Allez-y !
Le Bulgari Hotel Paris est la dernière création de la collection Bulgari Hotel & Resorts qui compte déjà des hôtels à Milan, Bali, Londres, Pékin, Dubai et Shanghai, auxquels s’ajouteront prochainement ceux de Rome (2022), Moscou (2022), Tokyo (2023), Miami (2024) et Los Angeles (2025). Au cœur du célèbre Triangle d’Or parisien, le Bulgari Hotel Paris est une expérience à part entière aussi bien pensée pour les visiteurs de la ville que pour les Parisiens. Rompant avec les codes traditionnels de l’architecture parisienne, l’élégant bâtiment du Bulgari Hotel Paris enrichit le 8ème arrondissement par son style contemporain.
À l’instar de tous les établissements Bulgari Hotels & Resorts, le Bulgari Hotel Paris a été conçu par le cabinet d’architecture italien Antonio Citterio Patricia Viel. Les espaces intérieurs et extérieurs ont été pensés avec le même souci du détail et la même précision accordés à une création Bulgari, soulignant les codes propres aux établissements développés par la Maison de joaillerie romaine. Le Bulgari Hotel Paris propose 76 chambres, dont 75 % sont des suites, la plupart disposant de terrasses et de loggias. Chaque chambre a été conçue comme un véritable appartement privé, meublé avec soin de marques de mobilier de luxe de la plus haute qualité. Les œuvres d’arts et portraits de célébrités proches de la Maison Bulgari ajoutent la touche de personnalité caractéristique des Bulgari Hotel & Resorts.
Perché sur le toit de l’édifice, le Bulgari Penthouse marque l’apogée de cette philosophie. Sur deux étages et avec une surface de plus de de 1000 m2 dont 400 m2 d’espaces interieurs et 600 m2 d’extérieur, le Bulgari Penthouse dispose d’un jardin suspendu entièrement aménagé et arboré de plantes méditerranéennes et d’arbres fruitiers qui offre une vue panoramique sur les monuments emblématiques de la capitale française.
Le point culminant de l’offre culinaire sera « Il Ristorante – Niko Romito », par le Chef aux trois étoiles Michelin, Niko Romito, qui a élaboré ce concept pour tous les Bulgari Hotels & Resorts, mêlant cuisine italienne classique et moderne, et misant sur les ingrédients essentiels de la culture, de l’élégance et de la vitalité du Made in Italy.
Adjacent au restaurant, le Bulgari Bar est un lieu où s’exprime toute la générosité et l’élégance de l’esprit de la Maison. Ouvrant sur le jardin, Le Bulgari Bar est appelé à devenir l’une des destinations de choix de l’Ouest parisien. Situé juste à côté, le Lounge – avec ses fauteuils profonds, son imposante cheminée et son plafond inspiré d’une minaudière Bulgari – se prêtera à toutes les retrouvailles.
S’étendant sur 1300 m2 et deux niveaux, le Bulgari Spa du Bulgari Hotel Paris offrira lui aussi une expérience inédite grâce à sa piscine de 25 mètres, l’une des plus grande parmi les hôtels de luxe parisiens. L’espace fitness doté des dernières technologies et des méthodes d’entraînement du Workshop Gymnasium, créées exclusivement pour Bulgari par Lee Mullins, inclut également un studio d’entrainement privatif.
Le Club Pierre Charron reçoit dans sa « salle à manger », à deux pas des Champs-Élysées, pour le temps d’un dîner, d’un souper ou juste d’une pause gourmande ses invités. Les tables de ce restaurant bien caché, à la taille d’un boudoir secret, sont loin de la foule et de l’excitation de l’une des avenues les plus fréquentées du monde et en même temps toute proche, de l’excitation des tables de jeux.
Hot truffe c’est comme cela que chez les Artisans de la Truffe l’on voit le Hot-dog. Cette maison souhaite démocratiser la dégustation de la truffe et c’est tant mieux. Rappelons qu’il y a bien longtemps, ce met d’exception était un plat du peuple. On déguste ici la truffe avec les doigts et cela n’en est que plus gourmand.
Hanami Paris c’est le nouveau food court aux saveurs du Japon. Situé aux pieds du Trocadero, sur une terrasse astucieusement placée sous les arbres et bien évidemment face à la Tour Eiffel.
Ce rituel immuable voit traditionnellement affluer les Japonais et les visiteurs du monde entier dans les parcs et jardins du pays, pour contempler les fleurs des cerisiers ornementaux : les sakuras. Et s’offrir un pique-nique sous leurs branches.
Un instant convivial avec son voisin de table, un rire d’enfant sous les arbres en fleurs, ou des pétales qui s’envolent au gré du vent. La contemplation des sakuras est un événement qui se chérit dans l’instant. C’est un moment chaleureux qui n’a lieu qu’une seule fois dans l’année et dont il faut savourer chaque instant avant que celui-ci ne disparaisse. À l’image des fleurs de cerisier elles même qui naissent et meurent en un battement de cil.
Voilà pourquoi à Paris ce lieu est aussi sous les arbres dans un lieu qui impose la contemplation. Ce lieu est fait pour y faire la fête, boire un verre avec des amis ou faire un repas en tête à tête.
Pasco, se situe dans le quartier de la Tour Maubourg, faisant l’angle dans un coin paisible et face aux Invalides. C’est ici que le Chef Guy Martin (Grand Véfour) inaugure la première page d’une belle collection : Maison Guy Martin : « Des tables de cuisiniers, avec une identité propre. Et pour chacune, la volonté de témoigner de l’âme d’un quartier.».
Le restaurant Pasco propose une cuisine française, travaillée avec soin, avec de bons produits et surtout, une cuisine généreuse.
Assis dans ce restaurant qui est particulièrement au calme, dans cette capitale agitée qu’est Paris, les tables ne se touchent pas et laissent à chacun le plaisir de jouir de ce moment de déjeuner ou de dîner, sans être collé à son voisin ; on en oublie le temps du repas où on est ! « C’est presque une adresse de Province en ce qu’elle a de chic et serein. » se réjouit le Chef.
La décoration du restaurant reprend les codes d’une tente napoléonienne, jusqu’au détail d’une lampe à huile sur la table. Le restaurant bénéficie d’un beau volume baigné de lumière qui est apporté par de grandes baies vitrées, qui invitent à la contemplation des Invalides.
C’est Katherina Marx qui signe la décoration du lieu : « Je voulais quelque chose d’élégant mais qui reste simple et chaleureux, je ne voulais pas d’un décor intimidant ou qui prenne le pas sur la compagnie que l’on partage.», confie le Chef. « Pasco, c’est une table conviviale, d’affaires ou de copains selon, pas d’apparat.».
Confortablement installé, au calme, on peut donc ici se concentrer sur la conversation et son assiette : cuisine du marché, aucun compromis sur les produits, et toute une brigade formée au Grand Véfour.
Pasco est fidèle aux principes du Chef : « Travailler chaque assiette avec la même passion et pour chacune, offrir un voyage immobile.”
Du coup, il nous est proposé une carte courte mais où chacun peut trouver de quoi ravir ses papilles. Les plats sont généreusement servis. Toutes les exécutions de plats sont soignées avec le respect de la découpe, des cuissons, que ce soit les viandes ou les poissons, toutes arrosées de jus concentrés. A l’arrivée, c’est une cuisine de marché succulente dont on sent l’ascendant étoilé.
Des plats traditionnels comme les oeufs pochés côtoient de subtiles idées pleines de fraîcheur comme la raviole de crevettes et mangue dans un bouillon de citronnelle et de gingembre qui montre , à elle seule, la qualité d’exécution de la brigade en cuisine. Difficile de passer à côté de la très belle poitrine de cochon fermier divinement tendre et à la cuisson parfaite, qui laisse place au moëlleux et au goutû de cette viande, relevé délicatement par un laqué d’épices douces, sobrement accompagnée d’une purée d’Agria.
Le tout est servi en salle par une équipe attentive et discrète.
Pour ce qui est de la cave, le menu offre une belle sélection courte de vins au verre qui permet de créer des accords satisfaisants avec le menu : un joli Viognier du domaine Montrose, sec sur des notes de miel et de noix, un médoc du château Haut Couloumey tout en violette et fruits noirs avec des tanins fraîchement boisés pour soutenir la poitrine de cochon par exemple.
Cette Maison Guy Martin s’inscrit dans l’ADN du Chef. On retrouve sa signature généreuse et conviviale, un attachement au terroir et ce soupçon d’audace.
Et ce qui est remarquable dans cette adresse, c’est que malgré tout le soin apporté à la cuisine et aux services, ainsi qu’à la sélection des produits, le prix des menus est très appréciable : Menu déjeuner à partir de 26 €, Menu dîner à 31 € et 36 €.
Une belle adresse parisienne pour un beau moment de cuisine et de sérénité !
Pasco – 74, Boulevard de la Tour-Maubourg, 75007 Paris – Téléphone : 01 44 18 33 26
Article écrit par Alexis Dumétier
Les terrasses ont fleuri partout dans Paris et en France en cette année 2020 grâce ou à cause du Covid. Nous vous proposons une petite sélection de lieux sympas pour la rentrée où passer un bon moment, boire de bons cocktails ou déguster une cuisine savoureuse.
Vous aimez la musique live, les cocktails. Vous gardez à l’esprit les soirées plage de votre été qui vous semble déjà si loin : allez au chic et décontracté Barbanegra. Ce lieu dont on vous parle depuis sa création monte en qualité un peu plus chaque année. Le Barbanegara garde son esprit paillote avec une déco encore plus belle, plus de tables et de places assises et son néon fétiche. Des concerts live et des stars de la chanson (Wejden, Neg’marron, Amel Bent, Singuila, …) qui y passent régulièrement.
La Barbanegra – Ouvert 7 j/7 – de 19 h à 2 h – 12, Port de la Rapée – 75012 Paris – Réservations : 01 84 60 60 33
Depuis le 24 août, et pour quelques semaines, l’Hôtel de Crillon, A Rosewood Hôtel ouvre l’accès au rooftop de la Suite Bernstein, la plus secrète de l’établissement. Cette suite située au dernier étage de l’hôtel, surplombe la place de la Concorde. Depuis ses 200 m² de rooftop, elle offre un panorama à 180° sur les plus beaux monuments de la capitale, une vue exceptionnelle. Une nouvelle carte de cocktails a été créée pour l’occasion, une sélection pointue de vins et de champagnes proposée par le Chef Sommelier Xavier Thuizat, des tartines à partager autour de légumes de saison et de charcuterie du Chef Exécutif Boris Campanella ou encore des plaisirs sucrés signés du Chef Pâtissier Matthieu Carlin.
Rooftop éphémère secret de l’Hôtel de Crillon – Ouvert 7 j/7 de 17 h à 23 h
Renseignements – www.rosewoodhotels.com – 10, Place de la Concorde – 75008 Paris
Le ramen à Paris c’est ici qu’il faut le déguster : chez Neko Ramen. Ce plat typique du Japon à base de pâtes et de bouillon de viande ou de poisson. Sedrik Allani est le créateur et le Chef Cuisinier du lieu. Il est parti vivre 6 ans au Japon pour se former à l’art du ramen dans la meilleure école du pays. Il nous propose une cuisine japonaise traditionnelle où tout est fait maison. Deux terrasses sont ouvertes pour vous recevoir, une abritée et l’autre sur rue, entourée de bambous. Les tables en bois traditionnels et les fleurs de cerisiers créent une atmosphère apaisante.
Neko ramen – 6 Rue de la Grange Batelière, 75009 Paris
Réservations : thefork.fr
Le Fridge Comedy, nouvelle adresse créée par Kev Adams en plein centre de Paris. Vous pourrez y déguster des cocktails inspirés des personnalités du cinema et de l’humour de la scène américaine. Une carte de plats à partager et très « finger food », bien élaborés et savoureux. Le lieu est très sympa, la terrasse aussi, pour se poser, déguster tout cela, mais le plus est au sous-sol avec une scène de “comédie club” où vous pourrez venir voir des talents et, rire surtout. Un nouveau lieu de rendez-vous immanquable.
Fridge Comedy – 164 Rue Saint-Denis, 75002 Paris – tel : 01 83 62 40 40
Le restaurant Affinité, a été créé par Shawn Joyeux et Toshitaka Omiya (le duo à la tête d’Alliance, 16/20) avec en cuisine, leur jeune et talentueux second Thibault Loubersanes, qui excelle aux fourneaux. La cuisine ouverte sur la salle laisse aux clients perchés sur les tables hautes, l’occasion de voir le ballet qui se déroule en coulisses et de discuter avec le Chef. La cuisine est raffinée et pointue sans être démonstrative. Les mélanges de textures et de saveurs sont magnifiques, les cuissons parfaitement respectées. Et le dressage des assiettes est superbe. De plus, la sommelière, qui est particulièrement réservée, crée des accords mets et vins élégants. Une adresse à faire absolument.
Affinité – 33, Rue de Bièvre, 75005 Paris – restaurantaffinite.fr – 01 42 02 41 71
Le poke c’est LE plat du moment : bon pour la santé, simple, nourrissant. Une enseigne qui fait partie des premiers à les avoir proposé : Pokawa. Ils ont décidé d’en ouvrir un nouveau sur Boulogne, sur l’artère principale qu’est la rue Jean Jaurès avec, Covid oblige, une agréable petite terrasse bien pratique.
Pokawa – 199 Boulevard Jean Jaurès, 92100 Boulogne-Billancourt
Alessandra Montagne, cheffe brésilienne de Tempero (aujourd’hui fermé), ouvre en septembre 2020 « Nosso » (« Nous » en portugais), toujours dans le 13ème, près du MK2 Bibliothèque. Alessandra a toujours été très soucieuse de faire du locavor et avec Nosso elle va redoubler cette volonté en faisant du zero gaspi : les poissons et les viande seront cuisinés en intégralité. La cuisine mélera influence brésilienne, serbe, croate, costaricaine, et française. Une belle perspective gustative et une immense terrasse pour en profiter.
Une petite exclusivité de sa futur carte en photo :
Nosso ouvrira ses portes au 22, Promenade Claude Levi Strauss, du lundi au vendredi pour le service du midi et du mardi au samedi pour le service du soir.
Article écrit par Alexis Dumetier
Le louis XVI est un bistrot chic avec undécor soigné et chaleureux; il possède un bar en angle large et accueillant, avec une équipe au petit soin. Côté cuisine on penche vers la bistronomie, avec des produits sélectionnés avec soin et des accords de saveurs bien pensés.
Que l’on débute avec le saucisson simple, efficace et particulièrement bon ou une andouille pickles de betteraves, nos papilles disent : “oui !”. Les produits sont tant que possible BIO ou venant de producteurs d’exceptions (une pensée émue pour la canette de Challans, rare et savoureuse).
Les cuissons des poissons ou des viandes sont faites avec justesse. Le paleron de bœuf patate dans sa simplicité bistrotière la plus éblouissante est là pour en témoigner. Jusqu’aux fromages les surprises et les saveurs valent le détour, comme ce Brie noir de la ferme sainte Colombe qui est proposé, accompagné avec une bière blanche corse, parfait.
Guillaume qui s’occupe de la salle est l’âme de ce lieu, il vous guidera sur les plats et encore plus sur sa cave qui regorge de trouvailles. Ils ont un large choix de vins de France, étonnants, déroutants mais aussi succulents. Guillaume sait trouver le vin qui magnifiera le plat tout en réveillant vos papilles à chaque gorgé. Bref allez y les yeux fermés et laissez vous guider.
Le bistrot des amoureux des vins. Un lieu convivial où vous serez servi du petit-déjeuner jusqu’au souper. Ce restaurant qui jouxte bien des théâtres est en plus le lieu parfait pour se régaler après une bonne pièce (le restaurant ferme à 23h30). Le Louis XVI qui a fait peau neuve récemment est un restaurant à faire et à refaire absolument.
Le Louis XVI, 47 Rue des Mathurins, 75008 Paris, France, Tel : +33.01.71.26.54.85
www.lelouis16-paris.fr
Article écrit par Alexis Dumétier
Au cœur d’un Marais hétéroclite et fourmillant, Sinner souffle l’impertinence, le luxe et l’élégance qui caractérisent les plus belles adresses de la capitale.
Laissant présager derrière les vitraux qu’un Paris d’initiés, élégant et joyeux, se joue ici. Festif et insouciant, Paris se libère ici. Avec un sens de la fête ressuscité mais à l’abri des regards.
Restaurant à la langueur électrique le soir, à l’abri des façades végétalisées, on choisit entre grandes tables d’hôtes conviviales ou tête à tête intime à la lueur des chandeliers. La cuisine pensée comme un théâtre est ouverte avec fourneaux apparents où s’agite la brigade du Chef Adam Bentalha.
Adresse singulière dotée d’une gastronomie nomade à la carte métissée, le Chef Bentalha signe pour le Sinner une cuisine comme celle au Kanoun en Afrique du Nord. En puisant dans ces inspirations du désert et d’Amérique du Sud, il décline une carte métissée. On retrouve une cuisine de tribu, à la fois joyeuse, et spontanée qui vient créer le lien et cette simplicité conviviale non feinte. Mêmes échappées lointaines pour les desserts du Chef-pâtissier Yann Brys, qui infuse à ses créations les saveurs de continents baignés de lumière et d’exotisme.
Durant son parcours, le Chef Adam Bentalha a intégré les plus belles brigades étoilées. Chef exécutif du Brach Paris depuis 2018, il a insufflé sa vision nouvelle de la cuisine méditerranéenne : plus légère et créative.
Sinner ouvre ses portes aux parisiens. À l’abri des façades végétalisées, Sinner offre un menu déjeuner renouvelé chaque semaine par le Chef Adam Bentalha. On retrouve une cuisine ethnique, à la fois joyeuse et spontanée et les desserts inspirés du Chef-pâtissier Yann Brys.
MENU DÉJEUNER : 35€ comprenant entrée-plat ou plat-dessert
Et parce que Sinner est un lieu qui vit, évolue et se transforme au fil de la journée, le matin Sinner propose également un petit-déjeuner parisien à 7€ : boisson chaude et viennoiseries maison par Yann Brys, Meilleur Ouvrier de France.
Le Bar du Sinner propose kemiah froides, cromesquis, ceviches, chich kebab, tapioca sauce végétale… Les cocktails inspirés du mysticisme aux noms en latin déclinent le meilleur des cultures et des saisons.. La carte, volontairement courte et équilibrée avec une dizaine de « créations » aux noms évocateurs – coeur pourpre, memento, noma… – privilégie les produits frais et un savoir-faire 100 % fait maison, des infusions jusqu’à la préparation minute. Spiritueux issus de petites distilleries, dont une quinzaine de vieux rhums, une trentaine de whiskys et une belle sélection de gin.
Sinner ne « voit » pas comme tout le monde et ne fait rien comme les autres.
116 RUE DU TEMPLE PARIS 3e T. 01 42 72 20 00
@sinnerparis / sinnerparis.com
Le Windo Skybar rend de nouveau hommage à la Ville Lumière à travers sa nouvelle carte : à 140 mètres d’altitude, les cocktails s’y dégustent armés d’une boussole et d’un esprit d’aventurier, pour mieux découvrir la capitale…
Au 34ème étage du Hyatt Regency Paris Etoile, seul hôtel gratte-ciel de la capitale, la Chef Barman Jessy Lansee s’est inspirée de la skyline parisienne pour imaginer la nouvelle carte du Windo Skybar, résolument innovante et savoureuse. Celle-ci s’attache à réinterprété en d’originales créations les lieux emblématiques de la capitale que les larges baies vitrées du bar permettent d’admirer, à 140 mètres du sol. Chacun associés à un degré, la vingtaine de cocktails de la nouvelle carte nous révèle un tout nouveau Paris. Tel un jeu de piste, le spectateur armé d’une boussole s’offre un tour à 180° sur l’histoire vertigineuse de la capitale.
Parmi ces nouveautés, le détonnant « Rue Mouffetard », potion magique à base de vodka et d’épices, nous plonge dans les contes de notre enfance. « Triomphe » rend quant à lui hommage à deux grands classiques français, le cognac et le champagne, en les modernisant par une originale liqueur d’açai. Mentionnons encore le « Jardin Suspendu » dont les arômes de bergamote et de citron rappellent les serres du célèbre Jardin d’Acclimatation.
Suspendu à 140 mètres du sol, le Windo Skybar est un véritable rendez-vous parisien. Inauguré en 1974, il a accueilli les soirées les plus mémorables, grâce à sa vue imprenable sur le tout Paris. Totalement repensé en 2018 par l’architecte New-Yorkais George Wong, le design du bar s’inspire d’un jardin intérieur privé, au cœur de la ville.
Au rythme des sessions DJ live, on y prend un peu de hauteur pour mieux s’imprégner de la cadence urbaine. Chaque soir, le bar offre la promesse d’un spectacle en tête à tête avec la Ville Lumière…
Du lundi au vendredi, le Windo Skybar met en place les « Golden Hours », de 17 à 19 heures, et propose la deuxième boisson offerte.
Windo Skybar
34ème étage du Hyatt Regency Paris Etoile
3 Place du Général Koenig, 75017 Paris
01 40 68 51 31 – www.windoparis.com
Les Bains font surgir par leur seul nom, tout un monde de vivantes inspirations et d’expériences inouïes, d’avant-gardes excentriques et de pionniers iconiques. Pour saisir l’esprit des Bains, il faut remonter le temps au point d’embrasser le présent de chaque époque. Jusqu’à la nôtre.
Les Bains Guerbois ouvrent en 1885 et deviennent aussitôt le temple parisien du bienêtre
et de la beauté où le Gotha et des artistes tels que, Manet, Zola, Renoir, Proust se retrouvent.
2015, Les Bains se transforment en boutique hôtel 5* et ravivent le club et le Spa. Mais Les Bains ne se résument pas à un hôtel de luxe, un lieu d’émulsion sociale et artistique, un club culte de la nuit parisienne ou une néo brasserie chic. Ils proposent l’expérience d’un nouvel art de vivre, vibrant, connecté, ouvert sur le monde. Ils rassemblent tous les happy few en quête d’un lifestyle ultime à Paris. Ils ouvrent un espace singulier où se savoure la fête et se déploie la créativité. Parisiens et transculturels, historiques et inventifs, hybrides et chics, élégants et accueillants : institution séculaire, les Bains se transfigurent en coeur battant du nouveau millenium.
Le bâtiment est un chef d’oeuvre architectural, fruit d’un héritage aussi riche que varié. Créés en 1885, Les Bains Douches (ou Bains Guerbois) abritent les plus célèbres thermes privés de Paris. S’y croisent l’élite et la Bohême fin-de-siècle dépeintes par Marcel Proust, client assidu. L’immeuble a été conçu par l’architecte Eugène Ewald, qui a bâti la Préfecture de Police de Paris, face à Notre Dame, ou l’Église Saint François de Salles. Outre Les Bains, la Famille Guerbois crée et gère aussi le fameux « Café Guerbois », haut lieu de rencontre intellectuel et artistique immortalisé par Zola et Manet où, de Renoir à Monet, se retrouve le tout–Paris de la Belle Époque.
En 1978, l’immeuble se révolutionne. Le voici salle de concert rock, restaurant et nightclub: les Bains Douches. Il entre dans un nouvel âge d’or et dans la légende – institution culturelle et mondaine au centre de Paris, référence absolue d’un clubbing sublimé en art de vivre, épicentre mondial des médias, du spectacle et des arts.
De tous les pays, on vient s’y imprégner de son vibrant état d’esprit et de son lifestyle unique. Temple de la beauté et de l’art, paradis urbain de la fête toujours précurseur d’une mode, coeur battant de la nuit parisienne et de la culture internationale : pendant trois décennies, les Bains Douches rayonnent.
En 2010, des travaux sauvages entrepris par l’ancien gérant de la boîte de nuit mettent l’immeuble en péril et provoquent la fermeture des Bains. Afin de réinventer et sauver cette icône de la vie parisienne naît « La Société des Bains » sous l’impulsion de Jean-Pierre Marois, dont la famille est propriétaire du bâtiment depuis les années 60.
En janvier 2013, c’est le retour des Bains sur la scène internationale avec une Résidence d’Artistes éphémère initiée par Jean-Pierre Marois qui rend hommage à son ADN artistique. Ainsi, avant rénovation, ce monument épique se mue pendant trois mois en chantier fulgurant offert à la créativité en liberté.
En 2015, s’ouvrent Les Bains du 21e siècle. Ils écrivent une nouvelle page de leur histoire.
Expression de sa renaissance, la métamorphose des Bains découle de trois projets de rénovation exceptionnels, signés Vincent Bastie pour l’architecture de la structure, Tristan Auer et Denis Montel/RDAI pour le design d’intérieur. Autant de talents, de styles, d’approches singulières, décuplés par l’envie de se réunir autour d’un lieu qu’ils adoraient déjà. De ces regards originaux s’est construite une vision commune, portée par
un enthousiasme à la hauteur de l’enjeu. Implantés au cœur de Paris, au 7 rue du Bourg l’Abbé dans le troisième arrondissement, Les Bains s’inscrivent au croisement du Marais médiéval, des Archives Royales et du moderne Centre Pompidou. Dans ce quartier central en rapide mutation se développent nouvelles galeries d’art et concept stores, restaurants bio et marchés alternatifs.
Les Bains, c’est 39 chambres et suites cinq étoiles, une suite très rockstar en penthouse pour accessoirement y dormir, et un salon boudoir pour fermer les yeux. C’est aussi le restaurant Roxo et son bar, écrins culinaires français imprégnés de saveurs du monde, et bien sur le Club, avec programmation sur mesure de concerts, DJ Set et happenings divers.
Ici, le luxe se vit dans l’Histoire et, déjà, au futur. Cette effervescence urbaine offre aux Bains un terreau fécond où s’épanouir en fleuron de la vie parisienne car Les Bains ne dorment jamais.
Le lieu est conçu comme un cercle exclusif au confort ultime, à vivre et expérimenter dans sa totalité, une expérience contemporaine à la vibration diurne et nocturne. Il incarne la quintessence d’un certain Paris, une fusion de « l’ici » et de « l’ailleurs », un lieu hybride ouvert à tous les trend-setters passeurs de frontières. Les Bains forment une manière de club urbain à géométrie variable et aux frontières changeantes, avec lobby, restaurant, bar, lounge, salons, patios, suites, terrasses.
On pourra y déjeuner, goûter, dîner, souper, danser, faire salon, quasiment partout et avec des horaires très souples. Aux contributeurs permanents des Bains viendront se greffer ponctuellement les signatures de « special guests », dont l’âme et la voix se frottent de façon sensible à celle des Bains.
LES BAINS – 7 rue du Bourg l’Abbé – Paris IIIe
Je suis un amoureux du Saké, un alcool à base de riz fermenté. Une boisson qui peut être servie pour l’apéritif ou qui, comme un vin, peu accompagner tout un repas. Tout au long de l’année, pour vous faire découvrir le saké et son univers, je vais vous proposer des événements autour du Saké, des restaurants qui proposent des accord mets et saké, des sélections de cet alcool japonais.
La saké japonais week, est la plus grande campagne de promotion du saké japonais jamais organisée, et se déroule du vendredi 15 février au vendredi 22 février 2019 dans une centaine de restaurants gastronomiques, bistrots et bars français et japonais, situés à Paris. Organisée par le JFOODO (Centre de promotion des produits alimentaires japonais à l’étranger), la Saké japonais week a pour objectif de faire découvrir ou redécouvrir aux Français cette boisson ancestrale japonaise en la proposant gracieusement à la table des restaurants parisiens.
Le saké sera proposé soit à l’apéritif avec une mise en bouche, soit en accords avec des plats spécifiques concoctés par les chefs des différents lieux. Un livret présentant les différents sakés et les accords mets/sakés permet aux clients des restaurants partenaires de s’ouvrir à de nouveaux horizons. Afin de booster l’imagination des Chefs, 5 éléments clefs leurs sont proposés : les sushis, les huîtres, le poulet grillé, le fromage et le chocolat dont ils vont s’inspirer pour magnifier l’essence même du produit. Un verre de saké sera offert aux clients désirant l’un de ces plats. Les sakés séléctionnés sont déjà tous disponibles à la vente en France.
J’ai découvert à l’occasion de cette semaine du Saké un restaurant au cœur de Paris : OYA PARIS, au 24 galerie Montmartre, 75002 Paris. Le propriétaire Kenji Oya (à droite sur la photo ci-dessous) est déjà propriétaire de deux restaurants en Allemagne et sa famille élève elle-même ses bœufs dans la région d’Ozaki sur l’île de Kyushu, dont il importe directement la viande. Chez Oya Paris, le chef propose des huitres et du fromage avec du saké malgré sa spécialité de bœuf. Vous pourrez également déguster des plats de wagyu.
Pour la Saké Week, chez Oya, on peut trouver notamment l’eau du désir 2017 un Saké originaire de la région d’Aichi, de la maison Banjô jôzô. L’accord proposé par le chef se fait sur l’entrée, un velouté de Shungiku et de Burrata. Ce mariage entre fromage et Saké est surprenant et juste. Le Saké contrebalance parfaitement l’amertume du Shungiku (des feuilles de chrysanthèmes) qui évoque l’épinard et le céleri.
Le repas se poursuit sur du Wagyu sous toutes ses formes et ce fut savoureux.
La spécificité de cette viande de bœuf est qu’elle est particulièrement persillée (la viande est criblée de tissu graisseux et savoureux) et le gras de cette viande a une température de fusion très basse, elle fond littéralement entre les doigts mais surtout dans la bouche. Le goût de la viande est particulièrement marqué sur les saveurs d’oléagineuses (noisette, noix,…).
A la fin du repas une surprise, une quenelle de glace de crème pâtissière à base de lard de Wagyu, particulièrement savoureuse, avec de fortes notes d’amande, et plus délicatement de de noix et de noisette. Puis une glace au saké dans une cerise de chocolat, beau et frais.
Oya est un restaurant où la cuisine est un art plein de finesse et de justesse. Si vous voulez découvrir ce qu’est le bœuf Wagyu japonais, c’est ici qu’il faut venir.
Cette semaine du Saké est une belle manière de découvrir la culture nippone en accords mets/saké avec une cuisine japonaise ou française selon le restaurant que vous sélectionnerez. La liste des restaurants participants est disponible sur le site web de la Saké week : www.degustez-sakejaponais.com
Le site du restaurant Oya :
www.oyaparis.eu
Article écrit par Alexis Duméier