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Porsche & HUGO BOSS, la collection capsule 2020

Porsche et HUGO BOSS, deux acteurs incontournables dans leur domaine ont décidé une nouvelle fois de renouveler l’expérience et de créer de nouveau ensemble une collection capsule pour le Printemps-Eté 2020 autour de mêmes valeurs qui leurs sont chères telles que l’innovation, la précision et la qualité. Cette année, l’Australien Mark Webber, 9 fois vainqueur en Formule 1 et maintenant pilote au sein du circuit FIA World Endurance Championship en sera l’ambassadeur. Il a, le temps d’un shooting, abandonné son métier de pilote pour celui de mannequin.


La collection composée de pulls, polos, chemises et pièces en cuir avec des coupes ajustées et des matières nobles, s’inspire des couleurs et technologies des modèles Porsche.
Cette fascination pour le design et l’innovation est caractérisée à travers l’empiècement innovant du manteau, de la veste en laine et nylon, mais également de la qualité et du raffinement des tissus italiens utilisés dans la composition de cette collection ainsi que les vestes en Nubuck, toujours avec cette recherche de perfection, car tout doit être aussi parfait qu’un véhicule sortant des ateliers. 


Les modèles phares de ce savoir-faire sont le bomber composé d’une doublure à la fois réversible et amovible et le costume stretch infroissable composé d’une matière qui permet de réguler automatiquement la température du corps. Enfin le design des baskets et des chaussures de ville fait écho à l’esthétisme de Porsche.

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ZILLI SPORT lance la collection capsule Youri Djorkaeff

ZILLI ouvre un nouveau chapitre de son histoire avec le lancement de la ligne ZILLI SPORT et de la collection capsule Youri Djorkaeff by ZILLI SPORT.
La Maison ZILLI lance une nouvelle ligne ZILLI SPORT, disponible en boutique et sur le e-store zilli.com au printemps 2020. Pour célébrer ce nouveau chapitre de son histoire, ZILLI SPORT intègre une collection capsule née d’une rencontre avec le footballeur international français Youri Djorkaeff.
« Je suis très heureux de cette complicité avec Youri Djorkaeff, un grand joueur que j’ai toujours profondément admiré. Nous débutons une nouvelle histoire avec ses challenges. Notre maison s’est construite sur sa capacité à repousser les limites en termes de style et de fabrication. La collaboration Youri Djorkaeff by ZILLI SPORT en est une magnifique illustration » déclare Laurent Schimel, Directeur général.

Partageant les mêmes valeurs, ZILLI n’a pas hésité à donner carte blanche au footballeur. Une évidence s’est vite imposée entre celui qui fut surnommé le « Snake » sur le terrain et la Maison réputée pour ses peaux exotiques.
Le serpent avait sa place : il se glisse sur les trente pièces de la capsule sous la forme d’un Ouroboros en métal argenté. Symbole de l’éternel retour, cette figure ancestrale d’un serpent qui se mord la queue signe la collection, et se retrouve sur les boutons, boucles de ceinture, doublures et porte-clés. Par ailleurs, la peau de serpent – le ZILLI Snake – est une des matières phare de la collection, associée au coton et soie, au veau velours, à l’agneau plume, entre autres.


Youri Djorkaeff explique « L’idée était de créer mon vestiaire idéal pour 24h. Cela va de la chaussure à la casquette, de la salle de sport au bureau, avec des pièces et des couleurs, surtout bleu et gris, qui me correspondent. Il y a à la fois la technique et le savoir-faire avec beaucoup de travail sur les matières et les coupes. La collection est moderne et correspond bien à l’air du temps, ce qui est très important pour moi. »
La collection imaginée par Youri Djorkaeff  conjugue le luxe des matières, la fabrication artisanale et la technicité. Revisité, le blouson emblématique de la marque se décline ici en agneau rouge, orné au dos d’un motif peint à la main, clin d’oeil au numéro 6 que portait le joueur sur le terrain.


Incontournable, le jogging existe en trois versions : une en coton et soie et deux en peau dont un agneau plume blanc rehaussé d’une bande argent et un ZILLI Snake bleu. Le sweat-shirt en coton et soie anthracite est structuré par un col contrasté gris perle souligné de coutures outremer. Le sweat hoody zippé bleu marine est rehaussé du serpent Ouroboros sur la poche. Le t-shirt 100% soie à manches longues imprimé du motif Ouroboros devient citadin, tout comme le pantalon droit en laine et soie ou le jean avec son détail de serpent bleu nuit. Détail que l’on retrouve aussi sur les sneakers à chaussette montante et semelle blanche crantée surdimensionnée.

Décidement, la nouvelle ligne ZILLI SPORT ne peut pas vous laisser indifférent.

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INARA CAMP une expérience du désert

INARA CAMP, est un lieu exceptionnel, une expérience du désert hors du commun à deux heures de Paris, à 30km au Sud de Marrakech que nous avons découvert pour vous. C’est dans le désert d’Agafay qu’est installé INARA CAMP, un concept créé par Vincent JAQUET. Cet homme a appris le métier de l’hôtellerie et de la table dans les 2 et 3 étoiles Michelin en France, de Paris à Biarritz, avant de s’installer définitivement au Maroc et de créer ce lieu hors du commun.

Le campement est composé de 12 tentes sur 23 hectares de terrain, articulé autour de la cuisine centrale. Le propriétaire du lieu a à cœur de proposer une cuisine locale avec des produits bien sourcés, exclusivement dans la région, ce qui donne accès au saveurs marocaines typiques.

Dans chacune des tentes il y a des lits king size, avec une literie digne des meilleurs hôtels du monde, ce qui offre des nuits au confort rare. Comble du bonheur, les tentes possèdent une salle de bain qui offre le luxe d’une douche d’eau chaude ainsi que des watercloset. Dans les tentes luxes, il existe des terrasses en bois propices à la contemplation. Une véritable invitation à méditer face à l’étendue silencieuse.

Les tentes les plus hautes gammes ont un salon avec un poêle, que l’on recharge à volonté durant la nuit et, il est bien utile, car une fois le soleil couché, la température dans le désert chute drastiquement.

INARA CAMP c’est une expérience à part, car l’on vit un moment hors du monde, en plein désert, sous des tentes, ou encore au bord d’une piscine aux allures d’oasis naturelle, à SON rythme.

En effet, Vincent JAQUET qui n’est jamais loin, veille avec Mohamed, le responsable du campement, et son équipe, à vous entourer avec soin et beaucoup de tact. Le service est chaleureux, disponible mais toujours délicatement, en retrait. Ainsi, les convives ont toutes latitudes pour vivre leurs propres expériences du désert. Car, comme le dit Vincent JAQUET : “le désert ne se raconte pas, il se vit.”

INARA CAMP offre différentes façons de découvrir et de parcourir le désert. Notamment le quad : des escapades de quelques heures pour s’enfoncer dans les dunes, découvrir les paysages lunaires, oniriques, époustouflants du désert d’Agafay avec, bien évidemment, un guide.

Ou, plus animal, des ballades à dos de dromadaires en groupes ou mieux encore, à deux. Et au coucher du soleil, on se surprend à se prendre pour Lawrence d’Arabie.

Mais le plus simple, le plus fort, le plus authentique est de vivre le désert à pieds. Accompagné d’un Sahraoui pour guide et de dromadaires qui vous donneront le rythme de la marche au milieu des dunes. Et croyez moi, ce moment, seul avec les bêtes, ce face à face avec soi-même et l’étendue sans fin de sable et de pierres est un moment qui marquera votre vie à tout jamais.

INARA CAMP offre également d’autres services qui, en ces lieux, semble bien surprenant. Vous pouvez vous offrir une heure de massage à l’huile d’argan et aux huiles essentielles de thym (tout bio) dans l’intimité de votre tente. C’est alors le paroxysme du délassement.

Chaque soir, comme une tradition, autour du feu, tout le monde est invité à se retrouver pour se rencontrer, parler, rire, danser et chanter. Un moment d’humanité simple et riche au rythme des voix, des claquements de mains et des djembés, sous une myriade d’étoiles dans la nuit noire du désert d’Agafay.

Si vous êtes un aficionados du désert, INARA CAMP vous offrira l’équilibre parfait, entre le confort d’un luxe non ostentatoire, et l’authenticité d’un bivouac de tentes. Quant à ceux qui n’ont jamais connu le désert, ce lieu est très probablement la plus belle et douce façon d’en faire le baptême.

 

INTERVIEW VINCENT JAQUET créateur d’INARA CAMP

1- Quel est votre parcours avant INARA CAMP ?

J’étais dans la restauration, l’hôtellerie. J’ai fait mon école hôtelière à Dijon. Ensuite, j’ai beaucoup travaillé dans les 2 et 3 macarons Michelin sur Paris et sur Biarritz et j’ai fait un peu de traiteur d’organisation de réceptions. J’étais premier commis et chef de rang. Chez Pierre Robuchon, chez Laurent, Edouard Carlier avec le restaurant le Beauvilliers sur les Buttes Montmartre, Daniel Métairie, septième chef de Paul Bocuse, Bref, oui quelques belles maisons. C’est là où j’ai appris tout ce qui est rigueur et régularité du métier, et surtout, tout l’amour de travailler avec une base de produits de première qualité qui rend la cuisine beaucoup plus simple, quand on travaille avec des très bons produits et puis, cet amour du métier, cet amour du partage, cet amour de l’expérience déjà, car à l’époque, on ne parlait pas beaucoup d’expérience, mais maintenant c’est très tendance et de créer quelque chose de différent auprès des gens.

Et, c’est en 2002, que j’ai quitté Biarritz, un beau matin du 4 avril 2002 avec ma voiture, et tout ce qui était important dans ma voiture pour venir m’installer au Maroc, pour venir rejoindre le dernier petit village de la vallée du Drap dans le sud du Maroc, à 25 km de la frontière algérienne, en plein milieu du Sahara. J’ai découvert le Maroc, lors d’un périple que j’ai fait seul, pendant un mois, je suis tombé amoureux du désert et des dunes et j’ai décidé en trois mois de changer de vie et de venir m’installer dans le désert. Il y a eu un coup de foudre. Un coup de foudre et le fruit était mûr, il n’y avait plus rien d’important et de faisable pour moi en France et plutôt que d’attendre qu’on s’occupe de moi en France, je me suis occupé de moi et j’ai fait le grand écart et je me suis dit : « allons un peu ailleurs voir ce qu’il se passe. »

C’est en 2004 que j’ai créé mon premier bivouac, et c’est là que je suis vraiment tombé sous le charme du logement en toile de tentes dans un village de toiles parce que je me suis aperçu, étant hôtelier restaurateur, du comportement du client qui était complètement encore différent lorsqu’on l’amenait dans une situation extrême, en plein milieu des dunes, un bivouac, dormir sous la toile de tente, lever du soleil, le vent, la nuit et cela a été une révélation. J’ai laissé tombé l’hôtellerie traditionnelle, et je n’ai fait que du bivouac, et du logement un peu inattendu et atypique.

2-Vous avez d’abord commencé à travailler dans le Sud du Maroc, à monter un bivouac ..

J’ai d’abord monté un boutique hôtel qui s’appelait “Darazaouade”, dans le dernier village avant les dunes de sable, “Mamidrislane” un boutique hôtel de 15 chambres, sous forme de bungalows, et ensuite, par un cheminement normal, est arrivé le bivouac, et c’est en 2012 que j’ai arrêté l’hôtel Amamide, j’ai continué la partie bivouac, et en 2013, je suis remonté sur Marrakech, j’ai ouvert mon agence qui s’appelle LVDS qui s’occupe de créer et de gérer des bivouacs et en 2016 est arrivé INARAKIN, donc dans le désert d’Agafay aussi par un cheminement naturel, de gens qui veulent venir se reposer, se détendre, qui veulent vivre quelque chose de différent en deux, trois jours, et qui n’ont pas le temps de descendre dans le Sud, parce que c’est très loin et c’est très long. Et, le désert d’Agafay qui est seulement à 30 km de Marrakech s’est révélé être un produit extraordinaire qui peut répondre sans aucun problème, et sans aucune honte à une expérience de désert.

C’est vrai que ce n’est pas un désert de sable, c’est un désert de roches, mais c’est un désert, qui a son âme et dans lequel j’ai retrouvé beaucoup de similitudes avec le Sahara et c’est ici que j’ai décidé d’installer INARA CAMP en 2016, pour faire vivre et partager cette expérience de désert.

Et, c’est un petit succès, c’est sympa.

4-Le tout premier boutique hôtel que vous aviez créé dans le Sud jusqu’à aujourd’hui, avec INARA CAMP, est-ce votre concept personnel ?

Oui, tout à fait. Ma décoration, ma création, ma concept, ma gestion, ma manière d’accueillir, ma vision de l’hôtellerie, c’est une trentaine d’années d’expériences mises bout à bout, aussi bien dans tout ce que j’ai appris quand j’étais dans les grandes maisons parisiennes, lorsque j’étais traiteur, j’ai fêté l’organisation de mon 500ème mariage, donc toutes ces expériences mises bout à bout, on fait que la quintessence s’appelle INARA CAMP et c’est ici que je m’amuse à jouer avec la gastronomie, je m’amuse à créer des beaux événements, à faire vivre des belles expériences dans ce paysage aride au premier abord, mais auquel on apporte beaucoup de douceur.

 

5-Du coup, vous continuez d’organiser des bivouacs itinérants ?

Oui, j’ai toujours mon amour du désert dans le Sud, donc on continue d’organiser toujours avec LVDS des petits parcours où on rejoint les dunes de CHIGAGA, dans le Sud du Maroc, donc cela c’est toujours ma passion du Sud et mes connaissances du Sud aussi. Mais, c’est vrai que sur INARA, on a déjà beaucoup de choses à faire. On a aussi étendu des expériences de pique-niques chic dans les montagnes de l’Atlas avant d’arriver dans le désert, qui offrent un contraste entre le côté très luxuriant des montagnes de l’Atlas et le coté aride du désert d’Agafay en une seule journée.

C’est vrai que le Maroc est un tout petit pays qui est rempli de contrastes et en quelques kilomètres vous êtes à Marrakech. dans cette folie de la médina, ce côté très bruyant, vous faites quelques kilomètres vous êtes en plein milieu des villages berbères dans les montagnes de l’Atlas perdu au milieu de nulle part, vous redescendez vous faites encore une trentaine de kilomètres, vous êtes dans le désert d’Agafay, vous repartez du désert, vous pouvez être le lendemain, après 2 heures de routes sur la côte atlantique à Essaouira, bref, en quelques kilomètres on peut vivre beaucoup de choses complètement différentes. Donc, maintenant, il y aura d’autres projets qui vont se présenter dans l’esprit du bivouac nomade ; il y a de très belles régions du Maroc à découvrir, qui malheureusement ne sont équipées pas d’hôtellerie, en tout cas d’hôtellerie suffisamment haut de gamme, pour accueillir une clientèle un petit peu demandeuse et mon idée ça serait de lancer prochainement un système de circuits, avec des camps nomades apportant suffisamment de confort pour permettre et pouvant à permettre à n’importe qui de d’aller visiter des régions très retranchées, éloignées, très belles et très fortes, tout en ayant de l’hôtellerie suffisamment confortables le soir pour vivre ça, répondant au standing dans la continuité de ce qu’on sait faire.

6-Ici, c’est combien de chambres, de suites ?

Alors, INARA CAMP, c’est 9 tentes Émotion et 3 tentes INARA ; 3 tentes suites qui font 36 m2 sur 60 m2 de terrasses, à l’intérieur de ces tentes on a une une grande chambre, avec king size bed, un coin salon avec cheminée, poêle à bois et une très belle salle de bain apportant beaucoup de confort. Les 9 tentes Émotion sont légèrement plus petites, elles font 30 m2 sur 60 m2 de terrasse, toujours king size bed à l’intérieur, toujours des toilettes, toujours la douche et l’eau chaude, le confort. Et le tout, installé autour d’une très belle piscine. Là aussi, j’ai voulu quelque chose d’atypique et de différent, une très belle piscine « bio design », c’est un concept italien. Aucune structure métallique, pas de ciment dans ce concept, c’est du quartz et du sable qu’on coule dans une résine et qu’on étale à la spatule.

C’est une résine poreuse ; l’eau pénètre la matière, on a plutôt l’impression d’être autour d’une résurgence naturelle, un petit lac naturel que d’être autour d’une piscine. Cela nous permet de mettre des rochers dans la piscine, ce qui fait que lorsque vous nagez vous avez l’impression d’être dans quelque chose de 100 % naturel et on a l’impression que le camp s’est installé autour de ce point d’eau naturelle alors que le point d’eau naturelle vient d’arriver. Il y a un côté oasis. Je suis très content car ce concept s’est parfaitement intégré à l’environnement et au projet, et qui en aucun cas, dénature le camp. On aurait pu avoir une piscine bleu turquoise en ciment et en carrelages, cela n’aurait pas du tout été la même chose. De plus, le système “bio design” est un système 100 % éco responsable qui permet d’économiser énormément d’eau. Une piscine normale aurait demander 70 m3 d’eau, celui-ci ne demande que 38 m3 d’eau et quand on est dans le désert, l’économie d’eau est quelque chose de très important. Et, c’est une piscine chauffée.

Le bon endroit, comme tout à INARA ; INARA a été l’objet de grandes réflexions. Avec la maturité, on a des idées, on sait ce qu’on veut faire, et on laisse le temps au temps, que l’idée mûrisse et soit la bonne idée et, en faisant de la sorte, on laisse venir naturellement à nous et les fournisseurs et la bonne idée. Ca se fait comme ça doit se faire et quand le fruit est mûr ; c’est cela le désert, on croit qu’il est vide, mais il est plein, et il est plein d’une très belle énergie, qui permet de laisser le temps au temps et de laisser faire les choses et quand le fruit est mûr, il est temps de le récolter.

7- Les chambres à INARA sont dans l’axe du lever du soleil, est-ce un hasard ?

Alors, elles sont surtout dans l’axe du canyon et des montagnes ; et aussi, pour être exposées toute la journée avec le soleil, donc du matin jusqu’au soir, lorsque l’on est sur sa terrasse, c’est un véritable tableau d’artiste qui change 5 à 6 fois par jour, suivant la lumière, suivant la saison, on peut être assis le matin, le midi, l’après-midi, le soir, on verra constamment un paysage complètement différent devant entre le canyon, les montagnes, le soleil qui vient éclairer tout cela et qui fait son œuvre.

8- Le camp peut être privatisé ?

Oui, tout à fait, le camp peut être entièrement privatisé pour les gens qui veulent venir fêter des anniversaires, des événements, des demandes en mariage, oui, on peut le faire.

9- Quelle est sa capacité maximum ?

C’est un camp, tout est montable et démontable. Donc, dans sa capacité de tentes fixes, on a 12 tentes. Mais, on a 23 hectares de terrain, donc on est aussi capable d’installer un camp avec des salles de bain sous la tente, le même confort pour 100, 150 personnes. On a été sollicité sur beaucoup plus, mais, moi, je refuse parce que notre matériel nous permet d’officier très bien pour 100/150 personnes, après lorsqu’il faut louer et être tributaire d’autres personnes, c’est là où on ouvre la porte à l’erreur, à la difficulté. Donc, j’ai la force ou la faiblesse de dire que je me limite à ce que je sais faire et à ce que je peux faire, et là où je peux assurer 100 % de notre professionnalisme.

10-Quel est l’avenir d’INARA CAMP et les prochaines évolutions ?

Les évolutions du camp : on va le peaufiner encore. Cela va être des petits détails dans l’entourage des tentes, l’acheminement, les chemins, l’agencement du camp. Il y a deux gros projets, un qui est en train de se faire à l’heure où l’on se parle, c’est l’installation des panneaux solaires. Ce sera terminé dans les 15 jours à venir. Ce qui rendra le camp 100 % autonome en énergie solaire. On garde bien sûr la présence d’un groupe pour sécuriser. Mais, le camp sera entièrement autonome en énergie solaire dans 15 jours. Ça, c’est notre gros investissement du moment.

Le deuxième investissement qui va venir tranquillement début 2020, c’est un espace bien-être, attention, ce ne sera pas un spa ! Mais, un espace destiné à deux petites salles de massage, un jacuzzi sous tente, avec toutes les façades de la tente cristal, afin que même lorsqu’il fait très froid dehors on soit dans le jacuzzi au milieu du désert, avec la vue sur les montagnes enneigées et le désert, dans une eau bien chaude et qu’on sorte de ce jacuzzi, et qu’on aille bénéficier d’un massage relaxant, à l’huile d’argan et aux huiles essentielles que vous avez pu tester hier, de la verveine du Maroc. Et, puis, en même temps de cet espace bien-être, il y aura une belle terrasse orientée plein Est, pour faire chaque matin une ode au soleil et faire des réveils dynamiques en yoga et Pilates, pour célébrer le lever du soleil, tout comme on célèbre le coucher du soleil ici, parce qu’il est juste merveilleux. Mais, le lever du soleil sur une belle terrasse chaque matin, accompagné par un professeur de yoga local pour ressentir toute cette belle énergie du matin et repartir sur une belle énergie du désert. Ce sera la petite touche finale d’INARA et après, on va laisser faire les choses …

11-Avez-vous envie d’un éventuel autre INARA ailleurs ?

Honnêtement, non, parce que un camp, c’est un homme. Lorsque les gens viennent ici, c’est encore du logement un petit peu inattendu. Nos clients sont très curieux de me rencontrer, de discuter, de bavarder avec moi, de savoir pourquoi, comment on arrive à créer ce genre d’établissement, parce qu’il y a une chaleur humaine. Vous avez vu hier soir, autour du feu, il y avait des Suisses, des Allemands, des Marocains, des Français, tout le monde discutait et échangeait, et c’est aussi ma manière de faire, de créer ces contacts, de faire se rencontrer les gens. Bien sûr, je ne suis pas irremplaçable, je pourrais certainement trouver quelqu’un d’autre qui pourrait le faire à ma place ici, et moi partir sur d’autres projets, mais, c’est aussi ce que j’aime et après tout ce que j’ai fait je me paye le luxe de me dire que je reste que sur mon projet, c’est moi, et c’est ma manière de faire. Je suis le chef du camp et je l’assume, j’aime ça. C’est vrai qu’on pourrait se multiplier, grandir, se développer, gagner beaucoup plus, mais honnêtement, c’est plutôt un mode de vie que de courir après une réussite, une expansion, je n’ai pas spécialement envie.

12- INARA Camp, c’est combien de personnes ? Il y a le Chef, Vincent ?

Il y a le Chef et ses chefs, il y a Mustapha, qui est avec moi depuis plus de 10 ans, qui gère la cuisine et le côté machines, parce qu’on peut vraiment comparer un camp à un théâtre, il y a les acteurs, les machinistes, les techniciens, il y a les spécialistes du son, les spécialistes de la lumière, le metteur en scène, le chef d’orchestre, l’orchestre. Et, comme dans un théâtre, il y a énormément de gens qui sont dans l’ombre, qu’on ne voit pas quand on est dans un camp, mais qui pourtant font tourner le camp, il y a les gens qui allument les bougies le soir, qui allument le feu, les gens de la logistique, l’approvisionnement, qui veillent à ce qu’on manque de rien ici, les serveurs qui sont tous originaires du Sud du Maroc, qui sont nés dans le désert pour beaucoup et qui font que INARA, même si on est à côté de Marrakech est vraiment un camp dans le désert, parce que son équipe est originaire du Sud, c’est ce qui fait la magie des lieux. Et c’est en tout 27 personnes qui sont là pour assurer le service des 12 tentes. Entre les cuisiniers, les femmes de chambre, les serveurs, la logistique et chaque jour, on a nos deux représentations, chaque jour on fait tourner les décors, chaque jour nos acteurs rentrent en scène, le chef d’orchestre aligne ses notes et le metteur en scène est là pour surveiller que la scène soit parfaitement réussie. C’est un métier d’art. L’hôtellerie est de l’art, Malheureusement, on perd ça un petit peu dans l’hôtellerie et la restauration. Moi, je mets un point d’honneur à ce que mon métier reste un art, un bel art, et qu’on le fasse vivre dans ce sens.

11- C’est très difficile de faire passer sur Internet, quelque chose de très énergétique comme le désert…

La première chose quand les gens me disent : “Mais qu’est ce qu’on va faire chez vous ?” Moi, je dis “Mais, RIEN. Premièrement, vous n’allez rien faire. Et, c’est cela qui va être le plus dur pour vous. Dans cette période où on est tous à 100 à l’heure, on a même pas fini d’écumer la 4G qu’on a déjà la 6G qui arrive, où tout le monde va très très vite, où il faut aller très vite, et bien à INARA, on vous propose de vous arrêter, de vous stopper, de vous regarder, de faire un petit peu le point, tranquillement, sur votre être intérieur. Et, ne rien faire est quelque chose de très important car lorsqu’on ne fait rien, on s’occupe de soi. Et, c’est très dur de s’occuper de soi. Et pour certains, c’est très pénible. Il y a le silence, on écoute le silence ici. On marche, c’est la première chose que je recommande avant la ballade en dromadaire, le quad et tout cela, c’est d’aller marcher, monter simplement sur la petite colline en face, écouter ce silence, même si ce n’est qu’une demi-heure, une heure, mais aller marcher, se retrouver dans ces grandes étendues, ce n’est pas marcher dans une forêt, ce n’est pas marcher en montagne, c’est marcher dans le désert. Il fait chaud, il fait froid, il y a des bruits, il n’y a pas de bruit ; il y a plein de choses …

 

Site : www.inaracamp.com

Article écrit par Alexis Dumétier

Photos et vidéos Alexis Dumétier

Merci à Sylvie Mira-Morlière, à Barbara, à Mohamed, ainsi qu’à toute l’équipe d’INARA CAMP.

 

 

 

 

 

 

 

 

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ALTER: upcycling chic hors normes

Alter est une marque de mode unisexe créée en 2018 par Pauline Ducruet, designer de mode monégasque qui vit et travaille entre Paris, Monaco et New York.
Insufflant de la modernité à des pièces classiques upcyclées, Pauline crée un vestiaire unique pour toutes celles et ceux qui aspirent à s’habiller librement, sans se préoccuper des normes de genre.

Photo: Laurent Becotruiz

La marque unisexe Alter naît en 2018 d’engagements forts en faveur d’une société plus responsable et inclusive. Sa créatrice, la designer Pauline Ducruet, décide de produire une ligne de vêtements haut de gamme et éco-responsable, porteuse d’un idéal de tolérance, d’amour et de respect envers la diversité des genres. Eco-responsable, la marque Alter s’inscrit dans la tendance de l’upcycling : elle valorise et réutilise des matières telles que le denim et le cuir, transmute les formes, les tons, les fonctions, cherche des solutions techniques et créatives pour inventer de nouvelles pièces à partir de récupération.

Photo: Cyprien Leym – Modèle: Rémy@blakemen-Paris

Inclusive, la marque Alter s’adresse à tous. Hommes et femmes, personnes non genrées, non binaires et gender fluid, ont accès au même vestiaire.
Innovante, enfin, Alter apporte une nouveauté au vestiaire no gender : une ligne en propre, unique, dont la personnalité ne découle ni d’une ligne masculine, ni d’une ligne féminine, et ne se rattache à aucun autre vestiaire. La marque Alter veut se positionner comme l’une des précurseurs et actrice de référence de la mode durable. Les vêtements Alter peuvent apparaître comme des vecteurs de transformation, dans les matières et dans les formes d’abord, altérées à l’atelier, ainsi que dans leur vocation sociale. Chez Alter, le désir d’inclusion sociale se substitue à celui de distinction sociale propre à la mode haut de gamme et luxe.
Son vestiaire, élégant, audacieux et exigeant, a d’emblée été pensé pour s’adresser à tous les genres et faire éprouver la fierté d’être soi. Fierté, mais aussi solidarité, et sentiment d’appartenance à un tout plus tolérant et respectueux de la diversité : voilà les valeurs que désire véhiculer Alter.

Photo: Laurent Becotruiz

Inspirés des voyages de Pauline dans des grandes villes cosmopolites et créatives telles que Beyrouth, Istanbul, ou Rio de Janeiro, inspirés de lectures, de rencontres, de son amour pour l’architecture moderne, pour le brutalisme du Corbusier et le Bauhaus, où des lignes simples et efficaces subliment la matière, d’autres vêtements sont créés, dans le même esprit de récupération, d’altération et de re-création.
De la conception à la mise en production, le processus se développe grâce à un sens aigu
du travail, au savoir-faire de la designer, à son exigence et à sa foi inébranlable dans son intuition.
Déterminée et persévérante, elle déniche çà et là les matériaux les plus purs et les plus nobles à upcycler, du cuir au denim en passant par le coton japonais, le satin de soie ou encore le cashmere, pour leur donner les formes, les volumes et les couleurs de son imagination.

Photo: Cyprien Leym – Modèle: rémy@blakemen-Paris

Vestiaire unique et commun à tous, entre identités féminine, masculine et no gender, son ambition est de déconstruire et brouiller les normes sociales liées au genre. Mais il mêle également esprit moderne et intemporalité. Récupérant des pièces classiques, qu’elle altère, la designer Pauline Ducruet réinvente et crée le vesti-aire unisexe d’aujourd’hui, composé de vêtements upcyclés, dans l’air du temps.
Déconstruction des formes, des matières, des coloris, le vestiaire d’Alter propose des coupes et des volumes originaux, inspirés de deux identités a priori contra-dictoires, mais savamment composées : une identité urbaine et underground issue du New York des années 1960 à 1990, avec le célèbre Velvet Underground qui inspira (entre autres) David Bowie, et une élégance à la française qui puise sa source dans les origines de la créatrice. La collection Spring-Summer 2020 est composée d’un nombre de pièces restreint, travaillées avec soin. Des finitions d’aspect brut, dépenaillé, pour un style libre et décontracté, sur des matériaux purs, nobles, et délicats, en grande majorité upcyclés :
voilà la signature d’Alter.

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ALÉNA, Gourmandise de Truffe

Aléna la nouvelle marque française pose la question: Et si le vrai goût de la truffe était enfin accessible ?
Les objectifs d’Alena ? Rendre accessible au plus grand nombre le véritable goût de la truffe et l’émotion qu’elle procure. Développer des valeurs de partage et de convivialité autour du diamant noir.
Aléna est une toute nouvelle marque développée par Mathieu Trellu et Guillaume Gé, fondateurs de la société Truffe Extra France, spécialisée dans la production et le négoce de truffe fraîche de saison et d’origine Aquitaine.


Actuellement fournisseurs des plus grands Chefs à travers le monde, ils ont créé le projet Aléna qui a la volonté de faire bouger les lignes du marché de la truffe et propose de fournir des truffes de haute qualité au grand public. « Le marché de la truffe est malheureusement aujourd’hui trop opaque, trop aléatoire, et trop onéreux pour la qualité proposée. Nous voulons faire bouger les lignes !» affirme Guillaume Gé. Face à des consommateurs qui souhaitent se faire plaisir, à la recherche de produits locaux et de qualité, Aléna intègre toute la chaîne de valeurs de la truffe pour une traçabilité sans faille depuis la production jusqu’à la valorisation. La marque propose ainsi directement aux particuliers des truffes de haute qualité. Le prix est enfin juste, pour la production, l’acheteur et le consommateur.
Le véritable goût de cette truffe noire du Périgord devient accessible à tous.
Avec Aléna, la truffe est abordée de manière simple et désinhibée. Aléna offre aux amateurs de bonnes choses des moments conviviaux entre amis ou permet de sublimer des recettes simples du quotidien, les occasions sont multiples.

Et si la truffe se consommait à la petite cuillère ? C’est le pari d’Aléna pour rendre le vrai goût de la truffe accessible à tous. « La truffe, c’est saisonnier, c’est rare, et surtout ses arômes sont terriblement fragiles» commente Matthieu Trellu, « alors, nous avons inventé une nouvelle manière de la consommer». Après des mois de test, c’est le suprême qui né : une nouvelle façon d’appréhender la truffe.
L’idée ? Une sélection du meilleur des truffes d’Aléna, produites en Aquitaine, récoltées à pleine maturité, broyées, mélangées avec une huile neutre, salées et / ou poivrées, le tout scellé dans une petite boîte de métal pour une fraîcheur qui dure trois mois. Le suprême est tout d’abord testé auprès des plus grands chefs à travers le monde pendant deux ans avec des retours unanimes et enthousiastes. Ainsi, avec Aléna, elle se partage, on l’utilise avec les doigts ou à la petite cuillère. Elle se cuisine facilement. La truffe devient un met simple, régressif et gourmand ; elle génère enfin toute l’émotion qu’elle porte.


Aléna a ainsi développé une gamme, adaptée pour deux usages:

LE SUPRÊME DE TRUFFE NOIRE ALÉNA, c’est la quintessence de la truffe noire du Périgord de haute qualité. Plus puissant encore que la truffe fraîche, il sublime les inspirations truffées (brouillades, risottos, pâtes…), se déguste sur des toasts ou se partage à la petite cuillère.

LE SUPRÊME DE TRUFFE D’ÉTÉ, plus doux en goût, il anime les apéritifs, permet les improvisations gastronomiques décontractées et les moments à partager.

IDÉE RECETTE: BROUILLADE  D ’OEUFS À LA TRUFFE

Ingrédients: 1 boîte de 15g ou 30gr de suprême de truffe noire ou de truffe d’été Aléna selon la puissance aromatique recherchée (vous pouvez ajouter un peu de truffe fraîche pour la décoration si le coeur vous en dit…), 6 beaux oeufs fermiers.

Cassez vos oeufs et mettez-les dans une casserole à feu doux. Mélangez jusqu’à ce que la préparation
épaississe. Sortez du feu et incorporez votre suprême de truffe.
Mélangez et laissez infuser à couvert hors du feu une bonne minute.
Vous pourrez déguster cette brouillade avec des mouillettes grillées frottées à l’ail.

Avec Aléna, découvrez le plaisir de cuisiner facilement un met d’exception.

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EMANUEL UNGARO – l’obsédé sensuel

«Emanuel Ungaro, parce qu’il aime les femmes, connaît les limites de la tolérance masculine, il créera un vêtement trop beau pour être arraché, mais assez malin pour suggérer de l’ôter avec tendresse» Christine Orban

Obsédé sensuel! Ce n’est pas moi qui le dit, mais lui qui le revendiquait.

Né en 1933 à Aix en Provence, Emanuel Ungaro, fils d’émigrés italiens, apprend le métier de tailleur avec son père. Il monte à Paris à l’âge de 23 ans où il rentre en formation chez le couturier espagnol Cristobal Balenciaga, qu’il considérera comme son Maître, et qui lui donnera le goût de la couleur. Ungaro dira plus tard que son père et Balenciaga lui ont tout appris. Après deux ans chez Courrèges, il ouvre sa maison de Couture en 1965, présentant une collection dans l’esprit futuriste très à la mode à cette période, créée avec peu de moyens, puis au fil des collections suivantes, il laisse apparaître sa marque de fabrique : des imprimés de couleurs vives et un art prononcé et parfaitement maîtrisé du drapé, avant de lancer une ligne de prêt à porter en 1968 puis une ligne homme en 1973. Il est certain que ses mélanges d’imprimés de fleurs et de pois, ses associations de rayures et de carreaux, des chocs de couleurs souvent vives et inhabituelles ouvrent de nouveaux horizons à la haute couture. 

«Il ne faut pas porter une robe, il faut l’habiter» aimait-il à dire. En 1980, il recevra un Dé d’Or, prix récompensant la meilleure maison de couture. Fou de couleurs et d’imprimés, il osait des mélanges qui chez d’autres auraient pu être improbables, mais qui chez lui donnait une idée d’opulence chic. Avec Ungaro, les matières sont fluides et la robe doit n’être qu’un faire-valoir des courbes du corps d’une femme libre de ses mouvements. Pas à pas, il avait développé sa maison, créant des licences de parfums, de lunettes, de chaussures… Empire qu’il avait revendu en 1996 à la famille Ferragamo. 

Emanuel Ungaro, marié et père d’une fille, avait commencé à prendre ses distances à partir de 2001, laissant à son principal collaborateur, Giambattista Valli, la direction artistique du prêt-à-porter et des accessoires, avant de se retirer du monde de la haute couture en 2004.

Le couturier, très fatigué depuis deux ans, s’est éteint le 21 Décembre 2019 à l’âge de 86 ans.

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l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris s’agrandit avec 4 nouvelles suites.

l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris inaugurera les 4 Suites Signature de son extension fin Novembre. Imaginées par Jacques Garcia et pensées comme de véritables appartements parisiens, elles sont une ode à l’Art de Vivre à la française. Au sommet, la Suite Harcourt rend hommage au célèbre studio parisien et propose une expérience hors du commun, sous les projecteurs et le ciel de Paris. 

Entièrement rénové et agrandi en 2017, l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris assoit sa légende sur la plus belle avenue du monde avec la création de 19 nouvelles Chambres et Suites dont 4 Suites d’exception signées Jacques Garcia. Véritable joyau du groupe Barrière, l’hôtel s’impose face à l’Arc de Triomphe comme un lieu où le temps peut suspendre son vol.

 

Si les Chambres reprennent l’esthétique discrète et le design soigné du reste de l’hôtel, les 4 Suites Signature, conçues comme de véritables appartements parisiens, offrent de magnifiques espaces de vie, sublimant les moulures et cheminées d’origine et promettant à leurs hôtes une immersion totale au cœur du style et de l’art de vivre de Paris.

Au fil des étages, on découvre trois Suites comme on remonterait les Champs, de la « Suite George V » à celle la Suite « Arc de Triomphe ».

Loin des couleurs chatoyantes et chaudes des parties communes, Jacques Garcia a choisi d’y faire régner des tons clairs et apaisants, rehaussés de touches noires et dorées, pour en faire de véritables cocons de bien-être et de sérénité face à l’effervescence des Champs-Élysées.

Au sommet, la Suite Harcourt rend hommage à la collaboration entre l’Hôtel et les Studios Harcourt dont les histoires s’entremêlent depuis le début du 20e siècle. De Joséphine Baker à Édith Piaf, de Gabin à Tarantino, des Molière aux César, Le Fouquet’s est le rendez-vous éternel du monde des arts et du cinéma et les œuvres d’art photographiques signées Harcourt y trouvent, très tôt, leur place sur les murs. Une entente mythique qui voit son apothéose avec la création de cette Suite, couronnant l’Hôtel et surplombant les Champs-Elysées.

Sous le regard en noir et blanc des célèbres visages Harcourt immortalisés sur les murs, la Suite Harcourt déploie ses 200m2 de prestige et d’élégance.

Au cinquième étage de l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris, cet appartement typiquement parisien reprend les codes et l’esthétique du Studio, des appliques murales aux projecteurs, en passant par la feuille d’or et la dominante noir et blanc. Les fenêtres œil de bœuf, si caractéristiques de l’architecture parisienne, rappellent les objectifs photographiques et illuminent chaque pièce de leur vue imprenable sur les Champs-Élysées et l’Arc de Triomphe. Pénétrer dans la Suite, c’est toucher du doigt l’élégance à la française et l’art de recevoir très parisien, qui font la réputation du Studio Harcourt comme du groupe Barrière.

Le plus ? Un salon qui se transforme en un clin d’œil en véritable studio photo et un espace maquillage professionnel, pour offrir aux hôtes de cette Suite prestigieuse, leur propre portrait signé Harcourt.

Lieu emblématique du luxe et de l’art de vivre parisien, l’Hôtel Barrière Le Fouquet’s Paris promet, avec ces Suites d’exception, une véritable immersion dans le Paris typique où l’on entre dans sa Suite comme l’on rentrerait chez soi, où l’on reçoit et où l’on choie. A découvrir dès le 28 novembre 2019.

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NEW ERA COLLECTION HIVER 2019

L’hiver est à notre porte. Pour affronter les éléments une nouvelle ligne de casquettes et de bonnets New Era spécialement pour l’hiver.

Cette saison, la marque de Buffalo met les plus grandes équipes de baseball à l’honneur, avec une collection hivernale de casquettes et bonnets pour un look sportswear, quelle que soit la météo.

Honorant les trois équipes de la MLB (la league de baseball aux Etats-Unis) les plus emblématiques, les Los Angeles Dodgers, New York Yankees et Atlanta Braves.

la version de la 9FORTY, la casquette emblématique de New Era, de cette saison est assez résistante pour braver les mois d’hiver. Elle conserve toutes les caractéristiques de la casquette d’origine, avec une calotte haute et une languette réglable, mais est confectionnée en flanelle épaisse dans des couleurs simples avec le nom de l’équipe figurant en ton sur ton. Les bonnets en grosse maille présentent des logos grand format et une doublure polaire thermique pour affronter les conditions climatiques les plus difficiles.

La collection sera disponible en magasin et en ligne sur neweracap.eu à partir du 11 novembre 2019.

L’histoire de New Era :

Depuis 1920, New Era fabrique de façon artisanale leurs casquettes et bonnets. Aujourd’hui, avec des lignes de vêtements et d’accessoires, la marque est l’un des leaders du marché. Implantée dans le sport, elle compte parmi les créateurs exerçant une influence sur la culture urbaine et les modes de vie partout dans le monde. Avec plus de 500 licences dans son portefeuille, New Era est la marque de choix dans le monde du sport, de la mode, de la musique et des divertissements. L’entreprise est basée à Buffalo, N.Y., et ses?produits sont vendus dans plus de 80 pays.

Pour en savoir plus sur les?bureaux internationaux?et les partenariats de New Era, visitez?www.neweracap.com?et les réseaux sociaux @neweraeurope.

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NATURA présente la nouvelle gamme HOMEN

Découvrez l’univers Natura HOMEM une ligne de soins complète spécialement dédiée aux hommes. Inspirés par les merveilles de la biodiversité brésilienne, ces 10 nouveaux soins prennent en compte les besoins des peaux masculines et ont été créés pour apporter plaisir et bien être. Découvrez les bienfaits des ingrédients végétaux issus de la biodiversité brésilienne présents dans la gamme HOMEM.

Les meilleurs ingrédients de la biodiversité brésilienne:

BÉTAÏNE DE CUPUAÇU
Le Cupuaçu est un fruit originaire d’Amazonie. Son arbre, cousin du Cacau, donne de magnifiques fleurs rouges et de grosses cabosses remplies de fèves riches en acide linoléique. On extrait de ces fèves la bétaïne de Cupuaçu, un agent nettoyant très doux à découvrir dans le gel nettoyant visage et le shampooing pour cheveux gras.
L’HUILE DE COPAÍBA
Les pouvoirs hydratants et apaisants de l’huile de Copaíba sont légendaires en Amazonie. Cette huile extraite de la sève de Copaíba est traditionnellement utilisée par les communautés locales comme un baume cicatrisant pour la peau. L’huile de Copaíba protège et apaise votre peau tout en la laissant délicatement parfumée de notes fraîches et boisées, à la fois élégantes et masculines.
L’HUILE ESSENTIELLE DE CANDEIA
L’huile essentielle de candeia est obtenue par distillation du bois de Candeia, un arbre originaire de la Forêt Atlantique au Brésil, avec une teneur élevée en alphabisabolol.
Les bienfaits de la Candeia : Action anti-inflammatoire et apaisante, protège et régénère la peau, adoucit la peau.

Profondément ancrée dans la culture du Brésil, pays qui possède la biodiversité la plus riche du monde, Natura Brasil s’est engagée depuis longtemps à utiliser les ingrédients brésiliens naturels dans ses
produits. Le centre de recherche et développement étudie chaque ingrédient de manière à extraire les principes actifs et à apporter le plus de bénéfices pour la peau et les cheveux des consommateurs.
Natura travaille également avec les communautés locales de la région d’Amazonie pour les aider à développer un modèle commercial durable pour leurs habitants et en faveur de la forêt. Aujourd’hui ils travaillent en direct avec plus de 30 communautés à travers la région d’Amazonie et d’autres régions du Brésil, incluant plus de 2 000 familles. En 2013, la marque a renforcé son engagement dans la région Amazonienne avec l’ouverture de son Ecoparque à Belem, un complexe de production ultra moderne et écologique, qui génère une activité durable et favorise l’entreprenariat local dans cette région pauvre du monde.

Natura Brasil – Le Marais
35 Rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, 75004 Paris

@Naturabrasilfr

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ISKN lance Repaper en édition limitée avec FABER-CASTELL

La startup grenobloise ISKN dévoile son tout nouveau produit sur le marché des arts créatifs : Repaper. Dotée de la technologie unique d’interaction augmentée, cette nouvelle génération de tablette graphique succède à la Slate lancée en 2015, avec l’ambition de proposer une expérience de dessin inégalable. Après le partenariat annoncé en mai 2019 avec Bandai Namco Entertainment Europe et le lancement de tori™, iskn franchit un nouveau cap et lance Repaper le 4 novembre prochain.
Avec sa technologie d’interaction augmentée™ ISKN fait de Repaper un produit unique au monde sur le marché des tablettes graphiques.
La technologie d’interaction augmentée développée par ISKN vient bouleverser l’industrie des arts créatifs, en transformant des crayons à papier en crayons «digitaux», faisant de Repaper un produit incomparable sur le marché des tablettes graphiques.

Edouard Bressy

Un lancement en édition limitée Faber-Castell. Le plus grand fabricant mondial d’instruments d’écriture et de dessin haut de gamme s’associe à ISKN pour le lancement de Repaper. Une collaboration matérialisée par une édition limitée Iskn X Faber-Castell (chaque coffret est doté d’un crayon graphite Castell 9000 (2B) cobrandé iskn). Ce partenariat illustre l’ambition d’iskn et de Faber-Castell sur le marché des arts créatifs. Du mode nomade sans écran pour sketcher à l’extérieur en toute liberté, dans la rue, au musée… à la mise en couleurs en mode tablette graphique à l’aide du stylus iskn et ses logiciels de création favoris, Repaper accompagnera l’ensemble des utilisateurs, de l’esquisse papier-crayon, à la mise en couleurs digitale.

Edouard Bressy

Redesignée et dotée de nouvelles fonctionnalités, Repaper sublime l’expérience du papier-crayon-digital, pour toujours plus de fluidité et d’efficience. L’application rebaptisée Repaper Studio, a fait l’objet de profonds changements, et propose une toute nouvelle interface hyper intuitive. De beaux moments créatifs inédits en perspective, à la portée de tous. Repaper intègre de nouvelles fonctionnalités dont la pression. Une option longuement attendue par les utilisateurs de la Slate.
Grâce à Repaper et ses 8192 niveaux de pression, il est maintenant possible de dessiner avec ses crayons favoris, n’importe où et n’importe quand, et de disposer d’une version numérique fidèle au coup de crayon. Une vraie révolution sur la planète dessin!

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La RMN ouvre le 1er concept-store dédié à l’univers des musées

La RMN vous propose du 7 novembre 2019 au 5 janvier 2020 de découvrir le meilleur des cadeaux de musées !

A l’occasion des fêtes de fin d’année, la Réunion des musées nationaux – Grand Palais ouvre dans le Marais à Paris, le Pop-up boutiquesdemusées, le premier concept-store éphémère de France dédié à l’univers des musées.
À deux pas du métro Saint Paul, au coeur du Marais, dans un espace traversant à deux entrées sur rue – 9 rue de Rivoli et 39 rue François Miron, Pop-up boutiquesdemusées vous accueille du 7 novembre 2019 au 5 janvier 2020.


Ce pop-up store unique consacre 60m2 au meilleur des cadeaux de musées, pour la première fois réunis en un seul lieu. Une sélection d’objets inédits librement inspirés
d’œuvres d’art présentées dans les plus grands musées tels que le musée du Louvre, le musée d’Orsay, le château de Versailles, le Centre Pompidou, le musée Picasso, le Grand Palais … côtoie des objets originaux imaginés par des créateurs et des designers contemporains pour la RMN. Des collaborations artistiques en série limitée à offrir ou à s’offrir. L’univers de l’enfant peuplé de jouets drôles et intelligents, de livres d’activité et de coloriages prolonge jusque sous le sapin l’expérience du musée à la maison.

Vous pourrez y trouver une large sélection d’idées cadeaux tel que des moulages, des objets décoratifs et d’art de la table, ainsi que des accessoires de mode et de beauté, mais aussi une sélection de beaux livres et des lignes de papeterie élégantes et audacieuses qui font de ce lieu éphémère le pop-up store parisien de référence pour dénicher des cadeaux de Noël originaux, chargés d’histoire, arty, trendy et contemporains.

 

Pop-up boutiquesdemusées
Du 7 novembre 2019 au 5 janvier 2020
Ouvert du mardi au vendredi de 12h à 20h – Samedi et dimanche de 11h à 19h
Fermé le lundi – Fermeture dimanche 5 janvier à 19h
Adresse : 9 rue de Rivoli et 39 rue François Miron 75004 Paris
https://www.boutiquesdemusees.fr/fr/

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