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Blancpain présente la Panthère nébuleuse de Formose

Blancpain présente la Panthère nébuleuse de Formose : deux pièces Métiers d’Art en exclusivité pour Taïwan. Avec sa collection Métiers d’Art, la Manufacture Blancpain offre un voyage à travers les cultures. Son ouverture sur le monde donne lieu à des créations uniques où excellence horlogère et savoir-faire artistique s’accordent pour faire l’éloge de la nature. Blancpain met le cap sur Taïwan et consacre deux pièces individuelles à l’une des merveilles du règne animal liées à l’histoire de l’île : la panthère nébuleuse de Formose.

La panthère nébuleuse de Formose, endémique de l’île, représente un symbole important dans la conscience collective des Taïwanais. Le peuple aborigène Paiwan considère le léopard comme une icône spirituelle. S’il n’est pas éteint, l’animal est rarissime. Blancpain a souhaité évoquer ce félin emblématique en puisant dans son savoir-faire en matière de décoration manuelle. À l’instar de la panthère nébuleuse de Formose, les techniques artistiques pratiquées par Blancpain sont rares en horlogerie. Certaines, comme la peinture miniature en émail, ne sont proposées que par une poignée de maisons horlogères à travers le monde. D’autres, comme le shakud, sont réalisées exclusivement par la Manufacture.

La gamme des métiers d’art mis en oeuvre par Blancpain est vaste et représente un héritage séculaire. Cinq savoir-faire, entièrement intégrés au sein des ateliers Métiers d’Art de la « Ferme » du Brassus, comme cela est toujours le cas chez Blancpain, ont été choisis pour interpréter sur cadran le thème de la panthère nébuleuse de Taïwan : l’art de la porcelaine, la peinture miniature en émail, le shakud, la gravure et le damasquinage. Les deux pièces uniques résultant du travail minutieux des artisans Blancpain représentent la panthère nébuleuse dans son habitat forestier. Habile acrobate, l’animal se plait à se dissimuler dans les arbres. Troncs et feuillages ont été patiemment peints ou gravés à la main dans les moindres détails. Il en va naturellement de même pour le majestueux félin. Également travaillé selon les techniques de la peinture en émail sur porcelaine et la gravure associée au shakud, son pelage fauve agrémenté de taches faisant songer à des nuages est saisissant de réalisme. Sur la pièce gravée, les artisans de la Manufacture sont allés jusqu’à incruster poil par poil les moustaches de la panthère, constituées de fils d’or d’une épaisseur proche de celle d’un ruban de soie, suivant l’art du damasquinage. Les cadrans ainsi exécutés prennent vie sous les doigts de l’artiste, créant l’émotion de l’esthétique et de la perfection technique. La panthère nébuleuse de Formose en émail peint sur porcelaine s’insère dans un boîtier en or blanc de 33 mm avec une lunette sertie de diamants. Le mouvement qui l’accompagne est le calibre automatique de manufacture 1154, dont les finitions soignées sont dévoilées au dos du garde-temps. Le modèle en shakud gravé et damasquiné est proposé dans une boîte en or rouge de 45 mm. Cette ouverture traditionnellement privilégiée pour les pièces de grande décoration laisse apparaître derrière un fond en verre saphir le mouvement à remontage manuel 15B décoré de côtes de Genève.

Selon la coutume historique, de nombreux objets en shakud comportaient également des décorations réalisées selon la technique du damasquinage. Cette ancienne forme d’art consiste à graver des motifs dans une surface de sorte à former une cavité comblée par l’introduction de fils d’or tendre martelés dans l’espace évidé. Tel que le dicte la tradition, il n’est fait usage d’aucune colle ; le martelage suffit à maintenir en place l’ornementation en métal précieux dans la surface creusée, laquelle est ensuite soumise à un délicat polissage. Les réalisations de Blancpain combinant le shakud, la gravure et le damasquinage témoignent de la singularité de la Manufacture dans le monde horloger. Blancpain est en effet l’unique Maison à proposer cette association de métiers d’art.

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Patek Philippe et la nouvelle Calatrava Pilot Travel Time

Patek Philippe complète sa famille de montres avec la nouvelle Calatrava Pilot Travel Time référence 7234G-001, en s’inspirant de garde-temps pour aviateurs créés par la manufacture dans les années 1930.

Né il y a cinq ans, ce design très typé et très reconnaissable s’est déjà imposé comme un classique contemporain. Le style Pilot se décline désormais dans quatre montres de voyage à double fuseau horaire Calatrava Pilot Travel Time (en or gris ou or rose et en deux tailles) et dans une Grande Complication Alarm Travel Time avec alarme sur 24 heures – sans compter plusieurs séries limitées.

En 2015, Patek Philippe a créé la surprise en lançant une montre au style atypique, qu’il s’agisse du boîtier rond aux volumes tranchés ou du cadran doté de grands chiffres blancs et aiguilles luminescents se détachant sur un fond sombre. Ce garde-temps rappelait, par son nom comme par son design fonctionnel, les premières montres d’aviateurs. Patek Philippe s’est en effet inspirée de deux montres-bracelets produites par la manufacture en 1936 et conservées au Patek Philippe Museum de Genève, des modèles très particuliers à sidéromètres (angle horaire) permettant aux pilotes de déterminer leur position de manière simple, précise et rapide. La Calatrava Pilot Travel Time référence 5524G rendait ainsi un magnifique hommage aux pionniers de l’aviation et aux grandes heures de la conquête des airs, une épopée à laquelle la manufacture genevoise a également apporté sa contribution.

Le cadran noir usuel sur les montres de pilotes a fait place à une couleur bleue originale et élégante présentant, elle aussi, un excellent contraste au niveau de la lisibilité. L’affichage de type sidéromètre, devenu obsolète avec l’arrivée des outils de navigation, a cédé le pas à une fonction très utile aux voyageurs des temps modernes : l’affichage d’un second fuseau horaire au moyen du mécanisme exclusif Travel Time. Ce système d’une grande simplicité d’emploi, breveté par Patek Philippe en 1959 et 1996, se distingue par ses deux aiguilles centrales des heures et par ses deux poussoirs permettant de corriger l’aiguille de l’heure locale par crans d’une heure, avec date indexée sur l’heure locale. Mais loin de se contenter d’une simple réédition, Patek Philippe a voulu – comme à son habitude – réinterpréter son héritage dans un esprit contemporain. 

 

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Canada Goose x Juun.J: mode et chaleur par temps froids

Lancée pour la première fois lors de la semaine de la mode Automne/Hiver 2019 à Paris, la collection Canada Goose x juun.j associe l’avant-gardisme du créateur coréen aux pièces techniques et fonctionnelles de la marque canadienne.

Juun.J lance sa marque éponyme en 2007, lors de la Fashion week Paris. Il poursuit une démarche de réinterprétation des classiques et de l’élégance urbaine via le prisme du streetwear. Juun.J travaille avec les étoffes les plus traditionnelles pour casser les codes des formes et des volumes. Les formes sont structurales, les designs minimalistes, les coupes larges offrent confort, volume et modernité à la silhouette. Moderne jusqu’aux sneakers, Juun.J a aussi collaboré avec de nombreux créateurs, ainsi qu’avec des marques comme Reebok et Adidas.

Cette nouvelle collection capsule avec la marque Canada Goose, célèbre marque canadienne de vêtements d’extérieur fondée en 1957 et spécialisée depuis sa création dans les vêtements rembourrés en duvet pour les travailleurs exerçant en extérieur, est particulièrement resserrée, et se compose des trois parkas emblématiques de Canada Goose : l’Expedition Parka, la Snow Mantra Parka et la Resolute 2-in-1 Parka. Pour cette collection, Juun.j, a axé sa réflexion sur un nouveau travail sur les proportions, a conçu des pièces oversizes résolument modernes et unisexes.

C’est naturellement chez LECLAIREUR, dans la boutique du 10 rue Boissy d’Anglas 75008 Paris, que cette capsule sera présentée et vendue en exclusivité en France (hors mesures exceptionnelles). Ces trois nouovelles pièces sont également disponibles sur le e-shop de LECLAIREUR leclaireur.com à la date de lancement de la collection, soit depuis le 11 novembre 2020.

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SAUNIER VOUS OFFRE LA CLÉ DES SONGES

A l’occasion de la 9ème édition du Vendée Globe, la maison Saunier, appartenant au groupe Altesse (qui
détient entre autres Les Georgettes), dévoile cette saison en exclusivité « La Clé des Océans ». Une collection capsule de bijoux signée en collaboration étroite avec le navigateur Sébastien Destremeau.


Pour sa seconde participation à la course à la voile en solitaire, le skippeur originaire de Toulon, a souhaité rendre hommage à la Clé des Océans, symbole protecteur des marins solitaires à travers une collection masculine de 8 modèles. Et c’est tout naturellement vers des ateliers labellisés Entreprise du Patrimoine Vivant que le skippeur s’est tourné. C’est la passion commune du savoir-faire d’une maison centenaire et de la transmission de Sébastien Destremeau qui a permis de voir naître le projet.


Réalisés dans la plus pure tradition artisanale ardéchoise, en argent, et monté sur des cordons inspirés de boutes, ces bijoux uniques signent l’union entre les hommes et la mer. Une collection comprenant deux lignes, la ligne Cap et la ligne Cabestan, toutes deux résolument d’inspiration marine, où bagues, bracelets et pendentifs revisitent les thèmes chers aux amoureux de la mer comme la rose des vents, la boussole, les points cardinaux ou encore la poulie.


A travers cette collaboration, la maison Saunier s’adapte à une nouvelle tendance et dévoile une fois de plus son savoir-faire ancestral. Une édition limitée dans le temps et dédiée aux Maîtres des Océans comme aux marins d’eau douce, et à tous ceux que la mer fait rêver!

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Maison Initial ou l’art de la haute maroquinerie

La Maison Initial a su mêler des matières nobles telles que le cuir au détour de notes olfactives figuratives, emblèmes de l’essence de la Maison. Produite en France  chaque pièce de la Maison se ressent comme une ode à la liberté. Un perpétuel recommencement qui ne cesse d’étonner. Pour Homme et Femme, la collection respire le savoir-faire tant par la qualité des matières que par la qualité de l’exécution.

Maison Initial a été fondée en 2019 par Victoire. Les sacs sont pour elle, au même titre que les bijoux et le parfum de véritables ambassadeurs de notre personnalité, de notre style, de notre ADN. INITIAL casse les codes, et va au-delà des frontières stylistiques « Il est  grand temps de s’écouter, de revenir à l’essentiel, de suivre  ses envies, et avant tout ses goûts. C’est la part de cœur qui  prône véritablement dans cette Maison.» Prêter attention à sa philosophie est essentiel. Aujourd’hui, la catégorisation du style contraint la diversité et la créativité qui s’émane de chacun.

Maison Initial s’anime autour du chiffre 3. Chiffre magique s’il en est. 3 collections, 3 noms, 3 produits, 3 matières. Ce chiffre universel signifie implicitement la rupture de l’équilibre, et le perpétuel apprentissage. Maison Initial s’émancipe, suggère, et s’exprime. Revenir au point Initial, à la naissance des genres, en créant une unité. Exploiter son style en cassant les codes. Dévoiler ses convictions, sans se laisser influencer. Proposer des pièces numérotées  tout en prônant son Initial. Maison Initial est  une véritable marque d’expression de soi. 

« Le terme « style » est pour moi une forme très personnelle d’expression qui n’a ni genre, ni âge, ni  ethnie, ni frontière. Nous n’appartenons pas à une catégorie ou à un groupe par les emblèmes que nous choisissons. C’est à nous de créer notre propre style à partir de nos différences» – Victoire.

Et comme le disait si bien Gabrielle Chanel:  » La Mode se démode, mais le Style, jamais! ».

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Corthay et le sac à dos Zermatt

Corthay, c’est avant tout Pierre Corthay, qui s’installe en 1990 au 1, rue Volney. Prenant la suite d’un cordonnier talentueux qui avait démarré son entreprise en 1947 et prenait sa retraite. À 27 ans, Pierre lançe sa propre marque, fabriquant des chaussures sur mesure! Son rêve devient réalité.

Très tôt, ces incroyables créations sont tombées sous l’œil aiguisé de Suzy Menkes – à l’époque responsable des pages mode et luxe du New York Times – qui a consacré un article à l’avenir prometteur de la Maison. Elle a qualifié ses chaussures de «chaussures bijou».

La clientèle de Pierre a commencé à s’épanouir, avec des clients du monde entier défilant rue Volney. 

Dès 2008, son ambition de créer les plus belles chaussures pour hommes est reconnue et dûment récompensée lorsqu’il reçoit la distinction de « Maître d’Art » cordonnier pour homme du ministre français de la Culture, dont il est à ce jour le seul titulaire.

Mais Pierre Corthay ne crée pas que des souliers, et il a également imaginé une très belle ligne de maroquinerie. Point culminant de sa ligne maroquinerie, Maison Corthay hisse le sac à dos Zermatt au rang de nouvel indispensable…


En hommage à ses racines helvétiques, Pierre Corthay célèbre les sommets enneigés des Alpes suisses et plus particulièrement la chicissime station de sports d’hiver : Zermatt.
Collectionneur invétéré de pièces militaires vintage, il emprunte sans détour au vestiaire technique des chasseurs alpins. Comme un clin d’oeil au savoir-faire historique de la maison, la large sangle de fermeture en Vacchetta peut être patinée au desiderata du porteur, quand la signature des coordonnées GPS de l’atelier parisien suggère les prémices de l’histoire Corthay.
Conçu dans un superbe nappa, le Zermatt est un sac à dos de caractère qui a lui seul conjugue raffinement, praticité et adaptabilité.
Sous ses airs définitivement chics, il reste le compagnon de tous les instants et le partenaire des esprits les plus aventureux.

Le sac à dos Zermatt est disponible en nappa noir et Vacchetta.

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TAG Heuer Carrera, 160 ans de montres intemporelles

TAG Heuer, pour fêter ses 160 ans, revisite l’emblématique modèle Carrera, montre de pilote de course par excellence, et propose une nouvelle collection de chronographe sportif, reflétant ses racines.

L’horloger suisse lancera toute l’année des modèles revisités TAG Heuer Carrera animés par le Calibre Heuer 02, un mouvement sophistiqué fabriqué dans ses ateliers. Après deux modèles anniversaire en édition limitée, à savoir la TAG Heuer Carrera Heuer 02 Édition Spéciale 160 ans et la TAG Heuer Carrera Montréal Édition Spéciale 160 ans, quatre nouveaux modèles phares viennent rejoindre cette collection intemporelle. Ils seront suivis en septembre par quatre grandes nouveautés et par deux éditions spéciales d’ici la fin de l’année.

Réinterprétée à merveille pendant des décennies jusqu’à devenir une véritable icône, la TAG Heuer Carrera, chronographe de course de référence depuis 1963, a été revisité une fois de plus dans une série de modèles alliant modernité et intemporalité. Caractérisés par leurs fonctions chronométriques d’exception et par un look dégageant élégance et vitesse, les nouveaux modèles marquent le début d’une nouvelle ère pour la TAG Heuer Carrera.

La collection a joué et joue toujours un rôle important chez TAG Heuer. Son histoire unique et ses liens avec l’univers des sports automobiles s’expriment subtilement dans le splendide design des modèles d’aujourd’hui.

Jack Heuer, alors PDG de Heuer, entendit parler en 1962 de la légendaire course automobile Carrera Panamericana. Le mot carrera, qui désigne aussi bien la route, la course que la carrière ou le parcours en espagnol, retint son attention : le nom idéal pour un nouveau garde-temps. L’année suivante, les premiers chronographes TAG Heuer Carrera sortaient de la manufacture. La collection signe l’un des plus beaux succès de Jack Heuer. Son design audacieux et sportif reflète la passion de ce grand homme pour l’action et la course automobile. Grâce à son extrême fiabilité, sa lisibilité accrue et son élégance, La TAG Heuer Carrera devient rapidement la montre de prédilection de pilotes et d’écuries de légende tels que Jo Siffert ou la Scuderia Ferrari.

Adepte des lignes pures et modernes, Jack Heuer tenait à créer un chronographe TAG Heuer Carrera sobre, aux proportions parfaites ; des caractéristiques optimales pour les pilotes, qui doivent pouvoir lire l’heure rapidement, d’un simple coup d’œil, en pleine course. Des décennies plus tard, cette nouvelle déclinaison de la Carrera ramène la collection aux racines de son histoire unique. Un design intemporel et des performances hors du commun pour cette nouvelle ligne comptant deux styles de chronographes phares, d’aspect différent mais à la griffe incomparable. Le second chronographe sera lancé en septembre.

Les quatre nouveaux chronographes que présente TAG Heuer sont élégants et intemporels, tout en étant audacieux et moderne. Ils incarnent de fait l’esprit d’endurance. Les cornes ont été raccourcies pour un meilleur confort, le boîtier en acier inoxydable de 44 mm alterne finitions polies et brossées qui rendent la montre plus fine et plus racée. L’intégration de la glace et le discret biseautage apportent une touche d’élégance supplémentaire.

Le cadran de la nouvelle TAG Heuer Carrera est agrémenté d’une finition circulaire brossée. Il est disponible en bleu profond avec une lunette en céramique assortie, en verre kaki avec une lunette en acier inoxydable ou en deux versions noires, chacune dotée d’une discrète lunette en céramique noire. Le rehaut biseauté et les index inclinés vers le centre du cadran incitent le regard à se porter sur l’heure et à la lire d’un seul coup d’œil. Les trois compteurs sont parfaitement lisibles tout comme le guichet de date à 6 heures. Le compteur des heures à 9 heures affiche désormais les nombres 12, 4 et 8 et forme un bel équilibre avec le compteur des minutes à 3 heures. Le nouveau bracelet, aux maillons en forme de H, est plus fin, donc plus léger et ergonomique.

La TAG Heuer Carrera noire et or rose est la pièce maîtresse de ce lancement. La lunette mêle céramique noire et laque couleur or rose, une première pour l’horloger suisse. La couronne et les boutons-poussoirs sont en or rose massif 18 carats. La masse oscillante du mouvement, visible à travers le fond en glace saphir, est en laiton revêtu de PVD noir avec une impression en or rose. Ce garde-temps est présenté sur un bracelet en alligator noir.

La collection TAG Heuer Carrera a toujours renfermé la technologie la plus avancée de la maison. Les modèles revisités sont animés par le Calibre Heuer 02, visible à travers le fond de boîtier transparent. Cette remarquable innovation horlogère est entièrement fabriquée en Suisse dans la manufacture TAG Heuer de Chevenez. Ce mouvement est composé de 168 pièces, dont une roue à colonnes et un embrayage vertical – caractéristiques des mouvements de haute horlogerie et gages de performances chronométriques d’exception – et assure une réserve de marche considérable de 80 heures.

Pilier des collections de la marque depuis sa création en 1963, la TAG Heuer Carrera originale était considérée comme un « tableau de bord de voiture de course pour poignet », conçu pour répondre aux exigences techniques uniques des meilleurs pilotes du monde, et pour refléter l’élégance de leur style. Aujourd’hui, la nouvelle collection TAG Heuer Carrera est un hommage authentique et moderne à cette icône intemporelle. Ses finitions offrent un niveau de luxe sans précédent et son mouvement un niveau d’innovation proche de l’excellence. Sobriété, élégance, lisibilité résument à eux seul les nouveaux chronographes TAG Heuer Carrera. Rarement esthétique et fonctionnalité ont été si parfaitement liées.

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Moynat, L’héritage d’une Audacieuse

Moynat, vous connaissez? Oui, sans aucun doute mais votre souvenir est imprécis. Et pour cause: dans l’univers du beau voyage, la marque a connu une éclipse de quelque 40 ans. Aussi, la nouvelle boutique du 348 rue Saint-Honoré va-telle lui redonner toute sa place, celle qu’elle a occupée avec éclat depuis le milieu du XIXème siècle.

D’abord malletier d’exception, Moynat a été de toutes les aventures du voyage: premiers trains, premières voitures, premiers paquebots. Sa signature? Le raffinement du sur-mesure pour proposer malles, valises et sacs dans de très larges gammes. La rigueur du travail artisanal ensuite dont témoigne notamment sa maroquinerie. Enfin l’inventivité et la discrétion des détails qui ont toujours assuré sa différence. Ses créations ont traversé les siècles et inspirent celles d’aujourd’hui.

L’histoire de Moynat est celle d’une femme, Pauline. Jeune savoyarde arrivée adolescente à Paris, elle a su humer l’air du temps, mesurer l’importance des changements dans la capitale conduits sous la houlette du baron Haussmann. Forte de sa rencontre avec les Coulembier, malletiers, qui œuvraient à Paris depuis 1849 dans leur atelier de fabrication au 13 rue Capron, elle a saisi les envies des nouveaux voyageurs qui découvraient les plaisirs des villes d’eau et des stations balnéaires.
Quand, en 1869, elle saute le pas et ouvre une belle maison de vente, c’est un coup de maître: « Malles Moynat Fabricant » s’inscrit en lettre blanches sur fond noir au 5 place du Théâtre Français. Dix ans plus tard, l’avenue de l’Opéra est enfin percée et sa boutique y occupera le numéro 1. Le quartier devient le terrain d’élection des premières agences de voyages. A en juger par les articles des journaux d’alors qui vantent Moynat, -« ce sont les plus beaux bagages »-, le succès est immédiat.

Sous la conduite de cette audacieuse qui s’impose dans un univers masculin, la maison répond en effet aux attentes de clients raffinés. Ses malles gagnent leur brevet de longévité et d’étanchéité dès le milieu du siècle avec l’utilisation de la guttapercha, une première signée Moynat. Les acheteurs apprécient bien sûr leur serrure de sûreté mais plus encore leur légèreté: la marque est en effet la première aussi à proposer, en1873, une malle constituée d’une armature en osier recouverte de cuir puis d’une toile vernie. Son nom ? La malle anglaise, en hommage sans doute aux bagages qu’utilisaient les Britanniques venus nombreux en France lors de l’exposition universelle de 1867 et souvent clients du Grand Hôtel ouvert la même année place du Théâtre français.

Pauline Moynat n’est pas seulement l’âme de la grande boutique parisienne: elle suit de près le travail des artisans et imprime sa marque en lançant une ligne de sacs à main. Une innovation de taille car jusqu’alors, la maroquinerie était séparée de la malleterie. Des innovations, Moynat va les multiplier lorsque les automobiles apparaissent à la fin du XIXème siècle: présente dans tous les salons organisés au Grand Palais à partir de 1905, la maison fabrique des malles sur mesure pour les adapter à chaque véhicule, couleur comprise: les malles limousine dont le fond est convexe sont destinées au toit. Elles sont rejointes par une série d’autres aux formes les plus inattendues pour prendre place à l’arrière du véhicule ou sous le marche-pied.

Le catalogue de 1907 comporte déjà 170 références. L’art de vivre s’y manifeste dans tous les domaines. Ainsi le coffre repose-pieds peut contenir un chapeau haut de forme ou un « caisson-buffet mobile », en fait un nécessaire de pique-nique sophistiqué avec réchaud, couverts et napperons.
La maison collectionne les distinctions lors des expositions universelles. Elle triomphe à l’exposition internationale des Arts Déco de 1925 où elle rafle 14 médailles et obtient le diplôme d’honneur pour une célèbre malle rouge cloutée dessinée par Henri Rapin. L’automobile est sa spécialité mais Moynat n’est pas en reste depuis que les paquebots sillonnent les mers: aux multiples malles courrier et malle de cale, la maison a ajouté un bijou, une malle armoire avec support de portemanteau dont l’intérieur est tendu de soie ou de velours. Un vingtième brevet couronne les créations des quelque 250 artisans logés, depuis le début du XXème siècle, dans la fabrique modèle de la rue Coysevox. De quoi satisfaire des clients très divers, du grand voyageur Edmond Cotteau à Réjane. Le premier avait, en vue de son périple en Sibérie, acheté « une forte malle en bois, garnie de toile et cerclée de fer ». La comédienne avait, quant à elle, retenu une malle en crocodile pour l’introduire dans le quatrième acte de la pièce « Viveurs »…

Aujourd’hui, les attentes des clients ne sont pas moins variées. Elles ont cependant un trait commun: la recherche d’un exceptionnel savoir-faire au service de la sobriété.
Parions que beaucoup d’ amateurs de beaux bagages emboiteront le pas à Max et Alex Fischer, deux éditeurs et écrivains en vogue qui, en 1914, avaient accepté de préfacer un catalogue Moynat: « A la veille de partir, en juillet dernier, pour la côte normande d’abord et pour une petite randonnée en Bretagne ensuite, nous étions allés acheter les bagages dont nous avions besoin à la maison Moynat . La maison a plus que jamais l’ambition d’accompagner les rêves des voyageurs pour un week-end sur la côte normande, une croisière dans les Caraïbes, un circuit en Chine ou simplement une flânerie sous les arcades du Palais-Royal.

 

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Drouault literie fête ses 170 ans

Drouault. Qui ne connaît pas cette entreprise centenaire passe à côté d’une histoire et d’un savoir-faire d’exception. Car Drouault, c’est avant tout une histoire de famille qui prend vie en 1850 dans la Sarthe.
C’est en plein coeur du Mans qu’un certain Paul Courboulay fonde une manufacture de traitement de plumes et de duvet. Près d’un demi-siècle plus tard, il s’associe au jeune Constant Drouault. Téméraire et curieux, Constant s’adonne à de nombreux voyages et parcourt alors le monde pour côtoyer de plus près l’industrie de la plume. Dès son retour, il valorise ces matières et permet à l’entreprise de se spécialiser dans le négoce de l’or blanc.

En 1910, Constant Drouault prend les rênes de l’entreprise jusqu’à sa mort en 1925. Ce sont ensuite sa femme et son fils Robert qui lui offrent une nouvelle impulsion. Les premiers oreillers, coussins et édredons font leur apparition. Après avoir investi dans une machine de nettoyage et de tri de plumes, un atelier de production est installé à Paris. Les clients, et notamment les grands magasins, sont alors livrés dans la journée. Le succès est immédiat. L’entreprise renaît en 1946 après avoir essuyé les affres de la guerre et c’est au tour de la troisième génération de reprendre le flambeau. Elle propose une collection baptisée « Haute couture » avec une gamme de produits 100% duvet.

Toujours fabriqués artisanalement avec minutie et passion, les petites mains de l’usine s’affairent sur les traversins, les oreillers et les édredons mais aussi les couettes qui font leur apparition en 1974 …. Et parce que l’entreprise évolue en technicité, elle propose dans les années 90 un traitement contre les acariens (tissus et duvets). En 2004, la plus ancienne usine mancelle intègre le groupe familial DODO permettant d’écrire un nouveau chapitre. Très rapidement Drouault, s’impose comme la marque premium du groupe. En 2009, la griffe lance le premier Surconfort® de matelas en plumes. Il sera très vite reconnu et deviendra l’un de ses produits phares. Deux ans plus tard, pour répondre à une demande grandissante, un nouvel atelier est créé au sein de l’usine et permet de doubler la capacité de production.
Et c’est cette même année que, consciente des enjeux environnementaux, Drouault entreprend des améliorations industrielles afin de mieux utiliser les énergies et l’eau. L’usine s’équipe d’un système de traitement et de récupération d’eau utilisée (baisse de la consommation de 40%) et l’installe sur les laveuses de plumes. Parallèlement, elle ajoute dans ses garnissages du duvet écoresponsable. Aujourd’hui certifiée Oeko Tex, la plus ancienne usine en activité au Mans garantit la qualité de ses produits, labellisés « Confiance textile » (aucune substance controversée et nocive pour la santé), signature internationale d’une production responsable, de la matière première jusqu’au produit fini. Dans l’univers de la literie, les établissements Drouault sont synonymes d’excellence. Véritable gage de qualité, le savoir-faire unique de la maison résulte d’une longue expertise dans la sélection des plumes de canards et d’oies, mais également dans le lavage, la stérilisation, le triage et l’assemblage du duvet.

 

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Des artisans pour nous faire supporter le confinement

Des artisans nous aident à supporter le fait que nous soyons confinés et pour encore quelques semaines… au moins… et ils sont nombreux, restaurateurs, boulangers, traiteurs, pâtissiers et autres protagonistes, tous artisans et maîtres artisans, de la filière gourmande qui mettent tout en place pour continuer de travailler et pour permettre au plus grand nombre d’avoir accès aux biens de premières nécessités gustatives.

1-Hugo Desnoyer : le célèbre boucher parisien garde ses boutiques ouvertes et tout son personnel travaille d’arrache pied pour continuer à servir les viandes, les volailles et les plats traiteur. Il livre dans tout Paris et sa banlieue via les deux boutiques, Boucherie 16 / 28 rue du Docteur Blanche : 01 46 47 83 00 et Boucherie 14 / 45 rue Boulard : 01 45 40 76 67. Vous pouvez également passer les commandes par mail : sasdesnoyer@yahoo.fr La livraison peut se faire sous vide ( à préciser au moment de la commande). La livraison est gratuite à partir de 80 euros d’achat, et en dessous de 80 euros c’est 15 euros la livraison. Le règlement se fait par chèque ou en espèce.

Durant le confinement le traiteur propose : Gigot d’agneau ou épaule d’agneau confite, Gigot ou épaule d’agneau de lait confite, Sauté de veau printanière, Osso Buco, Palette de porc confite, Navarin d’agneau, Blanquette de veau, Pintade forestière, Fricassée de volaille. La semaine prochaine Pastilla de pigeon. Tous les plats sont accompagnés de légumes.

2-La Boulangerie de la Tour : la boulangerie du restaurant de la Tour d’Argent nous donne ainsi accès durant le confinement à une boulangerie exceptionnelle, à ses viennoiseries, ses pâtisseries, mais aussi à l’épicerie.

La boulangerie de la Tour propose, sur Paris, un service de livraison de ses produits via la plateforme Rapidle, qui propose les spécialités de beaucoup d’autres artisans de bouche. On passe sa commande sur le site et on est livré dans la journée. Rapide et efficace.
A vous les sorbets fins et goûtus, des confitures d’exceptions comme la Framboise Mecker, reine des framboises, avec sa saveur affirmée et légèrement acidulée. Comble du plaisir on peut choisir parmi une sélection de vins et champagne et se les faire livrer à domicile.
Le confinement prend alors une autre tournure bien plus épicurienne.
Si pour vous il n’est pas possible de faire la queue ou que vous n’en pouvez plus de la faire…n’hésitez pas.
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CARTIER présente le collier MAHARAJAH

Cartier rend hommage aux grands colliers de cérémonie des maharajahs. Cette parure créée en 2019 met en scène un ensemble exceptionnel d’émeraudes, mais aussi de saphirs et de rubis, autour d’un savoir-faire ancien venu d’Inde.

Les émeraudes gravées réunies par Cartier constituent un ensemble d’autant plus singulier que la forme en « grappe » du pendant est rare en Haute Joaillerie – même si Cartier l’a déjà employée par le passé dans les années 1920-30. Ce pendant est composé de 19 gemmes.
Deux émeraudes d’un poids total de 86,96 carats et une pierre de centre de 43,73 carats originaires de Colombie, lieu de provenance de gemmes parmi les plus réputés au monde, complètent cet ensemble.

Impressionnantes par leur poids, ces émeraudes se distinguent par l’ensemble harmonieux qu’elles composent mais aussi par leur couleur, leur intensité lumineuse et leur cristallisation. S’y ajoutent une émeraude de Zambie gravée hexagonale de 18,58 carats, un rubis de Birmanie gravé de 23,24 carats, huit rubis de Birmanie pour un poids total de 46,34 carats et deux rubis de Birmanie pour un poids total de 13,26 carats.

Pour Cartier, l’important dans le savoir-faire, c’est le trait d’union entre l’idée et sa réalisation, entre la créativité de Cartier et son exigence. C’est ce trait d’union que l’on retrouve entre les outils d’hier et les techniques d’aujourd’hui, entre l’esprit pionnier de Louis Cartier et la vision contemporaine de la Maison. Le savoir-faire de Cartier est le résultat d’échanges entre les designers, les joailliers et les ingénieurs. Il se développe au fil de rencontres parfois inattendues et se concrétise au fil d’un processus d’itérations. Le savoir-faire de Cartier : un dialogue ininterrompu entre technique et créativité qui unit le savoir et le faire – d’un trait d’union. On compte au total 4566 heures de travail de joaillerie, de sertissage et de polissage.

Le passage du dessin en deux dimensions à l’objet en volume constitue la première prouesse du collier Maharajah. De l’idée à l’objet, cette transformation révèle une multitude d’inconnues – ajustements de pierres, de couleurs, réglages à apporter pour parfaire l’ergonomie de la pièce. Dessinateur et joailliers travaillent côte à côte à servir un but commun : retranscrire l’idée d’origine en une parure exceptionnelle.

Une création de Haute Joaillerie est un éblouissement, un rêve transformé en lumière. C’est aussi une construction ingénieuse, conçue au millimètre, dont la complexité de conception est insoupçonnable. Sur le pendant du collier, les 19 émeraudes composent une architecture en volume, d’une parfaite tenue. Pour permettre cette chute, chaque gemme est sertie dans une très fine armature en métal,
véritable dentelle apposée sur l’arrière du collier. Chaque pierre étant unique, la mise au point de cette structure sur mesure a généré une collaboration intense dans l’atelier, mêlant à part égale esthétique et technique. Pour diriger le regard sur les gouttes d’émeraude du pendant – et ne pas le laisser s’égarer vers d’infimes points de métal qui pouvaient apparaître selon l’angle d’où l’on se place – le designer et le chef d’atelier ont mis au point un leurre : de minuscules billes de saphir ont été ajoutées en terminaison de chaque goutte d’émeraude. Ainsi, le saphir attire le regard vers l’émeraude avec laquelle il compose une association de couleurs chère à Cartier.

Tout autour de la partie centrale, plusieurs rangs de boules sont disposés, formant un plastron transformable.  Selon le porté choisi (le collier en propose huit principaux), le nombre des rangs varie, et avec lui la répartition du poids des gemmes. Pour que celle-ci soit agréable à porter quel que soit le porté, l’enfilage a été intensément étudié – avec de multiples réglages et ajustements. Le dessin de création constitue le point de départ : il donne la direction et prévoit les différentes étapes en atelier, auxquelles sont associées des durées. À ce temps de travail, s’ajoute un temps parallèle qui se déroule tout au long de l’élaboration de la pièce et engage designer et joailliers à concevoir, alors que la pièce prend forme sur l’établi, une multitude de réponses à apporter aux questions qui surgissent.

Cette pièce s’inscrit dans la grande tradition Cartier de la joaillerie transformable et propose huit portés principaux pour le collier et deux variations pour les pendants d’oreilles. Ainsi, la partie intérieure en rubis se transforme en collier de chien ; les pampilles et les grappes d’émeraudes cernant le motif central peuvent être enlevées, offrant une version plus courte de la parure ; la grappe centrale se porte en pendant sur une chaîne. Les pendants d’oreilles peuvent, quant à eux, accueillir les deux émeraudes latérales.

Une pièce exceptionnelle, moderne, inspirée par le passé et l’histoire de la maison Cartier.

 

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