L.B.F sur les cimes parisiennes :

Hanami Paris 2022 :

Le plus beau Rooftop de la capitale, le toît terrasse du Peninsula Paris :


L’appartement 47 :


Maurice Lacroix dévoile trois montres en édition spéciale qui reprennent les attributs de l’AIKON #tide lancée récemment, en les associant au monde passionnant du 3×3, le format de basket-ball mondial adoré par des millions de personnes. Partageant les mêmes qualités que les autres membres de la famille AIKON, ces nouvelles montres changent la donne à la fois sur le terrain et en dehors.
Il y a quelques semaines, Maurice Lacroix a dévoilé une nouvelle montre révolutionnaire, l’AIKON #tide. Partageant les mêmes attributs que les autres membres de la famille AIKON, ces nouveaux modèles sont constitués de plastique recyclé issu de l’océan, d’une formule secrète et de fibre de verre. Le matériau composite ainsi créé est deux fois plus dur que le plastique traditionnel, cinq fois plus résistant et possède une empreinte carbone nettement inférieure à celle de la production de PET vierge. La lunette, le boîtier, le fond du boîtier, la couronne, la pièce de bout et le fermoir du bracelet de ce nouveau modèle sont tous façonnés à partir de ce matériau composite. Il faut 17 bouteilles pour fabriquer une montre et son emballage sur mesure, ce qui signifie 17 bouteilles de moins qui polluent l’océan.
Après le récent lancement de l’AIKON #tide, Maurice Lacroix associe son modèle innovant à la discipline pleine d’adrénaline qu’est le basket-ball 3×3. La marque horlogère suisse n’est pas étrangère à la vie citadine. Elle est le « chronométreur officiel du FIBA 3×3 World Tour », un sport d’action qui se joue dans certains des environnements urbains les plus passionnants du monde. Né dans la rue, le 3×3 fait désormais partie du programme olympique. Joué dans le monde entier, il est diffusé dans plus de 100 pays et suivi par des millions de fans à travers le monde. Avec une très forte audience sur les réseaux sociaux, les fans connectés ne sont jamais loin de l’action. C’est un domaine passionnant où les joueurs couvrent le terrain avec une incroyable rapidité. Passe ou tir, le terrain est une arène pleine d’énergie où la concentration est absolue et où la fatigue signe la défaite.
La nouvelle édition spéciale AIKON #tide FIBA3x3 déborde d’énergie. Logée dans un boîtier de 40 mm, cette montre sur le thème du basket-ball est dotée d’un verre saphir plat qui améliore la lisibilité, tandis que le mouvement à quartz assure la précision dans un monde où les secondes comptent. Ces deux modèles, idéalement adaptés aux joueurs de basket, sont disponibles avec des cadrans noirs ou blancs et sont livrés avec des bracelets coordonnés. Les cadrans intègrent le logo « 3×3 » dans un motif élaboré, tandis que le fond du boîtier est également embossé avec le logo « 3×3 ».
Lorsque les versions inaugurales de l’AIKON #tide ont été dévoilées, elles arboraient des cadrans aux tons vifs et des bracelets aux couleurs tendance. Aujourd’hui, Maurice Lacroix revient avec une nouvelle création éblouissante, inspirée cette fois par le ballon Wilson officiel du FIBA 3×3 World Tour. Ce nouveau modèle arbore des teintes bleues, orange et jaunes et est un concentré de vitalité. Une fois encore, le cadran est orné du logo FIBA 3×3, qui est également répété sur le fond du boîtier.
En outre, conformément à l’esprit écologique de la marque, l’AIKON #tide FIBA3x3 n’est pas présentée dans un emballage excessif, mais dans un mug aux couleurs coordonnées qui peut être utilisé encore et encore. Avec cette dernière initiative, réalisée avec l’aide du FIBA 3×3 World Tour, la dynamique marque horlogère du Jura suisse offre encore plus de choix aux membres de la génération Z. Comme tous les modèles Maurice Lacroix, ces nouvelles créations offrent une valeur perçue élevée. Maurice Lacroix a choisi de collaborer avec le FIBA 3×3 World Tour, car il s’agit d’un format sportif urbain, accessible et orienté vers le succès.
Quelle que soit la montre de l’édition spéciale que vous choisirez de porter, vous contribuerez à nettoyer les océans et vous aurez l’air cool sur le terrain et en dehors. La Maurice Lacroix AIKON #tide FIBA3x3 change tout simplement la donne !
Domaine Fontaine-Gagnard, Chassagne-Montrachet, 2018 : Mon grand coup de cœur parmi les vins d’été, un vin d’exception, très frais et florale, au nez le jasmin, le lilas, la pêche blanche, le zist de citron, en bouche c’est beurré et on retrouve le fruité et le florale du nez. Un vin riche et complexe, d’une grande finesse et parfaitement équilibré entre minéralité, fruité/rondeur et tension. Extraordinaire. Excellent pour accompagner des fruits de mer, du caviar, une pâte feuilletée fine…
Wolfberger, Épopée 1902, Jéroboam : Un crémant d’Alsace en grand format pour célébrer les 120 ans de la maison et compléter harmonieusement notre sélection de vins d’été. Le nez sur les fruits blancs : marmelade de coing et de noisettes grillées. En bouche on retrouve les arômes du nez et des pointes toastées et subtilement vanillées avec un final salin. Très chouette sur un plateau de fruit de mer.
Sélection réalisée par Alexis Dumétier
Illustration de couverture Agnes Solanges, @agnes_solange_art
Bronzer, c’est l’activité primordiale pendant les vacances. C’est même la preuve évidente de vacances réussies. Mais si les rayons solaires ont à faible dose des effets bénéfiques sur la peau (amélioration de l’humeur, amélioration transitoire de l’acné, synthèse de vitamine D par la peau : effet antirachitique…), le soleil peut également être votre ennemie. Les ultraviolets peuvent provoquer des dommages irréversibles, et dans les cas les plus graves, mortels. L’exposition au soleil présente des risques : sur la peau, il provoque des coups de soleil, un vieillissement prématuré, des allergies et, dans les cas les plus graves, des cancers (mélanomes et carcinomes). Voila pourquoi une protection solaire s’impose. Retrouvez ici notre sélection, tous d’un indice de protection 50 afin de prendre le soleil en toute quiétude.
De chez Avène, un fluide solaire spf 50 qui s’applique facilement et qui est résistant à l’eau ce qui ne pollue pas les océans. Spéciale peaux sensibles.
Pour le visage, une crème solaire légère non grasse Biotherm pour le visage spf50 à effet matifiant.
Clarins propose une crème solaire pour le corps indice de protection 50.
Chez Clinique, une protection solaire pour le visage avec un indice de protection SPF50.
Un classique qu’on connait depuis l’enfance. La crème Nivea Sun de la gamme « protège & hydrate » avec un SPF50.
Enfin, pour ceux qui préfèrent éviter le soleil, voici une sélection d’autobronzants, approuvés et testés par la rédaction pour bronzer sans soleil.
Chez Bronz’Express, une lotion autobronzante teintée visage et corps qui s’applique au gant. Très pratique et se voit dès l’application. Renouveler l’application deux à trois fois par semaine après la douche pour un résultat optimum.
Dans la gamme Idéal Soleil de Vichy, un lait hydratant autobronzant pour le visage et le corps. Très fluide et d’application facile.
et enfin, chez L’Oréal, le sérum autobronzant Sublime Bronze pour le visage et le corps. Légèrement parfumé.
Les rosés d’été sont synonymes de vacances, de farniente… Si le rosé est un plaisir estival, c’est que le servir frais est bien souvent une évidence, voire une nécessité. Il se fait alors le compagnon des apéritifs de fin de journées caniculaires, des barbecues entre amis ou en famille, des vacances, des couchers de soleil face à la mer, des après midi farniente en bord de piscine. Le rosé est devenu le vin de l’été, il en existe de plus en plus. Pour vous permettre d’y voir plus clair dans ce choix dionysiaque ou tout simplement pour vous pointer du doigt nos dernières trouvailles, voici notre sélection des vins rosés pour cet été 2022, du rosé venu d’un partout, clair, bien rouge, gris ou encore avec des bulles, il y en a pour tous les goûts.
Château Malherbe 2021, un côte de Provence en biodynamie, demeter, ce qui signifie que le respect de la terre et des hommes sont dans le cahier des charges de la confection de ce vin. Ce rosé est fait avec les meilleures parcelles du château et des vignes de plus de 30 ans. Cela donne un vin au nez abricot et pêche, en bouche le vin est ample sur les fruits mûrs, l’abricot est là, et le final est frais et long.
Château de Berne – la grande cuvée Rosé 2021 : Un nez rose, pêche et abricot, en bouche on croque dans les fruits, puis une finale plus florale.
Rosé de rêve, Domaine de la grande sieste : Un rosé au nom évocateur des beaux après)-midi d’été, qui pousse même à la paresse…nez groseille et bonbon arlequin, bouche fraîche sur le pamplemousse, un vin pour accompagner le repas ou juste partager entre amis.
Château Saint roux rosé 2021 : Vin biologique, au nez pêche de vigne et ananas, un vin très frais et en bouche c’est un vin puissant et ample, une belle vinosité qui en fera un vin parfait pour accompagner un repas.
Les Bonnes Bouches, Sancerre rosé, 2021 : Un rosé de saigné, à la robe intense. Le nez est très fruits rouges : fraises des bois, groseilles, et la bouche une belle minéralité et des notes de fruit frais et de bonbon acidulé.
Scamandre Bio 2021 : Vin de de la Vallée du Rhône et du Languedoc, Un nez pêche, pamplemousse et mandarine, en bouche c’est frais, on retrouve les fruits du nez, avec des pointes d’ananas.
Domaine de Cala, cuvée prestige, 2021 : Un vin des coteaux varois, en Provence, qui passe trois mois en fût, ce qui lui confère des notes finement épicées et en bouche des pointes de gingembre. Pour le reste ce rosé frais et fruité nous emmène sur des saveurs d’agrume type zist de yuzu, melon, et pamplemousse. Un très beau vin de dégustation ou pour un repas de belles grillades.
Éternelle favorite, Château de Saint-Martin, 2021 : Vin d’une grande élégance et très floral. Nez jasmin, lilas et glycine, bouche pastèque et pamplemousse et une pointe de fruit de la passion.
Domaine de Barbossi 2021 : issu du vignoble de la baie de Cannes, une situation géographique qui offre à ce vin une fin saline, ce qui équilibre joliment ce rosé fraîchement fruité.
Le cirque des grives, La Gordonne 2021 : Un des rosés haut de gamme de La Gordonne, beau nez de pêche blanche et bouche très fraîche sur les fruits blanc, sucrés, la beauté de ce rosé est sa longueur en bouche si gourmande.
Océanide, AOC Saint Mont, 2021 : Un nez fraise, framboise, groseille, grenadine suivi d’une bouche plutôt sèche et fruité.
Moët rosé vintage 2013 : Un nez très fruits rouges, des bois frais et une pointe vanillée, d’orange sanguine. En bouche, les bulles fines laissent vibrer la fraise des bois et les framboises mûres. Un beau vin de champagne parfait pour l’apéritif ou sur un dessert au chocolat.
Saignée, de Vincent Metivier : Un champagne d’artisans épicuriens. D’un rose-rouge profond. Le vin vieillit 6 mois en fût de chêne. Un champagne très gourmand. Nez et bouche très framboise et une belle structure générale, opulente. Des pointes fines vanillées viennent équilibrer la sucrosité délicate, avec une belle tension en finale. Notre coup de coeur « bulles de l’été » des rosés 2022.
Comtes de Champagne rosé 2008 : Le rosé d’exception de la maison Taittinger. Un long vieillissement en fût. Au nez des notes de fraises confites, de zist de citron vert, tranché par des pointes toastées et de fève de cacao. En bouche c’est très ample et très équilibré : le fruit rouge mûr, le pain grillé, la vinosité, pour finir sur une fraîcheur saline et crayeuse typique, émanant du terroir. Un vin de champagne de gastronomie.
Leclerc Briant, rosé, extra brut : Le nez mêle des notes florales de rose et pivoine avec celles fruitées de fraise et groseille. En bouche on retrouve les senteurs du nez et elles explosent, tenus par une belle et délicate acidité.
Drappier les Riceys, rosé brut nature : La maison Drappier, fait partie de nos chouchous et cela depuis des années. Leur travail des vins avec une forte identité porté sur le nature, le sans soufre, et les faibles dosages en fait une maison très authentique, avec des expressions de terroir puissante. Ici ils en font encore la démonstration avec Les Riceys. un vin de champagne rosé, puissant et ample, très fruité. L’élevage est réalisé à 50% en cuves inox et 50% en foudres de chêne. Le vin est un brut nature, c’est-à-dire qu’il n’y a aucun ajout de sucre. Un nez rose, griotte, violette, fruits rouges mûres, puis la bouche est ample, sur toutes ces notes trouvées au nez.
Papilou le premier pet’nat’ rosé de Gérard Bertrand : On pousse encore plus loin les bulles en finissant par ce pétillant naturel, bio, un vin frais d’apéritif. Nez fruit rouge fraîchement cueilli. Bouche doucerette et légèrement amer sur le pamplemousse.
La sélection des rosées 2022 a été réalisée par Alexis Dumétier.
LEGACY OF PETRA, la nouvelle création du parfumeur PENHALIGON’S.
Peu à peu, en majesté, le rocher de Petra, se révèle à nos yeux.
Et nous nous tenons là, sans un mot,
contemplant, à travers ces reliefs sculptés aux teintes de sables,
l’empreinte de sagesses très anciennes.
Des ocres et des roses, nés de la terre qui les porte,
mais aussi d’une Main toute-puissante.
Le passé et le futur se mêlent, toutes les vérités humaines
semblent irradier de la pierre.
Alors que les vents s’engouffrent dans les canyons
et courent sur les collines,
quelque part – ici, le temps s’est arrêté.
Ils sont venus là et ont dominé les pluies,
sur cette étendue de sable solitaire, brûlée par le soleil.
Serait-ce la plus ancienne cité du monde ?
La gloire des civilisations ? Le geste magique de Moïse ?
Il y a tant d’origines à cette étrange histoire.
Un pur joyau à la couronne du monde, fruit de la terre et d’un patient labeur.
Une seule question désormais : peut-on encore le sauver ?
« Une cité rose et rouge, presque aussi ancienne que l’est le temps lui-même… » – John William Burgon
Il était une fois, 150 ans environ… Il n’y a pas si longtemps. William était barbier. Son nom ? Penhaligon.
Il avait laissé derrière lui la mer de Cornouailles, sauté dans un train direction Londres et, peu après, suspendait fièrement son enseigne au-dessus de l’échoppe de barbier qu’il ouvrait sur Jermyn Street : PENHALIGON’S.
Après bien des créations, la maison de parfums PENHALIGON’S présente aujourd’hui LEGACY OF PETRA. Un Oriental boisé composé d’accords de Myrrhe, de bois de réglisse, de Vanille et de Belambre.
Comme l’aube fraiche dans une vallée ombrée, la bergamote, le fenouil et le thé vert apportent au point du jour une énergie naissante, pleine de promesses.
La percée de la myrrhe et des bois liquoreux ne se fait pas attendre, annonçant le lever imminent du soleil.
Comme une ode à la beauté de la myrrhe, la fragrance prend soin de magnifier toutes ses facettes – de l’évocation claire du citron aux notes balsamiques chaudes, en passant par de riches vibrations épicées et d’obscurs reflets d’encens fumé, éclairés ça et là par la touche aromatique du romarin.
Au crépuscule de cette journée singulière, l’éclat de l’ambre, fort, sensuel, vibre comme un couchant écarlate.
Disponible à partir du 1er septembre 2022 sur l’ensemble du réseau sélectif.
Ateliers de Nîmes relance la légende de la toile de Nîmes, le denim, car le mot denim associé au légendaire jeans vient du nom de la ville française : Nîmes, d’où elle était exportée vers les Etats-Unis où elle était coupée pour servir de base aux vêtements des travailleurs, des mineurs et des pionniers de l’Ouest américain. En 2020, la marque rend hommage à ce passé glorieux en tissant de nouveau cette toile, à Nîmes, au sein de son propre atelier.
En remettant en activité les métiers à tisser, et en relocalisant la production dans le Gard, la marque ranime une industrie séculaire, et participe à la valorisation du savoir-faire français. L’entreprise est ainsi la seule marque française de denim à tisser sa propre toile pour son seul usage, et surtout, l’une des rares à l’échelle mondiale.
Ateliers de Nîmes propose 4 coupes femme et 4 coupes homme : A.D.N. 60, A.D.N. 70, A.D.N. 80, A.D.N. 90 et A.D.N. 10, A.D.N. 20, A.D.N. 30 et A.D.N. 40. Les modèles sont droits, ajustés, fuselés, slim ou encore larges. Les coloris disponibles sont le bleu, le noir et le naturel. Les modèles respectent aussi différentes méthodes de lavages. Actuellement seule la gamme bleue est tissée à Nîmes. Les tailles vont du 25 au 34 pour un denim femme, et du 28 au 38 pour un denim homme. Cette toile authentique s’adapte à chaque morphologie, et invite à repenser ses classiques.
Tissé dans l’ancienne ville romaine dès 1557, la toile de Nimes, autrefois mélange de laine et de soie, solide et rapiéçable, est devenue au fil du temps, un sergé de coton quasiment inusable et surtout un des vêtements de base de notre dressing. Chez Ateliers de Nîmes, cette saison, le vestiaire homme s’étoffe avec des sweatshirts et des tee-shirts, et dévoile une capsule exclusive “Le Trophée des As”. Pêle-mêle, la gamme de couleurs contient tout ce que la région produit de meilleur : vert garrigue, terre orange de Roussillon, lin beige et marine.
Amoureux du luxe français, François-Joseph GRAF cultive l’art de vivre à la française. Il dessine lui-même chaque sac et chaque motif, sélectionne et détermine personnellement cuirs et couleurs, afin de créer des pièces souvent uniques, fabriquées entièrement à la main à Paris. Avec François-Joseph GRAF, architecture et voyage dialoguent avec la haute maroquinerie française.
À l’image de ce luxueux savoir-faire, François-Joseph Graf expose une sélection de ses créations au sein d’un des plus luxueux palaces de la capitale, l’hôtel Lutetia, boulevard Raspail, dans le 6eme arrondissement.
Avec ses nombreux talents, Monsieur François-Joseph GRAF s’offre un terrain de jeux multidisciplinaire. Passionné, précis et d’une élégance rare, François-Joseph GRAF n’est pas seulement architecte et décorateur. Il crée également une ligne d’accessoires de haute maroquinerie. Sur les thèmes des voyages et des arts, le créateur propose une collection de cabas et pochettes. Certaines pièces sont résolument féminines, d’autres, parfaitement unisexe.
« Avec cette ligne de maroquinerie, je souhaite rendre hommage à la technicité de mon métier d’architecte d’intérieur, et démontrer ainsi que la fantaisie ne peut bien s’exprimer que dans une extrême rigueur. C’est un dessin, une proportion, et un volume. Dans tous les domaines, créer est un plaisir, dessiner une façade, une porte, un tissus, un sac reste de l’architecture. ».
Monsieur François-Joseph GRAF cultive la perfection de ses créations grâce à son atelier de l’est parisien. Tous ces accessoires prennent naissance dans cette manufacture. Semblable à un laboratoire de création où dialogue peinture, camaïeu de cuirs, pince à coudre en bois ciré et machines artisanales, les artisans effectuent un travail de fourmi incroyablement précis et net. La confection d’une pièce de maroquinerie peut nécessiter jusqu’à 30 heures de travail selon la complexité. Chaque maroquinière a sa propre spécificité et dispose d’un savoir-faire rare.
Chaque sac réalisé à la main est une pièce unique. À l’image de ces rêves de créateur, François-Joseph GRAF offre une palette infinie aux accessoires; Faire cohabiter les couleurs les plus spectaculaires, imaginer de nouvelles associations tel sont ses défis du créateur maroquinier.
L’Hôtel Barrière Le Normandy Deauville : Légende & Renaissance
Entièrement rénové, le légendaire hôtel à rouvert ses portes. Suivez nous pour une visite privée.
Au début du XXe siècle, Deauville somnole dans l’ombre de sa voisine Trouville. Son réveil, Deauville le doit à Eugène Cornuché, propriétaire de la célébrissime brasserie parisienne Chez Maxim’s et directeur du casino de Trouville. Pour lui, il faut doter la plage fleurie de toutes les distractions et du confort auxquels aspirent les plus fortunés. Un casino d’abord puis un palace, Le Normandy, et un autre, l’année suivante, Le Royal.
Son ami et associé, François André, fondateur du groupe Barrière, contribuera lui aussi grandement à l’essor de la station. Après avoir participé à la création de La Baule et d’en avoir fait un « passage obligé », François André succèdera en 1927 à Eugène Cornuché à la tête de la Société des Hôtels et Casino de Deauville (SHCD). Deux ans plus tard, il construira L’Hôtel du Golf…
Pour décrire son œuvre, l’architecte Théo Petit disait : « Le Normandy ? C’est une ambiance de cottage anglo-normand avec des pignons normands et des draps en lin, des pommiers et des vaches normandes en son jardin ». Lors de son inauguration en 1912, les chroniqueurs le présentent comme le « plus bel hôtel du monde ». Dès lors, le Tout-Paris débarque à Deauville en villégiature. Au Normandy, Coco Chanel ouvre sa boutique de chapeaux à l’enseigne « Gabrielle Chanel ». Et l’élite du monde des arts, des lettres, de la politique, de la presse et du sport se bouscule dans son hall.
Après la guerre, de station à la mode, Deauville s’impose comme la station où il faut être ; Le Normandy, le lieu où il faut séjourner. Churchill choisit la plage fleurie pour passer ses vacances tout comme le roi Alphonse XIII d’Espagne. Le prince de Galles fête ses 30 ans au Normandy. André Citroën et Françoise Sagan feront les beaux jours du casino… Une icône est née, la légende commence.
LE TEMPS DE LA SUBLIMATION
En novembre 2015, Le Normandy ferme pour rénovation, pour la première fois depuis son inauguration en 1912. Une brève parenthèse, le temps d’un hiver, pour choyer son atmosphère. Durant six mois, l’établissement mythique du groupe Barrière se retire derrière les échafaudages pour une remise en beauté complète.
L’hôtel est entièrement vidé puis les différents corps de métiers entrent dans la danse. Et, tandis que les habitués prennent, le temps d’une saison, de nouvelles habitudes au Royal, tout proche, les artisans s’affairent, mesurent, annotent, rénovent. Leur mission : restituer au joyau normand sa splendeur célébrée dans le monde entier tout en gardant son âme intacte. Entre les pans de toile de Jouy arrachés, deux artistes imaginent la nouvelle ère du Normandy. Dans cet immense chantier chargé d’histoire, de belles surprises se dévoilent. Ainsi, cette mystérieuse fresque murale dissimulée sous la toile de Jouy du couloir du 3e étage, sur les murs entre lesquels Claude Lelouch dirigea Anouk Aimée et Jean-Louis Trintignant, couple mythique d’Un Homme et Une Femme. Portrait d’homme dessiné à la sanguine, la peinture daterait de la construction de l’hôtel mais n’est pas signée.
Quel artiste l’a réalisée ? A ce jour, le mystère reste entier. Mais le portrait fait aujourd’hui partie intégrante de la nouvelle décoration.
UNE ÂME INALTÉRÉE, UN ESPRIT INTACT
Pour impulser un nouveau souffle à L’Hôtel Barrière Le Normandy Deauville , deux architectes décorateurs de renom : Alexandre Danan et Nathalie Ryan. Un homme et une femme pour repenser Le Normandy avec élégance et raffinement.
Chargée de la décoration des Chambres et Suites, Nathalie Ryan avait à cœur de conserver ce qui fait l’histoire et la mémoire des murs qui ont vu passer des générations et des générations de clients. Avec talent, elle a su ressusciter l’atmosphère de ce bâtiment mythique tout en imaginant un décor d’aujourd’hui. Ainsi revisitée, la nouvelle décoration transcende les codes de l’élégance anglo-normande.
Emblématique du lieu, la toile de Jouy est embellie et rafraîchie. Elle se décline avec poésie, dans des coloris harmonieux selon les Chambres : vert, beige, orange, bleu et rouge. Un classicisme pimenté de quelques touches contemporaines, avec des tissages légers, unis ou structurés qui ornent délicatement le mobilier créé spécialement par Nathalie Ryan. La moquette arbore des motifs en forme de chevrons pour rappeler les parquets d’origine.
Les fameuses Suite Présidentielle et Suite Un homme et une femme, où fut tourné le chef-d’œuvre de Lelouch, n’ont pas échappé au relooking. Les salles de bain sont rajeunies pour des instants de détente magiques avec pierres blanches, mosaïques argentées et meubles vasques en acajou.
Alexandre Danan a, lui, restitué à La Belle Epoque, le restaurant au cœur du Normandy son faste d’autrefois tout en parsemant le lieu de touches actuelles. Son ambition ? Réécrire le lien entre l’hôte et l’hôtelier de façon soignée, honnête et respectueuse, en alliant design, sens des volumes et jeux de couleurs et matériaux. Pour réinventer La Belle Epoque, le designer a misé sur la subtilité et la simplicité. Le résultat : un design épuré, un luxe plus discret, une architecture magnifiée, des déplacements simplifiés et des espaces plus intimes qui ne troublent pas pour autant la convivialité du lieu. Atout majeur du restaurant, la magnifique verrière a été davantage mise en valeur.
L’intérieur et l’extérieur ne semblent plus faire qu’un, la lumière est reine. Des meubles et fauteuils, en bois élégant de l’époque, participent au confort et à la clarté de l’espace. Au sol, une immense mosaïque créée sur mesure reprend les codes et couleurs du nouveau Barrière sur fond de Naïade Belle Époque.
Le Normandy propose une fabuleuse expérience à vivre pour une clientèle désireuse de découvrir ou retrouver les 271 Chambres et Suites au caractère normand et à l’atmosphère cosy. Un séjour à savourer seul, en famille ou entre amis, en profitant toujours de l’excellence du service Barrière. Les habitués retrouveront leur « Normandy », les autres comprendront pourquoi il est mythique. Soyez les bienvenus…
LE BAR DU NORMANDY – LE COIN COSY
Marcher sur les pas de Coco Chanel ou Winston Churchill, habitués des lieux. S’installer dans la galerie, face aux portraits d’hôtes prestigieux.
Préférer les chaises hautes du superbe bar en acajou. Et apprécier l’instant unique.
Un feu de cheminée qui crépite l’hiver. Un piano à queue dans un coin. Des vitraux lumineux. Des tableaux équestres aux murs. Une harmonie de vert olive et d’acajou. Cosy, Le Bar du Normandy offre le décor idéal pour savourer, avec modération, un malt des plus prestigieux, un cidre normand ou un cocktail sans alcool revigorant.
Le lieu multiplie les espaces pour garantir intimité et convivialité. Une superbe carte de whiskies prestigieux côtoie un choix étonnant de cocktails originaux, créations à base de calvados et spritz réinventés. À consommer avec modération. Entre vieux rhums, cocktails detox, thés précieux et cafés rares, les “Afternoon gourmands” deviennent des goûters raffinés avec pâtisseries maison.
L’incontournable: le Spritz Colette, où du cidre de la Cuvée Colette remplace le prosecco.
Totalement rénové, L’Hôtel Barrière Le Normandy Deauville offre désormais un espace de quiétude entièrement dédié au bien-être. Aerial Wellbeing for the Future™ a mis son expertise au service du Spa Diane Barrière avec un programme intégratif original, sur-mesure et innovant. Une parenthèse d’exception très privée, une merveilleuse bulle de bien-être où, dans un cadre luxueux, sont proposés les soins les plus novateurs, ultime alliance entre savoir-faire expert, équipements dernière génération et diagnostic de haute précision. Relaxation, énergie, détox, chacun y trouvera son compte.
LA BELLE EPOQUE – LES SAVEURS À L’HONNEUR
Se régaler de poissons frais cuisinés à la perfection. Apprécier le goût incomparable des produits du cru. Hésiter entre un Baba flambé au Calvados et mille-feuilles au caramel beurre salé. Contempler d’un regard un décor élégant, baigné de lumière…
Assurément, La Belle Epoque n’usurpe pas sa réputation de « meilleure table de Deauville ». Le restaurant sous la direction du Chef Christophe Bezannier propose une cuisine imaginative alliant des produits simples à des saveurs merveilleuses, le tout concocté avec des produits locaux de saison. Les plats à partager sont à l’honneur pour découvrir des saveurs insolites. Et savourer l’un de ses desserts gourmands revient à croquer dans une madeleine. Délicieuse régression.
Comme chaque Tables Barrière, La Belle Epoque met à l’honneur modernité, élégance et partage. Brunch dominical, repas festif, dîner romantique, le lieu se prête à toutes les occasions, petites ou grandes : grande salle festive, véranda plus cosy, terrasse chauffée…
L’incontournable: La Côte de veau cuite au poêlon, jus perlé à partager.
Alors n’hésitez plus. Venez rejoindre la légende du Normandy, pour une soirée, un week-end ou quelques jours de détente.
L’HÔTEL BARRIÈRE LE NORMANDY 38, Rue Jean Mermoz, Deauville – 02 31 98 66 22 – 09 70 82 13 14
Elden Ring, c’est probablement le jeu de l’année. Cette pépite est issue de la collaboration entre le créateur de jeux vidéo Hidetaka Miyazaki (la série des Dark Soul,…) et l’écrivain George R. R. Martin, à l’origine de la désormais, mythique série, Game of Thrones. Tout cela laissait présager d’un jeu à part, et personne n’a été déçu, tant ce jeu regorge de lieux à explorer et d’une histoire dense aux personnages multiples, qui vous entraînera dans des sessions de jeux que vous ne voudrez pas arrêter. Le tout servi par une direction artistique tant graphique que sonore envoûtante. Elden Ring est un jeu vidéo d’action-RPG développé par FromSoftware et édité par Bandai Namco Entertainment, pour à peu près toutes les plateformes existantes : PlayStation 4, PlayStation 5, Xbox One, Xbox Series et Windows.
Ce jeu, classé dans les “souls” : des jeux difficiles, linéaires et réservés aux joueurs les plus tenaces, sort des sentiers battus. Les équipes de FromSoftware ont décidé de créer un monde vaste et ouvert, permettant ainsi à chacun de progresser à son rythme et de se confronter progressivement aux difficultés. Rien ne vous arrête de jouer, et si un adversaire s’avère trop fort, libre à vous de continuer l’aventure afin de gagner en capacités et en force. Le monde ouvert de Elden Ring est gigantesque et regorge de trésors et de quêtes multiples.
Dans Elden Ring il n‘existe pas d’ordre de jeu, d’indications de quêtes à suivre, vous êtes libre. Cela peut être déroutant mais cela devient très vite grisant. Les décors variés et soignés sont un vrai plaisir à explorer, et quand je dis explorer je pèse mes mots. Des portes dérobées, des cryptes cachées, des grottes insoupçonnables, des passages spatio-temporels, il en existe partout. Les lieux les plus haut niveau du jeu sont accessibles au bout de la première heure de jeu…tout est possible.
Ce jeu vidéo propose une offre de gameplay rarement égalée, toutes les stratégies sont possibles, en termes d’exploration, d’approche d’un lieu, mais aussi de combat. Votre personnage est customisable quasiment à l’infini, la gestion des armes et protections, que ce soit dans chaque main ou sur votre corps sont configurables à souhait. Ce qui permet de combattre comme vous l’entendez : force brute, agilité, magie, combat à distance ou au corps à corps. Elden Ring dispose d’une durée de jeu, de ce fait, incroyable, vous pouvez choisir de faire l’histoire en ligne droite et le plus vite possible ou vous perdre dans les contrées de la map qui est imposante, et qui pousse toujours plus à l’exploration.
Un jeu puissant, c’est avant tout une histoire bien faite et captivante, et la patte de George R. R. Martin y est évidemment pour quelque chose. Vous évoluerez dans un monde médiéval fantastique à la mythologie travaillée et où les divinités côtoient les hommes, ainsi qu’un bestiaire incroyablement fouillé : l’Entre-Terre. Des dragons, des châteaux, des seigneurs, des guerres et des mondes parallèles, une histoire que l’on découvre au fur et à mesure des rencontres, des personnages que l’on croise sur notre route et dont les intrigants échanges invitent à prendre des notes et à en apprendre plus sur cet univers. Cependant il n’y aura pas d’indication de quête, cela ramène à une forme de jeu plus à l’ancienne mais qui force à poser son intérêt de façon plus certaine sur l’histoire et le jeu.
Elden Ring est beau. C’est simple, on s’arrête de jouer parfois pour simplement admirer le paysage. Les vallées, les montagnes, les ruines, les châteaux, les mondes démoniaques,…sont foisonnant de détails et de réalismes. La gestion des lumières jour et nuit mais aussi des effets lumineux de magie et autres arbres-mondes, sont oniriques. C’est un jeu qu’on aime à contempler. Mais au-delà de l’aspect technique réussi (même si quelques bugs d’affichage persiste pour le moment, des patchs régleront sûrement ces problèmes) c’est la direction artistique qui fait la différence, les détails de chaque lieu sont passionnants à observer, découvrir et comprendre. Des passages dérobés, des portes invisibles, Elden ring est empli de surprises à découvrir.
Pour couronner le tout la bande son de Elden Ring est grandiose, épique, superbement composée et orchestrée. Pour preuve, Bandai Namco entertainement a sortie la BO sur 4 vinyls, en édition limitée (https://store.bandainamcoent.eu/fr/product/719391/elden-ring-the-vinyl-collection-limited-edition ). C’est Yuka Kitamura qui est le principal compositeur de la BO du jeu. Il avait déjà travaillé avec Fromsoftware sur les BO de Sekiro : Shadows Die Twice, Dark Souls 2 et 3, et Bloodborne. Chaque lieu, région, boss, à son atmosphère bien sûr mais les boucles sont si bien faites qu’elles sont enivrantes.
Vous l’aurez compris ce jeu nous a passionné, envouté. Et nous ne sommes pas les seules tant l’engouement pour Elden Ring est général. Fromsoftware et Hidetaka Miyazaki ont su renouveler leur genre et l’ouvrir à tous les joueurs, sans perdre l’ADN de leurs jeux. Une belle prouesse vidéoludique qui restera, à n’en pas douter, dans l’histoire du jeu vidéo.
Test réalisé sur Playstation 5, avec un écran Viewsonic XG270QG
Article écrit par Alexis Dumétier.
Royal Oak un nom qui fait rêver les amateurs d’horlogerie. Depuis son lancement le 15 avril 1972, la Royal Oak, dessinée par Gérald Genta a provoqué un bouleversement sans précédent grâce à sa boîte en acier inoxydable finie à la main, à sa lunette octogonale fixée par des vis hexagonales apparentes, à son élégant bracelet en acier intégré ainsi qu’à son mouvement extra-plat à remontage automatique. Inspirée par la révolution culturelle et industrielle des années 70, dévoilée aux premiers temps de la crise du quartz, cette montre mariant un caractère sportif avec un savoir-faire séculaire annonce une nouvelle ère de Haute Horlogerie en phase avec des modes de vie en pleine mutation.
Au fil des ans, la Royal Oak a donné vie à une collection à part entière, composée de nouvelles tailles, matériaux, styles et calibres. Depuis 50 ans, plus de 500 modèles de Royal Oak ont été conçus, faisant de cette création iconoclaste une icône culturelle dans le monde de l’horlogerie et au-delà. Voici les principaux faits marquants de son histoire.
En 1970, trois distributeurs d’Audemars Piguet perçoivent un changement de sensibilité chez leurs clients et mettent la marque au défi d’y répondre. Georges Golay, alors administrateur délégué d’après les AP Chronicles d’Audemars Piguet, confie la délicate mission à Gérald Genta, joaillier expérimenté et designer horloger éprouvé, de dessiner une montre de sport en acier inoxydable d’un genre totalement nouveau. Genta réalise le dessin de la Royal Oak en une nuit, puisant dans de nombreuses sources d’inspiration dont celui du casque de plongée dont il gardait
le souvenir depuis son enfance. Bien que la création de Genta s’inscrive dans le prolongement des montre-bracelets atypiques qu’Audemars Piguet créait depuis les années 30, elle reflète également la tendance culturelle qui anime l’art contemporain, le design, l’architecture et la musique dans les années 60 et 70.
Il s’ensuit un formidable élan collectif, réunissant les meilleurs horlogers et artisans de l’industrie : Stern Frères travaille sur le cadran guilloché Petite Tapisserie, Favre & Perret sur la boîte en acier et Gay Frères sur le bracelet intégré en acier. La pièce est si complexe à réaliser en raison de la dureté de l’acier que son premier prototype est conçu en or gris, un matériau plus malléable. Le bracelet intégré comprend à lui seul 154 composants, dont 20 fins maillons de liaison, faisant de ce bracelet l’un des plus complexes de l’histoire horlogère. Qui plus est, l’alternance de surfaces brossées, satinées et polies sur la boîte en acier comme sur le bracelet est si sophistiquée que la finition est effectuée au sein des ateliers d’Audemars Piguet.
En avril 1972, la montre en acier la plus chère du marché est donc dévoilée à la Foire de Bâle, où elle crée un véritable séisme, générant de multiples
réactions contrastées, parfois critiques. Entre les doutes exprimés par les clients et les difficultés rencontrées pour produire et livrer les premiers
exemplaires, le démarrage est difficile. 490 pièces sont néanmoins vendues dès le début de l’année 1972 – un record pour Audemars Piguet, préfigurant un succès commercial ininterrompu. Durant quatre ans, Audemars Piguet s’attache avec grand soin à ne produire que cette seule référence – la désormais célèbre 5402. Ce n’est qu’en 1976 que la première Royal Oak pour femmes, en 29 mm (Modèle 8638), dessinée par Jacqueline Dimier, est lancée. Dès 1977, ces deux modèles sont revisités en or jaune, or gris, ainsi qu’avec une version alliant acier et or jaune, donnant naissance à une véritable collection. La marque crée également un diamètre intermédiaire de 35 mm, le Modèle 4100, qui s’impose
rapidement comme la référence pour les montres masculines. N’étant désormais plus considérée comme un cas particulier, la Royal Oak est sur le point de connaitre un destin prometteur.
De manière aussi surprenante qu’extraordinaire, la Royal Oak montre une grande capacité à s’adapter aux années 80.
S’éloignant du Modèle 5402, Audemars Piguet explore de nouveaux territoires esthétiques grâce à des tailles et des matériaux inédits. Des variations en platine et or rose s’imposent rapidement aux côtés des modèles en or gris, or jaune et bicolores (or jaune et acier). Ces
précieux garde-temps sont souvent accompagnés d’un cadran ou d’une lunette sertis. Cette diversité créative conduit parallèlement à la
recherche de nouveaux calibres. En phase avec son temps, la Royal Oak voit arriver des mouvements quartz en 1980. D’abord réticente à implanter cette technologie au sein de sa collection phare, Audemars Piguet répond à la demande du marché après l’avoir testée au sein d’une collection parente – le Modèle 6005, surnommé «Quartz », lancé en 1978 – et dont l’esprit novateur s’accorde parfaitement à cette technologie disruptive. Même si cette pièce emprunte certains éléments esthétiques à la Royal Oak, notamment la géométrie de sa boîte et son bracelet intégré combinant des finitions satinées et des chanfreins polis, sa couronne n’est plus octogonale ni ponctuée par huit vis hexagonales. En dix ans, on dénombre au moins 59 Royal Oak avec six mouvements quartz différents, s’étirant de 26 à 36 mm de diamètre. Tout en expérimentant la technologie du quartz, la
Manufacture joue également un rôle important dans la renaissance des complications traditionnelles. En 1983, elle dévoile la première Royal Oak avec indication de la date (5572) dans une boîte de 36 mm proposée en quatre versions : acier, or jaune, or gris, ainsi qu’un mariage bicolore acier et or jaune. Cette pièce à affichage calendaire multiple est suivie en 1984 du Modèle 5554, la première Royal Oak dotée du calibre automatique avec masse oscillante centrale et calendrier perpétuel le plus fin du monde, le Calibre 2120/2800, dévoilé en 1978 au sein du Modèle 5548.
En 1986, Audemars Piguet enrichit son offre d’une Royal Oak Calendrier Perpétuel Squelette (Modèle 25636). Cette montre en or jaune 18 carats
est la première Royal Oak squelettée, de même que la première à offrir un fond saphir qui place son calibre pionnier au centre du jeu. Ces premiers modèles à Calendrier Perpétuel, qui ont retenu l’attention des amateurs de traditions horlogères, ouvrent à la Royal Oak une nouvelle ère de réinvention.
La diversification des styles de la Royal Oak, de ses diamètres et mouvements, se poursuit tout au long des années 90, posant de nouveaux jalons techniques et esthétiques au fil de la décennie. Pour ses 20 ans, la Royal Oak prend un virage plus radical qui donne le ton de la décennie. En 1992, le Modèle 14802 est la première Royal Oak en série limitée, rendant hommage à la dénommée Royal Oak « Jumbo» de 39 mm née en 1972, et dotée pour la première fois d’un fond saphir. Mais c’est aussi la naissance de la première Royal Oak sur bracelet cuir – une pièce de 36 mm très controversée (Modèle 14800), dessinée extra-muros par le designer suisse indépendant Jörg Hysek. La partie centrale de sa carrure est évidée afin d’attacher le bracelet grâce à des pivots mobiles. Déclinée en une vingtaine de variations de matériaux et boîtes, cette atypique Royal Oak prendra
encore plus de libertés au fil des années suivantes.
Un nouveau sommet est atteint en 1993 avec le lancement de la Royal Oak Offshore – l’incarnation par excellence des modes de vies extrêmes qui s’imposent dans les années 90. Dessinée par Emmanuel Gueit, cette réinterprétation robuste de la Royal Oak, dans un diamètre surdimensionné de 42 mm, s’est rapidement imposée à la nouvelle génération qui voit en « The Beast », l’accessoire parfait pour une vie d’aventures. Cette déclinaison inédite de la Royal Oak a progressivement vécu sa propre vie, donnant naissance à une collection à part entière.
Alors que la Royal Oak explore librement son identité masculine tout au long des années 90 grâce à une grande diversité de designs, les versions féminines se déploient avec une même créativité. Les premiers modèles féminins squelettes apparaissent au début des années 90, avec l’emblématique calibre extra-plat 2003SQ de seulement 1,64 mm d’épaisseur. Des variations serties s’imposent progressivement, culminant avec la Royal Oak Squelette Haute Joaillerie (Modèle 15073), lancée en 1998. Doté d’une boîte de 30 mm, ce garde-temps présente un bracelet et des
aiguilles en or gris 18 carats et entièrement sertis de 446 diamants taille brillant et d’index en émeraude (~4,64 carats). En associant les traditions de la Haute Joaillerie et de la Haute Horlogerie avec un design contemporain, ce modèle ouvre la voie à une nouvelle vague de pièces joaillières au début des années 2000.
Mais avant cela, la Royal Oak pour femmes atteint de nouveaux sommets en 1997 avec la Royal Oak Mini (Modèle 67075), qui reste à ce jour la plus petite Royal Oak jamais réalisée. Équipée d’un mouvement à quartz, cette pièce horlogère de seulement 20 mm de diamètre épouse à merveille les poignets les plus fins.
Les années 1990 voient également les collections accueillir une part toujours plus importante de complications. En 1997, la Royal Oak Tourbillon, une édition limitée de 25 pièces en acier, est dévoilée pour les 25 ans de la collection, aux côtés de séries limitées de 5 pièces en or rose, platine et or jaune. Dans une boîte de 40 mm, le Modèle 25831 est animé par la seconde génération de mouvements à tourbillon, Calibre 2875, partiellement visible au travers de la cage octogonale du tourbillon, à 6h. En hommage au mouvement précurseur à tourbillon automatique d’Audemars Piguet, dévoilé en 1986, ce modèle possède son système de remontage coté fond. La Manufacture lance également sa première Royal Oak Chronographe (Modèle 25860, 39 mm) en 1997, de même que la toute première Royal Oak Grande Complication, comportant une répétition minutes, un calendrier perpétuel et un chronographe à rattrapante. Fort de 648 composants, son mouvement est abrité dans une imposante boîte de 44 mm en or gris, offrant un saisissant contraste avec la Royal Oak Mini dévoilée la même année.
Entre 1972 et 1999, Audemars Piguet a créé environ 300 variations de Royal Oak, dont près de 200 durant la période particulièrement créative des années 90.
La Royal Oak entre dans le troisième millénaire avec une nouvelle référence de 39 mm, le Modèle 15202, marquant une étape significative dans l’histoire de la «Jumbo». Ce nouveau modèle réinterprète les codes esthétiques de la Royal Oak de manière plus libre, avec de nouvelles couleurs de cadran ainsi que le retour du fond saphir. Le cadran présente, par ailleurs, le nouveau motif guilloché Grande Tapisserie, apparu l’année précédente dans la collection. Constitué de pyramides tronquées (environ 380 pour un cadran de 39 mm, au lieu de 700 environ pour un cadran Petite Tapisserie), la Grande Tapisserie s’impose rapidement au cœur des collections Royal Oak, à une époque où s’affirme la tendance des montres de plus grand diamètre, suite au lancement de la Royal Oak Offshore en 1993. Dès lors, le diamètre moyen d’une Royal Oak atteint 39 mm en 2005, contre 36 mm dans les années 90 et 35 mm dans les années 80. Se jouant des codes de la tradition et de la modernité, cette version suscite un réel engouement et devient l’une des Royal Oak les plus convoitées. Cependant, davantage qu’un retour aux sources, les années 2000 marquent l’avènement de designs avant-gardistes et de micromécanique de pointe.
La Royal Oak Concept, dévoilée en 2022, et la Royal Oak Tradition d’Excellence N°4 (2004), témoignent toutes deux de cette vision d’avenir caractéristique du nouveau millénaire. Depuis 1999, la gamme Tradition
d’Excellence sort du cadre de l’horlogerie classique, mariant de manière inédite plusieurs complications. La Tradition d’Excellence N°4 (réf. 25969PT) associe notamment un chronographe et un tourbillon au sein d’une boîte Royal Oak en platine de 44 mm. Cette édition limitée de seulement 20 pièces offre une exceptionnelle réserve de marche de 10 jours, grâce à son innovant double barillet visible à travers le cadran partiellement ajouré.
Enfin, dans les années 2000, la Royal Oak s’incarne grâce à des éditions limitées réalisées en collaboration avec des athlètes et célébrités. La première a vu le jour en 1990 avec la Royal Oak Championship conçue avec Nick Faldo. D’autres éditions limitées voient le jour au fil des années 90 et 2000, comme la Royal Oak City of Sails (1999), réalisée en partenariat avec Alinghi, la Royal Oak Sachin Tendulkar (2008), ou encore l’un des modèles «Oak Leaves» conçu en collaboration avec Michelle Yeoh en 2005. Depuis ses débuts, la Royal Oak a puisé son inspiration au sein
d’univers aussi différents que le sport, l’art, la culture et l’architecture. En retour, elle s’est elle-même imposée comme une source d’inspiration pour ceux qui l’ont portée. Au fil des ans, ces collaborations ont joué un rôle décisif dans la transmission de l’esprit toujours jeune et créatif de la Royal Oak.
L’imposant look futuriste des années 2000 s’estompe progressivement au profit de modèles plus raffinés, associant les codes originels de la montre avec une esthétique très contemporaine et des mouvements toujours plus performants.
En 2012, à l’occasion des 40 ans de l’icône, Audemars Piguet dévoile un ensemble de Royal Oak animées de la même audace qui la vit naître. Parmi les modèles phares : une nouvelle référence 15202 « Jumbo », fait sensation parmi les amoureux de la marque, aux côtés d’une version squelette dotée du nouveau Calibre 5122. À cette époque, la plupart des Royal Oak pour hommes ont des diamètres supérieurs à 39 mm, ce qui fait de la 15202 le seul modèle disponible dans ce diamètre emblématique. Depuis lors, sa rareté joue un rôle clé dans le succès continu qu’elle rencontre. La même année, la Manufacture dévoile également un modèle Royal Oak Tourbillon Extra-Plat (26510) à remontage manuel, en acier inoxydable ou or rose 18 carats, également disponible en édition limitée de 40 pièces squelettées (Modèle 26511, Calibre 2924SQ).
Ce mariage d’esthétique raffinée et de maîtrise technique marque la décennie, notamment avec la Royal Oak Double Balancier Squelette dévoilée en 2016. Conçu par les horlogers d’Audemars Piguet, son mouvement breveté accroît la précision et la stabilité de la montre. L’oscillation parfaitement synchrone est obtenue en assemblant deux balanciers et deux spiraux sur le même axe. Visible de part et d’autre de la boîte, le double balancier offre également une vue imprenable sur le cœur battant de la montre. D’abord proposée dans une boîte en acier ou en or rose de 41 mm, la pièce est ensuite déclinée en 37 mm ainsi que dans une grande variété de matériaux dont l’or gris, l’or jaune et la céramique noire. Les années 2010 ont également été le théâtre d’une autre innovation technique majeure, avec le modèle Royal Oak Quantième Perpétuel Automatique UltraPlat (26586), dont le prototype dévoilé en 2018 est aussi connu sous le nom RD#2. Avec son mouvement de 2,89 millimètres d’épaisseur au sein d’une boîte de 6,3 mm de hauteur, elle devient à l’époque la montre-bracelet automatique à calendrier perpétuel la plus fine au monde. Pour parvenir à ce résultat sans précédent, les ingénieurs d’Audemars Piguet ont regroupé les différentes fonctions du calendrier perpétuel sur un seul et unique niveau, au lieu de trois.
En ouvrant la voie à une nouvelle génération de montres à complications offrant le parfait équilibre entre esthétique raffinée, ergonomie optimale, savoir faire séculaire et esprit contemporain, cette création clôture une décennie riche en évolutions techniques et esthétiques.
Rendant hommage à 50 ans d’innovations continues, les derniers modèles marquent encore une étape dans le développement d’une collection qui transcende les modes et les tendances. Les versions 2022 lui confèrent une nouvelle dimension créative et technique grâce à une esthétique aussi raffinée qu’ergonomique, ainsi qu’à des matériaux, animations de cadrans et mouvements de dernière génération. Les célébrations du 50e anniversaire de la Royal Oak ont commencé avec une nouvelle génération de modèles Royal Oak « Jumbo» Extra-Plat, réf. 16202,
animés par un nouveau calibre automatique extra-plat, Calibre 7121, conçu sur mesure pour s’intégrer parfaitement au sein de la boîte de seulement 8,1 mm d’épaisseur. Le Calibre 7121, qui remplace le 2121 historique qui équipait la Royal Oak depuis ses débuts, accroît la performance, la fiabilité et le caractère contemporain de la collection Royal Oak. Il est aussi proposé en version squelette (Calibre 7124), au sein des nouveaux modèles 16204.
La collection Royal Oak franchit également une nouvelle étape avec le modèle Royal Oak Automatique Extra-Plat Tourbillon Volant – le tout premier tourbillon volant conçu par la Manufacture au sein d’une boîte « Jumbo» extraplate de 39 mm. En mariant avant-garde et tradition, la pièce se joue des codes originels de la Royal Oak. Sa boîte acier se pare d’un cadran Bleu Nuit, Nuage 50 Petite Tapisserie et d’une signature Audemars Piguet en
relief midi. Résolument orientée vers l’avenir, la cage du tourbillon volant dévoile un aperçu de la technologie de pointe qui l’anime. Développé en même temps que le Calibre 7121, le Calibre 2968 réussit le pari d’unir un mouvement automatique et un tourbillon volant sansnaltérer les proportions de l’iconique boîte «Jumbo». Pour y parvenir, les équipes d’Audemars Piguet ont entièrement retravaillé la cage du tourbillon existante au sein des modèles de 41 mm. Le résultat ? Un mouvement ultra-plat automatique à tourbillon volant d’à peine 3,4 mm d’épaisseur, dont la subtile micromécanique vaut à la pièce le surnom de RD#3. Repoussant plus loin encore les limites, ce modèle à tourbillon volant de 39 mm sera bientôt complété d’une autre version de 37 mm – marquant une autre première pour la Manufacture!
Par sa capacité à perpétuellement se réinventer tout en préservant les fondamentaux esthétiques du modèle original, la Royal Oak a su s’élever au rang d’icône culturelle au sein du monde horloger et au-delà. Jeune de seulement 50 ans, cette collection réserve encore bien des surprises pour les années et décennies à venir.
Renault s’est s’associée au designer français Pierre Gonalons pour réinventer ce modèle iconique. Le résultat de cette co-création est Renault 5 Diamant, un show-car électrique inédit né de la rencontre entre les univers du design intérieur et celui de l’auto.
© Gaelle Le Boulicaut
L’année 2022 marque le 50ème anniversaire d’une des icônes de la marque, Renault 5. Véritable symbole de la culture pop, Renault 5 s’est vendue à plus de 5 millions d’exemplaires dans de nombreux pays entre 1972 et 1984.
Renault propose ainsi de nombreux rendez-vous et activations, avec évènements, happenings et opérations sur les réseaux sociaux.
Aujourd’hui c’est une nouvelle collaboration entre Renault et le designer français Pierre Gonalons qui fait l’actualité. Pour fêter les 50 ans de ce modèle iconique, Renault a décidé de s’associer à un grand designer reconnu parmi les 100 meilleurs créateurs par la publication Architectural Digest et représentant de l’art à la française.
Le produit des échanges entre Pierre Gonalons et l’équipe Couleurs et Matières du Design Renault est le show-car Renault 5 Diamant. Une voiture électrique montrant la vision du designer de la voiture du futur, en fusionnant les codes de l’automobile avec ceux de la décoration intérieure.
« Je suis honoré de l’invitation de Renault à réinventer la mythique R5 à l’occasion de son cinquantième anniversaire. La marque m’a laissé carte blanche pour dessiner la voiture de mes rêves. » a affirmé Pierre Gonalons, « La R5 incarne à mes yeux une vie pop, optimiste, résolument contemporaine. Avec Renault 5 Diamant j’ai voulu rendre hommage à son design révolutionnaire tout en traduisant mon univers de formes et de couleurs dans le monde automobile. »
© Gaelle Le Boulicaut
L’inspiration pour Pierre Gonalons est venue des arts décoratifs et plus particulièrement de la haute joaillerie, que l’on retrouve dans les détails précieux et innovants.
Renault 5 Diamant garde les lignes caractéristiques et la forme iconique de la « Supercar » originelle qui sortait de la ligne de production de Renault en 1972, mais sous cette silhouette familière, une transformation profonde a eu lieu. Sous le capot, la voiture est équipée d’un moteur 100% électrique, premier élément qui signale sa modernité. Visuellement, son design introduit des détails de haute qualité qui invitent à la découverte de ce mélange inédit et raffiné.
François Farion, Directeur Couleurs & Matières de Renault, a souligné : « L’univers créatif et la personnalité de Pierre Gonalons et de ses collaborateurs font partie du fleuron d’artisans français, donnant un résultat novateur et élaboré dans les détails. Pour moi la Renault 5 Diamant est d’abord le choc émotionnel des teintes extérieures qui donnent à la voiture un aspect à la fois naïf et sophistiqué, et l’attention du détail apporté par Pierre, très sensible aux références et à la signification de chaque élément. »
A l’extérieur, la carrosserie a été épurée pour mieux souligner les lignes iconiques de la Renault 5 et les appendices habituels sont volontairement sortis de leur environnement et ont été magnifiés en forme comme en finition. Les phares et feux sont facettés comme des pierres précieuses et les roues larges, héritées de la version Alpine, ont été lissées et signées en leur centre du soleil cher à Pierre Gonalons. La teinte extérieure présente une peinture tri-couche, faite de pigments dorés sur une base rose. Elle est récouverte d’un vernis givré, ce qui donne un effet très changeant avec des reflets dorés au soleil, et une nuance plus bleue dans les ombres.
© Gaelle Le Boulicaut
A l’intérieur c’est l’épure qui domine. Avec les expertises conjointes du Design Renault et des artisans associés à la réalisation du projet, Pierre Gonalons a pu simplifier la voiture en ne gardant que des éléments très spécifiques. Les poignées de portes et commandes de lève-vitre ainsi que le levier de vitesses sont faits à partir d’une sphère tronquée, traitée comme des références très parisiennes en laiton doré à l’or pâle, matériaux inoxydables, et très durables. Le volant, avec sa forme très particulière et pourtant fonctionnel, est produit avec du marbre sur carbone, et même la clé du véhicule subit un traitement spécifique. Tout en s’appuyant sur l’expertise de Renault pour donner à l’ensemble un crédibilité et un réalisme automobile sans faille, et sans compromettre l’usage des éléments fonctionnels.
Renault 5 Diamant apporte aussi de la technologie. Tout d’abord elle est 100% électrique, et intègre un lecteur d’empreinte digitale déverrouille les portes. Véhicule électrique, Renault 5 Diamant propose un levier de vitesses à trois positions séquentielles (marche avant, neutre et marche arrière). Trois compteurs ronds à l’affichage digital célébrant l’horlogerie affichent les informations essentielles : vitesse, charge et heure. Quant à la navigation et l’info-divertissement, tout peut être facilement fourni par le smartphone du propriétaire qui trouve sa place dans un emplacement dédié au milieu de la planche de bord.
© Gaelle Le Boulicaut
Renault 5 Diamant, soignée dans le moindre détail est réalisée à partir de matériaux d’excellence fournis par des artisans au savoir-faire reconnu et unique, suivie d’une exécution sans faille. Le show-car a bénéficié de l’expérience de Design et Solution, société spécialisée dans la réalisation de véhicules d’exception, chargée du développement, de l’assemblage et de la réalisation finale du show-car.
En plus, plusieurs artisans qui travaillent au quotidien avec Pierre Gonalons ont participé au projet pour apporter leur expertise. En détail, le volant et le vide poches sont fabriqués en marbre recyclé par Minéral Expertise, employant un marbre français, le « Grand Antique d’Aubert », travaillé d’une manière tubulaire, qui le rend plus léger et malléable. Quant au tissu des fauteuils et le tissu en crin de cheval gainant le tableau de bord, les deux sont fabriqués par l’éditeur de textiles Métaphores, le seul atelier dans le monde à continuer à tisser le crin de cheval à la main. Le tapis de sol en laine mohair est fabriqué par Pinton, une des dernières manufactures de tapisserie d’art Français, historiquement installé à Aubusson. Enfin, la dorure des ornements de la voitures, comme du monogramme sur le capot, est réalisée par l’atelier Bertin-Aubert de Paris, qui se distingue par son savoir-faire et précision dans la réalisation.
Après avoir rassemblé des communautés de passionnés sur Facebook, Instagram, LinkedIn, Twitter et YouTube, et avoir récemment lancée ses pages officielles TikTok et Pinterest, Renault a décidé de faire son entrée dans l’univers des NFTs.
Ainsi, dans le cadre de ce projet, Renault et Pierre Gonalons développeront aussi une collection de nombreux NFT inspirée de la Renault 5 Diamant qui sera dévoilée en septembre.
Renault 5 Diamant sera aussi vendue aux enchères quelques semaines plus tard avec son « digital twin » NFT. À la suite de la vente, les bénéfices seront reversés à Give Me 5, le nouveau projet de responsabilité sociale de la marque dédié aux jeunes générations au travers du sport et de la musique.