close

fashion

ArchivesMagazineNews de Mode

Marine Henrion, un vestiaire pragmatique

Basée à Paris où elle a fondé en 2015 sa marque éponyme, la créatrice française Marine Henrion développe une mode versatile et sophistiquée, héritée du Space Age des années 60 et popularisé par des séries à succès, et du minimalisme du courant Anversois des années 90. Un vestiaire pragmatique tourné vers l’avenir, intégralement produit en France.

Convaincue que la mode de demain doit se faire sans compromis, Marine Henrion propose des pièces avant-gardistes, conçues dans une démarche à la fois éthique et innovante. Des modèles techniques à l’esthétique marquée, féminin et masculin, près du corps et modulables, qui traduisent un esprit puissant et affirmé. Une mode ancrée dans le futur qui sait mettre le corps en valeur, le tout servi par une production responsable et un savoir-faire exemplaire.

Traitées en néoprène (noir et blanc) ou en plastique (polyuréthane semi-transparent), les pièces des différentes collections sont minimalistes et confortables. Des coupes épurées et des découpes stratégiques laissent libres les mouvements du corps, tout en subtilité. Chaque vêtement est conçu pour être modulable, grâce à des jeux d’oeillets et de lacets qui permettent de se l’approprier et de bouger en toute liberté.

Soucieuse d’inscrire ses créations dans une démarche responsable en phase avec les enjeux de l’époque, Marine Henrion évolue en périphérie du circuit traditionnel de la mode. Elle propose des collections non-saisonnières, qui forment une ligne cohérente en perpétuelle évolution.

Toutes ses pièces sont produites en France sur pré-commande pour une meilleure gestion des stocks, dans un néoprène certifié OEKO-TEX Standard 100 et dans un polyuréthane entièrement recyclablepour réduire l’impact écologique.

Une gamme d’accessoires (des bobs, des masques faciaux et des bandeaux) et une ligne de chokers en cuir fabriqués à Paris viennent compléter la collection femme, enrichie de pièces masculines.

marinehenrion.com

read more
ArchivesMagazine

KENZO TAKADA, l’Eternité en couleurs

Il était reconnaissable pour sa silhouette d’éternel adolescent, son visage rond et ses lunettes. Avec le temps, il avait changé sa coupe de cheveux, pour un look plus posé mais dès qu’il souriait, le jeune Kenzo Takada débarqué du « Cambodge » à Marseille en provenance de Yokohama en 1965, réapparaissait.

Né le 27 février 1939 à Himeji, près d’Osaka, Kenzo se passionne pour le dessin et pour la couture, qui était enseignée à ses sœurs. Formé au Bunka Fashion College (prestigieuse école de couture à Tokyo), il réalisait le rêve de tout amoureux de la mode en s’installant à Paris. Son talent, son charme et sa gentillesse lui ouvre toutes les portes.

Il crée sa première collection en 1970 dans sa première boutique de la galerie Vivienne. Il déménage à quelques pas en 1976, dans une boutique plus grande, donnant sur la place des Victoires, et fonde sa marque sous son seul prénom. Kenzo Takada marque les esprits en changeant les codes de la mode parisienne du moment. En insufflant un vent un vent de liberté, de la fraicheur, des couleurs acidulées.

« Quand il a montré ses premières créations, il s’est trompé de saison. Comme il ne maîtrisait pas le français, il a donc présenté la mauvaise ; l’été au lieu de l’hiver ou inversement, je ne sais plus, raconte Felipe Oliveira Baptista, directeur de la création de Kenzo depuis 2019. En dehors de l’anecdote, cela montre bien ce qu’était le monde de la mode dans les années 1970. »

Kenzo-Magazine ELLE 1970

En 1983, il lance sa ligne masculine, puis son premier parfum (Kenzo Kenzo) en 1988. En 1993, la marque est rachetée par le groupe de luxe LVMH. Kenzo Takada quitte la mode en 1999, sur un dernier défilé grandiose au Zénith de Paris, auquel avaient assisté 4000 personnes.

Il se consacrait depuis à des projets plus ponctuels, et a sa passion pour l’Art. En 2009, il vend son incroyable maison japonaise du quartier de la Bastille à Paris et en même temps, il disperse la majeur partie de sa collection d’art.

Photo: Jo ZHOU

Il organise en 2019 à l’occasion de ses 80 ans la fête « Arigato Paris ! » (« merci » en japonais) au Pavillon Ledoyen. C’est une façon de remercier toutes les personnes qui ont marqué sa vie parisienne… Ses collaborateurs des années 1970, ses mannequins, les acteurs et chanteurs qu’il avait habillé, les créateurs et photographes de mode et enfin ses amis – Marpessa Henninck, Satya Oblette, Chantal Thomas, Inès de La Fressange, Cristina Cordula, Jean-Charles de Castelbajac, Arnaud Lemaire ou encore le photographe Jean-Marie Marion.

dessin@-Archives-Kenzo

Il restera pour toujours connu pour sa passion des imprimés graphiques, de la couleur et de sa vision du métissage, de l’Extrême-Orient et de la France, mais aussi de l’Afrique et du sportswear Américain.

Le créateur japonais s’est éteint à l’âge de 81 ans, dimanche 4 octobre 2020, à l’Hôpital Américain de Paris, des suites du Covid-19.

read more
ArchivesMagazineNews de Mode

Tod’s Compétition

Légèreté, style et performance s’associent dans la création de la réédition du modèle emblématique de sneaker homme de la Maison Tod’s baptisé Tod’s Compétition.

Cette chaussure inspirée du monde du yachting est définitivement un modèle essentiel à avoir, fonctionnel et intemporel pour se promener sur les plages de Biarritz ou de Capri, flâner sur un quai en Bretagne ou sur le port de Saint Tropez.

Initialement conçu par la maison Tod’s en 1995 pour l’équipage Moro di Venezia, le voilier italien qui a participé à l’America’s Cup, la célèbre course nautique, ce modèle original qui a su évoluer pour être totalement dans l’air du temps revient cette saison comme un incontournable et évoque des moments de liberté et de détente dans la collection P/E 2020 pour profiter de l’été et de l’arrière saison.

 

read more
ArchivesEditoMagazine

UNDER THE SUN by DAVID GARCIA

From Blakemag Archives, a fashion editorial shot by Photographer David Garcia @davidgarciaphotographer 

Caporal shirt, Nin pants, Dulcros scapular, Tomas Sabo watch
Xevi Fernandez raincoat, Guess jersey & bermuda, G-Star Raw slippers
Guess Marciano jacket & pants, H&M tee-shirt, Armani belt, G-Star Raw slippers
G-Star raincoat, Sandro shorts, G-Star shoes,, Mandarina Duck backpack
Guess Marciano jacket, Dolce & Gabanna t-shirt, Calvin Klein cap, Dirk Bikkernbergs sandals, Levi’s bracelet
Torras jacket, Etro pants & t-shirt, G-Star shoes
Ray-Ban sunglasses, Sandro pants

 

Model: Mario Zabala from Sight Management
Photographer assistant: Yasmina Ikimou / Make up/Hair: Alex Salvat
Stylist: Chiqui Peña / Stylist assistant: Blanca Darné

read more
ArchivesSoins & Parfums

BDK – La Nouvelle Collection AZUR

Troisième et nouvelle collection de la Maison BDK Parfums, « Azur » est pour David Benedek (créateur de la maison BDK) un recueil de souvenirs olfactifs autour de la Méditerranée. Cette région, qui a marqué son enfance, continue aujourd’hui encore d’avoir une certaine influence sur ce jeune passionné de parfum. Premières créations de cette nouvelle collection, Citrus Riviera et Sel d’Argent invitent à un premier voyage entre la Corse et la Côte d’Azur.

« La Méditerranée a marqué mon enfance et continue d’avoir une certaine influence sur moi au point d’aimer m’y ressourcer régulièrement. Peut-être parce qu’elle côtoie à elle seule trois continents, l’Europe et notamment la France où je vis, l’Asie où je suis parti étudier, et l’Afrique d’où je tire une partie de mes origines. Pour la nouvelle collection de la Maison BDK Parfums, j’ai voulu partager quelques-uns de mes plus beaux souvenirs autour de la Méditerranée si chère à mon cœur. Des moments magiques emprunts de paysages olfactifs si particuliers. Avec les deux premières créations, Citrus Riviera et Sel d’Argent, je vous invite à un premier voyage entre la Corse et la Côte d’Azur. » David Benedek

Citrus Riviera

Cap d’Antibes. C’est sur cette presqu’île de la Côte d’Azur que David Benedek aime retrouver ses amis et sa famille. Une maison blanche cachée au milieu d’une flore sauvage, presque invisible aux yeux des tout-venant, dont on décèle la présence grâce à des éclats de rire. Entre balades parmi les arbres fruitiers du jardin, déjeuners qui s’éternisent au bord de la piscine et confessions à l’heure de la sieste, cet endroit reste le symbole d’une joie estivale partagée qui, chaque année, rend la vie plus belle.

 

 

Voici le détails olfactif de ce parfum :

-TÊTE : Essence de Néroli du Maroc, Essence de Mandarine d’Italie,

Essence de Citron d’Italie, Accord Figue.

-COEUR : Absolu de Fleur d’Oranger du Maroc, Jasmin, Fraise, Essence

d’Eucalyptus, Absolu d’Immortelle.

-FOND : Muscs blancs, Patchouli d’Indonésie, Vétiver d’Haïti, Absolu de

Fève Tonka.

-Famille : hespéridé boisé

Parfumeur : Ralf Schwieger (Mane)

Prix :150 € les 100 ml

 

 

Sel d’Argent

Porticcio. Enfant, David Benedek avait l’habitude de passer quinze jours dans un hôtel de ce village corse avec sa sœur et sa grand-mère. Un lieu dans lequel il revient régulièrement, sur ces hauteurs qui dominent le golfe d’Ajaccio, et où les souvenirs d’enfance ont laissé place à des moments intimes partagés dans la sensualité de l’été. Quand sonne la fin des vacances, reste alors en mémoire les balades dans le maquis et, surtout, les après-midis en bord de mer. Allongés sur le sable fin, les corps mouillés, l’un contre l’autre, qui exhalent un léger goût de sel à mesure que la peau se réchauffe sous les rayons du soleil laissent un brin de nostalgie…jusqu’à l’été prochain.

 

 

 

 

Voici le détails olfactif de ce parfum :

-TÊTE : Essence de Bergamote d’Italie, Pamplemousse, Accord salé.

-CŒUR : Absolu de Fleur d’Oranger de Tunisie, Essence d’Ylang

Ylang de Madagascar, Essence de Galbanum d’Iran.

-FOND : Ambroxan, Cashmeran, Timbersilk*, Muscs Blancs.

Famille : salé musqué

Parfumeur : Anne-Sophie Behaghel (Flair)

Prix :150 € les 100 ml

 

 

 

Disponible dans les boutiques françaises de référence en matière de parfumerie indépendante, ainsi que dans une sélection de plus de 200 points de vente à l’international et sur www.bdkparfums.com

Instagram : @bdkparfumsparis – #collectionazur

Nous avons rencontré le créateur de la maison BDK, David Benedek :

La maison de Parfum BDK a été crée par David Benedek le 23 juin 2016. Il est d’origine roumaine. Quand son père, avocat, vient vivre en France il ne peut exercer son métier et décide alors d’ouvrir une parfumerie avec la grand-mère de David. C’est ainsi que David grandira dans les senteurs enivrantes de la boutique de sa famille. Interview :

-Quel est votre parcours ?

Après une base d’études scientifiques, j’ai poursuivi dans une voie économique et gestion puis j’ai fait l’Institut Français de la Mode, en suivant le parcours parfums et cosmétiques. C’est là que j’ai été éduqué aux matières premières de la parfumerie et à écrire les formules. Je ne suis pas un “nez” mais je suis capable de reconnaître plus de 300 matières premières de base. Un “nez” en parfumerie c’est quelqu’un qui sait analyser la fragrance d’un produit (ce qu’il sent) et en attester la qualité, et qui mélange les senteurs pour créer des parfums. Pour créer mes parfums je m’entoure donc de “nez” avec lesquels je développe mes idées et crée les formules de mes parfums.

-Quel est l’ADN de BDK ?

J’ai voulu créer une Maison de parfum contemporaine et indépendante. Notre histoire est authentique par notre histoire familiale. Je n’ai pas voulu créer une marque conceptuelle. Je veux l’inscrire dans le temps. Je veux remettre au goût du jour la belle parfumerie, en m’inspirant de la tradition mais de manière très contemporaine.

-Quand vous créez une fragrance comment cela se passe ?

Quand je lance une fragrance c’est une idée qui va être très développée et aboutie, parfois cela me prend un an, voir trois, pour élaborer un parfum. Je veux que mes fragrances s’inscrivent dans la durée et dans le temps. Mes parfums racontent des histoires, des instants vécus.

-Comment avez-vous créé la forme de la bouteille ?

Le flacon en verre est fabriqué en Normandie. J’ai dessiné le capot avec une amie de l’institut français de la mode et on a repris le dôme du Grand Palais. On avait envie d’une inspiration “art déco” et de quelque chose de parisien. Toute la bouteille est fabriquée en France, j’ai envie de travailler avec des fabricants français, c’est important pour nous.

-D’où viennent les produits de bases pour la création des jus ?

Mon premier parfumeur avec qui j’ai travaillé est chez le parfumeur Mane. C’est un laboratoire situé à Grasse. On a commencé à travailler ensemble et à créer les premières fragrance. Les parfums sont donc créés à Gasse et mis en alcool à Chartres. Les matières premières viennent du monde entier.

-Vous travailler avec des nez, c’est eux qui font vos parfums ?

Les nez sont salariés pour des parfumeurs comme Mane et moi je travaille avec des maisons de parfumeurs.

-Comment ce passe le processus de création de vos parfums ?

J’écris des briefs olfactifs, je travaille beaucoup sous forme d’images, je travaille beaucoup avec les mots et des matières premières. J’envoie ce brief au parfumeur qui le donne à son nez. Aujourd’hui avec le temps, 4 ans maintenant, j’ai créé des relations plus étroites avec les parfumeurs. Maintenant je travaille avec les même parfumeurs qui connaissent bien la marque et son empreinte olfactive.

 

-Quelle est-elle cette empreinte olfactive ?

Grande question (rire), chez BDK on est dans la nuance et le raffinement. Je veux une écriture ni trop courte, ni trop longue. J’aime que ce soit linéaire sur la peau, que ca tienne et que cela ne retombe pas, mais qu’il y ait des nuances qui vont et qui viennent autour de l’axe central.

-On retrouve BDK en France et dans le monde ?

On reçoit beaucoup de messages sur instagram. On parle de nous dans la presse. C’est très agréable. Les français commencent à connaître de plus en plus la marque, c’est une grande satisfaction d’être reconnu par ses paires. En ce moment c’est assez fou, il y a beaucoup de demande au Japon. On est dans 24 pays dans le monde, on nous trouve dans environ 230 points de ventes dans le monde. On vient d’arriver aux Etats-unis avec deux magasins à Los Angeles et à New York et un à Miami.

-Avez-vous des envies de collaborations ?

Oui, j’aimerais beaucoup travailler sur des installations olfactive, par exemple avec la RATP pour ré-enchanter le parcours d’un voyageur dans la rame de métro.

-Si vous deviez créer là tout de suite un parfum tout seul ?

Ce serait un musc blanc, assez sensuel, pas du tout aldéïdé, c’est-à-dire pas métallique, dans la transparence, de l’evernil (c’est de la mousse de chêne boisée), fougère, bois de sental crémeux, bois muscé mais transparent. Et des notes montante de bois. Pas trop dans les fleurs, pas en ce moment.

-Quel parfum portez-vous ?

En ce moment ? Ce matin j’ai mis Sel d’argent, mais je change tout le temps, et je ne porte pas que mes parfums. J’aime voir ce qui se fait ailleurs. Ce sont les autres maisons de parfums qui m’ont donné envie de créer ma propre maison. J’ai été très inspiré par les maisons Frederique Malle et Francis Kurkdjian. Je devrais pas dire ça mais je ne suis pas fidèle en parfumerie. Pour moi un parfum a un message particulier et je ne veux pas porter tous les jours le même message. Un parfum que vous n’avez pas porté depuis longtemps, quand vous le remettez c’est une vague de souvenirs qui revient. Mais aujourd’hui j’ai un rapport plus technique avec les parfums, c’est le défaut professionnel.

 

 

-Quel est votre parfum préféré dans votre gamme ?

C’est comme de demander à un parent qui a trois enfants, qui est son préféré…difficile cette question. Je les aime tous ! Hmmmmm…Ce serait bouquet de Hongrie que j’avais fait en pensant à ma grand mère. C’est le seul qu’elle ait senti avant de partir et même si ce n’était pas le style de parfum qu’elle portait, elle l’aimait bien. C’est un bouquet floral vert, très aquatique. J’avais été inspiré par les jardins en Roumanie. Ce sont des jardins peu fleuri, très champêtres mais avec beaucoup de tiges vertes, un peu désuet, très charmant. Ce parfum c’est un hommage à ma grand-mère et en plus c’est un de nos best-seller. C’est un parfum de coeur en fait. J’adore porter Crème de Cuire par exemple…très dure de choisir (rire).

 

-Avez-vous d’autres envies d’entreprendre :

Ah oui, oui, travailler autour des glaces. Je trouve qu’il y a un vrai lien entre l’olfactif et les glaces. Je souhaite travailler sur des parfums de glace. D’abord parce que j’adore les desserts et la glace, ensuite je crois qu’il y a beaucoup de chose à faire dans le monde des glaces.

 

Article écrit par Alexis Dumétier

Photos : BDK parfums et Alexis Dumetier

 

read more
ArchivesHorlogerieMagazine

BULGARI, la OCTO FINISSIMO S

BULGARI présente sa nouvelle création. Conçue avec passion, réalisée avec excellence et virtuosité, l’Octo Finissimo continue à créer une onde de choc dans l’univers horloger contemporain avec la nouvelle Octo Finissimo Acier, dotée du mouvement automatique le plus fin au monde et une résistance à l’eau de 100 mètres, prouesse rendue possible grâce à un léger agrandissement de la boite à 6.4mm et l’ajout d’une couronne vissée. La saga Octo Finissimo est portée par une passion pour l’excellence, le sens du moindre détail et un savoir-faire exceptionnel appliqué à toutes ses déclinaisons. L’histoire est aussi celle de la performance. Octo se distingue par sa virtuosité mécanique et puise dans l’expertise horlogère suisse pour créer de nouvelles éditions qui sont autant de chefs d’oeuvre techniques, leurs prouesses étant sublimées par la finesse des montres.

Depuis ses débuts en 2014, Octo Finissimo repousse les frontières du style, réussissant la fusion rare entre vision esthétique inédite et complexité mécanique pour chacun de ses six modèles détenteurs de records mondiaux. Les amateurs d’Octo sont divers, allant des grands connaisseurs de complications à ceux qui chassent les nouvelles tendances horlogères – démonstration du statut d’icône moderne de la collection. Octo Finissimo a toujours été pionnière dans l’univers de l’horlogerie. Ce qui la démarque, au-delà de son extrême finesse, est son ultra-performance. C’est un puissant concentré de réalisation technique, doté de dimensions cassant les codes de la convention. Lauréate de plus de 50 prix depuis 2014, Octo a redessiné le paysage horloger masculin pour transformer les paramètres de la montre urbaine contemporaine. Elle a été conçue pour être unique, différente de toutes les autres. Avec Octo, Bvlgari a imaginé une nouvelle forme pour les montres contemporaines masculines, créant une rupture sur la scène de montres ultraplates.

La dernière montre Octo continue à enrichir la saga Octo Finissimo et confirmer son rôle innovant. Dévoilée à Dubai cette année avec un cadran en laque noire polie, l’Octo Finissimo Automatique Acier Satiné se pare aujourd’hui d’un cadran en laque polie bleue. Ces lancements témoignent d’un grand tournant pour Bulgari et la collection, pour aller vers le luxe à la fois discret et adaptable. « Nous accompagnons la transition de ces garde-temps aux multiples records d’un statut de Formule 1 à celui de Grand Tourisme – une voiture extraordinaire qui se conduit tous les jours. Par rapport au bolide de course nous proposons un SUV de luxe, étanche jusqu’à 100 mètres. Avec la couronne vissée vous pouvez plonger, nager, prendre une douche. Cette montre s’adapte à toutes les situations, de sport chic à élégance urbaine – elle vous accompagne du court de tennis au comité de direction » selon Jean-Christophe Babin. Six ans après, Octo confirme son statut de star sur la scène des montres masculines. En 2020, elle continue à servir de modèle du genre avec de nouvelles réinterprétations jouant sur l’esthétique de la collection pour l’amener vers un univers sport-chic contemporain dans lequel l’ultra-performance et le style vont main dans la main. Ces chefs-d’oeuvre techniques offrent le meilleur du design italien pour incarner parfaitement le talent de Bvlgari, le joaillier romain du temps. Elles nourrissent l’histoire d’Octo, qui a, depuis sa création il y a six ans, démontré encore et encore son rayonnement en tant qu’icone horlogère moderne.

read more
ArchivesMagazineNews de Mode

Converse: l’histoire de la Chuck Taylor

La Chuck Taylor est la basket originale devenue une icône culturelle. Avec cette chaussure, le basket a été présenté comme un sport à prendre au sérieux. Sa tige en toile, son emblème All-Star et sa semelle en caoutchouc vulcanisé sont reconnues dans le monde entier. Depuis plus de 100 ans, le Chuck Taylor a été adopté par les athlètes, les rebelles, les rockers, les artistes, les rêveurs, les penseurs et les originaux comme symbole de style, d’expression de soi et d’accessibilité.

Avant qu’une sneaker en toile n’entre sur un terrain de basket et avant que la Chuck Taylor All Star ne devienne un symbole d’expression mondialement reconnu, Marquis Converse a fondé la Converse Rubber Shoe Company en 1908. L’année suivante, Converse a créé ses premiers produits – dix galoches en caoutchouc – le 30 avril 1909. Au début, l’offre de produits comprenait aussi des pneus à triple bande de roulement et des bottes de chasse en cuir, pour n’en nommer que quelques-uns.

En 1917, Converse a introduit la chaussure antidérapante – l’une des premières chaussures spécifiquement conçues pour le basket-ball – et a breveté le motif de la bande de roulement en diamant de la chaussure pour le nouveau sport. En 1919, le Non-Skid a été renommé All Star.

En 1922, le vendeur de Converse Chuck Taylor a accueilli le premier programme de basket-ball en Caroline du Nord. Taylor a dirigé des programmes pour enseigner les principes fondamentaux du basket-ball aux entraîneurs et aux étudiants, et les emmener dans des magasins d’articles de sport pour acheter des Converse All Stars. Cela a conduit Taylor à devenir synonyme de silhouette, et Converse ajoutera « Chuck Taylor » à la All Star en 1934.

Pendant les 30 premières années, la All Star était un équipement de performance en constante amélioration qui a fait évoluer la chaussure de basket-ball dans les années 50 et 60. Ainsi, elle apparaissait aux pieds de la première grande équipe féminine de basket-ball (The Edmonton Grads) en 1924, parrainée par Converse. Puis aux pieds de la première équipe de basket-ball de la Team USA en 1936. Du premier match de championnat de basket-ball de la NCAA en 1939. Egalement, aux pieds des joueurs du premier match de 100 points en 1962 (par Wilt Chamberlain), etc.

En 1936, le basket-ball est devenu un sport olympique et Converse a été le premier à parrainer l’équipe des États-Unis. Converse a équipé l’équipe de All Stars blanches personnalisées, et pour se démarquer davantage sur la scène internationale, elles ont ajouté une bande patriotique rouge et bleue sur la bande. À l’époque, l’All Star n’était disponible qu’en noir. Cependant, après le succès de l’équipe américaine, Converse a définitivement ajouté le nouveau colori blanc à sa gamme de produits. La marque a continué de parrainer les équipes de basket-ball des États-Unis jusqu’aux Jeux olympiques de 1992.

En 1957, Converse a présenté pour la première fois le low top, ou oxford / ox, Chuck Taylor qui intégre la hauteur de cheville idéale avec les Harlem Globetrotters, une équipe qu’elle a parrainée pendant plus de 50 ans. Peu de temps après son introduction, le low top a décollé en Californie.

L’introduction de la toile de couleur en 1971 a contribué à affirmer la sneaker comme le point final d’une une silhouette décontractée. Depuis l’introduction de la couleur il y a près de 50 ans, la marque a développé 272 couleurs de toile.

Après les années 1970, les chaussures de basket en cuir sont devenues la norme sur le terrain. Alors que le Chuck Taylor All Star a été adoptée par les rebelles, les rockers, les artistes, les rêveurs, les penseurs et les originaux comme symbole de style et d’expression de soi . Les caractéristiques de changements des années 70 ont été jugées inutiles et mises de côté … reconduisant au modèle All Star de base noir et toile blanche que nous connaissons aujourd’hui.

En 2013, Converse a présenté la Chuck 70, la silhouette est celle de la Chuck Taylor All Star telle qu’elle était en 1970/1971. Il s’agit essentiellement d’une refonte de la dernière version de performance de basket-ball de la Chuck Taylor All Star qui a été faite – comme représenté par la toile et le caoutchouc extra-lourds, l’amorti supplémentaire, le point de langue de l’aile et même le pare-chocs d’orteil placé de manière asymétrique.

Le design actuel est basé sur une Chuck Taylor de 1971 que Converse a acquis auprès d’eBay.

Chuck 70 est rapidement devenue le choix du designer en raison de ses matériaux haut de gamme, de ses nuances délibérées et de son extraordinaire attention aux détails. Ces derniers temps, Rei Kawakubo, Missoni, Colette, Jonathan Anderson et Virgil Abloh ont tous collaboré sur la silhouette, réinventant l’icônique chaussure à travers le prisme de la mode contemporaine et streetwear.

read more
ArchivesMagazineNews de Mode

Barbour International: la collection Steve McQueen été 2020

Barbour International – la collection Steve McQueen Printemps Été 2020 présente de nouveaux imprimés d’archives audacieux et des influences américaines

Mettant en avant la longue association de Barbour International avec l’acteur et pilote américain Steve McQueen, la collection Barbour International Steve McQueen comprend une sélection de vestes cirées dans le style café racer, de pièces à matelassage linéaire et de vestes militaires décontractées.

Motocross World Championship: Steve Mac Queen To Participate In The Six Days Of Erfurt – Photo by Francois Gragnon/Paris Match via Getty Images

Des imprimés graphiques de course dans le désert ornent les t-shirts, tandis que des pulls confortables et des chemises en coton à carreaux d’inspiration américaine complètent une gamme au style intemporel.

De nouveaux carreaux, du denim classique et des tissus de chambray confèrent un esprit contemporain à cette collection aux tons vert fougère, orange désertique, sable et bleu encre, pour une esthétique preppy tendance et résolument estivale.

La veste cirée Barbour International Steve McQueen Johnida est une réinterprétation moderne des vestes vintage de café racer. Dotée d’un court col droit à fermeture zippée, d’un extérieur en coton ciré ainsi que de poignets et de poches à pressions, la veste est agrémentée d’un double logo brodé sur la manche gauche et d’une doublure reprenant les étoiles et les rayures du drapeau des États-Unis.

La veste matelassée Barbour International Steve McQueen Glance est un vêtement d’extérieur élégant et décontracté. Muni d’une fermeture zippée sur le devant, d’un col droit doublé de velours côtelé, de poches latérales passepoilées et d’ourlets à côtes, ce blouson aviateur est enrichi d’un double logo ton sur ton sur la manche et se décline dans des coloris sable et bleu marine traditionnels.

Arborant une photo d’archives de Steve McQueen imprimée sur la poitrine, le t-shirt Barbour International Steve McQueen Relaxed est un modèle décontracté à col ras de cou destiné aussi bien aux collectionneurs qu’aux amateurs de course. Ce t-shirt présente une coupe nette et un double logo imprimé à l’intérieur du col pour un look estival à la fois branché et décontracté.

Inspiré du style personnel de Steve McQueen lui-même, le pull Barbour International Steve McQueen Team Flags est un sweat-shirt classique présentant l’aspect délavé d’un ancien vêtement fétiche. Conçu dans un tissu de poids moyen avec des côtes sur l’encolure, les poignets et l’ourlet, le sweat-shirt est agrémenté des drapeaux britannique et américain sur la poitrine et au dos.

La chemise Barbour International Steve McQueen Tom est un modèle léger et vintage en denim de coton affichant un authentique style western. Avec ses poches de poitrine, son col boutonné et sa vive couleur indigo, cette chemise décontractée est idéale pour toutes les occasions décontractées.

La collection Barbour International Steve McQueen est disponible depuis février 2020 sur barbourinternational.com et auprès d’une sélection de revendeurs.

www.barbourinternational.com

read more
1 2 3 4 5 13
Page 3 of 13