close

france

ArchivesHorlogerieMagazine

CHOPARD: L’élégance, c’est la simplicité

Chopard signe une première collaboration avec les ateliers Kiton, maîtres du tailleur italien avec le garde-temps L.U.C XP Il Sarto Kiton. Une édition très limitée de 100 montres extra-plates en acier DLC microbillé sobrement habillées d’un cadran à motif pied-de-poule et d’un bracelet en cachemire couleur ardoise doublé de cuir d’alligator rouge. Avec cela, une excellence mécanique garantie par le mouvement automatique L.U.C 96.53-L, équipé d’un micro rotor en tungstène et de la technologie Chopard Twin assurant plus de deux jours d’autonomie. Le meilleur de la Haute Horlogerie suisse et de la sprezzatura italienne.

©Patrick Csajko

Connu pour son élégance faite d’épure et de simplicité, le garde-temps extra-plat L.U.C XP se pare d’un costume taillé sur mesure par les artisans des ateliers Kiton. Entre l’horloger suisse et le couturier napolitain, la rencontre semblait écrite. Maisons familiales commises à une même vision de l’artisanat et des traditions, ces deux grands noms de l’élégance masculine ont uni leurs savoir-faire pour façonner la montre L.U.C XP Il Sarto Kiton. D’un coté, Karl-Friedrich Scheufele, coprésident de Chopard et père de Chopard Manufacture en 1996, apporte sa conception d’une Haute Horlogerie traditionnelle tournée vers le monde contemporain et les innovations du XXIe siècle. De l’autre, la créativité féconde des disciples de Ciro Paone, le fondateur des ateliers Kiton en 1968 selon qui « l’Homme est une inépuisable source d’inspiration, chacun de ses pas est un appel à la création ».

Le L.U.C XP Il Sarto Kiton, c’est d’abord des proportions parfaites grâce à un boîtier de 40mm de diamètre pour seulement 7,2mm d’épaisseur. Une allure extra-plate qui permet un réel confort de porter et impose la simplicité, deux impératifs qui résument la philosophie de la collection L.U.C et font toute son élégance. Et un écho à la maxime de Ciro Paone : « L’élégance doit être associée avec la simplicité ». L’allure de ce garde-temps réside aussi dans son uniformité chromatique : une belle silhouette noire, subtilement taillée dans les nuances ardoise du boîtier en acier DLC (Diamond-Like Carbon) microbillé, du cadran et du bracelet.

Sur le cadran en laiton obtenu par traitement galvanique et finitions laquées, la patte des ateliers Kiton s’impose dès le premier coup d’œil avec le motif pied-de-poule fétiche du tailleur napolitain depuis qu’il a racheté aux enchères la garde-robe du roi d’Angleterre Edouard VIII, salué, sinon pour son règne éphémère, pour son élégance de dandy. Sur cet arrière-plan foncé, les chiffres dorés, assortis aux index et aux aiguilles dauphine fusée permettent une parfaite lisibilité des heures et des minutes. Les indications des quarts d’heure ainsi que le logo Kiton placé à 6h apportent une subtile touche de rouge, reprise dans les surpiqûres du bracelet.

Le bracelet quant à lui témoigne d’une même démarche artisanale. Il est réalisé à la main, sans traitement chimique, dans un doux mélange de cachemire mongol, de laine et de flanelle avec un léger ajout d’élasthanne pour un meilleur confort de porter. Ce riche bracelet est doublé d’alligator rouge. La montre est également vendue avec un second bracelet en cuir d’alligator noir également doublé d’alligator rouge.

read more
ArchivesMagazineNews de Mode

Ace Denim, le jeans parfait!

Créée en 2018 par Bertrand Boll et Guillaume Rava, Ace Denim offre une nouvelle vision du pantalon Denim haut de gamme. L’Art du détail est le maître-mot. Offrir un style unique, sophistiqué et coloré est l’objectif que s’est donné le duo fondateur. Soucieux des impacts de l’industrie du jean sur notre planète, les pièces sont produites en quantités limitées et de manière responsable.
Investir leur passion, leur énergie ainsi que leur savoir-faire unique au service des hommes est l’objectif de Bertrand et Guillaume pour proposer une version du pantalon denim haut de gamme novatrice. Ace Denim, calquant les ambitions et les exigences du duo, s’impose comme étant la nouvelle marque de Denim qui saura en séduire plus d’un.

La qualité du produit est une obsession, une passion et pousse Guillaume et Bertrand à être perpétuellement en quête de la perfection. L’essence même de chacune de leurs collections est d’offrir des produits parfaitement adéquats à chaque situation quotidienne, tout en reflétant leur philosophie. Passionnés de voyage et en constante recherche de nouvelles inspirations, les fondateurs transposent leur Conquering Spirit au coeur de chacun de leurs projets. Avec Ace Denim, ils nous proposent aujourd’hui une nouvelle facette du jean haut de gamme et eco-friendly.

Les denims, pensés et conçus en opposition des méthodes fast fashion, respectent une même philosophie : une coupe et un style unique pour un look moderne inégalable. La collection reflète l’image de cet homme conquérant, entreprenant, en perpétuel mouvement et en quête des dernières nouveautés. Proposer des pièces adaptables à chaque moment de vie, reflète parfaitement l’esprit de Ace Denim. Tous les pantalons de la collection respectent la même philosophie et arborent la même coupe. Chacun des modèles est pensé et créé de façon à pouvoir « fiter » toutes les silhouettes, sans aucune retouche nécessaire. L’ensemble des denims sont confectionnés avec des tissus dit « bi-stretch » et « mono-stretch », qui garantissent un confort absolu tout en gardant une allure moderne, dans l’air du temps. Ne cherchez plus, voici le pantalon novateur qui vous offrira la silhouette
parfaite, pour un look ultra branché !

Le jean Ace Denim est une œuvre d’art à part entière avec un style inégalable et orné de détails luxueux et reconnaissables. Les fils de couture contrastés, les boutons travaillés avec finesse, le patch « signature » au dos ou encore les « pop art » exclusifs imprimés à l’intérieur des fonds de poches font du denim un must have en toutes circonstances. Ace Denim c’est aussi un savoir-faire incomparable venu tout droit de leur atelier italien, temple de la mode et du design. L’industrie du textile et en particulier celle du jean soulève des enjeux environnementaux forts. De par sa consommation en eau, son utilisation de produits toxiques et autres polluants, elle est au coeur des sujets écologiques de notre société.

Le Denim du futur est donc pour Ace Denim, une pièce éco-responsable. Engagés pour offrir des produits nobles et soucieux des enjeux, Bertrand Boll et Guillaume Rava se veulent novateur dans leur production, limitée en quantité afin de maitriser parfaitement la qualité du produit et son empreinte écologique. Les jeans sont fabriqués dans l’une des très rares usines au monde proposant des méthodes de production éco-responsables via la technologie Hydroless. Cette innovation consiste à économiser 90% d’eau lors de la production de Denim. Fini les délavages, place aux lasers pour embellir le jean. Ace Denim, c’est aussi proposer des pièces durables avec des matériaux de choix afin de préserver l’environnement et de réduire au mieux les impacts écologiques. 

 

 

 

 

read more
ArchivesMagazineNews de Mode

BERET LAULHÈRE : L’ANNIVERSAIRE D’UNE PIÈCE MYTHIQUE

Un béret Laulhère, c’est avant tout une histoire d’exception…
Cette histoire commence il y a 180 ans à Oloron Sainte-Marie, petite ville du Béarn. C’est ici, au pied des montagnes pyrénéennes, que prend naissance un mythe qui perdure depuis plus de six générations : celui du béret !
C’est l’histoire d’un savoir-faire préservé, guidé par la passion d’hommes et de femmes depuis 1840 : des gestes uniques et précis qui façonnent un béret issu d’un fabuleux mélange de tradition, d’élégance et d’irrévérence. Chaque geste est un secret que seuls les initiés chez Laulhère connaissent. Cette maîtrise est le fruit d’un long travail où observation, curiosité, minutie et talent s’allient pour créer une identité propre à chaque création.

 

Chez Laulhère, tout Maître d’Art a le devoir de transmettre ses connaissances et son agilité afin que cet ADN et ce savoir-faire propres à la maison, perdurent.
Cette histoire est magnifiée par des matières premières nobles et naturelles de qualité supérieure travaillées en collaboration avec des fournisseurs locaux. Ainsi élues, ces matières donnent naissance à un béret unique et authentique, conçu pour durer toute une vie.


Le béret est un basique, un indispensable de la garde-robe qui conjugue luxe, tradition et modernité. Alors on le porte, on le sort à chaque occasion, et on le transmet. Depuis 180 ans, des célébrités aussi singulières que fascinantes se font les égéries du béret. Du berger basque fier de ses origines, en passant par le Che révolutionnaire, l’espiègle Picasso, Brigitte Bardot l’insoumise, l’affranchie Madonna mais aussi Beyoncé la militante, tous affirment leurs engagements et leur liberté vêtus d’un béret.

Le béret Laulhère reste un intemporel, un symbole d’une personnalité forte. Il est inspirant et audacieux comme les personnes qui le portent. Chaque jour, la maison repousse les limites, montre que la tradition n’est pas figée, qu’elle est une transmission vivante entre hier et demain.


Pendant 180 ans, le béret Laulhère, fort de son héritage, a su s’adapter au quotidien et à ses nouveaux modes de vie.
Créativité et innovation restent la priorité pour une mode engagée et durable. L’utilisation de nouvelles matières, de teintures aux pigments naturels démontrent l’implication et les efforts de Laulhère pour sublimer le traditionnel béret.
180 ans de savoir-faire, de tradition, de créativité, de liberté et de modernité. C’est tout cela que nous célébrons !

 

read more
ArchivesHorlogerieMagazine

Chopard Alpine Eagle, la collection s’étoffe!

Chopard dévoile trois nouveaux modèles au sein de la collection de garde-temps à bracelet intégré Alpine Eagle, lancée avec succès en 2019 : deux en format Large taillés dans l’or éthique rose, ainsi qu’un modèle Small en Lucent Steel A223 dont la lunette se pare de diamants. Du mouvement certifié chronomètre au boîtier, en passant par le cadran et le bracelet, les garde-temps Alpine Eagle, inspirés pas la puissance de l’aigle et des Alpes, sont entièrement réalisés dans les ateliers d’horlogerie de Chopard par les Artisans de la Maison.

Johannes Huebl Chopard Alpine Eagle XL Chrono ©Greg Williams

L’ADN de la collection

Imaginée par trois générations d’hommes de la famille Scheufele, la collection Alpine Eagle réinterprète avec modernité la montre St. Moritz, la première création horlogère de Karl-Friedrich Scheufele. Avec son design pur et affirmé, Alpine Eagle reflète la richesse créative, l’esprit visionnaire et l’engagement éthique de Chopard autant qu’elle s’inspire de la puissance de la nature. Des caractéristiques qui la destinent aux aigles contemporains, ces hommes aspirationnels qui surperforment dans leur vie quotidienne et dont la vision inspire et élève. La collection signe une allure contemporaine et élégante : un boîtier rond aux flancs stylisés, une couronne gravée de la rose des vents, une lunette à huit vis fonctionnelles indexées, un cadran texturé aux teintes profondes et aux indications luminescentes, et enfin un bracelet métal intégré.

Alpine Eagle Large

Alpine Eagle Large 

Précieuse et éthique. Deux modèles inédits à boîtier et bracelet entièrement façonnés dans l’or rose 18 carats viennent enrichir la ligne Alpine Eagle Large, d’un diamètre de 41mm, proposée jusqu’ici en Lucent Steel A223 ou bi-matière. Gage de l’engagement de Chopard pour un luxe responsable, et à l’image de toutes les créations horlogères et joaillières sorties de ses ateliers depuis juillet 2018, l’or utilisé pour les Alpine Eagle Large est éthique.

Alpine Eagle Small

Alpine Eagle Small 

Pure et éclatante. La gamme de garde-temps Alpine Eagle Small, d’un diamètre de 36 mm, qui comptait jusqu’à présent sept références en Lucent Steel A223, or éthique ou bi-matière, accueille également un nouveau modèle en Lucent Steel A223 avec cadran Bleu Aletsch illuminé d’un sertissage de diamants sur la lunette, aussi bien adapté à un poignet masculin que féminin. À l’image de tous les garde-temps Alpine Eagle, cette nouvelle montre abrite un mouvement mécanique à remontage automatique Chopard certifié chronomètre par le COSC : le calibre Chopard 09.01-C, pourvu d’une réserve de marche de 42 heures.

 

 

 

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Wakaze : un saké 100% français créé par des japonais

Nous avons découvert le saké Wakaze (la « brise du Japon » en français), un saké français fait à quelques kilomètre de Paris, à Fresnes, créé avec des produits français et bio par des maîtres japonais.

Le saké

Le saké est un alcool léger (entre 5 et 19 degrés), aux notes délicates souvent florales, fruitées, ou encore de riz. C’est un alcool qui peut se boire en apéritif, durant le repas ou en fin de repas. Il existe beaucoup de variétés de saké, il en existe même des pétillants.

Cet alcool que nous apprécions particulièrement, nous vous en parlons régulièrement.

La naissance de Wakaze

Aujourd’hui, nous tenons à vous présenter cette maison de saké créée par des Japonais en France et avec la volonté ferme de faire un saké 100 % français.

Takuma Inagawa et Shoya Imai, deviennent amis autour de leur passion commune pour le saké.

Takuma est un jeune entrepreneur de trente ans, né à Tokyo. Il découvre la France en venant faire deux ans d’études à Centrale Paris. Shoya Imai, contrairement à Takuma, connaît bien l’univers du saké : sa production est une tradition familiale.

Quand Takuma retourne au Japon, il crée avec Shoya : Wakaze.

Shoya est alors le Tôji (maître sakéificateur, l’équivalent de notre maître de chai) et Takuma s’occupe de la partie communication et marketing. Ce sera auprès de leur maître et mentor Amanoto, que Shoya apprendra toutes les subtilités de la confection du saké.

Ils ouvrent un bar à tapas attenant à la sagakura (lieu de création du saké) à Tokyo dans le quartier de Sangenjyaya, comme cela se fait en France dans ces bars où l’on peut boire la bière brassée sur place. C’est un succès.

Wakaze en France :

Takuma Inagawa garde un bon souvenir de ses années d’études à l’École Centrale de Paris. Il sait que le saké, en dehors d’une clientèle réduite d’amateurs initiés, est encore assez peu connu des Français. Il est persuadé que le saké pourrait être apprécié par une clientèle plus répandue, similaire à celle qui redécouvre aujourd’hui les bières artisanales. Il sait aussi que en France, il pourra élaborer avec Shoya le saké qu’ils veulent et expérimenter de nouvelles choses sans aucune contrainte liée à la tradition.

Arrive alors la deuxième phase du projet Wakaze : s’installer en France avec pour ambition de produire un saké 100% made in France et le rendre accessible aux Français en terme de prix, un saké de qualité.

C’est au Sud de Paris, à Fresnes, dans le Val-de-Marne, que Takuma trouve les 450m2 nécessaires pour déployer la sagakura : le lieu de création du saké. Takuma et Shoya travaillent avec une équipe de 17 personnes pour produire leur saké.

Wakaze, en France, a pu exister grâce à l’apport de plus d’un million d’euros par un fond japonais ; ce qui a permis de trouver le lieu de confection et d’équiper en cuves et en machines la sagakura pour qu’elle puisse avoir un fonctionnement autonome.

Takuma et Shoya ont décidé de faire un fonctionnement de crowdfunding pour leur production qui s’apparente plus à de la précommande. (Cf. adresse ULULE ci-dessous ; vous pourrez précommander des lots de bouteilles de saké en échange de votre contribution financière.)

Pour élaborer leur saké français, ils ont choisi un riz de Camargue bio ; ils utilisent l’eau francilienne filtrée. Elle contient beaucoup de minéraux par rapport à l’eau douce du Japon. Pour ce qui est du kôji, le champignon qui permet de transformer l’amidon du riz en sucre, ils utilisent le koji jaune mais aussi, le blanc pour retrouver l’acidité de nos vins blancs.

Pour la suite du processus et parce qu’ils sont en France, Shoya peut tout expérimenter et il ne s’en prive pas. Ce qui lui permet ainsi d’explorer de nouvelles saveurs pour leurs sakés : infusion de plantes, d’épices, levures diverses, vieillissements en fûts de chêne, de vins, mais aussi de cognac ou de calvados. Bref, aucune limite si ce n’est leur imagination.

Et le résultat est magnifique !

Notre découverte de Wakaze :

Nous avons eu la chance de faire une dégustation sur place avec les deux créateurs, leurs sakés sont de belles factures.

 

 

 

 

 

 

 

 

Un grand coup de cœur pour leur saké vieilli en fût de cognac : le nez est surprenant, belle complexité, car ce saké mélange les senteurs du cognac (de noix, de miel et boisée,…) et la finesse florale d’un saké junmai (sakés dits « pur riz » sans ajout d’alcool de distillation. Les junmai sont généralement plus acides et ont plus de corps que les autres sakés). En bouche, ce saké est frais et fruité mais aussi très ample sur des notes de cognac et de tanin. Mais pour autant, le final est frais et aqueux et laisse la bouche limpide. Les bonheurs des bons sakés en somme.

 

 

 

Si vous voulez faire vous aussi partie de l’expérience Wakaze et déguster leurs sakés vous pouvez participer à leur crowdfunding ULULE :

https://fr.ulule.com/wakaze-france/

Jusqu’à fin avril 2020, Wakaze offre aux particuliers les frais de livraison en France métropolitaine, à partir d’une bouteille achetée sur le site web de Wakaze.

Vous voulez découvrir de nouvelles saveurs et ne connaissez pas le saké, c’est une belle manière d’aborder cet elixir. Vous connaissez le saké et êtes amateur, Wakaze c’est l’occasion de découvrir une nouvelle approche pleine d’audace.

Nous, c’est décidé, on participe !

Site : www.wakaze-sake.com

 

Un article écrit par Alexis Dumétier

 

 

read more
ArchivesMagazine

KENZO TAKADA, l’Eternité en couleurs

Il était reconnaissable pour sa silhouette d’éternel adolescent, son visage rond et ses lunettes. Avec le temps, il avait changé sa coupe de cheveux, pour un look plus posé mais dès qu’il souriait, le jeune Kenzo Takada débarqué du « Cambodge » à Marseille en provenance de Yokohama en 1965, réapparaissait.

Né le 27 février 1939 à Himeji, près d’Osaka, Kenzo se passionne pour le dessin et pour la couture, qui était enseignée à ses sœurs. Formé au Bunka Fashion College (prestigieuse école de couture à Tokyo), il réalisait le rêve de tout amoureux de la mode en s’installant à Paris. Son talent, son charme et sa gentillesse lui ouvre toutes les portes.

Il crée sa première collection en 1970 dans sa première boutique de la galerie Vivienne. Il déménage à quelques pas en 1976, dans une boutique plus grande, donnant sur la place des Victoires, et fonde sa marque sous son seul prénom. Kenzo Takada marque les esprits en changeant les codes de la mode parisienne du moment. En insufflant un vent un vent de liberté, de la fraicheur, des couleurs acidulées.

« Quand il a montré ses premières créations, il s’est trompé de saison. Comme il ne maîtrisait pas le français, il a donc présenté la mauvaise ; l’été au lieu de l’hiver ou inversement, je ne sais plus, raconte Felipe Oliveira Baptista, directeur de la création de Kenzo depuis 2019. En dehors de l’anecdote, cela montre bien ce qu’était le monde de la mode dans les années 1970. »

Kenzo-Magazine ELLE 1970

En 1983, il lance sa ligne masculine, puis son premier parfum (Kenzo Kenzo) en 1988. En 1993, la marque est rachetée par le groupe de luxe LVMH. Kenzo Takada quitte la mode en 1999, sur un dernier défilé grandiose au Zénith de Paris, auquel avaient assisté 4000 personnes.

Il se consacrait depuis à des projets plus ponctuels, et a sa passion pour l’Art. En 2009, il vend son incroyable maison japonaise du quartier de la Bastille à Paris et en même temps, il disperse la majeur partie de sa collection d’art.

Photo: Jo ZHOU

Il organise en 2019 à l’occasion de ses 80 ans la fête « Arigato Paris ! » (« merci » en japonais) au Pavillon Ledoyen. C’est une façon de remercier toutes les personnes qui ont marqué sa vie parisienne… Ses collaborateurs des années 1970, ses mannequins, les acteurs et chanteurs qu’il avait habillé, les créateurs et photographes de mode et enfin ses amis – Marpessa Henninck, Satya Oblette, Chantal Thomas, Inès de La Fressange, Cristina Cordula, Jean-Charles de Castelbajac, Arnaud Lemaire ou encore le photographe Jean-Marie Marion.

dessin@-Archives-Kenzo

Il restera pour toujours connu pour sa passion des imprimés graphiques, de la couleur et de sa vision du métissage, de l’Extrême-Orient et de la France, mais aussi de l’Afrique et du sportswear Américain.

Le créateur japonais s’est éteint à l’âge de 81 ans, dimanche 4 octobre 2020, à l’Hôpital Américain de Paris, des suites du Covid-19.

read more
ArchivesLifestyleMagazine

CHANEL: Rétrospective au Palais Galliera

À la faveur de sa réouverture après des travaux d’extension, le Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris, présente la première rétrospective à Paris d’une couturière hors normes : Gabrielle Chanel (1883-1971).

H. Kollar – G.Chanel au Ritz

En effet, après une importante campagne de travaux, le Palais Galliera peut désormais présenter sur deux étages des expositions temporaires de plus grande envergure ou bien exposer sa collection permanente. Aménagées dans les caves voûtées en briques rouges et pierres de taille, sur une superficie de plus de 700 m², les nouvelles salles améliorent l’expérience de visite du public. L’offre de services est également développée grâce à la création d’une salle d’atelier pour les activités culturelles et pédagogiques au rez-de-jardin et d’une librairie au rez-de-chaussée.
La fermeture pour travaux du Palais Galliera aura enfin été l’occasion de rénover 5 000 m² de magnifiques façades et ornements architecturaux.

Photo GM – Palais Galliera

L’occasion de re découvrir le lieu en visitant la rétrospective consacrée à Chanel. Dans ces années où Paul Poiret domine la mode féminine, Gabrielle Chanel, va dès 1912, à Deauville, puis à Biarritz et Paris, révolutionner le monde de la couture, imprimer sur le corps de ses contemporaines un véritable manifeste de mode.

Avedon – Gabrielle Chanel & Suzy Parker. 1959

Chronologique, la première partie évoque ses débuts avec quelques pièces emblématiques dont la fameuse marinière en jersey de 1916; elle invite à suivre l’évolution du style de Chanel à l’allure chic : des petites robes noires et modèles sport des Années folles jusqu’aux robes sophistiquées des années 30. Une salle est consacrée au N°5 créé en 1921, quintessence de l’esprit de « Coco » Chanel.

N°5 de Chanel

En regard du parcours articulé en dix chapitres, dix portraits photographiques de Gabrielle Chanel ponctuent la scénographie et affirment combien la couturière a incarné sa marque. Puis vient la guerre, la fermeture de la maison de couture…seule subsiste à Paris au 31, rue Cambon la vente des parfums et des accessoires. Viennent ensuite Christian Dior et le New Look, ce style corseté qu’elle conteste. Gabrielle Chanel réagit avec son retour à la couture en 1954 et, à contre-courant, réaffirme son manifeste de mode.

F.Kollar – mannequin descendant l’escalier rue Cambon.

Thématique, la seconde partie de l’exposition invite à décrypter ses codes vestimentaires : tailleur en tweed gansé, escarpin bicolore, sac matelassé 2.55, couleurs noir et beige bien sûr, mais aussi rouge, blanc et or… sans oublier les bijoux fantaisie et de haute joaillerie indispensables à la silhouette de Chanel.

Robes du soir rouges PE 1955 et AH 1970-1971

Gabrielle Chanel. Manifeste de mode occupe une surface de près de 1500 m– dont les nouvelles galeries ouvertes en rez-de-jardin. Sur un parcours jalonné de plus de 350 pièces issues des collections de Galliera, du Patrimoine de la Maison, de musées internationaux – le Victoria & Albert Museum de Londres, le De Young Museum de San Francisco, le Museo de la Moda de Santiago du Chili, le MoMu d’Anvers… et de collections particulières, cette exposition est une invitation à découvrir un univers et un style intemporels.

GABRIELLE CHANEL. MANIFESTE DE MODE – Du 1er octobre 2020 au 14 mars 2021
Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris
10, Avenue Pierre-Ier-de-Serbie 75116 Paris

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Punch Boxing pour attaquer la rentrée en forme

 

 

Chloé et Jules Bouscatel sont les fondateurs de Punch Boxing, tous deux jeunes entrepreneurs de 25 ans. Adeptes de sport, c’est à l’occasion d’un road trip aux Etats-Unis en 2017 qu’ils ont eu le déclic. Après avoir minutieusement parcouru tous les studios de sport sur la côte Ouest et Est, le couple a eu un coup de cœur pour ce concept innovant qui mélange la boxe et le bootcamp dans une ambiance inédite (plongé dans la pénombre). Pour Jules et Chloé c’est travail complet sur tout le corps qui leur a plu, mais surtout la sensation de défoulement face à un sac de boxe et l’intensité des exercices qui leur a donné envie d’importer le concept en France. Leur ambition était d’ouvrir à Paris le studio dont ils avaient toujours rêvé. Car avant d’être les fondateurs, ils en sont surtout les premiers clients !

 

 

 

 

Idéalement situé à deux pas du Louvre, en plein Paris, le Punch Boxing vient d’ouvrir. L’experience est fun, très cardio et intense. Destiné aux hommes comme aux femmes. Le studio Punch Boxing propose une nouvelle façon de faire du sport, sans aucun engagement. Vous payerez à la séance. Les sessions durent 50 minutes allient exercices de bootcamp et enchaînements de boxe.

STUDIO HAUT-DE-GAMME

Chloé et Jules les fondateurs ont voulu faire de ce studio de boxing un lieu de bienveillance et de convivialité, mais c’est surtout un studio où le plaisir et le confort des puncheurs sont une priorité.

Lorsque l’on entre dans la salle, le ton est tout de suite donné par le coach, qui se veut dynamique et motivant. Un espace de 100m2 plongé dans une semi-obscurité, illuminé par des néons de lumière noire. A mesure que la musique monte en puissance, les coach augmentent l’intensité des exercices.

Les séances se décompose en 10 rounds en alternant  boxe et bootcamp :

50% BOXE : chez Punch on ne prend pas de coups, on ne fait qu’en donner. Pour ça, la salle dispose d’aquabags (sacs remplis d’eau adaptés à tous, qui amortissent les coups) sur lesquels il faudra enchaîner des combinaisons de droite, gauche en crochet, direct et upercut.

50% BOOTCAMP : dans l’autre partie de la salle des bancs et des altères pour la partie renforcement musculaire et cardio. Des enchainements qui rappellent le crossfit ou l’appli freeletics.

Et les deux parties sont bien intenses.

 

 

 

Notre coach pour ce test fut Justine Rojat, c’est une athlète aux mille vies ! Née à Paris, elle part dès son plus jeune âge étudier à Los Angeles. A son retour, Justine met son oeil aiguisé au service de labels musicaux et auprès d’artistes de renom. Elle est charismatique et débordante d’énergie. En 2017, Justine est devenue coach sportive lors d’une reconversion professionnelle. Elle devient rapidement une reference en indoor cycling puis devient coach en boxe. Elle est aujourd’hui l’une des coachs les plus prisées de Paris, notamment grâce à son intensité et son exigence très appréciées par sa clientèle fidèle. Et nous vous confirmons que Justine est une coach intense qui ne lache personne durant la séance pour que chacun se dépasse. L’esprit Bootcamp est bien là, vous vous rappellez l’officier dans Fullmetal Jacket…? (en plus sympa tout de même).

 

 

 

 

Après cette séance effectuée et avec quelques litres d’eau en moins dans votre corps exsangue, vous serez heureux de retrouver les vestiaires qui sont très accueillant, on se croirait à la maison : spacieux, très propres et d’un blanc immaculé, ils disposent en plus de tout ce qui fait que vous vous sentirez comme chez vous : sèche cheveux, serviette soins corps et visage. Punch s’est associé à REN Skincare, une marque anglaise célèbre pour ses formulations bioactives avancées, dépourvues d’ingrédients synthétiques agressifs pour la peau et divinement agréables à utiliser après un cours intense !

Vous voulez renouveler votre expérience sport et découvrir quelque chose de nouveau ? Foncez-y ! Nous on a pris de quoi y passer l’année.

Punch Boxing
Adresse : 3 Rue de Richelieu, 75001 Paris Téléphone : 06 78 86 10 98 
www.punch-boxing.com/

Article écrit par Alexis Dumétier

read more
ArchivesLifestyleMagazine

Les terrasses de la rentrée

Les terrasses ont fleuri partout dans Paris et en France en cette année 2020 grâce ou à cause du Covid. Nous vous proposons une petite sélection de lieux sympas pour la rentrée où passer un bon moment, boire de bons cocktails ou déguster une cuisine savoureuse.

Le lieu festif à ne pas louper :

Vous aimez la musique live, les cocktails. Vous gardez à l’esprit les soirées plage de votre été qui vous semble déjà si loin : allez au chic et décontracté Barbanegra. Ce lieu dont on vous parle depuis sa création monte en qualité un peu plus chaque année. Le Barbanegara garde son esprit paillote avec une déco encore plus belle, plus de tables et de places assises et son néon fétiche. Des concerts live et des stars de la chanson (Wejden, Neg’marron, Amel Bent, Singuila, …) qui y passent régulièrement.

La Barbanegra – Ouvert 7 j/7 – de 19 h à 2 h – 12, Port de la Rapée – 75012 Paris – Réservations : 01 84 60 60 33

La plus belle vue sur Paris :

Depuis le 24 août, et pour quelques semaines, l’Hôtel de Crillon, A Rosewood Hôtel ouvre l’accès au rooftop de la Suite Bernstein, la plus secrète de l’établissement. Cette suite située au dernier étage de l’hôtel, surplombe la place de la Concorde. Depuis ses 200 m² de rooftop, elle offre un panorama à 180° sur les plus beaux monuments de la capitale, une vue exceptionnelle. Une nouvelle carte de cocktails a été créée pour l’occasion, une sélection pointue de vins et de champagnes proposée par le Chef Sommelier Xavier Thuizat, des tartines à partager autour de légumes de saison et de charcuterie du Chef Exécutif Boris Campanella ou encore des plaisirs sucrés signés du Chef Pâtissier Matthieu Carlin.

Rooftop éphémère secret de l’Hôtel de Crillon – Ouvert 7 j/7 de 17 h à 23 h

Renseignements – www.rosewoodhotels.com – 10, Place de la Concorde – 75008 Paris

Le Japon à Paris :

Le ramen à Paris c’est ici qu’il faut le déguster : chez Neko Ramen. Ce plat typique du Japon à base de pâtes et de bouillon de viande ou de poisson. Sedrik Allani est le créateur et le Chef Cuisinier du lieu. Il est parti vivre 6 ans au Japon pour se former à l’art du ramen dans la meilleure école du pays. Il nous propose une cuisine japonaise traditionnelle où tout est fait maison. Deux terrasses sont ouvertes pour vous recevoir, une abritée et l’autre sur rue, entourée de bambous. Les tables en bois traditionnels et les fleurs de cerisiers créent une atmosphère apaisante.

 

Neko ramen – 6 Rue de la Grange Batelière, 75009 Paris

Réservations : thefork.fr

Du rire, des cocktails et de la bonne finger food :

Le Fridge Comedy, nouvelle adresse créée par Kev Adams en plein centre de Paris. Vous pourrez y déguster des cocktails inspirés des personnalités du cinema et de l’humour de la scène américaine. Une carte de plats à partager et très « finger food », bien élaborés et savoureux. Le lieu est très sympa, la terrasse aussi, pour se poser, déguster tout cela, mais le plus est au sous-sol avec une scène de “comédie club” où vous pourrez venir voir des talents et, rire surtout. Un nouveau lieu de rendez-vous immanquable.

Fridge Comedy – 164 Rue Saint-Denis, 75002 Paris – tel : 01 83 62 40 40

Le futur étoilé :

Le restaurant Affinité, a été créé par Shawn Joyeux et Toshitaka Omiya (le duo à la tête d’Alliance, 16/20) avec en cuisine, leur jeune et talentueux second Thibault Loubersanes, qui excelle aux fourneaux. La cuisine ouverte sur la salle laisse aux clients perchés sur les tables hautes, l’occasion de voir le ballet qui se déroule en coulisses et de discuter avec le Chef. La cuisine est raffinée et pointue sans être démonstrative. Les mélanges de textures et de saveurs sont magnifiques, les cuissons parfaitement respectées. Et le dressage des assiettes est superbe. De plus, la sommelière, qui est particulièrement réservée, crée des accords mets et vins élégants. Une adresse à faire absolument.

Affinité – 33, Rue de Bièvre, 75005 Paris – restaurantaffinite.fr01 42 02 41 71

Une terrasse oui, mais pour un poke :

Le poke c’est LE plat du moment : bon pour la santé, simple, nourrissant. Une enseigne qui fait partie des premiers à les avoir proposé : Pokawa. Ils ont décidé d’en ouvrir un nouveau sur Boulogne, sur l’artère principale qu’est la rue Jean Jaurès avec, Covid oblige, une agréable petite terrasse bien pratique.

 

Pokawa – 199 Boulevard Jean Jaurès, 92100 Boulogne-Billancourt

Le futur restaurant à ne pas louper :

 

 

 

 

Alessandra Montagne, cheffe brésilienne de Tempero (aujourd’hui fermé), ouvre en septembre 2020 « Nosso » (« Nous » en portugais), toujours dans le 13ème, près du MK2 Bibliothèque. Alessandra a toujours été très soucieuse de faire du locavor et avec Nosso elle va redoubler cette volonté en faisant du zero gaspi : les poissons et les viande seront cuisinés en intégralité. La cuisine mélera influence brésilienne, serbe, croate, costaricaine, et française. Une belle perspective gustative et une immense terrasse pour en profiter.

 

 

 

 

 

Une petite exclusivité de sa futur carte en photo : 

Nosso ouvrira ses portes au 22, Promenade Claude Levi Strauss, du lundi au vendredi pour le service du midi et du mardi au samedi pour le service du soir.

 

Article écrit par Alexis Dumetier

read more
ArchivesMagazineNews de Mode

H&M lance la ligne Blank Staples

H&M est fière de présenter Blank Staples, une nouvelle ligne de vêtements streetwear minimaliste pour hommes composée de sweatshirts, sweats à capuche, pantalons de survêtement et T-shirts. Cette nouvelle collection de basiques sera différenciée par une étiquette blanche comme une toile vierge.

Blank Staples est conçue et créée par l’équipe de design H&M, en partenariat avec Highsnobiety pour travailler sur l’identité visuelle et de futures collaborations.

« Nous sommes heureux de lancer ce nouveau projet. Avec la ligne Blank Staples, il s’agit de créer quelque chose de significatif, à la fois comme éléments essentiels du vestiaire masculin mais aussi comme page blanche pour de futures collaborations. Highsnobiety sont les partenaires parfaits en raison de leur expertise, de leurs connaissances et de leur crédibilité dans le secteur du streetwear« , déclare Ross Lydon, Head of Menswear design chez H&M.

Tout au long de la saison, Blank Staples sera une toile vierge pour des collaborations avec des créatifs du monde entier qui pourront s’exprimer sur les pièces de leur choix et qui seront ensuite vendues en édition limitée. Le logo conçu par Highsnobiety joue sur les codes des étiquettes d’entretien traditionnelles en utilisant des symboles qui racontent l’histoire de la collection et l’éthique derrière Blank Staples. Chaque pièce aura également une étiquette vierge permettant la signature des différentes collaborations. Une collection intemporelle et basique, totalement dans l’air du temps, à découvrir depuis hier dans les magasins H&M et surtout à s’approprier d’urgence.

read more
ArchivesMagazineNews de Mode

Corthay et le sac à dos Zermatt

Corthay, c’est avant tout Pierre Corthay, qui s’installe en 1990 au 1, rue Volney. Prenant la suite d’un cordonnier talentueux qui avait démarré son entreprise en 1947 et prenait sa retraite. À 27 ans, Pierre lançe sa propre marque, fabriquant des chaussures sur mesure! Son rêve devient réalité.

Très tôt, ces incroyables créations sont tombées sous l’œil aiguisé de Suzy Menkes – à l’époque responsable des pages mode et luxe du New York Times – qui a consacré un article à l’avenir prometteur de la Maison. Elle a qualifié ses chaussures de «chaussures bijou».

La clientèle de Pierre a commencé à s’épanouir, avec des clients du monde entier défilant rue Volney. 

Dès 2008, son ambition de créer les plus belles chaussures pour hommes est reconnue et dûment récompensée lorsqu’il reçoit la distinction de « Maître d’Art » cordonnier pour homme du ministre français de la Culture, dont il est à ce jour le seul titulaire.

Mais Pierre Corthay ne crée pas que des souliers, et il a également imaginé une très belle ligne de maroquinerie. Point culminant de sa ligne maroquinerie, Maison Corthay hisse le sac à dos Zermatt au rang de nouvel indispensable…


En hommage à ses racines helvétiques, Pierre Corthay célèbre les sommets enneigés des Alpes suisses et plus particulièrement la chicissime station de sports d’hiver : Zermatt.
Collectionneur invétéré de pièces militaires vintage, il emprunte sans détour au vestiaire technique des chasseurs alpins. Comme un clin d’oeil au savoir-faire historique de la maison, la large sangle de fermeture en Vacchetta peut être patinée au desiderata du porteur, quand la signature des coordonnées GPS de l’atelier parisien suggère les prémices de l’histoire Corthay.
Conçu dans un superbe nappa, le Zermatt est un sac à dos de caractère qui a lui seul conjugue raffinement, praticité et adaptabilité.
Sous ses airs définitivement chics, il reste le compagnon de tous les instants et le partenaire des esprits les plus aventureux.

Le sac à dos Zermatt est disponible en nappa noir et Vacchetta.

read more
ArchivesEditoMagazine

Rock Stars Palace by Dom

 

From Blakemag archives, a fashion editorial styled with clothes by Smalto, Pierre Talamon, Cerruti 1881, Lucien Pellat-Finet, Maison Fabre, Lanvin, Zilli, Jitrois, Burberry, Dunhill & Montblanc and Chanel watches.

 

read more
1 2 3 4 7
Page 2 of 7