectueuse de l’environnement, et capable de se réinventer tout en restant fidèle à lui-même. Avant lui, des icônes comme Bruce Willis, George Clooney, Antonio Banderas, David Beckham, Neymar Jr. et Lewis Hamilton ont représenté l’homme contemporain de Police.


« Nous sommes ravis de collaborer avec Zac Efron, un acteur d’un talent exceptionnel et en constante évolution, qui représente parfaitement le style et l’identité de Police », déclare Barbara De Rigo, Directrice Marketing de De Rigo. « Ce partenariat reflète la fusion entre le charisme et la personnalité de l’artiste et l’identité forte et distinctive de Police. »
« J’ai toujours adoré la marque Police, et ce fut un véritable plaisir de travailler avec eux », confie Zac Efron. « J’ai particulièrement apprécié rencontrer toute l’équipe au cours de cette expérience. C’est un groupe de personnes incroyablement talentueuses. Je pense que nous avons créé du contenu vraiment exceptionnel—j’ai hâte de découvrir ce que le public en pensera ! « 

www.policelifestyle.com

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Nino CERRUTI – Un succès de légende.

Le créateur de mode et entrepreneur Nino Cerruti est mort en Italie, à l’âge de 91 ans dans un hôpital de Verceil, dans le Piémont (Nord-Ouest), où il se trouvait pour une opération à la hanche. « C’est un géant parmi les entrepreneurs italiens qui s’en va », a réagi le vice-ministre du développement économique du pays, Gilberto Pichetto.

Nino Cerruti en Mars 1985

Entreprendre sans jamais douter

Créé en 1881, date mythique accolée à la marque aujourd’hui, la fabrique des frères Cerruti est implanté à Biella dans le Piémont (nord de l’Italie). En 1950, Nino Cerruti, âgé de 20 ans, entrepreneur dans l’âme, reprend l’entreprise léguée par son père, décide de créer la marque et la transforme en une référence dans le domaine du prêt-à-porter de luxe.Il présente sa première collection pour homme en 1957, à l’avant garde de la mode masculine.

Dans les années 1960, il rencontre un jeune styliste, Giorgio Armani, de quatre ans son cadet, et l’embauche comme créateur pour hommes. Le tandem, qui a profondément marqué le monde de la mode, se sépare une décennie plus tard, lorsque Giorgio Armani décide de fonder sa propre maison.

En 1967, la marque Cerruti 1881 est créée et la maison installe sa boutique et son siège social à Paris, place de la Madeleine. Nino Cerruti avait introduit le « casual chic » dans la mode masculine haut de gamme en inventant, dans les années 1970, la première veste déconstruite. Il était alors passé maître dans le raffinement décontracté, mais estimait que le terme  « élégance » a « un terrible goût de l’ancien », lui préférant le concept de « style »« Avoir du style, c’est mélanger culture et art », disait il. Nino Cerruti ajoute bientôt à sa collection homme, une ligne femme dès 1976 et un parfum en 1978.

Dans les années 1980 et 1990, Cerruti se diversifie avec de nouveaux ‘labels’ : Cerruti Couture, Arte, Cerruti Jeans, Cerruti Brothers. La marque se développe et s’implante aux États-Unis sur Madison Avenue à New York en 1999, puis en Asie en 2000 avec sa boutique de Hong Kong, suivie de Saint-Tropez, Munich … pour devenir une des plus importantes marques de prêt-à-porter de luxe et de parfum du monde.

Plein feux sur le cinéma

La collaboration entre la maison Cerruti et le cinéma est totalement impressionnante. Bien peu de couturier ont à ce point apporté leur talent à la création de personnages mythiques.

En 1980, il habille en compagnie de Giorgio Armani, son ami, l’acteur Richard Gere pour le film qui lancera sa carrière et en fera une star : « American gigolo ».

En 1986, il créera pour la première fois la garde-robe de Michael Douglas et Kathleen Turner pour « Le Diamant du Nil ».

En 1987, son talent contribue à recrée avec brio l’atmosphère du Chicago des années 1930 pour le film de Brian de Palma, « les Incorruptibles » avec Kevin Costner, Robert de Niro, Andy Garcia et Sean Connery.

La même année, il habillera le démoniaque Jack Nicholson de couleurs pastels dans « Les sorcières d’Eastwick ».

En 1989, il retrouve le duo Michael Douglas et Kathleen Turner dans « La guerre des Rose » de Danny de Vito.

En 1990 il travaille à nouveau avec le cinéma pour le film à succès « Pretty Woman » de Garry Marshall, avec Richard Gere et Julia Roberts, et habille aussi l’élégante et fascinante silhouette de Jérémy Irons dans « Le mystère Von Bulow ».

En 1991, sa vision des personnages torturés par leurs secrets et leurs névroses cadre parfaitement avec la froideur du film « Le silence des agneaux » avec Jodie Foster et Anthony Hopkins.

Et en 1992, c’est Sharon Stone qui décroisera ses jambes en robe blanche dans le sulfureux « Basic Instinct »de Paul Verhoeven.

Arrivée totalement inconnue lors de la projection du film au festival de Cannes, Sharon Stone en ressortira avec le statut de « Sex Symbol », 122 minutes plus tard.

Nino Cerruti & Sharon Stone

Toujours en 1992, il aidera Robert Redfort à faire à Demi Moore sa « Proposition indécente » dans son très élégant costume blanc, 

et encore dans de nombreux autres films comme en 1995 « Prêt-à-porter » de Robert Altman avec Marcello Mastroianni, Sophia Loren, Kim Basinger, ou en 1998 avec « Quelques jours avec moi » de Claude Sautet avec Daniel Auteuil, Sandrine Bonnaire, Jean-Pierre Marielle, Vincent Lindon…  A la ville, Jean-Paul Belmondo et l’Italien Marcello Mastroianni, aimaient porter ses costumes.

Grandeur et décadence

En 2000, Nino Cerruti accepte de céder une partie de sa société, mais pour divergence d’opinion avec ses nouveaux financiers, il décide son retrait définitif en 2001. Malgré son départ, la maison Cerruti s’est adaptée aux tendances de la mode et a su s’entourer de jeunes designers tels que Narcisso Rodriguez, Roberto Menichetti et Istvan Francer, Jean-Paul Knott et bien sûr Jason Basmajian de 2015 à 2019, tout en conservant un style à la fois classique et chic, totalement à l’image de l’homme qui à fait sa renommée internationale.

Parmi ses multiple activités, Nino Cerruti, avait été le designer officiel de l’équipe de Ferrari en Formule 1 en 1994 et fût nommé Chevalier du travail en 2000.

Nino Cerruti avait vendu à des investisseurs italiens sa marque « Cerruti 1881 » en 2001. Celle-ci avait été cédée ensuite à un fonds d’investissements américain pour être finalement revendue au groupe chinois Trinity. Le groupe Trinity, propriétaire de la maison Cerruti 1881, mais également de Gieves & Hawkes et Kent & Curven, vient d’être placé en liquidation en ce début d’année. L’absence de stratégie depuis le départ de Jason Basmajian et la carence de fonds propres risque d’augmenter la difficulté pour la maison de saisir d’éventuelles opportunités. Pour l’heure, l’avenir de CERRUTI 1881, maison fondée il y a 141 ans, semble incertain.

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LACLOCHE, JOAILLIERS 1892-1967

Pour la première fois, une exposition du 23 octobre au 20 décembre 2019 et un ouvrage rendent hommage à Lacloche, maison de joaillerie emblématique en Europe de 1892 à 1967.

Paire de boucles d’oreilles de style Egyptien

La Belle Époque de la maison Lacloche

La maison Lacloche fut l’une des gloires de la joaillerie parisienne, de la Belle Époque aux années 1960. Établie rue de la Paix en 1901, elle était également présente à Madrid et Londres et disposait de succursales à Nice, Biarritz, Saint-Sébastien, Cannes, Deauville.
Lacloche Frères, puis Jacques Lacloche, qui ont débuter modestement rue de Châteaudun en 1892, et ont pourtant fini parer des têtes couronnées – la reine Victoria d’Espagne, Édouard VII d’Angleterre, les rois de Grèce et de Siam -, des personnalités de l’aristocratie, telle la duchesse de Westminster, ainsi que des stars d’Hollywood, dont Grace Kelly. Toutes pièces de la maison Lacloche étaient conçus par les meilleurs ateliers parisiens, comme Strauss, Allard, Meyer ; Verger ; Helluin-Mattlinger ; Langlois ou Rubel… dont les noms sont mis en lumière dans cette exposition comme dans l’ouvrage qui lui est consacré.

C’est la première fois qu’une exposition est dédiée à la créativité de ce joaillier. Elle est organisée alors que paraît l’unique monographie sur cette brillante famille de joailliers par Laurence Mouillefarine, également co-auteur de l’ouvrage.
À travers des bijoux, des pendules et pendulettes, des nécessaires de beauté – la spécialité des Lacloche – et des documents d’archives, la rétrospective illustrera, tour à tour, le naturalisme propre à l’Art nouveau, l’Egyptomanie et l’engouement pour l’Extrême-Orient au temps des Années folles, le modernisme de l’Art déco, la fantaisie séduisante des années 1950.

L’apogée de la maison Lacloche

Loelia Ponsonby, duchesse de Westminster,1931 – © The Cecil Beaton Studio Archive at Sotheby’s

Toutefois, le point d’orgue de cette rétrospective inédite sera l’évocation d’un événement devenu historique : l’Exposition internationale de 1925 qui se tint à Paris durant six mois. Une longue chasse aux trésors a, en effet, permis de retrouver, aux quatre coins du monde et auprès de collectionneurs privés, des joyaux que les frères Lacloche déployèrent sur leur stand lors de cette manifestation mythique. Des bracelets, des broches, des pendulettes, des boîtes qui, tous, éblouissent par leur élégance et la délicatesse de leur fabrication.

Devant de corsage – Platine & diamants

Entrée libre du lundi au samedi de 12h à 19h au 31 rue Danielle Casanova 75001

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Eastpak – A day in Palm Springs

Eastpak célèbre une nouvelle fois son patrimoine américain en nous faisant découvrir sa collection Spring Summer 2019 à PALM SPRINGS, la ville “cool” et « trendy » par excellence et berceau du mouvement architectural des années 60 : le « desert modernisme ». Au cœur de leurs conceptions se trouvent les ide?es alors tre?s en vogue : fonctionnalite?, esthe?tique, lignes pures et nouveaux mate?riaux ont la cote. A? la différence des mouvements internationaux de la me?me e?poque, le modernisme de Palm Springs s’inscrit dans une volonte? de de?cloisonnement et d’ouverture, de simplicite? et de minimalisme. 

Située à deux heures de Los Angeles, Palm Springs fût un véritable terrain de jeux entre 1940 et 1960 pour des architectes célèbres comme William F. Cody qui réalisa la Cody Glass House, qui devint le lieu d’une des scènes culte d’un James Bond, « On ne meurt que deux fois », ou Albert Frey et sa Albert Frey House ou encore E. Stewart Williams qui construisit la Marjorie Edris House en 1954 pour Bill et Marjorie Edris.

La ville compte une des plus grande concentration de villas datant de cet age d’or. De nombreuses stars hollywoodiennes venaient y chercher le repos et la tranquillité, loin du tumulte de la vie à Los Angeles, et surtout car les contrats de l’e?poque exigeaient des vedettes qu’elles restent en tout temps et sauf autorisation exceptionnelle a? moins de deux heures d’Hollywood. Clark Gable, Cary Grant, Ginger Rogers, Zsa Zsa Gabor, Kirk Douglas, Bing Crosby ou encore Frank Sinatra ont demandé aux plus grands architectes de l’époque de leur construire une demeure moderne avec piscine en accord avec les goûts très moderniste et épuré de cette époque, cachée dans les rochers et le sable du désert californien. 
Un terrain de jeux de prédilection pour le talentueux photographe Seb Zanella .
Il lève le voile sur la beauté et la mélancolie de cette ville californienne, capture avec brio l’âme des voyageurs Eastpak et propose des clichés qui représentent parfaitement l’esprit de la marque : « vivre librement sans encombres »

Photographe : Sebastien Zanella – Directed By : Olivier Saint-Jours

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L’Hôtel InterContinental® Los Angeles Downtown.

InterContinental Hotels Group (IHG), l’un des leaders mondiaux de l’hôtellerie de luxe, est fier d’annoncer l’inauguration de l’hôtel InterContinental® Los Angeles Downtown. Avec ses 335 mètres et ses 73 étages, l’hôtel l’InterContinental® Los Angeles Downtown domine désormais le paysage de Los Angeles et s’impose comme le plus haut bâtiment de tout l’ouest des États-Unis jusqu’à Chicago.


Le Wilshire Grand Center, qui abrite l’hôtel InterContinental et dont la construction a coûté pas moins de 1 milliard de dollars, s’élève dans l’hyper-centre historique des arts et des affaires de Los Angeles, à quelques rues du Staples Center et du L.A. Live. S’inscrivant dans le cadre de l’expansion d’IHG vers la côte ouest et de la croissance globale du portefeuille du groupe, l’établissement iconique est désormais le plus imposant InterContinental sur le continent américain. L’hôtel dispose de 899 chambres au design raffiné, réparties entre le 31e et le 70e étage, où se situe le premier hall d’accueil « à ciel ouvert » de Los Angeles, qui offre aux hôtes, dès leur arrivée, une vue imprenable sur la ville.

Les hôtes peuvent choisir entre cinq espaces de restauration et univers culinaires différents, à commencer par le Lobby Vodka Bar & Lounge. Ils pourront y savourer des cocktails classiques revisités ou encore le célèbre Lobby Burger, dans un décor faisant écho au glamour et à la modernité de L.A. Le voyage se poursuit au Sora, situé au 69e étage, qui accueille ses convives dans un cadre à la fois chic et intimiste. Le restaurant propose des omakase confectionnés à la demande et des sushis fraîchement préparés qui défilent sur un tapis roulant, le tout accompagné d’un whisky importé directement du Japon. Au 69e également, le Dekkadance se veut une destination de tous les jours et un véritable tour du monde culinaire. Les clients peuvent faire leur choix parmi une vaste carte de spécialités préparées sous leurs yeux : pizzas napolitaines, viandes et pâtisseries.


Au 71e étage, La Boucherie convie les adeptes de grillades à une table opulente alliant traditions culinaires californiennes et gastronomie française. Pour les occasions spéciales, le restaurant dispose d’alcôves privées. Le cellier propose un choix unique de 1 200 crus, qui se marieront parfaitement avec les mets préparés à partir de viandes en provenance de toutes les régions du monde, notamment du boeuf de pâturage ou du filet de boeuf Wagyu tranché. Des crustacés et poissons de première qualité figurent également à la carte.

Dernière étape de cette épopée culinaire, et non des moindres : le Spire 73, où les convives peuvent se retrouver, au 73e étage, pour siroter des cocktails innovants, entourés de braseros et de fontaines, dans le plus haut bar à ciel ouvert de tout l’hémisphère ouest, et profiter d’une incroyable vue à 360° sur la ville et le toit des immeubles.

 

 

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CENTENAIRE: une collection en édition limitée pour les 100 ans de PERSOL

À l’occasion de son centenaire, Persol célèbre le charme emblématique de ses modèles iconiques en édition limitée.

Nom de code PO 9649SG. Véritable chef-d’œuvre d’artisanat italien, ce nouvel iconique dévoile pour la première fois une flèche et des charnières en or 18 carats. Un projet précieux et exclusif, réalisé à la main en seulement 200 exemplaires numérotés. Les gravures exclusives en or réalisées à l’intérieur des branches indiquent le tirage limité et la date de célébration du centenaire de Persol, et font de chaque paire une pièce unique. Le marquage de la mention or 750 figurant à la base de la charnière à flèche contribue à faire de 9649SG Limited Edition une création encore plus prestigieuse.

PO 6649S. L’iconique modèle 9649 évolue avec l’utilisation de la nouvelle Flèche Flex au design unique. Synonyme «d’italian way of life», et depuis toujours symbole d’un style caractéristique pour de nombreuses stars de cinéma, le modèle enrichit aujourd’hui sa gamme avec de nouveaux acétates historiques issus des archives de la marque.
Les deux premières versions font partie de l’édition limitée qui célèbre le centenaire de Persol, et sont caractérisées par la date du centenaire gravée sur or à l’intérieur des branches.

1917-1930. L’opticien et photographe italien Giuseppe Ratti lance la production des Protector, des lunettes pour les pilotes de l’aviation italienne, puis américaine et suisse. Gabriele d’Annunzio porte les Protector à l’occasion de son vol historique au-dessus de Vienne le 9 août 1918. Le «cinesino» («petit chinois») devient le symbole du magasin Berry de Ratti et de ses lunettes.

1930-1950. Les lunettes Persol, contraction de « per  il sole » (« pour le soleil »), deviennent synonyme de design.
Les caractéristiq­ues exclusives des modèles Persol inno­vants sont leur design épuré, leurs verres minéraux, leur Flèche (détail fonctionnel et ornement unique)
et Meflecto, un système breveté pour rendre les branches flexibles et offrir un maximum de confort.

1950-1970. En 1957 apparaît le modèle qui deviendra une icône, le 649, créé pour protéger les traminots de la poussière et du vent. Mastroianni porte le modèle 649 dans le film « Divorce à l’italienne », et Steve McQueen le choisit pour sa vie privée comme pour le célèbre film « L’Affaire Thomas Crown ». La lunette gagne ses lettres de noblesse grâce à ces deux monstres sacrés du cinéma international.

1970-1990. Persol poursuit sa vocation de recherche et développement technologique en créant des lunettes toujours plus innovantes, de l’expédition aux îles Svalbard en Norvège au parrainage de nombreuses éditions du Paris-Dakar. Les astronautes russes parachutés pour des exercices de survie utilisent des lunettes Persol dotées de verres polarisants multicouches.

1990-2000. En 1991, la première boutique Persol est ouverte sur le mythique Rodeo Drive de Beverly Hills. En 1995, Luxottica reprend la marque: dès lors, Persol s’affirme parmi les marques de lunettes de qualité et design, tout en conservant ses racines et sa fidélité à la qualité. Son lien fort avec le cinéma perdure: Persol continue d’être porté par de grands noms du cinéma international.

2000 – 2017. Aujourd’hui, Persol est une marque qui exprime une qualité, une culture et un style 100 % italiens.
Les créateurs et concepteurs continuent à imaginer et donner forme au futur de Persol à travers l’innovation incessante de chacune des facettes de ses lunettes. Aujourd’hui, plus que jamais, l’histoire de Persol  se poursuit : une aventure qui se nourrit chaque jour de nouvelles idées et de passions.

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LA 403 ou la mythique INDIE BOOT !

UNE EXCLU ALDEN POUR UPPER SHOES PARIS – LE MODELE CULTE DE LA COLLECTION ALDEN

Réalisée en cuir Chromexcel, un cuir gras et très robuste et possédant une semelle est en gomme très résistante, cette boots vous fera entrer dans la légende cinématographique.

En effet, Harisson Ford avait expressément demandé ce modèle aux costumier du tournage de la série des films « Indiana Jones ». Pourquoi? Tout simplement parce qu’il portait la 403 lors de sa formation de charpentier et connaissait ses qualités de confort et de robustesse!

www.upper-shoes.com

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The Canyons de Paul Schrader ou l’ascension de James Deen et la résurrection de Lindsay Lohan .

Après avoir écrit le scénario osé de Taxi Driver, Paul Schrader revient à la réalisation de The Canyons, un thriller psychologique qui ne laisse pas le spectateur indifférent.
Avec un script de Bret Easton Ellis, Paul Schrader a réalisé ce néo-film « noir » en s’intéressant à des sujets de société très actuels, comme l’atteinte à la vie privée ; l’adage du film étant « Plus personne n’a de vie privée aujourd’hui ».
Le film dénonce aussi le déclin de l’Empire hollywoodien par ses décors lugubres comme par ses personnages désenchantés. Paul Schrader et Breat Easton Ellis ont fait appel à une étoile montante du cinéma pornographique, James Deen, connu pour avoir fait ses débuts à l’âge de 18 ans et qui a déjà plus de 1000 films à son palmarès et qui passe ainsi du monde des films pour adultes au cinéma traditionnel, prouvant que Hollywood ne fait pas de différence entre les genres et considère qu’il n’y a QUE des acteurs (et si possible banquable!), et à l’actrice people Lindsay Lohan, plus connue récemment pour ses frasques que pour ses performances artistiques, et qui incarne très justement le mal-être et la désillusion des starlettes et de certaines stars hollywoodiennes.
Film original, notamment par son financement participatif (ou crowfunding), il annonce un genre nouveau et se fait le plaidoyer d’un changement nécessaire à Hollywood.
Inquiétant et tout aussi intéressant, The Canyons est un vrai support de réflexion personnel et sociétal qui est à (re)découvrir en DVD, Blu-ray, VOD et téléchargement définitif le 27 août.

THE CANYONS de Paul Schrader – Scénario de Bret Easton Ellis Avec : Lindsay Lohan, James Deen, Nolan Gerard Funk.

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Anthony Royer: toujours plus haut!

Anthony Royer, acteur, producteur, réalisateur et mannequin, installé à Los Angeles poursuit sa carrière en développant un nouveau projet basé sur le selfie, cet autoportrait instantané réalisé avec un smartphone. Une nouvelle idée originale pour l’auteur de « WE » qui montre ici sa réactivité par rapport au monde qui l’entoure.

Retrouvez Anthony dans cette vidéo et les selfies réalisés dernièrement pour la promotion de ce projet et avec les photos de Blake Magazine.

http://youtu.be/FoChT8Sv-cI

Vous pouvez suivre l’actualité de Anthony Royer sur sa page Facebook: https://www.facebook.com/anthonyroyerofficial?fref=ts

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Cartier: l’histoire d’une légende.

Tout le monde connait « Cartier ». Un nom chanté par Marilyn Monroe, associé à des pierres précieuses et des bijoux mythiques, chargés d’histoires et de malédictions mais finalement, bien peu connaissent la saga de cette maison plus que centenaire qui créa les parures de pratiquement toutes les tête couronnées d’Europe, des Stars de Hollywood, des maharajas d’Inde et des riches héritières américaines à tel point que le futur roi d’Angleterre, Edouard VII, déclara: «Cartier est le joailliers des rois, et le roi des joailliers».

Après avoir été fondée en 1847 par Louis-François Cartier, et ouvert sa première boutique en 1899 au 13, rue de la Paix, suivit de Londres et New-York, Cartier compte aujourd’hui 300 boutiques dans le monde, emploie environ 5 500 personnes, et reste le synonyme du luxe français.

Découvrez son extraordinaire savoir-faire dans l’exposition qui se tient au Grand Palais à Paris, jusqu’au 16 Février 2014.

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