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Exposition Paolo Roversi au Palais Galliera

L’exposition Paolo Roversi au Palais Galliera dévoile 50 ans de photographies, et révèle
comment l’artiste s’est emparé de la mode pour créer une œuvre unique. Il s’agit de la
première monographie consacrée au photographe à Paris, sous sa propre direction artistique, épaulé par Sylvie Lécallier, chargée de la collection photographique.


D’origine italienne, né à Ravenne, Paolo Roversi s’installe à Paris en 1973. Sa carrière est marquée
par sa collaboration avec les plus grands créateurs de mode, notamment Yohji Yamamoto,
Romeo Gigli, Rei Kawakubo pour Comme des Garçons.

Sasha, Yohji Yamamoto, Paris, 1985.


Dès ses années d’apprentissage, le choix du studio, de la chambre grand format et du Polaroid,
définissent la manière de travailler et l’esthétique du photographe qui s’adapte au numérique
avec succès. Sa signature est reconnaissable entre toutes : tonalités douces et sépia des noir
et blanc à la lumière du jour, densité et profondeur des couleurs à la lumière de la lampe torche.

Sihana Shalaj, Comme des Garçons, Paris, 2023


Au fil des années, Paolo Roversi cherche, invente son propre langage photographique,
accueillant les hasards et les accidents comme des opportunités de se renouveler. Depuis, il travaille pour des magazines prestigieux (Vogue italien et français, Egoïste, Luncheon…).

Tami, Dior AH 1949, Paris, 2016


Les plus grands mannequins sont passés devant son objectif. Elles posent toujours avec
simplicité; leur présence est intense. Chacune de ses photographies de mode est un portrait.
Paolo Roversi se tient à la fois au cœur du système et à distance, loin des courants éphémères
de la mode. À la recherche de la beauté, il construit une œuvre singulière sur laquelle le temps
n’a pas prise.

Autoportrait Paolo Roversi 2020


Cette exposition qui réunit 140 oeuvres dont des images inédites, des tirages Polaroid, des
archives (magazines, catalogues…) dévoile le parcours professionnel et artistique d’un
photographe de mode exceptionnel. Entraînant le visiteur de l’ombre vers la lumière, la
scénographie fait du Palais Galliera le studio de l’artiste, un espace imaginaire, le théâtre de
tous les possibles.

Palais Galliera, musée de la Mode
de Paris

10, Avenue Pierre Ier de Serbie, Paris 16e arrondissement
Horaires
Mardi à dimanche de 10h à 18h – Nocturne les jeudis jusqu’à 21h
Fermé les lundis
Tarifs
Billet solo : 12€ (tarif plein) – 10€ (tarif réduit) – gratuit – de 18 ans
Réservation recommandée
www.billetterie-parismusees.paris.fr
Pour venir au musée
En métro : ligne 9, Iéna ou Alma-Marceau
En RER : ligne C, Pont de l’Alma

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ArchivesLifestyleMagazine

La Plagne 2020: la Team Blake fait du ski!

La Plagne 1800 a accueillit la team Blake pour tester différents produits : snow, ski et bien d’autres plaisirs montagnards. Nous avons eu de la chance cette année car de belles chutes de neiges nous ont offert des pistes pleines de poudreuses avec un soleil presque toujours au rendez-vous, malgré des températures négatives.

La Plagne est connue pour son domaine skiable gigantesque. Des centaines de kilomètres de pistes, traversant forêts, dolines, glaciers… Avec Paradiski c’est 425 km de pistes dont 70% au-dessus de 2000 m d’altitude, le champ des possibles est infini. Nous vous conseillons l’application Yuge qui vous permet de skier connectés. Il ne vous reste plus qu’à débusquer les 18 zones ludiques, challenger vos amis sur une descente (vous pouvez connaître vos temps et vitesses) et prendre un selfie ‘in the air’, sur les télésièges.

Cette année nous avons axés nos tests snow, ski et équipements sur la marque française Salomon qui fait partie des grands leaders mondiaux du marché. Et les dernières planches de snow (ici Atmos et Speedway), fixes (les highlanders), ski (S Force 11) et habillements techniques de Salomon prouvent une nouvelle fois que les français savent faire des équipements haut de gamme et performants pour la montagne.

Les snow : 1-Speedway 160 : Bon on ne va pas se le cacher, la planche est vraiment très classe avec sa livrée noir glossy. En comportement la Speedway n’est jamais piégeuse, elle permet d’envoyer fort sans avoir à craindre un « pop » intempestif en milieu de courbe par exemple. La mise sur les carres est progressive et propre. Sans être fatigante non plus, il faut tout de même un certain physique pour l’appuyer dans les courbes. Moyennant cela, la planche est un rail et envoie de virage en virage sans sourciller. La tenue à haute vitesse est tout à cette image, très stable et confortable. La Speedway 160 ne bouge pas et les vibrations sont très bien absorbées. Plus vendu pour un aspect poudreuse, le « backseat camber » (cambre sous le pied arrière et plat à l’avant) permet aussi de passer dans des parties plus techniques ou des champs de bosses remplis de monde avec une grande aisance. La partie arrière reste accrocheuse pour diriger la board tandis que l’avant se laisse glisser et guider aisément entre les bosses et les autres touris….riders. Cette sensation est très agréable et même surprenante au vu du programme de la board. Faite pour l’attaque oui, mais la polyvalence pour des journées entière en station n’est donc pas sacrifiée pour autant. A plus faible allure néanmoins la Speedway peut sembler manquer de caractère, elle devient joueuse et attachante à plus vive allure. La Speedway est vraiment bien nommée et ne ment pas sur son programme, une bonne planche pour envoyer du lourd en vitesse tout en restant assez maniable dans les zones techniques ou encombrées. Seul un manque de fun à faible vitesse est donc à noter.

 2-Asmö : Les premières pistes avec cette board vous donneront le ton: une réactivité exceptionnelle doublée d’une mise en care agile, souple et accrocheuse. Elle demande à pousser tant elle vous met à l’aise sur l’angle et les relances et pourrait de ce fait défier les meilleurs « carveuses ». La surprise vient ensuite de la polyvalence de son Rock Out Camber qui permet un pop en ollie incroyable, pour une expérience en parc des plus détonante et des sensations garanties. Une All-Mountain freeride qui prend tout son sens quand vient l’heure de la poudreuse où elle ne peut cacher son aisance. La déjauge est naturelle et facile grâce à sa très bonne portance et son camber. Clairement adaptée au backcountry freestyle, ce surf ravira la plupart des snowboarders quelque soient les conditions et leur style. Ce snowboard semple donc destinée à un public averti avec un niveau confirmé, à la recherche d’une grande polyvalence en tous types de conditions.

3-Les fixations Salomon Highlander Black : elles s’accordent parfaitement au programme de ce surf. En effet les straps souple permettent un excellent maintien et s’adaptent parfaitement aux chaussures. La légèreté de leur construction et plus particulièrement du spoiler offre un dynamisme naturel et une bonne flexibilité. La semelle quant à elle est inclinée avec un rembourrage Vibe, se qui procure beaucoup de confort et d’absorption. Des fixations toniques donc, clairement créées pour des riders confirmés qui souhaitent se lâcher aussi bien en freeride, sur piste ou en parc.

4-Ski S/Force 11 : c’est un ski dynamique et stable pour les skieurs d’un bon niveau qui permet d’envoyer de la puissance. Bien que accès utilisation piste sa polyvalence est très appréciable lorsque les conditions ne sont pas parfaites ou même dans la poudreuse où il s’en sort correctement. Mais son domaine de prédilection est le quart bien tranchant, on prend plaisir à tailler de belle courbe sur les pistes peut importe la neige ou les plaques de verglas. Associés aux chaussures Salomon S/PRO 100, les performances sont là. Les chaussures légères, très facile à enfiler, bien rigides et réactives sur pistes font le combo parfait. Leurs chaussons sans coutures sont idéals car ils offrent un confort sans aucun points de pressions désagréables et l’option thermo-formée est juste parfaite.

5-La veste Salomon QST GUARD JKT NIGHT SKYS pourvu des membranes AdvancedSkin Dry et AdvancedSkin Warm et l’alié parfait pour que vous soyez au sec et au chaud peu importe le temps. Il a toutes les poches indispensables qui garderont au sec vos forfaits et autres écouteurs, peau de chamois et téléphone et le pantalon Salomon FANTASY PANT NIGHT SKY, avec sa coupe un peu baggy il a un style plus jeune et décontracté et pour ma part j’aime ce type de coupe pour skier cela permet plus d’aisance. Les membranes AdvancedSkin Dry et AdvancedSkin Warm sont le duo parfait pour protection du froid et des intempéries pluie / neige. Le temps variable de cette semaine de test nous a permis d’éprouver la résistance et l’efficacité des technologies Salomon, nous sommes conquis. Le masque Salomon XT ONE SIGMA GreyNeon/Uni SkyB, qui fait partie du haut de gamme de la marque offre une superbe champ de vision bien large. Son écran multicouche bleu permet de supporter les variations météo tout en gardant une lecture des pistes correcte.

Sur les pistes entre deux rides afin de nous booster nous avions la joie de découvrir les nouvelles saveurs créées par la marque de bonbons Not guilty, une marque sans gélatine animale et que des ingrédients bio, si si c’est possible. Et bien on se fait plaisir en se faisant du « bien » et le p’tit shoot de sucre pour repartir sur le bon pied se fait sans culpabilité. Que ce soit litchi, pamplemousse, framboise ou citron vert les saveurs sont bien là. Mais notre petite blague du séjour fut de déguster avec modération Aurouze un Génépi fait à Paris, un comble de montagnard ça non? Et bien là les parisien ont fait un super boulot. Ce génépi très florale et légèrement suave se boit sans ressentir le côté éthéré de certain alcool fort et offre une expérience gustative nouvelle pour un Génépi.

 Si chaque jour était destiné aux tests consciencieux du matériel nous n’en oublions pas tout de même nos rituels soins du matin. Pour cela nous étions accompagnés de la marque Archiman, car bien hydrater sa peau en altitude c’est juste nécessaire surtout avec les températures négatives que nous avons eu. Archiman a pour politique 95% de produits naturels et 0% d’ingrédients controversés et pour causes, aucune traces donc de silicone, paraben, phtalate et j’en passe. Résultat des produits bien pensés, qui sont extrêmement agréable à utiliser, avec des senteurs naturels délicates, végétales et masculines. Petit plus le packaging est beau et pratique.

 A la fermeture des pistes nous prenions le temps d’arpenter la station et de découvrir les activités que cette dernière offre. Pour cela quoi de mieux qu’une tenue chaude et appropriée pour la circonstance. Pour ce faire Vuarnet a lancé une ligne Urbanwear pour homme et femme. Riche de leur expérience en vêtement de ski, Vuarnet offre une gamme Urban très adaptée à la montagne.

Le style est sport et décontracté, et bien chaud. Les lunettes de soleil de chez Vuarnet sont idéales pour la montagnes. Leurs formes très sport vous protégeant ainsi du vent et des flocons de neige. Le choix des différentes teintes de verres permet de faire face au soleil comme au temps brumeux. D’ailleurs pour ceux qui n’aiment pas les masques, les lunettes sont profilées de manière à bien coller le visage et peuvent être portées sur les pistes sans aucun soucis.

SPA DEEP NATURE LA PLAGNE : une bulle cocooning.

La belle est incroyable surprise de ce séjour c’est la présence d’un Spa DEEP NATURE à la Plagne. Imaginez 1500 mètres carrés d’espace dédiés au bien être. Des piscines chaudes extérieure et des jacuzzi pour se baigner sous les flocons, des saunas de différentes températures, un hammam, des bains nordiques qui avec les fortes tombées de neige durant notre séjour prirent pleinement leur sens. Évidemment le spa possède un espace dédié aux soins avec des cabines solo ou pour deux personnes. Lydie Garcia la spa manager est entourée d’une équipe discrète et très professionnelle qui dispense des soins visage, corps ou encore des massages de qualités.

Elles utilisent les produits de la gamme Deep Nature, qui va chercher ses composants aux 4 coins du monde (Islande, Polynésie,…) pour nous offrir les meilleurs produits pour notre peau. Et j’ai testé un soin de visage et je vous assure que les produits de cette marque sont très bien adaptés à la peau des hommes. Une adresse à ne pas louper pour vous relaxer après des journées intenses sur les pistes. Nous fûmes conquis.

Première activité hors piste à ne pas louper à La Plagne c’est la descente en bobsleigh sur la piste des JO. La seule piste de Bobsleigh en France !. Un moment historique, unique et avec de fortes sensations. Ce qui est certain c’est qu’il ne faut pas louper la descente que ce soit en bob ou en skeleton. Elle vous procurera des frissons à plus de 80 voir 120 km par heure. Nous on a adoré.

Pour les moins téméraires il y a sur les pistes une descente réservée à la luge. Vous pourrez vous élancer en équipe pour une folle course digne de Mario kart, pas toujours très contrôlée mais qui vous fera vivre un moment de franche rigolade avec vos amis.

Tout au long de ce séjour et pour désaltérer nos riders/testeurs nous avions une panoplie de bières, riche en saveurs, de la brasserie Lagunitas. Une brasserie américaine qui garde à cœur de faire des brassins de bières authentiques et toujours de qualités malgré le volume important de leur production.

Que ce soit leur maintenant grand classique IPA, la Maximus une IPA plus forte ou le daytime (plus proche d’une session legerment sour) et la récente Little sumpin, Lagunitas est une bière de plaisir et de partage.

 Lors de nos divers repas du soir nous avons découvert que MADRANGE proposait une gamme boucherie. Dans cette gamme boucherie, il existe une offre parfaite pour les fins de journée éreintante de ski et de snow : des plats à assembler. Un filet mignon de porc aux deux moutardes tout prêt à enfourner et dont il suffit de napper de la sauce qui l’accompagne. Il en résulte un plat savoureux et tendre qui fut salvateur après l’effort.

Nous avions la chance d’avoir des artisans couteliers de Fontainbleau qui nous avaient créé des lames pour nous accompagner dans notre séjour. Une belle lame d’artisan c’est toujours un plaisir à utiliser. Ces couteaux sont des pièces uniques, entièrement fait main et dont les lames sont toutes plus exceptionnelles les unes que les autres : damassées, japonaises, ou acier.

On peut choisir ses finition de manche et assembler la lame que l’on souhaite avec. La réalisation soignée de ces lames en fait des objets d’exceptions.

 Pour finir le séjour nous sommes parti de nuit dans la montagne sur un chemin balisé de lumières afin de rejoindre le village igloo. Une marche d’une vingtaine de minute sur une piste damée ou pas, l’on atteint les igloos où l’on peut dîner et même dormir. Durant cette marche j’étais d’ailleurs bien heureux de porter les chaussures de rando et running Salomon SNOWCROSS ADVANCED; ces chaussures sont tout bonnement extraordinaire et je pèse mes mots. Elles montent jusqu’au dessus de la malléole, assurant ainsi une étanchéité même quand votre pied s’enfonce dans la neige fraîche. La fermeture à glissière à l’empeigne est totalement snow proof. La matière Contagrip® en caoutchouc de la semelle offre une adhérence sans pareil dans la neige et même sur le verglas. Et comble du bonheur elles vous tiennent le pied au chaud ! Si vous allez dans la neige pour marcher, courir, regarder les étoiles ou même faire vos courses, ces chaussures sont idéales.

Pour revenir au village igloo et son repas sachez que vous pourrez y déguster une fondue, assis sur des peaux de bêtes. L’expérience est conviviale et surprenante. Petit conseil personnel ce repas de fromage s’accompagne merveilleusement de Gewurztraminer de 2016, nous avions choisi celui de la Cave de Turckheim, aux saveurs de rose, mais aussi litchi explosif tout en étant délicat et fin. Sa sucrosité ronde et élégante accompagne parfaitement cette fondue de fromages puissante en goûts.

Un séjour excitant, exaltant plein de « popo » et de belles découvertes ! La Plagne ça vous gagne 😉

 

 

 

 

 

 

Article écrit par Adrien Barthou, Alexis Dumétier et Maxence Manasterski

Merci à Véronique et Marine de Salomon et à Séverine et Claire de la Plagne.

www.salomon.com

www.lescouteliersdefontainebleau.fr

www.cave-turckheim.com

www.lagunitas.com

www.la-plagne.com

www.deepnature.fr

 

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ArchivesBlogEditoLifestyleMagazine

ICÔNITÉ – Marc-Antoine Coulon

Pour sa première collaboration au sein de la mystique Secret Gallery, TheFrenchArtDealeuses vous envoûtera avec, ICÔNITÉ, l’exposition qui souhaite mettre en lumière une sélection d’icônes qui ont marqué notre imaginaire collectif et traversé le temps.

Pour cela, ICÔNITÉ, confrontera subtilement les illustrations raffinées et colorées de l’artiste français Marc-Antoine Coulon, à certaines photographies iconiques de Fabien Mara, Ellen Von Unwerth, Thierry le Gouès, Bert Stern, Gilles Bensimon, Philippe Robert, Arno Bani, Michel Haddi ou Dominique Tarlé…

Marc-Antoine Coulon a vivement participé au regain de l’illustration contemporaine. Il est aujourd’hui devenu une référence dans le monde de la mode. Effectivement, son travail à mi-chemin entre René Gruau et Antonio Lopez a su séduire de nombreux magazines tels que Vogue, Madame Figaro, Vanity Fair, et votre magazine Blake.

Marc-Antoine Coulon a le don pour saisir un regard, une attitude et magnifier son modèle sans jamais le dénaturer. Son crayon caresse le modèle tout en sachant garder une certaine distance. Il a fait du « glamour » son maître-mot.

Lesdites illustrations se retrouveront alors en dualité face à la sélection de photographies ancrées dans l’histoire. Si ces photographes possèdent tous une esthétique qui leur est propre, c’est leur talent qui les réuni aujourd’hui. Certaines icônes les ont inspirés, et grâce à leur génie, ils ont réussi à les sublimer.

Ces représentations icôniques seront alors rythmées par les designs emblématiques de l’architecte et designer français Reda Amalou. Des créations d’où émanent une sensualité certaine et qui feront directement écho aux quatre-vingts œuvres exposées.

ICÔNITÉ, c’est donc l’occasion unique de mêler l’illustration à la photographie, tout en redécouvrant certaines icônes intemporelles. Ces différents artistes aujourd’hui réunis à la Secret Gallery, dévoileront alors leur point de vue personnel sur ces personnalités, qui ne cessent de les inspirer.

C’est cette authenticité qui fera toute la force de l’exposition ICÔNITÉ, qui enchantera la Secret Gallery jusqu’au 21 juillet.

Secret Gallery – 19, Rue de Varenne, 75007 Paris
Métro Ligne 12 – Rue du Bac ou Sèvres Babylone
Parking Le Bon Marché
Ouvert tous les jours de 11h à 19h

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The Blake Fashion Week Party / VIP ROOM Paris

Retrouvez toutes les photos de la soirée Blake Magazine au VIP Room Paris le 27 juin 2015 lors de la dernière Fashion Week homme.

N’hésitez pas à reprendre et à taguer votre nom sur les réseaux sociaux, et si vous avez des photos inédites, envoyez les à: contact@blakemag.com afin que nous les ajoutions à la galerie.

Nous vous donnons rendez-vous cet automne pour une prochaine soirée.

 

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ELEVENPARIS & BAPTISTE GIABICONI

ELEVENPARIS collabore avec l’un des modèles les plus en vue du moment, Baptiste Giabiconi, sous l’objectif de Karl Lagerfeld.

Client et fan de ELEVENPARIS depuis des années, Baptiste Giabiconi rêvait de réaliser sa propre ligne de prêt-à-porter. C’est chose faite ! La marque parisienne lui a donné carte blanche pour la création d’une ligne capsule ELEVENPARIS x GIABICONI dont le lancement est prévu le 13 mars dans les boutiques françaises et en pré-commande dès le 6 mars sur le e-shop www.elevenparis.com. Une façon pour Baptiste de fêter en grande pompe la création de son blog www.giabiconistyle.com.
Depuis qu’il a 19 ans, Baptiste est la muse de Karl Lagerfeld et défile pour Chanel, mais même également une carrière de mannequin international et pose pour Vogue à Paris ou au Japon, fait la couverture de l’Officiel , chante et voit son nombre de fans augmenter de jours en jours. Pour autant, Baptiste ne se prend pas au sérieux et c’est ce qui ressort de cette collaboration
dont la ligne directrice est l’amusement. Jamais bien loin, lorsqu’il s’agit de son petit protégé, Karl Lagerfeld a souhaité shooter lui même la campagne ELEVENPARIS x BAPTISTE GIABICONI, dans son studio parisien.
Le directeur artistique de Chanel réputé pour son sens aigu de l’autodérision et son goût pour la provocation a également souhaité s’inviter dans la nouvelle série de tee-shirts ELEVENPARIS, « FAMILY ». Il prête ainsi son nom à un tee-shirt et à un sweat-shirt « Karl is my father » , en flocage effet velours noir.
Vous allez adorer.

www.elevenparis.com

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Mario Testino. SIR.

Le mâle mis au point – Une galerie d’hommes sous l’objectif du maestro de la photographie

« La façon dont les hommes sont perçus par le monde de la photographie et de la mode,
de même que le regard que jettent les hommes sur leur propre image, ont changé au
cours des dernières années. Il existe un intérêt nouveau pour ce sujet : l’image de
l’homme, le style masculin individuel, le regard porté sur le visage et le corps du mâle. »
— Mario Testino
De Rio à Londres, de Cusco à Séville, Mario Testino est réputé pour ses chroniques de
mode et de style non-conformistes. Au fil des pages de SIR, son plus grand ouvrage à ce
jour, l’artiste de premier plan présente plus de 300 photos comme autant de
témoignages de sa quête d’une définition de la séduction masculine.

Avec un grand nombre d’oeuvres inédites tirées de ses immenses archives, ce recueil retrace l’évolution de l’identité masculine au cours des trente dernières années de la carrière de Testino. Habillement, tradition, rôle des genres, art du portrait, photojournalisme et mode s’entrechoquent dans cette étude de la masculinité déclinée dans toutes les manifestations modernes de la séduction : entre dandy et gentleman, macho et extraverti, célébrité et quidam.

Chaque photo reflète un point de vue unique et une passerelle visuelle entre l’artiste et
son modèle. Avec Josh Hartnett pour VMAN (2005), Testino évoque la descente aux
enfers de Helmut Berger dans Les Damnés de Luchino Visconti.
Dans les études de Brad Pitt, George Clooney, Jude Law et Colin Firth, la
spontanéité le dispute la curiosité. David Beckham, David Bowie, Mick Jagger et
Keith Richards incarnent le courage dont ils ont fait preuve en créant leur propre
identité et en redéfinissant l’éternel masculin. Au travers d’un kaléidoscope d’apparences, ces portraits rendent hommage à la remarquable intuition de Testino et à l’esprit de curiosité et de liberté qui le pousse à explorer les rôles, les styles et les attitudes masculines.

Mario Testino. SIR. TASCHEN, 456 pages, sous coffret métallique, 500 euros.

Édition limitée à 1 000 exemplaires, chacun numéroté et signé par Mario Testino

TASCHEN Store – 2 rue de Buci, 75006 Paris. Tél. 01 40 51 79 22

www.taschen.com

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Iconiq Photographer: Bert Stern

Bert Stern est un photographe américain né le 3 octobre 1929 à Brooklyn, New-York.

Inspiré par la mode, passionné par les femmes, i collabore avec les plus grands magazines et notamment avec le VOGUE américain dirigé à l’époque par Diana Vreeland.

Il photographie les plus beaux mannequins, les Stars de l’époque et surtout une série de photos de Marilyn Monroe, shootée pour VOGUE pendant trois jours. Ce fût un des moment de la vie du photographe qui le marqua à jamais. L’intimité qu’il partagea avec l’actrice donna quelques-uns de ses plus beaux portraits

En raison de la mort de l’actrice, Stern garda cette série dans une boite et ne la publia finalement qu’en 1992 sous le titre: Marilyn Monroe: The Complete Last Sitting.

www.bertsternmadman.com

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Richard Avedon

Richard Avedon (15 mai 1923, New York – 1er octobre 2004, San Antonio, Texas) est un photographe de mode et un portraitiste américain.
Il a réalisé un travail qui allait du reportage photo à la mode, des orphelins de Danang pendant la guerre du Viêt Nam aux portraits de Marilyn Monroe, Brigitte Bardot ou Sophia Loren. Il restera connu pour ses innombrables portraits en noir et blanc. Avedon a su faire de la photographie un art véritable après avoir initialement rencontré le succès avec la photographie de mode.
Avedon est né à New York dans une famille juive d’origine russe. Son père est un commerçant dans l’habillement. Il lui offre son premier appareil photographique à l’âge de 10 ans avec lequel il réalise le portrait de Sergueï Rachmaninov, le voisin de ses grands-parents. Sa mère assure son éveil artistique.
Après avoir brièvement fréquenté l’université de Columbia, il commence sa carrière de photographe dans la marine américaine (corps de la Merchant Marine) en 1942, en prenant des photographies d’identité des équipages avec le Rolleiflex que son père lui avait offert.
En 1944, il commence à travailler comme photographe publicitaire pour un grand magasin mais est rapidement découvert par Alexey Brodovitch, directeur artistique du magazine de mode Harper’s Bazaar et directeur d’une école de design. En 1946, Avedon créé son propre studio et fournit des photographies pour des magazines comme Vogue et Life. Il devient rapidement le directeur de la photographie de Harper’s Bazaar. Avedon s’éloigne des techniques de prise de vue de la photographie de mode, où les modèles semblent ne rien ressentir : il montre, au contraire, des modèles emplis d’émotions, en train de rire ou de sourire, et souvent, en action.
En 1966, Avedon quitte son travail chez Harper’s Bazaar et rejoint Vogue. Avedon, continue son travail de photographe de mode, mais se lance dans des travaux plus personnels: il photographie des malades internés dans des hôpitaux psychiatriques, la lutte pour les droits civiques aux États-Unis ou encore des manifestants contre la guerre du Viêt Nam.
À ce moment également, Avedon réalise deux célèbres séries de portraits des Beatles. La première, réalisée à la fin de l’année 1966 ou au début de 1967, est devenue une des premières affiches majeures du groupe et est composée de cinq portraits psychédéliques : quatre portraits individuels en couleurs fortement solarisés (solarisation des tirages par son assistant, Gideon Lewin, retouche par Bob Bishop) et un portrait de groupe en noir et blanc pris avec un Rolleiflex et un objectif Planar. L’année suivante il réalise des portraits plus retenus, inclus dans le White Album en 1968.
Avedon s’est toujours intéressé à la manière dont le portrait photographique traduit la personnalité et l’âme de son sujet. Tandis que sa réputation comme photographe allait grandissante, il amena dans un studio de nombreux visages célèbres et les photographia avec un grand format 8×10. Ses portraits se distinguent facilement par leur style minimaliste où la personne regarde directement l’objectif, en posant bien de face, sur un fond totalement blanc.
En 1974, il expose au musée d’Art Moderne de New York (MoMA) des portraits de son père rongé par un cancer.
Avedon s’est également fait remarquer par ses grands formats, parfois d’un mètre de haut ou plus. Ses portraits grand format de pêcheurs, mineurs et cow-boys du Grand 0uest américain sont devenus des livres à succès et font l’objet d’une exposition itinérante intitulée In the American West. Ces travaux sont considérés aujourd’hui comme caractéristiques de la photographie du xxe siècle et comme faisant partie des oeuvres majeures d’Avedon. Avedon, à la demande du Amon Carter Museum de Fort Worth (Texas), s’est lancé en 1979 dans un projet de six ans qui lui a permis de réaliser cent vingt-cinq portraits de gens de l’Ouest américain. Avedon a dépeint les travailleurs comme les mineurs et les ouvriers des champs pétroliers dans leurs vêtements sales, des pêcheurs au chômage et des adolescents dans l’Ouest vers 1979-1984. Quand il a, pour la première fois, publié et exposé ces oeuvres, « In the American West », a été critiqué pour avoir montré ce que d’aucuns considèrent comme une face peu flatteuse des États-Unis. Toutefois, Avedon a toujours été objet de louanges pour avoir traité ses sujets avec la même attention et la même dignité que celle habituellement accordée au pouvoir politique et aux célébrités.
Avedon devient le premier et unique photographe du New Yorker en 1992, brisant ainsi un long tabou, à la demande de Tina Brown. Il remporte de nombreux prix pour ses travaux dont celui de l’International Center of Photography en 1993, le Prix Nadar en 1994 pour son livre Evidence, et la médaille du 150e anniversaire de la Royal Photographic Society en 2003.
Parmi ses photos les plus célèbres en France, figurent celles de Yannick Noah et Isabelle Adjani en 1988 pour la revue française L’Égoïste. Il avait réalisé l’édition 1995 et 1997 du prestigieux calendrier Pirelli.
Le 25 septembre 2004, Avedon fut frappé d’une hémorragie cérébrale à San Antonio au Texas alors qu’il travaillait sur une commande du New Yorker. Il est décédé le 1er octobre à San Antonio. Au moment de son décès, Avedon travaillait sur un projet intitulé On Democracy qui portait sur les préparatifs de l’élection présidentielle américaine de 2004. Il fut exposé aux Rencontres d’Arles en 2008.
Aux États-Unis, un musée est totalement consacré à son oeuvre.

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