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Partisan Collector, sellerie-maroquinerie engagée

Partisan Collector, label parisien de sellerie-maroquinerie engagé, propose des pièces uniques, intemporelles et durables célébrant la matière et le travail artisanal traditionnel.
S’inspirant de l’ordinaire pour embellir le quotidien, Partisan Collector revendique le modèle artisanal comme une réponse aux défis climatique et humain contemporains. À contre-courant d’un modèle artisanal industrialisé qui alimente la surproduction, la surconsommation et s’appuie principalement sur les avancées technologiques pour répondre aux enjeux environnementaux, que signifie être partisan ?

Être partisan, c’est :
?Fabriquer à une échelle réduite et raisonnée en créant sur commande des modèles uniques tout en limitant notre production à      365 pièces par an
?Réduire au maximum notre empreinte environnementale en fabriquant nos modèles à Paris à partir de la matière existante            issue de la surproduction et disponible localement
?Redonner son sens au métier de maroquinier en confiant à un même artisan l’intégralité de la fabrication d’une pièce
?Valoriser et préserver le travail manuel en rémunérant équitablement et à même hauteur artisans et designers
?Respecter la singularité du cuir dont les origines animales ne doivent pas être oubliées en accordant à l’artisan le temps de              renouer avec la matière

Pourquoi collector ?
Parce que nos pièces sont uniques, s’adressent aux âmes de collectionneurs, aux amateurs du temps juste, celui de la quête de l’objet rare et de la fabrication artisanale traditionnelle.

Collection permanente:
Partisan Collector propose une collection de pièces uniques et intemporelles pensée pour s’enrichir de nouveaux modèles au fil du temps.
A contre-courant des collections saisonnières et du culte de la nouveauté éphémère, chaque pièce est fabriquée sur commande ou réalisée à l’occasion d’évènements et collaborations.
Personnalisables et fabriquées sur mesure, les pièces sont conçues pour durer, s’affranchir de l’emprise du temps et des tendances.
Ici, la notion de collection renoue avec celle de curation. Si la mode et les marques de luxe à la production industrialisée conjuguent le terme au pluriel, chez Partisan Collector la collection est profondément singulière. Les modèles à venir s’ajouteront comme autant de chapitres à l’histoire du label sans faire oublier ceux qui les auront précédés. Le catalogue Partisan Collector encourage le dialogue entre des pièces uniques partageant traits et valeurs communs. 

Préférant l’amélioration à la réinvention, Partisan Collector a retravaillé avec exigence ses premiers modèles pour mieux accompagner notre quotidien. L’architecture du sac besace Papillon a ainsi évolué pour faire place à un montage à l’allemande et à un format légèrement moins volumineux, plus adapté à la vie de tous les jours.
La collection Partisan Collector compte à ce jour deux lignes : la ligne Papillon, dont la pochette est la pièce signature, et la ligne 3C composée d’un cabas dont la géométrie épurée repose entièrement sur une triple couture. Le désir d’une simplicité raffinée a guidé l’esquisse des traits du cabas 3C fait pour le quotidien. Sa géométrie épurée repose sur une triple couture. Réalisé dans des cuirs souples, disponible en format paysage ou portrait, le cabas 3C marque le début d’un nouvel ensemble de pièces architecturales aux contours géométriques clairs, écho à la philosophie de l’école du Bauhaus.
Fondée en Allemagne au lendemain de la Première Guerre mondiale, l’école du Bauhaus assimile art et artisanat et prône la construction comme finalité à toute activité plastique. Si la matière guide le geste de l’artisan, c’est bien la forme, l’architecture de l’objet, qui annonce son utilisation et rend sa présence palpable et singulière. Le cabas 3C, offrant un porté main ou épaule et une double paire de poignées, incarne cette vision rationnelle d’un design au service de l’usage.

Matières et sourcing:
Matières premières, fournitures, outils et emballages : tous proviennent de fournisseurs parisiens avec lesquels Partisan Collector noue des partenariats durables.
Partisan Collector ne choisit que les cuirs et peaux exotiques de la plus haute qualité, tous issus de la surproduction du luxe français et exclusivement tannés en France ou en Europe, dans le respect des normes environnementales et sociales en vigueur. Ces cuirs échappent ainsi à l’incinération et à l’enfouissement, des pratiques particulièrement nuisibles pour l’environnement et encore autorisées malgré la loi anti-gaspillage de 2019 qui ne concerne que les produits finis.
Engagé contre la consommation excessive, le label se procure seulement les quantités nécessaires à la fabrication des commandes. À ce titre, Partisan Collector prône la suppression de l’élevage intensif, la diminution de la consommation de viande et par conséquent une production réduite et raisonnée de cuir.

Les tanneries (appartenant aux groupes de luxe français), maisons de luxe ou entreprises spécialisées dans le sourcing de stocks dormants sont autant de fournisseurs d’excellence assurant la qualité et la traçabilité des matières premières.
Partisan Collector sélectionne exclusivement des cuirs dont le tannage a permis de conserver les caractéristiques naturelles, garantes de leur singularité, qualité et capacité à bien vieillir. L’aspect, la tenue et la durabilité de ces matériaux sont indéniablement supérieurs à leurs alternatives synthétiques et, pour l’heure, aux qualités des biomatériaux pelliculés de polyuréthane pour assurer leur résistance. Ces cuirs d’exception donnent corps aux intentions de Partisan Collector.
Soulignant la beauté du cuir, la bijouterie des modèles Partisan Collector est quant à elle fabriquée artisanalement à Paris dans des ateliers labellisés entreprises du patrimoine vivant et proposée en laiton poli, doré ou recouvert d’un placage or fin, bronze blanc ou palladium personnalisable. Partisan Collector confie la réalisation de l’intégralité de ses pièces à des artisans parisiens. Selliers-maroquiniers experts, ils se sont formés dans les ateliers de production des plus grandes maisons avant de créer leur propre atelier ou de développer leur marque indépendante.
Chaque artisan possède la compétence désormais rare de pouvoir fabriquer une pièce du début à la fin, de la coupe du cuir jusqu’aux finitions; tous maîtrisent les techniques de couture main et machine. Ils perpétuent ainsi un métier séculaire dans toute la variété de ses gestes. Chacun noue un dialogue avec la matière et dispose du temps nécessaire à sa transformation.

Les influences
Animé par les valeurs philosophiques et esthétiques des mouvements artistiques et culturels de la fin du XIXe et du début du XXe : Arts & Crafts, Art nouveau, Art déco, Bauhaus et pensée Mingei, Partisan Collector leur rend subtilement hommage.
Le renouveau des fondamentaux de l’artisanat traditionnel, l’utilisation de matériaux naturels de qualité, la simplicité et la sobriété constituent les quatre principes fondamentaux traçant les contours du cadre créatif de Partisan Collector. Cette trame commune est partagée avec les artisans engagés dans la création des pièces proposées.
À la genèse des accessoires créés par le label, se retrouvent ces influences et la volonté d’anoblir le quotidien en en célébrant la beauté. Objets côtoyés jour après jour, aperçus dans la rue, contemplés dans les musées ou chinés : leur esthétique et leurs caractéristiques infusent les créations Partisan Collector. En s’attardant sur ce qui nous entoure au quotidien, Partisan Collector sort ces objets de leur contexte pour en faire les messagers d’une beauté authentique.

La quête d’une beauté matérielle propre à enchanter le quotidien et la volonté d’une fabrication collaborative sont au cœur de l’idéation de Partisan Collector. Œuvrer pour la réalisation d’un art total, d’une création artisanale communiant avec tous nos sens, conduit Partisan Collector à ouvrir son champ créatif au-delà de la maroquinerie. De précieuses rencontres avec des artisans d’Art naîtront sans aucun doute d’autres objets singuliers, riches de formes et d’usages.

Site Web: www.partisancollector.com
Instagram: @partisancollector
Crédit Photos: Edouard Auffray – Crédit Texte: Justine Grosset

 

 

 

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BlogLifestyleMagazine

Le Bulgari Hotel : l’excellence Italienne au cœur de Paris

Le Bulgari Hotel Paris est la dernière création de la collection Bulgari Hotel & Resorts qui compte déjà des hôtels à Milan, Bali, Londres, Pékin, Dubai et Shanghai, auxquels s’ajouteront prochainement ceux de Rome (2022), Moscou (2022), Tokyo (2023), Miami (2024) et Los Angeles (2025). Au cœur du célèbre Triangle d’Or parisien, le Bulgari Hotel Paris est une expérience à part entière aussi bien pensée pour les visiteurs de la ville que pour les Parisiens. Rompant avec les codes traditionnels de l’architecture parisienne, l’élégant bâtiment du Bulgari Hotel Paris enrichit le 8ème arrondissement par son style contemporain.

À l’instar de tous les établissements Bulgari Hotels & Resorts, le Bulgari Hotel Paris a été conçu par le cabinet d’architecture italien Antonio Citterio Patricia Viel. Les espaces intérieurs et extérieurs ont été pensés avec le même souci du détail et la même précision accordés à une création Bulgari, soulignant les codes propres aux établissements développés par la Maison de joaillerie romaine. Le Bulgari Hotel Paris propose 76 chambres, dont 75 % sont des suites, la plupart disposant de terrasses et de loggias. Chaque chambre a été conçue comme un véritable appartement privé, meublé avec soin de marques de mobilier de luxe de la plus haute qualité. Les œuvres d’arts et portraits de célébrités proches de la Maison Bulgari ajoutent la touche de personnalité caractéristique des Bulgari Hotel & Resorts.

Perché sur le toit de l’édifice, le Bulgari Penthouse marque l’apogée de cette philosophie. Sur deux étages et avec une surface de plus de de 1000 m2 dont 400 m2 d’espaces interieurs et 600 m2 d’extérieur, le Bulgari Penthouse dispose d’un jardin suspendu entièrement aménagé et arboré de plantes méditerranéennes et d’arbres fruitiers qui offre une vue panoramique sur les monuments emblématiques de la capitale française.

 Le point culminant de l’offre culinaire sera « Il Ristorante – Niko Romito », par le Chef aux trois étoiles Michelin, Niko Romito, qui a élaboré ce concept pour tous les Bulgari Hotels & Resorts, mêlant cuisine italienne classique et moderne, et misant sur les ingrédients essentiels de la culture, de l’élégance et de la vitalité du Made in Italy.

Adjacent au restaurant, le Bulgari Bar est un lieu où s’exprime toute la générosité et l’élégance de l’esprit de la Maison. Ouvrant sur le jardin, Le Bulgari Bar est appelé à devenir l’une des destinations de choix de l’Ouest parisien. Situé juste à côté, le Lounge – avec ses fauteuils profonds, son imposante cheminée et son plafond inspiré d’une minaudière Bulgari – se prêtera à toutes les retrouvailles.

S’étendant sur 1300 m2 et deux niveaux, le Bulgari Spa du Bulgari Hotel Paris offrira lui aussi une expérience inédite grâce à sa piscine de 25 mètres, l’une des plus grande parmi les hôtels de luxe parisiens. L’espace fitness doté des dernières technologies et des méthodes d’entraînement du Workshop Gymnasium, créées exclusivement pour Bulgari par Lee Mullins, inclut également un studio d’entrainement privatif.

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ArchivesGastronomieMagazine

The Peninsula Paris, Le Lili et son Chef Dicky To

Le Palace The Peninsula Paris fait partie des plus beaux hôtels de la capitale. Si le bâtiment est classé au patrimoine historique c’est parce que son histoire est riche. L’origine, Sur l’emplacement actuel du Peninsula Paris, s’élevait un palais construit en 1864 pour le comte Alexander Petrovitch Basilewski, un aristocrate russe qui aimait à l’appeler son « petit Versailles ». Le nouvel édifice devint rapidement l’objet de toutes les conversations à Paris et, pour la première fois, le site du futur Peninsula Paris exerça une irrésistible attraction sur les mondains. On y donnait des réceptions pratiquement tous les soirs quand le comte était en ville, le plus souvent à la demande insistante de ses trois filles.

 

En 1906 La propriété a été acquise par le magnat viennois de l’hôtellerie Léonard Tauber après une guerre d’enchères qui a impliqué le gouvernement des États-Unis et le roi de Belgique. L’emplacement de la propriété, à la fois proche du bois de Boulogne, de l’Arc de triomphe, de la tour Eiffel et du Trocadéro, constituait un atout majeur aux yeux de Tauber. Ce site offrait à Tauber l’exceptionnelle opportunité d’élargir son empire en construisant «un hôtel aristocratique sans rival» qui, une fois terminé, pourrait se targuer d’être le plus grand hôtel d’Europe. Le palais est alors démoli et remplacé par un hôtel de luxe, le Majestic. L’édifice est construit dans un mélange de styles d’inspiration classique encore très en vogue à la Belle Époque : le style Haussmannien, réhaussé de touches décoratives néoclassiques. A l’époque l’hôtel compte 400 chambres et c’est le premier à proposer des salles de bains privées pour 350 de ses chambres.

 

Depuis le Peninsula a traversé l’histoire, et vécu bien des choses, depuis 2007 c’est la renaissance d’un Palace parisien, le bâtiment est vendu par l’Etat français à un groupe hôtelier à la société hôtelière qatarie Katara Hospitality, qui en 2009, annonça un accord avec The Hongkong and Shanghai Hotels, Limited (HSH) pour créer The Peninsula Paris. L’établissement actuel est le fruit d’un réaménagement qui a pris 4 ans de 2010 à 2014. Un travail titanesque, fait en étroite collaboration avec les organismes chargés du patrimoine Français.

Si nous vous parlons du Peninsula aujourd’hui c’est pour vous faire découvrir l’un de ses restaurants d’exception, Le Lili et son Chef Dicky To.

Le restaurant Lili :

La décoration intérieure du Peninsula est réalisée sous l’égide d’Henry Leung. Le restaurant LiLi, est situé à l’emplacement de l’ancienne salle à manger de l’hôtel Majestic, Leung choisit comme thème de la décoration intérieure la passion commune des cultures françaises et chinoises pour l’opéra. Le concept repose sur l’association d’éléments chinois à l’Art déco de la fin des années 20. Dès l’entrée du restaurant une gigantesque installation de cristal, représentant la coiffe traditionnelle d’une cantatrice chinoise (qui pourrait être Lili). C’est l’artiste coréenne, basée à New York, Ran Hwang qui a créé ce scintillant chef-d’œuvre en hommage à l’opéra chinois. Il est composé de 32 831 cristaux montés sur broches et insérés dans une base de plexiglas.

On pénètre dans la salle par un corridor très haut de plafond. L’ambiance est feutrée, la lumière chaude et tamisée, on croirait en effet entrer dans une salle de spectacle ou être l’un des personnages de Wong Kar-wai dans In the mood for love. Une fois dans la salle principale un splendide dôme, inspiré de l’installation acoustique d’une scène d’opéra de Shanghai, domine le décor théâtral du restaurant. Les boiseries, les peintures, les lumières, les rideaux rouges gigantesques et les embrasses de soie bleue monumentale : on pénétre dans un univers onirique.

Le LiLi propose une cuisine chinoise progressive avec des influences françaises.

Nous avons découvert la table du LiLi qui propose un menu où se distinguent des dim sum raffinés, une salade de saumon «Lo Hei» aux jeux de textures surprenants qui donnent envie de ne plus s’arrêter, un riz frit au foie gras exceptionnel, mais si nous devions garder un seul et unique souvenir, ce serait le bœuf au wok du Chef Dicky To.

Ce bœuf saisi au wok, exprime toutes les saveurs d’un feu puissant, avec des notes grillées et si particulières au wok, tout en ayant à cœur une viande juteuse, avec un goût de bœuf qui explose littéralement en bouche, et fin du fin une viande qui fond sous la dent comme jamais. Incroyable.

 

Pour ceux qui aiment faire des accords mets/vins divers et étonnants, sachez que le livre de cave du Lili est très fourni. Il bénéficie de la même cave que L’Oiseau Blanc, le restaurant étoilé du Peninsula Paris. Ainsi vous pouvez découvrir des vins natures, des grands châteaux et des millésimes d’exception. Vous pourrez même trouver un millésime spécial de 1908, mis en bouteille l’année de l’ouverture du grand hôtel de l’époque.

Dicky To est à la tête du restaurant Lili. Le chef originaire de Hong Kong est né en 1974. Il exerce ses talents de maître wok et de chef cuisinier au Lili depuis décembre 2018.

Dicky To, 2021, par A. Dumétier

Avant cela il est passé par différents restaurants. Pour mieux le connaître et comprendre sa cuisine nous l’avons rencontré, voici son interview :

 

Quel est votre parcours ?

Je travaille en tant que chef depuis plus de 30 ans. Dès l’âge de 15 ans, je travaillais pour un restaurant cantonnais de fruits de mer à Hong Kong. A l’âge de 27 ans j’ai commencé à être un Chef, et petit à petit j’ai commencé à apprendre l’anglais, tout l’aspect administratif du travail d’un restaurant, à utiliser l’informatique. A 32 ans j’ai eu mon premier poste dans un Hôtel de Hong Kong de Chef exécutif. Après cela je suis allé vivre à Macao pendant deux ans, toujours comme Chef exécutif, et pour moi c’était la première fois que j’allais à “l’étranger” (rire). Ensuite j’ai eu une opportunité à Shanghai, je m’en souviens car c’était l’exposition universelle, j’ai donc saisi cette opportunité et j’ai rejoint le Peninsula Shanghai, après quelques temps j’ai été transféré au Peninsula de Tokyo et après je suis venu ici, à Paris.

 Quel est votre premier souvenir lié à la cuisine ?

Je me souviens encore de la première fois où je travaillais dans une cuisine chinoise professionnelle. C’était le restaurant de fruits de mer de Dunhuang.  Je regardais les cuisiniers et je les trouvais tous très beaux, ils utilisaient le wok avec une grande agilité et une bonne rythmique, il y avait une grande énergie qui se dégageait de leur travail. J’aimais apprendre au sein de cette brigade. La première fois que j’ai eu l’opportunité de cuisiner, c’est quand le Chef a quitté le poste des woks et qu’une commande est arrivée. Je regardais tous les jours comment le Chef cuisinait, avec envie et pour moi il était impossible de ne pas saisir cette opportunité de cuisiner à mon tour un plat pour des clients. Alors que je finissais presque de préparer le plat, je m’en souviens encore parfaitement, c’était un riz frit, le Chef est revenu en cuisine. Il m’a regardé, je l’ai regardé,…il a goûté le plat…il n’a rien dit…et après quelques secondes, il a dit : “ok, amenez le plat en salle”…J’étais très heureux et soulagé (rire).

Comment en êtes-vous venu à travailler comme Chef dans une cuisine ?

A l’âge de 15 ans, pour être honnête, ce n’était pas un choix de cœur, je voulais avoir de l’argent pour sortir, jouer avec mes amis. Après quelques années je me sentais mal dans ce travail, les fêtes, Noël, Saint-Valentin, le Nouvel An, en tant que Chef dans une cuisine, vous devez travailler encore plus, spécialement dans ces moments-là. Je voyais mes camarades qui ne travaillaient pas dans mon milieu, sortir, qui s’amusaient, qui profitaient des fêtes, c’était dur pour moi. J’ai alors quitté l’univers de la restauration, durant quelques mois. Je me suis demandé à cette époque si j’aimais cuisiner, si j’aimais travailler en cuisine. Je suis donc allé travailler dans d’autres industries mais je me suis rendu compte que cela ne m’allait pas. J’ai compris que le lieu où je me sentais le mieux, c’était une cuisine. J’ai alors repris le chemin des fourneaux, jusqu’à aujourd’hui.

Quelle est la personne qui vous a le plus influencé dans votre carrière de Chef ?

Les personnes très importantes avec qui j’ai appris mon métier de Chef, ont été peu nombreuses, mais elles m’ont beaucoup influencé. Le premier Chef important dans ma vie professionnelle, s’appelait Chef Leung Coeng, à cette époque je travaillais encore à la découpe. Dans une cuisine cantonaise, dans la partie du chaud, il y a deux sections différentes : l’une est le wok et l’autre c’est la découpe, juste tenir le couteau. Et à cette époque, je tenais le couteau. Un jour le Chef Leung Coeng m’a demandé : “Crois-tu que travailler dans une cuisine c’est ton métier, que tu ne changeras jamais pour un autre ?” J’ai dit : “oui”. C’est alors qu’il m’a encouragé et inspiré.  Il m’a dit : “Dans ta situation actuelle, tu es comme une vache, tu travailles sans réfléchir. Tu dois avoir une vision de ce que tu fais, une idée de toi-même, un but à atteindre. Si tu en as une et que tu aimes cuisiner, tu devrais te mettre au poste du wok. Parce qu’aujourd’hui dans la cuisine cantonaise les choses changent. Avant le Chef de cuisine était celui qui tenait le couteau, c’était lui qui tenait le business. Maintenant la tendance a changé, les gens veulent d’un chef qui cuisine et non qui découpe. Si tu n’as pas assez d’expérience au wok il te faudra tout réapprendre depuis la base.” J’ai réfléchi pendant plusieurs jours à ce qu’il m’avait dit, je n’ai pas dormi pendant deux, trois nuits. Je pensais ne pas pouvoir le faire à l’époque mais c’était un bon challenge. J’ai alors tout appris depuis les bases du maniement du wok, pour petit à petit parvenir à être Chef wok. Je pense que Chef Leung Coeng a été le premier et le plus important pour moi dans ma carrière, pour changer et définir un but pour moi-même : je savais alors où j’allais, ce que je devais faire pour mon avenir.

 Quel est le plus important en cuisine pour vous ?

Pour moi le plus important en tant que Chef c’est de créer des plats qui soient goûtus et que ces saveurs spécifiques restent à jamais en mémoire pour la personne qui découvre ce plat.

Quel est votre moment préféré en cuisine ?

Le moment le plus important pour moi alors que je travaille au wok, c’est quand je regarde mon équipe, qui est en pleine ébullition avec beaucoup de positivité. Même dans une situation de tension, l’équipe reste toujours focalisée sur la méthode et l’objectif qui est de satisfaire le client. Pour moi, c’est le moment le plus joyeux.

En tant que Chef wok, quelle est votre particularité ?

 Je dirais que peu importe ce que je cuisine avec un feu fort, dans un wok, que ce soit avec de la sauce ou sans sauce, le plus important est que l’on sente que ce plat a été fait au wok avec les saveurs spécifiques que cela apporte. Et peu importe le plat, je dirais que c’est l’une de mes forces.

 Quel est l’aliment que vous aimez le plus cuisiner ?

 L’ingrédient le plus délicat pour moi à cuisiner au wok, c’est le bœuf. Qu’il soit découpé finement, en lamelles, en cubes, vous devez alors utiliser différentes températures toujours dans le wok. Le challenge est là, comment rendre la viande tendre, avec du goût, juteuse, et cela va aussi se jouer avec la combinaison d’ingrédients qui ira avec. Et ce challenge-là, j’adore le relever à chaque fois.

Quels sont les ingrédients que vous avez découverts en France ?

 Nous utilisons le foie gras, et pour le homard nous utilisons le caviar. Avant tout, le caviar qui est un ingrédient haut de gamme, apporte beaucoup de goût. Vous savez tout de suite que c’est un plat marin. Il permet de mettre moins de sel. Le caviar rend la texture du plat plus douce, plus naturelle.

Quel est votre plat signature ?

Je dirais, même si c’est un plat simple, le riz frit au foie gras, car c’est le plat que les gens reconnaissent tout de suite. Même si c’est un simple riz frit, on fait tout pour ne pas le rendre si simple. Nous utilisons un foie gras local, que les français aiment. Et nous utilisons du poivre noir, et la technique de cuisine est cantonaise, avec une cuisson du riz au wok. C’est une combinaison de cuisine, et ce plat est devenu très populaire. J’ai aimé mettre quelque chose que j’adore dans ce plat et que les gens ont aimé : du poivre noir. Pour moi c’est un peu unique de mettre du poivre noir pour faire un riz frit, jusqu’ici je ne l’ai jamais vu dans un autre restaurant.

Quel type de poivre noir utilisez-vous ? Pouvez-vous nous donner le secret ?

 (rire) Ce n’est pas un secret, juste du poivre noir très simple…(rire)

Comment créez-vous les plats de la carte du Lili ?

J’essaye de travailler mes idées, seul d’abord, dans ma tête. J’essaye de trouver ce que l’équipe pourrait mettre en œuvre. Une fois l’idée formalisée dans mon esprit, j’en parle avec ma brigade pour créer réellement le plat.

Pouvez-vous nous parler du Lili et de son ambiance ?

J’aime ce restaurant Lili car c’est un lieu d’interaction fort entre les clients et l’équipe en salle. C’est une véritable scène ici. La thématique de décoration c’est l’Opéra, un mélange entre l’opéra européen et l’opéra chinois. Les invités viennent ici pour voir le spectacle. Pour moi, mon équipe en salle, c’est comme un ballet, et parfois je viens aussi en salle voir les convives, je viens dire bonjour. Et ce sentiment d’être sur une scène, d’être à l’opéra, je ne le trouve nulle part ailleurs. Regardez le dôme derrière moi; pour moi c’est la plus belle partie du restaurant, cela montre le centre de la scène, de la salle, je n’ai jamais vu un restaurant aussi beau.

Quel est votre souvenir culinaire d’enfance ?

 Quand j’étais enfant j’aimais les choses croquantes, craquantes, vous ne pouvez pas vous arrêter de manger. Bien sûr il y a le goût, mais il y a aussi le son et la texture. Pour moi c’était ce qui m’attirait le plus.

 Maintenant que vous êtes Chef, comment retranscrivez- vous ce souvenir d’enfance ?

Je peux vous donner des exemples qui illustreront comment cette texture croquante, m’influence encore aujourd’hui. Nous avons une salade de saumon “Lo Hei”, composée de légumes croquants, de saumon, de sauce, mais nous ajoutons également un ingrédient croquant. Face à ce plat vous pouvez vous demander pourquoi avoir ajouter du croquant avec du saumon, mais quand vous le dégusterez vous comprendrez pourquoi. Le plat n’est pas seulement délicat, avec la texture douce du saumon, vous avez un jeu de texture, et vous ne pouvez plus vous arrêter. Un autre exemple, encore une foie avec le riz frit au foie gras. Pourquoi vous combinez dans un plat riz souple et riz croquant ? C’est parce que c’est cela qui attire les gens.

 Pour vous quel est le meilleur accord mets/vins ?

Pour moi, l’accord parfait pour la cuisine cantonaise, c’est le thé, d’abord parce qu’ils viennent du même endroit, mais aussi parce que quand on déjeune et que l’on se sent un peu “lourd”, alors on boit un thé et l’on se sent mieux. C’est au-delà de l’accord mets/vins, cela aide à digérer. Nous avons six différents thés, donc selon ce que vous mangez, vous accordez : vous mangez quelque chose d’un peu gras, le meilleur est un thé Pu erh, par contre si vous mangez quelque chose de délicat et d’élégant, un thé floral, un thé vert, sera mieux.

Si vous deviez manger un dernier plat, quel serait-il et quel serait l’accord ?

Ce serait des gâteaux traditionnels de lune, fourrés à la pâte de graine de lotus, et on boit un thé Pu erh, c’est l’accord parfait !

Photo A.Dumétier

 

 

https://www.peninsula.com/fr/paris/hotel-fine-dining/lili-cantonese-chinese

 

 

 Article écrit par Alexis Dumétier

Vidéo réalisé par Alexis Dumétier

 

 

 

 

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ArchivesMagazineNews de Mode

Salvatore Ferragamo : C’est l’heure du film !

L’excitation de la saison des Fêtes, un sentiment de joie et d’unité : avec la campagne de Fêtes 2021, Salvatore Ferragamo avance
sa montre et nous invite déjà pour des vacances d’hiver afin de célébrer la chaleur de l’amitié.
It’s Movie O’Clock! Un portfolio de photos et de vidéos dédié à la période qu’on aime le plus dans l’année. Tous les préparatifs et la joie de l’anticipation réveillent l’envie de rêver, et l’éclat et la couleur des accessoires Ferragamo renouvellent l’envie de célébrer à nouveau tous ensemble.
Dans une villa imaginaire en Italie, qui pourrait être n’importe où, tout comme un foyer peut se situer n’importe où si il est partagé avec les gens que l’on aime, les jeunes vedettes de la campagne se réunissent pour un diner et une soirée cinéma. Ils ont tous reçu une mystérieuse invitation qui reliera trois épisodes différents de la campagne – Italie, Chine et Corée – ces deux derniers opus étant programmés pour être révélés un peu plus tard.
Comme la collection de Fêtes de Ferragamo, la campagne met en valeur un casting d’acteurs, de compositeurs et de musiciens talentueux qui retirent leurs « vêtements de travail » pour enfiler des habits, des chaussures et des accessoires festifs avec une allure intemporelle.
Les six talents italiens – Pilar Fogliati, Tezeta Abraham, Hildegard De Stefano, Guglielmo Poggi, Josef Gjura et Carlo Palmeri – sont rejoints par Jelly Lin et SEULGI, les deux nouveaux ambassadeurs mondiaux de la Maison, au centre des deuxième et troisième épisodes du conte de vacances Ferragamo de novembre.

Avec un langage typique du cinéma, ce court-métrage réalisé par Barbara Anastacio offre aux spectateurs un aperçu de l’intimité et de la chaleur d’un moment de partage. Une émotion traverse la séquence d’images qui composent la campagne : la solidité de l’amitié, une des relations les plus intenses qui soit. Un lien unique, tout comme le lien que Ferragamo entretien avec la créativité innovante de ses produits et le monde du cinéma.
La campagne met aussi en scène une série d’évidences avec des symboles de la Maison et de son héritage, comme le film choisi pour cette soirée cinéma – Salvatore – Shoemaker of Dreams.
Joyeuse, sincère, heureuse : c’est l’amitié vue par Ferragamo. Dans ce récit, l’amitié est belle, un rêve de bonheur qui incarne les valeurs les plus chères de la Maison.

Collection Femme : des articles sur mesure à l’empreinte minimaliste reflètent l’énergie explosive des accessoires : mules et bottes à talon F recouverts de paillettes, écharpes Viva, sandales avec brides à la cheville aux talons miroir rose ou argent métallisé.
Une grande nouveauté, les mocassins d’inspiration masculine ornés d’un noeud Viva.
Les sacs incluent de nouvelles formes pour le Viva Bow Bag en tissu lamé ou en cuir Flamingo Pink. Le sac Studio est proposé dans un fabuleux cuir tressé.
A cela s’ajoutent des lunettes de soleil et des montres avec de nouvelles formes et des détails Gancini, des créoles et des bracelets métalliques avec des éléments tissés.


Collection Homme: des chemises élégamment coupées. Des Pulls et d’autres pièces en laine. Porte-monnaie, portefeuilles et porte-cartes de la ligne « embossé ».
Pour les chaussures : un mocassin ultra-doux non doublé avec une nouvelle boucle Gancini. Incontournables pour toute occasion spéciale, les souliers Tramezza en version Derby et Tux noir brillant.
Les baskets enfin sont recouvertes du motif Gancini, résultat d’un processus spécial.

Avec la campagne de Fêtes 2021, Salvatore Ferragamo nous invite à faire une pause pour faire attention aux détails, à un geste, un sourire, un câlin…parce que ce sont justement ces détails qui forment un ensemble idéal et qui font la différence.
La collection de Fêtes 2021 sera la vedette des vitrines des boutiques Salvatore Ferragamo, de la boutique virtuelle House of Gifts et de toutes les chaînes numériques de Ferragamo et de ses partenaires.

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ArchivesMagazineSoins & Parfums

Alex Simone Parfums: Une journée sur la French Riviera

Alex Simone, Maison de Parfums, retrace à travers sa collection de 6 Eaux de Parfums ‘French Riviera’, un voyage olfactif représentant une journée sur la Côte d’Azur, des premières lueurs du jour aux derniers rayons de soleil…
Fondée à Monte Carlo par Eric Rousseau, la maison de parfums Alex Simone offre une collection directement inspirée des souvenirs olfactifs de celui-ci alors qu’enfant, il passait ses vacances sur la Côte d’Azur auprès de ses grands-parents, Alex et Simone.


Conçus au coeur du célèbre domaine Sainte Blanche, dans la Maison de composition Art et Parfum créée par le parfumeur mythique Edmond Roudnitska sur les hauteurs de Grasse, ils sont l’oeuvre de deux illustres créateurs parfumeurs : Jean-Denis Saisse et Bertrand Duchaufour.
Jean-Denis Saisse, 5e génération de parfumeurs grassois, imaginera les trois premiers parfums de la collection qui représentent le début de la journée, la fraîcheur, la douce brise marine… Bertrand Duchaufour, finalise quant à lui la collection avec une montée en intensité et des arômes raffinés et sophistiqués.

La gamme débute avec ‘Villa Simone’, à l’aube alors que les volets s’ouvrent sur un jardin baigné de soleil, d’où émanent des notes de fleurs de citronnier mêlées subtilement aux fleurs de jasmin et aux muscs…

‘Tellement Bleu’, le second parfum de la collection, dévoile le moment où le ciel et la mer ne font plus qu’un, et révèle ses odeurs de maquis.

Le soleil au Zénith, on s’installe ensuite ‘En Terrasse’ pour un déjeuner face à la mer sous les pins, avec la vivacité zestée du pamplemousse et l’intensité du bois de cèdre.

Voilà l’après-midi qui s’étire en un instant que l’on aimerait à jamais suspendu et dont on ne peut s’empêcher d’en vouloir ‘Encore Un Peu’, avec ses notes vertes, fruitées et addictives de rhubarbe.

‘Après Vous’, c’est la lumière et la chaleur qui s’adoucissent, ce début de soirée séduisant et sophistiqué ne fait que commencer!

Le point final de la collection, ‘L’incitation’ sensualité et audace, la douceur des pétales de rose se mêlent aux notes épicées, une dualité troublante… La French Riviera dans toute sa splendeur.

Découvrez cette magnifique gamme de parfums maintenant pour le plaisir, et bientôt sur votre liste de cadeaux, pour faire plaisir.

Les points de ventes en France : la boutique en ligne Alex Simone, Nocibé Métropole Monaco et Paris Val D’Europe, Cap 3000 Capsule Nice

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HUBLOT BIG BANG & DJ SNAKE

Hublot s’associe à DJ Snake, artiste français le plus écouté au monde qui cumule des hits internationaux, pour présenter une création exclusive : la Big Bang DJ Snake. Une montre aux reflets multiples, à l’image du talent de l’artiste l’ayant inspirée.

Depuis le premier janvier 2018, Hublot et DJ Snake sont devenus partenaires. C’est d’ailleurs lui qui officiait derrière les platines de la soirée de clôture Hublot lors de la Coupe du Monde de la FIFA en Russie.
Trois ans plus tard, la première montre issue de ce partenariat voit le jour : voici la Big Bang DJ Snake. Reconnaissable au premier coup d’oeil, l’iconique design de la Big Bang se pare ici de mille reflets colorés. La lunette ainsi que les six composants en titane de la boîte d’un diamètre de 45mm sont passées à « l’effet Newton ». Le processus technique qui s’apparente techniquement à un traitement PVD noir s’obtient à travers des charges de couleurs et en orientant précisément les composants dans une certaine position pour obtenir la couleur souhaitée. Au final, il offre à la montre ce spectaculaire aspect irisé, les couleurs changeant selon l’angle de vue et l’éclairage.

En prime, un durcissement de la surface des pièces a été effectué avant le traitement irisé, afin d’en améliorer la tenue. Une opération complexe à mener tant il est difficile d’obtenir le même dégradé de couleurs sur chacune des 100 montres prévues. Les découpes extérieures sur la lunette ont été imaginées par DJ Snake lui-même. Ces encoches rendent la Big Bang DJ Snake immédiatement reconnaissable, la distinguant des autres collections. Une illustration de la devise «L’Art de la Fusion » chère à Hublot !

Le cadran saphir affiche dans sa face supérieure une mappemonde aux couleurs de la boîte. Ce globe terrestre se pose en signature de DJ Snake. Ses voyages à travers la planète pour ses concerts ou l’enregistrement de ses tubes ont fait du monde sa maison. La partie inférieure est squelettée et traitée afin d’obtenir des zones fumées noires. Cette semi transparence permet d’entrevoir le fameux mouvement UNICO calibre HUB1242 un chronographe flyback offrant une réserve de marche de 72 heures.

Limitée à 100 exemplaires, la Big Bang DJ Snake sera livrée avec deux bracelets facilement interchangeables grâce au système breveté One Click. Le premier, en caoutchouc, prend la forme d’un camouflage gris, noir et violet rappelant les multiples couleurs reflétées par la boite de la montre. Le second, également en caoutchouc, affiche une structure striée noire. Le décor du fermoir des bracelets a subi le même traitement « effet Newton » que la boîte et la lunette.

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MONTBLANC: HOMMAGE A NAPOLEON BONAPARTE

Montblanc,  chaque année, rend hommage à l’un des grands mécènes de l’histoire et à l’héritage culturel qu’il a laissé. Créée dans l’Atelier d’Artisanat de Montblanc à partir de matériaux précieux et façonnée par des maîtres artisans hautement qualifiés avec beaucoup de soin et de dévouement, la nouvelle édition Montblanc Patron of Art célèbre la vie et le mécénat de Napoléon Bonaparte (1769 -1821), empereur des Français de 1804 à 1814, puis brièvement en 1815 avant son exil et sa mort en 1821. En dehors de son rôle de chef militaire et d’homme d’État redoutable, il était un champion des arts. Il est à l’origine du renouveau des arts décoratifs et l’ère de Napoléon est considérée comme « l’âge d’or de l’artisanat français ».

Napoléon accorde une attention particulière au Néoclassicisme, un mouvement dans les arts visuels, la littérature, la musique, le théâtre et l’architecture qui s’inspire de l’art et de la culture classiques de la Grèce et de la Rome antiques. Il a demandé à des artistes, des artisans et des architectes de travailler à ce qui est ensuite devenu le style Empire, avec des édifices célèbres comme l’église de la Madeleine et l’Arc de Triomphe émulant les imposants édifices de l’Empire romain.

Pour créer les quatre éditions du Montblanc Patron of Art, Montblanc s’est appuyé sur les métiers d’art de la manufacture – orfèvrerie, laquage, sertissage de pierres précieuses, gravure en camée – pour raconter l’histoire de l’ascension fulgurante de Napoléon, du soldat au consul, puis à l’empereur des Français. Le style néo-classique des instruments d’écriture combine un design géométrique et des lignes pures avec de riches décorations.

Si la laque bleue du capuchon et du corps s’inspire de l’uniforme bleu de Napoléon, elle rend également hommage à la couleur de la salle du trône du château de Fontainebleau. Symbole d’immortalité et de résurrection, l’abeille orne la surface laquée du stylo-plume. Parce que l’abeille est le plus ancien emblème souverain de la dynastie mérovingienne, l’empereur a choisi ce symbole pour relier sa nouvelle dynastie aux premiers souverains de France.
Le capuchon recouvert d’or jaune est décoré des insignes du sacre de Napoléon, notamment la couronne de laurier du sacre inspirée de la Rome antique, la couronne Impériale et l’aigle, et couronné de l’emblème de Montblanc en résine précieuse. L’agrafe de l’instrument d’écriture évoque une lame d’épée, avec une pierre d’agrafe rouge représentant l’anneau de couronnement de l’épouse de Napoléon, Joséphine. Dans le respect de l’esthétique néo classique, l’anneau du capuchon présente un motif rappelant l’architecture antique. Les délicates gravures sur le cône doré représentent l’abeille de Napoléon avec le motif de la palme égyptienne, typique des arts décoratifs du style Empire. Une pièce de monnaie dorée avec un portrait de l’empereur est incrustée dans la base de l’instrument d’écriture. La plume en or massif Au 750 présente un gaufrage spécial de Napoléon portant son célèbre chapeau bicorne.

Hommage à l’époque où Napoléon était consul, le rôle qu’il a établi sur la voie du pouvoir impérial, cette fontaine à la robinetterie platinée est dotée d’un revêtement complexe en or jaune massif Au 750, riche en symboles impériaux. La laque bleue précieuse qui se trouve sous le revêtement rappelle le bleu de son premier uniforme de consul. La spirale squelette en or jaune massif Au 750 qui recouvre la calotte et le canon s’inspire de la Colonne Vendôme de Paris, une structure militaire inspirée de la colonne Trajane de Rome. La décoration du squelette comporte des feuilles de chêne provenant de l’uniforme de consul de Napoléon pour représenter la force et la longévité, des feuilles d’olivier provenant de son uniforme de l’académie française comme symbole de force et de victoire, de sagesse et de fidélité, d’immortalité, d’espoir, de richesse et d’abondance, ainsi que le symbole de l’abeille souveraine reliant sa dynastie aux premiers rois de France.

L’agrafe en forme d’épée est gravée du « N » et ornée d’un grenat rouge. La plume en or massif 750, partiellement rhodiée, présente l’embossage spécial de Napoléon portant son chapeau bicorne distinctif. Les gravures sur le dessus de la casquette – une couronne de laurier, la couronne impériale et un aigle – font référence aux insignes du couronnement de Napoléon Bonaparte. La casquette est couronnée par l’emblème Montblanc en nacre. Le motif de palmier antique est gravé sur le cône, qui porte également un portrait gravé de l’empereur. Le gaufrage rhodié – inspiré de la poignée de son épée de couronnement – décore la plume en or jaune massif Au 750 fabriquée à la main.

Limitée à 92 exemplaires pour marquer l’année 1992 où la Colonne Vendôme a été classée monument historique, cette oeuvre d’art en or jaune massif Au 750 est une célébration du couronnement opulent de Napoléon. Le jaspe rouge utilisé sur le barillet, associé à l’or dans un quadrillage de style Empire, est un hommage aux couleurs du pouvoir impérial. En référence aux abeilles d’or qui décoraient les palais, les cours et les bureaux impériaux de Napoléon Bonaparte, le guillochage de la capsule en or jaune massif Au 750 présente une abeille gravée à la main en or blanc massif Au 750, entourée d’étoiles qui s’inspirent du trône de Napoléon Bonaparte au palais des Tuileries. En plus des symboles décoratifs du couronnement, l’emblème Montblanc en nacre orne le sommet du capuchon. L’agrafe en forme d’épée porte le  » N  » napoléonien, si bien mis en évidence sur le trône de Napoléon Bonaparte à Fontainebleau. L’extrémité de l’agrafe est décorée d’un grenat rouge rappelant le magnifique anneau de couronnement de son épouse Joséphine. Un motif important du style empire, la palmette égyptienne, est gravé sur le cône, qui porte également un portrait gravé de l’empereur. 

Célébrant la puissance et l’opulence de Napoléon, ce rare chef-d’oeuvre limité à 8 pièces seulement est réalisé en or jaune massif Au 750 et présente une combinaison de rouge et de blanc, couleurs qui rappellent les vêtements de son couronnement. L’empereur portait une longue tunique de satin blanc brodée de fils d’or, associée à un lourd manteau de velours cramoisi doublé de fourrure d’hermine et couvert d’abeilles d’or brodées. Clin d’oeil aux arts décoratifs de l’Empire, la coiffe est guillochée de laque blanche translucide et est élégamment décorée de feuilles d’acanthe gravées à la main en 3D, inspirées de l’art gréco-romain et égyptien. En référence à l’enthousiasme pour les camées qui s’est développé pendant son règne, la casquette présente un portrait en camée de Napoléon, réalisé à la main.
L’édition fait écho à la beauté en spirale de la Colonne Vendôme avec une spirale faite de diamants s’enroulant autour du canon et une laque rouge qui se reflète entre les deux. Les gravures à la main sur le dessus de la capsule – une couronne de laurier, la couronne impériale et un aigle – font référence aux insignes de son couronnement. La plume en or massif Au 750, fabriquée à la main, est décorée d’une représentation de son épée de couronnement, symbole du pouvoir absolu de l’empereur.

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OTOCTONE 80 : LE SONGE D’UNE MAISON FLOTTANTE

OTOCTONE 80, ce luxueux Motor Yacht de 24 mètres de long, frappe dès le premier coup d’oeil par son style résolument unique et ses lignes ultra modernes. Élu meilleur catamaran des World Yachts Trophies, favori de la flotte Sunreef Yachts Charter, OTOCTONE 80 est l’icône d’une architecture navale majestueuse.
L’espace est maîtrisé à la perfection sur ce yacht au design unique qui propose des croisières d’exception sur le bassin ouest méditerranéen de mai à octobre. Ce catamaran se tient prêt à offrir les plus belles évasions écologiques maritimes et démontre qu’il est désormais possible de combiner luxe, performance et respect de l’environnement. Élaboré comme une “maison loin de la maison”, OTOCTONE 80 affiche une belle ambition : celle d’un service irréprochable sur un yacht créé pour séduire une clientèle exigeante. D’une superficie de 380m2 il est parfait pour les réunions en famille ou les vacances entre amis.

Avec une suite dotée d’une généreuse salle de bain avec une douche à l’italienne, d’un dressing et d’un coin bureau vue sur mer, une deuxième cabine avec un lit double convertible et d’une salle de bain et enfin 2 cabines standard avec un grand lit et salle de bains privées, OTOCTONE 80 permet de vivre ensemble tout en disposant d’un espace dédié à chacun. Baigné dans une lumière naturelle grâce aux larges baies vitrées, le grand salon reste la pièce principale du navire où les invités peuvent se prélasser et profiter de beaux moments de partage. Avec son grand pont principal, le yacht privilégie la vie extérieure : une immense terrasse pour les bains de soleil et de larges banquettes pour y déguster des cocktails originaux tout au long de la journée.

L’expérience sensorielle se poursuit depuis le Fly Bridge situé à 7 mètres au-dessus du niveau de la mer, où les hôtes profitent du coucher de soleil, d’un petit-déjeuner ou encore d’une séance de yoga avec un panorama océanique à 360°C. Sur le pont arrière, autour de l’immense table, à l’abri du vent et des rayons du soleil, la cuisine du chef mise à l’honneur.

A bord de l’OTOCTONE 80, c’est un équipage attentionné, digne du service d’un hôtel cinq étoiles qui répond aux attentes des convives. Achille, capitaine et navigateur expérimenté, veille à la bonne organisation à bord, est à l’écoute des envies des voyageurs et coordonne des prestations exclusives et sur-mesure, (restaurants, spectacles ou excursions). Un skipper assiste le capitaine dans la manœuvre du yacht et veille sur les loisirs nautiques : jet ski, paddle, wakeboard, surf, ski nautique ou encore foil électrique.


La stewardess est à l’écoute des convives, suit les besoins domestiques quotidiens et officie en tant que maître d’hôtel. Un refuge flottant au charme inouï, idéal pour déconnecter et apprécier la richesse de la méditerranée. OTOCTONE ANTHY et OTOCTONE 80 deux adresses inédites où vivre des expériences fascinantes et cousues main, dont le groupe Otoctone a le secret. Une parenthèse enchantée dont les hôtes repartent profondément ressourcés.

 

 

 

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Tankmachine revisite la dernière BMW R18

Nous avons pu découvrir la nouvelle création de Clément Molina (patron et créateur de Tankmachine) pour BMW sur la base de la toute dernière BMW R18 et on a faillit repartir avec, car nous sommes littéralement tombé sous le charme.

Avec son partenaire HorizonRide (concessionnaire BMW à Paris), Clément Molina s’est approprié cette nouvelle R18 avec ce moteur boxeur iconique. La BMW R18 a tout de suite inspiré Clément, ravi de modifier cette “machine“ à sa façon, en y apportant un aspect plus “brutal“, révélant ce côté un peu plus musclé de la moto avec un certain charisme.

La BMW R18 est un Bobber raffiné équipé du plus gros moteur boxer jamais fabriqué par la marque, un 1800cm3 développant 91ch et 150 Nm de couple entre 200 0 et 4000tr / min . Elle est dotée d’un pneu arrière plus large, avec l’élargissement de la jante arrière en 240 de large, d’un garde-boue sur dimensionné, d’un train avant radicalement différent et de jantes à rayons sur – mesure en 18 pouces.

La « patte » de Clément Molina a permis au Big Boxer de se mettre sur l’avant de la scène, cela lui donne un look assez radical.

 

Une fourche Öhlins inversée complète cet engin ainsi qu’un système de freinage Beringer, une sellerie suspendue pilote avec option selle passager, un guidon Drag Bar sans oublier la réalisation d’une ligne d’échappement Jekill & Hyde sur mesure.

Une mention spéciale pour l’optique à LED avant les les embouts de guidon à LED également qui servent de clignotant.

 

Une très belle réussite avec des finitions soignées faite pour cruiser calmement en ville ou sur des petites routes.

 

 

Pour s’offrir ce bijou, fait spécialement à la commande et exclusivement chez HorizonRide, il vous faudra débourser la modique somme de 59 750 euros, mais ce qui est rare est cher et la beauté n’a pas de prix!

 

HorizonRide – 49 avenue de la Grande Armée – 75116 Paris – www.horizonride.fr

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Richard Mille présente sa dernière innovation pour la RM 21-01

La qualité d’une montre Richard Mille relève aussi bien de son architecture que des matériaux qui la constituent. Impossible en effet de concevoir des modèles devant résister aux conditions les plus ultimes sans avoir recours à des composants eux aussi créés pour répondre à des sollicitations extrêmes. En exploitant l’ingénierie des matériaux – notamment issus de l’aéronautique ou de la Formule 1 – pour en tester les applications possibles dans un mouvement horloger et son habillage, Richard Mille fait naître des modèles dont la précision, la légèreté, la résistance et la fiabilité sont intrinsèquement liées aux matériaux utilisés. La nouvelle RM 21-01 Tourbillon Aérodyne répond en tous points à cette recherche, puisant son inspiration dans l’univers de l’aéronautique.

Richard Mille présente ici sa dernière version innovation pour l’habillage de la RM 21-01. La structure complexe du boîtier en or rouge 5N est renforcée par une ossature externe en Carbone TPT® pour la lunette et les piliers. Ce matériau composite, à la fois léger et résistant, est obtenu en superposant des centaines de couches de fibres de carbone via un procédé automatisé qui modifie l’orientation de 45° entre chaque couche puis est chauffé à 120 °C dans un autoclave avant d’être usiné au micron près. Telle une armure, ce renfort garantit une protection optimale de la boîte et est fermement maintenu par 20 vis spline. Le rendu saisissant des strates de Carbone TPT® s’harmonise idéalement avec les reflets d’or ainsi qu’avec le motif alvéolé bleu roi de la platine.

On retrouve le Carbone TPT® au coeur de la platine, conjugué cette fois à une structure orthorhombique alvéolée – exprimant les concepts d’air – en HAYNES® 214® traitée PVD bleu, une première pour la marque. Cet alliage nickel-chrome-aluminium-fer est principalement réservé à une utilisation dans des environnements thermiques dépassant les 955°. Sa résistance optimale à l’oxydation haute température permet un moulage et un assemblage classiques, le rendant particulièrement adapté aux chambres de combustion. Cette platine offre ainsi une rigidité incomparable, un coefficient de dilatation thermique extrêmement bas et une résistance exceptionnelle à la torsion. Autant d’attributs indispensables pour une montre Mille.

La qualité d’une montre Richard Mille relève aussi bien de son architecture que des matériaux qui la constituent. Impossible en effet de concevoir des modèles devant résister aux conditions les plus ultimes sans avoir recours à des composants eux aussi créés pour répondre à des sollicitations extrêmes. En exploitant l’ingénierie des matériaux – notamment issus de l’aéronautique ou de la Formule 1 – pour en tester les applications possibles dans un mouvement horloger et son habillage, Richard Mille fait naître des modèles dont la précision, la légèreté, la résistance et la fiabilité sont intrinsèquement liées aux matériaux utilisés.
La nouvelle RM 21-01 Tourbillon Aérodyne répond en tous points à cette recherche, puisant son inspiration dans l’univers de l’aéronautique.

Des finitions main extrêmement soignées du mouvement avec anglage, polissage, brunissage et chanfreinage des composants, à l’utilisation de matériaux techniques et innovants, jusqu’à l’intégration d’un tourbillon pour contrer les effets de la gravité terrestre, cette nouvelle RM 21-01 Tourbillon Aérodyne, limitée à 50 exemplaires, prend son envol pour explorer de nouveaux horizons.

 

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TAG HEUER PRESENTE LA TAG HEUER MONACO GREEN DIAL

TAG Heuer ajoute une nouvelle pièce en édition limitée à sa légendaire collection TAG Heuer Monaco, la TAG Heuer Monaco Green Dial. Une nouveauté qui marque l’édition 2021 du Grand Prix de Monaco Historique dont la marque est le sponsor et chronométreur officiel. Cette édition limitée à 500 pièces enchantera les amateurs d’horlogerie avec sa couleur unique : un vert profond et subtil, pour une interprétation moderne et rare d’une icône du design. 

La TAG Heuer Monaco Green Dial est dévoilée juste à temps pour le Grand Prix de Monaco Historique. La marque est également la montre officielle du Grand Prix de Monaco de Formule 1, ainsi que le partenaire Montre Officielle du Musée de l’Automobile de Monaco. Ces partenariats confirment le lien puissant qui existe entre TAG Heuer et les événements de sport automobile qui se déroulent dans la Principauté. 

Le bisannuel Grand Prix de Monaco Historique est l’un des week-ends majeurs du calendrier des courses automobiles classiques, et sa communauté de propriétaires, pilotes et spectateurs passionnés entretient l’esprit chaleureux incomparable ressenti sur ce circuit légendaire. Pour célébrer l’édition 2021 de cette course mythique, son sponsor révèle aujourd’hui une remarquable édition limitée : la TAG Heuer Monaco Green Dial.

L’édition spéciale de la Monaco Green Dial met à l’honneur une couleur contemporaine et très demandée par les collectionneurs et amateurs d’horlogerie : le vert émeraude. Il s’agit d’une nouveauté pour la TAG Heuer Monaco dont le cadran se pare pour la première fois de cette teinte qui met en valeur le design unique de l’iconique chronographe à boîtier carré. Le dégradé du cadran, du vert clair au centre au vert foncé dans les angles, donne une impression de vitesse, et la couleur rappelle également la célèbre portion couverte du circuit du Grand Prix de Monaco, précédant la chicane près du port. 

Les deux compteurs noirs du chronographe et les index et aiguilles rhodiés et revêtus de Super-LumiNova® blanc, offrent un contraste subtil avec l’éclatant cadran effet soleillé. Tout en harmonie, les gravures sur la masse oscillante et la roue à colonne du mouvement manufacture se colorent également de vert et sont visibles à travers la glace saphir transparente protégeant le fond boîtier. Atypique et intemporelle, la pièce est proposée sur un bracelet en alligator noir et est équipée du mouvement de manufacture Calibre Heuer 02, offrant une impressionnante réserve de marche de 80 heures.  

Le chronographe automatique TAG Heuer Monaco Green Dial de 39 mm est produit en édition limitée de 500 pièces. La montre sera également présentée dans un nouvel écrin, créé exclusivement pour la collection TAG Heuer Monaco et qui évoque son riche héritage de course. Elle sera disponible dans une sélection de boutiques dans le monde et sur www.tagheuer.com à partir du 23 avril 2021. La TAG Heuer Monaco Green Dial est une nouvelle interprétation contemporaine et chic d’une montre non-conformiste. Elle salue les liens étroits entre TAG Heuer, ce design disruptif lancé par Jack Heuer en 1969, et les prestigieuses courses automobiles de Monaco. Plus d’un demi-siècle plus tard, l’ADN unique de la TAG Heuer Monaco continue de s’exprimer à travers ces nouvelles interprétations audacieuses et modernes. Avec l’édition limitée Green Dial, la collection TAG Heuer Monaco réaffirme son statut d’une des montres les plus marquantes et pérennes de tous les temps.

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Leclaireur nous présente Leclaireur Archives

Leclaireur nous présente un nouveau projet Leclaireur Archives mettant en lumière des pièces historiques, collectionnées au fil des années, au sein de la boutique 40 rue de Sévigné.  Cet espace sera accompagné d’un compte instagram spécifique @leclaireur_archives qui présentera cette sélection vintage, soldées jusqu’à -70%. En remettant ces anciennes collections au goût du jour, Leclaireur s’appuie s sur des valeurs de mode responsable que la maison souhaite développer davantage dans les mois à venir en introduisant un système de vestiaire partagé. Crée en 1980 avec la volonté de brouiller les lignes entre mode, design, art classique et contemporain, joaillerie et art de la table, la boutique imagine des espaces expérimentaux à l’attention de sa clientèle exigeante et pointue.

L’espace de la rue de Sévigné, au coeur du marais, est une oeuvre d’art en soi, conjointement créée avec l’artiste belge Arne Quinze. Dissimulées derrière des murs mobiles, brouillant les lignes entre illusion et réalité, les collections homme et femme apparaissent. Spectaculaire et interactif, Leclaireur Sevigné rassemble l’art, la technologie, le design et ce style unique qui définit si bien Leclaireur.


Philosophie du Lieu – En développant son projet d’offre vintage, Leclaireur Archives s’invite dans le vestiaire personnel de ses clients et se rapproche ainsi de leurs attentes. Les pièces sélectionnées par nos experts sont proposées à des prix plus accessibles qui s’adressent à une nouvelle cible et permettent à Leclaireur d’élargir son portefeuille clients. Ce modèle d’économie circulaire valorise d’une part l’éco-responsabilité et d’autre part, il met en avant un réel esprit communautaire mêlant les jeunes consommateurs de mode aux clients les plus expérimentés.

Marques présentes – Sacai, Comme des garçons, Junya Watanabe, Song for the mute, Ann Demeulemeester, Maison Margiela, Thom Browne, Isaac Sellam Experience, Boris Bidjan Saberi, Undercover, Yohji Yamamoto, Litkovskaya, Balenciaga, Ziggy Chen, A Cold Wall, Off White, Quetsche, Maison Rabih Kayrouz, J.M Ribot, Avant-Toi, Marine Serre, Faith Connexion, TooGood

 

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