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Urbanears, la marque créative suédoise présente un tout nouveau casque circum-auriculaire premium : Pampas. Pour ceux qui refusent de faire un compromis entre l’expérience audio et le style. Urbanears a bâti son succès sur quelques ingrédients simples : un design premium mais minimaliste, des caractéristiques innovantes et ses coloris. Pampas ne fait pas exception à la règle : disponible dans trois coloris trendy et offrant une acoustique optimisée, couplée à un design ergonomique et plus de 30 heures d’autonomie.
Pampas est audacieux avec son design surdimensionné et incomparable. Un look sur
mesure avec des formes ergonomiques douces et arrondies qui vous donnent la sensation
d’une simple extension de vous-même. Recouvert d’un tissu de qualité supérieur, il présente un bandeau matelassé et des pavillons d’écouteurs parfaitement inclinés qui recouvrent entièrement vos oreilles tout en minimisant la pression et en favorisant un environnement sonore bénéfique.
Pampas — Les caractéristiques de la nouveauté:
Coloris: Almond Beige, Charcoal Black et Field Green.
Plus de 30h d’écoute en Bluetooth: Profitez de longues heures d’écoute sans fil avec une simple charge. Câble USB-C de charge fourni.
Confort sur mesure: Conçu pour les très longues sessions d’écoute, le Pampas offre un ajustement souple et personnalisé grâce à un bandeau matelassé et des pavillons d’écouteurs parfaitement inclinés.
Acoustique optimisée: Le Pampas recrée les paysages sonores de votre musique favorite, pour une expérience audio riche et immersive.
Partage de musique instantané: Equipé d’une prise supplémentaire qui vous permet de partager instantanément votre musique avec un(e) ami(e). Branchez simplement un autre casque et laissez-vous emporter par la musique.
Format pliable: Design pliable pour un transport facilité. Pliez-le, rangez-le, c’est parti !
Bouton de contrôle: Vous passez les pistes, vous réglez le volume et vous répondez aux appels tout en vous déplaçant.
Disponibilité et prix: Pampas est disponible depuis le 6 mai 2019 sur urbanears.com, dans les magasins Boulanger et sur boulanger.com
Pour cette nouvelle édition du calendrier des Dieux du Stade, le retour aux sources est de mise. En effet, après de nombreuses collaborations avec des photographes ayant une approche mode ou franchement Arty, cette année, le calendrier des Dieux du Stade avait envie de revenir vers l’essentiel.
Le stade et son ambiance, des corps et des visages naturels, non retouchés : c’est l’univers brut du rugby – amplifié par la photographie à l’argentique, le contraire du numérique, qui implique l’utilisation de pellicules et donc une maîtrise réelle de la technique photographique – qu’a souhaité mettre en avant le photographe de cette nouvelle saison du calendrier, Pierre-Ange Carlotti, d’origine Corse, qui collabore régulièrement avec des magazines haut de gamme et des publications stylées telles que Re-edition, Purple, Dust, Dazed & Confused, 032c, ou le célèbre Interview Magazine.
Pierre-Ange admet volontiers que shooter le calendrier était un rêve de gosse, lui qui est pourtant plus habitué à l’univers de la mode, en attestent ses collaborations avec des marques de mode prestigieuses comme Balenciaga, Vêtements ou Jacquemus ; ou encore à celui des stars qu’il shoote régulièrement comme Rihanna, Adèle Exarchopoulos ou encore le mannequin international Bella Hadid.
Dans cette édition, nous retrouvons pour la première fois des joueurs comme Yoann Maestri, Jean-Marc Doussain ou Pierre Fouyssac qui apporte une fraîcheur et la spontanéité des débutants enthousiastes. Frédéric Michalak, cover boy icônique du calendrier est même revenu poser pour cette nouvelle édition après quelques années d’absence, pour une dernière photo, sans nostalgie et toujours avec élégance et gentillesse.
Nous comptons également parmi les nouveaux mannequins de ce calendrier, Antoine Dupont et Sofiane Guitoune, joueurs sélectionnés pour la coupe du monde.
Une soirée pour fêter le lancement du calendrier aura lieu le 10 Octobre 2019 aux Galeries Lafayette Champs Elysées, en présence de certains joueurs.
SORTIE OFFICIELLE LE 3 OCTOBRE 2019 – PRIX : 29,00 €
WWW.DIEUXDUSTADE2020.COM
L’Instax mini LiPlay ouvre le champ des possibles pour un cadeau idéal !
Ce nouvel Instax, à la fois appareil photo instantané mais aussi imprimante pour Smartphone, est le cadeau original et innovant pour combler l’être cher, votre la famille ou vos amis. Parfait pour récompenser un ado bon élève, ou pour surprendre un ami le soir de son anniversaire. Et bien sur, ce sera le cadeau à glisser au pied du sapin le soir de Noël.
Un moment entre amis, des rires, un anniversaire à fêter, une soirée animée, à l’heure d’Instagram, ça « s’instax » et ça s’enregistre ! Pour la première fois au monde, un appareil photo instantanée permet d’ajouter du son aux photos. Une nouvelle expérience sensorielle unique rendue possible grâce à une fonction audio qui enregistre jusqu’à 10 secondes de son et un QR code à scanner sur la photo pour découvrir le message. Idéal pour envoyer ses vœux personnalisés, rendant ainsi le moment encore plus précieux.
Intuitif et facile d’utilisation, ce bijou de technologie peut être piloté depuis un smartphone via l’application « Instax mini LiPlay ». Sa fonction « Prise de vue à distance » a la capacité de déclencher l’obturateur à l’aide d’un smartphone sans toucher à l’appareil photo; parfait pour les photos de groupe ou en famille pour les soirées et les fêtes de fin d’année !
L’écran LCD de cet appareil instantané hydride rend possible de visualiser, choisir, recadrer et même
réimprimer ses photos au format Instax Mini. Il peut également être utilisé comme imprimante et permettre aux plus beaux clichés pris depuis un smartphone de prendre vie sur papier photo Instax, un gage ultime de qualité. L’appareil dispose aussi de 10 cadres créatifs sélectionnables et intégrés à l’image, de quoi customiser ses souvenirs de façon fun et originale.
Modèle le plus compact de la gamme Instax, le LiPlay est discret, facile à transporter et s’adapte à toutes les mobilités. C’est l’appareil idéal à glisser dans sa poche ou dans son sac à main et bien sûr au pied du sapin ! Le LiPlay est disponible en trois coloris, « Blanc Pierre », « Noir Élégant » ou « Rose Doré » de quoi satisfaire toutes les envies. Son design épuré et élégant, offre une finition dédiée pour chaque couleur de boitier, renforçant encore le côté sensoriel de l’appareil et faisant du LiPlay un véritable objet design, original, qui convient à tout le monde.
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Le cardigan pression, dès sa création, vole de ses propres ailes – lesquelles se révèlent immenses puisque 40 ans après sa création, il reste un élément intemporel du vestiaire unisexe.
« Ce que j’aime dans ce vêtement c’est que chacun s’en sert à sa manière. » – Agnès b.
II existe dans les jardins du château de Versailles, en France, une statue de Jean-Baptiste de La Quintinie, vieille de plusieurs siècles; le cardigan pression est né là, en 1979, inspiré du beau pourpoint de ce créateur du potager du roi.
Galvanisée par des boutons abondants et bien rangés, agnès b. invente ce vêtement qui va inonder le monde.
“Je portais très souvent des sweat-shirts, et un jour je me suis dit que ce serait bien qu’ils puissent s’ouvrir, en me souvenant des cardigans que je boutonnais en courant sur le chemin de l’école. J’ai imaginé tous ces boutons pression très rapprochés pour qu’il ressemble à un vêtement de la Renaissance, ou à une robe de prêtre. Voilà, c’est l’histoire du cardigan pression !”
Hommes, femmes, enfants, tout le monde peut s’approprier cet habit et le fera – ô combien! -, comme ce livre en témoigne. Aujourd’hui entré dans le cercle très fermé des « basiques », le cardigan pression n’est pas pour autant un vêtement invisible: on le remarque toujours, où qu’on l’aperçoive. Ce qu’il dit des êtres qui le portent: que quelque chose d’affectueux vit en nous, toujours; que nous sommes faits de caresses, au bout du compte.
Aujourd’hui le cardigan pression à 40ans! 40 ans durant lesquels agnès b. a écrit, inventé, ré-écrit, ré-inventé, ce “vêtement d’enfant pour grandes personnes, ou le contraire” comme elle aime l’appeler.
40 ans de création… sans pression… mais toujours avec beaucoup de passion !
Imaginé par agnès b., le cardigan pression est né d’une envie de la créatrice d’ouvrir les sweatshirts qu’elle portait souvent; “ce serait bien qu’ils puissent s’ouvrir !”.
Quelques coups de ciseaux plus tard naissait le fameux “tchak !” des 13 pressions.
Ici commence l’histoire du cardigan pression agnès b. …
Sophie Fontanel est française, parisienne, journaliste et écrivain. Lauréate du prix du Premier Roman en 1995 pour Sacré Paul, elle a aujourd’hui écrit une quinzaine de romans, dont l’un, L’Envie, a figuré en 2013 dans la liste des « Best sellers of the year » du New York Times. Elle a commencé sa carrière comme journaliste pour divers quotidiens, a été animatrice dans l’émission culte de Canal +, « Nulle part ailleurs », avant de créer, dans le magazine Elle, le personnage mythique de Fonelle. Elle est aujourd’hui critique de mode pour L’Obs.
ASSOULINE – MEMOIRE COLLECTION – AGNÈS B.: LE CARDIGAN PRESSION – Texte de Sophie Fontanel 80 pages
Salvatore Ferragamo présente Hybrid, une nouvelle gamme de souliers qui éclipse les limites établies pour les chaussures pour hommes. Combinant les caractéristiques les plus intéressants de différents modèles, Hybrid est le choix de soulier de l’homme du 21e siècle, qui défie lui-même la norme. L’apparent paradoxe d’une chaussure qui associe à la fois une élégance progressive et un réel confort assure l’autonomie à son porteur.
Paul Andrew, Directeur Artistique de Salvatore Ferragamo, a déclaré : « Avec Hybrid, il n’est pas nécessaire de sacrifier la polyvalence et la souplesse d’un basket, ni la formalité et l’héritage d’un soulier classique pour hommes. C’est pourquoi nos premiers styles hybrides combinent le meilleur de ces deux familles de chaussures pour créer une nouvelle amélioration sur les deux ».
La collection Hybrid est présenté en deux familles de style distinctes.
La première combine la matrice d’une tige traditionnelle avec des semelles en caoutchouc épais ultraflexibles avec un bord tissé. Un jeu de couleurs – la semelle écarlate contre la tige noire ou la tige bordeaux contre la semelle noire – laisse la place à l’expression individuelle.
Ce sont les chaussures idéales dans un monde où les définitions traditionnelles de souliers formels et informels sont dépassés : elles associent le meilleur de deux anciens mondes pour créer des chaussures dignes d’un nouveau.
La deuxième famille de style Hybrid comprend un groupe de trois styles bien distincts reposant sur la base solide d’une semelle compensée articulée moulée et modulaire.
Sur cette base élégante et sculpturale repose un choix de trois tiges différentes : un oxford noir minimaliste, un soulier sans lacet avec une bande Ferragamo et un oxford qui s’attache à l’aide d’une lanière en tissu technique avec le logo Ferragamo. Le soulier Hybrid de Ferragamo combine une haute technologie et la haute technique du savoir-faire artisanale pour produire des souliers de première qualité.
Pierre-Yves Trémois, né en 1921, est un artiste qui conjugue le passé au présent. Amoureux du trait, adepte de la ligne pure, sans concession au volume, à l’ombre, à la couleur, ou si peu, Trémois trace sur le papier, le parchemin, la toile, des courbes parfaites, incise le cuivre, la terre, le bronze… avec une diabolique habileté.
Une gestuelle ample et sans possibilité du moindre repentir dans ses œuvres peintes de grand format, associée à une étonnante et fabuleuse précision de la main dans ses estampes, pièces d’orfèvrerie ou céramiques, sont les fondements de son écriture, une écriture dont il ne s’est jamais départi, et qui ne trouve dans l’art moderne aucune équivalence, aucune appartenance à quelque mouvement que ce soit.
Du premier coup d’œil, on reconnaît un Trémois, comme on reconnaît un Buffet, un Miró, un Bacon ou encore un Mathieu avec lequel il entretint durant des années une solide amitié et une admiration partagée.
C’est la (re)découverte de cette écriture singulière, doublée d’un profond humanisme, où l’art voisine en permanence avec la science et la philosophie, qui vous est aujourd’hui proposée dans une exposition à double visage : Réfectoire des Cordeliers, « Le fou du trait » Celui d’abord de l’éclectisme des productions d’un artiste en quête permanente de défis à relever, de techniques à peaufiner ou à révolutionner, de réponses à trouver quant aux contradictions d’une nature humaine pour laquelle il éprouve cependant une passion profonde ; un éclectisme à qui le trait donne toute sa cohérence.
Musée d’Histoire de la Médecine, « Les Grands Livres Illustrés » Celui aussi,exceptionnel bien que plus confidentiel, des « Grands Livres Illustrés », 26 ouvrages à tirages limités, réalisés pour certains à quatre mains avec des personnalités telles que Montherlant, Claudel, Rostand ou bien encore Fellini…, comportant de multiples burins et eaux-fortes qui jalonnent son parcours artistique depuis 1945.
– Yvan Brohard, commissaire de l’exposition –
Réfectoire des Cordeliers: « LE FOU DU TRAIT »
Homme de son temps à l’héritage humaniste pérenne, il n’est assimilable à aucun
courant, aucun mouvement de l’art moderne. C’est dire si son écriture est unique et
possède un accent d’universalité !
Infatigable chercheur, ses terrains d’élection sont multiples : estampes, dessins,
peintures et monotypes, mais également sculptures, céramiques, orfèvrerie… Avec
une place particulière pour ses « Grands Livres Illustrés » : 26 ouvrages à tirages
limités comportant de multiples burins ou eaux-fortes qui jalonnent son parcours
artistique à partir de 1945. De Rostand à Fellini, de Guitry à Montherlant, de Mathieu à Jouhandeau, de Pauwels à Buffet, de Claudel à Dali…, sa vie est émaillée de rencontres dont certaines donnent naissance à de riches collaborations et à de profondes amitiés.
Si les peintures de Lascaux sont pour lui des fondements incontournables, révélant des artistes auxquels il aime, dans une profonde communion à s’associer ; s’il reconnaît dans l’art égyptien un caractère hiératique et éternel qui le trouble, Trémois trouve dans l’art japonais du portrait d’incontournables références. Pas d’ombre, de matière, de volume, de perspective, de couleur ou si peu, de repentirs… seulement des signes !
Mais si Trémois est fasciné par l’Orient, il est aussi l’héritier d’une culture occidentale, prolifique en maîtres du trait, celle des Primitifs comme Mantegna, Signorelli, Pietro della Francesca, avec une prédilection particulière pour la Renaissance et l’Humanisme; deux notions, deux réalités indissociables, essentielles elles aussi à son inspiration et à la réalisation de son œuvre. Ainsi, rend-til de vibrants hommages aux maîtres tels que Dürer « dieu des graveurs et graveur des empereurs » dans « un dieu désordonné », ouvrage dont les planches liées entre elles, forment une bande gravée de 6,60 mètres de long sur 38 cm de hauteur !
Riche de ces deux influences, l’art de Trémois est avant tout celui du trait, un trait d’une absolue pureté qui donne à son écriture sa fabuleuse singularité. Car pour Trémois, le trait, à l’image d’une signature, ne tolère ni hésitation, ni rature, ni gommage. Il est l’expression de soi !
Pour respecter la pureté de la ligne, il ne fait que peu de concessions aux couleurs, si ce n’est à un bleu profond ou à un rouge aux accents de cinabre si chers à l’Asie, traités en à-plats ; et surtout au blanc auquel il voue une véritable passion.
Même dans son œuvre sculpté, il revendique son appartenance à une « sculpture du trait, de la ligne », celle des prodigieux bas-reliefs assyriens ou égyptiens, plus qu’à une « sculpture en volume » si chère à Rodin.
Ne soyons toutefois pas dupes de l’extrême lisibilité de ses œuvres ; c’est quand elles nous paraissent les plus claires qu’elles sont les plus mystérieuses !
L’écriture de Trémois, par essence figurative, possède en effet l’indéniable pouvoir, comme l’exprime Jean Rostand en février 1971, de « dominer la technique au point de la faire oublier » et ainsi de nous laisser entrevoir les arcanes de sa pensée. Si Trémois est le trait, il est aussi le corps, et plus encore le corps nu, dépourvu de tout artifice, dans sa beauté originelle, car il a aussi le culte du Beau ; non pas d’une beauté figée, prisonnière de simples codes esthétiques, mais d’une beauté en mouvement, transcendée par les multiples facettes de la passion.
Du 03 au 26 octobre 2019
Réfectoire des Cordeliers 15, rue de l’École de Médecine, Paris 6e
Musée d’Histoire de la Médecine 12, rue de l’École de Médecine, Paris 6e
New Man, marque culte des années 70 et 80 revient, est relancé par The Place London.
C’est dans un esprit d’innovation et de dépassement des frontières, deux mots d’ordre chers à The Place London, que cette année voit apparaître la renaissance mondiale de la marque française de jeans New Man. Derrière ce renouveau, Simon Burstein, qui se souvient du jean New Man de sa jeunesse alors qu’il travaillait comme vendeur chez Browns.
Il faut se souvenir que New Man, c’est l’histoire de deux jeunes frenchies un peu fous et rêveurs qui partent en virée initiatique en Californie. Avec son énergie créatrice, son style de vie cool et surtout, ce soleil omniprésent, le Golden State les électrise. A leur retour, ils n’ont qu’une envie : insuffler cette énergie dans un projet personnel. Ce sera une marque de vêtements, pour homme et pour femme, mais sans le côté bling de la mode ou conservateur du luxe. Ce qu’ils veulent, ce sont des vêtements de jour, un style urbain avec une sophistication sportswear dans les coupes et les finitions. Mouvement, couleur et impertinence, sinon rien ! Dire qu’il a été crayonné sur un bout de serviette… Il fallait au moins un designer de la stature de Raymond Loëwy, pionnier du design industriel moderne, pour réaliser un tel trait de génie ! Le logo ambigramme de New Man est à l’image de ses valeurs. Dans un sens comme dans l’autre : _il se lit exactement de la même façon ; _il est l’étendard d’un style et d’un esprit sans cesse renouvelés : libre, intrépide et entreprenant.
C’est grâce à son adoration nostalgique pour la marque, si célèbre pour ces jeans colorés dans les années 70 et 80, et à l’amour toujours croissant de la Mode d’aujourd’hui pour le passé, que Burstein a personnellement recherché les propriétaires de la marque et a obtenu une licence mondiale exclusive pour les magasins The Place London, à Londres et à Paris. Connu pour son pantalon en velours aux couleurs vives et ses vestes assorties pour hommes et femmes, New Man est une marque emblématique des années 70. Les silhouettes et les choix de couleurs audacieux restent intemporels et donc idéaux pour le consommateur actuel. Le jean en velours à cinq poches, taille haute et évasé, est disponible en six coloris: rose vif, bleu royal, beige, anthracite et noir, tous avec des vestes assorties. Ils sont disponibles à partir de 200 € et sont disponibles en exclusivité chez The Place London au 8 rue de L’Odeon – Paris 75006.
Doing these interviews has become an extraordinary experience for mespecially when I met someone like Chad Allen Ortiz ! I will admit that in this Instagram world I am one of millions who is visually stimulated by it BUT I am also one of the few who actually reads those pesky hashtags and whatever the subject has to say. Many preach soapbox wisdom, as I call it, since they are too young to preach sage wisdom but think in terms of second hand wisdom. How can they possibly know what awaits them with age. All in all, it’s always the luck of the draw with whom I hone in on; happily I seem to find a sampling of those who actually have more to say than just with their body.
Chad Allen Ortiz is sort of a jackpot for me since I only had an inkling of who he actually is and what exactly got him to this point in his life… oh and he is a “sharer” which certainly does help me and tell you why and what you need to know about him. I’m impressed and gratified that I sensed something more from his images and even more behind the words he espouses on his Instagram account. My subjects turn out to be multifaceted personalities who actually live “beyond the image” and have actual goals that supersede perfect abs and biceps… I won’t continue the list but you get the idea.
So here is Chad in his own words telling us all about his past, present and future since he falls under the heading of being a “creative.” Hopefully, this will not be the last you hear from this multitasking goal oriented young man….
Jeffrey Felner: Can you give us a sort of brief resume as to how you arrived at your present professional situation?
Chad Allen Ortiz: I began my training as a dancer in Temecula, California. My instructor, who happens to be my brother, and he connected me to my first modeling agency at age 16. I worked multiple shows and booked many commercial and print jobs. When I was 20, I moved to Los Angeles and began as an apprentice for Nickerson – Rossi Dance under the direction of Michael Nickerson-Rossi. I was promoted to company dancer, then principal dancer, then to Educational Director of both NRD and the Palm Springs Dance Festival. Today, I am the Executive Director of NRD and of the International Dance Festival in Palm Springs.
I have taught dance at high schools, universities, worked with dance organizations such as the Princeton Ballet, New York Live Arts, Los Angeles Dance Festival, and the Cape Cod Dance Festival. In the very near future I will be working with the Delaware Dance Education Organization, New York University, and Irvine Valley College assisting Michael Nickerson-Rossi. At present, I am in the process of developing the International Dance Festival, while also building numerous collaborations with magazines, blogs, and other marketing media.
YES!!! I still dance and continue to so on a national and international level.
Simultaneously with my dance career, I started to free-lance modeling in Los Angeles booking television commercials while working for startup fashion brands.
Lastly, I run my own creative branding and social marketing company known as Transparent Compositions; I am currently the Director of Development at the Institute of Dance Artistry. All these facets and aspects of my life support and fortify one another.
JF: Let’s speak of social media: do you believe that social media is an asset and why, do you think that social media has diluted the professional aspect of creatives and redefined celebrity? Explain
CAO: Yes… The issue in the past was visibility; the issue of the moment is saturation or sometimes over saturation. Social media is an asset, but not the ultimate solution. Personal connections are a must; you must be possess the skillset to back up how you present yourself especially within my professional sphere … a hot body isn’t enough!
Social media offers a multitude of possibilities as to how one is perceived …“reality TV” or “real life.” All the lies, all the jealousy, or the slander that one might endure is a price you pay for ubiquity It is our job as artists to understand what people are actually interested in, while staying true to ourselves. It’s all a choice… a very personal one that depends on your individual goal/s.
I had to Google the word “celebrity” …which is simply defined as fame or well- known. That is exactly what people on social media are doing. Many so called “stars” of social media are becoming recognizable figures through relatable, engaging, seductive, or shocking content but to what end?
JF: If you could invite any 5 people to dinner who would they be and why?
CAO: Martha Graham – Founder of Modern Dance
Marlon Teixeria – Male Model
Steve Jobs – Apple founder
Benjamin Franklin – Founding Father
Oprah Winfrey – Media entrepreneur
To me, these people are larger than life. Whether in the field of dance, modeling, design, branding, or management… they all have found success in their lives and achieved multiple goals. I am inspired by their pioneering. I would appreciate their insight on how they approached life and business.
JF: Can you speak to what you do as an artist and what sets your work apart from so much of what we see on social media? Do you see a downside from “putting yourself out there” with regard to the preconceived notions that are drawn from what you present?
CAO: I am a jack of all trades and I use them to build onto one another. I model, dance, photograph, video, market, manage, direct, educate, choreograph, create, design, and so on and on. I enjoy mixing the skills creating beautiful works no matter the medium. I enjoy access to a vast assortment of creatives and search for the links between us, whether as creatives or as business colleagues. It all comes together at some point.
Downside to “putting yourself out there.” … I wouldn’t exactly say there’s a downside. What one needs to expect is that people are going to perceive you in their own personal way. You may have specific intent, but what really matters is what others get out of the experience. We are complicated creatures with different emotional responses to all situations. I suppose the “downside” would be that there are those who are vindictive, malicious players who want to tear you down. No one can control how they perceive you. All I can do is show my best self, all I can do is know who I am and what my goal is … and focus on that. Listen, apply, test, review and move on in that pattern to see what works and what doesn’t.
JF: Lastly, let’s speak of Chad Allen Ortiz 5 years from now; major projects or if you could choose anyone as a collaborator, who what would it be and why?
CAO: 5 years from now I will be have had more world traveling done professionally or leisurely. All I really want is to see the world. I have surrounded myself in career choices that will help make this possible. I see the International Dance Festival in Palm Springs as a vehicle towards that ultimate goal.
I have big visions and I am on the road to get there. It isn’t easy, but it will be rewarding.
Chad Allen Ortiz on Instagram – @chadallenortiz …. SPECIAL THANKS TO Frank Louis, Arhscana Images, Den Sweeney, Transparent Compositions, Andy Grant, Tommy Wu, Alex Budin Photography, Caff Photo, Brian Mengini, Naoyasu Mera Photography
Photographer James Loy / www.jamesloyphoto.com / @jamesloyphoto
Model: Chad Allen Ortiz – https://blakemen.com/model/chad
Sinner ose tout pour vous surprendre, et même s’installer dans le Marais, qui est l’un des quartiers les plus anciens de Paris. Autrefois, quartier aristocratique, puis ouvriers, il est aujourd’hui festif et branché. Ce quartier emblématique de Paris vit au rythme de l’art, du design et de la mode. Incontournable lors d’un séjour parisien, il offre découverte de galeries d’art contemporain, adresses de jeunes créateurs tout autant que des balades historiques au cœur d’un quartier marqué par son très riche passé.
Musées, hôtels particuliers du 17eme et 18eme siècle, cours secrètes, jardins cachés… se découvrent à chaque coin de rue. Sinner a su s’approprier l’héritage du Marais – à la fois riche, architectural, joyeux, créatif et avant-gardiste – en cultivant une identité propre, disruptive. Et en y dévoilant les codes d’une hôtellerie exigeante : l’excellence, la disponibilité, le sens du détail et un service attentionné.
Sinner s’adresse aux esthètes, aux investigateurs urbains et aux flâneurs singuliers, curieux de découvrir une autre page de l’hôtellerie de luxe à travers un scénario de la ville inédit. L’hôtel puise dans l’histoire du Marais une partie de sa personnalité, mais aussi dans celle des talents qu’il héberge et qui l’entourent. Expositions, rendez-vous d’architecture, de mode, de musique et de design, les événements culturels trouvent toujours écho derrière les vitraux du Sinner.
Sinner ne « voit » pas comme tout le monde et ne fait rien comme les autres. L’hôtel propose 43 chambres et suites, un restaurant ethnique, un spa. Un mélange d’héritage religieux, d’espaces feutrés et de volumes spectaculaires. Opposant les lignes radicales aux volutes suggestives, un sens de l’esthétique brute aux atmosphères les plus enveloppantes. Fidèle à sa signature, l’architecte d’intérieur Tristan Auer déjoue ici les modes et provoque la surprise jusque dans les moindres détails. De la langueur électrique du restaurant aux chambres inspirées des cellules ecclésiastiques, des couloirs sombres éclairés à la lumière des vitraux, au concept-store hébergé dans la crypte. Sinner inaugure un nouveau chapitre parisien, libéré de tous les standards.
Les couloirs serpentent dans une atmosphère mi sacrée mi feutrée, simplement réchauffés par les jeux de lumières des vitraux qui ornent les murs et à la lueur des lanternes qui mènent chaque hôte à sa chambre.
Les portes rouges aux heurtoirs et judas, inspirées des portes cochères dévoilent 43 chambres et suites. Chacune illustrant la typicité d’un quartier à la fois historique et avant-gardiste. À l’intérieur, des matières : du velours, du bois et de la terre cuite mais aussi des œuvres d’art et des tableaux, comme un clin d’œil aux érudits et aux esthètes urbains qui prendront le temps de découvrir et de reconnaître ses trésors. L’atmosphère toute entière convie les sens à travers un univers olfactif, des jeux de matières et une sélection artistique pointue.
Sinner réussit le mariage des contraires et signe une vision nouvelle d’un séjour inspiré. Paris a l’éclat singulier d’une éternelle ambitieuse et le charisme des plus belles aristocrates, Sinner en a hérité le meilleur : l’impertinence et la liberté d’expression.
Une seule suite, comme signature, qui combine avec raffinement et non sans audace, des volumes cathédraux et un séjour piqué d’insolite. Perchée au dernier étage de cette adresse, prise de vertiges et d’optimisme, elle se dévoile à mesure qu’on l’investit. Se vit comme un vrai pied-à-terre parisien, avec toute la fantaisie que l’on attend d’une cachette éphémère. Elle a la fantaisie discrète et l’insouciance d’une garçonnière originale.
Face à la réception, clin d’œil à l’héritage des Templiers et d’un quartier qui souffle une personnalité sur le fil, c’est dans une crypte éclairée à la bougie que Sinner dévoile sa sélection de trésors à la manière d’un mystérieux cabinet de curiosités.
“ Sinner n’est pas un lieu de plus. C’est une savante alchimie où se croisent les destins, les époques, le mystère et une certaine forme de liberté. ”
EMMANUEL SAUVAGE – Directeur General et co-fondateur du groupe Evok
SINNER – 116 rue du Temple 75003 Paris
UNIQLO annonce le lancement de la collection automne/hiver Uniqlo U, disponible le 26 septembre en ligne et dans les magasins Opéra, le Marais et Marché Saint Germain.
Cette nouvelle collection d’essentiels conçue par l’équipe de stylistes du centre de recherche et développement UNIQLO Paris, dirigée par Christophe Lemaire, directeur artistique du Centre R&D Paris depuis 2016, réinvente les fondamentaux de notre vestiaire et propose pour cette nouvelle collection des designs sophistiqués dans une large palette de couleur hivernal. Le bureau de recherche et développement installé à Paris est un lieu d’expérimentation, d’essai, d’innovation et decréation. Le Centre R&D Paris a ses équivalents à Tokyo, Shanghai, New York et Los Angeles. Les stylistes et modélistes talentueux du studio de Paris contribuent, sous la direction de Christophe Lemaire, de manière significative à l’évolution de LifeWear au travers de leurs projets Uniqlo U. Cette nouvelle ligne automne/hiver 2019-2020 propose une gamme de 41 pièces pour femmes, 35 pour hommes, 3 sacs ainsi qu’une ligne d’accessoires.
Les vêtements d’extérieur:
Cette saison, Uniqlo U a travaillé les vêtements d’extérieur avec la technologie BLOCKTECH. L’équipe de style Uniqlo U a repensé le duffle coat classique en le doublant avec la technicité BLOCKTECH et offre ainsi un coupe-vent optimal et élégant.
La polaire:
Il y a 25 ans, UNIQLO vendait sa première veste polaire. A l’occasion de cette anniversaire la marque a imaginé une polaire réversible pour que nous puissions bénéficier de deux pièces en une et ainsi varier son style suivant son envie ou en fonction de la météo.
Uniqlo U Pantalons Curve pour Femme et Wide Fit fuselés pour Homme :
Pour la ligne pour les hommes, les jeans Wide Fit fuselés sont inspirés des pantalons de travail en denim des années 1940. Un style rétro, particulièrement à la mode pour cette prochaine saison. La coupe est à la fois ample, légèrement fuselée et de longueur classique. La ligne de pantalons « Curve » pour femme, offre une silhouette effet longues jambes tout en sublimant les courbes taille haute, se déclinent en trois tissus : jean, coton et jersey.