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Une BMW en road trip culinaire

La team Blake est partie en road trip gastronomique entre le Nord de la France et la Bourgogne avec pour véhicule le tout dernier X1 M35i xDrive de chez BMW, le SUV compact, pépite de la marque allemande.

Premier arrêt: le restaurant La Laiterie Lambersart près de Lille, tenu par le Chef Edouard Chouteau. Cette maison a 120 ans d’histoire,elle est une Institution gastronomique majeure et immanquable de la métropole lilloise, y sont passés déjà passé des chefs comme Ludovic VANTOURS (1984-2002), Steven RAMON et Benoit BERNARD (2002-2013) qui obtiendra une étoile au guide Michelin, puis Nicolas GAUTIER (2013-2017), Corentine LEDUC (2017-2019). Aujourd’hui pour Edouard Chouteau tout y est à refaire, l’étoile est à reconquérir, et il a carte blanche.

La salle de restaurant est grande, divisée en plusieurs espaces dans le L que forme La Laiterie, nous dînons dans la partie qui a le plus de hauteur sous plafond. Les tables sont bien séparées ce qui laisse une véritable intimité pour vivre le repas. Le ton principal est le blanc, une façon de mettre en lumière ce qui se passe dans l’assiette. L’équipe est complète, en salle le rythme est bon et les plats s’enchaînent en laissant le temps de discuter et d’apprécier chacun des temps du dîner. La cave, très fournie, offre des pairings riches : des grands classiques, aux natures en passant par la bière. La cuisine d’Edouard Chouteau est une cuisine française, qui sait jouer des grandes techniques classiques avec de l’inventivité et ayant à coeur d’être dans les marqueurs fort de la région mais aussi de l’AND de la maison qui était une ancienne laiterie, donc place belle aux produits laitiers, crème, fromages, beurres, …

Pour le dîner il nous est proposé 3 menus : produits d’exceptions,  végétale et terre-mer. Nous ferons une diagonale qui comprendra un mélange des 3 pour explorer au maximum les talents du Chef. Parmis les amuse bouche Edouard Chouteau revisite le grand classic moule-frite avec briaud, il aime jouer avec le Terre-mer comme avec le veau caviar, plein de peps et de saveurs mêlées et équilibrées. Dans un registre de “cuisine classique” la queue de langoustine tapée façon Gagnaire, superbe de maîtrise. Pour le végétal, l’asperge verte, concombre au barbecue et sauce tigre explose de saveurs, une véritable réussite qui mêle les influences tout en respectant les saveurs de chaque produits, pour le plus grand plaisir de nos papilles.  La sole au lard de colonnata fumé au foin avec une cuisson maîtrisée propose un terre mer subtil.

La Tourte de bœuf au foie gras achève de démontrer que Edouard Chouteau maîtrise les codes de la cuisine française. Comment finir un repas à La Laiterie sans prendre de fromages, impossible, et cela est un régal mais pour une fois je m’attarderais sur la salade et son assaisonnement, qui apporte une très belle fraîcheur, et surprend avec  ses notes de jus de viande et ses chips de pain. Comment ne pas vous parler des desserts du chef pâtissier Benjamin Caunois …surtoutcelui au miel préparé avec les miels de ruches de La Laiterie, un délice d’élégance et de saveurs sans tomber dans le trop sucré, et le baba, tout en légèreté, je sais ca peut surprendre mais on est dans l’aérien, ce qui est nécessaire pour une fin de repas.Un régal à travers toutes ces saveurs de la région Nord et de France. Edouard Chouteau montre tout son talent et son inventivité galopante. Une cuisine à découvrir et redécouvrir sur toutes les saisons.

Interview de Edouard Chouteau – La Laiterie Lambersart

Comment en êtes-vous venu à la cuisine ?

J’ai grandi dans l’hôtel de mes parents j’avais l’envie de faire comme mon père faire plaisir aux gens, il y avait quelque chose de magique dans la cuisine. Tout d’abord j’ai fait un stage chez mon oncle qui m’a dit va faire des grands restaurants j’ai alors commencé l’apprentissage en faisant des stages dans des restaurants étoilés à Lorient.

Quel a été votre parcours d’apprentissage ?

Mon premier stage c’était chez Henri et Joseph j’ai fait mon apprentissage là-bas puis au bristol avec Éric Fréchon avec une brigade de fou Henri et Joseph on était trois alors que là on était cinq il y avait Florian enfin Mario Colin Foulquier Nawel que du beau monde et puis j’ai été extra espace extra chez Paul Berger à l’Arpège, je suis passé aussi chez qui Kika d’Agosto en Espagne.  Mais ma grande envie c’était d’aller chez Gagnaire. Ensuite je suis allé à Courchevel, pusi au Balzac chez Gagnaire, J’y ai tout adoré l’équipe le matériel c’était exceptionnel. Gagnaire, vraiment, c’est super complet c’est tout ce que j’aime on ne jette rien la brigade est soudé à beaucoup de niveau il y a beaucoup de plaisir en cuisine c’est géré comme une maison de patron c’est le grand luxe beaucoup de produits incroyables tout le temps en mouvement rien de figé c’est une cuisine vivante avec du risque de l’audace et avec beaucoup d’énergie.

Après le bal après le Balzac j’ai fait le tour du monde je ne savais pas trop ce que je voulais faire je suis passé à New York je suis allé au Portugal mais aussi à Dakar il y avait une opportunité au Clarence pour rejoindre Christophe pelé en tant que sous-chef je l’ai saisi. Christophe appeler ce sont des jeux de textures incroyable et en cuisine c’est très décomplexé un festival de produits j’ai fait des services de 20 couverts dit table sans qu’une assiette ne se ressemble, Christophe appeler c’est un artiste, personne personne ne vit la cuisine comme lui.

Puis j’ai eu la direction du pavillon de la reine avec Mathieu Paco c’était une opportunité folle je n’avais jamais été chef je n’avais jamais fait d’ouverture je n’avais jamais embauché d’équipe une magnifique opportunité.

J’ai quitté le pavillon de la reine pour avoir plus d’espace pour l’opportunité de faire pleinement ce que je voulais, faire ma cuisine.

Comment êtes-vous arrivé à la Laiterie ?

Pour la laiterie j’ai été embauché par une chasseuse de tête qui m’a convaincu du potentiel de la maison, que le projet était excitant, parce qu’à la base je ne voulais pas partir de Paris. Ici il y a une histoire qui me parle et y avait tout à faire.

La laiterie c’est 120 ans d’histoire c’est une institution  qui parle à tous les lillois, donc il y avait une grosse attente c’était une nouvelle page à écrire comme au Pavillon de la Reine, mais là j’étais aux commandes. On m’a donné carte blanche, il y avait tout à refaire : une équipe à monter, jusqu’à racheter de la vaisselle. Mais il y a ici une cave exceptionnelle, une bonne base pour un restaurant (rire).

Quelle est la nature de votre cuisine à la Laiterie ?

Ma cuisine…ce sont d’abord de beaux produits, aller à la recherche de petits producteurs locaux, raconter quelque chose avec des goûts réconfortant, mais aussi se faire plaisir en cuisinant à la laiterie je veux que cette maison soit cohérente alors je travaille le lait évidemment mais surtout je souhaite être avec des produits locaux du bœuf de la volaille de la région mettre en avant terroir. Dans la région il y a un vivier d’artisans précieux, le terroir nordique est riche et singulier.

On bosse beaucoup avec une petite ferme du Pont d’Achelles, elle fait des petits pois, des asperges, des fraises, des framboises, mais aussi des morilles exceptionnelles. Ce que j’aime le plus c’est de travailler les fruits de mer et le gibier, le végétal,… J’aime la diversité, en fait, à chaque saison on réinvente le métier de cuisinier.

Quel est votre accord boisson et plat préféré :

J’aime utiliser le vin, l’alcool ou les eaux de vie en cuisine, ça ajoute de la fraîcheur mais aussi de la profondeur et une vivacité. Je préfère rajouter de l’eau-de-vie à une sauce que des épices, ça ramène une autre dimension.

Y a t il une volonté vers l’étoile Michelin ?

Mon ambition pour la Laiterie c’est de faire vivre la Maison et de prendre du plaisir. j’ai toujours travaillé dans des maisons en lien avec le Michelin… nous on fait ce qu’on sait faire, on va de l’avant, pour le reste autour, on n’y peut rien.

Notre voyage se poursuit direction la Bourgogne, à Courban, entre Troyes et Dijon.

Le Château de Courban fait hôtel, spa et restaurant. Dans la petite ville de Courban, ainsi que dans la région, les plus grosses demeures de chaque cité était nommée Château. C’est ainsi que au détour d’une rue du village de Courban l’on devine derrière un portail, une grande maison de maître. 

Le domaine est splendide avec ses jardins, ses différentes dépenses pour différents logements, dont un pigeonnier tout à fait romantique pour les nuits étoilées. Mais aussi des points d’eau, un couloir de nage, un spa Nuxe, et le chien du maître de maison pour veiller sur les lieux.

Le restaurant offre deux espaces, dont le premier avec la cheminée pour débuter ou finir le repas au coin du feu, et la salle principale qui jouit d’un beau volume. Les tables sont bien espacées pour offrir une bulle apaisante et vivre son repas sans gêner les tables d’à côté. L’équipe en salle est très prévenante, la sommelière accompagne avec tacte tout le repas. On est clairement sur une maison qui va chercher l’étoile.  Le repas commence sur de jolies amuses bouches où jeux de couleurs, textures et saveurs annonce un dîner qui aura des influences multiples venant de France, mais aussi des pays arabes et de l’Asie. Les saveurs sont toujours très justes et équilibrées, le poisson est particulièrement mis en avant avec un travail sur la maturation de la chaire, qui marque son goût et lui apporte une salinité naturelle, c’est très bien maîtrisé.

La langoustine soutenue par la vanille et la patate douce est un terre-mer subtil et très réussi. D’ailleurs tous les jus et réduction sont goutû à souhait et révèle les plats qui sont très lisible, en bouche on sait ce qu’on mange. La volaille de Racan au morille de saison est superbe également, un sans faute, avec des pairings vins classiques mais justes. Le plateau de fromage arrive avec du miel sur son rayon, un délice ! Une belle expérience culinaire qui devrait bientôt se voir glorifiée.

Interview de Maxime Lesobre – Le Château de Courban

Pourquoi avoir choisi la cuisine ?

Mes parents étaient bouchers, et avant mon père était à Rungis et grand spécialiste du gibier. J’étais pas fait pour les études, j’avais trop d’énergie à dépenser (rire)…je suis portugais de par ma mère, j’avais donc 2 grands- mères qui cuisinaient très bien l’une française et l’autre portugaise, deux belles écoles de cuisine. Et puis la cuisine c’est les moments joyeux où l’on se réunit et j’aimais ça. Donc la cuisine a pris le dessus très vite. J’ai fait quelques stages et des chefs m’ont pris sous leurs ailes. Mon avantage c’était qu’avant d’arriver en cuisine je savais travailler les carcasses de viandes grâce à  mon père. J’ai fait un BEP cuisine à Ferrandi Versailles, avec de très bons profs donc Frédéric Anton, qui est MOF aujourd’hui.

J’ai fait beaucoup d’heures et j’ai été bien formé. J’ai été mordu totalement. Puis un BP, Bac pro, avec que de la cuisine. Mes parents ont une boucherie dans le 78 à Saint Quentin en Yvelines, petite ville sympa.

Quel a été votre parcours ?

Première maison Le Laurent, j’ai fait la réouverture du Royal Monceau en 2010, puis la Grande Cascade pendant 2ans, avec le Chef Robert, probablement m’a plus grosse influence, ses auces, ses jus, puis Alain Passard, Michel Rostang, j’étais sous-chef tournant, puis retour à la grande cascade, et ouverture à la Réserve, Jérôme Banctel, grand technicien,

Avez-vous un chef pâtissier avec vous ou c’est aussi vous les desserts ?

Cheffe Pâtissière,  Sae Hasegawa, on fait des essais tout le temps, je viens donner des indications mais j’aime quand ce sont les saveurs qui explosent surtout sans trop de sucre, un avis qu’on partage.

Comment cela a commencé au Chateau de Courban ?

Je suis là depuis février mais en vérité, je suis là depuis octobre. J’ai fait venir mon sous-chef, Lilian Ardouin. On reprend une maison, on y va étape par étape, on peut pas tout révolutionner d’un coup. Là c’est la 2ème carte. Au début on a perdu 5 personnes dans l’équipe et là j’ai une bonne équipe de gens qui donnent beaucoup. Je suis fier de ma team, que des petits jeunes qui s’investissent.

Le petit déjeuner c’est tout maison, brioche, quiche, cake,…

Le Château de Courban a été un restaurant étoilé pendant des années. Aujourd’hui il y a tout à faire et je vais faire ma cuisine. L’important c’est l’esprit d’équipe. Je suis ici pour montrer l’exemple sur l’esprit d’équipe faire du gourmand et du goût.

Quelle est votre cuisine ?

Ma cuisine c’est la cuisine du produit, sublimer le produit sans trop le dénaturer. Il y a pas de règles, je mélange les influences japonaises ou encore africaines, et bien sur du français cela reste notre base, cela reste les 90% de ce qu’on fait? Ici on fait beau avant de faire beau. Avant j’en mettais peut être trop et mon passage avec Alleno m’a appris ça, se concentrer sur l’essentiel. On concentre le goût du produit, pour faire un jus on met 2 à 3 jours : on déglace et on laisse mijoter longtemps…pas trop de sel, le sel vient du produit. J’aime jouer sur les acides, le gras, faut que cela titille les papilles. Je fais un vinaigre de shiso, qu’un ami japonais m’a appris, la cuisine c’est le partage, le savoir. Je dis à mes équipes de tout noter, je donne mes recettes. Il faut aller à l’essentiel, ne pas dénaturer le produit, sublimer le produit et que ce soit lisible dans l’assiette.

Quel est le produit que vous préférez travailler ?

La truffe (rire) ! J’adore les champignons, les poissons. La lotte on l’a fait maturer, comme une viande, j’ai suivi la méthode d’un chef australien qui a lancé ça. Du coup on ne met pas de sel sur cette Lotte et ses saveurs se sont concentrées. J’ai envie de faire des charcuteries de poisson, je viens d’acheter une ventrèche de thon et on va en faire un jambon. Bien sûr on travaille les produits de saison, les produits on va les prendre là où ils sont. On fait que des poissons de ligne, avec des petits bateaux. Faut valoriser nos paysans. Je ne négocie pas les prix mais j’attends de l’excellence. Nous on travaille avec un volailler extraordinaire,  en Touraine, Maison Bellorr, ils étaient au Michelin cette année, ils ont un petit élevage avec une race ancestrale, une des plus vieilles volailles de France, ils font pigeons, des escargots, des asperges bio,…du top.

Le superbe SUV compact de BMW !

Pour rallier ces deux lieux d’exception nous avons découvert la toute dernière merveille de chez BMW, le SUV compact, X1 M35i xDrive : Puissance, Élégance et Technologie de Pointe.

Lorsque l’on voit le tout nouveau X1 M35i xDrive, ce qui saute aux yeux c’est son format compressé et agressif, on sent que la bête sommeil. Ce véhicule allie puissance, élégance et technologie de pointe. Voici pourquoi le BMW X1 M35i xDrive est le véhicule parfait pour ceux qui ne veulent faire aucun compromis.

Un Design Audacieux et Raffiné

Sa calandre emblématique à double haricot, plus large et plus agressive, est complétée par des phares LED adaptatifs et des feux arrière à LED distinctifs, conférant au véhicule une allure moderne et sophistiquée. Les lignes sculptées et les contours musclés ajoutent une touche de sportivité qui ne laisse personne indifférent.

Les pare-chocs avant et arrière sont spécifiquement dessinés pour la version M, intégrant des prises d’air plus larges et des diffuseurs qui accentuent l’aérodynamisme et la performance et lui donnent un look sportif. Les jupes latérales et les rétroviseurs extérieurs au design M renforcent l’aspect dynamique du véhicule.

Les jantes en alliage léger M de 20 pouces, avec un design exclusif et des pneus haute performance, non seulement ajoutent à l’attrait visuel du X1 M35i xDrive, mais améliorent également sa tenue de route et sa maniabilité. Le toit ouvrant panoramique, en option, offre une vue dégagée sur le ciel, ajoutant une touche de luxe et de liberté à chaque trajet.

Un Intérieur Luxueux et Modulable

À l’intérieur, le X1 M35i xDrive offre un environnement luxueux et technologiquement avancé. Les matériaux de haute qualité, comme le cuir Dakota et les inserts en aluminium, créent une ambiance élégante et confortable. Les sièges sport M, chauffants et réglables électriquement, assurent un soutien optimal, même lors des trajets les plus longs. Ces sièges sont dotés de multiples réglages électriques, y compris le réglage lombaire à quatre voies, permettant de trouver facilement la position de conduite idéale. Les renforts latéraux réglable eux aussi maintiennent fermement le conducteur et le passager avant en place, même lors des virages serrés, offrant ainsi une expérience de conduite plus engageante et dynamique.

Le X1 M35i xDrive se distingue également par sa modularité exceptionnelle. Les sièges arrière sont rabattables dans une configuration 40/20/40, offrant ainsi une flexibilité maximale pour transporter des passagers et des charges volumineuses. Le volume du coffre, déjà généreux, peut être augmenté de manière significative, facilitant le transport d’équipements de sport, de bagages ou d’achats importants.

Technologies de Pointe et Connectivité

Le tableau de bord est équipé du dernier système d’infodivertissement iDrive 8 de BMW, avec un écran tactile de 10,25 pouces et un affichage tête haute. Ce système intuitif permet un accès facile à la navigation, aux applications connectées et à vos médias préférés. La compatibilité sans fil avec Apple CarPlay et Android Auto assure une intégration transparente de votre smartphone, vous permettant de rester connecté en toute simplicité.

Les systèmes d’assistance vocale et gestuelle améliorent encore l’expérience utilisateur, rendant les commandes intuitives et sécurisées. Le système de sonorisation Harman Kardon, disponible en option, transforme l’habitacle en une véritable salle de concert, offrant une qualité audio exceptionnelle pour tous les occupants.

Des Performances Époustouflantes et une Motorisation M que l’on aime

Sous le capot, le BMW X1 M35i xDrive cache un moteur quatre cylindres turbo de 2,0 litres, capable de développer 306 chevaux et 450 Nm de couple. Couplé à une transmission automatique à huit rapports et à la transmission intégrale xDrive, ce moteur offre une accélération fulgurante, permettant de passer de 0 à 100 km/h en seulement 5,4 secondes.

Le système xDrive répartit intelligemment le couple entre les roues avant et arrière, garantissant une traction optimale et une stabilité exceptionnelle, quelles que soient les conditions de conduite. La suspension M Sport, combinée à la direction sportive variable, offre une réactivité et une précision remarquables, transformant chaque trajet en une expérience dynamique et engageante.

Système de Freinage Avancé

Le BMW X1 M35i xDrive est équipé d’un système de freinage hautes performances qui assure une puissance de freinage exceptionnelle. Les freins à disque ventilés, équipés d’étriers de frein M Sport en bleu avec le logo M, garantissent une dissipation optimale de la chaleur et une réponse précise, même lors des situations de conduite les plus exigeantes. Le système de freinage antiblocage (ABS), associé à la répartition électronique de la force de freinage (EBD) et à l’assistance au freinage d’urgence, assure une sécurité maximale en toutes circonstances.

Sécurité et Assistance à la Conduite

Le X1 M35i xDrive est équipé des dernières technologies de sécurité et d’assistance à la conduite. Parmi elles, le régulateur de vitesse adaptatif avec fonction Stop & Go, l’assistant de maintien de voie avec retour actif, la surveillance des angles morts et le système de freinage d’urgence autonome. Ces fonctionnalités avancées travaillent de concert pour vous offrir une conduite sereine et sécurisée.

Le système Parking Assistant Plus, incluant une caméra de recul haute définition, des capteurs de stationnement avant et arrière, et l’assistant de stationnement autonome, rend le stationnement simple et sans stress. Le système de caméra 360 degrés offre une vue panoramique autour du véhicule, facilitant les manœuvres dans les espaces restreints.

Une Expérience de Conduite grisante

La combinaison de la puissance brute, de l’élégance et des technologies de pointe en fait un véhicule qui offre une expérience de conduite sportive et rassurante à la fois. On peurt s”amuser tout en se sentant toujours très en sécurité et en maîtrise. Que vous naviguiez en ville ou que vous partiez pour une escapade sur route, le X1 M35i xDrive vous offre des performances sans compromis et un confort inégalé.

Conclusion : Le Choix Idéal pour les Conducteurs Exigeants

Le BMW X1 M35i xDrive n’est pas simplement un SUV compact; c’est une déclaration de style, de performance et d’innovation. Un SUV compact mais aussi un véhicule de luxe, avec l’ADN sportif qui caractérise la gamme M de BMW.

Un gardien du temps, Le Chrono type 20, Flymaster n°73 de Auricoste

Pour garder un œil sur le temps lors de cette cavalcade gustative, Auricoste nous a prêté un chrono de sa gamme, une montre parfait pour aller avec l’aspect sport de la BMW, et pour ce weekend à travers les régions de France.

Auricoste est une marque française, depuis 1854, spécialisée dans le domaine des chronomètres de marine. Auricoste est intimement liée à la vie aéronavale française. Son histoire lui confère un statut particulier dans l’univers horloger ou beauté et rigueur du mécanisme sont les maîtres mots. Ses chronographes sont considérés comme des instruments de mesure de choix par les spécialistes et amateurs de mécanismes horlogers dans le monde entier.

Ses performances lui permettent d’équiper les armées navales, aériennes et terrestres en France comme à l’extérieur de l’hexagone. Nos outils de mesure, nos différents modèles sont conçus en vue d’une robustesse et d’une lisibilité parfaite pour résister aux situations les plus extrêmes.

La type 20

En 1954, Auricoste crée et développe le modèle type 20 dont la fonction « flyback » devient une norme imposée par le Ministère français de la Guerre. Plus de 2000 chronographes sont livrés aux différentes forces françaises. A l’époque le Ministère de la Guerre, imposant à ses pilotes d’aéronavales d’être équipées de chronographes dotés de la fonction “retour en vol“ également connue sous le nom de “flyback”. Cette complication à pour fonction de permettre aux pilotes de mesurer des intervalles de temps successifs en une fraction de seconde, rendant inutiles les fastidieuses opérations répétitives des 3 étapes, stop, remise à zéro et start habituelle. 

Un boîtier de 39,5mm et des aiguilles recouvertes de superluminova, pour être lues même de nuit, ainsi que deux chronos dans le cadran. La glace hésalite a été choisie pour éviter les bris de verre.

Article réalisé par Alexis Dumétier

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Noël : Nos Idées gastronomiques

Le soir de Noël arrive à grands pas et que vous soyez près ou non, en famille entre amis ou seul nous avons pensé à vous. Des idées de mets, de bûches et même une belle adresse pour vous régaler en cette fin d’année.

La bonne adresse :

 La daronne : Restaurant, que dis je, pépite du quartier Réaumur-Sébastopol, Margaux, Jules, Alexis et Clément vous reçoivent dans ce lieu chaleureux et convivial où le chef, Jules Recoquilln, passé par le Georges V et Apicius, propose une cuisine fine, particulièrement bien exécutée et à la présentation soignée. Pour le menu de fête vous pourrez vous régaler avec des Saint-Jacques rôties accompagné d’un craquant et d’œufs de saumon, ce qui offre un jeu de texture superbe pour cette entrée à la cuisson parfaite, puis un râble de lapin truffé et son râpée de truffe fraîche, très festif et au jus de viande envoûtant et un dessert tarte au chocolat grand cru et voile de framboise léger et gourmand en même temps. Le lieu idéal pour un repas de Noël.

Foncez-y ! Vous pourrez le déguster jusqu’au 23 décembre.  10 Rue Marie Stuart, 75002 Paris –  www.ladaronnerestaurant.com

Les mets :

Truffe Alena : Producteur de truffe noir du Périgord, vous pouvez même adopté un chêne truffié qui vous permettra de bénéficier tous les ans pendant 15 ans de 50g par an de truffe. La nouveauté chez Alena en plus des classiques truffes entières, ce sont les truffes en suprêmes : de la truffe packagée dans des boîtes type caviar pour permettre de garder un maximum de fraîcheur. Super produit pour vos recettes de fêtes. truffe-alena.com

Perle Noire : la marque française Caviar Perle Noire propose un coffret d’exception comprenant son Caviar Classique, au puissant goût iodé accompagné d’une vodka inspirée des saveurs du terroir périgourdin, racine de la marque. châtaignes et céréales anciennes, tel que le sarrasin, sont distillées artisanalement dans un alambic traditionnel, à partir de l’eau des sources de la distillerie de l’Ort, où est distillée la vodka. » On y retrouve bien les notes de châtaignes de ce fait et cela se marie parfaitement avec le caviar, trouvaille originale pour déguster à la russe le caviar.

 

Fondée en 2016, Aurea Ova fait découvrir des Caviars rares et d’exception à une clientèle d’amateurs, de non initiés et de professionnels exigeants
Elle allie ainsi le meilleur de la nature, de la tradition et des pratiques respectueuses de l’environnement pour vous offrir des Caviars frais semi sauvages.

Parfait à déguster avec la vodka de chez Kaviari

Sturia et Christofle : Plus que du caviar c’est une véritable pièce de collection, « La perle Sturia x Christofle » est l’incarnation de ce processus créatif, dont le design et la forme – qui évoquent un grain de caviar – s’inspirent de l’emblématique MOOD by Christofle, écrin à couverts pour le moins culte de la maison Christofle. Initiée par Sturla et réalisée par Christofle, « La perle Sturia x Christofle » se compose d’un socle en porcelaine française à l’aspect texturé sur lequel apparaît en relief la mosaïque caractéristique de Sturia. La cale, qui sert à accueillir la boîte de caviar, ainsi que la cloche sont en métal argenté. Et dans cette perle vous pourrez y mettre un contenant allant de 15g à 125g de caviar sturia de votre choix.

Pour beaucoup, pas de repas de Réveillon sans saumon. Celui de chez Bellota Bellota & Byzance vient de mer d’Ecosse, produit par une petite entreprise locale à la pointe de l’élevage durable et qui respecte les normes les plus élevées en matière de bien-être et d’environnement. Fumé de manière traditionnelle dans un petit fumoir local, sur du bois de chêne et de hêtre, le saumon bio Ecossais est tranché à la main et dégage des saveurs délicates, complexes et parfumées.

Pour les inconditionnels du foie gras à Noël, nous avons sélectionnés ce foie gras de canard entier du Sud-Ouest millésime 2021 de chez Larnaudie.

Les gourmandises :

Patrick Roger : et ses fameux marrons glacés, le maître chocolatier fait aussi des merveilles avec les marrons. Les choses simples sont bien souvent les plus dures à réussir, ici Patrick Roger fait un marron glacé efficace.

Nous avons craqué pour les sublimes mini baba de Noël aux fruits confits du Comptoir de Mathilde.

Un de nos coups de cœur gourmand: les gaufres de la Maison MEERT. Un délice absolu!

Les bûches :

Yann Couvreur : Yann Couvreur a souhaité présenter un dessert aussi gourmand qu’esthétique autour de saveurs simples, déclinées en différentes matières et textures. Cette bûche signature est composée d’un crémeux moka d’Ethiopie, d’un biscuit craquant et d’un savoureux caramel au café. Le caramel est délicat et peu sucré et le café explose en bouche sans masquer le reste des saveurs. Une réussite légère et avec les petits renards comme des bonbons de chocolat cette bûche est particulièrement gourmande.

Yann Couvreur propose aussi une nouvelle version de sa bûche Isatis, mousse et caramel vanille bleue, praliné et biscuit noix de pécan. Le caramel domine et les autres saveurs pointent en délicatesse, la mousse est légère. Une bûche pour 6 ou 8 personnes selon la gourmandise de chacun. www.yanncouvreur.com

La bûche FAMILY, et la bûche Isatis sont vendues 90€ chacune et seront disponibles en retrait dans toutes les boutiques Yann Couvreur ou en Click and Collect depuis le 18 décembre à Paris et en banlieue parisienne.

Angelina : le célèbre salon de thés parisien, propose une bûche adaptée de son célèbre Montblanc. Un délice de crème de marrons fondante et de meringue croustillante.

Nicolas Guercio : le Chef a souhaité replonger dans ses souvenirs d’enfance avec cette bûche, en associant une mousse de mandarine légère enrobant un biscuit moelleux sans gluten au chocolat à un croustillant chocolat noir. Une crème brûlée mandarine aussi surprenante que délicieuse, une mousse chocolat noir 64% Valrhona et une gelée de mandarine viennent sublimer cette bûche pour un équilibre parfait. Sans oublier une pointe de mandarine Napoléon, la liqueur aux saveurs d’agrumes. Une réussite légère et fraîche pour la fin du repas.

Bûche pour 6 personnes au prix de 95€ – Sur réservation par téléphone au 01 49 54 46 00 jusqu’au 22 décembre 2021. Hôtel Lutetia : 45, bd Raspail – 75006 Paris – hotellutetia.com/fr

Kaffeehaus – gastronomie d’Allemagne et d’ailleurs – et le chef Ralf Edeler signe une collection de bûches qui raviront les yeux et les palais pour les fêtes de fin d’année 2021. Nous avons littéralement fondu pour la bûche Forêt Noire.

Pierre-Jean Quinonero : le chef a travaillé autour de la cire d’abeille dans ses préparations, offrant des saveurs sucrées florales à sa bûche : nous sommes sur un biscuit noisette, avec des éclats de praliné noisette, on retrouve une mousse à base de cire d’abeille et une infusion cire-crème vanille et une marmelade de clémentines pour la fraîcheur. En bouche c’est très équilibré et gourmand. Pierre-Jean Quinonero, a imaginé une bûche en trompe-l’œil, sous la forme d’une farandole de bougies chaleureuse de Noël. 12 bougies pour 12 convives, qui selon leur appétit pourront choisir le format qui leur conviendra.

Le Burgundy, Sur réservation par téléphone au : 01 42 60 34 12, 8 Rue Duphot -75001 Paris – www.leburgundy.com/fr

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Barbecue et autres gourmandises d’été

Mi-août, grand soleil, chaleur caniculaire, l’été est bien là. Le fond de l’air est chaud, résonne pour certains le chant des grillons, pour d’autres les après-midi sont rythmées par le doux ressac de la mer ou de l’océan. On s’accorde tous sur une chose, les joies quotidiennes des préparations de barbecue, des grillades, qu’elles soient de viandes, de poissons ou encore végétariennes. Cette saison la team BLAKE vous propose une sélection pour faire chanter vos papilles et réveiller l’âme du Chef BBQ qui est en vous.

– Char-Broil Professionnel Core 2.0 : La Rolls Royce du bbq

Ces barbecues fonctionnent au gaz. Nous avons testé le modèle S4 avec 4 brûleurs et un feu de cuisson. Sa taille imposante vous fera sentir comme un maître du barbecue, et grâce à son capot vous pourrez même vous autoriser à découvrir les joies de la fumaison.

Le professionnel Core 2.0 est livré prêt à être monté et cela se fait simplement et rapidement, compter une petite demi-heure à deux.

Première bonne impression: un allumage électronique appelé « Surefire » garantit un allumage des brûleurs sans allumette ni briquet. Prévoir des piles LR6 du coup pour s’assurer que cela fonctionne.

La technologie « tru-infrared » qui est mise en avant comme permettant de garder les viandes juteuses fait parfaitement son travail. En effet les viandes, que ce soit du porc, du bœuf, ou du poulet sont grillées en surface et gardent leurs tendresses et leurs jus à cœur, c’est bluffant. Ce système « tru-infrared » offre une répartition de la chauffe très homogène. Peu importe où vous placez vos grillades sur le grill, tout cuit uniformément.

De plus la montée en température est très rapide et vous pourrez faire des grillades même entre deux averses, si si promis ! Les gros boutons de gestion des arrivées de gaz en face avant permettent un contrôle des feux tout en gardant les gants anti-chaleur et le système de LED rouge sous chaque bouton est très pratique pour voir les feux qui sont allumés.

Vous pouvez monter en température jusqu’à plus de 350°C ce qui vous permettra avec une pierre réfractaire de cuire vos pizzas !

Sous le grill, un rangement où peut loger une bouteille de gaz jusqu’à 11kg et sur la droite la place de ranger les ustensiles et la housse de protection pour les jours de pluie, qu’il faudra acheter en plus afin de préserver votre bbq des intempéries.

Le petit accessoire clin d’œil mais remarquable de ce bbq haut de gamme est le décapsuleur à porté de main sur la face avant du barbecue. Cette gamme de chez Char-Broil nous a fait basculer, nous amoureux du bon vieux barbecue de papa aux charbons de bois, vers les barbecues au gaz…c’est dire.

www.charbroil.fr

– Boîte de fumage Made 2 Match :

Si vous hésitez à utiliser les barbecues à gaz parce qu’ils n’apportent pas les saveurs si particulières du charbon et du bois brûlés, voici la solution. Conçue en exclusivité pour la gamme Professional PRO, cette boîte vient compléter le Professionnel Core 2.0 à merveille en permettant d’apporter aux grillades une saveur fumée et du fait du grand capot du barbecue de Char-Broil vous pouvez l’utiliser comme un véritable fumoir.

www.charbroil.fr

– Accessoires Durandal :

Pour maîtriser ses cuissons tout en se protégeant pour ne pas se brûler Durandal a conçu des gants anti-chaleur qui offrent une prise en main sûre grâce à leurs bandes en silicone. Ces gants résistent à la chaleur jusqu’à 250°C.

Nous avons également testés les plat de chez Durandal, constitués d’une structure en aluminium et d’une toile noire en fibre de verre, cela permettra de ne pas faire adhérer les chaires au grill, mais aussi de faciliter l’entretien du aux chutes de graisses, et de limiter du même coups les flammes. Parfait pour cuire les aliments délicats. Ce plat résiste jusqu’à 260 °C.

– Flameoven :

Ce four à pizza portatif est français, et vous permettra de faire chez vous ou chez des amis de superbes pizzas. Le four est petit et efficace et vous pourrez faire des pizzas de 30cm de diamètre, une taille classique en somme. Ce four fonctionne au feu de bois. Une fois les bûches allumées et la prise en température faite (450°C mesuré au thermomètre infrarouge sans contact, non fourni), on obtient une pizza dont la pâte a fait de grosses bulles autour, très bien cuite grâce à la pierre réfractaire et à la haute température. La pizza est cuite de façon homogène dans un temps de 1 minute à 1 minute 30. Cela vous permettra de faire briller vos talents de pizzaiolo. N’oubliez pas d’alimenter le foyer en bois afin de garder une température stable.

www.flameoven.com

–  des huiles d’olive pour révéler les saveurs :

Cuisiner, à fortiori un barbecue sans huile d’olive, serait un pêché. Voici quelques belles trouvailles :

Maison Brémond 1830, Épicerie Fine de Provence, propose notamment une huile d’olive grecque faite avec des olives de Messénie de la variété koroneiki. Cette huile est nommée Huile de tous les jours, elle est fruitée et reste douce en bouche sur des notes de pomme et de noix. Elle sera parfaite en salade ou même pour des cuissons.

Nous avons également dégusté grâce à Virginie Gallet (sommelière en huile d’olive) des huiles dolive extra vierge italienne issue de la production artisanale de 4 terroirs différents : Lac de Garde, Ombrie, Pouilles et Sicile.
– Pour l’huile du Lac de Garde de chez Brioleum, une huile d’olive mono-variétale : Casaliva : une huile très suave, bien poivrée mais peu amer, sur des notes de pomme et de vanille, fluide qui laisse une bouche fraîche. Parfait pour les poissons et légumes vapeurs.
– L’huile d’Ombrie de chez Stoica, deux cousins Andrea Lucarelli et Andrea Cecconi, on goûte une huile qui mélange 5 variétés : Il en résulte une huile au nez sur des herbes sèches, et en bouche des saveurs de roquettes et un poivré qui descend en gorge comme les bulles fines d’un tonic. Elle accompagne très bien des soupes, des veloutés, où les viandes marinées pour le barbecue.
-Pour les Pouilles, au Sud de l’Italie, ce sont des huiles de la Famille DeCarlo, qui produit depuis 1598, nous vous proposons une huile monovariétale : Coratina. Une huile d’olive particulièrement poivrée, avec une forte amertume. Sur des notes de piments, de zeste de citron, de roquettes et de chair de poivron. Une huile d’olive excellente sur les grillades.
-En Sicile, chez Tino Cavarra, nous découvrons une huile d’olive monovariétale, Nocellara Etnea, qui a remporté tous les prix. Des arômes étonnant de banane verte, d’amende et d’herbe fraîchement coupées. Une amertume très légère et un poivré particulièrement délicat. Cette huile sera parfaite pour vos cuissons car elle gardera ses saveurs mais aussi à cru dans une soupe de tomate froide par exemple.
                  crédit photo : dissapore

– Des bulles pour accompagner les grillades :

Ginette, est une marque de bière née en Belgique. En 2009 quatre amis belges, amoureux de nature et de bonne mousse, créent leur propre bière. Des bières créées dans le respect du consommateur avec des matières premières 100% bio, d’origine naturelle et sans conservateur.

Ainsi chez Ginette vous pourrez savourer la Blonde : rafraîchissante sur des notes légères de coriandre et à l’amertume très légère, parfaite pour le bord de piscine.

Mais aussi la Blanche : qui révèlent des pointes de poivre Timut et d’écorce d’orange. une Blanche originale, à servir très frais.

Pour finir la bio fruit, un mélange de bière et de jus de fruit bio évidemment. C’est lors du brassage qu’est ajouté du jus de fraise et framboise pour apporter avec finesse des arômes fruit des bois à cette bière peu sucrée.

Brewdog sort pour l’été deux bières brassées en Écosse  : une pilsner très rafraîchissante, la LOST LAGER qui est la première bière blonde de Brewdog. Cette première pilsner est une bière légère à 4,5%. L’ajout des houblons Select, Spalter et Saphir révèlent des notes d’agrumes et herbacées. 

Mais aussi la VAGABOND une AMERICAN PALE ALE sans gluten, brassée avec du malt d’orge, des houblons américains, de l’eau écossaise et de la levure maison. Plus résineuse que la pilsner, le final en bouche est sec et amer.

– Découvrez les Hard Seltzer, des boissons pétillantes et légèrement alcoolisées avec très peu de calories. De plus en plus de marques émergent, en voici quelques-unes qui pour nous sortent du lot.

Snow Melt : une gamme de 3 Hard Seltzer aux saveurs diverses : Genévrier + Citron Vert, Mandarine + Houblon, Grenade + Açaï. Toutes titres à 5% d’alcool.

Natz : Une marque française, sans sucre, sans gluten et vegan, Natz se décline aujourd’hui en deux références : infusion citron & infusion thé noir. Natz est issu d’une fermentation complète de sucre de canne dans de l’eau pendant plusieurs semaines, et infusé avec du jus de citron et du thé noir. C’est notre chouchou.

Bewiz : la marque associe fruits et plantes dans 3 recettes différentes : 1- Framboise, Hibiscus, citron vert, 2-Citron vert, menthe, fleur de sureau, 3- Citron, gingembre, pamplemousse. Les saveurs sont bien travaillées, avec moins de 94 Kcal, 0,4g de sucre par unité, et sont sans gluten.

 

– De la fraîcheur pour « chiller » sur le transat :

Häagen-Dazs a sorti pour cet été deux parfums aux goûts de nos cocktails préférés : Mojito et Pina Colada. A déguster brut ou en cocktail. Vous préparez vos cocktails comme d’habitude et vous y ajoutez une cuillère de glace correspondante, cela ajoute un twist frais et gourmand.

 

Magnum présente sa star de l’été : Le magnum double gold caramel. En bâtonnet ou en pot pour les plus gourmands. A réserver aux amoureux de caramel évidemment. Une glace plutôt sucrée mais qui remplit sa promesse caramélisée.

 

Article écrit par Alexis Dumétier

Illustration de couverture Agnes Solange,@agnes_solange_art

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Mezzencore, la cuisine Libanaise chez vous

MEZZENCORE, c’est l’histoire de deux cousins qui ont grandi entre les casseroles des restaurants familiaux, qui transmettent depuis plus de trente ans la gastronomie Libanaise à travers le monde. Les fondateurs Waël et Bassel Zebib ont à cœur de s’appuyer sur les recettes traditionnelles de la cuisine Levantine et Méditerranéenne tout en créant un concept moderne adapté à la vente à emporter et la livraison.

Falafel, Mezzé ou encore Chawarma, MEZZENCORE propose des plats authentiques réalisés à partir de produits frais et sélectionnés méticuleusement.

On a du coup tester pour vous, en entrée un grand mezzé, c’est à dire un mélange de plats : tzatziki, caviar d’aubergine, hommos, feuille de vigne Dolmas (une madeleine de Proust pour moi), taboulé (car c’est un basique de la cuisine méditerranéenne qui permet de remarquer facilement la fraîcheur des produits) avec en chaud des Samboussek Fromage, Kebbé (boulette à l’agneau et à la menthe) et Falafel (boulette de pois chiche). Tout était très frais et goûtu, avec un assaisonnement très équilibré. Pour le chaud mention spéciale aux Samboussek au fromage de chèvre qui étaient fameux. Pour accompagner les Kebbé et les Falafel une petite sauce tahina (sauce à base de crème de sésame) est livrée avec et ça c’est une idée excellente et bienvenue.

Pour le plat de résistance nous avons goûté les sandwichs de chez Mezzencore : un Sandwich Kafta, une viande haché avec un mélange d’herbes arômatiques et épices, réussit, et un sandwich Makanek, qui est une saucisse Libanaise épicée, délicatement épicée pour celle de chez Mezzencore.

Pour les desserts nous ne pouvions pas passer à côté du classique yaourt grec à la Halva avec des éclats de pistache et sirop de fleur d’oranger, très bon, bien frais et la dose est comme il faut pour une personne. Et d’autre part nous avons découvert la tarte au citron, biscuit croquant et savoureux, un appareil citron comme il faut, et une meringue italienne justement dosée, bref nous la recommandons.

Mezzencore c’est une adresse à recommander, une expérience riche et savoureuse pour découvrir la cuisine libanaise et méditerranéenne. Situé dans le 17ème arrondissement de Paris, Mezzencore donne rendez-vous à tous les afficionados de cuisine libanaise en click-and-collect ou sur les plateformes de livraison.

www.mezzencore.fr

Article écrit par Alexis Dumétier

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Russie de Fêtes: pour un diner de Tsar

La Russie et la France s’aiment depuis toujours mais peu d’entre nous connaissent sa gastronomie. Pourtant la cuisine russe est riche et franchement intéressante. Koulibiak, chachlyk, pirojki, bortsch… autant de plats dont nous connaissons le nom mais que nous avons rarement goûté. Sans nous lancer dans l’élaboration d’un menu compliqué, voici quelques suggestions pour un diner de fêtes digne du Kremlin. Bonne dégustation !

On commence par du tarama à la truffe de Petrossian. 

On poursuit bien évidemment par du saumon fumé Labeyrie, à manger avec un pain frais toaster

Un diner Russe digne de ce nom ne peut pas se faire sans caviar. Notre découverte Aurea Ova, un caviar d’exception, à déguster sur des blinis avec un peu de crème. Un régal!

Nous vous conseillons également le caviar Baeri affiné en Aquitaine de Comtesse du Barry.

Rien ne vaut la vodka pour déguster le caviar. Notre choix pour ce diner Russe: la vodka Kaspia. A déguster bien frappée pour porter un toast à la Sainte Mère Russie.

Un autre caviar, Français celui-ci, à déguster: le Beluga de Sturia, aux notes d’amande, de fève de tonka, avec une touche acidulée qui évoque le combava.

Et pourquoi pas faire un petit « écart » et déguster une rillette d’esturgeon et caviar ou encore le Tarama et caviar de chez Sturia. Une manière différente de découvrir le caviar mais tout aussi fraîche et délicatement marine.

Ou pourquoi pas le caviar d’Aquitaine Perle noire, dans sa gamme « Impertinent », il offre des saveurs douces et subtiles, beurrées et sur des notes de noisette 

Dans un autre style et une autre saveur, nous aimons également la vodka Grey Goose.

Bien évidemment à continue avec les pirojkis à la viande ou au saumon à commander chez Sacha Finkelsztajn, rue des Rosiers. 

On ne peut pas ne pas finir sur une note sucrée. Le Vatrouschka, traditionnel gâteau au fromage blanc s’impose.

Dans un registre plus élaboré, voici la somptueuse Pavlova poire-amande de chez Café Pouchkine.

par Hervé Godard et Alexis Dumetier

Illustration: Agnès Solange @agnes_solange_art

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Nos restaurateurs ont des idées

On est confiné mais le déconfinement approche à grand pas et de plus en plus de restaurateurs et réstauratrices ré-ouvrent pour notre plus grand plaisir.

1-Louise, la Chef de Pottoka cuisine pour vous ! : « Nous souhaitons vous faire plaisir et soutenir nos producteurs qui nous livrent en frais. » Louise

Chaque jour, vous pouvez commander pour le lendemain, un repas : – entrée / plat / dessert – à emporter que vous viendrez chercher le jour J entre 11h30 et 14h00 pour déjeuner ou dîner chez vous. Commande en direct avec la Chef par SMS au 06 31 99 07 48. Les plats sont conditionnés dans des contenants à usage unique allant au four à micro-ondes. Tout est à prix doux : 1 repas pour 1 personne : 22€. les vins de notre cave à -50% pour vous faire plaisir. Paiement sur place en espèces ou par carte bancaire.

Vous venez le jour J récupérer votre repas devant le restaurant où, bien entendu, toutes les mesures barrières sont strictement appliquées (comme toujours !).

POTTOKA / 4 rue de l’Exposition – 75007 Paris / +33 (0)1 45 51 88 38

2- Il y  aussi Stephane de NOUS 4, autre restaurateur qui a ré-ouvert ses portes et qui s’est transformé le temps de la crise en maraicher/épicier et vente à emporter… »Ca fait plaisir de retrouver la cuisine, les clients et les légumes de Dorian (Dorian Gauthier, légumes Bio dans la Sartres). » Stephane

Le menu change tous les 2, 3 jours sur place directement à emporter pour midi et soir. Vous pouvez toujours l’appeler pour réserver vos plats.

En bonus il est ouvert tout les samedis avec poulet rôti au menu. L’adresse de ce lieu d’épicure :

NOUS 4, 3 rue Beccaria, 75012 Paris, pour contacter le Chef : 06 06 70 64 92.

3- Il y a aussi la team des restaurants Yaya qui est d’attaque : « Tous ces jours éloignés de vous, c’est long, trop long…La solution ? Nous adapter à ce nouveau mode de vie en réouvrant nos Yaya sous le format « Yaya To Go » « 

le meilleur de la Grèce à emporter ! Alors voilà, à compter du lundi 4 mai 2020 chez Yaya Secrétan et à partir du lundi 11 mai chez Yaya St-Ouen, ils réinventent midi et soir, du lundi au dimanche, leurs restaurants en traiteur grec & épicerie fine, avec vente à emporter sur place et livraison à domicile via Deliveroo. Pour commander et consulter l’ensemble de leurs offres :

www.yayarestaurant.com/a-emporter

 

Article écrit par Alexis Dumétier

 

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INARA CAMP une expérience du désert

INARA CAMP, est un lieu exceptionnel, une expérience du désert hors du commun à deux heures de Paris, à 30km au Sud de Marrakech que nous avons découvert pour vous. C’est dans le désert d’Agafay qu’est installé INARA CAMP, un concept créé par Vincent JAQUET. Cet homme a appris le métier de l’hôtellerie et de la table dans les 2 et 3 étoiles Michelin en France, de Paris à Biarritz, avant de s’installer définitivement au Maroc et de créer ce lieu hors du commun.

Le campement est composé de 12 tentes sur 23 hectares de terrain, articulé autour de la cuisine centrale. Le propriétaire du lieu a à cœur de proposer une cuisine locale avec des produits bien sourcés, exclusivement dans la région, ce qui donne accès au saveurs marocaines typiques.

Dans chacune des tentes il y a des lits king size, avec une literie digne des meilleurs hôtels du monde, ce qui offre des nuits au confort rare. Comble du bonheur, les tentes possèdent une salle de bain qui offre le luxe d’une douche d’eau chaude ainsi que des watercloset. Dans les tentes luxes, il existe des terrasses en bois propices à la contemplation. Une véritable invitation à méditer face à l’étendue silencieuse.

Les tentes les plus hautes gammes ont un salon avec un poêle, que l’on recharge à volonté durant la nuit et, il est bien utile, car une fois le soleil couché, la température dans le désert chute drastiquement.

INARA CAMP c’est une expérience à part, car l’on vit un moment hors du monde, en plein désert, sous des tentes, ou encore au bord d’une piscine aux allures d’oasis naturelle, à SON rythme.

En effet, Vincent JAQUET qui n’est jamais loin, veille avec Mohamed, le responsable du campement, et son équipe, à vous entourer avec soin et beaucoup de tact. Le service est chaleureux, disponible mais toujours délicatement, en retrait. Ainsi, les convives ont toutes latitudes pour vivre leurs propres expériences du désert. Car, comme le dit Vincent JAQUET : “le désert ne se raconte pas, il se vit.”

INARA CAMP offre différentes façons de découvrir et de parcourir le désert. Notamment le quad : des escapades de quelques heures pour s’enfoncer dans les dunes, découvrir les paysages lunaires, oniriques, époustouflants du désert d’Agafay avec, bien évidemment, un guide.

Ou, plus animal, des ballades à dos de dromadaires en groupes ou mieux encore, à deux. Et au coucher du soleil, on se surprend à se prendre pour Lawrence d’Arabie.

Mais le plus simple, le plus fort, le plus authentique est de vivre le désert à pieds. Accompagné d’un Sahraoui pour guide et de dromadaires qui vous donneront le rythme de la marche au milieu des dunes. Et croyez moi, ce moment, seul avec les bêtes, ce face à face avec soi-même et l’étendue sans fin de sable et de pierres est un moment qui marquera votre vie à tout jamais.

INARA CAMP offre également d’autres services qui, en ces lieux, semble bien surprenant. Vous pouvez vous offrir une heure de massage à l’huile d’argan et aux huiles essentielles de thym (tout bio) dans l’intimité de votre tente. C’est alors le paroxysme du délassement.

Chaque soir, comme une tradition, autour du feu, tout le monde est invité à se retrouver pour se rencontrer, parler, rire, danser et chanter. Un moment d’humanité simple et riche au rythme des voix, des claquements de mains et des djembés, sous une myriade d’étoiles dans la nuit noire du désert d’Agafay.

Si vous êtes un aficionados du désert, INARA CAMP vous offrira l’équilibre parfait, entre le confort d’un luxe non ostentatoire, et l’authenticité d’un bivouac de tentes. Quant à ceux qui n’ont jamais connu le désert, ce lieu est très probablement la plus belle et douce façon d’en faire le baptême.

 

INTERVIEW VINCENT JAQUET créateur d’INARA CAMP

1- Quel est votre parcours avant INARA CAMP ?

J’étais dans la restauration, l’hôtellerie. J’ai fait mon école hôtelière à Dijon. Ensuite, j’ai beaucoup travaillé dans les 2 et 3 macarons Michelin sur Paris et sur Biarritz et j’ai fait un peu de traiteur d’organisation de réceptions. J’étais premier commis et chef de rang. Chez Pierre Robuchon, chez Laurent, Edouard Carlier avec le restaurant le Beauvilliers sur les Buttes Montmartre, Daniel Métairie, septième chef de Paul Bocuse, Bref, oui quelques belles maisons. C’est là où j’ai appris tout ce qui est rigueur et régularité du métier, et surtout, tout l’amour de travailler avec une base de produits de première qualité qui rend la cuisine beaucoup plus simple, quand on travaille avec des très bons produits et puis, cet amour du métier, cet amour du partage, cet amour de l’expérience déjà, car à l’époque, on ne parlait pas beaucoup d’expérience, mais maintenant c’est très tendance et de créer quelque chose de différent auprès des gens.

Et, c’est en 2002, que j’ai quitté Biarritz, un beau matin du 4 avril 2002 avec ma voiture, et tout ce qui était important dans ma voiture pour venir m’installer au Maroc, pour venir rejoindre le dernier petit village de la vallée du Drap dans le sud du Maroc, à 25 km de la frontière algérienne, en plein milieu du Sahara. J’ai découvert le Maroc, lors d’un périple que j’ai fait seul, pendant un mois, je suis tombé amoureux du désert et des dunes et j’ai décidé en trois mois de changer de vie et de venir m’installer dans le désert. Il y a eu un coup de foudre. Un coup de foudre et le fruit était mûr, il n’y avait plus rien d’important et de faisable pour moi en France et plutôt que d’attendre qu’on s’occupe de moi en France, je me suis occupé de moi et j’ai fait le grand écart et je me suis dit : « allons un peu ailleurs voir ce qu’il se passe. »

C’est en 2004 que j’ai créé mon premier bivouac, et c’est là que je suis vraiment tombé sous le charme du logement en toile de tentes dans un village de toiles parce que je me suis aperçu, étant hôtelier restaurateur, du comportement du client qui était complètement encore différent lorsqu’on l’amenait dans une situation extrême, en plein milieu des dunes, un bivouac, dormir sous la toile de tente, lever du soleil, le vent, la nuit et cela a été une révélation. J’ai laissé tombé l’hôtellerie traditionnelle, et je n’ai fait que du bivouac, et du logement un peu inattendu et atypique.

2-Vous avez d’abord commencé à travailler dans le Sud du Maroc, à monter un bivouac ..

J’ai d’abord monté un boutique hôtel qui s’appelait “Darazaouade”, dans le dernier village avant les dunes de sable, “Mamidrislane” un boutique hôtel de 15 chambres, sous forme de bungalows, et ensuite, par un cheminement normal, est arrivé le bivouac, et c’est en 2012 que j’ai arrêté l’hôtel Amamide, j’ai continué la partie bivouac, et en 2013, je suis remonté sur Marrakech, j’ai ouvert mon agence qui s’appelle LVDS qui s’occupe de créer et de gérer des bivouacs et en 2016 est arrivé INARAKIN, donc dans le désert d’Agafay aussi par un cheminement naturel, de gens qui veulent venir se reposer, se détendre, qui veulent vivre quelque chose de différent en deux, trois jours, et qui n’ont pas le temps de descendre dans le Sud, parce que c’est très loin et c’est très long. Et, le désert d’Agafay qui est seulement à 30 km de Marrakech s’est révélé être un produit extraordinaire qui peut répondre sans aucun problème, et sans aucune honte à une expérience de désert.

C’est vrai que ce n’est pas un désert de sable, c’est un désert de roches, mais c’est un désert, qui a son âme et dans lequel j’ai retrouvé beaucoup de similitudes avec le Sahara et c’est ici que j’ai décidé d’installer INARA CAMP en 2016, pour faire vivre et partager cette expérience de désert.

Et, c’est un petit succès, c’est sympa.

4-Le tout premier boutique hôtel que vous aviez créé dans le Sud jusqu’à aujourd’hui, avec INARA CAMP, est-ce votre concept personnel ?

Oui, tout à fait. Ma décoration, ma création, ma concept, ma gestion, ma manière d’accueillir, ma vision de l’hôtellerie, c’est une trentaine d’années d’expériences mises bout à bout, aussi bien dans tout ce que j’ai appris quand j’étais dans les grandes maisons parisiennes, lorsque j’étais traiteur, j’ai fêté l’organisation de mon 500ème mariage, donc toutes ces expériences mises bout à bout, on fait que la quintessence s’appelle INARA CAMP et c’est ici que je m’amuse à jouer avec la gastronomie, je m’amuse à créer des beaux événements, à faire vivre des belles expériences dans ce paysage aride au premier abord, mais auquel on apporte beaucoup de douceur.

 

5-Du coup, vous continuez d’organiser des bivouacs itinérants ?

Oui, j’ai toujours mon amour du désert dans le Sud, donc on continue d’organiser toujours avec LVDS des petits parcours où on rejoint les dunes de CHIGAGA, dans le Sud du Maroc, donc cela c’est toujours ma passion du Sud et mes connaissances du Sud aussi. Mais, c’est vrai que sur INARA, on a déjà beaucoup de choses à faire. On a aussi étendu des expériences de pique-niques chic dans les montagnes de l’Atlas avant d’arriver dans le désert, qui offrent un contraste entre le côté très luxuriant des montagnes de l’Atlas et le coté aride du désert d’Agafay en une seule journée.

C’est vrai que le Maroc est un tout petit pays qui est rempli de contrastes et en quelques kilomètres vous êtes à Marrakech. dans cette folie de la médina, ce côté très bruyant, vous faites quelques kilomètres vous êtes en plein milieu des villages berbères dans les montagnes de l’Atlas perdu au milieu de nulle part, vous redescendez vous faites encore une trentaine de kilomètres, vous êtes dans le désert d’Agafay, vous repartez du désert, vous pouvez être le lendemain, après 2 heures de routes sur la côte atlantique à Essaouira, bref, en quelques kilomètres on peut vivre beaucoup de choses complètement différentes. Donc, maintenant, il y aura d’autres projets qui vont se présenter dans l’esprit du bivouac nomade ; il y a de très belles régions du Maroc à découvrir, qui malheureusement ne sont équipées pas d’hôtellerie, en tout cas d’hôtellerie suffisamment haut de gamme, pour accueillir une clientèle un petit peu demandeuse et mon idée ça serait de lancer prochainement un système de circuits, avec des camps nomades apportant suffisamment de confort pour permettre et pouvant à permettre à n’importe qui de d’aller visiter des régions très retranchées, éloignées, très belles et très fortes, tout en ayant de l’hôtellerie suffisamment confortables le soir pour vivre ça, répondant au standing dans la continuité de ce qu’on sait faire.

6-Ici, c’est combien de chambres, de suites ?

Alors, INARA CAMP, c’est 9 tentes Émotion et 3 tentes INARA ; 3 tentes suites qui font 36 m2 sur 60 m2 de terrasses, à l’intérieur de ces tentes on a une une grande chambre, avec king size bed, un coin salon avec cheminée, poêle à bois et une très belle salle de bain apportant beaucoup de confort. Les 9 tentes Émotion sont légèrement plus petites, elles font 30 m2 sur 60 m2 de terrasse, toujours king size bed à l’intérieur, toujours des toilettes, toujours la douche et l’eau chaude, le confort. Et le tout, installé autour d’une très belle piscine. Là aussi, j’ai voulu quelque chose d’atypique et de différent, une très belle piscine « bio design », c’est un concept italien. Aucune structure métallique, pas de ciment dans ce concept, c’est du quartz et du sable qu’on coule dans une résine et qu’on étale à la spatule.

C’est une résine poreuse ; l’eau pénètre la matière, on a plutôt l’impression d’être autour d’une résurgence naturelle, un petit lac naturel que d’être autour d’une piscine. Cela nous permet de mettre des rochers dans la piscine, ce qui fait que lorsque vous nagez vous avez l’impression d’être dans quelque chose de 100 % naturel et on a l’impression que le camp s’est installé autour de ce point d’eau naturelle alors que le point d’eau naturelle vient d’arriver. Il y a un côté oasis. Je suis très content car ce concept s’est parfaitement intégré à l’environnement et au projet, et qui en aucun cas, dénature le camp. On aurait pu avoir une piscine bleu turquoise en ciment et en carrelages, cela n’aurait pas du tout été la même chose. De plus, le système “bio design” est un système 100 % éco responsable qui permet d’économiser énormément d’eau. Une piscine normale aurait demander 70 m3 d’eau, celui-ci ne demande que 38 m3 d’eau et quand on est dans le désert, l’économie d’eau est quelque chose de très important. Et, c’est une piscine chauffée.

Le bon endroit, comme tout à INARA ; INARA a été l’objet de grandes réflexions. Avec la maturité, on a des idées, on sait ce qu’on veut faire, et on laisse le temps au temps, que l’idée mûrisse et soit la bonne idée et, en faisant de la sorte, on laisse venir naturellement à nous et les fournisseurs et la bonne idée. Ca se fait comme ça doit se faire et quand le fruit est mûr ; c’est cela le désert, on croit qu’il est vide, mais il est plein, et il est plein d’une très belle énergie, qui permet de laisser le temps au temps et de laisser faire les choses et quand le fruit est mûr, il est temps de le récolter.

7- Les chambres à INARA sont dans l’axe du lever du soleil, est-ce un hasard ?

Alors, elles sont surtout dans l’axe du canyon et des montagnes ; et aussi, pour être exposées toute la journée avec le soleil, donc du matin jusqu’au soir, lorsque l’on est sur sa terrasse, c’est un véritable tableau d’artiste qui change 5 à 6 fois par jour, suivant la lumière, suivant la saison, on peut être assis le matin, le midi, l’après-midi, le soir, on verra constamment un paysage complètement différent devant entre le canyon, les montagnes, le soleil qui vient éclairer tout cela et qui fait son œuvre.

8- Le camp peut être privatisé ?

Oui, tout à fait, le camp peut être entièrement privatisé pour les gens qui veulent venir fêter des anniversaires, des événements, des demandes en mariage, oui, on peut le faire.

9- Quelle est sa capacité maximum ?

C’est un camp, tout est montable et démontable. Donc, dans sa capacité de tentes fixes, on a 12 tentes. Mais, on a 23 hectares de terrain, donc on est aussi capable d’installer un camp avec des salles de bain sous la tente, le même confort pour 100, 150 personnes. On a été sollicité sur beaucoup plus, mais, moi, je refuse parce que notre matériel nous permet d’officier très bien pour 100/150 personnes, après lorsqu’il faut louer et être tributaire d’autres personnes, c’est là où on ouvre la porte à l’erreur, à la difficulté. Donc, j’ai la force ou la faiblesse de dire que je me limite à ce que je sais faire et à ce que je peux faire, et là où je peux assurer 100 % de notre professionnalisme.

10-Quel est l’avenir d’INARA CAMP et les prochaines évolutions ?

Les évolutions du camp : on va le peaufiner encore. Cela va être des petits détails dans l’entourage des tentes, l’acheminement, les chemins, l’agencement du camp. Il y a deux gros projets, un qui est en train de se faire à l’heure où l’on se parle, c’est l’installation des panneaux solaires. Ce sera terminé dans les 15 jours à venir. Ce qui rendra le camp 100 % autonome en énergie solaire. On garde bien sûr la présence d’un groupe pour sécuriser. Mais, le camp sera entièrement autonome en énergie solaire dans 15 jours. Ça, c’est notre gros investissement du moment.

Le deuxième investissement qui va venir tranquillement début 2020, c’est un espace bien-être, attention, ce ne sera pas un spa ! Mais, un espace destiné à deux petites salles de massage, un jacuzzi sous tente, avec toutes les façades de la tente cristal, afin que même lorsqu’il fait très froid dehors on soit dans le jacuzzi au milieu du désert, avec la vue sur les montagnes enneigées et le désert, dans une eau bien chaude et qu’on sorte de ce jacuzzi, et qu’on aille bénéficier d’un massage relaxant, à l’huile d’argan et aux huiles essentielles que vous avez pu tester hier, de la verveine du Maroc. Et, puis, en même temps de cet espace bien-être, il y aura une belle terrasse orientée plein Est, pour faire chaque matin une ode au soleil et faire des réveils dynamiques en yoga et Pilates, pour célébrer le lever du soleil, tout comme on célèbre le coucher du soleil ici, parce qu’il est juste merveilleux. Mais, le lever du soleil sur une belle terrasse chaque matin, accompagné par un professeur de yoga local pour ressentir toute cette belle énergie du matin et repartir sur une belle énergie du désert. Ce sera la petite touche finale d’INARA et après, on va laisser faire les choses …

11-Avez-vous envie d’un éventuel autre INARA ailleurs ?

Honnêtement, non, parce que un camp, c’est un homme. Lorsque les gens viennent ici, c’est encore du logement un petit peu inattendu. Nos clients sont très curieux de me rencontrer, de discuter, de bavarder avec moi, de savoir pourquoi, comment on arrive à créer ce genre d’établissement, parce qu’il y a une chaleur humaine. Vous avez vu hier soir, autour du feu, il y avait des Suisses, des Allemands, des Marocains, des Français, tout le monde discutait et échangeait, et c’est aussi ma manière de faire, de créer ces contacts, de faire se rencontrer les gens. Bien sûr, je ne suis pas irremplaçable, je pourrais certainement trouver quelqu’un d’autre qui pourrait le faire à ma place ici, et moi partir sur d’autres projets, mais, c’est aussi ce que j’aime et après tout ce que j’ai fait je me paye le luxe de me dire que je reste que sur mon projet, c’est moi, et c’est ma manière de faire. Je suis le chef du camp et je l’assume, j’aime ça. C’est vrai qu’on pourrait se multiplier, grandir, se développer, gagner beaucoup plus, mais honnêtement, c’est plutôt un mode de vie que de courir après une réussite, une expansion, je n’ai pas spécialement envie.

12- INARA Camp, c’est combien de personnes ? Il y a le Chef, Vincent ?

Il y a le Chef et ses chefs, il y a Mustapha, qui est avec moi depuis plus de 10 ans, qui gère la cuisine et le côté machines, parce qu’on peut vraiment comparer un camp à un théâtre, il y a les acteurs, les machinistes, les techniciens, il y a les spécialistes du son, les spécialistes de la lumière, le metteur en scène, le chef d’orchestre, l’orchestre. Et, comme dans un théâtre, il y a énormément de gens qui sont dans l’ombre, qu’on ne voit pas quand on est dans un camp, mais qui pourtant font tourner le camp, il y a les gens qui allument les bougies le soir, qui allument le feu, les gens de la logistique, l’approvisionnement, qui veillent à ce qu’on manque de rien ici, les serveurs qui sont tous originaires du Sud du Maroc, qui sont nés dans le désert pour beaucoup et qui font que INARA, même si on est à côté de Marrakech est vraiment un camp dans le désert, parce que son équipe est originaire du Sud, c’est ce qui fait la magie des lieux. Et c’est en tout 27 personnes qui sont là pour assurer le service des 12 tentes. Entre les cuisiniers, les femmes de chambre, les serveurs, la logistique et chaque jour, on a nos deux représentations, chaque jour on fait tourner les décors, chaque jour nos acteurs rentrent en scène, le chef d’orchestre aligne ses notes et le metteur en scène est là pour surveiller que la scène soit parfaitement réussie. C’est un métier d’art. L’hôtellerie est de l’art, Malheureusement, on perd ça un petit peu dans l’hôtellerie et la restauration. Moi, je mets un point d’honneur à ce que mon métier reste un art, un bel art, et qu’on le fasse vivre dans ce sens.

11- C’est très difficile de faire passer sur Internet, quelque chose de très énergétique comme le désert…

La première chose quand les gens me disent : “Mais qu’est ce qu’on va faire chez vous ?” Moi, je dis “Mais, RIEN. Premièrement, vous n’allez rien faire. Et, c’est cela qui va être le plus dur pour vous. Dans cette période où on est tous à 100 à l’heure, on a même pas fini d’écumer la 4G qu’on a déjà la 6G qui arrive, où tout le monde va très très vite, où il faut aller très vite, et bien à INARA, on vous propose de vous arrêter, de vous stopper, de vous regarder, de faire un petit peu le point, tranquillement, sur votre être intérieur. Et, ne rien faire est quelque chose de très important car lorsqu’on ne fait rien, on s’occupe de soi. Et, c’est très dur de s’occuper de soi. Et pour certains, c’est très pénible. Il y a le silence, on écoute le silence ici. On marche, c’est la première chose que je recommande avant la ballade en dromadaire, le quad et tout cela, c’est d’aller marcher, monter simplement sur la petite colline en face, écouter ce silence, même si ce n’est qu’une demi-heure, une heure, mais aller marcher, se retrouver dans ces grandes étendues, ce n’est pas marcher dans une forêt, ce n’est pas marcher en montagne, c’est marcher dans le désert. Il fait chaud, il fait froid, il y a des bruits, il n’y a pas de bruit ; il y a plein de choses …

 

Site : www.inaracamp.com

Article écrit par Alexis Dumétier

Photos et vidéos Alexis Dumétier

Merci à Sylvie Mira-Morlière, à Barbara, à Mohamed, ainsi qu’à toute l’équipe d’INARA CAMP.

 

 

 

 

 

 

 

 

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ArchivesLifestyleMagazine

ALÉNA, Gourmandise de Truffe

Aléna la nouvelle marque française pose la question: Et si le vrai goût de la truffe était enfin accessible ?
Les objectifs d’Alena ? Rendre accessible au plus grand nombre le véritable goût de la truffe et l’émotion qu’elle procure. Développer des valeurs de partage et de convivialité autour du diamant noir.
Aléna est une toute nouvelle marque développée par Mathieu Trellu et Guillaume Gé, fondateurs de la société Truffe Extra France, spécialisée dans la production et le négoce de truffe fraîche de saison et d’origine Aquitaine.


Actuellement fournisseurs des plus grands Chefs à travers le monde, ils ont créé le projet Aléna qui a la volonté de faire bouger les lignes du marché de la truffe et propose de fournir des truffes de haute qualité au grand public. « Le marché de la truffe est malheureusement aujourd’hui trop opaque, trop aléatoire, et trop onéreux pour la qualité proposée. Nous voulons faire bouger les lignes !» affirme Guillaume Gé. Face à des consommateurs qui souhaitent se faire plaisir, à la recherche de produits locaux et de qualité, Aléna intègre toute la chaîne de valeurs de la truffe pour une traçabilité sans faille depuis la production jusqu’à la valorisation. La marque propose ainsi directement aux particuliers des truffes de haute qualité. Le prix est enfin juste, pour la production, l’acheteur et le consommateur.
Le véritable goût de cette truffe noire du Périgord devient accessible à tous.
Avec Aléna, la truffe est abordée de manière simple et désinhibée. Aléna offre aux amateurs de bonnes choses des moments conviviaux entre amis ou permet de sublimer des recettes simples du quotidien, les occasions sont multiples.

Et si la truffe se consommait à la petite cuillère ? C’est le pari d’Aléna pour rendre le vrai goût de la truffe accessible à tous. « La truffe, c’est saisonnier, c’est rare, et surtout ses arômes sont terriblement fragiles» commente Matthieu Trellu, « alors, nous avons inventé une nouvelle manière de la consommer». Après des mois de test, c’est le suprême qui né : une nouvelle façon d’appréhender la truffe.
L’idée ? Une sélection du meilleur des truffes d’Aléna, produites en Aquitaine, récoltées à pleine maturité, broyées, mélangées avec une huile neutre, salées et / ou poivrées, le tout scellé dans une petite boîte de métal pour une fraîcheur qui dure trois mois. Le suprême est tout d’abord testé auprès des plus grands chefs à travers le monde pendant deux ans avec des retours unanimes et enthousiastes. Ainsi, avec Aléna, elle se partage, on l’utilise avec les doigts ou à la petite cuillère. Elle se cuisine facilement. La truffe devient un met simple, régressif et gourmand ; elle génère enfin toute l’émotion qu’elle porte.


Aléna a ainsi développé une gamme, adaptée pour deux usages:

LE SUPRÊME DE TRUFFE NOIRE ALÉNA, c’est la quintessence de la truffe noire du Périgord de haute qualité. Plus puissant encore que la truffe fraîche, il sublime les inspirations truffées (brouillades, risottos, pâtes…), se déguste sur des toasts ou se partage à la petite cuillère.

LE SUPRÊME DE TRUFFE D’ÉTÉ, plus doux en goût, il anime les apéritifs, permet les improvisations gastronomiques décontractées et les moments à partager.

IDÉE RECETTE: BROUILLADE  D ’OEUFS À LA TRUFFE

Ingrédients: 1 boîte de 15g ou 30gr de suprême de truffe noire ou de truffe d’été Aléna selon la puissance aromatique recherchée (vous pouvez ajouter un peu de truffe fraîche pour la décoration si le coeur vous en dit…), 6 beaux oeufs fermiers.

Cassez vos oeufs et mettez-les dans une casserole à feu doux. Mélangez jusqu’à ce que la préparation
épaississe. Sortez du feu et incorporez votre suprême de truffe.
Mélangez et laissez infuser à couvert hors du feu une bonne minute.
Vous pourrez déguster cette brouillade avec des mouillettes grillées frottées à l’ail.

Avec Aléna, découvrez le plaisir de cuisiner facilement un met d’exception.

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ArchivesBlogLifestyle

Jeremy Enriquez, un chef Français à New-York

Le chef Jeremy Enriquez du restaurant Tastings Bespoke NYC  a commencé très tôt à s’intéresser à la gastronomie. Sa mère et sa grand-mère parisiennes ont transmis leur passion et leur savoir-faire pour l’art culinaire.

À 15 ans, il entre à la prestigieuse école de Ferrandi Paris où il passe 4 ans en cuisine, spécialisé dans la restauration. Plus tard, il rejoint le traiteur renommé Potel & Chabot. Il y travailla avec l’équipe parisienne dirigée par un Meilleur Ouvrier de France et des chefs internationaux. C’est là qu’il a appris les bases de haute gastronomie française, les techniques et les meilleures recettes de la cuisine française et internationale.

Le désir du chef Jeremy Enriquez de parcourir le monde le conduisit en Nouvelle-Zélande où il travailla pour la cuisine du 5 étoiles Langham Hotel, puis en Australie où il travailla pour différents traiteurs et acteurs du secteur de l’hôtellerie. Enfin, le chef Jeremy Enriquez a atterri aux États-Unis où il est devenu un membre crucial de l’équipe culinaire de Tastings NYC & SoFlo (http://www.tastinsnyc.com).

Quel est ton plat préféré et pourquoi?

La quiche lorraine est mon plat préféré à réaliser et à déguster. Il me rappelle ma jeunesse, quand ma mère préparait cette fameuse tarte avec son ingrédient secret qui la rendait si unique . Il a été transmis par ma grand-mère qui la tenait de sa mère qui était elle aussi une véritable  cuisinière . Plus tard c’est ce qui m’a poussé à rentrer a l’école hôtelière pour préparer un diplôme de cuisine.

Quels sont tes conseils pour un homme qui voudrait cuisiner pour un premier rendez-vous?

Les choses que je recommande pour un premier rendez-vous sont très simple. Il faut se sentir à l’aise avec le plat que l’on a l’intention de préparer et ne pas paniquer pour pouvoir se concentrer sur le reste de la préparation du dîner.

On applique des règles élémentaires comme: ne pas cuisiner de produits qui vont affecter votre haleine comme l’ail par exemple, et rien de difficile à manger non plus. Mieux vaut oublier les os du poulet qui vont vous obliger à utiliser vos doigts… Pas très glamour!

Pour un premier rendes-vous, je recommande les Spaghetti alla Carbonara. Tout le monde connaît ce plat et l’apprécie. C’est parfait pour un premier rendez-vous.

Et enfin, si vous voulez impressionner votre invité(e), je vous recommande de miser sur une bonne bouteille pour accompagner votre préparation. Si vous avez un doute, les cavistes sont là pour vous aider.


Présentation de la recette printanière du chef Jeremy Enriquez pour le taboulé printanier avec vinaigrette aux asperges et au fenouil, associé au rosé La Chapelle Gordonne.

Pour la salade : 140 grammes de semoule de couscous cuite, 1 bouquet d’asperges vertes, 100 grammes de pois verts, ½ bouquet de radis, 6 feuilles de menthe

Faites chauffer une casserole d’eau pour le couscous, une demi-tasse d’eau chaude pour une demi-tasse de couscous. Lorsque l’eau bout, mettre une pincée de sel, le cumin, le poivre noir et ajouter au couscous. Couvrir et laisser refroidir.

Découper et enlever les queues des asperges puis faites les blanchir dans de l’eau bouillante jusqu’à tendreté. Une fois cuit, découper les en tronçons de 3 cm de long

Garder l’eau bouillante pour les petit pois, 10 minutes devrait suffire . Utiliser la mandoline pour trancher les radis déjà préalablement laver.

Effeuiller la menthe.

Pour la Vinaigrette au fenouil : 65 grammes d’huile d’olive, 1/4 petit bulbe de fenouil, finement haché, 1 petite échalote, hachée finement, 1 gousse d’ail finement hachée, 1 cuillère à café de graines de fenouil, broyées, 62 grammes de vinaigre de vin blanc, 2 cuillères à soupe de miel, sel, poivre fraîchement moulu, 1 poignées de légumes-salades rustiques mixtes (comme le radicchio, le frisée ou l’endive), 1 bouquet de persil plat fraîches, 1 cuillère à café de zeste d’orange.

Pour l’assemblage de votre plat, laisser votre imagination faire le travail.

 

 

 

 

 

 

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Mavrommatis, l’unique étoile grecque de la gastronomie française

RESTAURANT

Les frères Mavrommatis : Andreas le chef cuisinier (au milieu sur la photo ci-dessous), Dionysos et Evagoras ont créé en 1981 la Maison Mavrommatis pour faire connaître aux Parisiens les saveurs grecques authentiques et raffinées. Aujourd’hui, il existe plusieurs restaurants, des boutiques traiteur, et deux caves où on peut découvrir la diversité des vins helléniques, ont peu même y acheter des produits grecs estampillés Mavrommatis chez Monoprix ou encore au Bon Marché à Paris.

 

Depuis 2018, « Le Mavrommatis », le restaurant gastronomique des trois frères s’est vu attribuer une étoile au guide Michelin. Il devenait le premier restaurant grec en France à être étoilé. Cette année, Andreas et son équipe renouvellent la performance et confirment leur étoile. Quand on passe la porte, on entre dans un espace calme, épuré. Les formes et les couleurs rappellent l’architecture des maisons traditionnelles grecques. Le blanc, le sol composé de grandes plaques de pierres renforcent ce sentiment d’être passé dans une autre dimension : celle d’un bord de mer face à la Méditerranée. Les tables sont rondes et spacieuses. Les fauteuils sont confortables et enveloppants. L’espace entre chaque table permet une intimité toute agréable. Régis Botta est l’architecte qui a repensé le lieu, main dans la main avec Andréas Mavrommatis.

Nous sommes allés découvrir la cuisine grecque gastronomique et inspirée de souvenirs d’enfances d’Andreas, dans le bel écrin du restaurant « Le Mavrommatis » au cœur du Paris historique. Un repas en accord mets et vins, pour une expérience grecque totale et une leçon sur le vignoble grec.

En guise de prémices, le sommelier Norman Valck, nous fait goûter deux Retsina, une méthode grecque classique qui donne aux vins des notes de pins. Le premier est un Retsina rose du domaine KECHRIS, Roza. Ce vin est fait avec une extraction d’une durée de quelques heures, puis une fermentation alcoolique dans des fûts de chêne avec l’ajout de résine de pin fraîche et maturation de 6 mois avec bâtonnage sur lies. Des notes de fruits rouges, cerise, et de résine de pin. En fin de bouche, une acidité caractéristique du cépage Xinomavro.

En parallèle, Norman nous présente les « Larmes des pins », toujours du Domaine KECHRIS. Un vin dont les vignes poussent sur des collines à une altitude de 250 mètres. Millésime 2006. Le cépage choisi a été l’Assyrtiko, le cépage le plus noble de la Grèce. Après une période d’élevage de 10 mois, l’assemblage final est formé en sélectionnant le contenu des meilleurs fûts. Un vin d’exception. Au nez, ce sont des notes d’agrumes comme un champagne vieux élevé en fût. Des notes de thym en bouche et de gingembre ainsi que des notes de résine de pin très fondues.

Pour régaler nos papilles, le chef Andréas a voulu ouvrir le repas sur des amuses bouches fondantes de saumon laqué aux agrumes, des aumônières aux olives et jus de viandes, puissantes en goût mais aussi craquantes et évanescentes en bouche; ainsi qu’un macaron feta, yaourt au basilic, sucré salé croquant et piquant, étonnant ! C’est avec curiosité que nous sommes passés à l’entrée qui fut en deux temps. Premier temps, un velouté de topinambour, lait de coco et chips de betteraves, texture soyeuse et crémeuse à la fois. Un joli mariage coco-topinambour. Pour l’accompagner, un vin 100% Robola, du Domaine GENTILINI. Les vignobles Gentilini sont situés près du village de Minies, en Céphalonie, à 700 m d’altitude sur la côte ouest de la Grèce. Ce vin très tendu, possède une belle minéralité aérienne en fin de bouche. Subtil pour accompagner ce velouté.

Le deuxième temps de l’entrée, c’est un artichaut, le cœur en majesté et fondant, entouré de légumes maraîchers, palourdes, aneth, façon Constantinople. Un plat où l’amer et l’acidulé s’équilibrent sur des textures tantôt moelleuses, tantôt croquantes. Pour mettre en avant ce plat, un vin du Domaine PARPAROUSSIS, à base d’un seul cépage, le Sideritis. Un nez floral, jasmin, camomille, minéral et un peu gras en fin de bouche.

Nous poursuivons avec un poisson : un thon rouge grillé aux épices Zaatar, légumes glacés aux herbes de Provence, boutargue fumée de Messolonghi, jus vert à la cardamome. Le thon à peine snacké est relevé de sa croûte d’épices qui rehausse les saveurs du poisson et fait vibrer nos papilles.

Pour accompagner ce plat subtil et puissant à la fois Norman Valck choisit un vin du Domaine SIGALA, Kavalieros 2014. Un vin en monocépage, 100% Assyrtiko et mono parcellaire de vignes de 90 ans. Donc, une expressivité forte et du cépage et du terroir. Et au nez comme en bouche, les saveurs explosent : noix, fruits jaunes. L’attaque en bouche est sur le miel d’acacia, puis très ample, avec une fin tendue. Un bel équilibre gras-tension.

Je demandais à Andréas, le chef, quel était un plat de son enfance qu’il pourrait mettre sur sa carte aujourd’hui, accommodé avec ses talents de cuisinier. Voici sa réponse : une dégustation d’agneau de lait de Lozère.

Une épaule confite en cannelloni de céleri, une selle rôtie au halloumi (un fromage originaire de l’île de Chypre), dolmadès de blettes, jus aux olives de Volos. Toutes les saveurs de la Grèce ou presque en un plat, succulent et dont la cuisson rosée, parfaite, laisse la place aux goûts. Pour découvrir un peu plus les vignobles grecs et pour montrer l’étendue des accords possibles, le sommelier nous propose deux vins rouges très différents pour accompagner la farandole d’agneau.

D’abord un vin du Domaine KIR YIANNI, Ramnista 2011. Un vin d’altitude (700 m) et des vignes de 60 ans qui font face aux montagnes de Kaimakcalan et Vitsi. La robe est rouge claire, au nez des notes de purée d’olives noires, de câpres. En bouche, il est vif et âpre, amer comme un cacao 90 %. Un vin atypique qui s’accommode parfaitement avec l’agneau et sa sauce. Pour contraster avec ce vin audacieux, il nous est proposé un vin du Domaine MERCOURI, Cava 2013, qui est élevé 18 mois en fûts de chêne, puis 12 mois en bouteilles. Cela lui confère une robe d’un rouge profond, noir, au nez des notes de tabac, de prunes confites, les tanins encore serrés laissent imaginer la longue garde de ce vin. En bouche, c’est d’une belle longueur de saveurs sur les épices.

Après ce tour de la Grèce gargantuesque, il nous est servi un pré-dessert tout en légèreté: Framboises en coulis, tuiles aux amandes, crumble et sorbet framboise au thym. C’est vivifiant et cela remet le palais droit. Pour le rendre encore plus léger, quelques bulles grecques du Domaine KIR YIANNI, Akakies rosé effervescent 2017 : les bulles fines et délicates soutiennent une robe rose claire lumineuse. Au nez, c’est très fruits rouges : framboise, mara des bois, que l’on retrouve en bouche sur la saveur et non la sucrosité. Une superbe découverte ! Pour moi qui aime le champagne, j’ai toujours le plaisir de dénicher des vins pétillants, effervescents, brefs à bulles venues d’ailleurs. Merci Norman.

Pour finir ce repas, Andreas Mavrommatis fait résonner les saveurs des olives grecques avec le chocolat. Le mariage est une réussite, soulignée par la fraîcheur du basilic et d’une glace à la fleur d’oranger, évanescente.

Pour ce dessert original, le vin le plus vieux du monde, en 735, le poète Hesiode décrivait déjà le «Chyprus nama», ancêtre du commandaria, comme un vin subtil, suave, moelleux et de grande qualité. En effet, c’est un vin doux naturel de Chypre : St John Commandaria. Au nez, une farandole de dattes fraîches, d’oranges confites et de pruneaux avec une nuance de café, de pain d’épices et de fruits secs, noix et raisins.

Si vous souhaitez découvrir une belle cuisine grecque, c’est ici qu’il faut venir. C’est une cuisine faite avec les talents d’un chef qui se souvient des plats de son pays et des saveurs de son enfance. Andréas Mavrommatis aime à trouver les meilleurs produits grecs pour les restituer avec cœur de ses assiettes, avec le souci de l’excellence. Grâce à Norman Valck et à la cave du Mavrommatis riche de belles références, vous survolerez les terroirs grecs. Et quand à la fin du repas l’on pousse la porte du restaurant pour retrouver le vrombissement des rues parisiennes, on a le sentiment de revenir de voyage, les papilles en extases …

-Interview d’Andreas Mavromatis

– Qu’est-ce qui vous a amené à la cuisine ?

Au début, fin 1977, c’était un petit boulot la cuisine et c’était pour financer mes études. J’ai commencé par la plonge, puis les différents postes de cuisine. En même temps j’étudiais le français et les sciences humaines. Et là, j’ai découvert une passion pour la cuisine, même en tant que commis, j’aimais créer des plats, voir ce que les gens aimaient. Je ne savais pas encore que ce serait une paisson. Ce qui m’a poussé à aller plus loin, c’est que les Français aiment la cuisine et découvrir des choses. J’ai alors eu envie de donner une autre image de la cuisine grecque. Et après, cela a été une succession d’opportunités. On a acheté une boutique en 1981, un petit traiteur, une petite cuisine. On a commencé tout petit. J’ai alors commencé à m’exprimer en faisant simple et authentique. Les clients ont aimé. En 1996 quand j’ai eu ma maîtrise, je me suis inscrit à l’école de Le Nôtre et là, j’ai appris les classiques de la cuisine française.

– Quel est votre parcours de cuisinier ?

J’ai appris auprès de chefs. Le premier Frédéric Vardon, ancien de chez Alain Ducasse, et après Gabriel Biscay (basque) qui fut comme un mentor, je travaille encore avec lui. William Ledeuil, puis Christophe Bacquié aussi 3 étoiles Michelin. J’ai toujours eu envie de rencontrer de grand chef pour me perfectionner. Celui que je garde beaucoup à l’esprit est Biscay, personnage extraordinaire, il m’a apporté les techniques précises des cuissons, qui évoluent beaucoup, pour optimiser la qualité des produits, magnifier les produits en les respectant.

-Y a-t-il des produits que vous n’aimez pas travailler?

J’aime tout travailler sauf les tripes peut-être… Je n’ai pas eu l’occasion de travailler cela. J’avais eu l’occasion de goûter en Corse et le goût fort m’a marqué.

-Y a-t-il des produits que vous aimez travailler plus que d’autres et pourquoi ?

J’adore les légumes, racines, l’hiver, le printemps. La base en cuisine grecque ce sont les légumes. La viande et le poisson viennent en supplément. Ils apportent du goût. En ce moment, c’est le choux, le butternut , le topinambour. Je fais une crème avec une raviole de cèleri et du yaourt grec. Je fais aussi un gratin de topinambours avec de la truffe. Il y a tellement de façons de travailler les légumes.

– Un plat de votre enfance que vous pourriez remettre à votre carte aujourd’hui, retravaillé à la manière du Chef que vous êtes ?

Oui, plusieurs, j ai déjà fait un sauté de porc à la coriandre, je l’ai travaillé différemment pour le mettre à la carte. Je le fais avec sauté de veau aux cèleris avec des pommes de terre chypriotes qui ont un goût très particulier. La cuisine grecque, c’est l’affaire des mères et des grands-mères. Moi, j’essaie d’élever cette cuisine pour en faire une cuisine étoilée, je recherche les souvenirs de goût de mon enfance. Je veux faire découvrir constamment à mes clients de nouvelles saveurs. Je vais souvent en Grèce pour échanger avec les producteurs, je travaille des herbes grecques comme la criste marine qui pousse près de la mer. J’ai toujours cette envie de faire découvrir aux clients les produits qu’ils ne connaissent pas.

– Quelle est votre dernière découverte gustative ? Un produit, une saveur, un vin ? …

On prépare la nouvelle carte et l’on essaie de nouveaux accords : thé pomme citronnelle, crabe et avocat ou encore concombre, pomme verte et gingembre sur du crabe, peut être mangue et tarama…

– Mavromatis c’est une histoire de famille, est-ce que vous transmettez tout cela à la génération suivante ?

Oui. La France nous a accueillis, nous a tout donné et on lui a tout donné en retour. On a commencé avec moins que zéro et tout cela s’est fait à la force du travail, la solidarité, la famille, on partage les mêmes valeurs, c’est très important. On est habité par la fierté de notre pays et la volonté de montrer ce qu’ il peut donner. On veut valoriser cette cuisine. C’est très important d’avoir le désir de transmission. Ce qui compte, c’est demain. Tous les plats qu’on fait sont photographiés, ont des fiches. J’ai même fait un livre aux éditions Ducasse.

– En cuisine, comment se passe un coup de feu avec vous ?

En cuisine, c’est d’abord la maîtrise. Je suis pilote au passe. Je ne veux pas paniquer les équipes. Je fais en sorte de donner les plats petits à petits. Gueuler dans la cuisine, c’est fini. La préparation, la mise en place c’est important. Je déteste l’agressivité, on ne peut pas avoir de bons résultats avec. On ne doit pas rabaisser quelqu’un. On peut hausser le ton pour garder la vitesse, donner le rythme, mais toujours en bienveillance.

– L’année dernière vous obteniez une étoile au Michelin, qu’avez vous ressenti à cette annonce ?

Cela fait des années qu’on l’attendait. Au moins 5ans … Même les clients sollicitaient le guide Michelin. On n’a pas fait de travaux pour avoir l’étoile. On a fait des travaux après. Ca nous a donné le courage. La cuisine, c’est ça qui nous a donné l’étoile. C’est le goût grec.

J’ai ressenti de la fierté pour l’équipe, pour mes frères, pour ma cuisine et puis une grande reconnaissance pour la France de nous avoir donné la chance de tout ça. Il y a eu beaucoup de patience, de travail, et en France c’est possible.

– Vous confirmez votre étoile cette année. Félicitations. Que mettez-vous en œuvre en cuisine et avec vos équipes pour garder ce niveau d’excellence ?

On travaille sur les bases que l’on a depuis des années : la rigueur, la régularité de la cuisine, suivre les saisons. La rigueur, la rigueur, la rigueur, le choix des produits, des plats travaillés et l’évolution de la carte, toujours avec des prix raisonnables.

Pour poursuivre l’expérience grecque à la maison et essayer d’égaler le chef, Andréas Mavrommatis a sortie un livre de cuisine : Mavrommatis – 45 recettes de Grèce, avec amour aux éditions Alain Ducasse.

 

Le Mavrommatis

Adresse : 42 Rue Daubenton, 75005 Paris

Téléphone : 01 43 31 17 17

Article écrit par Alexis Dumétier
Merci à Sylvie Mira-Morlière

 

 

 

 

 

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Saint Valentin, il n’est jamais trop tard pour penser à l’être aimé

1-Les gâteaux coquins de Yann Couvreur:

Le pâtissier facétieux crée cette année deux gourmandises dans la collection FOXY VALENTINE’S DAY, une édition limitée pour deux personnes : Saveurs : Chocolat-Noisette ou Marron Vanille

Prix : 14€ l’entremet

Adresses :

1 – 37 avenue Parmentier – 75010 Paris

2 – 23 bis rue des Rosiers – 75004 Paris

3 – 35 Boulevard Haussmann – 75009 Paris

 

2-Les gâteaux de le Nôtre:

Le Nôtre crée deux jolis gâteaux évocateurs du couple pour la Saint Valentin.Une création gourmande à déguster à deux et à personnaliser. Guy Krenzer et ses équipes ont imaginé 3 entremets à déguster de 6 façons possibles. Chaque entremet en forme de cœur peut être assemblé de 6 façons différentes. 100% exotique, moitié exotique et praliné-noisettes ou encore moitié vanille-cassis et exotique.

L’exotique : Biscuit Joconde imbibé aux deux citrons, crémeux mangue coco passion, mousseline mangue passion et décor ananas mangue.

Le praliné-noisette : Biscuit amande, ganache chocolat noir, crème mousseline praliné amande noisette et décor noisettes caramélisées.

Le vanille-cassis : Biscuit amande punché au cassis, crémeux cassis, crème mousseline vanille et décor framboises myrtilles.

Prix : 7,50€ l’entremets individuel – www.lenotre.com

 

3-Les Petits Carreaux de Paris : du chocolat pour la Saint Valentin

Pour fêter dignement la Saint Valentin, Petits Carreaux de  Paris dévoile sa recette de chocolat qui séduira les amoureux par son mélange de saveurs : le noir gingembre et piment d’Espelette. Délicatement relevée de subtiles notes poivrées, cette recette allie la saveur fraîche du gingembre et la subtilité du piment d’Espelette, adoucis bien sûr par la douceur du chocolat. Un recette qui ne manque pas d’audace et réveille les papilles !

Poids net : 90g / prix : 5,60€ – www.petitscarreauxdeparis.com

 

4-La Felicità pour une soirée comme dans les 80’s

Avis à tous les eighties addict, pour la Saint Valentin La Felicità diffuse le film La Boum de Claude Pinoteau. Bières artisanales bien fraîches, bons produits de la botte et huge écran pour se remémorer le plus cute des slows de l’histoire du cinéma français.
Venez accompagné (ou pas) de votre Valentin(e), votre chat, ou encore de votre Poupette, pour cette cool soirée à l’ambiance plus love que jamais. Après la diffusion du film, c’est Romy’s music à la platine folle qui reprendra le contrôle, La Felicità promet un slow au moins aussi boom boom lov’ que celui du film !

 

La Felicità (entrée libre): 5 parvis Alan Turing 75013

 

5-La souris de gamer Lexip : LE cadeau idéal pour un chéri geek ! La souris est made in France, entièrement configurable et gardant en mémoire chaque configuration pour chaque application. Cette souris est la souris parfaite des gamers et des illustrateurs ou autre motion designer 2D ou 3D. La marque Lexip propose également aux fans   de   jeux   vidéo   les patins   en céramique. A coller sous la base de sa souris pour réduire la friction et améliorer la qualité de glisse ! La souris est chargeable par port usb. La finition de la souris est soignée. Bref c’est la Rolls Royce des souris!

Prix : 129€90 – www.lexip-gaming.com

 

6-Un dîner en amoureux au Peninsula :

Menu de Saint Valentin 2019 – 490€ par personne et 635€ par personne avec accords mets et vins.

Voici le programme:

Caviar Osciètre / feuille d’or

Belle Gamberosso / bergamote / thon séché 12 mois

Vouvray sec – Domaine du Clos Naudin 2014

Saint-Jacques juste pochée / gingembre / caviar pressé

Meursault « Les Vieilles Vignes » – Domaine Vincent Girardin 2015

Filet d’agneau du Pays Basque / pommes dauphines truffées / jus d’un foie gras truffé

Pomerol – Château Bellegrave 2009

Sphère d’amour / chocolat intense / jus de passion et banane

Madère Colheita « Malvazia » – D’Oliveiras

Un repas d’exceptoin dans un lieu avec une vue unique sur Paris.

Adresse : 19 Avenue Kléber, 75116 Paris – Téléphone : 01 58 12 28 88

 

7-Un menu spécial amoureux au « Nous 4 » restaurant :

Un lieu de bistronomie qui est convivial et familial. Le chef Stephane Browne, crée un menu à 60 € qui commencera par un amuse-bouche, en entrée un carpaccio de langoustines (à la demande : supplément truffes (+5 €)). Pour suivre un foie gras et foie gras poêlé, homards et sauce Sauterne aux agrumes. Le plat est un bœuf Wellington, c’est-à-dire un bœuf cuit en croûte de pâte feuilleté. (à la demande : supplément truffes (+7€)). Le dessert Saint-Valentin et une coupe de champagne est offerte!

3 Rue Beccaria, 75012 Paris Réservations : nous4restaurant.com ou lafourchette.com – 06 06 70 64 92

 

8-Un abonnement Moi Chef, une boxe de Chef pour les cuisiniers en herbe.

Vous aurez accès aux produits que les grands chefs utilisent. Avec tous les conseils pour les utiliser. Pour pimenter votre quotidien ou pour aller plus loin en cuisine. Avec le code de réduction BLAKE vous bénéficiez de 15% sur toutes les formules que propose Moi Chef.

Prix : 79,90€ pour un trimestre hors réduction – www.moichef.fr

9-Du champagne rosé :

La maison Drappier a créé un rosé brut nature, d’une belle robe rose pâle. C’est un rosé de saigné. Le nez est très fraise. En bouche, il y a des notes de grenadine sur une fin tendue d’agrumes. Un très joli rosé pour commencer une belle soirée entre amoureux(ses).

Prix : 33,90€ – www.netvin.com

 

Article écrit par Alexis Dumétier

Illustration : Agnes Solange

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HOT SPOTS 2 – Attention, ça brûle !

3 lieux parisiens, 3 ambiances.

Attention ça brûle! Voici une nouvelle sélection Spécial hiver pour se réchauffer. Cocktails, restaurants…ça brûle les papilles pour un maximum de chaleur dans les corps !

 

Le Pachamama : un club splendide

Voici le lieu le plus « caliente » de la capitale ! Dans un décor fantastique et impressionnant de 3000 m2, le Pachamama – en lieu et place du Barrio Latino – vous promet cocktails, bonnes assiettes et clubbing sur quatre niveaux. Installé dans un magnifique bâtiment historique du XIXe siècle créé par Gustave Eiffel, dont on reconnaît la signature, à deux pas de la place de la Bastille, cet endroit incroyable est un aller simple pour l’Amérique du Sud dans tout ce qu’elle inspire de plus grandiose.

Au cœur d’un jeu de lumières envoûtant et d’une mise en scène surréaliste signée Ludovic Messager, vous pouvez siroter un mojito, déguster un ceviche péruvien, des churros au dulce de Leche, découvrir d’excellents nectars chiliens, français ou argentins, déambuler dans les étages et finir sur le dancefloor jusqu’à 5h du matin sur les tubes des DJ les plus branchés de la capitale. Situé au rez-de-chaussée, le fameux Ballroom, que l’on peut admirer en vue plongeante de tous les étages, en met plein la vue avec un escalier extraordinaire qui semble sorti d’un conte. Le lieu dans son ensemble pourrait se prêter à un décor de cinéma tant chaque objet chiné comme chaque pièce laisse sans voix.

Des soirées à thème sont régulièrement organisées au dernier étage qui dispose d’un grand fumoir. Les bars sculptés et décorés de fresques sont tous absolument somptueux, et même si les prix sont un peu élevés, le Pachamama vaut vraiment le détour !

A ne pas manquer : le magnifique patio et son mur végétal pour dîner presqu’en pleine nature.

Le Pachamama, 46-48 rue du Faubourg St-Antoine, 12e.

01 55 78 84 75

 

 

Yikou : Les Dim Sum à la française

Quand la France et la Chine se rencontrent, ça donne de merveilleuses petites bouchées aux goûts étonnants ! Les fameux Dim Sum, devenus très tendances dans la capitale, retrouvent leurs lettres de noblesses chez Yikou, grâce au savoir-faire et à l’imagination de deux copains, Pierre et Chen. L’un Français et l’autre Chinois, ils ont décidé d’unir leurs deux cultures pour mieux les valoriser.

Dans un décor branché et chaleureux, face à une magnifique fresque colorée signée Mateus Bailon, un artiste brésilien, on déguste des raviolis délicats, disposés dans de magnifiques boîtes carrées en bois fabriquées artisanalement en Chine.

On se régale de Susu Champêtres, ravioles végétariennes au chou rouge, poireaux et feuille de tofu, mais aussi de Provençai, raviole d’aubergines à la provençale, tomates à l’huile d’olive, pâte de haricots rouge chinois, duo de basilic et graines de tournesol , accompagnés de frites de riz démentes ou d’un assortiments de légumes à en perdre ses baguettes ! Des Bao Burgers étonnants sont également à la carte.

Quelques cocktails maison exquis et desserts de folie plus tard, on se dandine sur la playlist de hip-hop chinois et on n’a qu’une envie : revenir goûter le reste !

Yikou, 49 rue de l’Aqueduc, 10e.

09 83 76 44 64

 

 

Pacifico : Meilleur Poké de Paris !

Vous l’avez sûrement remarqué : les Poké, spécialités hawaïennes à base de riz et de poisson cru, poussent à tous les coins de rue. Tous ne se valent pas et Pacifico, restaurant familial et chaleureux, sort clairement du lot avec ses compositions ultra fraîches et ses associations originales !

A bord d’un charmant cocon, on embarque pour un beau voyage culinaire : en entrée, un mini-burger de thon fumé décoiffant, ou un ceviche saumon-avocat-mangue rafraîchissant, réveillent d’emblée les papilles. Côté Poké, le magnifique Veggie décoré de somptueuses betteraves chioggia, en met autant plein la vue que le splendide Saumon et ses adorables radis Red Meat.

En dessert, une pavlova aux fruits de saison pleine de fraîcheur et une mousse au chocolat aérienne clôturent en beauté cette belle escapade aux portes du Pacifique !

Accueil charmant et aux petits soins, prix très corrects.

Pacifico, 50 rue Saint-Georges, 9e.

01 42 85 12 30.

Un article écrit par Johanna Alam

 

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