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ROYAL MER MET LE CAP SUR L’ÉTÉ!

Royal Mer fabrique depuis 1946 de la maille d’inspiration marine. Un savoir-faire made in France qui puise dans des valeurs authentiques. Une marque qui choisit l’élégance et perpétue des compétences devenues rares en matière de fabrication, au sein même de ses ateliers. 50 personnes (programmeurs, bonnetiers, coupeuses, brodeuses, remailleuses, boutonniéristes…) officient dans les Pays de la Loire, pour continuer de faire vivre cet héritage de 70 ans.
Dans l’atelier de création, pas de styliste en chef ou de bureau de style, car on imagine de manière collective des modèles inspirés et inspirants, qui respectent la tradition et s’enrichissent d’une vision moderne. Royal Mer fait le pari du temps : celui qu’il faut pour créer bien et beau, celui qui fait que ses créations durent. Le contre-pied d’une mode à obsolescence programmée, qui a l’exigence d’une confection haut de gamme.

On le sait, l’humeur est à la nostalgie. Au retour aux essentiels et aux moments bénis que le contexte actuel semblerait avoir rendus utopiques. Avec son approche contemporaine, Royal Mer nous plonge dans le bonheur retrouvé des stations balnéaires. Parce que l’été s’annonce comme une renaissance, la marque évoque au fil de sa collection, le retour aux classiques chic et à une mode heureuse. Avec le choix d’un panel de coloris festifs.
Eventail de couleurs joyeuses et formes typiques du style « seaside », Royal Mer navigue entre des tons vibrants, aux promesses estivales : rose cerisier, turquoise barbade, vert menthe, bleu outremer, rouge coquelicot…

Pour sa campagne été 2021, Royal Mer choisit les Ateliers des Capucins à Brest. Cet ancien pôle de la Navale brestoise est devenu un lieu de vie et de culture, qui a pris le parti de conserver son patrimoine industriel pour mieux le faire vivre dans les mémoires. La marque y met en scène une fraîcheur « athleisure », qui repose sur des déclinaisons de silhouettes modernes et épurées. Les rythmes graphiques font écho à un esprit yachting, revisité en version acidulée. L’accessoirisation, empruntée au nautisme de plaisance, revendique quant à elle, son statut trendy.

En équilibre entre dynamisme et une certaine sophistication, esthétique intemporelle et codes chahutés, Royal mer signe une collection de must contemporains : le pull marin qui fera la différence, la veste paletot qui donne de l’allure à la silhouette, ou le sweat zip à capuche navy esprit rétro. Il n’y a pas qu’en Bretagne que l’on a le goût du style marin. Royal Mer l’a bien compris et distille dans sa collection des pièces aux accents citadins un peu « college », un peu vintage… comme aime la mode de l’été 2021 !

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BERET LAULHÈRE : L’ANNIVERSAIRE D’UNE PIÈCE MYTHIQUE

Un béret Laulhère, c’est avant tout une histoire d’exception…
Cette histoire commence il y a 180 ans à Oloron Sainte-Marie, petite ville du Béarn. C’est ici, au pied des montagnes pyrénéennes, que prend naissance un mythe qui perdure depuis plus de six générations : celui du béret !
C’est l’histoire d’un savoir-faire préservé, guidé par la passion d’hommes et de femmes depuis 1840 : des gestes uniques et précis qui façonnent un béret issu d’un fabuleux mélange de tradition, d’élégance et d’irrévérence. Chaque geste est un secret que seuls les initiés chez Laulhère connaissent. Cette maîtrise est le fruit d’un long travail où observation, curiosité, minutie et talent s’allient pour créer une identité propre à chaque création.

 

Chez Laulhère, tout Maître d’Art a le devoir de transmettre ses connaissances et son agilité afin que cet ADN et ce savoir-faire propres à la maison, perdurent.
Cette histoire est magnifiée par des matières premières nobles et naturelles de qualité supérieure travaillées en collaboration avec des fournisseurs locaux. Ainsi élues, ces matières donnent naissance à un béret unique et authentique, conçu pour durer toute une vie.


Le béret est un basique, un indispensable de la garde-robe qui conjugue luxe, tradition et modernité. Alors on le porte, on le sort à chaque occasion, et on le transmet. Depuis 180 ans, des célébrités aussi singulières que fascinantes se font les égéries du béret. Du berger basque fier de ses origines, en passant par le Che révolutionnaire, l’espiègle Picasso, Brigitte Bardot l’insoumise, l’affranchie Madonna mais aussi Beyoncé la militante, tous affirment leurs engagements et leur liberté vêtus d’un béret.

Le béret Laulhère reste un intemporel, un symbole d’une personnalité forte. Il est inspirant et audacieux comme les personnes qui le portent. Chaque jour, la maison repousse les limites, montre que la tradition n’est pas figée, qu’elle est une transmission vivante entre hier et demain.


Pendant 180 ans, le béret Laulhère, fort de son héritage, a su s’adapter au quotidien et à ses nouveaux modes de vie.
Créativité et innovation restent la priorité pour une mode engagée et durable. L’utilisation de nouvelles matières, de teintures aux pigments naturels démontrent l’implication et les efforts de Laulhère pour sublimer le traditionnel béret.
180 ans de savoir-faire, de tradition, de créativité, de liberté et de modernité. C’est tout cela que nous célébrons !

 

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SAUNIER VOUS OFFRE LA CLÉ DES SONGES

A l’occasion de la 9ème édition du Vendée Globe, la maison Saunier, appartenant au groupe Altesse (qui
détient entre autres Les Georgettes), dévoile cette saison en exclusivité « La Clé des Océans ». Une collection capsule de bijoux signée en collaboration étroite avec le navigateur Sébastien Destremeau.


Pour sa seconde participation à la course à la voile en solitaire, le skippeur originaire de Toulon, a souhaité rendre hommage à la Clé des Océans, symbole protecteur des marins solitaires à travers une collection masculine de 8 modèles. Et c’est tout naturellement vers des ateliers labellisés Entreprise du Patrimoine Vivant que le skippeur s’est tourné. C’est la passion commune du savoir-faire d’une maison centenaire et de la transmission de Sébastien Destremeau qui a permis de voir naître le projet.


Réalisés dans la plus pure tradition artisanale ardéchoise, en argent, et monté sur des cordons inspirés de boutes, ces bijoux uniques signent l’union entre les hommes et la mer. Une collection comprenant deux lignes, la ligne Cap et la ligne Cabestan, toutes deux résolument d’inspiration marine, où bagues, bracelets et pendentifs revisitent les thèmes chers aux amoureux de la mer comme la rose des vents, la boussole, les points cardinaux ou encore la poulie.


A travers cette collaboration, la maison Saunier s’adapte à une nouvelle tendance et dévoile une fois de plus son savoir-faire ancestral. Une édition limitée dans le temps et dédiée aux Maîtres des Océans comme aux marins d’eau douce, et à tous ceux que la mer fait rêver!

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Maison Initial ou l’art de la haute maroquinerie

La Maison Initial a su mêler des matières nobles telles que le cuir au détour de notes olfactives figuratives, emblèmes de l’essence de la Maison. Produite en France  chaque pièce de la Maison se ressent comme une ode à la liberté. Un perpétuel recommencement qui ne cesse d’étonner. Pour Homme et Femme, la collection respire le savoir-faire tant par la qualité des matières que par la qualité de l’exécution.

Maison Initial a été fondée en 2019 par Victoire. Les sacs sont pour elle, au même titre que les bijoux et le parfum de véritables ambassadeurs de notre personnalité, de notre style, de notre ADN. INITIAL casse les codes, et va au-delà des frontières stylistiques « Il est  grand temps de s’écouter, de revenir à l’essentiel, de suivre  ses envies, et avant tout ses goûts. C’est la part de cœur qui  prône véritablement dans cette Maison.» Prêter attention à sa philosophie est essentiel. Aujourd’hui, la catégorisation du style contraint la diversité et la créativité qui s’émane de chacun.

Maison Initial s’anime autour du chiffre 3. Chiffre magique s’il en est. 3 collections, 3 noms, 3 produits, 3 matières. Ce chiffre universel signifie implicitement la rupture de l’équilibre, et le perpétuel apprentissage. Maison Initial s’émancipe, suggère, et s’exprime. Revenir au point Initial, à la naissance des genres, en créant une unité. Exploiter son style en cassant les codes. Dévoiler ses convictions, sans se laisser influencer. Proposer des pièces numérotées  tout en prônant son Initial. Maison Initial est  une véritable marque d’expression de soi. 

« Le terme « style » est pour moi une forme très personnelle d’expression qui n’a ni genre, ni âge, ni  ethnie, ni frontière. Nous n’appartenons pas à une catégorie ou à un groupe par les emblèmes que nous choisissons. C’est à nous de créer notre propre style à partir de nos différences» – Victoire.

Et comme le disait si bien Gabrielle Chanel:  » La Mode se démode, mais le Style, jamais! ».

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Corthay et le sac à dos Zermatt

Corthay, c’est avant tout Pierre Corthay, qui s’installe en 1990 au 1, rue Volney. Prenant la suite d’un cordonnier talentueux qui avait démarré son entreprise en 1947 et prenait sa retraite. À 27 ans, Pierre lançe sa propre marque, fabriquant des chaussures sur mesure! Son rêve devient réalité.

Très tôt, ces incroyables créations sont tombées sous l’œil aiguisé de Suzy Menkes – à l’époque responsable des pages mode et luxe du New York Times – qui a consacré un article à l’avenir prometteur de la Maison. Elle a qualifié ses chaussures de «chaussures bijou».

La clientèle de Pierre a commencé à s’épanouir, avec des clients du monde entier défilant rue Volney. 

Dès 2008, son ambition de créer les plus belles chaussures pour hommes est reconnue et dûment récompensée lorsqu’il reçoit la distinction de « Maître d’Art » cordonnier pour homme du ministre français de la Culture, dont il est à ce jour le seul titulaire.

Mais Pierre Corthay ne crée pas que des souliers, et il a également imaginé une très belle ligne de maroquinerie. Point culminant de sa ligne maroquinerie, Maison Corthay hisse le sac à dos Zermatt au rang de nouvel indispensable…


En hommage à ses racines helvétiques, Pierre Corthay célèbre les sommets enneigés des Alpes suisses et plus particulièrement la chicissime station de sports d’hiver : Zermatt.
Collectionneur invétéré de pièces militaires vintage, il emprunte sans détour au vestiaire technique des chasseurs alpins. Comme un clin d’oeil au savoir-faire historique de la maison, la large sangle de fermeture en Vacchetta peut être patinée au desiderata du porteur, quand la signature des coordonnées GPS de l’atelier parisien suggère les prémices de l’histoire Corthay.
Conçu dans un superbe nappa, le Zermatt est un sac à dos de caractère qui a lui seul conjugue raffinement, praticité et adaptabilité.
Sous ses airs définitivement chics, il reste le compagnon de tous les instants et le partenaire des esprits les plus aventureux.

Le sac à dos Zermatt est disponible en nappa noir et Vacchetta.

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Moynat, L’héritage d’une Audacieuse

Moynat, vous connaissez? Oui, sans aucun doute mais votre souvenir est imprécis. Et pour cause: dans l’univers du beau voyage, la marque a connu une éclipse de quelque 40 ans. Aussi, la nouvelle boutique du 348 rue Saint-Honoré va-telle lui redonner toute sa place, celle qu’elle a occupée avec éclat depuis le milieu du XIXème siècle.

D’abord malletier d’exception, Moynat a été de toutes les aventures du voyage: premiers trains, premières voitures, premiers paquebots. Sa signature? Le raffinement du sur-mesure pour proposer malles, valises et sacs dans de très larges gammes. La rigueur du travail artisanal ensuite dont témoigne notamment sa maroquinerie. Enfin l’inventivité et la discrétion des détails qui ont toujours assuré sa différence. Ses créations ont traversé les siècles et inspirent celles d’aujourd’hui.

L’histoire de Moynat est celle d’une femme, Pauline. Jeune savoyarde arrivée adolescente à Paris, elle a su humer l’air du temps, mesurer l’importance des changements dans la capitale conduits sous la houlette du baron Haussmann. Forte de sa rencontre avec les Coulembier, malletiers, qui œuvraient à Paris depuis 1849 dans leur atelier de fabrication au 13 rue Capron, elle a saisi les envies des nouveaux voyageurs qui découvraient les plaisirs des villes d’eau et des stations balnéaires.
Quand, en 1869, elle saute le pas et ouvre une belle maison de vente, c’est un coup de maître: « Malles Moynat Fabricant » s’inscrit en lettre blanches sur fond noir au 5 place du Théâtre Français. Dix ans plus tard, l’avenue de l’Opéra est enfin percée et sa boutique y occupera le numéro 1. Le quartier devient le terrain d’élection des premières agences de voyages. A en juger par les articles des journaux d’alors qui vantent Moynat, -« ce sont les plus beaux bagages »-, le succès est immédiat.

Sous la conduite de cette audacieuse qui s’impose dans un univers masculin, la maison répond en effet aux attentes de clients raffinés. Ses malles gagnent leur brevet de longévité et d’étanchéité dès le milieu du siècle avec l’utilisation de la guttapercha, une première signée Moynat. Les acheteurs apprécient bien sûr leur serrure de sûreté mais plus encore leur légèreté: la marque est en effet la première aussi à proposer, en1873, une malle constituée d’une armature en osier recouverte de cuir puis d’une toile vernie. Son nom ? La malle anglaise, en hommage sans doute aux bagages qu’utilisaient les Britanniques venus nombreux en France lors de l’exposition universelle de 1867 et souvent clients du Grand Hôtel ouvert la même année place du Théâtre français.

Pauline Moynat n’est pas seulement l’âme de la grande boutique parisienne: elle suit de près le travail des artisans et imprime sa marque en lançant une ligne de sacs à main. Une innovation de taille car jusqu’alors, la maroquinerie était séparée de la malleterie. Des innovations, Moynat va les multiplier lorsque les automobiles apparaissent à la fin du XIXème siècle: présente dans tous les salons organisés au Grand Palais à partir de 1905, la maison fabrique des malles sur mesure pour les adapter à chaque véhicule, couleur comprise: les malles limousine dont le fond est convexe sont destinées au toit. Elles sont rejointes par une série d’autres aux formes les plus inattendues pour prendre place à l’arrière du véhicule ou sous le marche-pied.

Le catalogue de 1907 comporte déjà 170 références. L’art de vivre s’y manifeste dans tous les domaines. Ainsi le coffre repose-pieds peut contenir un chapeau haut de forme ou un « caisson-buffet mobile », en fait un nécessaire de pique-nique sophistiqué avec réchaud, couverts et napperons.
La maison collectionne les distinctions lors des expositions universelles. Elle triomphe à l’exposition internationale des Arts Déco de 1925 où elle rafle 14 médailles et obtient le diplôme d’honneur pour une célèbre malle rouge cloutée dessinée par Henri Rapin. L’automobile est sa spécialité mais Moynat n’est pas en reste depuis que les paquebots sillonnent les mers: aux multiples malles courrier et malle de cale, la maison a ajouté un bijou, une malle armoire avec support de portemanteau dont l’intérieur est tendu de soie ou de velours. Un vingtième brevet couronne les créations des quelque 250 artisans logés, depuis le début du XXème siècle, dans la fabrique modèle de la rue Coysevox. De quoi satisfaire des clients très divers, du grand voyageur Edmond Cotteau à Réjane. Le premier avait, en vue de son périple en Sibérie, acheté « une forte malle en bois, garnie de toile et cerclée de fer ». La comédienne avait, quant à elle, retenu une malle en crocodile pour l’introduire dans le quatrième acte de la pièce « Viveurs »…

Aujourd’hui, les attentes des clients ne sont pas moins variées. Elles ont cependant un trait commun: la recherche d’un exceptionnel savoir-faire au service de la sobriété.
Parions que beaucoup d’ amateurs de beaux bagages emboiteront le pas à Max et Alex Fischer, deux éditeurs et écrivains en vogue qui, en 1914, avaient accepté de préfacer un catalogue Moynat: « A la veille de partir, en juillet dernier, pour la côte normande d’abord et pour une petite randonnée en Bretagne ensuite, nous étions allés acheter les bagages dont nous avions besoin à la maison Moynat . La maison a plus que jamais l’ambition d’accompagner les rêves des voyageurs pour un week-end sur la côte normande, une croisière dans les Caraïbes, un circuit en Chine ou simplement une flânerie sous les arcades du Palais-Royal.

 

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CHEVRONS – Le plus beau en jean – CONCOURS

Chevrons, le jean éco dont nous rêvions. Véritable pièce identitaire du vestiaire, le jean est devenu LE vêtement à porter en tout occasion et en toute saison. Popularisé par le cinéma américain des années 50 et 60, il est la seule pièce vestimentaire que Yves Saint Laurent regrettait de ne pas avoir inventé. Aussi universel soit-il, entre les matières premières, les teintures et l’assemblage ce pantalon est malheureusement bien loin d’être éthique et écologique.
Heureusement, de jeunes entrepreneurs français proposent des alternatives pour changer les modes de consommation en proposant des jeans fabriqués dans l’Hexagone. Et c’est le pari de Brice Lambert qui vient de créer CHEVRONS, une nouvelle marque de denim mixte 100% française.

Engagé et responsable, cet entrepreneur du sud-ouest a souhaité donner des valeurs à cette pièce indémodable ancrée dans nos placards depuis qu’il est devenu une icône dans les années 80. CHEVRONS ce sont des jeans et des blousons esthétiques, de qualité et éco-responsables (composés à 40% de coton bio et à 60% de coton recyclé). Mais derrière cette marque c’est également un tour de France de partenaires engagés aux savoir-faire artisanaux d’exceptions. 

Côté style, le jean CHEVRONS se veut identitaire. Investi par tous les courants de mode, il est proposé dans une toile brut à la coupe demi-slim et à la taille mi-haute, conçu pour flatter toutes les silhouettes. Quant au blouson, Brice Lambert s’est inspiré des vestes de motards, proposant une coupe ajustée avec des détails pointus comme les poches rivetées dans la couture et des surpiqûres fines contrastées.

En quelques chiffres, CHEVRONS c’est :

– 80% d’économie d’eau par rapport à un jean classique

– 4200 km de transport, soit le tour de France contre 65 000 km pour un jean
conventionnel

– 97% du prix qui bénéficie à l’économie française.

 

CONCOURS

Aujourd’hui ChEVRONS, en association avec BLAKEMAG, vous propose de vous prouver, si vous ne le saviez pas déjà, que vous pouvez être le plus beau en jean.

Pour participer à ce concours, il vous suffit de suivre le profil Instagram de Chevrons: @chevrons.fr et le profil Instagram de Blakemag: @blake_mag , et de nous envoyer à l’adresse suivante: contact@blakemag.com une photo de vous en jeans qui soit la plus originale, drôle, sexy ou décalée possible! Soyez imaginatif!

N’oubliez pas de préciser votre NOM, PRENOM, et votre TAILLE!

CHEVRONS sélectionnera les 3 photos les plus originales. Votre jean sera taillé spécialement pour vous pendant l’été et vous sera envoyé par la marque au mois de Septembre.

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Drouault literie fête ses 170 ans

Drouault. Qui ne connaît pas cette entreprise centenaire passe à côté d’une histoire et d’un savoir-faire d’exception. Car Drouault, c’est avant tout une histoire de famille qui prend vie en 1850 dans la Sarthe.
C’est en plein coeur du Mans qu’un certain Paul Courboulay fonde une manufacture de traitement de plumes et de duvet. Près d’un demi-siècle plus tard, il s’associe au jeune Constant Drouault. Téméraire et curieux, Constant s’adonne à de nombreux voyages et parcourt alors le monde pour côtoyer de plus près l’industrie de la plume. Dès son retour, il valorise ces matières et permet à l’entreprise de se spécialiser dans le négoce de l’or blanc.

En 1910, Constant Drouault prend les rênes de l’entreprise jusqu’à sa mort en 1925. Ce sont ensuite sa femme et son fils Robert qui lui offrent une nouvelle impulsion. Les premiers oreillers, coussins et édredons font leur apparition. Après avoir investi dans une machine de nettoyage et de tri de plumes, un atelier de production est installé à Paris. Les clients, et notamment les grands magasins, sont alors livrés dans la journée. Le succès est immédiat. L’entreprise renaît en 1946 après avoir essuyé les affres de la guerre et c’est au tour de la troisième génération de reprendre le flambeau. Elle propose une collection baptisée « Haute couture » avec une gamme de produits 100% duvet.

Toujours fabriqués artisanalement avec minutie et passion, les petites mains de l’usine s’affairent sur les traversins, les oreillers et les édredons mais aussi les couettes qui font leur apparition en 1974 …. Et parce que l’entreprise évolue en technicité, elle propose dans les années 90 un traitement contre les acariens (tissus et duvets). En 2004, la plus ancienne usine mancelle intègre le groupe familial DODO permettant d’écrire un nouveau chapitre. Très rapidement Drouault, s’impose comme la marque premium du groupe. En 2009, la griffe lance le premier Surconfort® de matelas en plumes. Il sera très vite reconnu et deviendra l’un de ses produits phares. Deux ans plus tard, pour répondre à une demande grandissante, un nouvel atelier est créé au sein de l’usine et permet de doubler la capacité de production.
Et c’est cette même année que, consciente des enjeux environnementaux, Drouault entreprend des améliorations industrielles afin de mieux utiliser les énergies et l’eau. L’usine s’équipe d’un système de traitement et de récupération d’eau utilisée (baisse de la consommation de 40%) et l’installe sur les laveuses de plumes. Parallèlement, elle ajoute dans ses garnissages du duvet écoresponsable. Aujourd’hui certifiée Oeko Tex, la plus ancienne usine en activité au Mans garantit la qualité de ses produits, labellisés « Confiance textile » (aucune substance controversée et nocive pour la santé), signature internationale d’une production responsable, de la matière première jusqu’au produit fini. Dans l’univers de la literie, les établissements Drouault sont synonymes d’excellence. Véritable gage de qualité, le savoir-faire unique de la maison résulte d’une longue expertise dans la sélection des plumes de canards et d’oies, mais également dans le lavage, la stérilisation, le triage et l’assemblage du duvet.

 

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BENU BLANC, LE NOUVEAU RITUEL DU SOIR

BENU BLANC vous propose de prendre soin de votre peau et de vos cheveux. S’il est un des marchés en constante évolution, c’est bien celui de la cosmétique qui répond avant tout à une quête universelle,la recherche du bien-être. Depuis des décennies prendre soin de son corps, de son visage et veiller à son apparence font parties des préoccupations humaines. Et si vous profitiez de vos nuits pour prendre soin de votre peau et de vos cheveux? C’est ce que propose le linge de soin en soie naturelle BENU BLANC associé au brumisateur de Néo-perles.

Élaborée pour répondre aux problématiques d’hydratation et de sommeil,la maison Benu Blanc a développé un nouveau protocole qui s’adresse à toutes les peaux: le rituel Nuit de Soie.Une taie d’oreiller en soie naturelle combinée à un brumisateur de Néo-perles de soie qui respectent l’équilibre cutané et l’hydratation pour une détente absolue.
Tissée en région Rhône Alpes et confectionnée dans des ateliers labellisés « Entreprise du Patrimoine Vivant », la soie Benu Blanc bénéficie d’un savoir-faire d’exception.
Certifiée Oeko-Tex®, d’aspect mat et non glissant elle est de grande qualité avec une densité supérieure à 112 g/m² pour un effet toucher coton.

Au moment de la brumisation et de l’évaporation de l’alcool bio, les peptides viennent se fixer sur les fibres de la soie, tels un «cocon moléculaire».
Grâce à la micro-encapsulation,les senteurs se diffusent lentement et au moins pendant 8 heures. Dormir sur une taie en soie Benu Blanc est bien meilleur que de dormir sur une taie en coton.La peau du visage est moins agressée,les cheveux sont plus souples et moins cassants, et les effets apaisants pour un meilleur sommeil se font vite ressentir .
Véritable arme contre les rides de sécheresse,les effets du rituel Nuit de Soie Blanc se constatent après 10 jour d’utilisation régulière.Jouant le rôle seconde peau, ce tissu moléculaire aide à lutter contre les signes de l’âge et offre un sommeil réparateur.

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ALÉNA, Gourmandise de Truffe

Aléna la nouvelle marque française pose la question: Et si le vrai goût de la truffe était enfin accessible ?
Les objectifs d’Alena ? Rendre accessible au plus grand nombre le véritable goût de la truffe et l’émotion qu’elle procure. Développer des valeurs de partage et de convivialité autour du diamant noir.
Aléna est une toute nouvelle marque développée par Mathieu Trellu et Guillaume Gé, fondateurs de la société Truffe Extra France, spécialisée dans la production et le négoce de truffe fraîche de saison et d’origine Aquitaine.


Actuellement fournisseurs des plus grands Chefs à travers le monde, ils ont créé le projet Aléna qui a la volonté de faire bouger les lignes du marché de la truffe et propose de fournir des truffes de haute qualité au grand public. « Le marché de la truffe est malheureusement aujourd’hui trop opaque, trop aléatoire, et trop onéreux pour la qualité proposée. Nous voulons faire bouger les lignes !» affirme Guillaume Gé. Face à des consommateurs qui souhaitent se faire plaisir, à la recherche de produits locaux et de qualité, Aléna intègre toute la chaîne de valeurs de la truffe pour une traçabilité sans faille depuis la production jusqu’à la valorisation. La marque propose ainsi directement aux particuliers des truffes de haute qualité. Le prix est enfin juste, pour la production, l’acheteur et le consommateur.
Le véritable goût de cette truffe noire du Périgord devient accessible à tous.
Avec Aléna, la truffe est abordée de manière simple et désinhibée. Aléna offre aux amateurs de bonnes choses des moments conviviaux entre amis ou permet de sublimer des recettes simples du quotidien, les occasions sont multiples.

Et si la truffe se consommait à la petite cuillère ? C’est le pari d’Aléna pour rendre le vrai goût de la truffe accessible à tous. « La truffe, c’est saisonnier, c’est rare, et surtout ses arômes sont terriblement fragiles» commente Matthieu Trellu, « alors, nous avons inventé une nouvelle manière de la consommer». Après des mois de test, c’est le suprême qui né : une nouvelle façon d’appréhender la truffe.
L’idée ? Une sélection du meilleur des truffes d’Aléna, produites en Aquitaine, récoltées à pleine maturité, broyées, mélangées avec une huile neutre, salées et / ou poivrées, le tout scellé dans une petite boîte de métal pour une fraîcheur qui dure trois mois. Le suprême est tout d’abord testé auprès des plus grands chefs à travers le monde pendant deux ans avec des retours unanimes et enthousiastes. Ainsi, avec Aléna, elle se partage, on l’utilise avec les doigts ou à la petite cuillère. Elle se cuisine facilement. La truffe devient un met simple, régressif et gourmand ; elle génère enfin toute l’émotion qu’elle porte.


Aléna a ainsi développé une gamme, adaptée pour deux usages:

LE SUPRÊME DE TRUFFE NOIRE ALÉNA, c’est la quintessence de la truffe noire du Périgord de haute qualité. Plus puissant encore que la truffe fraîche, il sublime les inspirations truffées (brouillades, risottos, pâtes…), se déguste sur des toasts ou se partage à la petite cuillère.

LE SUPRÊME DE TRUFFE D’ÉTÉ, plus doux en goût, il anime les apéritifs, permet les improvisations gastronomiques décontractées et les moments à partager.

IDÉE RECETTE: BROUILLADE  D ’OEUFS À LA TRUFFE

Ingrédients: 1 boîte de 15g ou 30gr de suprême de truffe noire ou de truffe d’été Aléna selon la puissance aromatique recherchée (vous pouvez ajouter un peu de truffe fraîche pour la décoration si le coeur vous en dit…), 6 beaux oeufs fermiers.

Cassez vos oeufs et mettez-les dans une casserole à feu doux. Mélangez jusqu’à ce que la préparation
épaississe. Sortez du feu et incorporez votre suprême de truffe.
Mélangez et laissez infuser à couvert hors du feu une bonne minute.
Vous pourrez déguster cette brouillade avec des mouillettes grillées frottées à l’ail.

Avec Aléna, découvrez le plaisir de cuisiner facilement un met d’exception.

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Pic In Touch: le créateur de souvenirs qui donne le sourire

Pic In Touch pense qu’il est est important de garder le lien avec ses proches, famille et amis, d’autant plus à l’heure du numérique et des réseaux sociaux, et a donc imaginé un nouveau service.


Depuis 4 ans, la star-up propose d’envoyer vos photos par e-mail à vos proches et à votre famille qui les recevront par courrier dans une jolie enveloppe bleue! 
L’idée est simple: grâce à une adresse mail collaborative, toute la famille peut envoyer ses photos. Le destinataire les reçoit en version papier en quelques jours seulement.
Contrairement aux photos numériques, les photos imprimées durent et sont des souvenirs que l’on aime conserver, dans un album ou encadrées.

Grâce à Pic In Touch, il est facile de garder un lien social et familial… primordial aujourd’hui . Voilà une idée de cadeau intelligente et qui durera toute l’année !

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Hsueh-Lin LU, le magicien des sacs

Hsueh Lin LU est un magicien. Un véritable alchimiste du sac, qu’il soit à dos, à main, ou un cabas.

Créateur d’accessoires, Français et Parisien d’origine Taïwanaise, il est diplômé de l’école de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne. C’est au cours d’un passage dans les ateliers de la maison Lanvin, alors dirigée par Alber Elbaz qu’il réalise que les détails, même les plus petits et les subtils, donnent leur dimension artistique aux accessoires les plus sobres. 

C’est cette constatation qui sera l’élément déclencheur de sa première collection. Fort de l’enseignement qu’il a reçu et qu’il a développé chez Lanvin, il décide de lancer sa marque et de présenter ses propres collections. Ses créations sont déclinées dans des matières et des textures différentes aux effets mates et brillants, flexibles et rigides, à première vue totalement opposées mais finalement très complémentaires. Les cuirs, les toiles, la soie et les autres matières sont combinées dans des arrangements particulièrement originaux. 

Son style se définit par des contrastes sophistiqués à la fois classiques et urbains, androgynes et amples dans une palette de couleurs, le plus souvent dans la palette des nuances de noir, gris, bleu ou café. Mais l’idée la plus importante dans les collections de Hsueh-Lin LU est que l’accessoire est et doit rester fonctionnel. Les poignées et les anses sont souples et confortables, les bandoulières larges et amovibles pour n’être utilisées que lorsqu’on en a besoin. Toutes les formes et tous les styles sont présent dans sa collection, que l’on chercher un cabas chic, un cartable, un grand fourre-tout ou un petit sac à main ou une pochette.

L’importance que Hsueh-Lin LU donne aux matières nobles comme le cuir et la soie, et aux finitions est décisive et chaque modèle est unique car intégralement fabriqué à la main dans l’espace atelier de la boutique.

C’est au 44 bis Store rue Lucien Sampaix,75010 Paris au sein du concept store 44Bis Store qu’il présente actuellement ses collections.

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