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ArchivesLifestyleMagazine

Une BMW en road trip culinaire

La team Blake est partie en road trip gastronomique entre le Nord de la France et la Bourgogne avec pour véhicule le tout dernier X1 M35i xDrive de chez BMW, le SUV compact, pépite de la marque allemande.

Premier arrêt: le restaurant La Laiterie Lambersart près de Lille, tenu par le Chef Edouard Chouteau. Cette maison a 120 ans d’histoire,elle est une Institution gastronomique majeure et immanquable de la métropole lilloise, y sont passés déjà passé des chefs comme Ludovic VANTOURS (1984-2002), Steven RAMON et Benoit BERNARD (2002-2013) qui obtiendra une étoile au guide Michelin, puis Nicolas GAUTIER (2013-2017), Corentine LEDUC (2017-2019). Aujourd’hui pour Edouard Chouteau tout y est à refaire, l’étoile est à reconquérir, et il a carte blanche.

La salle de restaurant est grande, divisée en plusieurs espaces dans le L que forme La Laiterie, nous dînons dans la partie qui a le plus de hauteur sous plafond. Les tables sont bien séparées ce qui laisse une véritable intimité pour vivre le repas. Le ton principal est le blanc, une façon de mettre en lumière ce qui se passe dans l’assiette. L’équipe est complète, en salle le rythme est bon et les plats s’enchaînent en laissant le temps de discuter et d’apprécier chacun des temps du dîner. La cave, très fournie, offre des pairings riches : des grands classiques, aux natures en passant par la bière. La cuisine d’Edouard Chouteau est une cuisine française, qui sait jouer des grandes techniques classiques avec de l’inventivité et ayant à coeur d’être dans les marqueurs fort de la région mais aussi de l’AND de la maison qui était une ancienne laiterie, donc place belle aux produits laitiers, crème, fromages, beurres, …

Pour le dîner il nous est proposé 3 menus : produits d’exceptions,  végétale et terre-mer. Nous ferons une diagonale qui comprendra un mélange des 3 pour explorer au maximum les talents du Chef. Parmis les amuse bouche Edouard Chouteau revisite le grand classic moule-frite avec briaud, il aime jouer avec le Terre-mer comme avec le veau caviar, plein de peps et de saveurs mêlées et équilibrées. Dans un registre de “cuisine classique” la queue de langoustine tapée façon Gagnaire, superbe de maîtrise. Pour le végétal, l’asperge verte, concombre au barbecue et sauce tigre explose de saveurs, une véritable réussite qui mêle les influences tout en respectant les saveurs de chaque produits, pour le plus grand plaisir de nos papilles.  La sole au lard de colonnata fumé au foin avec une cuisson maîtrisée propose un terre mer subtil.

La Tourte de bœuf au foie gras achève de démontrer que Edouard Chouteau maîtrise les codes de la cuisine française. Comment finir un repas à La Laiterie sans prendre de fromages, impossible, et cela est un régal mais pour une fois je m’attarderais sur la salade et son assaisonnement, qui apporte une très belle fraîcheur, et surprend avec  ses notes de jus de viande et ses chips de pain. Comment ne pas vous parler des desserts du chef pâtissier Benjamin Caunois …surtoutcelui au miel préparé avec les miels de ruches de La Laiterie, un délice d’élégance et de saveurs sans tomber dans le trop sucré, et le baba, tout en légèreté, je sais ca peut surprendre mais on est dans l’aérien, ce qui est nécessaire pour une fin de repas.Un régal à travers toutes ces saveurs de la région Nord et de France. Edouard Chouteau montre tout son talent et son inventivité galopante. Une cuisine à découvrir et redécouvrir sur toutes les saisons.

Interview de Edouard Chouteau – La Laiterie Lambersart

Comment en êtes-vous venu à la cuisine ?

J’ai grandi dans l’hôtel de mes parents j’avais l’envie de faire comme mon père faire plaisir aux gens, il y avait quelque chose de magique dans la cuisine. Tout d’abord j’ai fait un stage chez mon oncle qui m’a dit va faire des grands restaurants j’ai alors commencé l’apprentissage en faisant des stages dans des restaurants étoilés à Lorient.

Quel a été votre parcours d’apprentissage ?

Mon premier stage c’était chez Henri et Joseph j’ai fait mon apprentissage là-bas puis au bristol avec Éric Fréchon avec une brigade de fou Henri et Joseph on était trois alors que là on était cinq il y avait Florian enfin Mario Colin Foulquier Nawel que du beau monde et puis j’ai été extra espace extra chez Paul Berger à l’Arpège, je suis passé aussi chez qui Kika d’Agosto en Espagne.  Mais ma grande envie c’était d’aller chez Gagnaire. Ensuite je suis allé à Courchevel, pusi au Balzac chez Gagnaire, J’y ai tout adoré l’équipe le matériel c’était exceptionnel. Gagnaire, vraiment, c’est super complet c’est tout ce que j’aime on ne jette rien la brigade est soudé à beaucoup de niveau il y a beaucoup de plaisir en cuisine c’est géré comme une maison de patron c’est le grand luxe beaucoup de produits incroyables tout le temps en mouvement rien de figé c’est une cuisine vivante avec du risque de l’audace et avec beaucoup d’énergie.

Après le bal après le Balzac j’ai fait le tour du monde je ne savais pas trop ce que je voulais faire je suis passé à New York je suis allé au Portugal mais aussi à Dakar il y avait une opportunité au Clarence pour rejoindre Christophe pelé en tant que sous-chef je l’ai saisi. Christophe appeler ce sont des jeux de textures incroyable et en cuisine c’est très décomplexé un festival de produits j’ai fait des services de 20 couverts dit table sans qu’une assiette ne se ressemble, Christophe appeler c’est un artiste, personne personne ne vit la cuisine comme lui.

Puis j’ai eu la direction du pavillon de la reine avec Mathieu Paco c’était une opportunité folle je n’avais jamais été chef je n’avais jamais fait d’ouverture je n’avais jamais embauché d’équipe une magnifique opportunité.

J’ai quitté le pavillon de la reine pour avoir plus d’espace pour l’opportunité de faire pleinement ce que je voulais, faire ma cuisine.

Comment êtes-vous arrivé à la Laiterie ?

Pour la laiterie j’ai été embauché par une chasseuse de tête qui m’a convaincu du potentiel de la maison, que le projet était excitant, parce qu’à la base je ne voulais pas partir de Paris. Ici il y a une histoire qui me parle et y avait tout à faire.

La laiterie c’est 120 ans d’histoire c’est une institution  qui parle à tous les lillois, donc il y avait une grosse attente c’était une nouvelle page à écrire comme au Pavillon de la Reine, mais là j’étais aux commandes. On m’a donné carte blanche, il y avait tout à refaire : une équipe à monter, jusqu’à racheter de la vaisselle. Mais il y a ici une cave exceptionnelle, une bonne base pour un restaurant (rire).

Quelle est la nature de votre cuisine à la Laiterie ?

Ma cuisine…ce sont d’abord de beaux produits, aller à la recherche de petits producteurs locaux, raconter quelque chose avec des goûts réconfortant, mais aussi se faire plaisir en cuisinant à la laiterie je veux que cette maison soit cohérente alors je travaille le lait évidemment mais surtout je souhaite être avec des produits locaux du bœuf de la volaille de la région mettre en avant terroir. Dans la région il y a un vivier d’artisans précieux, le terroir nordique est riche et singulier.

On bosse beaucoup avec une petite ferme du Pont d’Achelles, elle fait des petits pois, des asperges, des fraises, des framboises, mais aussi des morilles exceptionnelles. Ce que j’aime le plus c’est de travailler les fruits de mer et le gibier, le végétal,… J’aime la diversité, en fait, à chaque saison on réinvente le métier de cuisinier.

Quel est votre accord boisson et plat préféré :

J’aime utiliser le vin, l’alcool ou les eaux de vie en cuisine, ça ajoute de la fraîcheur mais aussi de la profondeur et une vivacité. Je préfère rajouter de l’eau-de-vie à une sauce que des épices, ça ramène une autre dimension.

Y a t il une volonté vers l’étoile Michelin ?

Mon ambition pour la Laiterie c’est de faire vivre la Maison et de prendre du plaisir. j’ai toujours travaillé dans des maisons en lien avec le Michelin… nous on fait ce qu’on sait faire, on va de l’avant, pour le reste autour, on n’y peut rien.

Notre voyage se poursuit direction la Bourgogne, à Courban, entre Troyes et Dijon.

Le Château de Courban fait hôtel, spa et restaurant. Dans la petite ville de Courban, ainsi que dans la région, les plus grosses demeures de chaque cité était nommée Château. C’est ainsi que au détour d’une rue du village de Courban l’on devine derrière un portail, une grande maison de maître. 

Le domaine est splendide avec ses jardins, ses différentes dépenses pour différents logements, dont un pigeonnier tout à fait romantique pour les nuits étoilées. Mais aussi des points d’eau, un couloir de nage, un spa Nuxe, et le chien du maître de maison pour veiller sur les lieux.

Le restaurant offre deux espaces, dont le premier avec la cheminée pour débuter ou finir le repas au coin du feu, et la salle principale qui jouit d’un beau volume. Les tables sont bien espacées pour offrir une bulle apaisante et vivre son repas sans gêner les tables d’à côté. L’équipe en salle est très prévenante, la sommelière accompagne avec tacte tout le repas. On est clairement sur une maison qui va chercher l’étoile.  Le repas commence sur de jolies amuses bouches où jeux de couleurs, textures et saveurs annonce un dîner qui aura des influences multiples venant de France, mais aussi des pays arabes et de l’Asie. Les saveurs sont toujours très justes et équilibrées, le poisson est particulièrement mis en avant avec un travail sur la maturation de la chaire, qui marque son goût et lui apporte une salinité naturelle, c’est très bien maîtrisé.

La langoustine soutenue par la vanille et la patate douce est un terre-mer subtil et très réussi. D’ailleurs tous les jus et réduction sont goutû à souhait et révèle les plats qui sont très lisible, en bouche on sait ce qu’on mange. La volaille de Racan au morille de saison est superbe également, un sans faute, avec des pairings vins classiques mais justes. Le plateau de fromage arrive avec du miel sur son rayon, un délice ! Une belle expérience culinaire qui devrait bientôt se voir glorifiée.

Interview de Maxime Lesobre – Le Château de Courban

Pourquoi avoir choisi la cuisine ?

Mes parents étaient bouchers, et avant mon père était à Rungis et grand spécialiste du gibier. J’étais pas fait pour les études, j’avais trop d’énergie à dépenser (rire)…je suis portugais de par ma mère, j’avais donc 2 grands- mères qui cuisinaient très bien l’une française et l’autre portugaise, deux belles écoles de cuisine. Et puis la cuisine c’est les moments joyeux où l’on se réunit et j’aimais ça. Donc la cuisine a pris le dessus très vite. J’ai fait quelques stages et des chefs m’ont pris sous leurs ailes. Mon avantage c’était qu’avant d’arriver en cuisine je savais travailler les carcasses de viandes grâce à  mon père. J’ai fait un BEP cuisine à Ferrandi Versailles, avec de très bons profs donc Frédéric Anton, qui est MOF aujourd’hui.

J’ai fait beaucoup d’heures et j’ai été bien formé. J’ai été mordu totalement. Puis un BP, Bac pro, avec que de la cuisine. Mes parents ont une boucherie dans le 78 à Saint Quentin en Yvelines, petite ville sympa.

Quel a été votre parcours ?

Première maison Le Laurent, j’ai fait la réouverture du Royal Monceau en 2010, puis la Grande Cascade pendant 2ans, avec le Chef Robert, probablement m’a plus grosse influence, ses auces, ses jus, puis Alain Passard, Michel Rostang, j’étais sous-chef tournant, puis retour à la grande cascade, et ouverture à la Réserve, Jérôme Banctel, grand technicien,

Avez-vous un chef pâtissier avec vous ou c’est aussi vous les desserts ?

Cheffe Pâtissière,  Sae Hasegawa, on fait des essais tout le temps, je viens donner des indications mais j’aime quand ce sont les saveurs qui explosent surtout sans trop de sucre, un avis qu’on partage.

Comment cela a commencé au Chateau de Courban ?

Je suis là depuis février mais en vérité, je suis là depuis octobre. J’ai fait venir mon sous-chef, Lilian Ardouin. On reprend une maison, on y va étape par étape, on peut pas tout révolutionner d’un coup. Là c’est la 2ème carte. Au début on a perdu 5 personnes dans l’équipe et là j’ai une bonne équipe de gens qui donnent beaucoup. Je suis fier de ma team, que des petits jeunes qui s’investissent.

Le petit déjeuner c’est tout maison, brioche, quiche, cake,…

Le Château de Courban a été un restaurant étoilé pendant des années. Aujourd’hui il y a tout à faire et je vais faire ma cuisine. L’important c’est l’esprit d’équipe. Je suis ici pour montrer l’exemple sur l’esprit d’équipe faire du gourmand et du goût.

Quelle est votre cuisine ?

Ma cuisine c’est la cuisine du produit, sublimer le produit sans trop le dénaturer. Il y a pas de règles, je mélange les influences japonaises ou encore africaines, et bien sur du français cela reste notre base, cela reste les 90% de ce qu’on fait? Ici on fait beau avant de faire beau. Avant j’en mettais peut être trop et mon passage avec Alleno m’a appris ça, se concentrer sur l’essentiel. On concentre le goût du produit, pour faire un jus on met 2 à 3 jours : on déglace et on laisse mijoter longtemps…pas trop de sel, le sel vient du produit. J’aime jouer sur les acides, le gras, faut que cela titille les papilles. Je fais un vinaigre de shiso, qu’un ami japonais m’a appris, la cuisine c’est le partage, le savoir. Je dis à mes équipes de tout noter, je donne mes recettes. Il faut aller à l’essentiel, ne pas dénaturer le produit, sublimer le produit et que ce soit lisible dans l’assiette.

Quel est le produit que vous préférez travailler ?

La truffe (rire) ! J’adore les champignons, les poissons. La lotte on l’a fait maturer, comme une viande, j’ai suivi la méthode d’un chef australien qui a lancé ça. Du coup on ne met pas de sel sur cette Lotte et ses saveurs se sont concentrées. J’ai envie de faire des charcuteries de poisson, je viens d’acheter une ventrèche de thon et on va en faire un jambon. Bien sûr on travaille les produits de saison, les produits on va les prendre là où ils sont. On fait que des poissons de ligne, avec des petits bateaux. Faut valoriser nos paysans. Je ne négocie pas les prix mais j’attends de l’excellence. Nous on travaille avec un volailler extraordinaire,  en Touraine, Maison Bellorr, ils étaient au Michelin cette année, ils ont un petit élevage avec une race ancestrale, une des plus vieilles volailles de France, ils font pigeons, des escargots, des asperges bio,…du top.

Le superbe SUV compact de BMW !

Pour rallier ces deux lieux d’exception nous avons découvert la toute dernière merveille de chez BMW, le SUV compact, X1 M35i xDrive : Puissance, Élégance et Technologie de Pointe.

Lorsque l’on voit le tout nouveau X1 M35i xDrive, ce qui saute aux yeux c’est son format compressé et agressif, on sent que la bête sommeil. Ce véhicule allie puissance, élégance et technologie de pointe. Voici pourquoi le BMW X1 M35i xDrive est le véhicule parfait pour ceux qui ne veulent faire aucun compromis.

Un Design Audacieux et Raffiné

Sa calandre emblématique à double haricot, plus large et plus agressive, est complétée par des phares LED adaptatifs et des feux arrière à LED distinctifs, conférant au véhicule une allure moderne et sophistiquée. Les lignes sculptées et les contours musclés ajoutent une touche de sportivité qui ne laisse personne indifférent.

Les pare-chocs avant et arrière sont spécifiquement dessinés pour la version M, intégrant des prises d’air plus larges et des diffuseurs qui accentuent l’aérodynamisme et la performance et lui donnent un look sportif. Les jupes latérales et les rétroviseurs extérieurs au design M renforcent l’aspect dynamique du véhicule.

Les jantes en alliage léger M de 20 pouces, avec un design exclusif et des pneus haute performance, non seulement ajoutent à l’attrait visuel du X1 M35i xDrive, mais améliorent également sa tenue de route et sa maniabilité. Le toit ouvrant panoramique, en option, offre une vue dégagée sur le ciel, ajoutant une touche de luxe et de liberté à chaque trajet.

Un Intérieur Luxueux et Modulable

À l’intérieur, le X1 M35i xDrive offre un environnement luxueux et technologiquement avancé. Les matériaux de haute qualité, comme le cuir Dakota et les inserts en aluminium, créent une ambiance élégante et confortable. Les sièges sport M, chauffants et réglables électriquement, assurent un soutien optimal, même lors des trajets les plus longs. Ces sièges sont dotés de multiples réglages électriques, y compris le réglage lombaire à quatre voies, permettant de trouver facilement la position de conduite idéale. Les renforts latéraux réglable eux aussi maintiennent fermement le conducteur et le passager avant en place, même lors des virages serrés, offrant ainsi une expérience de conduite plus engageante et dynamique.

Le X1 M35i xDrive se distingue également par sa modularité exceptionnelle. Les sièges arrière sont rabattables dans une configuration 40/20/40, offrant ainsi une flexibilité maximale pour transporter des passagers et des charges volumineuses. Le volume du coffre, déjà généreux, peut être augmenté de manière significative, facilitant le transport d’équipements de sport, de bagages ou d’achats importants.

Technologies de Pointe et Connectivité

Le tableau de bord est équipé du dernier système d’infodivertissement iDrive 8 de BMW, avec un écran tactile de 10,25 pouces et un affichage tête haute. Ce système intuitif permet un accès facile à la navigation, aux applications connectées et à vos médias préférés. La compatibilité sans fil avec Apple CarPlay et Android Auto assure une intégration transparente de votre smartphone, vous permettant de rester connecté en toute simplicité.

Les systèmes d’assistance vocale et gestuelle améliorent encore l’expérience utilisateur, rendant les commandes intuitives et sécurisées. Le système de sonorisation Harman Kardon, disponible en option, transforme l’habitacle en une véritable salle de concert, offrant une qualité audio exceptionnelle pour tous les occupants.

Des Performances Époustouflantes et une Motorisation M que l’on aime

Sous le capot, le BMW X1 M35i xDrive cache un moteur quatre cylindres turbo de 2,0 litres, capable de développer 306 chevaux et 450 Nm de couple. Couplé à une transmission automatique à huit rapports et à la transmission intégrale xDrive, ce moteur offre une accélération fulgurante, permettant de passer de 0 à 100 km/h en seulement 5,4 secondes.

Le système xDrive répartit intelligemment le couple entre les roues avant et arrière, garantissant une traction optimale et une stabilité exceptionnelle, quelles que soient les conditions de conduite. La suspension M Sport, combinée à la direction sportive variable, offre une réactivité et une précision remarquables, transformant chaque trajet en une expérience dynamique et engageante.

Système de Freinage Avancé

Le BMW X1 M35i xDrive est équipé d’un système de freinage hautes performances qui assure une puissance de freinage exceptionnelle. Les freins à disque ventilés, équipés d’étriers de frein M Sport en bleu avec le logo M, garantissent une dissipation optimale de la chaleur et une réponse précise, même lors des situations de conduite les plus exigeantes. Le système de freinage antiblocage (ABS), associé à la répartition électronique de la force de freinage (EBD) et à l’assistance au freinage d’urgence, assure une sécurité maximale en toutes circonstances.

Sécurité et Assistance à la Conduite

Le X1 M35i xDrive est équipé des dernières technologies de sécurité et d’assistance à la conduite. Parmi elles, le régulateur de vitesse adaptatif avec fonction Stop & Go, l’assistant de maintien de voie avec retour actif, la surveillance des angles morts et le système de freinage d’urgence autonome. Ces fonctionnalités avancées travaillent de concert pour vous offrir une conduite sereine et sécurisée.

Le système Parking Assistant Plus, incluant une caméra de recul haute définition, des capteurs de stationnement avant et arrière, et l’assistant de stationnement autonome, rend le stationnement simple et sans stress. Le système de caméra 360 degrés offre une vue panoramique autour du véhicule, facilitant les manœuvres dans les espaces restreints.

Une Expérience de Conduite grisante

La combinaison de la puissance brute, de l’élégance et des technologies de pointe en fait un véhicule qui offre une expérience de conduite sportive et rassurante à la fois. On peurt s”amuser tout en se sentant toujours très en sécurité et en maîtrise. Que vous naviguiez en ville ou que vous partiez pour une escapade sur route, le X1 M35i xDrive vous offre des performances sans compromis et un confort inégalé.

Conclusion : Le Choix Idéal pour les Conducteurs Exigeants

Le BMW X1 M35i xDrive n’est pas simplement un SUV compact; c’est une déclaration de style, de performance et d’innovation. Un SUV compact mais aussi un véhicule de luxe, avec l’ADN sportif qui caractérise la gamme M de BMW.

Un gardien du temps, Le Chrono type 20, Flymaster n°73 de Auricoste

Pour garder un œil sur le temps lors de cette cavalcade gustative, Auricoste nous a prêté un chrono de sa gamme, une montre parfait pour aller avec l’aspect sport de la BMW, et pour ce weekend à travers les régions de France.

Auricoste est une marque française, depuis 1854, spécialisée dans le domaine des chronomètres de marine. Auricoste est intimement liée à la vie aéronavale française. Son histoire lui confère un statut particulier dans l’univers horloger ou beauté et rigueur du mécanisme sont les maîtres mots. Ses chronographes sont considérés comme des instruments de mesure de choix par les spécialistes et amateurs de mécanismes horlogers dans le monde entier.

Ses performances lui permettent d’équiper les armées navales, aériennes et terrestres en France comme à l’extérieur de l’hexagone. Nos outils de mesure, nos différents modèles sont conçus en vue d’une robustesse et d’une lisibilité parfaite pour résister aux situations les plus extrêmes.

La type 20

En 1954, Auricoste crée et développe le modèle type 20 dont la fonction « flyback » devient une norme imposée par le Ministère français de la Guerre. Plus de 2000 chronographes sont livrés aux différentes forces françaises. A l’époque le Ministère de la Guerre, imposant à ses pilotes d’aéronavales d’être équipées de chronographes dotés de la fonction “retour en vol“ également connue sous le nom de “flyback”. Cette complication à pour fonction de permettre aux pilotes de mesurer des intervalles de temps successifs en une fraction de seconde, rendant inutiles les fastidieuses opérations répétitives des 3 étapes, stop, remise à zéro et start habituelle. 

Un boîtier de 39,5mm et des aiguilles recouvertes de superluminova, pour être lues même de nuit, ainsi que deux chronos dans le cadran. La glace hésalite a été choisie pour éviter les bris de verre.

Article réalisé par Alexis Dumétier

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ArchivesHorlogerieMagazine

ALPINA Seastrong Diver Extreme Automatic GMT

Découvrez une plongeuse baroudeuse pour l’été 2024. Plongeuse certifiée, dotée du boîtier ultra-robuste de la ligne outdoor Extreme, la Seastrong Diver Extreme Automatic est dévoilée avec une fonction GMT. Parée pour les grands voyages, cette nouveauté, présentée par la marque horlogère suisse Alpina, arbore un cadran argenté ou noir sur une boîte acier habillée d’un bracelet caoutchouc noir et coiffée d’une lunette céramique. Tant résistant que compact, son format coussin (39 x 40,50 mm) saura s’adapter aux activités nautiques, comme aux environnements urbains.

La Seastrong Diver Extreme Automatic GMT assemble le meilleur des deux mondes. D’un côté, son ADN originel de plongeuse certifiée : étanche à 300 mètres grâce à un fond vissé ; une couronne vissée avec grip ; des aiguilles et index luminescents ; une lunette bidirectionnelle crantée.
De l’autre, le boîtier Extreme, design phare d’Alpina. Nerveux et éprouvé pour toutes les activités outdoor, il est transposé au sein de la ligne Seastrong Diver GMT. Une démarche naturelle et évidente : comment le boîtier conçu pour les aventures extérieures n’aurait-il pas pu rencontrer la plongeuse qui traverse les océans du globe ?

De cette union taillée pour le voyage est né un modèle, décliné en deux versions, avec une complication véritablement pensée pour lui : le GMT. Il s’affiche ici dans son expression la plus opérationnelle, avec une deuxième aiguille centrale des heures.
Sa lecture est simple et évidente. Le trinôme traditionnel des heures, minutes et secondes centrales donne l’heure à destination, celle où se trouve le voyageur. Le guichet de date à 6h est bien évidemment synchronisé à ce même lieu.
Une aiguille additionnelle des heures les complète. Elle se différencie par sa pointe triangulaire rouge – faisant écho au logo d’Alpina. Elle indique un second fuseau horaire – souvent celui de son domicile, appelé fuseau d’origine. Pour ce GMT, la montre n’exige aucune commande annexe : tous les réglages se font par la seule couronne sécurisée, à 3h.
Et pour les baroudeurs nécessitant un troisième fuseau, il sera toujours possible de l’indiquer grâce à la lunette. Gravée sur 24h, elle offre en sus la distinction entre les heures de jour et de nuit. Il suffit d’utiliser la lunette pour faire pointer l’heure du 3ème fuseau directement en face de l’aiguille du GMT. La Seastrong Diver Extreme Automatic GMT est la première montre d’Alpina dotée d’une lunette indiquant un troisième fuseau horaire.

Sur le plan esthétique, ces deux soeurs se ressemblent. Elles partagent la boîte Extreme en acier de 39 x 40,50 mm, alternan surfaces polies et brossées, une finition propre à la belle horlogerie genevoise. Les deux versions lui adjoignent un bracelet en caoutchouc texturé, fermé par une boucle déployante sécurisée par un poussoir.
A l’épreuve de tous les chocs et rayures par sa matière en céramique d’un noir mat, la lunette arbore des chiffres polis – gravés en positif. La couronne située à 3h est munie, quant à elle, d’un grip en caoutchouc qui en assure la bonne préhension, même avec des gants de plongée.
Les deux modèles se distinguent par la couleur de leur cadran frappé du motif en triangle, signature d’Alpina : argenté sur le premier, noir sur le second.

www.alpinawatches.com

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ArchivesHorlogerieMagazine

HEGID MIRAGE SOLEIL

Hegid®, Maison Française d’Horlogerie Evolutive, présente la Mirage Soleil : la nouvelle
déclinaison de sa montre Mirage. Cette inédite interprétation horlogère de la vitesse et de la
chaleur met en lumière, cette fois-ci, un cadran texturé irradiant.


La montre Mirage d’Hegid fut dévoilée pour la première fois en 2020 par Hegid. Sa création a
été influencée par la fin des années 60, au moment où le monde offrait tant de promesses, à
l’apogée du rêve automobile. Jérôme Coste, le Directeur Artistique d’Hegid, l’avait imaginée
comme l’ultime compagnon de route au volant d’une supercar transalpine, la Lamborghini
Miura, filant sur les routes escarpées de la Riviera. Les douces journées laissent généralement
place, une fois le soleil couché, à de vibrantes nuitées. Le nouveau cadran de la Mirage se
sublime aussi bien sous les faisceaux transperçant du soleil de la Méditerranée, que sous les
flashs des paparazzis, venus à l’occasion de soirées toujours très prisées.


Conformément au principe évolutif originel des montres Hegid, les différents éléments qui
composent la montre Mirage Soleil sont disponibles séparément et s’adaptent aux montres
Hegid pré-existantes. La Mirage Soleil conserve la même carrure d’acier, profilée aux finitions
satinées à traits tirés, que sa version initiale. Elle garde aussi le chic et le dynamisme que lui
offre son bracelet matelassé Virage si distinctif.


Le nouveau visage de la Mirage se distingue par ses 60 facettes qui permettent de se situer
dans le temps, avec élégance et précision. Au rythme des oscillations du mouvement
automatique, des cols et des vallées parcourues par les aiguilles, tel un bolide progressant sur
les routes vallonnées, on devine l’heure. Sous les palmiers, quand la lumière frappe la Mirage
Soleil, elle resplendit. Le jour, la lumière laisse scintiller les détails argentés de son cadran, de
ses index et de ses aiguilles. Chargée des rayons de la journée, la Mirage Soleil permet de
divaguer jusqu’au crépuscule grâce aux lueurs de ses aiguilles luminescentes et sa réserve de
marche de 40 heures.


Les Capsules et les Carrures de la collection Mirage sont conçues, fabriquées et assemblées en
France, et à la frontière Suisse, d’où les mouvements proviennent. Les bracelets Virage en cuir
Nappa, originaux par leurs brins matelassés qui suggèrent les assises confortables en cuir
boudiné des voitures de sport des années 60, sont eux aussi façonnés dans des ateliers
français.


Les montres de la gamme Mirage d’Hegid sont disponibles sur hegid.com et en boutique,
notamment dans le showroom Hegid du 8 rue Volney à Paris.

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ArchivesHorlogerieMagazine

LIP relance la mythique T18

Aujourd’hui, une montre française renaît avec son mouvement mécanique à remontage manuel aux cotes d’origine. Unique et ayant inspiré la concurrence helvétique de l’époque, elle porte le nom de son calibre et se trouve être la pièce de forme la plus produite de toute l’histoire horlogère par une marque de dimension internationale dont le nom se prononce dans toutes les langues. Vous l’aurez compris, il s’agit de la T18 de LIP, conçue, assemblée et contrôlée à Besançon, sa ville d’origine.

Il fallait satisfaire tous les amateurs avertis en quête d’un garde-temps au dessin hérité de la période Art Déco et animé par un coeur de référence. Pour eux et les autres, la maison LIP, aujourd’hui pilotée par Pierre-Alain Bérard, relance la célébrissime T18 avec, cette fois à son bord un calibre mécanique à remontage manuel contemporain. Pour répondre aux attentes des puristes, les cotes et la construction reprennent en grande partie celles du mouvement développé par André Donat à partir de 1931 à la demande de Fred Lip, alors tout juste rentré d’un voyage d’étude aux Etats-Unis.
Visionnaire, ce patron de la plus célèbre marque horlogère française, aujourd’hui souvent citée par les amateurs de l’Hexagone parmi les cinq premières mondiales, avait aussi un sens inné de la communication. S’il avait été là actuellement, il aurait sans doute commencé la publicité pour la nouvelle génération de T18 mécanique de manufacture de la façon suivante : « Savez-vous quelle est la montre de forme rectangulaire la plus produite au monde et la plus connue en France, en Russie et aux Etats-Unis ?
Non, messieurs les collectionneurs, ce n’est pas la Prince de Rolex ou la Reverso de Jaeger-LeCoultre, mais la T18 de LIP qui, entre 1933 et 1949, a été fabriquée à plus de 400 000 exemplaires ».
Toutes ces qualités lui ont valu d’être la toute première montre-bracelet de forme à recevoir un tourbillon. Réalisée par Edouard Belin en 1947, elle a marqué un tournant dans l’histoire de l’horlogerie contemporaine. Le calibre T18 mérite pour cela de revenir sur le devant de la scène d’autant que la T18 de LIP est assurément de toutes les montres françaises produites, l’une des plus recherchées par les collectionneurs.

Afin de les satisfaire, la nouvelle direction a fait le choix de relancer la plus célèbre de toutes les T18 : celle en plaqué or offerte à Winston Churchill en 1948. Pour l’occasion, son boîtier a été légèrement agrandi afin d’être conforme au mode de porter actuel et a été réalisé en acier inoxydable recouvert de deux épaisses couches d’or massif de 5 microns chacune : la première en 18 carats et la seconde en 24 carats. La pièce, fabriquée seulement à 180 exemplaires numérotés, arbore un cadran inspiré du modèle d’époque avec chiffres en relief appliqués à la main et petite trotteuse à 6 heures. Précieuse, elle se pare d’un verre saphir, traité antireflet, rectangulaire et légèrement galbé. Elle se porte sur un bracelet en alligator, réalisé de façon artisanale, à la main, dans les ateliers Sibra à Besançon.

Cette merveille d’équilibre, véritable icône des années 1930-1940, est, une fois encore, servie par le meilleur des calibres qui soit : le tout nouveau mouvement mécanique à remontage manuel T18 de LIP. Ses composants, reprenant toutes les cotes de ceux d’origine grâce à un considérable travail de rétro-ingénierie réalisé sur un T18 de première génération sont usinés en Suisse par la célèbre manufacture La Joux-Perret. Les finitions et décorations sont entièrement réalisées dans le Doubs, chez Roland Bailly SAS. Le mouvement est ensuite assemblé à Besançon par la société Humbert-Droz avant d’être emboîté et contrôlé dans les ateliers LIP de Besançon.

Visible par le fond transparent, il laisse voir son grand balancier oscillant aujourd’hui à 3 hertz pour plus de précision, ainsi que ses délicates finitions traditionnelles comme les « côtes de Genève », les perlages, mais également le colimaçonnage de la roue de rochet.
Enfin, désireuse de pousser cette re création jusque dans les moindres détails, LIP a fait le choix courageux de proposer cette montre appelée à devenir « collector » à un prix, en euros constants, identique à celui de l’année de son lancement.


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BLANCPAIN ET SWATCH LANCENT UN MODELE EXCLUSIF BIOCERAMIC SCUBA FIFTY FATHOMS OCEAN OF STORMS 


A l’occasion de la New Moon, également appelée Black Moon (dite « Lune noire »), Blancpain et Swatch introduisent un nouveau modèle SISTEM51 dédié à Oceanus Procellarum, mer située à l’ouest de la face visible de la Lune.

La collaboration entre Swatch et Blancpain célèbre la première véritable montre de plongée, la Fifty Fathoms, avec 5 modèles qui rendent hommage aux 5 océans de notre belle planète bleue. Ce 6ème modèle baptisé Oceans of Storms met en lumière cette fois-ci la plus grande mer lunaire présente sur notre satellite.

Ce modèle inédit sortira pour la nouvelle Lune de Janvier. La lune est dite nouvelle lorsqu’elle ne peut pas être vue depuis la terre car elle se trouve entre notre planète et le soleil. Pendant la nuit, la lune n’est donc pas présente dans le ciel nocturne. Pendant la journée, la lune reste difficilement visible car elle se trouve proche du disque solaire. La partie éclairée est donc la face cachée de la lune. C’est l’opposé de la pleine lune, lorsque sa face visible depuis la terre est entièrement éclairée. (Source: Ouest France).

La montre automatique est dotée d’un mouvement SISTEM51 composé, comme son nom l’indique, de 51 composants reliés par 1 vis centrale. Le boitier (42,3mm) en biocéramique noire, mélange de poudre de céramique et de matériaux biosourcés fabriqués à partir d’huile de ricin, est monté sur un bracelet Nato tricolore noir, blanc et gris en matériaux recyclés. Elle est étanche jusqu’à 50 brassées soit 91m sous l’eau, clin d’oeil à la Fifty Fathoms dévoilée en 1953. Le verre est doté d’un revêtement anti-rayures tandis que le dos du boitier est protégé par un verre saphir transparent. Un nudibranche présent dans l’océan pacifique, appelé Okenia Luna, et la Lune sont imprimés sur le mécanisme apparent.
Elle sera disponible au Megastore des Champs-Elysées à Paris

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Des montres au pied du sapin

Dans l’univers de l’horlogerie, chaque tic-tac de la montre résonne comme une symphonie minutieusement orchestrée, éveillant une passion intemporelle pour les hommes épris d’élégance et de sophistication. Les montres, bien au-delà de leur simple fonctionnalité, deviennent des œuvres d’art, des témoins silencieux du raffinement et du goût de ceux qui les portent.

Le plaisir de porter une belle montre à son poignet va au-delà de la simple mesure du temps. Il devient une célébration quotidienne d’une forme d’artisanat exceptionnel, des mouvements horlogers complexes et des matériaux nobles qui se marient pour créer des œuvres d’ingénierie sublimes. L’homme qui choisit sa montre avec soin fait bien plus qu’accessoiriser sa tenue : il exprime sa personnalité, son héritage, et son attachement à la tradition horlogère.

Chaque montre devient une histoire à part entière, un lien entre le passé et le présent, un hommage à la précision mécanique et à l’art du détail. À travers cette sélection, plongeons dans le monde si varié de l’horlogerie, où la passion pour les montres transcende le simple désir de connaître l’heure pour devenir une quête de l’excellence, une fascination pour la mécanique du temps qui définit le véritable plaisir de porter une montre d’exception.

A l’occasion des 140 ans de la marque suisse, ALPINA met à l’honneur l’Alpiner Extreme. Distinctive par un ADN sportif à l’esthétique affirmée, cette collection – relancée l’année passée – accueille aujourd’hui quatre nouveaux modèles : deux nouvelles déclinaisons – limitées à 888 pièces chacune – de l’atypique Regulator Automatic ; deux nouvelles variantes de la version Automatic, dotée de trois aiguilles centrales, pour une lecture plus traditionnelle de l’heure. La grande nouveauté ? Trois d’entre elles se parent d’un bracelet intégré en acier.

Carl F. Bucherer a lancé trois répétitions minutes uniques pour sonner le début des célébrations du 135e anniversaire de la marque. Alors que cette année touche à sa fin, l’horloger suisse dévoile une collection supplémentaire de trois répétitions minutes singulières, incarnations par excellence de son amour pour le style contemporain et les matières modernes.

Monsieur de CHANEL Tourbillon Météorite. Imaginé comme un cadre de tableau, le boîtier en céramique noire met en lumière les deux éléments singuliers de la montre. Le lion, emblème de la Maison, est logé au cœur de la cage de tourbillon et tourne sur lui-même au rythme des secondes. Le cadran météorite,
fragment minéral, fait de chaque pièce un modèle unique. Pour la première fois, la montre MONSIEUR abrite un mouvement tourbillon volant, le Calibre 5.1, conçu et assemblé par la Manufacture de CHANEL.

Charles Zuber, marque créé depuis 2022, place la barre encore très haut avec une merveille : la montre Perfos baignée de lumière, entièrement squelettée à la main par l’un des derniers artisans horlogers genevois à pratiquer son art de façon traditionnelle : Cédric Johner. Les composants du calibre 01, un mouvement de forme micro-rotor exclusif Manufacture développé en interne, désormais illuminés par le devant et le dessous, ont été grignotés pour donner un supplément de lumière à cette montre dont le nom lui-même signifie « au travers de la lumière » en grec. 

Lens Position: 1722

Hublot dévoile une MP-13 de 44 mm, entièrement en titane brossé, dotée de deux complications pour la première fois associées au sein d’une même pièce : le tourbillon et l’affichage rétrograde. Un tourbillon avec deux subtilités : squelette et suspendu.

KRAYON présente ‘Anywhere Aurora’. La première montre en titane signée Krayon
Une nouvelle couleur, le vert, comme une obsession à notre relation intime à la nature. Et si connaître exactement l’heure précise du lever du soleil ou du coucher du soleil, en un lieu choisi uniquement par Vous, devenait possible ? Votre endroit. N’importe où sur la planète. En créant cette complication singulière d’une apparente simplicité, Krayon a créé une Première dans l’horlogerie.
Une série limitée de seulement 25 exemplaires.

La ZM 11 de LEICA est une montre de tous les instants : robuste, sophistiquée et pleine de détails, de ses remarquables fonctionnalités à sa finition luxueuse. Le système de bracelet Easy Change, développé par Leica, est une réplique technique du système de changement d’objectif des appareils photo Leica et permet de changer de bracelet facilement et en toute sécurité pour s’adapter à n’importe quelle activité. Le mouvement automatique suisse de haute précision a été conçu et fabriqué en partenariat avec Chronode SA. La ZM 11 est étanche jusqu’à 100 m et bénéficie d’une garantie de 5 ans.

Développée en collaboration avec le célèbre site horloger Revolution, la Slimline Monolithic Manufacture, véritable percée technologique de Frédérique Constant, se pare désormais d’une palette de couleurs aux teintes rosées et de chiffres Breguet surdimensionnés dans cette édition limitée exclusive. Réalisée en 100 exemplaires, la Slimline Monolithic FP(S) ou Future Past (Salmon) Frédérique Constant × Revolution sera livrée avec deux bracelets, un bracelet en cuir de veau noir avec une boucle déployante, ainsi qu’un bracelet additionnel en cuir de veau gris.

Longines étoffe sa collection Longines Spirit d’une pièce pourvue d’une fonction flyback, une complication intrinsèquement liée au riche patrimoine de la marque. Longines produit en effet ses premiers modèles équipés d’une fonction retour en vol en 1925 et dépose un brevet y relatif le 12 juin 1935. Ce dernier sera enregistré le 16 juin 1936 : une première mondiale. Le flyback offre notamment aux pilotes un dispositif pratique et rapide pour chronométrer successivement différentes étapes de vol et faciliter ainsi la navigation.

La montre automatique Pierre Lannier modèle Hector en acier noir de forme Tonneau. Le fond et le bracelet en acier noir.

La Marinemaster est la collection phare de Seiko dans cette catégorie, équipée d’un mouvement robuste et performant de haute précision, conçu exclusivement pour les montres de plongée. Chaque montre renferme le calibre automatique Seiko 6L37, le premier mouvement de la famille 6L, développé spécifiquement pour répondre aux exigences de la plongée tout en présentant un profil agréablement fin et un haut niveau de confort au poignet.

Maurice Lacroix a revisité et actualisé l’AIKON Quartz d’origine, en proposant quatre nouvelles références de 35 mm et en dévoilant une nouvelle montre bicolore logée dans un boîtier de 40 mm.
Ce modèle, logé dans un boîtier en acier inoxydable de 35 mm, est étanche jusqu’à 100 m, et des aiguilles luminescentes. Son aiguille centrale des secondes et son guichet de date à 3 heures complètent ses fonctions. La montre est disponible au choix sur un bracelet en acier inoxydable à 5 rangs ou sur un bracelet en caoutchouc blanc orné du logo « M ». Fidèle aux autres modèles AIKON, la montre
est dotée du système de changement facile du bracelet qui permet au porteur de changer de bracelet sans avoir besoin d’outils.


En 2023, LIP veut renouer avec son histoire en offrant un modèle de rupture qui, pour la première fois depuis plusieurs décennies pour la marque, renoue avec la tradition des mouvements franco-suisses. La nouvelle Nautic 3 est équipée de la version française du mouvement suisse G100 de la manufacture La Joux – Perret, entièrement monté à Besançon dont la soudure de l’organe réglant, une première depuis 40 ans en France. Ce mouvement de dernière génération évolue à la fréquence optimale de 28800 alt/h avec une réserve de marche de 68h soit près de 3 jours. Ce nouveau mouvement haut de gamme bénéficie du plus haut degré de finition disponible avec Côte de Genève, biseau diamanté et vis bleuies.

G-SHOCK dévoile sa nouvelle MR-G inspirée d’un casque Kabuto conçue spécialement pour son 40ème anniversaire, en édition limitée à 700 pièces dans le monde.


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MONSIEUR DE CHANEL : TOURBILLON METEORITE

MONSIEUR DE CHANEL est imaginé comme un cadre de tableau où le boîtier en céramique noire met en lumière les deux éléments singuliers de la montre. Le lion, signe astrologique de Gabrielle Chanel, et emblème de la Maison, est logé au cœur de la cage de tourbillon et tourne sur lui-même au rythme des secondes. Le cadran météorite, fragment minéral, fait de chaque pièce un modèle unique. Pour la première fois, la montre MONSIEUR abrite un mouvement tourbillon volant, le Calibre 5.1, conçu et assemblé par les ateliers de la Manufacture de CHANEL.

Fidèle à son idée d’exception la maison CHANEL propose la montre MONSIEUR DE CHANEL – TOURBILLON METEORITE en série limitée éditée à 55 exemplaires. La boîte d’un diamètre de 42 mm et la lunette sont réalisées en céramique haute résistance noire mate et acier avec une étanchéité de 30 m de profondeur. Le fond, lui, est en saphir avec mention « LIMITED TO 55 ». Le cadran ajouré est fabriqué en météorite. La cage de tourbillon est sertie d’une plaque à décor de tête de lion et la couronne est en acier.
La montre Monsieur de Chanel est dotée d’un bracelet en nylon noir avec ganse et doublure en cuir de veau noir, et d’une boucle triple déployante en acier.


La MONSIEUR DE CHANEL est équipée pour la première fois d’un calibre 5.1 à mouvement mécanique à remontage manuel de la Manufacture CHANEL avec une réserve de marche : ~72 heures et les fonctions habituelles que sont les heures, les minutes, et les secondes.
Cette montre présente un mouvement à complications : le tourbillon volant comportant en son sein l’emblème du lion si chère à Coco Chanel.
Inspirée par l’idée du voyage dans le temps, du voyage dans l’univers, la collection Interstellar prouve avec le modèle MONSIEUR DE CHANEL, que cette montre est le symbole parfait de l’intemporalité, ce qui est un comble pour un garde temps.

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Montres : Toutes, terriblement !

Montres, on vous aime ! Quatrième jour de ce marathon horloger. Découvrez les modèles qui nous ont fait tourner la tête !

ALPINA 

Presque vingt ans après son lancement par la manufacture horlogère suisse Alpina, la ligne emblématique Extreme inaugure un nouveau design en 2022. La nouvelle Alpiner Extreme Automatic ne laisse pas indifférent. Plus nerveux, compact et moderne par son diamètre réduit à 41×42.5mm, le boîtier coussin arbore un cadran fonctionnel dont les trois aiguilles et la date se détachent sur un fond bleu, noir ou vert. Une réponse adaptée aux mœurs, où chacun peut exercer un métier en ville mais avoir pour passion la montagne et les sports extrêmes.

 

Girard-Perregaux

Voici la Tourbillon with Three Flying Bridges Bucherer BLUE, un garde-temps célébrant la virtuosité de Girard-Perregaux à travers une perspective “BLUE”. Le mouvement Tourbillon à Trois Ponts est considéré comme le plus ancien mouvement horloger au monde encore en production. Il reflète la capacité de Girard-Perregaux à réinventer la tradition d’hier pour les connaisseurs des montres d’aujourd’hui.

Audemars Piguet

Audemars Piguet est heureux de révéler son nouveau modèle Code 11.59 by Audemars Piguet Tourbillon Volant Automatique paré d’un cadran en onyx noir. Arborant une esthétique bicolore, ce garde-temps allie céramique noire et or gris 18 carats, pour un contraste à la fois sobre et puissant. Le mélange de pierre naturelle et de métaux tantôt précieux, tantôt high-tech renforce l’identité créative de la collection.

 

Frédérique Constant

Dotée à 6h de la célèbre ouverture Heart Beat et affichant un classicisme revendiqué, la Classics Heart Beat Manufacture dévoile aujourd’hui un visage inédit. Refonte d’une pièce culte de la Maison, celle qui ouvrit l’ère des mouvements Manufacture chez Frédérique Constant, cette montre arbore un nouveau cadran présenté dans une nouvelle boîte de 39 mm, l’ensemble étant rythmé par le calibre Manufacture automatique FC-930-3, fier descendant du calibre FC-910, premier mouvement développé en interne en 2004. Deux éditions limitées sont proposées : l’une en or rose 18K limitée à 93 montres, et l’autre en acier éditée à 930 exemplaires.

Krayon

Krayon célèbre l’esprit aventurier à travers la montre Anywhere Métiers d’Art Azur, un garde-temps destiné à séduire les collectionneurs et amateurs de raffinements rares, à la recherche d’une complication singulière, l’indication des levers et couchers du soleil, au lieu précis choisi par le client partout dans le monde. Si l’hyper-complication, éphéméride sur-mesure reliée intimement à son porteur, se distingue par son ingéniosité, la finesse de son cadran reprend les techniques de peinture miniature des maîtres émailleurs de jadis. Les courbes du boîtier et l’harmonie contemporaine de l’ensemble en font un élégant garde-temps qui démontre tout le savoir-faire de l’horloger suisse indépendant.

OMEGA 

Speedmaster ‘57 – Bienvenue en 1957. Cette réinterprétation d’un grand classique de la Maison nous replace au début de l’histoire Speedmaster. Avec son boîtier de 40,5 mm, la montre s’inspire du modèle d’origine créé il y a précisément 65 ans et alors révolutionnaire. Elle arbore notamment des finitions caractéristiques telles que les aiguilles « Broad Arrow » et l’échelle tachymétrique sur une lunette satinée. OMEGA a également doté ce modèle en acier inoxydable d’un look plus épuré avec un mouvement à remontage manuel, un bracelet vintage et la certification Master Chronometer. Offrez ce garde-temps orné d’un cadran vert à une personne qui apprécie la tradition twistée d’une touche de modernité.

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Montres : Toutes, terriblement !

Montres, on vous aime ! Deuxième volet de cette semaine dédiée à l’horlogerie, découvrez les modèles qui nous ont fait tourner la tête !

Eberhard Scafograf 200 DLC Limited Edition

Édition limitée à seulement 135 exemplaires, les montres Scafograf 200 sont dotées d’un boîtier en acier avec traitement DLC® qui leur confèrent un look total black audacieux. Étanche à 200 mètres avec mouvement mécanique à remontage automatique, Scafograf 200 Limited Edition a le fond de boîtier gravé de l’étoile de mer emblème de la collection : synthèse parfaite entre passé et présent au sein d’une montre intemporelle.

U-BOAT 44MM DARKMOON

La gamme U-Boat est particulière. Le boîtier en acier inoxydable AISI 316L, entièrement rempli d’une huile spéciale qui met en valeur le cadran, créant l’illusion de l’absence de verre, et un effet optique d’un noir plus intense et une meilleure lisibilité. Bulle d’air visible sur le cadran pour compenser les variations de température.

CITIZEN C7

La nouvelle collection CITIZEN C7 rend hommage à l’esthétique classique du modèle original de 1965. Déclinée en 4 nouvelles montres, cette nouveauté dispose de quelques touches modernes: un boîtier de 40 mm, alors que les anciens modèles étaient de 36 mm, ainsi qu’un fond de boîtier en verre.

Oris Aquis Date Upcycle

Issue du recyclage des plastiques de l’océan, l’Oris Aquis Date Upcycle est disponible en 41,5 mm et en 36,5 mm toutes deux dotées de cadrans en plastique recyclé provenant de l’océan. Chaque montre est unique, car le processus de recyclage du plastique produit des motifs aléatoires il n’existe pas deux cadrans identiques.

PIERRE LANNIER


Modèle 334B126 de la collection Automatique TRIO. Modèle automatique à cœur ouvert, au boîtier, lunette, cornes, couronne en acier 316L argenté Index et aiguilles en acier argenté. Cadran blanc . Bracelet en cuir point sellier bleu . Diamètre 42mm. Étanche 50 mètres. Largeur bracelet 20mm.

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Montres : Toutes, terriblement !

Montres, on vous aime ! Premier volet de cette semaine dédiée à l’horlogerie, découvrez les modèles qui nous ont fait tourner la tête !

Alpina – Alpiner Extreme Regulator Automatic :

Modèle de montre phare révélé en 2005, l’Alpiner Extreme Regulator Automatic revient, aujourd’hui, sous un nouveau jour dans la collection de la manufacture horlogère suisse Alpina. Distinctive par son affichage dissocié des heures, minutes et secondes, elle arbore, pour la première fois, un boîtier au diamètre plus compact (41 mm) paré aux conditions les plus extrêmes, tel que son nom l’indique. Toujours rythmé par le calibre automatique AL-650, ce garde-temps racé au cadran exclusif est édité en série limitée à 888 exemplaires.

Daniel Wellington :

L’Iconic Link Automatic est une montre dotée d’un mouvement à remontage automatique, alimenté par le mouvement de votre poignet. Le cadran noir lumineux est doté d’index et d’aiguilles qui brillent dans le noir, d’un affichage de la date agrandi et est étanche jusqu’à 100 mètres. Verre saphir résistant aux rayures à l’avant et à l’arrière de la montre, avec un fond de boîtier d’exposition qui expose le mouvement automatique à l’intérieur.

DOXA Army :

DOXA lance la montre DOXA Army en acier en version non limitée. Un modèle très attendu par toute la communauté DOXA. La DOXA Army en acier est déclinée en deux versions de lunette, pour la première fois en bronze avec insert en céramique hunter green ou en acier avec insert en céramique noir.

Philippe Plein Skull :

La montre Skull de Philippe Plein. Boîtier acier noir brillant de 44 mm avec un cadran noir et une tête de mort or au centre. Le bracelet est en silicone noire.

HERBELIN – Newport Carbone Titane

HERBELIN a conçu pour la Route du Rhum un garde-temps automatique paré contre les situations les plus extrêmes : la Newport Carbone Titane.
Edité en série limitée à 500 exemplaires numérotés, cette montre chronographe doté d’une fonction compte à rebours de régate promet d’être un coéquipier fiable sur qui compter pour repousser les limites du possible et donner l’envie de réaliser les rêves les plus audacieux. Bon vent à ce bolide de course high tech par ses matériaux, horloger par ses fonctions, racé par son design.

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Longines Record Héritage Chronographe

Longines se réinvente encore et toujours au cours de l’année de son 190e anniversaire : un design à l’esthétique vintage enrichit désormais la collection RECORD de son premier chronographe tachymètre. 

Résolument classique, la collection Record est emblématique du savoir-faire horloger de la marque au sablier ailé. A travers cette ligne, Longines exprime toute son essence, faite d’élégance intemporelle et d’excellence. Aujourd’hui, les horlogers de la marque passés maîtres dans la mesure du temps, enrichissent cette collection d’un nouveau chronographe tachymètre qui se distingue par son esthétisme vintage.

 

Les atouts du nouveau chronographe Record :

La Record Heritage se loge dans un boîtier sobre en acier inoxydable de forme ronde. Il affiche 40 mm de diamètre et à peine 13,80 mm d’épaisseur.

La lunette, polie et légèrement biseautée, enserre la glace saphir doucement bombée, recouverte de multiples couches de revêtement anti-reflets. Le cadran noir mat est orné d’élégants chiffres arabes dorés et d’index fins.

L’absence de guichet de date met en valeur le cadran des petites secondes, placé à 3 heures, et celui du compteur des 30 minutes, disposé à 9 heures. L’échelle tachymétrique est positionnée sur l’extérieur du cadran pour une meilleure visibilité.

Un balancier spiral en silicium anime un mouvement exclusif Longines, résistant au magnétisme. Gage de précision et de fiabilité, ce calibre est certifié chronomètre par le COSC. Un balancier spiral en silicium anime un mouvement exclusif Longines, résistant au magnétisme. Gage de précision et de fiabilité, ce calibre est certifié chronomètre par le COSC. Visible à travers le fond transparent du boîtier, il donne vie aux aiguilles feuilles dorées, fines et discrètes.

Déjà sublimé par ces caractéristiques esthétiques, l’esprit vintage de la Record Heritage est renforcé par la finesse de ses poussoirs rectangulaires. Premier chronographe de la collection Record, ce nouveau garde-temps se porte avec un bracelet en acier inoxydable ou en cuir brun surpiqué d’une couture écrue. Le style élégant, les finitions soignées et l’excellence technique de la Record Heritage font qu’elle ornera aussi bien un poignet féminin que masculin. Alors, êtes-vous prêt à mesurer le temps vous aussi ? 

 

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Jaeger-Lecoultre: LA REVERSO « HOKUSAI »

Jaeger-LeCoultre célèbre les échanges culturels entre l’Asie et l’Europe qui influencent profondément l’art oriental et occidental, des arts plastiques aux arts du spectacle, mais aussi les techniques de production des textiles, du verre ou encore de la céramique, depuis près de deux millénaires. Un dialogue dans lequel s’est inscrit Jaeger-LeCoultre depuis les premiers pas de la Manufacture et tout au long de son histoire. Pour les 90 ans de la Reverso, la Maison célèbre cette éternelle conversation culturelle à travers une superbe nouvelle montre: LA REVERSO TRIBUTE ENAMEL HOKUSAI « CASCADE DE KIRIFURI ».

Reverso Tribute Enamel Hokusai Waterfall

Alliant le savoir-faire européen à l’art japonais, la peinture miniature en émail sur le verso du boîtier met à l’honneur l’art oriental avec une fidèle reproduction de la célèbre estampe japonaise La Cascade de Kirifuri, réalisée par Katsushika Hokusai au début des années 1830. La Cascade de Kirifuri fait partie de la série Tour des chutes d’eau des différentes provinces, huit estampes représentant les cascades visitées par l’artiste entre 1831 et 1833 dans différentes régions de l’île principale du Japon, Honshu.
Incarnation de la créativité de la Grande Maison et de sa vision du monde de l’art et de la culture, ce nouveau garde-temps témoigne du talent et du savoir-faire des artisans de l’Atelier des Métiers Rares®, implanté au coeur de la Manufacture Jaeger-LeCoultre.

Reverso Tribute Hokusai
2020 Novelty

Processus soigneusement orchestré, la décoration de la montre a présenté de nombreux défis bien spécifiques, à commencer par le fond du boîtier. Il a fallu reproduire une oeuvre mesurant 37 x 24,5 cm sur une surface équivalant à un peu plus d’un dixième de l’originale, tout en capturant chaque détail à l’échelle, y compris les minuscules spectateurs au pied de la cascade.
Pour révéler toute la puissance et la beauté de l’eau qui jaillit de la montagne et plonge 100 mètres plus bas, Hokusai a fait preuve d’un sens de la perspective plus aiguisé et d’une plus grande maîtrise des couleurs vives pour La Cascade de Kirifuri que pour ses oeuvres précédentes. L’émailleuse a dû non seulement imiter ces caractéristiques à la perfection mais aussi reproduire les effets de la technique de l’estampe, bien spécifique et très différente de l’émaillage. L’une des principales difficultés tient au fait que les estampes multicolores nécessitent l’utilisation successive de plusieurs blocs de bois qui permettent chacun d’appliquer une couleur différente ; mais aussi à la reproduction de la technique bokashi qui permet de créer des nuances subtiles et dégradées. Pour que l’illusion soit parfaite, la maître émailleur Jaeger-LeCoultre a dû inventer sa propre technique.

Reverso Tribute Enamel Hokusai Waterfall

La simplicité du cadran de la Reverso Tribute, avec ses index appliqués facettés et ses aiguilles Dauphine, met en exergue la beauté de son décor. Écho artistique à la peinture miniature qui orne le fond, le cadran présente un motif guilloché ondulant très original évoquant les mouvements de l’eau. Réalisé à la main à l’aide d’un tour vieux d’un siècle auquel a été attachée une came spéciale pour réaliser ce motif particulier, l’effet visuel des vagues est amplifié par plusieurs couches d’émail Grand Feu translucide de couleur vert pâle, parfaitement assorti à un détail de la peinture au verso.

Reverso Tribute Hokusai
2020 Novelty

Après plusieurs cuissons pour solidifier les différentes couches d’émail, le dernier défi a été l’application minutieuse des index (qui nécessitent le perçage de minuscules trous à travers la surface lisse de l’émail) et le décalquage de la minuterie chemin de fer.
Comme pour tous les travaux en émail, la cuisson peut modifier les couleurs de façon imprévisible. Ainsi, pour le recto comme le verso de la Reverso Tribute Enamel Hokusai, de nombreuses heures de recherches et de tests ont été nécessaires pour que la couleur du cadran soit exactement identique à celle de la peinture au dos et que celle-ci soit elle-même fidèle aux couleurs originales utilisées par Hokusai. En plus de ces heures de recherches, près de cinq heures de travail ont été consacrées exclusivement au guillochage et huit à l’application des couches d’émail vert translucide. Enfin, ce sont plus de 70 heures de travail qui ont été requises uniquement pour la peinture du chef-d’oeuvre représenté en miniature sur le fond du boîtier.

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