close

magazine

ArchivesMagazineSoins & Parfums

Day +, le complément alimentaire révolutionnaire

Day +, est un complément alimentaire réunissant en une seule prise quotidienne et de préférence à jeun, les 5 meilleurs actifs anti-âge du marché, comme l’acide hyaluronique, le zinc, la grenade, donc en plus du collagène et de la spiruline, mis au point avec l’aide de dermatologues et de spécialistes de nutricosmétique. Ces 5 ingrédients ont pour action de stimuler la production de collagène et d’élastique, protéger du stress oxydant avec des antioxydants et réparer en profondeur pour nourrir et apaiser! Cela a pour effet de retrouver une peau plus élastique, ferme, apaisée, hydratée, plus jeune mais aussi de nourrir et réparer les ongles et les cheveux en les rendant plus forts. La combinaison des protéines, des vitamines et des minéraux de ces 5 ingrédients est parfaite pour répondre à tous les besoins.

Présenté sous la forme de « stick » à boire, facile à consommer, à ranger et surtout à prendre en voyage, Day + connaît un succès exponentiel depuis 2017, et séduit consommateurs, investisseurs et distributeurs. Fini d’avaler 5 comprimés différents pour avoir une action anti-âge efficace. Le cocktail miracle anti-âge est fabriqué dans un laboratoire français, spécialisé dans les extractions végétales. Day + se prend, comme tout complément alimentaire sour forme de cure. Une cure pour être vraiment efficace doit s’effectuer sur une durée de 3 à 6 mois. Durant cette période, vous pourrez constater que vos cheveux sont plus fort, plus résistant, et pareil pour vos ongles, mais surtout, un changement au niveau de votre peau, qui grâce à l’association de ses cinq éléments, sera plus hydratée, plus souple, plus douce. 

Tous les utilisateurs de Day + le disent: les résultats sont clairement visibles au bout de quelques semaines de cure. Une cure à faire tout au long de l’année suivant ses envies ou ses besoins. Des cheveux plus forts, une peau plus nette, repulpée et plus jeune, c’est la recette miracle proposé par Day + 

read more
ArchivesMagazineNews de Mode

LE COQ SPORTIF x FIGARET

Le Coq Sportif et Figaret associent leur créativité et leur talent cet Hiver pour revisiter ensemble un classique intemporel, la tennis « Avantage » et proposer ainsi une version plus proche et plus en adéquation avec leurs univers.

Un célèbre maître chemisier, un illustre équipementier sportif, deux histoires industrielles françaises et un modèle déjà plébiscité par les aficionados de mode et d’authenticité…
Cette collaboration réunit l’Histoire et l’ADN des deux marques, dont les démarches intègres érigent depuis toujours la qualité des matériaux et le savoir-faire de leurs productions au rang de priorités.


Cette nouvelle version de la tennis « Avantage » intègre des codes importants pour les deux maisons. Tandis que le coq apparaît sur le côté, un empiècement coloré du vert de gris identitaire du maître chemisier, ainsi que les trois couleurs françaises viennent marquer le talon et compléter un subtil jeu de blancs cassés et de textures naturelles sur la forme de la tennis, déjà épurée et sobre.

Une chaussure parfaite pour tous les amateurs d’essentiels!

Disponibles en ligne et dans les boutiques Figaret et le coq sportif à partir du mois de décembre, 120€

read more
ArchivesJoaillerieMagazine

CARTIER présente le collier MAHARAJAH

Cartier rend hommage aux grands colliers de cérémonie des maharajahs. Cette parure créée en 2019 met en scène un ensemble exceptionnel d’émeraudes, mais aussi de saphirs et de rubis, autour d’un savoir-faire ancien venu d’Inde.

Les émeraudes gravées réunies par Cartier constituent un ensemble d’autant plus singulier que la forme en « grappe » du pendant est rare en Haute Joaillerie – même si Cartier l’a déjà employée par le passé dans les années 1920-30. Ce pendant est composé de 19 gemmes.
Deux émeraudes d’un poids total de 86,96 carats et une pierre de centre de 43,73 carats originaires de Colombie, lieu de provenance de gemmes parmi les plus réputés au monde, complètent cet ensemble.

Impressionnantes par leur poids, ces émeraudes se distinguent par l’ensemble harmonieux qu’elles composent mais aussi par leur couleur, leur intensité lumineuse et leur cristallisation. S’y ajoutent une émeraude de Zambie gravée hexagonale de 18,58 carats, un rubis de Birmanie gravé de 23,24 carats, huit rubis de Birmanie pour un poids total de 46,34 carats et deux rubis de Birmanie pour un poids total de 13,26 carats.

Pour Cartier, l’important dans le savoir-faire, c’est le trait d’union entre l’idée et sa réalisation, entre la créativité de Cartier et son exigence. C’est ce trait d’union que l’on retrouve entre les outils d’hier et les techniques d’aujourd’hui, entre l’esprit pionnier de Louis Cartier et la vision contemporaine de la Maison. Le savoir-faire de Cartier est le résultat d’échanges entre les designers, les joailliers et les ingénieurs. Il se développe au fil de rencontres parfois inattendues et se concrétise au fil d’un processus d’itérations. Le savoir-faire de Cartier : un dialogue ininterrompu entre technique et créativité qui unit le savoir et le faire – d’un trait d’union. On compte au total 4566 heures de travail de joaillerie, de sertissage et de polissage.

Le passage du dessin en deux dimensions à l’objet en volume constitue la première prouesse du collier Maharajah. De l’idée à l’objet, cette transformation révèle une multitude d’inconnues – ajustements de pierres, de couleurs, réglages à apporter pour parfaire l’ergonomie de la pièce. Dessinateur et joailliers travaillent côte à côte à servir un but commun : retranscrire l’idée d’origine en une parure exceptionnelle.

Une création de Haute Joaillerie est un éblouissement, un rêve transformé en lumière. C’est aussi une construction ingénieuse, conçue au millimètre, dont la complexité de conception est insoupçonnable. Sur le pendant du collier, les 19 émeraudes composent une architecture en volume, d’une parfaite tenue. Pour permettre cette chute, chaque gemme est sertie dans une très fine armature en métal,
véritable dentelle apposée sur l’arrière du collier. Chaque pierre étant unique, la mise au point de cette structure sur mesure a généré une collaboration intense dans l’atelier, mêlant à part égale esthétique et technique. Pour diriger le regard sur les gouttes d’émeraude du pendant – et ne pas le laisser s’égarer vers d’infimes points de métal qui pouvaient apparaître selon l’angle d’où l’on se place – le designer et le chef d’atelier ont mis au point un leurre : de minuscules billes de saphir ont été ajoutées en terminaison de chaque goutte d’émeraude. Ainsi, le saphir attire le regard vers l’émeraude avec laquelle il compose une association de couleurs chère à Cartier.

Tout autour de la partie centrale, plusieurs rangs de boules sont disposés, formant un plastron transformable.  Selon le porté choisi (le collier en propose huit principaux), le nombre des rangs varie, et avec lui la répartition du poids des gemmes. Pour que celle-ci soit agréable à porter quel que soit le porté, l’enfilage a été intensément étudié – avec de multiples réglages et ajustements. Le dessin de création constitue le point de départ : il donne la direction et prévoit les différentes étapes en atelier, auxquelles sont associées des durées. À ce temps de travail, s’ajoute un temps parallèle qui se déroule tout au long de l’élaboration de la pièce et engage designer et joailliers à concevoir, alors que la pièce prend forme sur l’établi, une multitude de réponses à apporter aux questions qui surgissent.

Cette pièce s’inscrit dans la grande tradition Cartier de la joaillerie transformable et propose huit portés principaux pour le collier et deux variations pour les pendants d’oreilles. Ainsi, la partie intérieure en rubis se transforme en collier de chien ; les pampilles et les grappes d’émeraudes cernant le motif central peuvent être enlevées, offrant une version plus courte de la parure ; la grappe centrale se porte en pendant sur une chaîne. Les pendants d’oreilles peuvent, quant à eux, accueillir les deux émeraudes latérales.

Une pièce exceptionnelle, moderne, inspirée par le passé et l’histoire de la maison Cartier.

 

read more
ArchivesHorlogerieMagazine

OMEGA présente la montre James Bond à New York

OMEGA, en tant qu’horloger officiel de l’espion le plus célèbre de la planète, a organisé à New York un événement à l’occasion de la sortie de sa dernière montre inspirée par James Bond. Les invités ont été reçus au Top of the Standard Hotel, où la nouvelle Seamaster Diver 300M Édition 007 a été dévoilée pour la première fois. L’acteur Daniel Craig et les producteurs Michael G. Wilson et Barbara Broccoli étaient présent pour l’occasion.

James Bond porte une montre OMEGA depuis le film GoldenEye, sorti en 1995 – le choix de Lindy Hemming, costumière de tous les films de la saga, de GoldenEye à Casino Royale. À leur arrivée sur le lieu des festivités à New York, les invités ont pu admirer les différentes montres Seamaster portées par l’espion anglais au cours des 25 dernières années.

Raynald Aeschlimann, Président et CEO d’OMEGA, a convié l’assemblée à l’intérieur afin de présenter la nouvelle montre : « James Bond et OMEGA partagent de nombreuses qualités telles qu’un grand sens du style, un esprit d’aventure et une précision millimétrée. Nous avons hâte que vous découvriez la nouvelle montre qu’il portera dans le prochain film. »

Daniel Craig a quant à lui tenu à s’exprimer au sujet de son implication dans le processus de création : « Lors de ma collaboration avec OMEGA, nous nous sommes dit que la légèreté de la montre serait un critère essentiel pour un soldat comme 007. J’ai également suggéré d’ajouter quelques détails et couleurs d’inspiration rétro pour conférer à la montre un style unique. Le résultat est incroyable. »

Pour les producteurs Michael G. Wilson et Barbara Broccoli, « la carrière militaire de Bond définit en grande partie sa personnalité. Il est donc particulièrement approprié que le nouveau modèle créé par OMEGA reflète avec autant d’habileté cet aspect de son identité. Bond et OMEGA sont associés depuis presque un quart de siècle maintenant. La sortie du 25e James Bond approchant, le lancement de la nouvelle montre James Bond tombe à point nommé. »

La nouvelle Seamaster Diver 300M Édition 007 a été spécialement conçue pour répondre aux besoins de 007. Conçue en titane grade 2 ultra-léger, elle arbore un bracelet à mailles en titane innovant, des gravures d’inspiration militaire et un style vintage grâce à sa lunette et à son cadran en aluminium brun « tropical ». Cette montre en édition non limitée sera intégrée à la collection actuelle d’OMEGA et disponible à la vente dans le monde entier dès le mois de février.

De nombreux visages familiers tels que Paul Wesley, Antoni Porowski, and Sean O’Pry ont pu être aperçus parmi les invités à New York. Moment fort de la soirée, une performance du DJ mondialement connu Honey Dijon est venue clôturer l’événement.

read more
ArchivesLifestyleMagazine

l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris s’agrandit avec 4 nouvelles suites.

l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris inaugurera les 4 Suites Signature de son extension fin Novembre. Imaginées par Jacques Garcia et pensées comme de véritables appartements parisiens, elles sont une ode à l’Art de Vivre à la française. Au sommet, la Suite Harcourt rend hommage au célèbre studio parisien et propose une expérience hors du commun, sous les projecteurs et le ciel de Paris. 

Entièrement rénové et agrandi en 2017, l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris assoit sa légende sur la plus belle avenue du monde avec la création de 19 nouvelles Chambres et Suites dont 4 Suites d’exception signées Jacques Garcia. Véritable joyau du groupe Barrière, l’hôtel s’impose face à l’Arc de Triomphe comme un lieu où le temps peut suspendre son vol.

 

Si les Chambres reprennent l’esthétique discrète et le design soigné du reste de l’hôtel, les 4 Suites Signature, conçues comme de véritables appartements parisiens, offrent de magnifiques espaces de vie, sublimant les moulures et cheminées d’origine et promettant à leurs hôtes une immersion totale au cœur du style et de l’art de vivre de Paris.

Au fil des étages, on découvre trois Suites comme on remonterait les Champs, de la « Suite George V » à celle la Suite « Arc de Triomphe ».

Loin des couleurs chatoyantes et chaudes des parties communes, Jacques Garcia a choisi d’y faire régner des tons clairs et apaisants, rehaussés de touches noires et dorées, pour en faire de véritables cocons de bien-être et de sérénité face à l’effervescence des Champs-Élysées.

Au sommet, la Suite Harcourt rend hommage à la collaboration entre l’Hôtel et les Studios Harcourt dont les histoires s’entremêlent depuis le début du 20e siècle. De Joséphine Baker à Édith Piaf, de Gabin à Tarantino, des Molière aux César, Le Fouquet’s est le rendez-vous éternel du monde des arts et du cinéma et les œuvres d’art photographiques signées Harcourt y trouvent, très tôt, leur place sur les murs. Une entente mythique qui voit son apothéose avec la création de cette Suite, couronnant l’Hôtel et surplombant les Champs-Elysées.

Sous le regard en noir et blanc des célèbres visages Harcourt immortalisés sur les murs, la Suite Harcourt déploie ses 200m2 de prestige et d’élégance.

Au cinquième étage de l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris, cet appartement typiquement parisien reprend les codes et l’esthétique du Studio, des appliques murales aux projecteurs, en passant par la feuille d’or et la dominante noir et blanc. Les fenêtres œil de bœuf, si caractéristiques de l’architecture parisienne, rappellent les objectifs photographiques et illuminent chaque pièce de leur vue imprenable sur les Champs-Élysées et l’Arc de Triomphe. Pénétrer dans la Suite, c’est toucher du doigt l’élégance à la française et l’art de recevoir très parisien, qui font la réputation du Studio Harcourt comme du groupe Barrière.

Le plus ? Un salon qui se transforme en un clin d’œil en véritable studio photo et un espace maquillage professionnel, pour offrir aux hôtes de cette Suite prestigieuse, leur propre portrait signé Harcourt.

Lieu emblématique du luxe et de l’art de vivre parisien, l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris promet, avec ces Suites d’exception, une véritable immersion dans le Paris typique où l’on entre dans sa Suite comme l’on rentrerait chez soi, où l’on reçoit et où l’on choie. A découvrir dès le 28 novembre 2019.

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Luca Giordano – Le triomphe de la peinture napolitaine

Luca Giordano (1634-1705) est exposé au Petit Palais depuis le 14 novembre, et pour la première fois en France pendant une une rétrospective consacrée à cet artiste napolitain, l’un des peintres les plus brillants du seicento. Disciple du maître espagnol Jusepe de Ribera, Giordano a participé tout au long de sa vie à la mise en lumière de la peinture napolitaine sur la scène artistique européenne. Un artiste prodige, un fils de peintre qui fut placé dès son plus jeune âge comme apprentis auprès du maître José de Ribera pour parfaire son talent précoce, celui d’un artiste infatigable, que son père avait surnommé Luca Fà-presto (Luca fait vite) et dont on dénombre à l’heure actuelle plus de 1000 peintures.

Jusepe de Ribera (lo Spagnoletto) Xàtiva 1591 – Napoli 1652) Apollo e Marsia 1637
olio su tela 182 × 232 cm Napoli, Museo e Real Bosco di Capodimonte

Lors d’un voyage à Rome en 1652, il découvre les chefs-d’œuvre de Michel-Ange, de Raphaël, des Carracci et du Caravage, en s’appliquant à les dessiner, puis, à Parme les œuvres du Corrège et de Véronèse. Il complétera par un séjour à Venise entre 1653 et 1667 où il obtient ses premières grandes commandes. Pour la Basilique San Pietro di Castello il réalise un retable la Vierge à l’Enfant avec les âmes du Purgatoire. Il travailla aussi pour l’église Santa Maria del Pianto, aujourd’hui fermée. Après avoir visité et expérimenté dans la plupart des grands centres artistiques de l’Italie, Giordano se forgea un style personnel, combinant dans une certaine mesure la pompe ornementale de Véronèse avec les grandes compositions de Pierre de Cortone. À la fin des années 1670, à Naples, il termine l’ensemble des fresques de l’abbaye du Mont-Cassin et surtout la coupole de l’église napolitaine Santa Brigida, puis les fresques dorées de San Gregorio Armeno. De nouveau à Florence au début des années 1680, il travaille à la chapelle Corsini dans l’église Santa Maria del Carmine et à la décoration de la bibliothèque et du palais Medici-Riccardi. Il fait un troisième séjour vénitien en 1672-1674.

Vers 1687, Charles II d’Espagne l’invite à Madrid, où il reste au moins pendant toute la décennie 1692-1702 pour les fresques au monastère de l’Escurial, au palais royal du Buen Retiro de Madrid et de Tolède qui conservent une partie de ses œuvres. Giordano fut populaire à la cour espagnole et le roi lui concéda le titre de caballero (en français : « chevalier »). De retour à Naples vers 1702, il continue de travailler avec la même incessante fureur créatrice, peignant notamment de 1703 jusqu’à sa mort le plafond de la salle du Trésor de la chartreuse San Martino de Naples. Les commissions toujours plus nombreuses le conduisirent à se servir d’un atelier de production, dans lequel des aides et des collaborateurs développaient « en grands » les projets et les ébauches fournies par le maître, complétaient des œuvres commencées par celui-ci, et pour lesquelles, dans beaucoup de cas, Giordano se limitait à finir, d’un coup de pinceau, le travail effectué par ses élèves. Luca Giordano est inhumé en l’église Sainte-Brigitte de Naples.

L’ambition de cette exposition est de souligner la virtuosité de cet artiste du XVIIe siècle à travers la présentation de près de 120 peintures sur toile et d’une vingtaine de ses dessins préparatoires réunis grâce aux prêts exceptionnels du musée Capodimonte à Naples, de plusieurs églises de la ville et de nombreuses institutions européennes. Après l’exposition sur le sculpteur Vincenzo Gemito, cette rétrospective constitue le second volet de la saison que le Petit Palais consacre à Naples.
Organisée selon un axe chronologique, le parcours de l’exposition souhaite apporter une vision renouvelée de l’artiste et montrer comment Luca Giordano a su tirer le meilleur des différents courants stylistiques de l’époque pour créer l’une des peintures les séduisantes de son siècle.

Du 14 novembre 2019 au 23 février 2020 – Du mardi au dimanche de 10h à 18h
Nocturne le vendredi jusqu’à 21h – Informations: www.petitpalais.paris.fr

read more
ArchivesMagazineNews de Mode

Amédée Paris & Nicolas Ouchenir: collaboration poétique

Amédée Paris et Nicolas Ouchenir présente une collection de foulards à porter en toutes occasions. La collaboration entre Amédée Paris et Nicolas Ouchenir s’est présentée comme une évidence. Elle repose sur un alignement profond de vision créative et de valeurs. Amédée Paris et Nicolas Ouchenir partagent un goût pour les voyages extraordinaires, les belles lettres ainsi que le respect de la nature et des hommes.
«Je suis émue et très honorée d’annoncer la collaboration d’Amédée Paris avec Nicolas Ouchenir. L’univers poétique, artistique et sensible de Nicolas Ouchenir se mêle à la laine douce, légère et responsable d’Amédée afin de faire naître des foulards exceptionnels et créatifs qui accompagneront les voyageuses et voyageurs des temps modernes dans la réalisation de leurs aspirations profondes.» Déborah Berger

Cette collaboration exclusive consiste en la réalisation d’une collection « semainier » de 7 foulards exclusifs qui sera distribuée en exclusivité pour Noël 2019. Pour réaliser cette collaboration, Amédée Paris a développé avec ses artisans imprimeurs italiens une technique exclusive d’impression sur laine. Cette technique permet de restituer avec fidélité l’aspect aquarellé des dessins de Nicolas Ouchenir.


Les 7 destinations explorées par Nicolas Ouchenir sont des destinations chères à Amédée Paris :
• la Nouvelle-Zélande, la Tasmanie et l’Argentine sont des terres de production de laine Mérinos utilisée par Amédée Paris pour réaliser ses foulards,
• l’Italie est la terre de fabrication des produits Amédée
• Paris est au coeur de la création : les pièces Amédée Paris sont imaginées et dessinées à Paris
• New York et Shanghai représentent des terres d’inspiration pour Amédée Paris et Nicolas Ouchenir.

Nicolas Ouchenir est calligraphe et directeur artistique. L’art de bien former les caractères d’écriture accompagne les plus grandes maisons et entreprises. Il imagine des alphabets, logos, de véritables identités visuelles. Sous ses doigts éclairés, la calligraphie prend une dimension artistique, sensible aux créations contemporaines comme à la culture classique. Cet autodidacte déploie une nouvelle manière de dessiner l’art des pleins et des déliés sous des perspectives actuelles. Comme lors d’une rencontre, il ouvre une discussion avec ses clients, moments à propos qui produisent l’occurrence de signatures singulières et précises. Ces calligraphies deviennent sur-mesure. Nicolas Ouchenir dédie ainsi son savoir-faire à la nature particulière de chaque client et de chacun des objets de communication qu’il dessine. Pérenne ou éphémère, le mot calligraphié est rare et précis : une signature au sens fort. Plus qu’une dimension, c’est une direction artistique dont il est question. Nicolas Ouchenir vit et travaille à Paris.

read more
ArchivesMagazineSoins & Parfums

NATURA présente la nouvelle gamme HOMEN

Découvrez l’univers Natura HOMEM une ligne de soins complète spécialement dédiée aux hommes. Inspirés par les merveilles de la biodiversité brésilienne, ces 10 nouveaux soins prennent en compte les besoins des peaux masculines et ont été créés pour apporter plaisir et bien être. Découvrez les bienfaits des ingrédients végétaux issus de la biodiversité brésilienne présents dans la gamme HOMEM.

Les meilleurs ingrédients de la biodiversité brésilienne:

BÉTAÏNE DE CUPUAÇU
Le Cupuaçu est un fruit originaire d’Amazonie. Son arbre, cousin du Cacau, donne de magnifiques fleurs rouges et de grosses cabosses remplies de fèves riches en acide linoléique. On extrait de ces fèves la bétaïne de Cupuaçu, un agent nettoyant très doux à découvrir dans le gel nettoyant visage et le shampooing pour cheveux gras.
L’HUILE DE COPAÍBA
Les pouvoirs hydratants et apaisants de l’huile de Copaíba sont légendaires en Amazonie. Cette huile extraite de la sève de Copaíba est traditionnellement utilisée par les communautés locales comme un baume cicatrisant pour la peau. L’huile de Copaíba protège et apaise votre peau tout en la laissant délicatement parfumée de notes fraîches et boisées, à la fois élégantes et masculines.
L’HUILE ESSENTIELLE DE CANDEIA
L’huile essentielle de candeia est obtenue par distillation du bois de Candeia, un arbre originaire de la Forêt Atlantique au Brésil, avec une teneur élevée en alphabisabolol.
Les bienfaits de la Candeia : Action anti-inflammatoire et apaisante, protège et régénère la peau, adoucit la peau.

Profondément ancrée dans la culture du Brésil, pays qui possède la biodiversité la plus riche du monde, Natura Brasil s’est engagée depuis longtemps à utiliser les ingrédients brésiliens naturels dans ses
produits. Le centre de recherche et développement étudie chaque ingrédient de manière à extraire les principes actifs et à apporter le plus de bénéfices pour la peau et les cheveux des consommateurs.
Natura travaille également avec les communautés locales de la région d’Amazonie pour les aider à développer un modèle commercial durable pour leurs habitants et en faveur de la forêt. Aujourd’hui ils travaillent en direct avec plus de 30 communautés à travers la région d’Amazonie et d’autres régions du Brésil, incluant plus de 2 000 familles. En 2013, la marque a renforcé son engagement dans la région Amazonienne avec l’ouverture de son Ecoparque à Belem, un complexe de production ultra moderne et écologique, qui génère une activité durable et favorise l’entreprenariat local dans cette région pauvre du monde.

Natura Brasil – Le Marais
35 Rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, 75004 Paris

@Naturabrasilfr

read more
ArchivesLifestyleMagazine

ISKN lance Repaper en édition limitée avec FABER-CASTELL

La startup grenobloise ISKN dévoile son tout nouveau produit sur le marché des arts créatifs : Repaper. Dotée de la technologie unique d’interaction augmentée, cette nouvelle génération de tablette graphique succède à la Slate lancée en 2015, avec l’ambition de proposer une expérience de dessin inégalable. Après le partenariat annoncé en mai 2019 avec Bandai Namco Entertainment Europe et le lancement de tori™, iskn franchit un nouveau cap et lance Repaper le 4 novembre prochain.
Avec sa technologie d’interaction augmentée™ ISKN fait de Repaper un produit unique au monde sur le marché des tablettes graphiques.
La technologie d’interaction augmentée développée par ISKN vient bouleverser l’industrie des arts créatifs, en transformant des crayons à papier en crayons «digitaux», faisant de Repaper un produit incomparable sur le marché des tablettes graphiques.

Edouard Bressy

Un lancement en édition limitée Faber-Castell. Le plus grand fabricant mondial d’instruments d’écriture et de dessin haut de gamme s’associe à ISKN pour le lancement de Repaper. Une collaboration matérialisée par une édition limitée Iskn X Faber-Castell (chaque coffret est doté d’un crayon graphite Castell 9000 (2B) cobrandé iskn). Ce partenariat illustre l’ambition d’iskn et de Faber-Castell sur le marché des arts créatifs. Du mode nomade sans écran pour sketcher à l’extérieur en toute liberté, dans la rue, au musée… à la mise en couleurs en mode tablette graphique à l’aide du stylus iskn et ses logiciels de création favoris, Repaper accompagnera l’ensemble des utilisateurs, de l’esquisse papier-crayon, à la mise en couleurs digitale.

Edouard Bressy

Redesignée et dotée de nouvelles fonctionnalités, Repaper sublime l’expérience du papier-crayon-digital, pour toujours plus de fluidité et d’efficience. L’application rebaptisée Repaper Studio, a fait l’objet de profonds changements, et propose une toute nouvelle interface hyper intuitive. De beaux moments créatifs inédits en perspective, à la portée de tous. Repaper intègre de nouvelles fonctionnalités dont la pression. Une option longuement attendue par les utilisateurs de la Slate.
Grâce à Repaper et ses 8192 niveaux de pression, il est maintenant possible de dessiner avec ses crayons favoris, n’importe où et n’importe quand, et de disposer d’une version numérique fidèle au coup de crayon. Une vraie révolution sur la planète dessin!

read more
ArchivesLifestyleMagazine

La RMN ouvre le 1er concept-store dédié à l’univers des musées

La RMN vous propose du 7 novembre 2019 au 5 janvier 2020 de découvrir le meilleur des cadeaux de musées !

A l’occasion des fêtes de fin d’année, la Réunion des musées nationaux – Grand Palais ouvre dans le Marais à Paris, le Pop-up boutiquesdemusées, le premier concept-store éphémère de France dédié à l’univers des musées.
À deux pas du métro Saint Paul, au coeur du Marais, dans un espace traversant à deux entrées sur rue – 9 rue de Rivoli et 39 rue François Miron, Pop-up boutiquesdemusées vous accueille du 7 novembre 2019 au 5 janvier 2020.


Ce pop-up store unique consacre 60m2 au meilleur des cadeaux de musées, pour la première fois réunis en un seul lieu. Une sélection d’objets inédits librement inspirés
d’œuvres d’art présentées dans les plus grands musées tels que le musée du Louvre, le musée d’Orsay, le château de Versailles, le Centre Pompidou, le musée Picasso, le Grand Palais … côtoie des objets originaux imaginés par des créateurs et des designers contemporains pour la RMN. Des collaborations artistiques en série limitée à offrir ou à s’offrir. L’univers de l’enfant peuplé de jouets drôles et intelligents, de livres d’activité et de coloriages prolonge jusque sous le sapin l’expérience du musée à la maison.

Vous pourrez y trouver une large sélection d’idées cadeaux tel que des moulages, des objets décoratifs et d’art de la table, ainsi que des accessoires de mode et de beauté, mais aussi une sélection de beaux livres et des lignes de papeterie élégantes et audacieuses qui font de ce lieu éphémère le pop-up store parisien de référence pour dénicher des cadeaux de Noël originaux, chargés d’histoire, arty, trendy et contemporains.

 

Pop-up boutiquesdemusées
Du 7 novembre 2019 au 5 janvier 2020
Ouvert du mardi au vendredi de 12h à 20h – Samedi et dimanche de 11h à 19h
Fermé le lundi – Fermeture dimanche 5 janvier à 19h
Adresse : 9 rue de Rivoli et 39 rue François Miron 75004 Paris
https://www.boutiquesdemusees.fr/fr/

read more
1 37 38 39 40 41 47
Page 39 of 47