close

Lifestyle

ArchivesBlogLifestyle

LE NOUVEAU RANGE ROVER SPORT SV BLACK EDITION 

LE NOUVEAU RANGE ROVER SPORT SV BLACK EDITION ADOPTE UN STYLE MONOCHROME POUR UNE EXPÉRIENCE DE LUXE SPORTIF ULTIME.

S’appuyant sur la réputation du Range Rover Sport SV en tant que SUV de luxe haute performance par excellence, cette nouvelle déclinaison, disponible à la commande courant 2025, célèbre l’intemporalité de l’esthétique tout en noir, déjà plébiscitée par les clients du Range Rover Sport.

Des finitions noires distinctives, incluant pour la première fois le monogramme SV et les badges de marque en noir sur la calandre avant, proposent une interprétation audacieuse et sûre d’elle?même du luxe sportif dans sa version la plus furtive.

Le Range Rover Sport SV Black adopte un caractère encore plus affirmé pour la marque. Chaque détail extérieur a été repensé avec une finition Gloss Black, conférant une prestance renforcée au Range Rover Sport le plus puissant jamais conçu. 

Comme s’il avait été littéralement « plongé dans un bain de peinture noir », le Range Rover Sport SV Black, que dévoile aujourd’hui Range Rover en exclusivité, se distingue par une attention au détail aussi minutieuse qu’exigeante.

  • Monochrome : le Range Rover Sport SV Black pousse l’esthétique intemporelle du tout en noir à son paroxysme avec un traitement intégral de l’extérieur comme de l’intérieur
  • Présence affirmée : le Range Rover Sport SV Black confère au SUV de luxe haute performance une allure encore plus spectaculaire, équipé de l’exclusif moteur essence V8 4.4 litres Twin Turbo MHEV développant 635 ch et 750 Nm
  • Finitions d’exception : aucun détail n’a été laissé au hasard  grâce à un savoir?faire remarquable et des finitions sportives qui dégagent une spectaculaire assurance .

Le Range Rover Sport SV Black incarne l’essence du luxe sportif et est une déclaration de rébellion audacieuse. Nous avons créé un véhicule qui allie puissance brute, performances remarquables et une attitude affirmée et sans compromis qui ne passe pas inaperçue. L’équipe de design de Range Rover est allée bien au?delà de tout ce que nous avons proposé jusqu’ici avec les packs ou options noirs, en appliquant un traitement sophistiqué Narvik Black à chaque élément, extérieur comme intérieur ; à l’œil nu, on croirait que le véhicule a été plongé dans un bain de noir brillant. Cette exigence du détail s’étend à de nouvelles finitions, proposées pour la première fois sur un Range Rover, illustrant pleinement notre savoir?faire.

Martin LimpertDirecteur Général de Range Rover

Le Range Rover Sport SV Black hisse l’attitude sportive à son plus haut niveau. Interprétation dynamique et affirmée du style tout en noir, il attire tous les regards avec sa carrosserie Narvik Black et son pack extérieur Narvik Gloss Black complet, qui mettent en valeur sa silhouette musclée et sa prestance résolument athlétique.

Renforçant l’esthétique monochrome intégrale, le capot en fibre de carbone peint en noir, les jantes forgées de 23 pouces en Gloss Black,comme les étriers de frein Noir Brillant et les quatre sorties d’échappement noires soulignent une cohérence visuelle sans compromis. Le noir s’exprime ici dans toute sa subtilité, notamment avec le nouveau monogramme SV en céramique noire apposé sur le hayon.

Le SUV de performance ultime dévoile un intérieur sombre et résolument affirmé, en parfaite harmonie avec son extérieur imposant. Les nouvelles plaques de seuil éclairées SV Black créent un impact visuel fort à chaque ouverture de porte, tandis que les sièges sport sculptés sont habillés d’un cuir Ebony Windsor au toucher raffiné. Des inserts en Gloss Grand Black viennent parfaire l’ensemble, alliant avec justesse attitude sportive et finitions luxueuses et technologiques.

Le Range Rover Sport SV est le plus puissant et le plus dynamique des Range Rover Sport jamais conçus. Il allie des performances hors normes et un dynamisme exceptionnel aux capacités tout?terrain emblématiques de la marque, à son raffinement incomparable et à un design épuré. Parmi ses technologies de pointe figurent la suspension 6D Dynamics, la plus avancée de sa catégorie, et les Body and Soul Seats, un système audio sensoriel innovant avec de réels bénéfices en matière de bien?être. 

Équipé exclusivement du moteur essence V8 4.4 litres Twin Turbo MHEV développant 635 ch et 750 Nm, le Range Rover Sport SV Black est capable d’accélérer de 0 à 100 km/h en 3, 6 secondes et d’atteindre une vitesse de pointe de 290 km/h. 

Range Rover présente également une nouvelle version spécialement optimisée du Range Rover Sport SV à l’échelle mondiale. Elle intègre la technologie révolutionnaire 6D Dynamics et une motorisation V8 biturbo mild?hybrid de 635 ch, capable d’atteindre une vitesse de pointe de 265 km/h. Les clients peuvent désormais configurer leur Range Rover Sport SV sur www.rangerover.com

 

Le Range Rover Sport SV Black sera disponible à la commande pour les clients à partir de la fin de l’année.

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Davide Pascarella, artiste tatoueur

Originaire de Rome, Davide Pascarella, 33 ans, a grandi à Florence. À ses débuts, il suit une formation de sculpture et de peinture en Italie. Mais plutôt que d’officier en tant qu’artiste dans un atelier, Davide a envie de partir à la rencontre de l’Humain, d’offrir et de partager. C’est décidé : son art, c’est sur la peau qu’il a envie de l’encrer.

Ses créations sont tellement réalistes qu’elles en paraissent vivantes. La profondeur de ses dessins, le relief, et surtout les détails, sont stupéfiants : vous allez adorer ses animaux, ses portraits ou encore ses réalisations fantastiques. A chaque fois, les tatouages sont si criants de réalisme qu’ils sont sans aucun débat possible des œuvres d’art.

Les pièces qu’il tatoue sur les corps sont influencées par sa passion indéfectible pour la peinture.
Le maître de la Renaissance italienne Michel-Ange lui insuffle notamment son inspiration. Ce que Davide Pascarella aime par-dessus tout, c’est donner « l’expression de la vie » dans les yeux des portraits qu’il tatoue.

Les jeux d’ombres et de lumière, la profondeur et la puissance dans les dessins découlent de son amour pour la Renaissance italienne, à la fois pour la sculpture de Michel-Ange que pour la peinture de Caravage. Sa technique : user le plus possible de l’encre noire afin de faire ressortir au mieux l’encre blanche, tout en nuances.

Le bonheur de Davide est d’offrir une pièce unique à ceux qui lui font confiance. La satisfaction de donner et de partager. Tout ce qu’il fait, il le fait avec cœur. A cela s’ajoute un sourire toujours présent sur son visage, et une attitude hyper bienveillante même avec celui qui craint les aiguilles.

Envie de vous offrir un tatouage du talentueux Davide Pascarella ? Il se fera un plaisir de vous recevoir chez Matière Noire au 6 rue Quincampoix, 75004, Paris.

Suivez l’œuvre de davide sur tiktok : davide_pascarella_ART et instagram : @davide_pascarella

read more
GastronomieLifestyleMagazine

Fêter la Saint-Sylvestre


Dans quelques heures, nous allons nous retrouver avec nos amis, nos amants, nos familles pour fêter le passage à l’année suivante, fêter l’année écoulée. Pour passer une belle soirée, accompagner un beau repas avec un vin rouge ou blanc, trinquer avec de belles bulles ou encore déguster un bon spiritueux, sinon en faire de somptueux cocktails, voici nos suggestions pour vos courses de dernières minutes.

Les rouges

G d’Estournel, 2019

Le deuxième vin de Cos d’Estournel, G d’Estournel, est vin équilibré et raffiné, opulent, gourmand, très fruité, fruits rouges et une pointe de vanille.

Clos des caille 2021

Un vin puissant, boisé sur les fruits noires : myrtille, groseille, et un final typique du Syrah sur les épices.

Lafage, Les Onzes Terrasses – 2018

issu d’une mosaïque de 11 parcelles plantées en terrasses. Ce vin est puissant, sur la mûre, le cassis, le poivre noir et des pointes de pierre à feu.

Dupuy de Lôme, Cuvée les Grès, 2019

un nez intense d’arômes de fruits rouges, de prunes et d’épices, en bouche l’attaque est minérale puis fait place à la puissance.

Château Tour des termes, Saint-Estèphe, 2020

Un beau Saint-Estèphe, très typique, Au nez cassis, mûres et prune, puis en bouche les fruits sont là accompagnés de pointe de tabac blonc et de cuire et de vanille. Belle longueure et ample.

Les blancs

Château Barbanau, Cuvée Kalahari, Cassis, 2022

Au nez des notes de pain d’épice, de fruits compotés, de fleurs blanches et de cannelle, pius la bouche offre les mêmes arômes qu’au nez avec des pointes de vanille et d’épices, la fin de bouche est vive.

Château Maïme, Héritage, 2023

Le nez est Intense sur des notes de poire fraiche, en bouche les notes de fruits persistes, auxquelles s’ajoutent des pointes citronnées, la finale est saline.

Jerome Galeyrand Chardonnay, Orane, 2022

En bouche, des notes de pêche, nectarine avec une jolie minéralité fumée et un boisé bien fondu apportant des arômes de beurre frais et de vanille. Un vin vif, frais, équilibré entre rondeur et acidité. 

Les bulles

Comte Hugues de La Bourdonnaye, brut nature, grande réserve

Belle tension, bulle fine, poire fraîche, pointe de citrus, parfait pour débuter les festivités.

De Chanceny et Sami Nouri, Brut

Il y a du chenion blanc dans ce vin est dès le nez on le sent avec de belles notes florales, la fraîcheur du Chardonnay et le fruité du Cabernet franc pour un équilibre et une harmonie singulière.

Ô ma Vallée, Maurice Grumier, Blanc de noirs, extra brut

Le nez est sur la pomme, la brioche, de blé, puis l’attaque est souple et généreuse, texture crémeuse, finale acidulée, fluide et élégante

L’éphémère 2019, Gimonet Gonet

Au nez des arômes de brioche et de fruits rouges, puissant, riche et vineux. En bouche on retrouve le nez avec des pointes de pêche ou d’abricot frais.

Prémices, José Michel

un vrai bouquet aromatique d’agrumes : citron vert, mandarine, pamplemousse. En bouche une belle longueur malgré sa fraîcheur, et on retrouve le côté citrus et pamplemousse.

Les spiritueux

Brugal 1888 coffret de fin d’année

En ouvrant la bouteille une explosion de parfums : caramel, vanille et raisins secs. En bouche c’est riche et sucrée, avec des touches de chocolat noir, noix grillées et une pointe d’épice.

Trois rivières, X.O

Au nez caramel, vanille, chocolat noir, fruits secs et épices chaudes. En bouche on retrouve le caramel mais beurre salé qui s’entremêlent avec des épices : cannelle, muscade . En finale de subtiles notes de chêne grillé, tabac blond, réglisse. Parfait avec un cigare en fin de soirée.

Soligny, Vent d’ange

Vent d’Ange est le premier single cask de la distillerie Soligny en Champagne. Ce whisky français a été maturé dans un fût de vin de Bourgogne ayant contenu du Nuit Saint Georges 1er cru ! La tourbe vient équilibrer les parfums fruitées et les arômes torréfiés de l’orge avec ses notes de terre, de pétrole, de fumée. Assez discrète à l’attaque, elle monte progressivement à la dégustation.

Deljoy, Liqueur, Citrus et Cognac

Une belle façon de découvrir le Cognac, cette liqueur offre un nez d’agrumes avec des notes de pamplemousse, de mandarine, de gingembre frais et de cédrat. une bouche fraîche, fruitée et légèrement épicée. Le Cognac se font délicatement avec les agrumes pour apporter complexité et longueur en bouche.

Abricotine, Morand

L’abricotine est une eau-de-vie d’abricot, subtile et délicate, à déguster sec, rafraîchi ou en cocktail. Du fruit, du fruit ! Parfait pour vos cocktails de Saint-Sylvestre.

Espolòn

Une belle téquila sur les arômes classiques d »qgave, de citron, de vanille et de poire.

Belle fin d’année à toutes et à tous.

Sélection Alexis Dumétier

read more
ArchivesGastronomieMagazine

Pour un repas de fêtes

Il ne reste que quelques jours avant le repas de Noël, et pour agrémenter ce moment de fête voici de bonnes bouteilles pour trinquer en famille, entre amis ou en amoureux. Joyeux Noël !

Les Rouges :

Château La Calisse – Cuvée Etoiles rouge 2019

Son nez bien net sur le cassis, la cerise, une pointe de sauge. En bouche, on retrouve franchement le cassis, une expression ample et puissante. Parfait pour les gibiers et plats en sauce.

Château de Crouseilles – AOC Madiran :

Tout d(abord des notes épicées, réglissées et vanillées. La bouche est à la fois puissante, soyeuse et équilibrée. Superbe sur un plat en sauce épicé.

DOMAINES FABRE – Château Lamothe-Cissac Vieilles Vignes 2018 :

Nez d’une grande complexité aromatique avec un bel équilibre entre la richesse du fruit et le bois neuf. En bouche, des arômes de girofles, d’épices et de tabac blond.

Les Blancs :

Joseph Mellot – La Grande Châtelaine 2020

Un vin complexe, au nez des notes de pêche jaune et de mirabelle, rehaussées de vanilles et  de senteur toastées. Une belle fraîcheur en fin de bouche. Ce vin de gastronomie accompagnera parfaitement les crustacés des fêtes ou des poissons en sauce.

Château d’Arche 2019 :

Au nez des notes mielleuses et de champignons frais, puis viennent des notes de vanille jasmin, et marmelade d’agrumes. En bouche on retrouve les saveurs de miel auquel s’ajoute le raisin confit également. 

Domaine de la Bégude Blanc 2022 :

Cette cuvée issue d’une parcelle de vieilles vignes est élevée 4 mois en amphores. Le nez offre des nuances très délicates de citron confit et de verveine. En bouche c’est slin et minéral, avec des notes amères due au vieillissement en amphore. Parfait sur les fruits de mer et poissons.

Les Bulles :

Champagne Pannier – Egerie 2015 :

Au nez nous avons des arômes de de fleur d’iris avec une pointe mentholée, suivent des notes de nectarine et de zestes de yuzu. En bouche, fraîcheur et minéralité rehaussent délicatement les saveurs de poire et de yuzu, sur une belle structure. Offre une fin de bouche prête pour la suite des festivités.

Champagne Collery – Aÿ, BLANC DE NOIRS GRAND CRU – non millésimé :

Au nez c’est complexe et élégant avec des notes de fruits rouges et de pomme. Légères notes salines et toastées. En bouche on a une belle fraîcheur, des notes de pommes, de poire et de miel assez persistantes.

Domaine Trapet – Crémant d’Alsace « Richovila » Brut :

Ces belles bulles offrent une fraîcheur florale entremêlée de subtiles notes de poire et de pomme.



Les spiritueux :

Benriach édition limitée 16 ans :

édition limitée 16 ans, Une édition limitée exclusive de son 16 ans en collaboration avec l’artiste Arnaud Liard. Limitée à 50 exemplaires, chaque étui est une œuvre d’art unique, peinte à la main par l’artiste, fusionnant l’art de la distillation et l’art contemporain. Ce whisky écossais a été assemblé à partir de 3 eaux-de-vie vieillies au moins seize ans : l’une en fût de chêne neuf, une autre en fût de Bourbon et une dernière en fût de Xérès. 

Cet assemblage unique a été minutieusement réalisé par Rachel Barrie, l’une des Master Blender les plus reconnues au monde. Ce Benriach d’exception révèle un équilibre hors du commun, entre des notes d’abricot et de pêche, de noisette grillée et d’épices, sur un final explosif d’arômes autour du malt, du gingembre et du miel. 

Trois Rivières Triple Millésime V6 – 2006-2014-2016 :
Cette cuvée est composée de 3 millésimes emblématiques, et chacun d’entre eux apporte à ce rhum sa particularité et son élégance. On a adoré ses arômes de poire et de poivre de Timut et on a été surpris par sa finale fraîche et légèrement épicée.

 
Louis Royer le VSOP :

L’assemblage de ce VSOP repose sur une base de Fins Bois et Bons Bois, sublimée par près de 30% de Petite et Grande Champagne plus anciennes, avec un vieillissement de 4 à 7 ans dans des chais traditionnels
Un cognac couleur vieil or aux reflets brillants, qui révèle des notes de vanille et de chocolat. Parfait avec un cigare.

Whisky Arlett par la Distillerie Tessendier

La Distillerie Tessendier a lancé le whisky Arlett par pure passion des spiritueux, avec l’envie de poursuivre de nouveaux
challenges et de se lancer dans une nouvelle ère de travail. Créer un whisky Français permettait de sortir des certitudes et des habitudes de la maison. Tout en s’appuyant sur ses acquis, Tessendier continus à innover. .La gamme développe une belle puissance aromatique. Recherchant l’équilibre entre intensité gustative et force de l’alcool. Cela permet d’avoir une gamme entre 43 %vol et 48 %vol qui est intense et généreuse.

Jules Gautret XO 3eme MILLÉNAIRE

Le cognac Jules Gautret 3ème millénaire est le résultat d’un assemblage dans lequel s’expriment et se combinent la puissance des tanins apportés par le long vieillissement en fûts de chêne et la délicatesse des eaux-de-vie du terroir cognaçais. Jules Gautret 3ème millénaire traduit à parfaite maitrise de l’art des assemblages par son maître de chai. La précieuse sélection des eaux-de-vie permet d’exprimer toute la richesse aromatique.

Couleur : robe brune, ambrée avec des reflets dorés. Arôme : bouquet attrayant et surprenant. Large palette aromatique dévoilant des arômes de noisettes et de boisé rehaussés par des notes de fruits secs et de vanille. Bouche : belle longueur grâce à des notes de fruits confits et de cannelle

Cognac Park Carte Blanche

Vieilli de 3 à 6 ans en fûts de chêne français, ce cognac est le reflet du travail minutieux du maître de chai pour
sublimer de jeunes eaux-de-vie et élaborer un cognac délicat et agréable de la distillerie Tessendier. Sa signature florale et la fraîcheur de ses notes fruitées inspireront la création de cocktails audacieux.

P&M SIGNATURE


Véritable signature de la distillerie et fruit de 20 années de savoir-faire. Ce single malt est distillé et longuement vieilli au domaine Mavela. Il se distingue par la douceur de ses arômes. La lente maturation en ex-fûts de vins blancs de Patrimonio – Corse.

COINTREAU

Pour les fêtes de fin d’année, Cointreau propose un kit exclusif comprenant une bouteille de Cointreau L’Unique et un doseur cocktail, l’accessoire indispensable pour réaliser des cocktails équilibrés à la maison. Cet ensemble célèbre la créativité et l’art du cocktail, en s’adressant aussi bien aux passionnés de mixologie qu’aux amateurs désireux d’explorer de nouvelles saveurs.

AKIN

« Batch N°1 » est la première création d’Akin.. Ce gin associe les arômes du genévrier aux notes aromatiques des vins de la
Rive Droite de Bordeaux que sont les fruits rouges et les fleurs blanches. Frais et intense, il séduira par ses saveurs subtilement épicées. Ce gin est créé à partir d’un alcool de raisin, apportant douceur et élégance. Les différentes botaniques sont divisées en familles d’arômes apportant chacune leur complémentarité vers l’harmonie.

Les bûches :

Martine Lambert, le glacier a créer de superbes bûches pour Noël, nous avons longtemps hésité sur deux de ses ralisation, du coup on vous les présente les deux, vous ferez votre choix : la succulente, Crousti-fondante, elle est composée d’un sorbet chocolat Valrhona, glace praliné noisette, glace caramel cuit au chaudron, criblé de noisettes et amandes torréfiées…une gourmandise !

Et l’Antoinette, Glace caramel au beurre salé, glace crème brûlée aux éclats de caramel, sorbet poire. Fraîche et suave en bouche.

Le Chef pâtissier orfèvre du Lutetia, Nicolas Guercio, a crée encore un chef d’oeuvre cette année à mettre sur nos tables de fêtes, avec une bûche flocon, qui s’anime.

Reposant sur une pâte sucrée délicate, la bûche dévoile un biscuit à la châtaigne et une crème de marron onctueuse, sublimée par un confit de cassis acidulé subtilement épicé au poivre de Timut. Chaque bouchée offre un parfait équilibre entre croquant, douceur et fraîcheur. Le tout est enveloppé d’une mousse de marron aérienne, surmontée d’une meringue soufflée et recouverte de chocolat blanc, évoquant la neige fraîchement tombée.

Fin du fin, au cœur de ce dessert se cache une surprise inattendue : une boîte à musique de Noël diffusant une mélodie festive tandis que virevoltent les étoiles en flocons, composées de sucre candi, de chocolat blanc et de pâte à sucre, ajoutant une touche de féérie à cette création d’exception.

La bûche Printemps Express signée Bryan Esposito se compose d’une mousse infusée de brioche perdue au caramel beurre salé, d’un crémeux dans l’esprit d’un chocolat chaud, d’un croustillant de corn flakes au Gianduja, d’un biscuit madeleine moelleux et enfin une compotée de Cranberries pour un parfait équilibre des saveurs et parfums.

Sélection par Alexis Dumétier et Hervé Godard

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Noël Déco pour changer

Et si on changeait des traditionnels pulls, écharpes et gants spécial froid ? Voici une sélection déco pour vous donner des idées de cadeaux à faire à ceux que vous aimez ou à vous-même !

La nouvelle couleur tendance de 2025 : le MOCHA MOUSSE de PANTONE

Et pour illustrer cette belle couleur, voici la bougie AWA de chez Côté Bougie.

Décoratif et écologique, la marque AKANTE édite la ligne OCEAN, des plateaux de table réalisés en coquilles d’huitres recyclées. 100% Made in Bretagne, solide, durable et un rendu marbré juste magnifique. Disponible également au format carré sur www.akante.com

Chez Blakemag, on aime les bougies parfumées. De chez CASA BOHEMIA ALGARVE, découvrez la bougie AMALIA, subtil association de patchouli et de musc blanc.

Une lampe d’un bleu inimitable : Lampe Lop Rectangle Bleu BANG – En vente à la boutique du Centre Pompidou, et sur boutiquesdemusees.fr

Chaque année, certains rivalisent d’originalité pour que les paquets soient aussi appréciés que ce qui se trouve à l’intérieur. Le moment de la distribution des cadeaux est un moment particulièrement convivial. Avec une étiquette personnalisée composée d’un marque-page, d’un tirage photo ou d’un autocollant, subtilement positionné sur le paquet, la surprise ne sera que plus agréable. Une petite attention supplémentaire à réaliser sur www.cewe.fr


­Dévoilées à Art Basel Paris, ces quatres tasses sont signées Monica Bonvincini, Binta Diaw, Simone Fattal et Shirin Neshat. Quatre artistes de renommée internationale, porte-paroles de la condition féminine dans le monde avec le projet Genesi, soutenu par illy. Une exposition itinérante multisensorielle qui explore divers thèmes culturels. Coffret de 2 ou 4 tasses en taille espresso ou capuccino.

Un objet décoratif originale: une lampe odoriférante de chez Officine Universelle Buly. On pose la bougie sous la lampe, et la chaleur fait fondre la cire qui diffuse son parfum dans la pièce.

La Puzzlerie. Site spécialiste du puzzle de 99 à 2000 pièces à destination des adultes avec des designs modernes et originaux, fabriqués en France, qui viennent dépoussiérer l’univers du puzzle. Visitez la boutique en ligne sur internet www.la-puzzlerie.fr

Toujours dans l’univers des bougie, en voici une exceptionnelle: la bougie HFC reprenant les fragrances iconiques « Devil’s Intrigue » et « Diamond in the sky« . Attention cette édition limitée n’est disponible que pendant les fêtes de fin d’année. https://www.hfcparis.com/fr/store

La Maison L’Objet propose des pièces élégantes et originales pour sublimer votre intérieur et en cette fin d’année, vos tables festives. Bougies, vaisselles, vases, et accessoires de table, vous permettrons de créer une ambiance chaleureuse et en harmonie avec l’esprit de célébration. De quoi offrir une expérience sensorielle et visuelle à vos invités afin de les plonger dans la magie de l’instant. 

Toujours dans un univers baroque et onirique, une bougie Fetish, de la créatrice Vanessa Mitrani, en vente à la boutique du Centre Pompidou

Chez MAPOESIE, un tapis reprenant la couleur tendance de 2025.

Trait d’union entre la décoration, l’art et le jeu, la collection Taquin vient perturber
les codes de l’œuvre qui jusqu’alors est intouchable.
Ici, on construit, on dérange, on chamboule, on agite, on est sage, pas sage, ordonné,
désordonné et surtout rien n’est jamais figé ! Chaque palet représente un fragment de
l’œuvre et il vous appartient de le déstructurer, de vous l’approprier selon vos goûts, votre humeur, la saison ou l’endroit. Vous pourrez toujours retrouver l’œuvre initiale, mais le voudrez-vous vraiment ? A vous de jouer ! www.taquin.art

De chez VILLA AREV, une ensemble de sept lampes au couleurs de l’arc en ciel.

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Une BMW en road trip culinaire

La team Blake est partie en road trip gastronomique entre le Nord de la France et la Bourgogne avec pour véhicule le tout dernier X1 M35i xDrive de chez BMW, le SUV compact, pépite de la marque allemande.

Premier arrêt: le restaurant La Laiterie Lambersart près de Lille, tenu par le Chef Edouard Chouteau. Cette maison a 120 ans d’histoire,elle est une Institution gastronomique majeure et immanquable de la métropole lilloise, y sont passés déjà passé des chefs comme Ludovic VANTOURS (1984-2002), Steven RAMON et Benoit BERNARD (2002-2013) qui obtiendra une étoile au guide Michelin, puis Nicolas GAUTIER (2013-2017), Corentine LEDUC (2017-2019). Aujourd’hui pour Edouard Chouteau tout y est à refaire, l’étoile est à reconquérir, et il a carte blanche.

La salle de restaurant est grande, divisée en plusieurs espaces dans le L que forme La Laiterie, nous dînons dans la partie qui a le plus de hauteur sous plafond. Les tables sont bien séparées ce qui laisse une véritable intimité pour vivre le repas. Le ton principal est le blanc, une façon de mettre en lumière ce qui se passe dans l’assiette. L’équipe est complète, en salle le rythme est bon et les plats s’enchaînent en laissant le temps de discuter et d’apprécier chacun des temps du dîner. La cave, très fournie, offre des pairings riches : des grands classiques, aux natures en passant par la bière. La cuisine d’Edouard Chouteau est une cuisine française, qui sait jouer des grandes techniques classiques avec de l’inventivité et ayant à coeur d’être dans les marqueurs fort de la région mais aussi de l’AND de la maison qui était une ancienne laiterie, donc place belle aux produits laitiers, crème, fromages, beurres, …

Pour le dîner il nous est proposé 3 menus : produits d’exceptions,  végétale et terre-mer. Nous ferons une diagonale qui comprendra un mélange des 3 pour explorer au maximum les talents du Chef. Parmis les amuse bouche Edouard Chouteau revisite le grand classic moule-frite avec briaud, il aime jouer avec le Terre-mer comme avec le veau caviar, plein de peps et de saveurs mêlées et équilibrées. Dans un registre de “cuisine classique” la queue de langoustine tapée façon Gagnaire, superbe de maîtrise. Pour le végétal, l’asperge verte, concombre au barbecue et sauce tigre explose de saveurs, une véritable réussite qui mêle les influences tout en respectant les saveurs de chaque produits, pour le plus grand plaisir de nos papilles.  La sole au lard de colonnata fumé au foin avec une cuisson maîtrisée propose un terre mer subtil.

La Tourte de bœuf au foie gras achève de démontrer que Edouard Chouteau maîtrise les codes de la cuisine française. Comment finir un repas à La Laiterie sans prendre de fromages, impossible, et cela est un régal mais pour une fois je m’attarderais sur la salade et son assaisonnement, qui apporte une très belle fraîcheur, et surprend avec  ses notes de jus de viande et ses chips de pain. Comment ne pas vous parler des desserts du chef pâtissier Benjamin Caunois …surtoutcelui au miel préparé avec les miels de ruches de La Laiterie, un délice d’élégance et de saveurs sans tomber dans le trop sucré, et le baba, tout en légèreté, je sais ca peut surprendre mais on est dans l’aérien, ce qui est nécessaire pour une fin de repas.Un régal à travers toutes ces saveurs de la région Nord et de France. Edouard Chouteau montre tout son talent et son inventivité galopante. Une cuisine à découvrir et redécouvrir sur toutes les saisons.

Interview de Edouard Chouteau – La Laiterie Lambersart

Comment en êtes-vous venu à la cuisine ?

J’ai grandi dans l’hôtel de mes parents j’avais l’envie de faire comme mon père faire plaisir aux gens, il y avait quelque chose de magique dans la cuisine. Tout d’abord j’ai fait un stage chez mon oncle qui m’a dit va faire des grands restaurants j’ai alors commencé l’apprentissage en faisant des stages dans des restaurants étoilés à Lorient.

Quel a été votre parcours d’apprentissage ?

Mon premier stage c’était chez Henri et Joseph j’ai fait mon apprentissage là-bas puis au bristol avec Éric Fréchon avec une brigade de fou Henri et Joseph on était trois alors que là on était cinq il y avait Florian enfin Mario Colin Foulquier Nawel que du beau monde et puis j’ai été extra espace extra chez Paul Berger à l’Arpège, je suis passé aussi chez qui Kika d’Agosto en Espagne.  Mais ma grande envie c’était d’aller chez Gagnaire. Ensuite je suis allé à Courchevel, pusi au Balzac chez Gagnaire, J’y ai tout adoré l’équipe le matériel c’était exceptionnel. Gagnaire, vraiment, c’est super complet c’est tout ce que j’aime on ne jette rien la brigade est soudé à beaucoup de niveau il y a beaucoup de plaisir en cuisine c’est géré comme une maison de patron c’est le grand luxe beaucoup de produits incroyables tout le temps en mouvement rien de figé c’est une cuisine vivante avec du risque de l’audace et avec beaucoup d’énergie.

Après le bal après le Balzac j’ai fait le tour du monde je ne savais pas trop ce que je voulais faire je suis passé à New York je suis allé au Portugal mais aussi à Dakar il y avait une opportunité au Clarence pour rejoindre Christophe pelé en tant que sous-chef je l’ai saisi. Christophe appeler ce sont des jeux de textures incroyable et en cuisine c’est très décomplexé un festival de produits j’ai fait des services de 20 couverts dit table sans qu’une assiette ne se ressemble, Christophe appeler c’est un artiste, personne personne ne vit la cuisine comme lui.

Puis j’ai eu la direction du pavillon de la reine avec Mathieu Paco c’était une opportunité folle je n’avais jamais été chef je n’avais jamais fait d’ouverture je n’avais jamais embauché d’équipe une magnifique opportunité.

J’ai quitté le pavillon de la reine pour avoir plus d’espace pour l’opportunité de faire pleinement ce que je voulais, faire ma cuisine.

Comment êtes-vous arrivé à la Laiterie ?

Pour la laiterie j’ai été embauché par une chasseuse de tête qui m’a convaincu du potentiel de la maison, que le projet était excitant, parce qu’à la base je ne voulais pas partir de Paris. Ici il y a une histoire qui me parle et y avait tout à faire.

La laiterie c’est 120 ans d’histoire c’est une institution  qui parle à tous les lillois, donc il y avait une grosse attente c’était une nouvelle page à écrire comme au Pavillon de la Reine, mais là j’étais aux commandes. On m’a donné carte blanche, il y avait tout à refaire : une équipe à monter, jusqu’à racheter de la vaisselle. Mais il y a ici une cave exceptionnelle, une bonne base pour un restaurant (rire).

Quelle est la nature de votre cuisine à la Laiterie ?

Ma cuisine…ce sont d’abord de beaux produits, aller à la recherche de petits producteurs locaux, raconter quelque chose avec des goûts réconfortant, mais aussi se faire plaisir en cuisinant à la laiterie je veux que cette maison soit cohérente alors je travaille le lait évidemment mais surtout je souhaite être avec des produits locaux du bœuf de la volaille de la région mettre en avant terroir. Dans la région il y a un vivier d’artisans précieux, le terroir nordique est riche et singulier.

On bosse beaucoup avec une petite ferme du Pont d’Achelles, elle fait des petits pois, des asperges, des fraises, des framboises, mais aussi des morilles exceptionnelles. Ce que j’aime le plus c’est de travailler les fruits de mer et le gibier, le végétal,… J’aime la diversité, en fait, à chaque saison on réinvente le métier de cuisinier.

Quel est votre accord boisson et plat préféré :

J’aime utiliser le vin, l’alcool ou les eaux de vie en cuisine, ça ajoute de la fraîcheur mais aussi de la profondeur et une vivacité. Je préfère rajouter de l’eau-de-vie à une sauce que des épices, ça ramène une autre dimension.

Y a t il une volonté vers l’étoile Michelin ?

Mon ambition pour la Laiterie c’est de faire vivre la Maison et de prendre du plaisir. j’ai toujours travaillé dans des maisons en lien avec le Michelin… nous on fait ce qu’on sait faire, on va de l’avant, pour le reste autour, on n’y peut rien.

Notre voyage se poursuit direction la Bourgogne, à Courban, entre Troyes et Dijon.

Le Château de Courban fait hôtel, spa et restaurant. Dans la petite ville de Courban, ainsi que dans la région, les plus grosses demeures de chaque cité était nommée Château. C’est ainsi que au détour d’une rue du village de Courban l’on devine derrière un portail, une grande maison de maître. 

Le domaine est splendide avec ses jardins, ses différentes dépenses pour différents logements, dont un pigeonnier tout à fait romantique pour les nuits étoilées. Mais aussi des points d’eau, un couloir de nage, un spa Nuxe, et le chien du maître de maison pour veiller sur les lieux.

Le restaurant offre deux espaces, dont le premier avec la cheminée pour débuter ou finir le repas au coin du feu, et la salle principale qui jouit d’un beau volume. Les tables sont bien espacées pour offrir une bulle apaisante et vivre son repas sans gêner les tables d’à côté. L’équipe en salle est très prévenante, la sommelière accompagne avec tacte tout le repas. On est clairement sur une maison qui va chercher l’étoile.  Le repas commence sur de jolies amuses bouches où jeux de couleurs, textures et saveurs annonce un dîner qui aura des influences multiples venant de France, mais aussi des pays arabes et de l’Asie. Les saveurs sont toujours très justes et équilibrées, le poisson est particulièrement mis en avant avec un travail sur la maturation de la chaire, qui marque son goût et lui apporte une salinité naturelle, c’est très bien maîtrisé.

La langoustine soutenue par la vanille et la patate douce est un terre-mer subtil et très réussi. D’ailleurs tous les jus et réduction sont goutû à souhait et révèle les plats qui sont très lisible, en bouche on sait ce qu’on mange. La volaille de Racan au morille de saison est superbe également, un sans faute, avec des pairings vins classiques mais justes. Le plateau de fromage arrive avec du miel sur son rayon, un délice ! Une belle expérience culinaire qui devrait bientôt se voir glorifiée.

Interview de Maxime Lesobre – Le Château de Courban

Pourquoi avoir choisi la cuisine ?

Mes parents étaient bouchers, et avant mon père était à Rungis et grand spécialiste du gibier. J’étais pas fait pour les études, j’avais trop d’énergie à dépenser (rire)…je suis portugais de par ma mère, j’avais donc 2 grands- mères qui cuisinaient très bien l’une française et l’autre portugaise, deux belles écoles de cuisine. Et puis la cuisine c’est les moments joyeux où l’on se réunit et j’aimais ça. Donc la cuisine a pris le dessus très vite. J’ai fait quelques stages et des chefs m’ont pris sous leurs ailes. Mon avantage c’était qu’avant d’arriver en cuisine je savais travailler les carcasses de viandes grâce à  mon père. J’ai fait un BEP cuisine à Ferrandi Versailles, avec de très bons profs donc Frédéric Anton, qui est MOF aujourd’hui.

J’ai fait beaucoup d’heures et j’ai été bien formé. J’ai été mordu totalement. Puis un BP, Bac pro, avec que de la cuisine. Mes parents ont une boucherie dans le 78 à Saint Quentin en Yvelines, petite ville sympa.

Quel a été votre parcours ?

Première maison Le Laurent, j’ai fait la réouverture du Royal Monceau en 2010, puis la Grande Cascade pendant 2ans, avec le Chef Robert, probablement m’a plus grosse influence, ses auces, ses jus, puis Alain Passard, Michel Rostang, j’étais sous-chef tournant, puis retour à la grande cascade, et ouverture à la Réserve, Jérôme Banctel, grand technicien,

Avez-vous un chef pâtissier avec vous ou c’est aussi vous les desserts ?

Cheffe Pâtissière,  Sae Hasegawa, on fait des essais tout le temps, je viens donner des indications mais j’aime quand ce sont les saveurs qui explosent surtout sans trop de sucre, un avis qu’on partage.

Comment cela a commencé au Chateau de Courban ?

Je suis là depuis février mais en vérité, je suis là depuis octobre. J’ai fait venir mon sous-chef, Lilian Ardouin. On reprend une maison, on y va étape par étape, on peut pas tout révolutionner d’un coup. Là c’est la 2ème carte. Au début on a perdu 5 personnes dans l’équipe et là j’ai une bonne équipe de gens qui donnent beaucoup. Je suis fier de ma team, que des petits jeunes qui s’investissent.

Le petit déjeuner c’est tout maison, brioche, quiche, cake,…

Le Château de Courban a été un restaurant étoilé pendant des années. Aujourd’hui il y a tout à faire et je vais faire ma cuisine. L’important c’est l’esprit d’équipe. Je suis ici pour montrer l’exemple sur l’esprit d’équipe faire du gourmand et du goût.

Quelle est votre cuisine ?

Ma cuisine c’est la cuisine du produit, sublimer le produit sans trop le dénaturer. Il y a pas de règles, je mélange les influences japonaises ou encore africaines, et bien sur du français cela reste notre base, cela reste les 90% de ce qu’on fait? Ici on fait beau avant de faire beau. Avant j’en mettais peut être trop et mon passage avec Alleno m’a appris ça, se concentrer sur l’essentiel. On concentre le goût du produit, pour faire un jus on met 2 à 3 jours : on déglace et on laisse mijoter longtemps…pas trop de sel, le sel vient du produit. J’aime jouer sur les acides, le gras, faut que cela titille les papilles. Je fais un vinaigre de shiso, qu’un ami japonais m’a appris, la cuisine c’est le partage, le savoir. Je dis à mes équipes de tout noter, je donne mes recettes. Il faut aller à l’essentiel, ne pas dénaturer le produit, sublimer le produit et que ce soit lisible dans l’assiette.

Quel est le produit que vous préférez travailler ?

La truffe (rire) ! J’adore les champignons, les poissons. La lotte on l’a fait maturer, comme une viande, j’ai suivi la méthode d’un chef australien qui a lancé ça. Du coup on ne met pas de sel sur cette Lotte et ses saveurs se sont concentrées. J’ai envie de faire des charcuteries de poisson, je viens d’acheter une ventrèche de thon et on va en faire un jambon. Bien sûr on travaille les produits de saison, les produits on va les prendre là où ils sont. On fait que des poissons de ligne, avec des petits bateaux. Faut valoriser nos paysans. Je ne négocie pas les prix mais j’attends de l’excellence. Nous on travaille avec un volailler extraordinaire,  en Touraine, Maison Bellorr, ils étaient au Michelin cette année, ils ont un petit élevage avec une race ancestrale, une des plus vieilles volailles de France, ils font pigeons, des escargots, des asperges bio,…du top.

Le superbe SUV compact de BMW !

Pour rallier ces deux lieux d’exception nous avons découvert la toute dernière merveille de chez BMW, le SUV compact, X1 M35i xDrive : Puissance, Élégance et Technologie de Pointe.

Lorsque l’on voit le tout nouveau X1 M35i xDrive, ce qui saute aux yeux c’est son format compressé et agressif, on sent que la bête sommeil. Ce véhicule allie puissance, élégance et technologie de pointe. Voici pourquoi le BMW X1 M35i xDrive est le véhicule parfait pour ceux qui ne veulent faire aucun compromis.

Un Design Audacieux et Raffiné

Sa calandre emblématique à double haricot, plus large et plus agressive, est complétée par des phares LED adaptatifs et des feux arrière à LED distinctifs, conférant au véhicule une allure moderne et sophistiquée. Les lignes sculptées et les contours musclés ajoutent une touche de sportivité qui ne laisse personne indifférent.

Les pare-chocs avant et arrière sont spécifiquement dessinés pour la version M, intégrant des prises d’air plus larges et des diffuseurs qui accentuent l’aérodynamisme et la performance et lui donnent un look sportif. Les jupes latérales et les rétroviseurs extérieurs au design M renforcent l’aspect dynamique du véhicule.

Les jantes en alliage léger M de 20 pouces, avec un design exclusif et des pneus haute performance, non seulement ajoutent à l’attrait visuel du X1 M35i xDrive, mais améliorent également sa tenue de route et sa maniabilité. Le toit ouvrant panoramique, en option, offre une vue dégagée sur le ciel, ajoutant une touche de luxe et de liberté à chaque trajet.

Un Intérieur Luxueux et Modulable

À l’intérieur, le X1 M35i xDrive offre un environnement luxueux et technologiquement avancé. Les matériaux de haute qualité, comme le cuir Dakota et les inserts en aluminium, créent une ambiance élégante et confortable. Les sièges sport M, chauffants et réglables électriquement, assurent un soutien optimal, même lors des trajets les plus longs. Ces sièges sont dotés de multiples réglages électriques, y compris le réglage lombaire à quatre voies, permettant de trouver facilement la position de conduite idéale. Les renforts latéraux réglable eux aussi maintiennent fermement le conducteur et le passager avant en place, même lors des virages serrés, offrant ainsi une expérience de conduite plus engageante et dynamique.

Le X1 M35i xDrive se distingue également par sa modularité exceptionnelle. Les sièges arrière sont rabattables dans une configuration 40/20/40, offrant ainsi une flexibilité maximale pour transporter des passagers et des charges volumineuses. Le volume du coffre, déjà généreux, peut être augmenté de manière significative, facilitant le transport d’équipements de sport, de bagages ou d’achats importants.

Technologies de Pointe et Connectivité

Le tableau de bord est équipé du dernier système d’infodivertissement iDrive 8 de BMW, avec un écran tactile de 10,25 pouces et un affichage tête haute. Ce système intuitif permet un accès facile à la navigation, aux applications connectées et à vos médias préférés. La compatibilité sans fil avec Apple CarPlay et Android Auto assure une intégration transparente de votre smartphone, vous permettant de rester connecté en toute simplicité.

Les systèmes d’assistance vocale et gestuelle améliorent encore l’expérience utilisateur, rendant les commandes intuitives et sécurisées. Le système de sonorisation Harman Kardon, disponible en option, transforme l’habitacle en une véritable salle de concert, offrant une qualité audio exceptionnelle pour tous les occupants.

Des Performances Époustouflantes et une Motorisation M que l’on aime

Sous le capot, le BMW X1 M35i xDrive cache un moteur quatre cylindres turbo de 2,0 litres, capable de développer 306 chevaux et 450 Nm de couple. Couplé à une transmission automatique à huit rapports et à la transmission intégrale xDrive, ce moteur offre une accélération fulgurante, permettant de passer de 0 à 100 km/h en seulement 5,4 secondes.

Le système xDrive répartit intelligemment le couple entre les roues avant et arrière, garantissant une traction optimale et une stabilité exceptionnelle, quelles que soient les conditions de conduite. La suspension M Sport, combinée à la direction sportive variable, offre une réactivité et une précision remarquables, transformant chaque trajet en une expérience dynamique et engageante.

Système de Freinage Avancé

Le BMW X1 M35i xDrive est équipé d’un système de freinage hautes performances qui assure une puissance de freinage exceptionnelle. Les freins à disque ventilés, équipés d’étriers de frein M Sport en bleu avec le logo M, garantissent une dissipation optimale de la chaleur et une réponse précise, même lors des situations de conduite les plus exigeantes. Le système de freinage antiblocage (ABS), associé à la répartition électronique de la force de freinage (EBD) et à l’assistance au freinage d’urgence, assure une sécurité maximale en toutes circonstances.

Sécurité et Assistance à la Conduite

Le X1 M35i xDrive est équipé des dernières technologies de sécurité et d’assistance à la conduite. Parmi elles, le régulateur de vitesse adaptatif avec fonction Stop & Go, l’assistant de maintien de voie avec retour actif, la surveillance des angles morts et le système de freinage d’urgence autonome. Ces fonctionnalités avancées travaillent de concert pour vous offrir une conduite sereine et sécurisée.

Le système Parking Assistant Plus, incluant une caméra de recul haute définition, des capteurs de stationnement avant et arrière, et l’assistant de stationnement autonome, rend le stationnement simple et sans stress. Le système de caméra 360 degrés offre une vue panoramique autour du véhicule, facilitant les manœuvres dans les espaces restreints.

Une Expérience de Conduite grisante

La combinaison de la puissance brute, de l’élégance et des technologies de pointe en fait un véhicule qui offre une expérience de conduite sportive et rassurante à la fois. On peurt s”amuser tout en se sentant toujours très en sécurité et en maîtrise. Que vous naviguiez en ville ou que vous partiez pour une escapade sur route, le X1 M35i xDrive vous offre des performances sans compromis et un confort inégalé.

Conclusion : Le Choix Idéal pour les Conducteurs Exigeants

Le BMW X1 M35i xDrive n’est pas simplement un SUV compact; c’est une déclaration de style, de performance et d’innovation. Un SUV compact mais aussi un véhicule de luxe, avec l’ADN sportif qui caractérise la gamme M de BMW.

Un gardien du temps, Le Chrono type 20, Flymaster n°73 de Auricoste

Pour garder un œil sur le temps lors de cette cavalcade gustative, Auricoste nous a prêté un chrono de sa gamme, une montre parfait pour aller avec l’aspect sport de la BMW, et pour ce weekend à travers les régions de France.

Auricoste est une marque française, depuis 1854, spécialisée dans le domaine des chronomètres de marine. Auricoste est intimement liée à la vie aéronavale française. Son histoire lui confère un statut particulier dans l’univers horloger ou beauté et rigueur du mécanisme sont les maîtres mots. Ses chronographes sont considérés comme des instruments de mesure de choix par les spécialistes et amateurs de mécanismes horlogers dans le monde entier.

Ses performances lui permettent d’équiper les armées navales, aériennes et terrestres en France comme à l’extérieur de l’hexagone. Nos outils de mesure, nos différents modèles sont conçus en vue d’une robustesse et d’une lisibilité parfaite pour résister aux situations les plus extrêmes.

La type 20

En 1954, Auricoste crée et développe le modèle type 20 dont la fonction « flyback » devient une norme imposée par le Ministère français de la Guerre. Plus de 2000 chronographes sont livrés aux différentes forces françaises. A l’époque le Ministère de la Guerre, imposant à ses pilotes d’aéronavales d’être équipées de chronographes dotés de la fonction “retour en vol“ également connue sous le nom de “flyback”. Cette complication à pour fonction de permettre aux pilotes de mesurer des intervalles de temps successifs en une fraction de seconde, rendant inutiles les fastidieuses opérations répétitives des 3 étapes, stop, remise à zéro et start habituelle. 

Un boîtier de 39,5mm et des aiguilles recouvertes de superluminova, pour être lues même de nuit, ainsi que deux chronos dans le cadran. La glace hésalite a été choisie pour éviter les bris de verre.

Article réalisé par Alexis Dumétier

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Fêter les 70 ans de Relais et Châteaux en Porsche Cayenne E-hybrid

Cette année nous fêtons les 70 ans de l’association Relais & Château, à l’Auberge des Templiers, lieu où tout a commencé, et pour nous y rendre nous avons testé le tout dernier Cayenne e-hybride de Porsche.

Le 16 avril 1954 très exactement, allait se dérouler un événement qui resterait à jamais
gravé… Ce jour, Marcel Tilloy, hôtelier-restaurateur dans la vallée du Rhône, vint proposer à Lucienne-Anne et Jacques Dépée, eux-mêmes propriétaires de L’Auberge des Templiers et détenteurs d’un macaron au Guide Michelin, de fonder une alliance de huit hôteliers présents sur l’itinéraire Paris-Nice. Dénommés alors Les Relais de Campagne, ces huit établissements allaient devenir la première génération des Relais et Châteaux.


C’est ainsi qu’est née l’association des Relais & Château, autour de l’idée du voyage afin de découvrir des demeures de charmes où séjourner, comme si nous étions à la maison et avec la possibilité de déjeuner et dîner à de belles tables étoilées, ou non, avec pour philosophie l’art du bien recevoir, de la convivialité.

Pour célébrer cet anniversaire, ce sont quatorze Chefs qui se sont déplacés, venus de maisons Relais et Châteaux de toute la France, dont Baumanière avec Glenn Viel, Les Maison Marcon avec Régis et Jacques Marcon, Le Relais Bernard Loiseau représenté par Patrick Bertron, La Côte Saint-Jacques et Jean-Michel Lorain, Paul Stradner pour La Villa René Lalique , Le Chef Jérôme Schilling pour Hôtel & Restaurant Lalique Château Lafaurie-Peyraguey,

Le Phébus & Spa avec Xavier Mathieu, La Chapelle Saint-Martin avec Gilles Dudognon, Maison Décoret avec Jacques Décoret, L’Auberge des Templiers et toutes leurs équipes, Château Saint-Jean et Olivier Valade, Le Château de Courcelles avec Lucas Vannier, Les Hautes Roches représenté par Didier Edon ainsi que L’Hôtel de la Plage par Stéphane Chauvin.

Tous ces chefs avaient pour contrainte commune de nous faire découvrir leurs talents à travers une simple et unique bouchée, accompagné d’un vin. Et quelle démonstration de talent ce fut. Tous ces chefs expriment avec les produits de leurs terroirs un talent exceptionnel, chacun valant le détour pour aller les découvrir dans leurs régions.

La route pour aller à la rencontre de ces maisons chaleureuses et ces chefs aux milles talents peut se faire de bien des façons, mais la plus pratique et la plus souple reste certainement la voiture. Pour nous rendre à cette journée anniversaire la team Blake a essayé le dernier Cayenne e-hybrid de Porsche.

Dans l’univers de l’automobile de luxe, Porsche a toujours su se démarquer avec des véhicules alliant performance, élégance et technologie. Le dernier Porsche Cayenne E-Hybride ne fait pas exception à cette règle. Véritable chef-d’œuvre d’ingénierie et de design, dans ce SUV hybride, confort, puissance et technologies embarquées se rencontrent pour offrir une expérience de conduite inégalée.

Une Puissance Électrisante

Dès le premier coup d’œil, le Porsche Cayenne E-Hybride impose sa présence, surtout avec cette finition de peinture « légende » : Bleu montego métalisée, atypique et séduisante. Sous son capot se cache une mécanique de pointe, combinant un moteur V6 turbo de 3,0 litres avec un moteur électrique, pour une puissance totale de 462 chevaux pour propulser les 2 370 Kg du SUV. Cette alliance entre le thermique et l’électrique permet une accélération fulgurante, passant de 0 à 100 km/h en seulement 5,0 secondes. La vitesse maximale, quant à elle, atteint 253 km/h, témoignant de l’esprit sportif indéniable de ce Cayenne E-Hybride.

La véritable révolution se trouve dans l’efficacité énergétique : le Cayenne E-Hybride offre une autonomie électrique pouvant atteindre 40 kilomètres, idéale pour les trajets urbains sans émissions. La batterie lithium-ion de 17,9 kWh se recharge en seulement 2,3 heures avec un chargeur de 7,2 kW, permettant une bonne flexibilité dans l’utilisation quotidienne.

Un Confort Sans Compromis

À bord du Cayenne E-Hybride, chaque détail a été pensé pour offrir un confort exceptionnel. Les sièges, recouverts de cuir fin et réglables dans de multiples positions, offrent un soutien parfait pour les longs trajets. Le système de chauffage et de ventilation à quatre zones assure que chaque passager peut profiter d’un environnement climatisé à son goût. Les sièges avant peuvent être équipés de fonctions de massage pour une relaxation maximale lors des longs trajets.

L’habitacle spacieux offre un comfort de route exceptionnel et grâce au toit panoramique l’habitacle est particulièrement lumineux, une invitation à la détente et au bien-être. Les passagers arrière ne sont pas en reste, bénéficiant de sièges chauffants et d’un espace généreux pour les jambes. Le système audio Burmester 3D High-End Surround Sound transforme chaque trajet en une expérience acoustique exceptionnelle, enveloppant les occupants dans un son particulièrement bien spacialisé.

La suspension pneumatique adaptative, de série sur ce modèle, absorbe les irrégularités de la route avec une aisance déconcertante, garantissant une conduite douce et sereine. Avec les pré-réglage vous pouvez jouer sur la dureté de celle-ci mais aussi sur la hauteur du chassis, ce qui permet de s’adapter à des conduites variés allant de sportive ou routière, et des routes diverses que ce soit autoroute ou hors route. Le Porsche Cayenne E-Hybride se comporte en toutes situations avec une maîtrise exemplaire, offrant une expérience de conduite fluide et plaisante.

La Technologie au Service de la Conduite

Le Porsche Cayenne E-Hybride embarque quasiement toutesl es dernières technologique de chez Porsche. Le tableau de bord est dominé par un écran tactile haute résolution de 12,3 pouces, intégré au système d’info-divertissement Porsche Communication Management (PCM). Ce système intuitif offre une connectivité sans faille avec les smartphones grâce à Apple CarPlay et Android Auto, ainsi qu’une navigation GPS avancée et des commandes vocales intelligentes.

Le fin du fin, le passager avant dispose d’un écran tactile dédié de 10,9 pouces, intégré dans le tableau de bord côté passager. Cet écran permet d’accéder à diverses fonctions multimédia, à la navigation et aux réglages du véhicule sans déranger le conducteur. Grâce à cette technologie, le passager avant peut gérer la musique, la climatisation et même regarder des vidéos en toute tranquillité, offrant une expérience de voyage encore plus enrichie.

Pour les passagers arrière, Porsche a également intégré un système de divertissement de pointe. Chaque passager peut profiter de son propre écran tactile de 10,1 pouces monté à l’arrière des sièges avant. Ces écrans permettent de diffuser du contenu multimédia via des ports HDMI, USB et des connexions sans fil, offrant une expérience personnalisée et immersive. Les passagers peuvent également contrôler certaines fonctions du véhicule, telles que la climatisation et les sièges chauffants, directement depuis leurs écrans.

La sécurité n’est pas en reste avec une panoplie de systèmes d’assistance à la conduite. Le régulateur de vitesse adaptatif utilise un radar pour maintenir une distance sécuritaire avec le véhicule précédent et peut ajuster la vitesse en fonction des conditions de circulation. L’assistance au maintien de voie utilise une caméra pour détecter les marquages au sol et peut corriger la trajectoire du véhicule pour éviter une sortie de voie involontaire.

Le Cayenne E-Hybrid propose en option les freins PSCB, qui utilisent un revêtement en carbure de tungstène sur les disques de frein. Ce revêtement augmente la résistance à l’usure, réduit la production de poussière de frein et améliore la performance de freinage.En option haut de gamme, le Cayenne E-Hybrid peut être équipé de freins en céramique composite (PCCB). Ces freins sont connus pour leur légèreté, leur résistance exceptionnelle à la chaleur et leur performance supérieure en termes de réponse et de durabilité, même dans des conditions de conduite exigeantes.

Le freinage d’urgence automatique est équipé de capteurs qui surveillent la route et peuvent appliquer les freins si un obstacle est détecté soudainement. Le système de vision nocturne, quant à lui, utilise une caméra thermique pour détecter les piétons et les animaux dans l’obscurité, ajoutant une couche de sécurité supplémentaire.

Le Cayenne E-Hybride propose également un affichage tête haute, projetant des informations cruciales directement sur le pare-brise pour que le conducteur puisse garder les yeux sur la route et ça on aime tout particulièrement, celui ci étant très lisible même avec un fort ensoleillement. Le système de caméra à 360 degrés offre une vue d’ensemble lors des manœuvres de stationnement, réduisant le risque de collisions et facilitant les manœuvres dans les espaces restreints.

Grâce à toutes ces aides la prise en main de ce gros SUV (4,85 m × 1,93 m × 1,70 m) se fait comme si vous l’aviez toujours conduit. Le garer devient même un jeu d’enfant.

Une Expérience Connectée et Personnalisée

La connectivité embarquée du Porsche Cayenne E-Hybride va bien au-delà des standards actuels. Le Porsche Connect offre une série de services en ligne et de fonctions intelligentes. Grâce à l’application Porsche Connect, vous pouvez contrôler à distance diverses fonctions de votre véhicule, comme la climatisation, l’état de charge de la batterie, et même localiser votre véhicule.

Les mises à jour logicielles over-the-air garantissent que le système d’info-divertissement et les fonctions de sécurité restent toujours à jour, ajoutant de nouvelles fonctionnalités et améliorations au fil du temps. Le système de navigation en temps réel peut également prévoir les conditions de circulation et proposer des itinéraires alternatifs pour éviter les embouteillages.

Porsche c’est une vision du luxe également, ainis il propose à chaque propriétaire de personnaliser son Cayenne E-Hybride selon ses goûts. Des options de peinture exclusives, des finitions intérieures en bois, carbone ou aluminium, et une gamme variée de jantes permettent de créer un véhicule véritablement unique. L’interface utilisateur peut également être personnalisée, offrant des réglages sur mesure pour les préférences de conduite, les affichages et les fonctions de confort.

Dans la team BLAKE on aime les belles voitures et on adore la belle horlogerie, du coup on n’a pas résisté à mettre en avant un beau chronographe, un peu sport, de chez Herbelin, une marque française, qui brille par sa qualité depuis 1947. Parfait allié de ce SUV dynamique et puissant, le modèle Newport Automatic Chronograph Édition Limitée de chez Herbelin, est une montre élégante et qui accompagne les amoureux de sensation forte, notamment avec son tachymètre, l’objet de mesure par excellence pour les amoureux de vitesse. Petit cours d’utilisation du tachymètre :

  • Lancer votre chronographe au passage d’un objet en mouvement, comme une voiture.
  • Arrêter le chronographe une fois que l’objet a parcouru une distance prédéterminée (par exemple un mile ou un kilomètre).
  • L’aiguille des secondes indiquera un chiffre sur l’échelle tachymétrique. Ce nombre représente la vitesse de l’objet en unités par heure (des kilomètres par heure par exemple).

Si vous lancez votre chronographe au passage d’une voiture et l’arrêtez lorsqu’elle a parcouru un kilomètre, et que cela a pris 30 secondes, l’aiguille des secondes indiquera 120 sur l’échelle tachymétrique. Cela veut dire que la voiture se déplaçait à 120 km/h. Cela peut paraître compliqué, mais c’est en réalité très simple.

Article écrit par Alexis Dumétier

Merci à l’association des Relais et Château, Porsche France, Herbelin, Nike, Sandro, Colmar, Persol

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Découverte du RAFALE de RENAULT

La team Blake est partie dans la région de Séville, en Espagne, pour découvrir sur les routes de campagnes sévillanes les qualités du Rafale de chez Renault.

Une voiture qui bénéficie des toutes dernières technologies de la marque au losange pour le plus grand plaisir des conducteurs. Rafale est le dernier né de chez Renault. Ce nom évoque tout de suite l’aviation avec l’avion militaire de chez Dassault, des lignes tendues, de la vitesse et du caractère. C’est le cas de ce nouveau modèle de la marque au losange.

Mais ce Rafale, lui, est un hommage à un avion certes, agile et rapide également mais pas celui de Dassault : Le rafale de Caudron-Renault. Une histoire d’aérodynamisme et de design français. Ce « racer du ciel », au nom inspiré du vent, était destiné à la compétition sportive. Plus léger et plus agile que ses pairs, il était plus compétitif. 


C’est exactement l’idée que reprend la voiture de Renault, attaquer le segment des SUV de luxe. Ce Rafale, à 4 roues de chez Renault, contrairement à son modèle aérien, est lui aussi pensé avec cette dynamique avec des lignes tendues et franches qui lui donnent un design racé. Que ce soit les lignes saillantes des flans aux éléments irisés présents dans les optiques, en passant par les losanges cachés un peu partout dans et sur la voiture ou encore l’avion que l’on retrouve dans l’habitacle, ce modèle est pensé pour être une voiture qui se démarque. 

Le Design du Rafale. En plus de ses lignes de fuites bien étirées, tout comme ses optiques avants, ce que l’on remarque tout de suite c’est sa grosse calandre avant, comme des écailles de serpent, qui lui donne du volume et un air plus agressif, ses écailles étant une reprise de losange bien sur. L’arrière de la voiture est typique des SUV coupé pour lui apporter un look définitivement plus sport. Ses mensurations : 4,71 mètres de long, pour 1,61 mètre de hauteur, on est clairement sur du SUV compact, d’apparence.

L’intérieur du Rafale. Pourquoi d’apparence ? Car une fois que vous découvrez l’habitacle, le premier sentiment est celui de l’espace et du confort. et pour cause il partage la plateforme CMF-CD du Renault Espace. Le conducteur et son passager sont dans un véritable confort et la plage arrière n’est pas en reste; pensée pour deux ados avec une place centrale qui se transforme en plateforme parfaite pour recevoir tablettes et téléphones (deux ports USB à disposition), ainsi que des reposes gobelets, pour un voyage en première classe pour les passagers arrière de ce Rafale. Pour 4 personnes le voyage qu’il soit long ou court est un véritable plaisir, on ne sent pas les kilomètres défiler. Dans sa version Esprit Alpine (celle que nous avons testées) de jolies finitions : surpiqûre bleu et rouge, des sièges baquets mais pas trop, pour nous maintenir et assurer un confort routier également. Pépite de technologie le toit verrière et sa techno de verre opacifiant made from Saint Gobain, que l’on ouvre et ferme avec un seul doigt ou encore mieux par la voix via Google Assistant : le toit se désopacifie par tranche, passant de complètement opaque et protégeant des UV à complétement transparent. Le coffre est assez grand pour partir en voyage à 4, nos ados ne prenant que quelques t-shirts pour les weekends et les vacances.


La motorisation. Deux motorisations sont programmées: La version d’essai est la 200CV, et une 300CV à quatre roues motrices fin 2024. La première reprend la technologie E-Tech largement répandue au sein du constructeur. Elle associe le 3-cylindres 1,2 litre de 130 ch à deux moteurs électriques de 50 et 25 kW. Ce dernier, installé dans la boîte multimode sert au démarrage du moteur thermique. Une batterie de 22 kWh complète le système. Elle profite des phases de régénération pour se recharger à vitesse grand V et ainsi maximiser le roulage électrique en ville. La boîte est très fluide, aucun accoup, on accélère franchement et le Rafale se lance dans une montée en vitesse continue. Le freinage est à la hauteur des 200CV et est rassurant.

Les véhicules sont aujourd’hui tous très assistés puisque nous allons vers une automatisation assez certaine, et c’est là où les ingénieurs de Renault pensent aux plaisirs de ses conducteurs, un simple bouton, facilement accessible permet de débrayer les aides les plus contraignantes (gestion des distances, de la tenue de file,…) en un seul clic. Une brillante idée.Le plaisir de conduite comme mot d’ordre de ce Rafale, avec les quatre roues directrices de série sur la finition supérieure, ainsi que le système de direction de Renault, on enchaîne les virages comme un pilote même si l’un de se referme et nous surprend. De plus le système dispose de 13 positions de répartition des aides et de préréglages châssis, direction, amortissement,  réparties entre les modes Confort et Sport. On peut le laisser opérer automatiquement ou régler manuellement. À partir du niveau 7, on profite d’une voiture de plus en plus directe et réactive, et ainsi appréhender la route à son envie. La consommation reste parfaitement maîtrisée, nous avons constaté une moyenne de 6,6 l/100 km, malgré un test varié en dynamique.


Pour conclure sur le Rafale. Le look du Rafale de Renault nous a clairement séduit. Son habitacle et les technologies à disposition nous ont plu et offert une expérience de conduite plus qu’agréable. On descend de véhicule en ayant envie d’y retourner comme si les centaines de kilomètres n’avaient pas été effectuées. Et ça parce que, entre autres, le Rafale a su optimiser les technologies de ses prédécesseurs. C’est un peu le petit dernier, le petit frère tempétueux. On a hâte de tester le 300 CV et de vous en parler.

Prix: À partir de 45.000€
Fiche technique :
– Moteurs: 3-cyl. essence turbo 1,2 l + 2 moteurs électriques- Puissance: 130 ch (200 ch cumulés)- Couple: 205 Nm- Transmission: Traction, boîte auto. multimode- Dimensions (L/l/h): 4 710 x 1 866 x 1 613 mm- Coffre: 627 litres- Poids: 1 660 kilos- Performances (0-100 km/h): 8,9 secondes- Vitesse: 180 km/h- Consommation Mixte UE: 4,7 l/100 km- Émissions CO2: 105 g/km


Article écrit par Alexis Dumétier – Photos et vidéos Eric Sissung.

Drone : Alexis Dumétier et Julien Di Luigi

read more
ArchivesLifestyleMagazine

La Rivelia pour découvrir le café en grain

Je teste régulièrement des cafés pour BLAKE. Je vous parle également depuis quelque temps sur BLAKE de cafés de spécialités. Je dois le dire, le sujet café est devenu une vraie passion. Seulement voilà, quand on veut essayer différents cafés coup sur coup, avec sa machine, ou tout simplement changer de goût de café entre celui du matin et celui de 16h, c’est souvent compliqué. Il faut vider tout son bac, remettre les grains dans le sac, … ou alors il faut avoir un broyeur déporté et c’est un coût supplémentaire et aussi une place supplémentaire sur le plan de travail. Stop ! De’longhi a sorti la solution aux passionnés de cafés en grain, qui comme moi aiment explorer l’univers grandissant des torréfacteurs et des cafés de spécialités, la Rivelia.

La Rivelia est une machine très automatisée, vendue avec deux bacs à grain pour pouvoir changer de café au gré des envies. Et puis, en prime, De’longhi a choisi Brad Pitt comme égérie de la campagne pub de cette machine. Il ne viendra pas l’installer chez vous, mais c’est toujours agréable à voir.


Restons sérieux. Comme pour tout notre électroménager, on aime aussi que la machine à café soit un bel objet. Et pour cela, la Rivelia fait mouche avec son design sobre, aux plastiques élégants et brillants, proposés dans une gamme de couleurs douces : gris galet, blanc arctique, vert jade, beige sable et évidemment noir. Personnellement j’ai un petit faible pour le vert jade.

La Rivelia est une machine compacte, tout en longueur, qui permet de l’insérer dans à peu près toutes les cuisines, même parisienne. Sa finition plastique est de bonne facture, notamment le plastique effet sablé des bacs à café, que l’on sent solide, mais surtout qui est équipé d’un filtre anti UV pour ne pas abîmer les grains de café. Il y a aussi de l’inox pour les buses et le plateau repose tasse. Sur le dessus de la machine se trouve un grand écran tactile qui permet de contrôler la machine, simple, très lumineux, en couleur et intuitif.


La Rivelia est une machine automatisée, simple et complète, qui propose 16 recettes (8 de café, 8 de boissons au lait). Parmi elles, les classiques Expresso lungo, Expresso classique, café long, l’Americano, etc… et les plus en vogue aussi : Latte Macchiato, Cappuccino, Caffe latte, flat white, etc… Vous trouverez forcement la recette qu’il vous faut. Pour chacune de ces recettes, vous pouvez modifier la longueur en tasse sur 4 niveaux (S, M, L, XL) et l’intensité sur 4 niveaux également. Ces réglages peuvent être enregistrés et attribués à un profil (jusqu’à 4). On peut également choisir d’utiliser du café moulu ou profiter d’un extra-shot (comprenez une dose expresso en plus) sur sa boisson. Pour tout ce qui est lactée, on peut choisir la quantité de lait que l’on souhaite consommer. Pour aller encore plus loin dans la personnalisation des recettes, il est aussi possible de sélectionner la température de la boisson depuis les paramètres de la machine.

La multiplicité des cafés et des saveurs proposés sont autant de joies gustatives que de difficultés. C’est bien cela qui complique « l’approche café ». Selon les provenances, les types de cafés, de torréfactions, il faut toujours passer du temps à régler sa machine, essayer de faire 2, 3 expressos, avant de trouver les bons réglages. Et c’est en cela que réside le grand plus de cette Rivelia, c’est qu’elle est conçue pour nous accompagner dans l’exploration et la découverte du café en grain. C’est une véritable ambassadrice du café de spécialité. Pour cela, cette machine compte sur toutes les technologies De’longhi, dont le Bean Adapt, qui permet notamment de régler automatiquement le moulin et les paramètres d’extraction selon le type de café choisi, tout cela via l’interface de l’écran tactile. On donne à l’appareil plusieurs informations : la typicité du café (100 % arabica ou arabica, ou un mélange / blend) ainsi que le degré de torréfaction du grain de café sur 4 niveaux (plus le grain de café est clair moins il est torréfié donc 1, plus il est marron, noir….a éviter….et ce sera 4), en fonction de ces informations, la Rivelia va définir automatiquement la finesse du broyage, l’intensité de l’arôme, la température d’extraction ainsi que la quantité d’eau en tasse afin d’obtenir une extraction optimale.  Ces réglages sont modifiables à volonté. Je sais ce que vous allez me dire : et le reste de grains qui se trouve dans le moulin….De’longhi y a aussi pensé et pour traiter les quelques grammes de café restant nous avons deux solutions : prendre un dernier café et purger la machine, ou mélanger les cafés des deux bacs. 


La Rivelia est une machine pour tous et pour toute la journée, elle propose une trappe pour café moulu, mais surtout une nouvelle fonctionnalité qui permet d’adapter les recettes au fil de la journée en mémorisant votre routine café avec trois paramètres adaptables : matin, midi, et plus tard. Ultra pratique, cette fonction offre en un clic d’ajuster tous les paramètres pour vous offrir le café qui convient à votre moment de la journée.


J’ai été séduit par cette machine qui répond à un ensemble de besoin, simplicité, rapidité, accessibilité, automatisation et possibilité de changer facilement de café. C’est LE bon compromis entre la machine full auto et la barista plus exigeante. Une manière de ce mettre à l’univers du café en grain avec facilité.

De’Longhi nous a proposé pour la fête des pères de vous faire gagner une Rivelia, on a dit OUI ! Demain, samedi 1er juin, connectez vous au compte instagram de BLAKE mag pour tous les détails.

https://www.instagram.com/blake_mag/?hl=fr


Je ne peux pas me retenir de vous parler de mes dernières trouvailles en matière de cafés, et comment faire autrement après vous avoir présenté de quoi les essayer tous facilement. Des grandes maisons de torréfactions et de cafés mais aussi des plus petits torréfacteurs mais tout aussi pointus.

Pour le plus consensuel et pour ceux qui veulent un café type italien, avec une forte torréfaction Segafredo sort Espresso.


Il y a un indicateur fort en France pour le café de spécialité, les marques que l’on retrouve en grande distribution se mettent à proposer des cafés de spécialité, encore un peu trop torréfié à mon goût mais la démarche est remarquable, comme Méo, avec une nouvelle gamme Silvae 100% arabica, café issu notamment de la ferme de Finca Mone Cristo au Honduras, cultivé en agroforesterie, note de chocolat et noisette, parfait pour ceux qui aime le café rond et réconfortant. 


Je poursuis avec mon préféré du moment en daily, le Moka, Bunna Bet, d’Ethiopie, de l’Arbre à café, qui offre des notes de thé noir, de sucre brun, une fin de bouche bien ronde un oeu chocolat et miel. 

Maison LaGrange qui fait un café du Honduras, Pueblo Magico, des notes de cacao, de caramel et une pointe fraîche acidulée de pêche.

Terres de café, avec un Bourbon rouge, Finca Himalaya, du Salvador, aux parfums de chocolat, abricot sec et sirop d’érable.


Pour partir dans le plus extravagant, on va chez KB, torréfacteur parisien, avec Aroma Nativo, de Colombie, une double fermentation Honey, d’une variété Pink Bourbon, normalement préféré pour le slow coffee, mais en expresso c’est vraiment chouette aussi, des notes étonnantes de fraises maras de bois très franches, et de la rondeur aussi pour soutenir. Un ovni à découvrir.

Article écrit par Alexis Dumétier

read more
ArchivesGastronomieLifestyle

Restaurant Accents – deux chefs pour une étoile

Accents est un restaurant discret à Paris dans le quartier de la Bourse. Sa devanture, noire, discrète, intrigue. Quand on pousse la porte, une nuée de grues en origami est comme une deuxième entrée qui nous invite à pénétrer dans l’univers gastronomique du couple Ayumi et Romain. Ayumi Sugiyama est Cheffe Pâtissière et propriétaire d’Accents, Romain Mahi, lui, est Chef de cuisine et également propriétaire d’Accents. Ce couple, à la ville comme en cuisine, propose un voyage culinaire très personnel. 

Dans cette salle qui depuis l’entrée s’ouvre en longueur et en largeur, on découvre des tables, grandes, en bois brut, bien espacées pour laisser aux convives la bulle nécessaire à ce que chacune des tablées profite de son moment, sans se déranger les uns les autres. Les tons qui habillent la pièce sont doux. La lumière est présente mais délicate. La décoration est épurée : des branches aux murs, quelques photos, seule la porte de la cuisine en céramique brille, comme une porte aux trésors. Le fond musical est discret et ce soir-là, il distillait une  pop japonaise des années 80 que je ne pouvais qu’adorer. Le spectacle sera donc bien sur la table et dans les assiettes. Chez Accents ce qui se dégage surtout et dès les premiers instants,  c’est un sentiment d’apaisement et de bien être, de douceur même. 

©FlorianDomergue

Le menu proposé, chez Accents, est sous forme d’une carte blanche donnée aux deux chefs. Ils nous invitent à nous laisser entraîner dans leur univers. Seule demande de début de repas : avons-nous des allergies. Puis la valse des plats commence. Chaque temps de ce menu est composé d’un ensemble d’assiettes , créées par le couple Ayumi et Romain. Une vaisselle comme des nuages de couleurs qui viennent porter les jeux de textures, les équilibres de saveurs et de températures jusqu’à nos mains et nos papilles curieuses. 

Tout de suite le visuel frappe par sa précision, son élégance, sans pour autant chercher la démonstration. Puis en bouche, c’est pointu : les saveurs sont marquées, étagées, riches. Chaque bouchée, chaque plat sont équilibrés entre saveurs sucrées, salées, acidulées, amères et umami,…il en va de même sur les jeux de textures : croquants, coulants, fondants, denses, légers. On sent que la cuisine s’amuse, sur les températures également. Ces tableaux sont parfois saupoudrés de touche Kawaii (mignonne en japonais) comme cette tête d’ourson boudin / banane, ou encore le beurre moulé en ours qui porte un cœur, fumé au bois de cerisier.

Difficile d’évoquer précisément la carte puisqu’elle change selon les arrivages quotidiens, je n’ai pas envie de créer des frustrations. Mais je peux tout de même vous parler de délicats mariages comme l’aubergine fumée et comté, l’asperge en émulsion et son craquelin croquant, salicorne, tapioca, cresson, pomme et noisette comme un risotto ingénieux et goûtu.

Allez, je ne résiste pas à vous parler de ce plat de pigeon et morilles à la cuisson si juste, sauce mole et émulsion de vin jaune. Une explosion de saveurs tranchées. Cette pérégrination culinaire nous amène avec douceur vers les desserts. Un pré-dessert mêlant ail, chocolat et olive, à une glace au yaourt, tout en subtilité et en fraîcheur. Ce soir-là, c’est le dessert phare de Ayumi, la bulle sucrée, qui selon l’envie de la Cheffe et la saison se voit emplie de saveurs variées. C’est une double coque sphérique qui renferme des jeux de saveurs et de textures, et que l’on se plaît à exploser, comme une bulle de savon pour aller y chercher, au plus profond, l’ensemble des goûts. Ce soir-là c’était poire, aneth, fruit de la passion et lait réduit, très très frais pour cette fin de repas et peu sucré, mais tout en saveurs fruitées.

Un repas homogène, d’une grande cohérence et en même temps surprenant, très équilibré sur tous les points, sans masquer les saveurs. On sait ce que l’on mange et c’est très bon.

La cohérence comme un marqueur fort de leur cuisine d’Accents, jusqu’au café. Il est choisi chez Coutume, un torréfacteur parisien, pour s’accorder avec le repas du moment. Ce café s’accompagne de mignardises japonaises, dont un sponge cake très fluffy et aérien.

La carte des vins est bien faite avec des bulles de couleurs pour parler des saveurs des vins. C’est original et malin. On comprend tout de suite ce que l’on peut attendre de telle ou telle bouteille. Mais Léa Salomon, la Cheffe sommelière d’Accent, vous accompagne avec délicatesse dans ce bouquet organoleptique. Allant d’un pétillant naturel à un Minervois, en passant par un saké, ou encore un fraise martini subtil et frais.

J’ai rarement vécu une expérience culinaire aussi complète, aussi riche et en même temps pleine de sobriété et d’élégance. Dans la cuisine de Ayumi et Romain rien n’est gratuit, rien n’est ostentatoire. Dès l’instant où l’on passe la porte d’Accents on entre chez eux et durant le temps du repas, ils nous emmènent dans leur univers gastronomique et on se laisse prendre par la main par ce duo si bienveillant. Un voyage culinaire à ne  pas louper, à vivre et revivre à chaque saison.

Interview de Ayumi Sugiyama propriétaire et Chef Pâtissière et Romain Mahi Chef de cuisine, du restaurant Accents. 

Comment en êtes-vous venus à la cuisine ?

Ayumi Sugiyama :

Quand j’avais 5 ans, je savais que je voulais être pâtissière ou boulangère. 

J’aimais créer des choses avec mes mains. Arrivée au Lycée j’ai fait un stage dans une boulangerie au Japon, dans une authentique boulangerie japonaise, j’ai découvert alors l’aspect professionnel de ce métier. Ce que j’ai adoré c’est voir le sourire des gens qui viennent acheter des gâteaux, car souvent les gâteaux ce sont des choses qu’on achète pour les autres, pour des fêtes. Cette joie que cela procure, c’est cela qui m’a beaucoup plu. J’ai alors décidé d’étudier la pâtisserie.

Romain Mahi:

J’adorais manger, et chez moi on n’avait pas la culture de la grande cuisine, mais moi j’avais envie d’explorer cet univers. J’ai donc décidé d’aller vers des études culinaires.

Quel est votre parcours d’apprentissage ?

Ayumi Sugiyama :

J’ai fait l’école la plus connue de Tokyo : Tsuji. J’ai voulu ensuite travailler à Tokyo mais toutes mes demandes ont été refusées sur Tokyo, car j’étais une fille. C’est dingue ! Parfois le chef ne se déplaçait même pas pour me recevoir. C’était il y a 23 ans, aujourd’ hui cela  a changé. J’ai donc décidé d’aller dans ma ville natale, à la campagne, dans une petite pâtisserie. Tout y était traditionnel : le four, la balance avec les poids, et du coup j’ai appris les bases de la pâtisserie, à l’ancienne avec eux, durant deux ans.

Puis à mes 21 ans, j’ai décidé d’aller en France, à Paris. J’ai travaillé dans une pâtisserie du XXème arrondissement, Sucre et Cacao, et dans le Marais chez Pommier. Un jour, j’ai rencontré une japonaise qui était pâtissière chez Stella Maris, un étoilé, et qui m’y a fait rentrer. J’ai alors découvert que dans un restaurant avec le changement des menus, la capacité de création était beaucoup plus importante que dans une boutique, cela m’a beaucoup plu. Mon caractère est un peu “aléatoire” (rire), j’ai beaucoup d’imagination et j’ai besoin de l’exprimer.

Pour la suite, je suis allée à la Truffière durant 5 ans. Ensuite, je suis allée à Pau, puis je suis revenue  sur Paris à la Truffière pendant 7 ans. 

Romain Mahi :

J’ai décidé de faire Ferrandi, en 4 ans à l’époque. Puis j’ai travaillé un peu partout dans le monde: Pérou, Mexique, Japon, au Mandarin Oriental,… et à La Truffiere à la fin.

Quel est le lieu qui vous a le plus marqué ?

Ayumi Sugiyama :

La Truffière. Mon poste de pâtissière était en pleine cuisine, entouré des points chauds, des entrées, des sauces. Je voyais les cuisiniers travailler les épices, les légumes, tous ces produits qu’il n’y a pas au Japon. J’ai beaucoup appris. C’était très stimulant pour mon propre travail. C’est là bas que j’ai rencontré Romain (rire).

Romain Mahi :

Le restaurant Maison Blanche fut une très belle école d’apprentissage. Le banqueting, les cocktails, …, il y avait beaucoup à apprendre. J’ai appris de tous les chefs que j’ai croisés, je garde de bons contacts avec tous. Ils m’ont tous appris, mais je tiens à avoir MA cuisine. J’ai toujours eu peur qu’on me dise que j’étais le petit de Gagnaire, de Marx,… je tiens à mon identité.

Comment est né Accents ?

Ayumi Sugiyama :

Un jour, un couple japonais est venu déjeuner à la Truffière. Ils ont adoré les desserts. Le chef de salle leur a dit que la pâtissière était japonaise, ils ont donc voulu me rencontrer. Et de là ils m’ont proposé de me soutenir dans l’ouverture d’un lieu à moi. Ils m’ont proposé de faire une pâtisserie, mais pour moi il fallait faire un restaurant (rire). J’ai proposé à Romain de me suivre dans l’aventure et on a créé Accents.

En 2016 nous créons, avec Romain, Accents, et en 2018 nous avons eu une étoile. C’est fou.

Nous avons commencé avec un menu, mais il y avait beaucoup de gaspillage et je n’aimais pas ça. Pour moi il faut tout utiliser. On a réfléchi avec Romain, et c’est comme ça que l’on a décidé de proposer le menu carte blanche. De plus, cela permet de créer de la surprise. Pour moi le restaurant c’est ça, de la découverte. Si c’est pour manger la même chose qu’à la maison, cela ne sert à rien. 

Romain Mahi :

C’est Ayumi qui a créé le restaurant, la décoration c’est elle. Ce qui m’intéressait dans la création de ce restaurant c’était le côté éphémère, être sur l’instant, la page blanche côté cuisine. Ayumi a donné libre cours à ma créativité, elle voulait que les clients soient contents. C’était la seule directive.

Accent c’est vous et Romain de A à Z, vous créez tout ici ?

Ayumi Sugiyama :

La décoration ici c’est moi, les assiettes ont les crées ensemble avec Romain à la maison.

On utilise tout, même les coquilles de crustacés on les réutilise pour l’émaillage des céramiques. Le pain c’est nous qui le faisons aussi. En ce moment j’utilise les queues de fraises pour faire du levain, quand ce sera les poires j’utiliserai la peau des poires. On ne gâche rien (rire).

Romain Mahi :

C’est Ayumi ce restaurant, je m’occupe essentiellement de la cuisine, même si j’aime aussi créer de la céramique pour notre service.

Cette carte blanche, comment la pensez-vous ?

Ayumi Sugiyama :

On aime beaucoup Barcelone, les tapas, l’influence japonaise aussi est là avec l’accumulation de petits plats, de petites portions. Notre menu est donc une succession de petits plats à découvrir, pour explorer un maximum de saveurs. Les saveurs pour moi c’est fondamental.

Le salé c’est Romain, le sucré c’est moi. On se parle pas tant que ça, je sais ce qu’il y a dans sa tête (rire). 

Je n’aime pas le “trop de sucre”, c’est très important pour moi les saveurs, je veux que les gens aillent jusqu’au bout du repas. Les gens doivent savoir ce qu’ils mangent, d’où le choix du nom du restaurant : Accent. Quand les gens parlent, on sait d’où ils viennent avec l’accent. Pour moi c’est pareil avec les saveurs, je veux que le client sache ce qu’il mange. On a à coeur de faire des jeux de textures, d’équilibre de saveurs et de températures. 

Romain Mahi :

Au début, on mettait 1h, 1h30 à réfléchir au menu. C’est assez naturel maintenant.  Aujourd’hui c’est très “sur l’instant”, parfois cela change en plein service. C’est pour cela que sur le menu il n’y a noté que quelques éléments du plat, mais on laisse de la marge à la créativité, à l’envie du moment et aux arrivages des produits du jour. On suit ce que la saison et les producteurs nous apportent quotidiennement.

Aujourd’hui, c’est beaucoup à l’intuition, ce qui est évidemment lié à notre expérience.

Qu’est ce que vous aimez le plus travailler en cuisine ?

Ayumi Sugiyama :

C’est plus une technique : l’espuma (mousse, écume), on peut s’amuser beaucoup avec ça et différentes techniques….sous vide…congélation…J’adore ça (rire).

Romain Mahi :

J’aime beaucoup le gibier, mais c’est très saisonnier. Mais je fonctionne par période. Parfois, j’ai très envie de légumes, ou alors de salinité, de poissons…Cela peut être sur 2-3 jours ou quelques semaines…ce sont des périodes, liées aussi aux saisons, on aime changer, il n’y a pas de produit fétiche. J’utilise peu/pas de beurre. Je veux des choses légères. Pas que je n’aime pas le beurre, cela se fait ainsi. 

Quel est l’avenir pour Accent ?

Ayumi Sugiyama :

Vas y Romain, je te laisse dire. 

Romain Mahi :

J’ai l’envie de toujours monter en qualité, en technique, dans les goûts, les saveurs. Pas mettre quelque chose d’ostentatoire sur table, servir des plats forts, sans que le client ne sente tout le travail fait en cuisine. J’aime l’idée d’être étoilé, cela remplit le restaurant, le Michelin c’est un référence dans le monde. Je ne veux pas stagner, monter en qualité chaque année, je ne dis pas non pour la 2ème étoile, mais je sais qu’on a encore du travail pour ça, il n’y a pas de date limite pour ça.

Ayumi Sugiyama :

Il faut aimer ce qu’on fait, ce métier est dur. Il faut garder la passion pour continuer.

Romain Mahi :

Ici, il y a de la musique en cuisine, l’ambiance est bonne. On cultive cette atmosphère, cette bienveillance.

Merci à Reiko, Ayumi, Romain, Léa et toute l’équipe d’Accents.

Article écrit par Alexis Dumétier

– L’école d’Ayumi : Tsuji – https://www.tsuji.ac.jp/en/

read more
ArchivesLifestyleMagazine

BRIONI PRESENTE SA COLLECTION CAPSULE GOLF

Brioni a le plaisir de présenter sa première collection capsule Golf, offrant l’élégance distinctive et la qualité supérieure de Brioni à des vêtements de loisir et de sport.


La capsule comprend des pantalons et des shorts techniques et confortables, des polos en cachemire et en soie, des jerseys en soie et en coton, un gilet et un coupe-vent, tous deux en fibre technique « Performa ».

La gamme d’accessoires comprend des baskets, des gants en nappa souple, des casquettes de baseball et quatre accessoires en cuir spécifiques pour le golf : un couvre-chef, un porte-club, un porte-tee et un porte-balle.


La capsule Brioni Golf sera disponible à partir du Printemps dans les boutiques Brioni sélectionnées dans le monde entier.

read more
ArchivesLifestyleMagazine

LEGACY STORE, concentré d’originalité

Le concept-store fondé par BOW Group et piloté par Sébastien Chapelle (ex de l’emblématique magasin colette) vient d’ouvrir son nouvel espace au cœur du triangle d’or à Paris. Curateur de premier plan, LEGACY sélectionne et présente des produits rares et des exclusivités dans les univers de l’horlogerie, du luxe et de la joaillerie, du high tech et de l’art de vivre.

À l’occasion des Jeux Olympiques de Paris, LEGACY lance deux modèles de sneakers bespoke en éditions limitées à 24 exemplaires chacune – en référence à l’année 2024. Fruit de la collaboration avec les Ateliers LBT, figure de la custom de sneakers en France, ces créations originales s’inspirent des codes des JO dans les moindres détails; l’or des médailles, couleurs des anneaux olympiques et des références spécifiques aux jeux de Paris, dont un colorway bleu et rose et des figurines à l’effigie des épreuves sportives.
Pour réaliser ces modèles exclusifs, LEGACY et Ateliers LBT ont sélectionné deux silhouettes iconiques de la culture sneakers; la célèbre Dunk et la Air Jordan 1 x Off White. Chaque paire est réalisée à la main par les Ateliers LBT, nécessitant 30 heures de travail avec des finitions de haute facture, tandis que les empiècements de cuir sont issus des tanneries d’exception labellisées REACH.

Photo ©Ateliers LBT


Pour le lancement, Ateliers LBT investit le concept store pour deux sessions de 5 jours en immersion dans l’univers du bespoke. Du 15 au 19 avril puis du 3 au 7 juin 2024 , LEGACY propose une expérience unique et donne l’opportunité aux passionnés de sneakers de découvrir les secrets du sur mesure. Encadrés par les artisans des Ateliers LBT, les participants recevront un enseignement complet, de la déconstruction à l’assemblage final et repartiront avec la paire de sneakers réalisée au cours de la formation.

Son nouvel écrin réparti sur deux niveaux offre une expérience inédite avec un espace galerie consacrée aux expositions et aux événements et un département dédié aux parfums de créateurs.

Photo @Sébastien Véronèse

En effet, LEGACY vient d’ouvrir les portes de son nouvel écrin parisien, et a dédié un département aux parfums de créateurs. Réputé pour ses sélections ultra pointues dans les univers du luxe, le concept store met à l’honneur la parfumerie d’auteurs autour de 150 créations originales. Encadrée par des services personnalisés, cette expérience olfactive invite les visiteurs à découvrir des talents émergents et des essences confidentielles, dont certaines restent introuvables dans la capitale.
Parmi les fragrances proposées, on retrouve les éditions d’Affinessence, AKRO, Atelier des ors,
Atelier Gros-Désirs, Antinomie, Ausmane Paris ou Byron parfums à l’avant-garde de la street
culture, Colekt, de Gabor, Dorin Paris, Elisire, Escentric Molecules du légendaire parfumeur
Geza Schoen, HOC, Khalil T et son cultissime Kryptonite, Lazarus Douvos, Les fleurs du Golfe, les
parfums magnétiques de la Maison Rebatchi, Marylise Mirabelli, Miles Wambaugh, Monsieur
Arsène, My exclusive collection, Olfactive studio, Orens, Raïs Paris, Richouli, So Scent, Soul of
Makeen ou les eaux de parfum virtuoses de Stéphanie de Bruijn, dont Fantasia développé avec
l’artiste Nicolas Ouchenir. En complément, le concept store propose les bougies enivrantes de
BOPAZZ, HOV et Evermore de la créatrice londonienne Sarah Bell.

LEGACY store – 19 avenue George V – 75008 Paris

www.store-legacy.com

read more
1 2 3 27
Page 1 of 27